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DES
FILLES
LA SCOLARITÉ
DES FILLES
Étude internationale comparative
sur les déperditions scolaires chez les filles
et chez les garçons
dans l'enseignement d u premier
et du second degré
Isabelle D E B L É
masco
Publié en 1980
par V Organisation des Nations Unies pour l'éducation,
la science et la culture,
7, place de Fontenoy, 75700 Paris
ISBN 92-3-201782-2
© Unesco 1980
P R É F A C E
1. Allemagne (République fédérale d'), Argentine, Australie, Autriche, Bahrein, Barbade, Bel-
gique, Bénin, Bolivie, Bulgarie, Chili, Chypre, Costa Rica, Côte-d'Ivoire, Danemark, Empire
centrafricain, Espagne, États-Unis d'Amérique, Finlande, France, Gabon, Ghana, Grèce,
Guatemala, Irak, Iran, Israël, Japon, Jordanie, Koweït, Liban, Malte, Maroc, Mauritanie,
Mexique, Népal, Norvège, Nouvelle-Zélande, Pakistan, Pays-Bas, Pérou, Philippines, Pologne,
Portugal, Qatar, République arabe syrienne, République démocratique allemande, Répu-
blique dominicaine, République socialiste soviétique de Biélorussie, République-Unie de
Tanzanie, République-Unie du Cameroun, Soudan, Sri Lanka, Suède, Tchad, Tchécoslova-
quie, Tunisie, Union des républiques socialistes soviétiques, Uruguay, Venezuela, Yémen
(République arabe du) et Zambie.
TABLE DES M A T I È R E S
Introduction 11
PREMIÈRE PARTIE
APERÇUS SUR L'ACCÈS DES FILLES
À L'ENSEIGNEMENT D U PREMIER E T D U SECOND
D E G R É (AVEC QUELQUES DONNÉES C O N C E R N A N T
LE TROISIÈME DEGRÉ)
DEUXIEME PARTIE
LE D É R O U L E M E N T DE LA SCOLARITÉ CHEZ
LES FILLES ET CHEZ LES GARÇONS
Considérations méthodologiques 43
L a progression comparée des effectifs féminins et m a s -
culins dans les régions les moins scolarisées 45
Les mouvements d'élèves dans le système d'enseignement :
comparaison de la promotion, d u redoublement et de
l'abandon chez lesfilleset les garçons 46
L a comparaison de la scolarité desfilleset des garçons par
la méthode des « cohortes reconstituées » 49
L a comparaison des espérances de vie scolaire desfilleset
des garçons 51
L'évolution de la déperdition des effectifs scolaires chez
les filles 53
Les disparités entre la scolarité desfilleset celle des garçons 56
Les formes particulières de la déperdition d'effectifs chez
les filles 60
Tableaux 8 à 16 63
TROISIÈME PARTIE
ANNEXES
I. Questionnaire concernant les déperditions d'effectifs
parmi les jeunesfillesd'âge scolaire 132
II. Composition des principales zones et régions 151
III. Répartition des p a y s e n d é v e l o p p e m e n t selon le taux
d e scolarisation e n 1 9 6 5 desfillesâgées d e 6 à 2 3 ans 1 5 4
IV. Répartition des pays en développement selon le taux
de scolarisation en 1965 des garçons âgés de 6 à
23 ans 156
V . Répartition des pays en développement selon le taux
de scolarisation en 1975 desfillesâgées de 6 à
23 ans 158
V I . Répartition des pays en développement selon les taux
de scolarisation en 1975 des garçons âgés de 6 à
23 ans 160
VII. Comparaison des taux de redoublement, promotion
et abandon par année d'études chez lesfilleset les
garçons dans 43 pays 162
VIII. Recommandation n° 66 concernant l'amélioration et
l'efficacité des systèmes d'éducation, en particulier
par la réduction des déperditions d'effectifs à tous
les niveaux de l'enseignement 174
I N T R O D U C T I O N
11
Introduction
12
PREMIÈRE PARTIE
14
rendant compte de certains aspects de révolution de la scolarisation et de son
fonctionnement. La comparability des systèmes d'enseignement reste difficile
en raison de la diversité des structures et des contenus; la comparability des
données est encore plus difficile, les modes de collecte des informations et
d'établissement des statistiques variant et dans le temps et d'un pays à
Vautre. D ' o ù l'importance qui s'attache aux efforts de normalisation et la
nécessité d'être prudent dans le maniement d'indicateurs que l'on utiliserait
pour hiérarchiser les situations des différents Etats. Nous serons cependant
amenés à utiliser tous les indicateurs disponibles sans oublier que l'exigence
du nombre peut aller à Vencontre de la qualité du contenu et tout en sachant
que ces indicateurs ne rendent compte que d'aspects partiels d'une réalité.
Trop peu d'études approfondies ont été consacrées à la scolarisation des filles
en tant que phénomène social traduisant un changement du rôle des femmes
pour que l'on ne soit pas obligé de recourir à une multiplicité d'indicateurs,
parfois contradictoires mais pouvant indiquer les recherches à entreprendre.
Il convient d'ajouter que, les réponses au questionnaire n'ayant pas fourni
de données exploitables quantitativement, les analyses présentées ci-après
ont été établies à partir d'informations publiées ou fournies par l'Office des
statistiques de V Unesco.
15
C H A P I T R E P R E M I E R
UNE DÉMARCHE
STATISTIQUE
16
Une démarche statistique
C O M P A R A I S O N DES T A U X D E S C O L A R I S A T I O N
P A R Â G E DES FILLES E T DES G A R Ç O N S 1
1. Unesco, Office des statistiques, Les dimensions de la scolarité1. Étude des taux de scolarisation dans le
monde, Paris, 1975. (Enquêtes et recherches statistiques: travaux en cours, C S R - E - 1 6 . )
2 . Les tableaux sont groupés à la fin de chaque partie.
17
Aperçus sur l'accès desfillesà l'enseignement du premier et du second degré
18
Une démarche statistique
19
Aperçus sur l'accès desfillesà l'enseignement du premier et du second degré
20
Une démarche statistique
LES DISPARITÉS D A N S L A F R É Q U E N T A T I O N S C O L A I R E
S E L O N LES M I L I E U X S O C I O - G É O G R A P H I Q U E S
ET S O C I O - P R O F E S S I O N N E L S
21
Aperçus sur l'accès desfiles à l'enseignement du premier et du second degré
22
C H A P I T R E II
ÉVOLUTION RÉCENTE
ET PERSPECTIVES D'AVENIR1
23
Aperçus sur l'accès desfillesà l'enseignement du premier et du second degré
l'enseignement des enfants des deux sexes et force est donc de cons-
tater qu'en dépit d u m o u v e m e n t général des idées et des m œ u r s ,
rien ne permet encore d'éliminer de manière décisive l'inégalité
flagrante entrefilleset garçons.
L'important ouvrage déjà cité Apprendre à être signale que « les
différences sont particulièrement marquées en ce qui concerne
l'instruction féminine. E n Amérique d u Nord, en Europe et en
Amérique latine, le nombre des inscrits aux niveaux primaire et
secondaire est pratiquement égal chez les garçons et chez les filles,
mais dans l'ensemble constitué par l'Afrique, l'Asie et les États
arabes, on compte encore la moitié plus de garçons que de filles
dans le primaire et 100 % de plus dans le secondaire. Les chiffres
de l'analphabétisme dans le m o n d e montrent de m ê m e à quel
point les femmes sont désavantagées; on estime que 40 % d'entre
elles sont illettrées, contre 28 % pour les h o m m e s . »
Aujourd'hui, en examinant l'évolution de la proportion des filles
scolarisées dans les groupes d'âge de 6 à 11 ans, de 12 à 17 ans et
de 18 à 23 ans dans la période 1965-1970, puis en 1975, on peut
faire les constatations suivantes;
Dans le groupe de 6 à 11 ans, le pourcentage desfillesa augmenté
dans huit régions 1 , il a baissé légèrement en Amérique d u Sud
tempérée et il n'a pas changé dans quatorze autres régions.
L'augmentation s'observe dans les pays en développement qui
avaient au départ la situation la plus défavorable ; elle est minime
en général, la plus importante atteignant 5 % (Afrique moyenne).
Dans le groupe de 12 à 17 ans, l'augmentation du pourcentage est
plus fréquente, car on l'observe dans quinze des régions consi-
dérées; mais elle est en général le plus accusée dans les m ê m e s
régions que précédemment, c'est-à-dire dans les régions peu
développées d u point de vue scolaire, et la part desfillesdans
les effectifs scolarisés reste faible (32 % dans la partie centrale de
l'Asie d u Sud, 33 % en Mélanésie, 37 % dans l'ensemble de
l'Afrique). Dans les autres régions, elle évolue lentement, d'un ou
de deux points, pour atteindre 4 9 % dans les cas les plus favo-
rables. Notons qu'en 1975 cette proportion n'est atteinte ni
en Amérique centrale (43%), ni en Asie du Sud-Est (44%) ni en
Europe méridionale (46%). C'est en U R S S et dans la zone tempé-
rée de l'Amérique du Sud (notamment en Argentine) que les filles
de ce groupe d'âge sont plus scolarisées que les garçons (51%).
Dans le groupe de 18 à 23 ans, les changements entre 1965 et 1975
sont plus marqués, surtout dans les régions où la scolarisation
24
Évolution récente et perspectives d'avenir
1. Unesco, Office des statistiques, L'importance statistique de la jeunesse non scolarisée d'Asie, Paris, 1974.
(Enquêtes et recherches statistiques: travaux en cours, C S R - E - 6 . )
?.. C o m p r e n a n t ceux qui n e sont jamais allés à l'école, ceux qui y sont entrés mais ont a b a n d o n n é
avant la fin d e l'enseignement primaire et ceux qui ont achevé leur scolarité primaire mais
n'ont pas poursuivi leurs études o u les ont interrompues.
25
Aperçus sur l'accès desfillesà l'enseignement du premier et du second degré
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Évolution récente et perspectives d'avenir
Afrique
Asie du Sud
Asie de l'Est
Amérique latine
Amérique septentrionale
Europe
URSS
27
Aperçus sur l'accès desfillesà l'enseignement du premier et du second degré
28
Évolution récente et perspectives d'avenir
29
Aperçus sur l'accès desfillesà l'enseignement du premier et du second degré
G F G F G F
AFRIQUE
Afrique orientale
Burundi 1969 31,0 18,6 36,7 18,6 33,6 16,1
Maurice 1968 95,8 91,5 98,6 95,8 94,1 87,4
Mozambique 1966 39,4 19,7 55,6 32,8 50,7 30,4
Afrique moyenne
Empire centrafricain 1970 73,5 42,0 95,6 51,4 68,2 31,7
République-Unie
du Cameroun 1971 82,7 65,8 85,7 67,9 83,7 63,1
Tchad 1969 21,9 9,8 31,5 10,9 30,2 8,4
Afrique australe.
Botswana 1971 19,1 21,6 56,3 54,3
Swaziland 1970 35,4 37,7 61,9 66,8 73,9 72,2
Afrique occidentale
Bénin 1968 38,9 17,0 41,7 18,2 39,0 15,9
Gambie 1971 31,6 17,9 31,8 17,3 39,5 16,0
Togo 1971 69,2 39,1 76,9 43,2 83,2 35,1
Haute-Volta 1967 6,9 4,6 14,6 8,9 12,9 7,5
AMÉRIQUE
Antilles
Cuba 1971 120,9 124,6 125,9 126,4 104,2 105,2
Amérique centrale
Costa Rica 1972 53,6 56,0 95,2 95,2 94,5 94,6
Guatemala 1969 6,6 5,7 60,3 52,2 64,1 52,4
Panama 1971 52,7 55,4 95,6 97,2 96,8 97,5
Zone tempérée de l'Amérique
du Sud
Argentine 1969 99,1 101,4 96,9 101,1 95,6 99,3
Zone tropicale de l'Amérique
du Sud
Equateur 1969 56,0 58,4 81,9 80,3 81,8 78,8
Pérou 1965 48,7 47,2 74,5 67,3 83,3 73,6
Amérique septentrionale
États-Unis d ' A m é r i q u e 1969 98,0 98,4 99,0 100,0 99,0 99,5
ASIE
Asie de l'Est
Corée (Rép. de) 1971 81,0 76,8 103,4 97,9 106,0 98,4
Japon 1970 100,1 98,9 100,9 100,0 99,6 98,8
30
Évolution récente et perspectives d'avenir
26,8 9,8 9,9 2,5 5,6 1,4 2,4 0,4 1,0 0,1
75,0 60,7 35,0 26,2 32,8 19,1 22,5 9,4 4,9 1,7
50,6 13,5 2,4 1,3 2,4 2,3 1,8 0,8 0,9 0,3
51,2 23,3 20,7 7,8 11,0 3,0 5,7 1,2 2,0 0,3
79,9 54,3 42,0 23,1 24,8 U,7 15,6 4,9 4,9 1,0
28,3 6,0 10,6 2,0 5,6 0,7 2,9 0,3 1,1 0,0
52,6 60,6 40,3 42,2 36,9 28,7 14,3 7,9 5,4 1,3
66,9 66,1 52,6 42,5 49,2 33,0 28,1 12,4 9,8 4,2
28,5 12,6 11,8 5,0 8,2 3,3 4,7 1,7 2,2 0,8
44,0 14,4 16,2 5,8 11,3 4,5 6,2 1,1 0,0 0,0
75,0 28,0 38,5 12,2 13,5 3,5 5,3 1,0 2,3 0,6
15.4 4,7 9,6 1,9 7,0 0,8 3,9 0,5 0,9 0,1
86,0 82,7 42,8 38,8 28,9 24,1 9,4 8,7 6,2 4,7
86.5 84,2 41,9 42,4 34,5 36,6 28,3 25,9 18,4 14,0
55,8 42,6 20,6 16,0 16,3 10,9 9,3 5,7 6,6 2,7
91.6 91,9 61,3 58,9 50,0 49,3 34,7 36,5 18,6 18,1
93.7 96,3 40,0 43,7 31,8 35,9 19,2 19,9 12,1 12,5
73,6 66,4 36,5 31,0 33,3 26,8 18,3 13,7 12,0 6,4
84,2 70,2 64,0 43,3 51,8 33,6 32,9 19,8 20,4 13,1
99,0 98,5 97,0 96,0 94,0 92,0 67,0 65,0 50,0 28,0
63,6 55,9 59,0 40,0 47,9 31,5 27,8 14,5 10,6 4,6
99,4 98,6 82,2 81,5 78,2 78,4 36,1 21,8 22,8 5,5
31
Aperçus sur l'accès desfillesà l'enseignement du premier et du second degré
TABLEAU 1
Asie du Sud-Est
Malaisie 1970 9 7 , 9 9 5 , 2 9 6 , 9 9 3 , 9 87,8 79
Asie du Sud (centrale)
Inde 1967 81,5 54,0 86,4 54,2 67,1 36
Asie du Sud-Ouest
Chypre 1972 69,8 79,7 77,0 69,9 78,0 73
Jordanie 1971 37,4 27,4 58,9 47,2 54,8 44
Europe orientale
Bulgarie 1971 4 , 4 4,7 97,1 97,3 96,3 9
Hongrie 1972 96,1 95,8 96,2 97,1 94,2 9
Europe septentrionale
Royaume-Uni 1970 100,1 99,9 98,8 99,1 101,2 101,
Suède 1969 1,0 1,7 100,4 101,0 99,5 9
Europe méridionale
Espagne 1970 109,7 114,2 102,7 104,2 105,2 104
Grèce 1979 101,7 102,9 98,5 98,4 95,8 9
Portugal 1970 20,9 22,5 101,8 103,4 98,9 1
Yougoslavie 1970 0,0 0,0 96,1 94,5 99,5 9
Europe occidentale
R é p . féd. d'Allemagne 1970 60,0 63,9 100,6 100,9 101,1 101
Belgique 1968 100,9 100,3 99,8 99,9 101,5 100,
France 1967 99,9 100,7 100,3 100,5 97,8 9
Pays-Bas 1971 72,1 72,9 97,9 99,6 95,7 9
OCÉANIE
Nouvelle-Zélande 1971 99,1 98,0 99,1 99,5 101,1 101
Source: U n e s c o , Office des statistiques, Les dimensions de la scolarité. Étude des taux de scolarisation dans le
Paris, 1975. (Enquêtes et recherches statistiques: travaux en cours, G S R - E - I 6 . )
32
Évolution récente et perspectives d'avenir
G F G F G F G F G F
33
Aperçus sur Vaccès desfillesà renseignement du premier et du second degré
34
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Évolution récente et perspectives d'avenir
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Inférieur à 20% 20 38 9 27
De 20 à 40% 34 28 24 24
De 40 à 60% 33 28 43 33
Supérieur à 60% 8 — 20 11
CONCLUSION
Il n'est donc pas douteux que, sans une volonté profonde et déter-
minée de changement — volonté qui doit se matérialiser par des
mesures concrètes soigneusement étudiées et coordonnées — l'éga-
lité d'accès à l'enseignement desfilleset des garçons risque fort de
ne pas se réaliser dans plusieurs parties du m o n d e . Ces réflexions
donnent une résonance particulière à l'étude de la déperdition des
effectifs chez lesfillesscolarisées. Si, en effel, nous nous sommes
quelque peu attardés sur cette première partie de l'étude, c'est
qu'elle influence fortement la deuxième. Comparer le déroulement
de la scolarité de deux groupes d'élèves si différents numérique-
ment revient à fausser d'emblée les règles du jeu. Il est évident que
le recrutement limité desfillesse fait dans chaque pays selon des
mécanismes qui ne peuvent que conduire à les distinguer des gar-
çons de multiples façons. Chacun sait par exemple que la scola-
risation féminine est plus élevée dans les villes qu'à la campagne et
que les parents qui envoient leursfillesà l'école en dépit d'habi-
tudes contraires constituent des minorités, donc se singularisent.
Dès la première journée de classe, les chances au niveau individuel
ne sont nullement comparables. Les devenirs collectifs pourront
être appréhendés statistiquement, mais on ne devra jamais oublier
que les résultats doivent être interprétés avec prudence.
39
DEUXIÈME PARTIE
LE DÉROULEMENT
DE LA SCOLARITÉ
CHEZ LES FILLES
ET CHEZ LES GARÇONS
Les résultats exposés dans la première partie ne sauraient faire oublier les
aléas des comparaisons par régions et par pays. Dans certains cas, la scolarité
obligatoire atteint neuf ou dix ans, dans d'autres quatre ou cinq ans, parfois
elle n'existe pas. Certains élèves vont à l'école cent soixante-dix jours par an,
d'autres deux cent vingt. L'enseignement primaire peut comporter six heures
de cours par jour ou bien seulement trois. Les programmes peuvent donner
plus ou moins d'importance aux activités d'éveil et d'observation ou à la
littérature ou aux mathématiques, etc. La comparabilité est illusoire, mais
les comparaisons se révèlent fécondes pour stimuler la recherche et formuler
des hypothèses.
L'étude comparée du déroulement de la scolarité desfilleset des garçons
dans un même pays a l'avantage d'éviter les écueils inhérents à la diversité
des systèmes, car il s'agit d'examiner les différences entre les sexes dans
un même contexte socio-culturel et éducatif. Une fois franchi le premier
obstacle que constitue l'inscription à l'école qu'advient-il des filles dans
l'enseignement? Comment poursuivent-elles leurs études comparativement
aux garçons? Rappelons que nous ne disposons pas de données statistiques
complètes pour analyser ces problèmes d'une manière totalement satisfai-
sante.
42
CONSIDÉRATIONS MÉTHODOLOGIQUES
43
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
44
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
45
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
46
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
Al
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
1. U n e s c o , Office des statistiques, Wastage in primary education in Africa; statistical study!Les déperdition
scolaires dans Venseignement primaire en Afrique; étude statistique, p. 11, Paris, 1975. (Enquêtes et
recherches statistiques: travaux en cours, C S R - E - 1 1 . )
48
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
49
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
50
Le déroulement de la scolarité chez les filles et chez les garçons
L A C O M P A R A I S O N D E S E S P É R A N C E S D E VIE S C O L A I R E
DES FILLES E T D E S G A R Ç O N S 2
51
Le déroulement de la scolarité chez les filles et chez les garçons
52
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
L ' É V O L U T I O N D E LA DÉPERDITION
D E S EFFECTIFS S C O L A I R E S C H E Z LES FILLES
53
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
1. Algérie, Arabie Saoudite, Bénin, Chypre, Congo, Corée (Rép. de), Empire centrafricain,
Haute-Volta, Inde, Irak, Jamahiriya arabe libyenne, Jordanie, Koweït, Madagascar, Niger,
République arabe syrienne, Rwanda, Swaziland, Zaire et Zambie.
54
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
55
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
56
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
57
Le déroulement de la scolarité'chez lesfilleset chez les garçons
58
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
1. U n e série d'articles présentent les divers résultats de l'enquête ; ils ont pour auteurs Alain Girard,
Henri Bastide, G u y Pourcher Paul Clerc, soit seuls, soit en c o m m u n . Ils ont été publiés dans
la revue Population (Paris, Institut national d'études démographiques) en 1962, 1963, 1964,
1966, 1969 et 1972.
2. Institut national d'études démographiques, Institut national d'étude d u travail et d'orientation
professionnelle, Enquête nationale SUT le niveau intellectuel des enfants d'âge scolaire, Paris, Presses
universitaires de France, 1969.
3. Première année de l'enseignement d u second degré.
4. L e collège d'enseignement général ( C E G ) est u n établissement d'enseignement général court,
le lycée u n établissement d'enseignement long.
59
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
LES F O R M E S P A R T I C U L I È R E S D E L A D É P E R D I T I O N
D ' E F F E C T I F S C H E Z L E S FILLES
60
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
1. Jean Rousselet et al., « L'entrée des jeunes dans la vie active: la génération 1955 », dans: Les
jeunes et Vemploi, Paris, Presses universitaires de France, 1975. (Cahiers d u Centre d'études d e
l'emploi, 7.)
61
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
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65
T A B L E A U 10. Répartition des pays selon le rapport entre les taux d e
promotion des filles et des garçons
En 4e année du premierdegré
Arabie Saoudite Chypre Bénin
Argentine Equateur Birmanie
Autriche Grèce Brésil
Belgique Guatemala Côte-dTvoire
Chili Hongrie E m p i r e centrafricain
Colombie Pays-Bas Ghana
Costa Rica République Inde
France dominicaine Irak
Iran Tchécoslovaquie Jordanie
Italie Maroc
Malte Oman
Mexique République arabe
Nicaragua syrienne
Panama République-Unie
Paraguay du C a m e r o u n
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Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
A la population A la population
totale scolarisé«
(en années) (en années)
F G F G
Afrique
Bénin 1965 1,5 3,3 7,5 7,3
Botswana 1974 6,5 5,7 7,6 7,6
Congo 1973 9,6 11,0 9,6 11,0
Côte-dTvoire 1969 3,5 6,9 7,6 9,2
Egypte 1972 4,8 8,2 8,4 9,5
Empire centrafricain 1972 3,2 6,9 5,4 6,9
Gambie 1971 1,2 2,9 7,9 7,5
Haute-Volta 1971 0,7 1,2 6,7 7,0
Jamahiriya arabe
libyenne 1975 9,2 10,8 9,2 10,8
Lesotho 1973 8,5 6,8 8,5 9,5
Malawi 1973 3,7 6,2 9,0 9,9
Mali 1970 1,3 2,6 7,4 8,4
Mozambique 1972 2,1 3,9 6,6 6,6
Niger 1973 0,7 1,4 6,0 5,8
République-Unie
du Cameroun 1973 6,6 9,0 8,9 10,1
Rwanda 1973 3,3 4,3 5,6 6,2
Swaziland 1974 8,5 9,3 10,1 11,2
Tchad 1974 1,1 3,8 4,7 7,6
Togo 1971 3,2 7,6 7,4 8,7
Zaïre 1971 4,5 8,1 7,8 9,2
Amérique
Argentine 1970 9,8 9,6 9,8 9,7
Colombie 1965 5,5 5,5 7,8 8,2
Costa Rica 1972 9,0 9,1 9,0 9,1
Cuba 1973 9,1 9,5 9,1 9,5
El Salvador 1972 6,3 6,8 9,1 9,3
Equateur 1973 8,4 8,7 9,9 9,7
Guatemala 1969 3,6 4,5 7,5 8,1
Guyane 1970 9,2 9,4 9,3 9,5
Nicaragua 1973 6,5 6,4 8,8 8,7
Panama 1973 10,6 10,7 10,9 10,7
Pérou 1970 8,6 10,4 10,4 11,6
Trinité-et-Tobago 1971 10,0 10.4 10,0 10,4
71
Le déroulement de la scolarité chez les filles et chez les garçons
TABLEAU 13 (suite)
A la p o p u kition A la p o p u hition
totale scolarisée
(en années) (en années)
F G F G
Asie
Arabie Saoudite 1973 2,4 4,6 10,0 10,4
Birmanie 1973 4,9 5,8 7,3 8,4
Chypre 1974 7,4 7,7 10,8 11,1
Indonésie 1971 4,4 5,6 7,3 8,2
Irak 1975 5,1 9,8 8,1 9,8
Japon 1972 11,1 11,1 11,1 11,1
Philippines 1965 7,6 7,6 7,6 7,6
République arabe
syrienne 1974 6,5 9,7 8,4 9,7
Thaïlande 1965 5,5 6,4 5,8 6,5
Turquie 1973 3,2 7,6 7,4 8,7
Europe
Allemagne
(Rép. féd. d') 1973 12,0 12,6 12,0 12,6
Belgique 1965 10,1 10,1 10,1 10,1
Espagne 1972 9,4 10,1 9,4 10,1
France 1971 11,0 10,7 11,0 10,0
Grèce 1970 9,7 11,0 9,7 11,0
Hongrie 1972 10,1 10,6 10,3 10,7
Irlande 1972 10,6 10,4 10,6 10,4
Luxembourg 1973 10,5 11,2 10,6 11,3
Malte 1973 9,8 10,3 10,0 10,3
Pays-Bas 1973 10,9 11,4 10,9 11,8
Pologne 1971 11,4 11,4 11,6 11,4
Yougoslavie 1970 8,7 9,6 9,0 9,6
Océanie
Nouvelle-Zélande 1974 11,2 11,3 11,2 11,3
Source: U n e s c o , Office desstatistiques, Étude comparative de la scolarisation desfilleset des garçons, op. cit.
72
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset les garçons
a. E n 1969.
Source: Institut d'étude d u développement économique et social ( I E D E S ) , Université d e Paris-I,
Statistiques de Venseignement du second degré dans 14 États africains et malgache 1961-1972, Paris, 1973.
73
Le déroulement de la scolarité chez lesfilleset chez les garçons
Agriculteurs 64 67 66
Salariés agricoles 5 5 5
Ouvriers 80 78 79
Personnel d e service 10 10 10
Employés 76 71 74
Cadres m o y e n s 169 181 174
patrons d e l'industrie
et d u c o m m e r c e 163 171 166
Professions libérales et cadres
supérieurs 257 265 260
Autres professions o u professions m a l
connues 92 78 86
Sans profession 84 74 80
74
TROISIÈME PARTIE
LES CAUSES
DE LA DÉPERDITION
DES EFFECTIFS SCOLAIRES
FÉMININS
On s'étonnera peut-être que tant de pages aient été consacrées à ce qui pour-
rait passer pour une tentative de mesure quantitative d'un phénomène commu-
nément admis. Ce n'est pas par hasard. Il était nécessaire d'attirer l'attention
sur toutes les ambiguïtés qui surgissent dès que l'on utilise l'expression
« déperdition d'effectifs ». Déjà la confusion est grande entre deux approches:
ou bien on s'attache à suivre — ou à supputer — le cheminement scolaire
d'un groupe d'élèves, ou bien on observe comment les règles d'un système
d'enseignement sont respectées. On passe donc des différences de comporte-
ment individuel au dysfonctionnement d'un système. Aussi bien les études des
causes de la « déperdition » ne sont-elles pas satisfaisantes, l'objet même de la
recherche n'étant pas défini. On peut admettre qu'il existe une interaction
complexe entre les normes d'un système et le comportement de ses agents,
mais, dans l'état actuel des connaissances rien ne permet d'inférer des propo-
sitions valables.
Dès lors que l'on se propose de compliquer l'analyse en isolant parmi les
élèves ceux qui sont du sexe féminin et par là même que l'on souhaite com-
prendre ce qui, « dans le système », prend en considération la partie féminine
de ses « constituants », on s'expose à voir croître les difficultés.
C'est en partie pour cet ensemble de raisons, mais aussi parce que les
études sur le sujet sont notoirement insuffisantes, les statistiques précaires et
douteuses, les méthodologies à inventer, que les réponses au questionnaire
envoyé par V Unesco contiennent à la fois beaucoup de généralités et beaucoup
d'affirmations intuitives et empiriques qu'il ne faut cependant pas négliger
car elles peuvent permettre l'élaboration d'hypothèses de travail. Faute de
pouvoir donner une vue exacte du problème de la déperdition chez les filles,
on s'est attaché aux caractéristiques générales des conditions de leur scolari-
sation. E n schématisant, on peut faire une distinction entre le système sco-
laire et ses imperfections, d'une part, et, d'autre part, son environnement
social dont les dominantes culturelles et économiques font plus souvent
l'objet de dénonciations que d'analyses concrètes. On pressent donc que le
système d'enseignement est en cause mais on s'attarde sur les conditions géné-
rales de vie qui l'influencent ou le déterminent selon le schéma idéologique
dont on se réclame.
76
O n rendra compte ci-après des réponses des Etats membres significatives
de la manière dont est perçue la scolarisation desfilles,puis, à partir des
réflexions que les analyses précédentes et les différents documents existants
ont suscitées, on avancera quelques-unes des hypothèses à tester.
Une remarque liminaire: les réponses des pays scolarisés sont plus détail-
lées et s''appuient sur plus de recherches que les autres. Leur optique relève
davantage de démarches psychosociologiques et les attitudes à l'égard du
système sont moins passives, le postulat étant que les groupes scoiaux peuvent
infléchir ses règles. L'Europe est largement représentée dans les réponses; les
États-Unis d'Amérique, l'URSS, l'Australie, le Japon ont participé à
l'enquête. E n bref, les pays très scolarisés ont été plus nombreux que les
autres à répondre, ce qui implique un risque défausser les interprétations. On
s'efforcera d'y remédier dans la mesure du possible.
Une autre observation doit être faite: faute d'une connaissance autre
qu'intuitive de la déperdition, c'est le plus souvent le problème de l'inégalité
d'accès à l'école qui est traité. La question qui se pose alors est de savoir
si l'on retient l'hypothèse que ce dernier influence la première.
Dans les pays très scolarisés et sans discrimination jusqu'à la fin de la
période obligatoire, c'est le double problème de l'interruption ou de la pour-
suite des études à ce moment-là et du type defiliere choisi par lesfilleset les
garçons qui se pose. Comme on l'a déjà dit, ce dernier point est plus une
forme particulière de la différenciation des scolarités par sexe qu'une véri-
table déperdition.
77
Dans la catégorie C, on ne constate pas d'abandons; seuls pèsent les redou-
blements. Les problèmes apparaissent à la fin du premier cycle du second
degré avec le choix desfilièreset l'interruption de la scolarité à ce niveau.
Dans la catégorie D , ni les redoublements ni les abandons ne sont importants
et il s'opère un glissement dans la localisation des problèmes observés
dans la catégorie C de la fin du premier cycle soit vers l'issue du second et
l'entrée à l'université ou dans les différentesfilièresdeformation post-
secondaires, soit à la fin de la période d'obligation scolaire.
Il apparaît qu'en général les pays où l'obligation scolaire est inexistante
pratiquent un examen sélectif impliquant une évaluation des résultats obtenus,
examen auquel s'ajoute parfois une prise en considération de la moyenne des
notes. On peut noter que c'est dans les catégories A et B que se concentrent en
général ces types de sélection.
Dans les catégories C et D , le recours à l'examen sélectif ne se rencontre
que dans certains Etats des Etats- Unis et en Tchécoslovaquie. Mais, dans
l'ensemble, c'est là que le passage automatique est le plus pratiqué. C'est en
quelque sorte le corollaire naturel de situations où l'accueil des effectifs ne
pose aucun problème aigu à l'exception de quelques cas et au niveau du second
degré.
Un nombre de redoublements égal ou supérieur à 2 pour chacun des
degrés de l'enseignement est le plus souvent associé aux scolarités des pays des
catégories A et B . Dans les catégories C et D , les redoublements importants
semblent beaucoup moins fréquents, mais, lorsqu'ils existent, c'est aussi bien
dans le premier que dans le second degré.
Ces quelques remarques ne sauraient cependant faire oublier ni la diversité
des situations ni le caractère un peu arbitraire du classement.
78
C H A P I T R E I
CONDITIONS INFLUANT
SUR LA SCOLARISATION
DE L'ENSEMBLE DES ÉLÈVES
Les raisons invoquées par les pays ayant répondu à l'enquête pour
expliquer les déperditions scolaires chez lesfillespeuvent se répar-
tir en deux grands groupes: celles qui sont imputées a u x conditions
générales d'ordre culturel, économique et social et celles qui relè-
vent plus particulièrement d e la qualité des services d'enseignement.
Il faut souligner que les pays consultés ont le plus fréquemment indi-
qué qu'il n'existait pas o u qu'il n'existait guère de recherches spé-
cifiques dans le d o m a i n e considéré. Les réponses ne constituent
donc q u ' u n e première étape dans l'étude d u p h é n o m è n e . Les sté-
réotypes survivent à u n e situation qui, nous l'avons v u , se modifie
nettement malgré la lenteur des progrès inhérente à toute entre-
prise éducative. Les réponses reflètent donc les idées le plus couram-
m e n t admises sur le sujet, qu'elles soient le résultat d e travaux o u
qu'elles reproduisent les opinions de personnalités plus o u moins
représentatives. M a i s il faut bien retenir q u e les causes avancées
différencient rarementfilleset garçons.
79
Les causes de la déperdition des effectifs scolaires féminins
80
Conditions influant sur la scolarisation de l'ensemble des élèves
81
Les causes de la déperdition des effectifs scolaires féminins
82
Conditions influant sur la scolarisation de l'ensemble des élèves
83
Les causes de la déperdition des effectifs scolaires féminins
84
Conditions influant sur la scolarisation de l'ensemble des élèves
85
Les causes de la déperdition des effectifs scolaires féminins
86
Conditions influant sur la scolarisation de Vensemble des élèves
87
C H A P I T R E II
88
Les conditions associées aux déperditions maximales d'effectifs chez les filles
89
Les causes de la déperdition des effectifs scolaires féminins
90
Les conditions associées aux déperditions maximales d'effectifs chez les filles
91
Les causes de la déperdition des effectifs scolaires féminins
92
Les conditions associées aux déperditions maximales d'effectifs chez les filles
1. Ibid., p . 73.
2 . R . Rosenthal et L . Jocobsen, Pygmalion in the classroom, N e w Y o r k , N . Y . , Holt, 1968.
3. M . et D . Sadker, « Sexism in schools: a n issue for the 70's », The Educational Digest, 1974.
4. D . E . Edgar, « Adolescent competence a n d sexual disadvantage », La Trobe Sociology Papers,
juin 1974.
93
Les causes de la déperdition des effectifs scolaires féminins
94
C H A P I T R E III
POINTS D'INTERROGATION
1. A n n e Steinmann. « Vingt ans de recherches sur les rôles des sexes >', d a n s : A . Michel (dir. publ.),
Femmes, sexisme et sociétés, Paris, Presses universitaires d e France, 1977.
95
Les causes de la déperdition des effectifs scolaires féminins
1. R e n é Zazzo, « Quelques constats sur la psychologie différentielle des sexes », dans : Evelyne
Sullerot (dir. publ.), Le fait féminin: qu'est-ce qu'une femme?, Paris, Fayard, 1978.
2. M . J . C h o m b a r t de L a u w e , Un monde autre: l'enfance; de ses représentations à son mythe, Paris, Payot,
1971.
96
Points d'interrogation
1. E n particulier les Cahiers d u Centre d'études d e l'emploi publiés aux Presses universitaires d e
France et les Dossiers d u Centre d'études et de recherche sur les qualifications.
97
Les causes de la déperdition des effectifs scolaires féminins
1. Irène Kandel, «Activité/inactivité des jeunesfilleset des jeunes femmes», dans: L'entrée dans
la vie active, Paris, Presses universitaires de France, 1977. (Cahiers d u Centre d'études de l'emploi,
15.)
98
Points d'interrogation
1. Jean Rousselet et al., « L'entrée des jeunes dans la vie active... », dans: Les jeunes et l'emploi,
op. cit., p. 199.
2. Id., p. 207.
3. Argentine, Côte-d'Ivoire, Liban, Sierra L e o n e , Sri L a n k a .
99
Les causes de la déperdition des effectifs scolaires féminins
1. Jacques Hallak, A qui profite l'école? Paris, Presses universitaires de France, 1974.
2. Arthur T . Porter, « Perspectives d'avenir de l'éducation », VèduaUion en devenir, p. 41 et 42,
Paris, Les Presses de l'Unesco, 1975.
100
Points d'interrogation
101
Les causes de la déperdition des effectifs scolaires féminins
(en mu) G F G F
102
Points d'interrogation
103
Les causes de la déperdition des effectifs scolaires féminins
104
Points d'interrogation
105
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QUATRIÈME PARTIE
C O M M E N T LUTTER
CONTRE LA DÉPERDITION
DES EFFECTIFS FÉMININS
O n a vu dans la seconde partie de cette étude qu'à partir du moment où
l'analyse économique et la planification ont dénoncé avec obstination la déper-
dition des effectifs, l'ampleur et l'acuité du phénomène se sont souvent atté-
nuées dans de nombreuses régions. Lors de la Conférence des ministres de
l'éducation d'Asie tenue à Singapour en 1975, certains Etats ont annoncé
qu'ils avaient résolu le «problème préoccupant de la déperdition». Il est
donc certain que des mesures institutionnelles peuvent causer une régression
du phénomène, ce qui était implicite dans la recommandation n° 66 adoptée
à Genève par la Conférence internationale de l'éducation 1 .
// n'est pas toujours aisé d'isoler, tant dans les mesures prises que dans les
résultats obtenus, les effets d'un seul des facteurs ou les causes d'une seule
des améliorations constatées et, quand il s'agit d'analyser plus particulière-
ment les comportements d'une des composantes des effectifs — ici les élèves du
sexe féminin — les obstacles rencontrés deviennent plus subtils. C'est pour-
quoi les mesures adoptées [ou en préparation) par l'ensemble des pays ayant
participé à l'enquête menée par le Secrétariat en vue de corriger ou prévenir
les déperditions concernent plus souvent l'ensemble des effectifs, sans distinc-
tion de sexe, que lesfillesen particulier. Par ailleurs, étant donné l'ambiguïté
même du concept et les formes diferentes que prend le phénomène selon que
l'on considère des pays plus ou moins fortement scolarisés, les réponses se
différencient assez nettement. Dans la catégorie la moins favorisée, il sera
fait plus souvent mention d'actions destinées à faciliter l'accueil des nouveaux
élèves alors que dans les pays les plus scolarisés, l'accent sera plus fréquem-
ment mis sur les moyens destinés à retenir les élèves dans le système éducatif
au-delà de la période obligatoire et à accroître le niveau de qualification des
sortants. Une première distinction peut donc se faire à partir du domaine
d'application des mesures indiquées.
Une deuxième conclusion peut se dégager dès lors que l'on s'attache aux
problèmes soulevés par la scolarisation desfilles.D'une part, les efforts
portent sur l'identification des stéréotypes relatifs aux rôles respectifs de
114
sexes et sur la façon de les combattre. Les mesures se traduisent alors notam-
ment par une refonte des programmes et du contenu des matériels utilisés,
par l'encouragement à la coeducation et par la formation du corps enseignant
à de nouvelles pratiques pédagogiques.
D'autre part, une série de mesures favorables à l'entrée desfillesdans le
système éducatif est proposée : a) féminisation du personnel enseignant, accrois-
sement du nombre des écoles defilleslorsque cela facilite leur inscription à
l'école primaire; b) diversification desfilièresdeformation lorsque les filles
sont peu représentées dans l'ensemble d'un secteur.
115
C H A P I T R E I
117
Comment lutter contre la déperdition des effectif s féminins
118
Rappel des mesures adoptées pour réduire la déperdition des effectifs
119
Comment lutter contre la déperdition des effectifs féminins
120
Rappel des mesures adoptées pour réduire la déperdition des effectifs
121
Comment lutter contre la déperdition des effectifs féminins
1. Drop-oul prevention; A special report by the National Advisory Council on Supplementary Centre and
Services, Washington, D . C . , George Washington University, National Advisory Council on
Supplementary Centres and Services, avril 1975.
2. F . Florquin, « Les classes d'accueil expérimentales », Revue de la Direction générale de l'organisation
des études (Bruxelles), n° 1, 1977.
3. D'après: Organisation de coopération et de développement économiques ( O C D E ) , Vinsertion
des jeunes dans la vie active; Rapport général, Paris, m a i 1977.
122
Rappel des mesures adoptées pour réduire la déperdition des effectifs
123
C H A P I T R E II
124
Mesures visant à réduire la déperdition des effectifs chez les filles
1. Abdullah Abdel D a y e m , « Facteurs affectant l'évolution de l'éducation dans les pays arabes »,
dans: L'éducation en devenir, p . 50-51, Paris, Les Presses de l'Unesco, 1975.
125
Comment lutter contre la déperdition des effectif s féminins
126
C H A P I T R E III
127
Comment lutter contre la déperdition des effectifs féminins
128
La portée des mesures adoptées. Perspectives d'avenir
Malgré les progrès réalisés dans certains pays par des techniques
de planification, n o t a m m e n t en matière de carte scolaire, l'in-
suffisance des informations statistiques, faute de collecte, de traite-
m e n t pertinent ou de diffusion, concernant la manière dont les
filles accèdent à l'école et y évoluent, a été dénoncée avec vigueur
tout au long de cette étude. U n e des mesures à préconiser désor-
mais est l'élaboration d'une « carte scolaire au féminin » superpo-
sable à la carte au masculin, permettant de localiser les points
critiques et de les analyser de manière approfondie, de rappro-
cher les concentrations d'élèves selon le sexe et de comparer les
populations identifiées d'après des critères relevant aussi bien d u
système d'enseignement que de l'environnement culturel et socio-
économique.
C e n'est pas par déduction que l'on doit connaître la situation
scolaire desfilles.Il ne s'agit pas d'un négatif que l'on doit tenir en
réserve dans un fond de tiroir pour en user à l'occasion de confron-
tations électorales ou de la visite de personnalités étrangères. C'est
une donnée sociale qui doit être d'autant plus divulguée qu'elle
est peu favorable, la méconnaissance des faits nuisant beaucoup
à la recherche de solutions adéquates. Trop d'affirmations repo-
sent sur des impressions.
A partir d'une telle carte scolaire au féminin, des enquêtes
peuvent être menées à peu de frais. C'est la méthodologie qui est
à créer, qui peut être esquissée au niveau international et rajustée
dans chaque contexte national.
Toutes les mesures citées ont certes des effets, ponctuels le plus
souvent, à long terme également, mais qui ne sont appréhendés
qu'empiriquement. L'hypothèse selon laquelle lesfillesseraient
victimes d'inégalités plus grandes pour leur entrée à l'école que
pour le déroulement de leur scolarité reste à vérifier, étant donné
les différences entre les groupes sociaux auxquels appartiennent
filles et garçons en situation de non-parité.
Sera-t-on conduit à proposer un choix entre l'extension de la sco-
larisation habituelle, qui est essentiellement masculine, à des
régions dépourvues et u n relèvement de la proportion des filles
dans les écoles existantes? C o m m e n t concilier les incitations ou les
contrôles d'une instance de décision et les comportements des
groupes sociaux?
Le rôle des moyens d'information est mal connu. Les messages
transmis seraient, semble-t-il, très sensibles aux stéréotypes c o m m u -
nément admis, mais là encore on ne dispose pas d'observations
scientifiques pour les pays où les discriminations persistent. O n
pressent cependant le rôle que l'information pourrait jouer auprès
des familles, des enseignants, des élèves e u x - m ê m e s , pour faire
129
Comment lutter contre la déperdition des effectif s féminins
130
La portée des mesures adoptées. Perspectives d'avenir
131
A N N E X E I
QUESTIONNAIRE
C O N C E R N A N T LES DÉPERDITIONS
D'EFFECTIFS PARMI
LES JEUNES FILLES
D ' A G E SCOLAIRE
Objectif du questionnaire
Groupe cible : Filles âgées de 5-6 à 17-18 ans qui sont inscrites à l'école mais
qui ont soit abandonné soit arrêté leurs études avant la fin du deuxième degré. Ce
groupe cible se compose donc de deux sous-groupes qui, aux fins du présent question-
naire, sont définis comme suit : soit (a) les filles qui se sont inscrites dans l'en-
seignement du premier degré ou du premier cycle du deuxième degré mais qui ne vont
pas jusqu'au bout des études de ce degré ou de ce cycle, soit (b) les filles qui,
ayant terminé les études de ce degré ou de ce cycle, ne passent pas au degré ou au
cycle supérieur et s'excluent donc prématurément du système scolaire.
132
Armexe I
Réponses
Le destinataire est prié d'utiliser pour ses réponses les blancs laissés à son
Intention dans le questionnaire.
S'il a besoin de plus de place, il est prié d'insérer des feuilles supplémen-
:aires en y indiquant le numéro de la question.
Si des informations sur certains des points soulevés dans ce questionnaire ont
léjà été fournis à 1'Unesco dans le cadre de ses autres programmes, il n'est pas
lécessaire de donner une nouvelle réponse. Le destinataire est prié soit de joindre
me copie de la réponse déjà envoyée en précisant le numéro des questions, soit d'in-
ïiquer la date et le numéro de référence des réponses précédentes ainsi que le nom de
.a ou des personnes à qui celles-ci ont été adressées au Secrétariat de 1'Unesco.
Les réponses doivent être envoyées en double exemplaire avant le 30 novembre 1977
l l'adresse suivante :
133
Annexe I
QUESTIONNAIRE
(a) les degrés et les points de passage d'un degré à l'autre au sein du système;
(b) la durée de chaque cycle et de chaque degré et l'âge normal des élèves;
13 18
12 17
11 16
10 15
9 14
8 13
7 12
6 11
5 10
4 9
3 8
2 7
1 6
.Pays A Pays B
13 18 13 -18
Polyvalent, clas- Ecoles
12 Profes- 17 12 Clas- Tech., 17
sique, général, nor-
11 sionnel 16 11 sique prof. 16
technique males
10 15 10 -•15
9 =n
Premier cycle du
14 9 r '"
1er cycle du
1er cya 14
8 13 8 du sec. 13
secondaire général second, cjén.
7 12 7 profes. 12
*fc , 11
6 11 6
5 10 5 10
4 9 4 9
Primaire
3 8 3 8
2 7 2 7
'1 6 1 6
134
Annexe l
3. Dans votre pays, l'enseignement public est-il gratuit ou y a-t-il des frais de
scolarité ?
Oui Non
au premier degré / / n
au deuxième degré (premier cycle) /_/ n
au deuxième degré (deuxième cycle) /__/ n
3.1 Aux degrés où l'enseignement n'est pas gratuit, a-t-on prévu certaines
formes d'aide financière - bourses, subventions, etc. ?
oui rj Non n
3.2 Si cette aide existe, veuillez indiquer les critères de sélection :
- résultats scolaires /~
- situation matérielle / /
- autres f~/
3.3 Les critères sont-ils les mêmes pour les garçons et pour les filles ?
Oui / ~ Non fi
3.4 Si la réponse à la question précédente est non, prière de donner ici des
précisions :
135
Annexe I
Oui Non
1. Le mot "notes" désigne ici les notes que l'on attribue au travail de l'élève ou
aux résultats qu'il a obtenus aux cours et aux exercices constituant le programme
scolaire; pour évaluer son travail et ses résultats scolaires selon une échelle
de valeurs.
136
Annexe I
Premier degré
N.B. - Si les redoublements sont limités à un certain nombre de fois par classe,
veuillez 1'indiquer.
7. Veuillez indiquer les options choisies par les garçons et par les filles au
moment de la différenciation horizontale au sein de votre système d'enseignement :
Etudes générales
Enseignement technique et
professionnel :
- industrie
- agriculture ^_
- commerce
- économie domestique
- Ecole normale
137
Annexe I
9.3 Si le nombre des places n'est pas suffisant et qu'un examen sélectif doit
donc être organisé chaque fois, veuillez indiquer le pourcentage estimatif de
ceux qui, parmi les élèves remplissant les conditions requises et ayant demar
leur admission, sont reçus respectivement dans les écoles de garçons et les
écoles de filles au niveau du passage d'un degré ou d'un cycle à un autre :
Du deuxième cycle du
Oui Non
138
Armexe I
10. Si vous avez répondu par la négative â l'une des questions 9.2 ci-dessus, y
a-t-il des différences essentielles caractérisant l'éducation des filles dans
l'une quelconque des matières suivantes ? Veuillez cocher la case appropriée
et préciser :
Premier Premier cycle Deuxième cycle
degré du secondaire du secondaire
Oui fi Non ÍJ
11.2 Les programmes sont-ils les mêmes pour les garçons et pour les filles ?
Oui ÍJ Non fi
Si vous avez répondu non, veuillez préciser.
11.3 Déployez-vous des efforts particuliers pour aider les filles à choisir leur
spécialité, pour les encourager à poursuivre leurs études et pour les prépa-
rer à une vie professionnelle différente des emplois, stéréotypés habituels ?
Oui fi Non / /
139
Annexe I
Veuillez préciser les raisons pour lesquelles les enfants et les jeunes aban-
donnent ou arrêtent prématurément leurs études :
Raisons liées au
système d'enseignement
A. Problèmes de politique
générale et d'organi-
sation d'ensemble
1. Enseignement non
obligatoire O o a o o o
2. Mixité non réalisée
o o a a o o
B. Ressources matérielles
et humaines insuffisantes
140
Annexé I
D. La qualité de l'ensei-
gnement ne permet pas
de satisfaire les
besoins
141
Annexe I
22. Découragement dû à de
médiocres résultats
scolaires
23. Découragement dû au
u u u u u u
redoublement
u u u u u u
24. Mauvaise santé
n n n a LJ o
25. Les enfants désirent être
indépendants de leur
famille // // / / // // //
142
Annexe I
Si des facteurs sociologiques et culturels ont une incidence sensible sur les
déperditions d'effectifs parmi les jeunes filles d'âge scolaire, veuillez préciser.
Autres raisons
Enumérer, par ordre d'importance, les numéros des causes (spécifiées à la ques-
tion 12 ci-dessus) des abandons et des arrêts prématurés parmi les garçons et les
filles à chaque niveau :
Premier Premier cycle Deuxième cycle
degré du secondaire du secondaire
Garçons Filles Garçons Filles Garçons Filles
143
Annexe I
14. A partir des causes (mentionnées à la question 12 ci-dessus) des abandons ou des
arrêts prématurés parmi les filles, indiquez les différences éventuelles entre
zones urbaines et zones rurales en entourant le chiffre appropria :
Premier Premier cycle Deuxième cycle Premier Premier cycle Deuxième cycl
degré du secondaire du secondaire degré du secondaire du secondaire
1 1 1 1 1 1
2 2 2 2 2 2
3 3 3 3 3 3
4 4 4 4 4 4
5 5 5 5 5 5
6 6 6 6 6 6
7 7 7 7 7 7
8 8 8 8 8 8
9 9 y 9 9 9
10 10 10 10 10 10
11 11 11 11 11 11
12 12 12 12 12 12
13 13 13 13 13 13
14 14 14 14 14 14
15 15 15 15 15 15
16 16 16 16 16 16
17 17 17 17 17 17
18 18 18 18 18 18
19 19 19 19 19 19
20 20 20 20 20 20
21 21 21 21 21 21
22 22 22 22 22 22
23 23 23 23 23 23
24 24 24 24 24 24
25 25 25 25 25 25
26 26 26 26 26 26
27 27 27 27 27 27
28 28 28 28 28 28
29 29 29 29 29 29
30 30 30 30 30 30
31 31 31 31 31 31
144
Annexe I
145
Annexe I
16. Veuillez décrire, selon le cas : (i) les résultats qu'ont donnés dans votre pays
les politiques adoptées et les mesures prises pour encourager les filles à s'ins-
crire à l'école et à y rester, ou (ii) les plans de votre pays dans ce domaine.
Ces mesures peuvent être d'ordre général (par exemple, application effective de
l'enseignement obligatoire, instauration de la mixité ou ouverture à des enfants
d'âge préscolaire venant de milieux culturellement défavorisés d'établissements
qui accroîtront leurs chances de succès dans leurs études) ou viser à éliminer
certaines causes ou séries de causes spécifiques d'abandons et d'arrêts prématun
(par exemple, amélioration des programmes de formation des maîtres, innovations
dans les programmes d'études, création d'internats de filles en zone rurale,
développement de l'orientation scolaire et professionnelle). Rapprochez ces poli-
tiques et ces mesures des causes ou des problèmes généraux auxquels elles
s'adressent et notez l'incidence ou les résultats obtenus (intercalez des
feuilles supplémentaires si besoin est).
146
Annexe I
17. Si vous disposez de données ou si vous pouvez fournir des estimations, veuillez
indiquer dans le tableau suivant les activités des jeunes filles de 5-6 à
17-18 ans qui se trouvent hors du système scolaire (après avoir abandonné ou
arrêté leurs études prématurément) :
1er cycle 1er cycle 2e cycle
1er 1er
du secon- du secon- du secon-
Activité degré : degré
daire : daire : daire :
abandon arrêt abandon abandon
arrêt
(8) Inconnue
.18. Quelles sont les mesures prévues ou prises pour offrir plus de chances en matière
d'éducation aux groupes identifiés à la question 17 ci-dessus ?
en zone urbaine : / /
en zone rurale : / /
147
Annexe I
19. Veuillez décrire en détail les plus importantes des mesures indiquées à la ques-
tion 18 ci-dessus, et notamment les dispositions visant à encourager les jeunes
filles à profiter de ces possibilités (si besoin est, insérer des feuilles
supplémentaires).
148
Armexe I
20. Veuillez commenter celles des questions posées ci-dessus gui s'appliquent parti-
culièrement à la situation de votre pays pour définir clairement vos problèmes
et les solutions que vous élaborez actuellement afin d'encourager les jeunes
filles à tirer pleinement parti des chances qui leur sont offertes en matière
d'éducation et d'en créer d'autres.
149
Annexe I
21. Veuillez fournir une bibliographie des études et des enquêtes réalisées sur les
abandons et les arrêts prématurés parmi les jeunes filles d'âge scolaire et, si
possible, fournir au Secrétariat de 1'Unesco deux exemplaires de chacun des
rapports ou des publications les plus importants.
150
A N N E X E II
C O M P O S I T I O N
DES P R I N C I P A L E S Z O N E S
ET R É G I O N S 1
151
Annexe II
Amérique du Sud
ASIE D U SUD
tempérée *
152
Annexe II
Source: Nations Unies, Département des affaires économiques et sociales internationales, Demographie
Yearbook, 1977IArmuaire démographique, 1977, p. 93, N e w York, N . Y . , 1978.
153
A N N E X E III
R É P A R T I T I O N D E S P A Y S
EN D É V E L O P P E M E N T S E L O N
LE T A U X D ES C O L A R I S A T I O N
EN 1965D E S F I L L E S Â G É E S
D E 6 A 23 A N S
Source: U n e s c o , Office des statistiques, Étude comparative de la scolarisation des filles el des garçons: une
analyse statistique 1965-1975 (à paraître dans la collection «Enquêtes et recherches statistiques:
travaux en cours ").
154
Annexe III
155
A N N E X E IV
R É P A R T I T I O N DES PAYS
EN D É V E L O P P E M E N T SELON
LE T A U X D E S C O L A R I S A T I O N
E N 1965 D E S G A R Ç O N S Â G É S
D E 6 A 23 A N S
Moins de 10% 10% à moins de 20% 20% à moins de 30% 30% à moins de 40%
(8 pays) (12 pays) (14 pays) (20 pays)
156
Annexe IV
157
A N N E X E V
R E P A R T I T I O N DES PAYS
EN D É V E L O P P E M E N T S E L O N
LE T A U X D E S C O L A R I S A T I O N
E N 1975 D E S F I L L E S Â G É E S
D E 6 A 23 A N S
158
Annexe V
40% à moins de 50% 50% à moins de 60% 60% à moins de 70% 70% et plus
(14 pays) (19 pays) (8 pays) (3 pays)
159
A N N E X E V I
R É P A R T I T I O N DES PAYS
EN D É V E L O P P E M E N T SELON
LE T A U X D E S C O L A R I S A T I O N
E N 1975D E S G A R Ç O N S ÂGÉS
D E 6 A 23 A N S
Moins de 10% 10% à moins de 20% 20% à moins de 30% 30% à moins de 40%
(3 pays) (6 pays) (13 pays) (Il pays)
160
40% ¿moinsde 50% 50% à moins de 60% 60% à moins de 70% 70% et plus
(17 pays) (26 pays) (13 pays) (7 pa>s)
A N N E X E
État et année
1 2 3
G F G F G F
Argentine (1970)
Redoublement 23,6 20,0 13,5 10,7 11,2 9,0
Promotion 67,8 72,2 82,1 86,0 83,5 86,1
Abandon 8,6 7,9 4,4 3,4 5,3 5,0
Autriche (1971)
Redoublement 6,1 4,6 6,4 4,6 6,0 3,4
Promotion 89,0 92,1 92,1 94,7 93,6 96,5
Abandon 5,0 3,3 1,4 0,8 0,4 0,1
Belgique (1974)
Redoublement 13,4 14,1 20,5 19,1 24,7 23,5
Promotion 74,4 76,1 73,0 73,9 73,0 74,3
Abandon 12,2 9,9 6,5 7,1 2,3 2,2
Bénin (1974)
Redoublement 17,5 18,2 16,2 18,4 21,6 23,5
Promotion 61,8 59,3 71,1 69,3 69,5 64,4
Abandon 20,7 22,6 12,7 12,3 8,9 12,1
Birmanie (1972)
Redoublement 30,4 30,7 17,4 18,5 17,2 16,9
Promotion 60,9 59,3 61,2 60,3 62,5 56,9
Abandon 8,7 10,0 21,4 21,2 20,3 26,1
Brésil (1973)
Redoublement 24,6 22,0 17,7 15,2 11,4 10,0
Promotion 39,7 43,8 69,2 73,1 74,8 77,5
Abandon 35,7 34,2 13,1 11,8 13,8 12,6
162
Annexe
DE REDOUBLEMENT,
PAR A N N É E D'ÉTUDES
G A R Ç O N S ( G ) D A N S 43 P A Y S
4 5 6 7 8 9
G F G F G F G F G F G F
4,8 3,3
95,2 ¡96,7
10,9 9,8 14,8 11,0 13,9 10,9 11,4 9,3 8,2 6,3
80,9 78,2 72,5 79,1 80,6 86,6 83,4 88,7
8,2 12,5 12,7 9,9 5,4 2,5 5,3 2,0
Annexe VII
État et année
1 2 3
G F G G G F
Chili (1973)
Redoublement 20,2 17,2 16,6 13,3 14,0 10,8
Promotion 71,4 74,1 79,1 82,6 81,7 85,3
Abandon 8,4 8,7 4,2 4,1 4,3 4,0
Chypre (1974)
Redoublement 5,4 3,5 1,2 1,2 0,1 0,0
Promotion 92,1 94,5 97,6 98,5 99,2 98,2
Abandon 2,6 2,0 1,1 0,3 0,7 1,6
Colombie (1973)
Redoublement 21,6 18,6 16,4 15,1 14,4 12,7
Promotion 51,3 58,0 68,8 69,3 61,1 65,1
Abandon 27,2 23,4 14,8 15,6 24,5 22,2
Côte-d'Ivoire (1972)
Redoublement 22,9 22,5 21,1 21,2 22,9 23,1
Promotion 72,8 69,5 77,9 75,6 73,8 70,5
Abandon 4,3 7,9 1,0 3,2 3,3 6,4
164
Annexe VII
4 5 6 7 8 9
G F G F G F G F G G G F
11,7 9,3 11,0 8,4 9,4 6,9 10,8 7,1 6,5 4,6
82,5 85,3 82,9 85,3 80,7 82,7 76,5 83,6
5,8 5,4 6,1 6,3 9,9 10,5 12,7 9,3
165
Annexe VII
Etat <
Equateur (1972)
Redoublement 18,3 17,7 15,1 14,9 12,0 11,6
Promotion 64,6 64,7 78,3 78,9 81,8 81,4
Abandon 17,1 17,6 6,5 6,1 6,3 . 7,0
France (1970)
Redoublement 18,1 14,5 11,2 9,1 10,4 8,e
Promotion 77,5 82,1 86,2 88,8 89,6 91,i
Abandon 4,4 3,4 2,6 2,0 0,0 o,c
Ghana (1974)
Redoublement 5,4 5,5 2,2 2,5 1,7 1.Í
Promotion 94,0 88,5 99,6 98,2 99,0 95,(
Abandon 0,5 6,0 -1,8 -0,7 —0,8 2/
Grèce (1972)
Redoublement 9,2 7,2 5,4 4,1 4,9 3,:
Promotion 88,9 90,6 93,8 95,3 94,1 95,(
Abandon 1,9 2,2 0,9 0,6 1,0 1,<
Guatemala (1968)
Redoublement 26,7 26,1 13,9 13,2 12,6 12,'
Promotion 49,7 48,9 66,7 67,6 63,0 65,:
Abandon 23,6 25,1 19,5 19,2 24,4 21,i
Hongrie (1974)
Redoublement 6,1 4,5 3,4 2,4 3,0 1,
Promotion 91,3 92,5 96,0 97,1 96,2 97,
Abandon 2,6 3,0 0,6 0,5 0,8 0,
Inde (1969)
Redoublement 26,4 26,4 20,2 20,6 18,5 19,
Promotion 50,7 48,7 68,1 64,7 70,6 66,
Abandon 22,9 24,9 11,7 14,7 10,9 14,
Irak (1972)
Redoublement 22,3 20,9 16,6 17,5 13,6 14,
Promotion 72,0 71,1 81,2 78,3 85,6 82,
Abandon 5,7 6,4 2,2 2,8 0,8 1,
166
Annexe VII
2,2 1,3 4,7 2,8 3,3 2,0 2,5 1,3 0,4 0,2
97,5 97,9 93,9 96,0 95,0 96,5 94,5 97,2
0,3 0,8 1,4 1,2 1,7 1,5 3,0 1,5
167
Iran (1969)
Redoublement 12,8 7,6 13,9 8,4 10,0 6,5
Promotion 77,4 78,7 81,4 86,0 86,1 89,4
Abandon 9,8 13,8 4,7 5,7 3,9 4,1
Italie (1972)
Redoublement 7,5 5,6 6,1 4,3 4,7 3,4
Promotion 96,6 98,7 93,4 95,5 94,4 95,4
Abandon -4,2 -4,3 0,5 0,3 1,0 1,2
Jordanie (1974)
Redoublement 0,1 0,1 0,2 0,3 5,8 6,4
Promotion 93,3 94,6 99,5 99,1 93,2 91,8
Abandon 6,7 5,3 0,3 0,6 1,0 1,8
Malte (1970)
Redoublement 1,0 1,2 1,2 1,1 0,8 0,4
Promotion 75,3 77,7 104,5 105,2 101,2 99,8
Abandon 23,7 21,2 —5,8 —6,3 -2,0 -0,1
Maroc (1973)
Redoublement 24,7 25,2 22,2 21,6 28,6 28,6
Promotion 66,9 66,9 74,4 75,5 67,2 66,9
Abandon 8,3 7,9 3,4 2,9 4,2 4,5
Mexique (1974)
Redoublement 18,8 16,4 13,0 11,1 11,5 10,1
Promotion 68,0 66,6 78,4 75,1 79,9 79,0
Abandon 13,2 17,0 8,6 13,8 8,6 13,8
Nicaragua (1972)
Redoublement 17,0 16,1 11,9 11,0 10,1 9,1
Promotion 46,7 50,1 72,0 74,6 73,1 75,1
Abandon 36,3 33,8 16,1 14,5 16,8 15,8
O m a n (1973)
Redoublement 8,6 7,5 9,2 17,1 14,4 16,4
Promotion 79,1 83,3 85,6 81,9 78,2 68,3
Abandon 12,3 9,2 5,2 1,5 7,5 15,3
168
Annexe Vil
0,6 0,3 1,4 0,4 0,9 1,2 0,4 0,4 3,0 2,5
96,2 99,2 101,1 102,2
3,2 0,5 —2,5 —2,6
169
Annexe VII
État et année
1 5» 3
G F G F G F
P a n a m a (1974)
Redoublement 22,5 18,4 19,3 13,8 15,5 11,9
Promotion 70,3 74,7 78,2 82,2 80,0 84,8
Abandon 7,2 6,9 2,5 4,0 4,5 3,3
Paraguay (1973)
Redoublement 26,8 23,4 22,1 18,0 17,2 14,6
Promotion 62,1 64,9 66,6 71,2 68,6 71,3
Abandon 11,1 11,8 11,3 10,8 14,3 14,1
Pays-Bas (1974)
Redoublement 7,1 4,3 3,7 2,8 2,2 2,0
Promotion 91,7 95,1 95,2 96,8 97,3 97,9
Abandon 1,3 0,5 1,1 0,3 0,5 0,1
Portugal (1973)
Redoublement 36,5 31,6 26,0 21,3 20,4 16,0
Promotion 63,3 69,0 72,0 78,1 75,7 80,9
Abandon 0,3 —0,6 2,0 0,7 4,0 3,1
Singapour (1974)
Redoublement 0,0 0,0 0,1 0,1 3,0 1,8
Promotion 100,0 99,8 100,0 100,1 96,3 97,2
Abandon 0,0 0,2 -0,4 0,2 0,7 1,0
170
Annexe VII
15,1 11,5
75,4
9,5
171
Annexe VII
État et année
l 2 3
G F G G G F
Tchad (1974)
Redoublement 46,4 44,7 36,5 37,2 40,8 40,8
Promotion 40,3 36,9 60,3 51,6 53,3 46,7
Abandon 13,3 18,4 3,1 11,2 12,5 12,5
Tchécoslovaquie ( 1974)
Redoublement 0,5 0,4 2,0 1,7 1,2 0,8
Promotion 98,5 98,2 96,4 97,2 98,2 98,6
Abandon 1,0 1,4 1,6 1,0 0,7 0,6
Thaïlande (1974)
Redoublement 20,4 17,9 12,9 10,2 12,3 9,5
Promotion 72,3 75,0 85,2 87,8 84,2 87,1
Abandon 7,3 7,0 1,9 2,1 3,5 3,4
Zambie (1973)
Redoublement 0,5 0,4 0,6 0,6 0,9 0,9
Promotion 102,3 100,8 102,1 98,8 101,5 97,3
Abandon -2,9 -1,3 -2,7 0,6 -2,5 1,7
172
Annexe VU
4 5 6 7 8 9
G F G F G F G F G G G F
1,2 0,7 0,9 0,5 1,3 0,6 1,2 0,5 0,6 0,3 0,0 0,1
97,7 98,9 97,9 99,0 97,0 98,4 95,0 97,2 88,6 90,7
1,1 0,4 1,1 0,5 1,7 1,0 3,8 2,4 10,8 9,0
173
A N N E X E VIII
R E C O M M A N D A T I O N N ° 66
C O N C E R N A N T L ' A M É L I O R A T I O N
ET L ' E F F I C A C I T É
DES S Y S T È M E S D ' É D U C A T I O N ,
EN P A R T I C U L I E R
PAR L A R É D U C T I O N
D E S D É P E R D I T I O N S D ' E F F E C T I F S
A T O U S L E S N I V E A U X
DE L ' E N S E I G N E M E N T
PR É A M B U L E
L a Conférence,
Considérant l'article 26 de la Déclaration universelle des droits de l ' h o m m e
(1948),
Considérant la Déclaration des droits de l'enfant (1959),
Considérant la Convention et les Recommandations concernant la lutte
contre la discrimination dans le domaine de l'enseignement adoptée
par la Conférence générale de l'Unesco à sa onzième session (1960),
Considérant la Recommandation concernant l'enseignement technique
et professionnel adoptée par la Conférence générale de l'Unesco à sa
douzième session (1962),
Considérant la Recommandation concernant la condition d u personnel
enseignant adoptée par la Conférence intergouvernementale spéciale
sur la condition d u personnel enseignant (1966),
Considérant la Déclaration des principes de la coopération culturelle
internationale adoptée par la Conférence générale de l'Unesco à sa
quatorzième session (1966),
Considérant les recommandations de la Conférence internationale sur la
planification de l'éducation (1968),
Considérant que nous entrons dans la Deuxième Décennie d u dévelop-
pement,
Considérant que l'année 1970 a été proclamée Année intenationale de
l'éducation,
Considérant les recommandations pertinentes adoptées par la Conference
internationale de l'instruction publique lors de ses différentes sessions,
Considérant que l'éducation a pour but non seulement d'inculquer à
l'élève des connaissances fondamentales, mais aussi et surtout de déve-
174
Annexe VIII
PRINCIPES F O N D A M E N T A U X
175
Annexe VIII
176
Annexe VIII
177
Annexe VIII
178
Atmexe VIII
ÉTUDES A POURSUIVRE
/ . Études statistiques
179
Annexe VIII
C O O P É R A T I O N INTERNATIONALE
180
[B.28] ED-79/D. 116/F