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La famille représente, dans les premiers ans de la vie d’un enfant, son entier univers.

Il est
donc considéré que la période de formation est exactement celle-ci, dans laquelle la société ne peut
pas être une influence. Toutefois l’effet et l’importance de ces premiers ans est assez controversée.
On attend une réponse sûre sue pourrait confirmer ou infirmer une hypothèse, mais la seule chose
absolue est la relativité et en prenant celle-ci en compte, je dirais que les sept ans de chez soi en
même mesure un mythe et une réalité.
D’une parte, on doit admettre l’incontestable importance de la famille – plus ou moins
conceptuelle – en ce qui concerne l’éducation. Le premier contact avec le monde on le fait par le
biais de ces qui arrive à représenter une famille et on apprend choses à partir de celles le plus
basique – ce que est dangereux, ce qu’on peut manger, à celles que représente des valeurs
fondamentales, comme le respect, par exemple.
D’autre parte, on doit reconnaitre l’empreinte laissé par la réalité. Les enfants, les hommes
en général, ont l’aptitude extraordinaire et peut-être pas assez apprécié d’analyser les dates, les
digérer et puis tirer des conclusions pour eux-mêmes, en se rapportent aux leçons déjà connues.
En sortant de la sphère – plus ou moins – protectrice de la famille, l’enfant est soumis à une
avalanche d’informations et options.
Entre famille et société, toutefois, il y a un autre facteur que ne devrait pas être ignoré – la
personne lui-même. Dans chaque personne il y a une certaine essence qui reste la nôtre, peu
importe les autres influences, et le caractère, la personnalité, cette essence a son propre discours à
dire.
Tout est, donc, réduit finalement a quatre case principaux.
En supposant qu’on a devant nous la famille idéale – respectable et respectueuse. Le plus
jeune membre de la famille est éduqué dans le même esprit. Il apprend comment il devrait parler,
ce qu’il signifie l’étiquette, les manières et, surtout, le respect. Ou au moins, comment il devrait
les montrer. En faisant contact avec la société, il commence à appliquer tout ce qu’il a appris et il
réussit à apprendre plus. Il ne se laisse pas influencé par la méchanceté des autres enfants ou de la
commodité que vient avec laisser ses mains dans ses poches et parles avec sa bouche pleine. Il
sourit honnêtement quand il salue quelqu’un. Il est un succès et l’exemple vivant que les sept ans
de chez soi sont au moins aussi importantes qu’on dit.
Mais les automatismes ne signifient pas tout le temps une certaine compréhension de l’acte
lui-même et la famille idéale ne réussit pas tout le temps à éliminer l’idée de contrainte derrière
les règles que tiennent des sept ans de chez soi. La liberté aperçue avec la sortie dans la société
pourrait être assez tentante pour un enfant les règles pourraient être facilement oublié. Amis,
étrangères. N’importe qui pourrait devenir un modèle, approuvant ou non, pour un enfant qui
pourrait se laisser attiré par la facilité avec laquelle on ne fait pas certaines choses. Les sept ans de
chez soi ne deviennent que des mots, un mythe peut-être intéressant.
A l’extrémité opposée on a la famille dans laquelle les sept ans de chez soi sont sublimes
mais inexistantes. A partir de gros mots on arrive à gestes inappropriées, toutes en étant présentes
dans la vie de l’enfant qui les assimile sans se rendre compte. Lui aussi arrive à l’âge auquel il
doit entrer dans la société et bien sûr il fera ce qu’il a appris. Les attentes sont, en tout cas,
inexistantes – tout le monde avait su qu’il serait ce type d’enfant. Tes tentatives de le faire se
comporter bien peuvent seulement échouer, mais si quelqu’un lui avait dit à la maison…
Les sept ans de chez soi l’aurait aidé énormément.
Mais en supposant que quelque parte sur cette route quelqu’un – un professeur, un autre
parent, un ami - aurait insisté sur certaines règles et il aurait observé un certain potentiel. Ou
quelque part sur cette route l’enfant lui-même aurait réalisé que certaines actions n’étaient pas
gardé positivement et il aurait asseye a le remédier, en découvrant pour soi-même ce que les sept
ans de chez soi signifient. La route aurait été une autre et l’homme aussi respectable et aussi
respectueux comme le premier enfant aurait démontré que les sept ans de chez soi sont
extrêmement limités.
L’alternance mythe-réalité conduit à la conclusion que les sept ans de chez soi peuvent ou
pas, être importantes. Il y a une pléthore de facteurs que doit être pris en compte pour déterminer
l’influence des sept ans de chez soi, la frontière entre mythe et réalité en devenant invisible.

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