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Le commerçant

S1- définition du commerçant


Il se dégage du 1èr article du code de commerce pour que la qualité du commerçant
suppose l’accomplissement des actes de commerce à titre de profession.
1-l’accomplissement d’acte de commerce à titre de profession habituelle
Les actes de commerces dont il est question sont les actes de commerce objectif ou
par nature. Cette précision en fait en peut se demander s’il n’y a pas de redevance
dans l’expression habituel puisque la profession suppose l’habitude. En réalité les
notions d’habitude et de profession sont super posable. L’habitude est constituée par
répétition d’acte de commerce du même genre. Le non de ces actes n’est pas
déterminé par l’existence ou non d’une habitude est une question de faite il suppose
une occupation déterminée permettant de retirer les moyens ou une partie des
moyens nécessaires à l’existence par conséquent l’accomplissement d’acte de
commerce à titre habituel n’est pas consécutifs de profession
2- l’accomplissement d’acte de commerce par son propre compte
Cette condition publique à une véritable indépendance du commerçant, c’est le
commerçant qui personnellement tire profit
- Les employées
Travaillons pour le compte de leurs patrons le contrat de travail le caractérise par la
double subordination économique et juridique du travaillons « employés » à l’égard
de l’employeur hors cette double subordination est incompatible avec la libérer
nécessaire pour faire la promesse. Les gérants salariés et gérant mandataire qui
font le commerce pour leur propre compte ils sont par conséquent des commerçant.
En conclusion la qualité du commerçant suppose l’accomplissement d’acte de
commerce pour son propre compte à titre de profession habituelle principal ou
secondaire, mais ses conditions sont nécessaires pour l’acquisition de la qualité du
commerçant certains personnes sont assimilées par commerçant sans remplir ses
conditions
3-les personnes assimilés aux commerçant
Ainsi des associés en non collectif ont toujours la qualité des commerçant bien qu’ils
n’exercice pas un commerce c’est la société qui fait du commerce et non les
associés de même SARL en la qualité du commerçant si leur objet et civile, la
commercialité de sa société s’explique par le désire de les soumettre aux règles du
droit commercial plus rigoureuse que cette du droit civil et doit en forcer ainsi les
garanties de ceux qui ont amenés à traiter avec celle de cette société

S2- les conditions d’accès à la profession commerciale


2 séries de préoccupation sont aligné, d’une part le souci de protection de la
personne qui veut entreprendre le commerce sans expérience suffisants, d’autre
part la protection de public contre une expérience ou les moralités de certains
commerçant ont assez de préoccupation, donc il y a 2 techniques les incapacités
s’une part et les interdiction, incompatibilité d’autre part.
- Les incapacités
L’activité commercial suppose la conclusion de certains contrats il est donc normal
d’exiger. Le législateur a jugé nécessaire d’adapter et renforcer les règles relatives à
la capacité civil, le droit commercial à ses propres règles de capacité qui se révèle
en réalité unitile aux contestes, en examine les cas de mineur et les interdites d’une
coté et la femme mariée d’autre coté
1-mineur et l’interdit
-mineur
D’abord le mineur doit être émancipé ensuit il doit être autoriser à faire du commerce
par les parents, enfin une publicité doit accompagner l’acte autorisant le mineur a
exercer le commerce

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