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The iconic roots of language

Index, icon and symbol sont les trois éléments basiques de la langue. L’évolution langagière suit une
certaine logique passant de l’index, à l’icône et au symbole.

Le naturel et l’arbitraire jouent un rôle important dans le choix d’un signifiant. Tandis que le naturel
participe dans la construction ou la production d’un mot (signifiant), l’arbitraire propose ou expédie le
mot à travers la décision, soit d’une communauté, ou d’un groupe. La réception du mot ainsi choisi
assure la perpétuité du mot par l’apprentissage.

La phylogénie de la formation des mots.

La synesthésie fait valoriser quelques connexions plus que les autres. La logique derrière ces liens
nous reste inconnue, mais on peut dire que si le cerveau humain mappe des images dans certaines
régions cérébrales, et que les sons sont de même manière mappés dans le cerveau, ce neuro-
mappage permet la synesthésie entre l’image et le phonème, dans un processus de projection.

Une topologie neuro-physique du signifiant.

Certains sons (par exemple, [i] et [a]) peuvent provoqués d’autres liens, ici [i] est associé avec la
petitesse, donc la taille, la distance spatiale, la distance temporelle, la distance émotionnelle. Petit,
est donc plus proche de « ici », « maintenant » et « égo ». Certaines vocalisations peuvent donc être
un concentré d’images différentes.

Le percept est le stimulus reçu par les sens. Le concept est une idée de ce percept. Un concept peut
s’analyser avec plusieurs percepts.

Les gènes humains sont au fond des sonorités et des formations de mots, et finalement de la
formation de nouveaux mots pour le même percept/concept.

La transformation d’un visuel de motricité en représentation sonore par le biais d’un lien auditif est le
fondement de tout langage.

Au début, le mot. Le morphème ou le phonème a une naissance dans le naturel (c’est-à-dire, son
origine peut être tracée à l’évolution cognitive. Le temps fait disparaître le naturel, et donne lieu à
l’arbitraire.

Une telle argumentation peut être proposée pour l’origine des idées et de l‘imaginaire.

Parce qu’il existe dans le monde d’innombrables objets qui n’émettent pas de sons, on devrait
conclure que le visuel est le premier impact de leur percept. Par association, la bouche articule un
son qui lui est évoqué par le visuel. Ce son primordial est donc naturel, et d’une logique naturelle.
L’arbitraire du langage ne s’y installera que plus tard. Ce son primordial sera la base d’autres mots
connexes. Le processus le plus important est la corrélation entre l’entrée sensorielle et la sortie
motrice.

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