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Ecole Centrale de Lyon (Ecully, France)
Ecole Centrale de Lyon (Ecully, France)
D'ARCHITECTURE
OU
VIGNOLE
TRAITÉ ÉLÉMENTAIRE PRATIQUE
D'ARCHITECTURE ou
Avec l'indication des nombres nécessaires au lavis, le tracé des fonctions, etc., et des exemples relatifs aux ordres
NOUVELLE ÉDITION
PARIS
GARNIER FRÈRES. LIRRAIRES-ÉDITEURS
6, RUE DES SAINTS-PÈRES, 6
HAUr
PARIS. IMP. E. DESFOSSÉS, 1 3 , QUAI VOLTAIRE. i5226.
PARALLELE EXPLICATIF DES CINQ ORDRES D'ARCHITECTURE D'APRES VTGNOLE
1 e t de leurs rapports proportionnels entre eux. PL.I.
33 t n o d u l r Sfi A.-''
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A.tscactiiiet.
Cetteplanchc- o/frc le parallèle des cisuj ordres d.'archiiçctnrc donnés par l'iqnole. ce sont le.'toscan'.,le- Dorique, l'Ionique, ïezjûœârfiuan et- leton'/ „..-lJ„, ù o«-
rique l'Ionique et- If Corinthien viennent des tirées, les deua- autre? sont Mornairue, en qénérai il n 'y a que trois ordres en aT'ehiteeture „f„.„l
..•idérer le Ib.re-an- pomme im /fo/'ique simplifié, et te Composi/c, comme- un Corinthien, qui est le résultat, du caprice des innovateurs qui,ou/„ ;•/>/ i7 /> •„,.•
renchérir sur 1er Crées. „ /Vous /oisons voir par latujnc de division de hauteur en 3s parties, cette partie- étant considérée ce/uni. • /,- 1,i,i,/u/.- ùi
• • 'cita-, le Toscan le Uorique et f/oniqu nt les •lutines, cor/une on te voit par h /,,,,,. .„• \ \_ &B
prop, r i
" p/'eiperhens n
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CC.'-; c'est à dù'e. que pour ces trois ordres le piédestal à le % de la colonne et l'entailement le fy , iln'p a que pou/' tes ordres t'orir //«», , ,•/ .•„„,,„•-
site que Fiqnole a eru devoir' cha/iqer cette proportion, tout en eonsernant à léntahlemcnt le '4 de la hauteur de la iWennr, / / a ea-h, „,.,:,; /,-,„«/, rta/
de % de module afin de rendre ces deu.c ordres encore, plus éléqans, ce quijàit que ce piédestal au heu d'auoir 6 m. % de hauteur comnit. ,/ airw „L-
draif en suivant la u/rn/e proportion que celle indiquée pour tes trois premiers ordres, a § de module de plus ou- ^ modales en tout,-./.,•!, ,„/„•/,•.: ' ,/t-
olse eu rj partic.f pour 1er doua- prenu'ers ordres, et c/i ih* parties pour les trots der/aers .
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IEDESTAL E ï BASE TOSCANE D'APRÈS VIGNOLE PL. II.
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l.n;i».-u-ii,-
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A KiH ou wf de la colonne
C (Listel oy ceinture
H . Tore
K .Socle d e l à base
F . iieolel on ustèl
G - Talon
H Dé ou tronc
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l'IPM.
Elévation 4e
!'enUTOo]onm']iieiit
( o u , , , du
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Figi.
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Cette plancheoffre léuiitation elle-plasid'une partie d'une cotonnade Toscane, élevée sur trpis marche.? enfermant l'angle, d'tine cour intérieur*' a/i/i dt'pouvoiryindiquer
ta- coupe ait portique•-, Vmrwlr n. 'ai/ant rien trouvé dans las- cmùqiauke qui puisse servir de. h/pe à l'ordre Toscan,, s'est conformé pour cet ordre aua- rentes de I itr/we
i livre IVclia/>.Vll! oit ildit <pu> lahauteur de la eotomie 7'o.rca/ie estde sept fois son diamètre ou %$ modules, hase et eliapiteau compru*-; pour le pie.iestal et l'enta
liraient il .mit ta même rente que pour le.? autres ordres et il donne "% de la colonne nu• piédeo'fal'et '% à l'cn/aidemetd.
Pour dessiner un cn/recolonnement loscanilfaiU diviser la liait fenr totale en o parties, lo-partie supérieure serap r l'entablement, et lif quatre <wtrt\>'parties seront
pour la rtdon/ie, on divisera cer quatre parties, en /j et le '14 sera la lonaueiw du. module, on tracera efisui/e apres , •ie fait on écÀelie detae lianes perpendiculaires
distantes e/itr'elles de 6 mod. %, elles serttnt la? ua-cs des de/ta- colonnes, en-portant un module pour la lase et u 7ii//é pour le eliapiteau, il restera J2 mod.pour
le fut qui est çi/li/rdrlquc jusqu'au tiers de sa hauteur. et qui diminue progressivement ensuite jusqu'au des,- s .'t.- l'astrat/alê où il n'a plus que / m. ~ par-
tics. -\ous di'/mc/wisplus tard la diminution dm- coion/ies avec l'indication• <te tour (racé .
PORTIQUE TOSCAN' SANS PTEDESTAL D'APRES VIGNOLR. PL. V
/./,.;,,.//,/,.,' GARNIER FRERES. LIBRAIRES, 6,Bue dej Sainte Pérès, à Farùr. liibon
Pour trace*' te portique*Toscan avec-piédestal il. faut d'abord- diviser la hauteur totale- en JO parties àjales, les trois du haut aannerant lu. hauteur de, Ven.-
taldement, tes quatre du, bas celle- du-piédestal et les is paities intermédiaires ferontlposta la, hauteur de tas colonne, pour avoir le modide on divisera- comme,
pour te portique sans piédestal la, hauteur de, la. colonne, en )4 parties lu qualorsHaiepartie, sera< le, module, ensuite, en-portant les mesures uidùjuees dans te,
dessin, il sera facilede dessiner co portique ou l'on verra, que l'arcade, a, encore en-hauteur le, double de,sa, laraeur, quelque les mesurps indiquées par oiqnole
pour l'épaisseur despiedrdroits leur donne-une bonne proportion oiv sera cependant libre de les modifier suivant le besoi/c- et- en 7&r calculant de manière a, leur
faire, supporter sans pub hr le-poids dont ils pourraient être charqés, on remarquera, aussi que, dans ce portique les colonnes se trouvent- enjajees d un tiers
de leur diamètre^ •
COUPES DES PORTIQUES TOSCANS AVEC ET SANS PIÉDESTAL,
PL. VII
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a 9 G 3 indule*
Jfoits avons Blinda nue des coupes faites <rw tes ases des arcades toscanes avec oa sans piédestal ainsi, que pour les autres ordres,- serment utiles aux élevés, pour
leur faire comprendre- ee que. l'on entend'par le mot evupe et pour cette raison nous répéterons- ces- coupes pour chacun des cinq ordresr pour faire-' le- dessin
d'une, coupe-, il faut toujours se- servir des mêmes Hauteurs que donnent l'élévation, et en, portant les profondeurs données par le plan- sur la l/y/w de base,
on, élèvera, des lianes perpendiculaires qui arrêtées aiiec. lianes correspondantes en élévation, formeront le dessin, de la coupe indiquant le dessous des porti-
ques, qui peiweni être, en-plafond, au, en, voûte, comme- nous le faisons rwir par nos deux dessins, ondevra en- cela se conformer a la, con^ftraction- et, au£C
matériaux que l'on-ad employer, l'ordre toscan, étojit simple-, il sera-bien, de traiter ces portioues avec &- même- simplicité-
'TRACÉ DE L'OMBRE DE LA BASE TOSCANE DE VIGNOLE PL.via
Protection- Verticale
f~ ' 1
Elévation;
.. .. _.
Projection horizontale
Pour obtenu-l ombre de la base toscane il. faut J? couper cette base, par des plans verticaux paraHelles aie rayon de lumière, leur tracé sera, indiqué en projection ko-
n\onlahuf par les lignes i. s•..?. 4.0 .6. ?Sdans notrejiqiu-c, 2 ^qui sont t/\zeees â, £â?'parraàeUemenl au,nujonde ht/mère, 2"pour obtenir les intersection.? de ces
a
plans avec la bare il font encore couper cettebase'par des plans hortkontaœc ab.e.d.e. fcomme on les voà'dans la, fiqurc )f ouils sont représentés par les lùjnes
horizontales aa'bb & &.... et quirabattus sur le plan•jiqure; 2"^donneront îles cercles1', pour obtenu ces cercles il faut abaisser de tout, te.r peints ouïes horizon-
taies aa'.bb,d\. coupent le profl de ta. base des perpendiculairesJusqu a la rencontre dzl diamètre A B et la distance de rtuicim- de ces points au centre- donnera tes
divers rayons de ces cercles, pour- avoir le tracé de ces seelions^en élévation il suffira d'élever de chaque point ou, les plans verticaux coupent les cercles en plans
des perpendiculaires^
•1 dieu ta1 jusqu'à leur trace correspondante en projection verticale ce'que donnera, des points qui en. faisant jyasser des courbes par chacun d eux donnera le
trace de la section Exempte prenant ta section 3 et, élevant des perpendiculaires par tous tes points de reneenu'-e <}• h.ik.lm on aura la •urbe de section m. th.b.i
1 A-J-.1 en projection verticale, apantjb.it cette opération pou/- chaque section il suffira pour avoir l'ombre du tore eu- mener des tanqêntes parrallétes au rayon de
lumière, cil p/ojeetwn verticale à toutes ces différentes ellipses, et faisant ensuite, passer mut courbe par les points de lanqetiles on aura l'ombre propre du. tore, l'oi/ibn'
du fut el du filet se trouve indiquée par les deux sections S. et iï qui rencontre le fit et le filet aux points il et a et en élevant p>erpendicuJuùeme/it ees> points on
aura en. projection verticale tes deua- liqncs nn- a 0'. quisont les ombres du fil et dit filet, on obtiendra de 'même t'ombre du fit sur te ca/iqéet du fiel sur le
tore en. élevant des points de rencontre des'soclions Set 6des perpendiculaires'fitsqu a leurs traces correspondantes en projection verticale, ce qui donnera des points par
lesquels vous fère; .passer des Wurbes quiscront le*? ombres cherchées'
FRACE DE L'OMBRE DU CHAPITEAU TOSCAN DE VECUOEE. PL. IX
Fig. i.
Elcvolion
Lut
I !tf
tLevetl de.!. GâHNiJfiH. GREBES "LIBBALKES. 6. rue de<v Samtt fères,àjbrîs. tin-su.
On se sert du même-précédé e/np'loj/é pour ta base pour obtenir les ombres du-chapiteau, c'&rt à dire. cn.se .fermant de sections obtenues par une suite de
plans coupant? le chapiteau suivant le parraïïèlisme du rayon de lumière-, ayant fait le tracé Je foutes ces seetùm«r on mènera peur les ombres propres du
guart de rond et de la--baguette- de l'as/ragafe de* tangentes aux camées obtenues les points de tangente serviront pour /aire passer des courbes quiseront tes
ombres •4>rps,po, •tes ombres partes parle tailù hapdea. • des lignes à jâ? a partir du point de seelion du tailloir_ juayu '.
fa rencontre du profil de la même section, e.eer.p/e. du point d au point e et en /auront la même opératiot. ""•••<• /<*•'<•-1outré* .tv< fHmém Jt-' />.><«/„•
pur L'squels an fera passer des courbes qut serant les ombres portée*- demandées.
ETUDE DES OMBRES DE L'ARCADE TOSCANE AVEC PIEDESTAL PL.X.
Four tracer les ombres portées de, l'arœide 7bsctme avec piédestal, ilfyi^ de tou,r lai- pointe déplaît qui peuvent-porter ombre-, tnaeerges iyrû
vous arrêterez, au-plan- ou,les ombrer doive/ilse-pro/eter, élever,ces pointe perpendùzuùiirementi ptsçu'à- lareneonbe- des ligne* à-fà•" térées- des
points en élévation/ces divers pointe oatemio- donneront le. tracé des ombres, neus re/ivoi/ons dureste l'élève àJiuitraite'd'on ivre-pats completpowob-
te/u'r In•démonstration- des différents mm/ens employés pour le tracé, le cadre- trop restreint que- nous avons adopté-nenoaspermettant pas de démon-
trer fna.t/iéfnaJtque/nent-, & qui est entièrement du domaine de la-géométi/e descriptive.
11 TRACE ET ETUDE .DES FRONTONS DE L'ORDRE TOSCAN
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J.A.LeveiïJel. 7 S " " . _ _ _ Moonsc-.
\ Itivpnaporiwn desjruritons est^i^énêral assez, difficile- à établir, car leur hauteur varie dans les monument aaàftiûf, suivant Vitruve il faut, diriger ta lon-
'•queurtotale*entre, 1er deuxjc$imaise<? ou, dernièresrnouiure de, la, condcfie- en- y parties dont une servira pour ?a. hauteur du. û/nipa/i-, ee^B-pinopor&on,es£-6tm^
\nepour les tetnples.tfrees, qui-ont, ordûiajjv^ne/itdesjr^ontons très las, nous pensons comme fâqnole- que le, moyen, donné par Jèrlio estpréferaole pourles
-yfrantofïs'des ordres 2'oscan et ûorique, et nous l'avons adoptéJfia. J'^J i/ consiste-à••tracer uncercle•• AB C dû-pointe conune eejïtre, et-àd'endroit'on, cecercle
r
\coupe-/aperpendiculaire, J> C quicrt le milieu du fronùrn,, tracer de ce point C un autre cercle,avec le rayon A qid viendra couper cettemet?icperpehdnM;-
lairc aupoûit E oui sera- le..sommet dujronfon, noua- pensons une le trace des moulures du fro/Uon se comprendra-parftiiteî?ient,par les fanes a opé-
ration indiquées sur ce dessin , la/ia, ?'?''représente leprofïl, la fia. 3n."'la coupe, M fia. 4"."-''indique le raccord du. quart de- /•ondras/qyant avec le qiuirt
de rond, horliLomal ainsi que- celui de la. hoquette, noixsjèrons remarquer que le quart-de rond'rampant, est le, seul mcmùre de, niaulurc dont la- ftautenr cfianue
ÙWS les avtr&r sont entièrement éqaua- en fauteur d ceu.e horizontaux, le quart de rond, hacid dans la /i.7 4"."' est'/a.firme, exacte de cette nwufure. dsa rencon-
tra OU sommet dit fivnton suivant la liane C E , Nous sntmst làitve/r danslaflq. .'i™eie raccord du quart de rond et de la hoquette dans un fronton ca-euiatre, t&ens
ce ces la proportion qénérafe du Iranien ne varie pat, c'est toujours le même moyen à employer seulement, les moulures circulaire se tracent du.point C que nous
12 EXEMPLE D'UNPORTipiE D'ORDRE TOSCAN COURONNE PAR UN FRONTON, PL. XII.
it.^-t.Leveff, dcl.
.-Nous donnons ictpour complément de l'ordre 2'oscan, un- exemple, dJun. portique, couronne'par un.-frcntim,, ce portiqùefiniféloniesrègles étahhes parFurimepour
les temples Foscans, a. été, remis cependant selonles proportions et les mesurées ohnnées pan Jiqnolc, an peut l'employer dans- des entrées de vestibules.demonu-
ments simples, tels que*mairies, morcliés, corps de'partie tV. &?'Ze,fro7ito7Latoufours la. même-hauteur que>da/is les détails domiés dans uz-pùmclieprécédente,,
étant tou/ows détermùté par le quart de> cercle, ABC, etpar l azuré portu7n^du>e^-e7e,A.EA\ qui en^pjse la, hau&ur azcpomtTL /selon le 77ioyenûvziaèpar.<erlio/.
nous avoiuc cru devoir surmonter le fronton d'une, statue siw uinuheiL et dedéuasariffîns aw•ont/les, onpeutvarier cette, décoration, suû>ii/it les atlriiuts relati/s au
monument où l'on trotn>erail # fizire, emploi de, ce portique, .
D
13 PIEDES'CAL ET BÀSii DE L'ORDRE DORIQUE D'APRES VjCNOLE. l XH!
M !1
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Fir.2.
o
Coupe du piédestal et d e l à
b a s e de l'ordre Dorique .
Fiff.5.
O
Profil du piédestaS et de ïa base
de l ' o r d r e Dorique ,
Kg.4-
Plan de la base âe l'ordre
Dorique .
t. Pià/ton on baguette .
JD Plandéscaraielure» d e l à
eolonne .
Smdd./l'
^on^ t>eut
^ ^ ^faire
^ ^ ^ko-^ ^ ^ ^ ^canrveluïej-pluspiv/i
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ uées il/âut. fFiq.E.ijo/nJrc les points h e.paj , perpendiculairea-d.tr* •ledei
Fio-.2em<?
zzz_s;
~> M •> M
Fir.le
ÏE- Z3SZ3EÎ7
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F]g2': Coufc de
l'ciit.-iW.oineiit et';
i o cliapiteau
à e l W d r e aorique
Mutulaire.
Itynoie dit que- cette-mitre-partie de l'ordre dorique, e-it. uit seconde.remplc tiré dcsdiversfiftqmens des antiquités romaines. CetentutilemesUnc diffère
duprccéiieitt que par /es rmttutes oit. nuiilil/niis décorés de qoutte.r qui supportent le- larmier et. lai-eAùrtwc qui a demi- fiieesan lieu d'iuie . Cet ordre est
d'iiii-ciirtictèreplussévère que le defiticidiiire, La-l*™Planelic qui suivra celle ci,i/idiquera d'une inanièrt•précise-lesplansdeslarmiers denticidairc-et-tuitùi-
ullrc^a/in de compléterpurlailement l'ordrc/dorùfuc twus enqaeeons particiilièrenient les élever à bien étudiereelordrc car c'est celui qui est le puis en
applicat^taju' déni les constructions privées que dan*r les constructions me minier telles .
16 PLAFOND DES CORNICHES DORIQUES D'APRÈS VIGNOLE PL. XVI.
ooo le triglyplie.
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Qo'a.iieynndi
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v . / / w , v / ,•/;>/. GAHEIER. FRERES. LIBRAIRES. (?. ra? des Saints Térej; à-J'aris
(etie planche est le complément desdea.v entablements dorique .dettliettlaire et maiuùiire . la grandeur de nos planches ne nous ayant pas permis d'y
placer eesdeu.v plafonds ou soffites, nous enaaaeons les élèves à les bien esasnwer, leurs ù'aeés étant d'une grande complication . J oits yauonsjoinfo-
le plan des triçli/phes, et devers peMesJlaures indiquant la forrn e des qoutics sous les larmiers et dans l'architrave .
17 ENTRECOLONNEMENT DORIQUE D MUTES VTGNQLE. PL, XVII.
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l.top. 1 J n . y j IMOll i:
„[,.m.™„-ul j nuul. i .
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Biban /(-'dp.
Jll.an-it <f,~7 ^
ta eolonne-.au- bienen
/ il faut diviser ta hauteur en • '> partie.'-, dont une sera peur l'etttaé /entent. et les 4 attires pour
J)e même aue-pour i'enù-ecolonacment él/i
dûtes et donner - modales entre lespietù- droits pour la larqeMr, de- l'a/
àoparif,dont
npan . «ont une une sera
,em le te module
moatue ;, porter
po, , d'axe
-, « - en
~ tz.ce
— d&e - colonnes te mo o-^pl,,,-et le,nutopes et l«re*J.,au~ en hauteur
e«de,el.%medule,au.cJ,ted,.d,o,l,.de celle muutére. on ol.ltetulm uneyn., le dm,.,ten p, t, ,/./ I . ,u, lu. eaUlle^
y j , '- de module deplu.eque ,on demi diamètre. ,t/m aue ta-oattuc-
dc^jbi.rsa/.uyeilr.no.t.tdeoonojàirroboerocrnue la retenue <"•">•«" " ' ^ , , «fiu.d.e.ulerr,e,>
de,,mpo,,c,-au, e,t au,,l d '-ê de module ne députe point lu a.oil.e de <„ colonne ..e nu, di / P
J tt tttte et au nalat r /'amese a Aome • .
le,colonne,ne,„ie,Uenlamée,parte,unpo,te,.comme»,, laja,l au théâtre de .'1er,,., . . .
PORTIQUE DORIQUE AVEC PIEDESTAL D ' APRES VIGNOLE -L,XIX.
:-VV.L^-^-^-.- :_.•_•_..1 ..;'._::;;j^j-:r^ :;;/;_;_r; . - ."~:~::J. ..— •;- ;•;.. "":.•;"" :v ; :_ .. ' . ^ r r
Mirai i -7
;ÈÏ
-
_J.-u-ffe«pdeIareadeioiiiiid-.
Ze portu/ne dorique avec piédestal pcitt être emp logé-pour la décoration des portes de mîtes: des entrées de.- grands hôtels H en, gâté,^ toutes lesgrandes eu-
rcrtaresHa-uii style d'architecture il laJ'ois léger ctj'erme .on remorquer,, que les eoluAnessont dans ce/te ordonnance-.presque accessoires et décoratioe.i. I
à cause de-leur qrand espacement • U faut dit Viffnole. si l'on l'eut êtetrerun portique ou une toge décorée d un ordre dorique unee do- piédesttuuc Diviser
J
la hauteur totalcpn25parties'".\ et de l'une d'elles, en- faire te module.. donner eusuite-so/nodules éi la, dis fanes dl un, pied, droit, à l'autre.el .ïmodales à chaque
pied-droit.. ces mesures..-ont n'ecessaa-es pour avoir dans l entablement une juste distribution destrigtgpAtxreldesméUpes.'ci tertsode aura: par ccmoj/e/ipiste en
proportion le double de lu largeur en boutcurqui est 20 modules, malgré la cote de s. m . JJ que nous avons indiquée dan,-notre dessin pour l'rpuissrur des pii,U -
droits cette mesure n'oit rester au choi.v de l'architecte ,/ui emploi:' cette ordonnance . /cspieds-droits dorant avoir une épaisseur proportionnée
ÛM, poids qu ils ont a soutenir.
20 COUPES DES PORTIQUES DORIQUES AVEC ET SANS PIEDESTAL PL. XX.
J-AJsveÛ- .tel
Jette,tonnons iei tomme rtolt.r luvonsfiai pour C.rrdre Tes,;,,, /,:.• eo„/„,. ,/,,.- tteu.e perlir/UCS di.ritjues.ee.r deu^portu/ues sont ..o,,„enl employé.,pour les
,;•-• de-ri,,,lissée ,/e ,,,,„,.ts édifiées ,/s sont siiseeptit'tesdei-eeet.oir une dèeor.ition solide et .révère re.rl .te eel ordre ,p,e .,oiit/ernù*rplusieurs ours de.
palais él Rome . entre nuire., te ré: ,1e eliiiti.rsée :/u pnlai.e Faenèse, nous nom,., indiqué dons .elle /•loiielu- te portique sans pie.te.rt.it et eetui o eepté -
ile.rl.,1 „„,..; ,/ite de,,.,- manières ,te eon.rlrutre te..- uoute... la coupe, du portique sans piédestal a.ranqee de relie manière peut ..émir éi dè.u •ep de..
intérieur., de eottr. eette itn panliqtte .ll.ee piédestal disposée ainsipeut .retuu-é, tu Jéeer.tlion des qi,unis oeslil'ules
21 OMBRE DE LA BiVSE DOBIOUE. PL.XXI.
Le tracé de l'omet e de la &<u-e dom/ue art le mcme que celât de la luise Toscane . Vert fan/ours par U moyen de sec/,
en plan,sccl.on.c oui .,-ont composées en plu.e de celtes .le In /-ose toscane,du pro/ïl d'une fiaaaette soustejltel, r renvoi/on.'' donc pourl'e.
pticatio/i iln tracé de celle ci,al la planche aai doiuie l'ombre de la l-asc toscane .
22 OMBRE DU CHAPITEAU DORIQUE, ULxxn
•••
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'1
h-HH- -»—h
Pn ;j
II/aill'employer /e même moyen que pour loi"d/v Toscan pour le ir&êdû't'ambre de l'arcade Panique; nous avons deplus indiquédons l'arcade• Horiçnc /me Vie al in de don-
ner le t/xtcé de cette ombre, pour l'obtenir, il faut mener par le centre 0 du cercle oui forme la nielle, une liane à ju>? gui rencontre les detùr cotés de ce cercle endetta- point.?, \
et lï, perpendiculairement à cette ligne e/ par A'centre de la méfie on mène une liane O C qui rencontre une _^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^ie
liane \ l\ pa/allêle à A F> an point C, qui {'entre
" d'iui e
de de même diamètre que la niche,puis du point I> corn/ne centre avec le cm/on D E —•*-—-
•lé-vif un arc de'- cercle.j'usgu'à
~ . „ . / * ,:..~..'A la
/ , rencontre
„ „ / delà
(./,/,>,„„
ligne FpDn( jn oui est elle même paral-
lèle à AU - puis parlepoint K on élevé uneperpendiculaire à V G gui/•eut onlre/vi la ligne IH au point 1 .'/ en /oignantles points I et M, par une droite, celte liane gui Gft la diago-
nale d'un cube dont le coté égale if rayon de la niche &?tenméme temps la direction du rapon de liutuère dan,,'le plan rabattu. aj/a/U'fiiitcette premier*'opération, ii'fàitl'abaisserlepoint A sur
la ligne V 0 en plan, en A" puùepar ce point mener une ligne a 4$? XIV gui /encontre le cercle du plan de la/uWw au point fï'. élever par ce point tuic perpendiculaire gui rencontrera
taligne A B delëtévationaupoinl M, ce point ovra un des points de Cambre par ce point M, mener un/- ligue parallèle à. O C jusgu'àla rencontre du ce/tle du plan rabattu au
point _\ .joindre les points S et C par une droite cette droite sera le tracé de t'ombre sur la sphère de la mène em rabattement, onp/end/\i maintenant des points quelconques, aJ>.e
piu* lesquelles onj"era passer des lignes à jô'fparallèle àA Jî, abaissant ensuite des pe/pendicutaire^ àlatignelU gin ta rc..~,>/urero/itauaipoùifs a',b', c'etpar ces points en me/tant des
parallèles au/rnpm de lumière? 1 \) ces lignes coupe/vnl la ligne d'o/nbte X C , ana-points a",b"c "quiserontdan,? ce plan la reprtitentalien des ombres portées par lespointsa. b.c.
danslaspAère de fa nietie, pour ootejur cespeint? en élévation dsul/ll de mener par ces points, a" b~ e" des pa/allèles a 0 C. jusqu'à la rencontre des lignes tracées à jv? par les
points a.b.c, de l'élévation, la rencontre de ces lignes do/uiera des points de l'ombre enjàisa/if passer une courbe /HW ces points, cette cotu-be .rcra la portion de l'ombre, dela nidie
jusqu 'au puni M ,onfrra rcmargifcr que celle courbe est une portion d'ellipse . l'our obtenir le reste de ta courbe guijôrme l'ombre, on prendra d'auû-es points,d,c.//iir
larquebr on mènera de nouvelles lignes à -lit'* on pro/c/lcra ensuite ces points sur la ligne !' 0 en plan au.e points d.'c'/'par ces /winls p/y/eltés on mènera des parallèles à
A'B' /u,?qu'à bl reneant/v du cercle indiqua/il en plan lejbnd de la nielie,par ces points de rencontre sur le cercle on élèvera des perpendiculaires quieotqie/'ontles lignes
à faamenées des points correspondants en élévation, ces points de section, donneronl les demle/t? point? de la serande partie de la courbe de l'ombre, cette dernière• cour-
be e,?/à double eo/mbure, puisqu'elle provient de la rencontre de data- cylindres .
24 TRACE ET ÉTUDE DES FRONTONS DE L'ORDRE DORIQUE PL, XXIV.
.t.ALwttM
. Vous avons employé /e même mût/en que noms avons indiqué pour les frontons toscans l'inspection de cette plane/te suffira au,c élèves pour bien compwn-
dre le tracé des mou/iwes rampantes. lu fia, t'?'représente lej'ronton du Dorique denlieulai/v, les fùfares 2 ",e et 3"?* font voir le /neeorddes moulurer ram-
pantes avec tes moulures droites et t'ùidication de laponne du eaoet au sommetda^ fronton, on• /vmj/yunxique le mw/'TWtipenfa une petitepartie lionzontale trufil
est impossitde de ne pas auoir pour le raccord complet aoec le cttvetdroitla fàf.. j,mereprésente /efronton tûi Ikwiuuc muiillaire. les/iqures ,•"."' et 6'".ie t'ndt^
quenf te raccord des moulures rampantes ai'ee les moutures fioriaoniafes ainsi que la ferme e.eaelc de la doueine au sommet du fronton •
25 PIEDESTAL ET BASE DE L'ORDBE IONIQUE D'USES VISNOIE
GAKNTER FPjir Fo. LIERA] SES. 6. rue. dus Saints Pères, a. Pari..
l'anùv l&nûfue. oaatpeparsafîrmr <•/•<•<; Je,.wusu>n /,- mtùeu mire le Dorique ,/i/tvprr.rettir.
réf. la H»ve e/ l.i jvfciïùê, et le Û» tfat f.<-t le à/pe
f*éeaaa&> et Je t.: riJt&tje.îe aeùt st'épuré Je*grée* avait A**w Jim ùtteemêdiaûv en&v <&œ d&tùmef, l'un J "aedaimanee ^ . . f w , et IhuûTe pht,t saette plus paie ••;
plu.,- .n>Me.
ùe piédestal Iemique que nous ,l»miet!.>- Jan.%- eetle planche a le tiers Je fa hauteur Je fa eelenve. c esl a Jlre. S modales, s&l empâtement el sa. aaetùahf ont eliacti.t '/v mmlttlf fie
Imutenr. le Je-, a S modules Je hauteur. les Jet,.,- filets ,-*,*{»ts. la fias* fae mm* Jonn..,,.- est relie Je tlanele, nous- damtereu* plu.* tain l'exemple A la fias* alliée <fue le.- au -
tien* empùapiient. elle a un axiale Je hauteur, MUtf,9 caaua-euJre te listel ,.<. n m t o v . lejni .le le «Jeune est .-eue Je W emaehuvs Jemi-e.re.daurs ,psi se termiueat cartMeat
,i In twir.ra/ue Jn nxtaè. la tumeur Je la rote Je ta catmetmv <; atr.*. Je limaeràt/v ,le ,-e//e e.mnel.-.re.
25 TRACES DES YOLBIES DU CHAPITEAU DE L'ORBPE IONIQUE D'ÂPRES VIC-NOLE PL. XXVI.
1
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•pelant tetie ffv/ti/.-i::/ii.:/u tin iH'în! /: Pou-' aiuvi t'unie erlerieaiv du lirùrf dt A' iv/nte
'e enai/ue pvitil ,jiu' <t dèta servi de ivntre •"• deirim ,s riu/mr qiitirl* de ,-err/r I/IU A'mttifont
2Z CUBE DES BALUSTRES OU COUSSINETS DU CHAPITEAU DE L'ORDRE IONIQUE. PL.XXM.
tr-tt/t U^,rfr%
ihttb. pèmche donne te dekut' e&tetmœmrt dr ^ rowfcfe «5* c&ydfcau f,>niqtu- tut- m plat et en eiévat<\-n. <jti<»<?ue rwa* n adoptai* pa<> te précédé du otn*pa* pour tracer
éêrtxmrfa* d- <x-eoussinet. naiûi- aiwns tv&a eepundanl mdi<pnr Se moyen à t'aide du cempar pour tr (rare d.-a- courâ&r put en forment te contour, ii suffira de iuan
tkammef eeaep/ane/ie pourretrouver dieanetement lao poënlo de eeutre guidéterminent c/iaipv f*rtie da>- tâaœv&r courie*. nuu,-- tuw & nipêtona-, e'eet un, mm/en- aue. l'e/èue
doit ttuAferde en'tr' tor.rqu'd <re •*&*. rendu an eam/'te cotai de ta /ivvue du e/iapit<uiu lani./ue, car i/ ,;tv,t tdors /dus certain a"e tfonner dra- contours\ijrâaeua><W- counnkei,
auand dda/trtr
quand tireree ,n>n
iiir/n e.rerei' son ml et .m main â tinaxr de.r /vrtrlesr .nzns- a w w w p tv qttr ion tu-peut
/rit i-t éviter dane une courue, torvqztc, l'on n-nt la cvmpootr ta*ee un certain
la planche que natte donnons ici représente en qrand les détails de l entabh >ieni et du chapiteau, de. l'ordre lotuque-, tuiisi que les impostes
de cet ordre La figure 3, donne le détail du profil du coussinet cl de la n% tntere dont il est orne- Tûjiiole- s'est ir^rpiré pour celte ordon -
nattée du 2 ,:"3e ordre du théâtre de Jfarcellus qui, est un d&i- testes t&emples le l'antiquité, nous engageons les éléues à étudier le détail du
chapiteau afin de le comparer onec celui du temple de la fortune virile a Bot. qui. offre un esemplc remarquable pour le chapiteau d anale
qui or retourne sur les deus façades, de sorte que l'on apperçoù tou/ours les •volutes, les e/iapdeaiee Ioniques des entres arecs étant à quotité-
fâces n'offrent point cette difficulté d'arrangement que l'on voit parfaitement évitée- par l&e Bonuùn<r dans celui du temple de la fortune rrtr-ilt
que nous avons etté puis liant.
ENTRECOLONNEMENT IONIQUE D'APRES VIGNOLE PE.XXIX
mJiTTJJ^Ts^s^s
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/.enh-ecolonnement ionique se, fait de menic que. les eid/eeolonnemenU- toscans et doriques, en divisant (a hauteur totale de. l'ordre en, â parties dont les 4
inférieures forment la hauteur de la colonne on divise- eette hauteur en 18parties ce qiu donnera le module le module de cet Ordre se divise- en,dur/nul
parties eu minutes pour les diverses moulures gui composent cet ordre, on a besoin, de cette division du module en imparties à cause des moulures que sont
plus nombreuses dans cet ordre qui est beaucoup plus délicat que les deux ordres précédents, il s'emploie ordinairement dans les intérieurs à cause de
son èléaance eu extérieurement dans tes seconds éinqes des édifices, tes aju-iens l'ont employé dans divers temples u/i bel exemple de colle ordre se
voit à llonu ait temple de la Fortune virile.
JQ PORTIQUE IONIQUE SANS PIEDESTAL D'APRES VIGNOLï PL XXX.
/ / ' portique Ionique que donne lin no te est une réminiscence des portiques du théâtre de, Mareellus et de l'Amphithéâtre* J-'lauien 'dit te iohseo, tes
hauteurs sont les menus que, celles de l'cntreee-lenncment. les colonnes ne sont point renflées, et les ai-ondes ont ton/ours le double de leui-farqettr.tes
piédroits nt-trois modules de lœrqeur, I arcade à S modules i entre les piédroits ci les colonnes sont cnqa.pêes de *'J de module- dons le piédroit .
On peut •etservir avec anantaqe du portique ionique dans les seconds êfaqcs des cours de- palais où de monuments publics qui réclame —
ratent un décoration assa: ornée . les élèves feront bien de serercer ou dessin de ce portique . à cause, de- la difficulté qu'ils éprouveront pour le
lessin des volutes en petit .
PORTIQUE I03S1 J3 EEHSTAL D'APIËS PL. XXXI.
././ leaeit del - ' GARMER FRF.RKS, LJBRAIR-ÏIS /'•". ru* --fw .tentePêr*s. à, J'iris.
Pouf i/i'.i:<v/t,v- te. portique latuque- iédarta/., 1/ faut dmurer «7 /uiulenr l«Utfe en 3$ partie* .-/ demies ou modulas, /* piédestal ayant ou.
•ne , „/,..,le /ir Imye,
lin nul,Je..- A nonteun. le Jene Je /„ colonne enivre. J reste,;, por c o ^ u c i . J. m*/ult* ' ; • / w , , - 1 , honleo, Je len,„6/emeM .eelon lo re,,/e .„l„,;ee,
de., /,„J,o,l., toi Je-ç modules eo ,„. le „.,,, ,„le .el,eee Je.r.r,,, le nnle ,/e I ,,.-,«.le e.,l Je „ ,„oJ,Je.r el /., /„„„.„,•,/,• X, - le,le „,J„„n„ne, e.rl„e
.:,,„,.»//.•/, elanl rl„lJl el,y„„,le J.m.e lee; /.«me.,- ,,,ie .elle Je.e Je. • eJej,,-- Jeot le ,w„„le,
* ce;
el la ..;J,JJ.:
I, ,or.
Mie, t : -* t L
././ /.wv/./v'
V„„., ,/,;i,u>„., ,m„.r cette planche for autp&r de* deux partiales avec ,* JIWJ- piéakr&i/ ,/,- .' ordre fanîeue ,isu., penmar qae l„n. ,w,u,
menl „„ ,;•/„• , / , „ , . , /„•• ,/.:,:.;>,.•• »/, pre/rl.. dareAUetfiav /,:•• fi,,,,,/,:,- , , „ , ; • /••• pnetier intérieure.* ./ ,,„ menmaenl (>,, „,„! daiu pi,,. •{,•• il Italie </ttc/tjiit->
ETUDE D'OMBRE DE LA BASE DE L'ORDRE, IONIQUE
t*ticm horizontal
.ifodole
; i i ' i i -
r.A..'. f GARNIES. FRERES, LLBRA1BE5, b\ rue Set tkirt& tenir, âJkrzt fliA*.
4 YMJ donnons ici eneere une étude do- ombres d'une base loniqtw., sur laquelle, après avoir dessine fer ombres propres de ses di/'/e'rens membres
en élévation, il convient de déterminer ensjtûe les ombres portées successivement par les tintâtes de ees courbes, ou par les arêtes inférieures de cha -
eu/t des membres, sur celui qui le supporte immédiatement.
Pour cela il faut encore employer la méthode des tranelies verticales connue A.W.sur chacune desquelles les tanqentcs pa/allcles a la direction de
la lumière donneront les limites des ombres propres des surfaces convexes, et les sécantes, celles des ombres portées sur les surfaces cweaves.
ETUDE D'OMBRE DU CHAPITEAU DE L'ORDRE IONIQUE PL.XXX1V.
Proj^>-lioii h o r i z o n t a l e
Cè/te- planche a pour objet de déterminer les ombres CÙL càapûeaic Jomque- va dc^/àcc, a/ut. d'obtenir les ombres de la volute surle/iu de la. adonne et' sur les membres
circulaires du- Chapiteau. .
Pour déterminer cette ombre cl a./aun. d'abord, diviser le plan da coussinet en. un certain, nombre de tranebes m,, n.parallèles a. lajàce de la. volute et obtenir en-
suite dans l'e'/eioatian les courbes m "m ni "qui sont, les p.-o/eedo/i.r veracules de ces iranc/ies, indiquer sur ce* pro/éettonr les points f t l de tanqe/zee ois rapeur
de lumière et les abaisser ensuite sur le plein.
JCœprimer sur fe barulean de la volute en plan une su.de ,le poinLr a. b c. d. e . ce-rrcsponda/ij-a cens pruicipanj--de son élévation
.Alors, menant- en plan par tous ce-r points, sur le^fiit et les autres membres les rayons a a, fib. Sr . . tt, (t "&.-.. et leurs correspondons ihde/ints en élévation,
U, ne re-rlera- plus gu-d déterminer les longueurs de ces dernières, pour tracer par leurs eslremite. •• les limites- de l ombre cberdiee
ETUDE D'OMBRE DU CHAPITEAU DE L'ORDRE IONIQUE VU DE PROFIL PL. XXXV
1 M 1 I I I I 1 i
Celte planche représenteui. face, latérale d'un chapiteau ionique avec des études relatives a lombre portée par le coiui'smet sur le fui de- ÙL
colonne ,
Comme les lentilles de cette ombre- portée se compose de Cexpression des harideaa.v de la volute et de la eemture, ainsi, que de lombre propre
du coussinet il a fallu tracer séparément les courbes des bandeaux, pour obtenir en plan, les prop'cliorw lu>ri\ontales et en élévation les projecltonte
verticales de leurs principaux points ainsi que ceux de l'ombre propre ah coussinet comme il est indique par des chiffres, léxéculte/i de cette
étude est d'ailleurs la même que celle de télude précédente.
36 TEMPLE DE LA fOKTOÏE VIRILE A M l PL .ATOL
J-.A-Uwa.M-
ffî&iw dûjtrwrhr camrne/complément de t'ordreloruque; un/exemple d'un., temple/bâti•'•par Ie& itomaùw, quù le- dédièrent/d Icijhrtune -virile,
f'eJ't lepliur bel exemple-- de cet ordre gui /wu.i-soit resté aussi- complet. J/ous avens cru/devoir- à'placer sous lesi/eux-, des-élèves quù commencent,
a/m de les enqaqer dès leur début dans l'art de l'architecture, à/7ie/janiaù' s'écarter des bonnes traditions, et ai se/ bœn,pénétrer- des beautés- d&
Z'amimtitê; qui seules peuvent les/aire devenir par la-suite, de<rce//en.i- architectes.
37 PIEDESTAL ET BASE DE VORDRE COBUTHIM D'APRES VI&IOLE PL. 2XXVII.
'^j^^&-t:&'Â^ivM'j)z-&z&zj^^
Rjr 3' Fi e . 3e
U.LevcU, det GARNIER. FRERES LIBRAIRES 6. rue. de.? Smnij- J>éres,a Faru.
Semodule de- cet ardre.- se.divise comme- celui de l'ordre,Ionique en,18 parties ou, minutes, c'est-pour cet ordre que Kgnolejàit une exceptio,n, a, sa, règle- •
générale, qtie le piédestal doit toujours avoir le, Yâ delà, hauteur de la, colonne, celle mesure serait- d'uneproportion, trop pesante pour cet ordre- qui,est,
le, plus sveUe de totu ï conseille donc de lui donner 7 modules de hauteur, de cette Jàçorv le dé- du, pieaertaLJornie deux, carrés superposés, on, pourrait.
qudqaefoùr élever la. plinthe- de,Ja,basc du, piédestal et au. lieu, de- quatre parties lui avdonner huit-, - l a , base-de la, œlonne est, celle doiméc par Hanole,
les anciensn/ ont, bien,Miment substitué la. base appelée attujue- dont les moulures sont d'une, plus belle proportion,.
TRACE DU CïïAPIïEAU CORINTHIEN î'APEES V M O L E . PL XXXVÎÏÏ
J-l.LevciLdd. «"»*•
Joce, le-plan, et le profil que, noue dormons du. chapiteau, corinthien, on,peut &V evnnaitiw toutes les mesures, les largeurs s obtiennent-par le- plan,,
en^aJsaJiL un, quarrédont la. diagonale, a.. 4 modules, et au, moyen, d'un, triangle, eguUatèrab, construit sur chacun des cotes de, ce,quatre on, obtiens.
dra, aux. points H H H H les centres des courbes de l'abaque, llans le profil,, après avoir marqué- la, hauteur desjèuilles, des eauàcoles et de l abaque,
on, détermine, leur saillie par une- ligne, tirée, delà, pointe de l'abaquejiisqrLÙ la, baguette de l'astragale, de la, colonne comme on peut le voir sur le dessin
du, profil,.
Le chapiteau corinthien-est ar/ié de deux rangs dejéuilles de même ftauêsur et disposée?de manière que le milieu, de letJèuiUe dit dessus se troia?e entre
les âstœ inférieiwes comme ou peut le- voir par le plan, entre ccScs du, dessus naissent Jes eaulieoles. d'où, partent les volutes qiû terrninent-œ chapiteau,; sur les
volutes est posé l'abaque- qui est composé de trou membres, la cymaise, fahstel et la-Jàee de l'abaque. T-ïgnole donne au chapiteau corinthien 2 modides JS de haut.
dont 3 /nodules pour la hauteur du vase et 6parties pour l'abaque, toutes les autres mesures, sont du reste indiquées sur notre planche, et en la considérant
avec attention,, on pourra trési /tièdement- la comprendre .
39 DETAILS BIT Ï0D1IL0Ï BBS IMPOSTES ET AECHMHES BE L'OBERE COSfflTfflEï-, PL, XXXIX
Profil du Modillon.
râpe du : .ModiU-ôn
12 q
+ . i i
Rebelle du Hodiîlo:
mjjjjujjjLWj^WAWAH
—~
J-A-leveU/deL: GAFFER TKERES. LIBRA1BES, 6, rue de.f Stmttr Pères. àParis. Kibmvsc-
Nous donnons dans^ce'de•• planche.' letracé- du/modUlorvde la/ cornicfie/ dé' l'ordre- corinthien/avec- les impostes et- archivolte*? des portiques avecet/sans .
: piédestal— Ce- tracé du, modillon est/ indiqué- de-7naniére/ à/pouvoirjaire-toutes- les courbes par le/ mai/cri- dtf compas, nous engageons dw reste à/ne se ser.
•vir de-cette- méthode, que dans le-commencement- des études de l'architecture, et, lorsque hl maùt, n-'est pas habituée,- à décrire' des courbes à- ui/paanes, ce-
tracé au compas ne donnant- et ne devant'donner que, des courbes cassées à chaque point de- raccord et- non- une/ courbe- continue.
ENTABLEMENT ET CHAPITEAU DE L'OEDEE COBfflTHIM DATEES VTOTOLE PL, I L
y JLTiioif.i5}ï.
mmmmmm mmmm
ÏÏlévettwii de t entablement
et du. chapiteau e&. I ordre
corinthien,.
Coupe- de lentaolement,
et du chapiteau- île l ordre
corinthien'.
Coupe • de l'Entablement
I i /ILW^I del. ËA.RP'I.ER. FRERES, LIB.RAIRE3, ffr rut. d&rvJaàiiiJ'cr/ii; à-Pans- ïïihon, *c.
Pour faire cette- e/Ureeolonncment corinthien, an, omise, la. hauleitr totale en, 25 parties, dont une sera.- U> module,, qui, se, divise aussi en^iâ partiti-
on, minutes comme dans l'ordre- Ionique-. La, tarant': entre les colonne* &r't Jhrée-par Fignole, a_,-£ nwduie, l/2i afin d'accorder la, dùoid'ion, des nwdil-
tûw dtuw la- corniche, de, manière- au'd- s'en trouve lou/ours un,- sur lasse de- chaque, colonne,.
La, magnificence, de cet ordre l'emportant de beaucoup sur tous les autres; t'a, pour cette, raison^fàit réserver pour lar arands monuments tetr que
Los IcJitpfes et 1er palais.
43 PORTIQUE CQBIFIHIEI SAIS PIEDESTAI BAPBES VIGÏTOLE PL.XÏÏIL
i#ys€!Cï:Ê'ït:
Entraxe. 12 modules . —
...Lar-o-Kur d<? l'arcade 9 mod.
~t
ZA. levât fùtt-. MtAan, ./-<•-
Lee eœpUcatwns données pour la, planche, précédente? noua- dispensent de- les répéter ieis les proportions de-Monteur eta.rU/ toujours les mènes, les chdrv.
.cernentseul- s'opérant sur les largeurs à, causa- de/l'arcade/ qidsa- tg modules de- largeur ce> qui -obliges àavoir xs modulée- entre-ko- aœes de- cluigue
colonne/, un, trouve en exécutions peusd'eœemples de-portiques c&rùifâœns sans piédestaujy. Noua- aigageons dus reste à niemphyer œttes décorations
qu'avecsiui- soubassementquelconques sous Tournasse-' du. pilier, afin, de, ne,par placer positivement,siu- le, sol la. 3as& de l'ordre corinthien-, qiu étant formée;
de moulures légères- coitrrerait,grand risque d'être.• ai'iniée entrés feu de•/temps.
44 'PORTIQUE COPJÏÏTÏÏIEÏ AVEC PIEDESTAL D'APBÈS VI&IOLE PL.XL1V.
i—I—!—i—1-
s 4 o 6 7
j:A.iœe&M: .GAKHEEK FKEP.ES. LIBRAIBES.5. / ^ ifer SamtsTér&r àParis ' JEb*,+c.
finir fiarc le-portique œrcnihicti- avec piédeainl ïlfautdu?i<ferla,}matevT totale<, en, as parties âantsunt.-sera/lesrncdide-, donner 12 modules à- las
largeur 'ii' L'arcade, et làmûtfade& d'axe- en asee- de chaque- colonne.-, et-quatre- modale*? aua> pilhenr.
fr portique, est le- seul ain.ri que- ceàd de i ardre, compo.ntc- où Viqnole- .sert de la m&ntr&jwrte, de l'arcade- qid- doit avoir en, hauteur ùydouble de-
là larqeur, œ su 'il fait pour rendre- cette, ordonnance, plus légère- et plus o-oclle, etemnri pour donner phts de- hauteur à tiL-dpfafm.de. lasrendrv plus
utile _ On a un bel exempte- de ce portique-au- monument antique de l'Jmphithèaire fbxnerh à.- Rome-- appelle 'èalgau-emen.O le cotisées.
COUPE DES PORTIQUES CORINTHIENS AVEC ET SANS PIEDESTAL, PL, XIV,
jKnu donnons dam' celle planche la emtpe des deux jwrliaues corinthiens, afin de bieajàùv conipiwthv l'agencement de l'intérieur avec t"extérieur*.
On-710 peut-déterminer l'èp/uiisseurdwpilier d'une nuinière éuucte-, cette,'mesure {levant e'tr-e déterminé» comme nous lavons de/a dit par le po/d,r anus
doutent supporte/'. On retmm/ueiti nue l'on tte doit em/doi/er cet ordre et celle décoration -.que dans les monumens d'une grande ùnportdnee et dzrts les
e'/a//e,r s'it/*érienr:r.
46 iTUUES T'OMBRES TU YASE M CHAPITEAU COEINTHIffl E l D ' i l ffiOEIOÏ A . I f f i l L M S . H , ÏTYL
2a/taure. lere'ed1t l'étude? d&f orribj'&r propres du, kaïloir- ou/abaque^ d'un chapiteau,- ibf-ùttAien, eu-ceUtup a&r ombres portées par ce; tailloir ciznf
pan» oxt--otLfey. £'eatf>en.•• étudiant-, pur usie suite- des tranctieer verticale*?, a. h.,paralèffes à la direction' de la lumière', leffet de ces rayons >rur cnoeunede/j-Gf iran~
elles, que l'on, parviendra d la. déterfninati/?nj de. ce,? ombr&f. \'
la figure 2e?t*est VeapresJ-ion-jjénerale- dediom&re.de' lacarnicÀe'modillontiire déan-ironton,; dans laquelle toutes les lignes a,'l>.c'd aoioetUi'efre• é^a/etp aux-rai/ontr
étiwenta/res, a b. éd.
47 ETÏÏBES D'OMBBES DU CHAPITEAU ET TU MODILLOI M L'OIDEE CQPifflTHIM, PE.XLVII.
l'icr. 2
«XX \
Pour déterminer l''omh-e- du,chapiteau, Corintluen U finit étudier broiement- L'ombre-de,cJuteuns de<r ornement duy cbapiteau, ûrrinthien. afin, d'arri&er à leur.
wnnaérsanee éœate-, et- e'est d'après de ùrlles études que-nous sommes" parvenus à dessiner notr& figure J^~e Nous- répéterons ces que notis OPOUJ- de/a dit
oite-le/cadre-de-notre. traité élémentaire étantstrop restreint, nous ne-pouvions entrer dans de- si grandir détails.
Za/jtqure•- 2e?,e~ est une étude particulière^ de l'ombreportée sur la frire, par un des madtHans de fa carnie/ie ûirinthienne,.
.48 EXEMPLE DE L'ORDRE CORfflTHIEI. TEMPLE D'ABTOÏOT ET EflJSTIHE A ROME. PL.XEVI1L
m
i 2 3 4 5 6 ;'fl 9 : i.
ffous donnons comme é.vemple et pour complément de l'ordre wrtnûum le pùm et la/à^ule du Templed'jfntonin et Fiuistine à lionw, le temple,
comme- presque tous cetur- de Rome est en nuirt/re, il- po.rséde une fiise ornée de nri/foiis d une rtwe Iteaute comme .n'uiphtiY monumentale . Mono'
enijaqeons les élèves à mesu/v t/u 'ils avanceront- dans le,? êhtde<? de l'architecture à luen étudier les monuments antiques et en comparer
les diverses proportion*?, afin d'en petasmrjœre par la .mite de bonne* applications da/hr les monuments modernes.
PIEDESTAL El BASE DE L'ORDRE COMPOSITE L'APBES VIGNOLE PL..X1JX
Bg.ï.
Elévation du piédestal et de U
base de i ordre (Wtfxi-rite.
&g.3.
iïmpe du. piédestal H Je la
arbre de l oriùv. composite •
Bg.5.
Profil dit piédestal et de
hase de l'ordre compostir
Le piédestal et la hase de l'ordre campante, conseroe le.r mêmes proportion.? que retuv de t ordre corinthien, il ne d/f/ere que par tes moulurer de la cimaise
rf de l'empâtement. __ Quoique, liqnole n'ait pas orné le.r diverses moulures qui composent œ piédestal, il neJôuJ- pas rryatder rein comme une rèqfe. /'et ordre
qui participe du ionique et du corinthien a été employé itttsis l'atliùfutiê pour un qratut junnhre de monunieus.
TRACE PI] CHAPITEAU COMPOSITE D'AERES VICïOLE PL.I
,/.J./,fi/?i7 fiel-.
Le tracé du r&apàam eompo,dle eat le même que relm emploie pour le rlmfdtœu. 'eflrmduou, la ,retde différence >••'/ duu.r le ehailtfenwtt de,r i-,du/e.e qui ,vonl de.r.rmet.
,{aih> cet ordre Je la même manière que relier de l ionique, le.r atiewhr floMaàw, en empriuifmil une fktfiie de l tonique e! une po/iie du turmtfuefl, en /neuf
un compose, pour ivnmr <i lu /o/.r antmti de herutle que po.r.alde en lin .l'eul ordre.
ENTABLEMENT ET CHAÏTTEAÏÏ DE E ORME COMPOSITE D'APRES YKNOLE PL. LIi
J. .t. Uvcil det. GARN3ER. FRÈRES. LIBRAIRES .S, jm &* Saàia-.Fdœr. a. Paru- frbou *».
('fi- ordre composite dit l'tonole est tire principalement pour l'entablement et. le cfitunteau, île dwers motatnten.r des antiquités romaines, appliquées
et réduites ans proportions de l ordre corinlhie/i Fujmde <•• est écarté de la rèale adoptée peur tous ces attires ordres, dans le composite., eth ne faisant pas
correspondre une denlicule an dessus dit chapiteau, celte disposition n'étant pas commandée par des modelions comme dans l'onlre corinthien, et ces or-
nemens n'étant tm.>' d'une dwitnswn assex ijrande pourvue i'a-il puisse s'apperceooir de celte irr&ftdarité.
PROJECTION HORIZONTALE DU PLAÏOND COMPOSITE, PL, LU,
Coupe de 1 e n t a b l e m e n t
WhfiïfhifnfnTithfn:fiï^^
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.KatrrooliHineflienl 4 HMMI—XÏS
JUi
L 7T—_2 mod. i4 p—
parues 18. y
1—r
,r_t.IwàltU. GARNIER FRERES. LIHH ATRE5. é. Jiœ des Jouit* Jèrns. dJhrzs &&&i «c -
Quoique Fignole, n ait peu- juge convenable de donner les dessins de l 'entrecolonnement et des portiaues cvmpos-ites. nous avons cru nécessaire de
les mettre sous les yeus aes élèves, four dessiner cet entrecotoruiement, il flud employa' te même moyen <jue- celui dont on sesl de/a serai pour l'ordre
corinthien, en ayant mùl toutefois de renfler les colonnes d'une demie partie de module au tiers de leur fut et de les faire diminuer progressivement
jtùPftw sous l'aslnupilc .
POETIQUE COMPOSITE SANS PIEDESTAL' D'APBIS YIGNOLE. EL. LU.
u^j^_njuiJiJuiJUiJUiJiJU^
Ce. portique dont les proportions sonV cdunr du. même- portique corinthien^ o~e dessine* dc-~même,, en, dœuunt la, hauteur totale en o parties
celle du. haut pour l'ental^lernent, et le,r quatre du bas- pour la. colonne*, ùx largeur de l'arcade &rt de- neuf rrwdid&r et- la, htuiteitc de tS. lu
larqeur des pieds- droits est de J modules.
PORTIQUE COMPOSITE AVEC HIÏÏE8T1 1 D'APRES TOÏÛLE, PI, LV,
j^JLTJiiJLfLr. g F ^ L j ^ f : J L O J L r L J U L f L j l J U L A ^ ^
Mm* renvoyons encore pour le-dessin/du portique- composite avec- pied&rtal, d ieœplicalion- que nous avons donnée pour le même portique corinthien.
Ce portique peut élre employé dan* desgaleries, des -vestibiiics de premier* étapes, dans des grandes salle*, partout enfin on l'on voudra décorer
• arrhiteduraletnent et apec une grande richesse .
COTJïïS DES PORTIOUES COMPOSITES Mm ET SMS PIEDESTAL PI.LT1
J. A. leeetL del
Comme complément. des portiques composites et. suivant' l'&rdrc que nou\? avons adapté, nous don/ions les coupes des deiuc portùjucs compo-
siteà- avec et- salis piédestal',. et de;plus des indications de la- manière donl on peut relier ces portétpies avec* des galènes intérieures.
57 ARC DE TRAJAS A BESEVEÎJT, PL.LVIL
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Echelle l e l'clcvidj.
TtoiM- tloniious dans cette planelie-, connuecompliment, el comme étcctnpte de lot-tire composite, te dessin de tare éleue ti 'Ira/an . dans ta tutti-
dé Bénéoeni- cet arc qui pai* sa, sculpture, sa, disposition, et l ensemble de son arrliiUctuee, <t beaucoup tte rapport avec optât t/e Titus a Home, peut
./àire/uqer tte ta manières, tloitt. les anciens employaient l'ordre composite; ttuotau il ne/iti jamais empht/e dans Iknlioiule atte pour tes momunetts
tiali/s ei triotuptiaus', soit, à cause dit manque de sévérité- et de qi-atuià'se, une possède l'ordre t-oriiitjiien, /tiiisqiie cet ordre, nés! à onu dire,
tf tic l'union des- den.r attires, ionique et corinthien, on peut cependant l'employer tttttts Itetntcoitp tte clrcoiistiuiees, el pour tes nianimiefkt qui n'esi-
t/eni pas- une 1res tintuide sèoerUè,.
58 TEMPLE DE TESTA A ROME. PL. LVI1I.
Echelle do PI*
.lA-lamtdd. SAKSIER JPRERES, UBP.AIJtFS, fi, rue. des <&ùr&J&ier, à.Part\r. . Hibou « .
N'ayant justpi a présent iudùpié t'arijutretiu-e que sous un seul point Je vite, é'eH a 'lire, çit en ne/àisanl connaître que les monuments reetilîynea, nom- avons
voulu donner dans cette planche, un exemple des monument-r circulaires/ Wthf regrettons que le peu. détendue de notre trm'td d'arehiteclitre ne nous permette par
défaire connaître plusieurs de ces monuments, nous ainms choisi, pour exemple, le Temple, imlaaiiement connu sous le nonv de /esta a Rome, quoique la plupart
des antiquaires reconnaissent positivement, dans ees restes le Temple d'Heivulr vainqueur ce Temple e.rf p e r i p t è r e , il est élevé sur un, soubassement de dirqra -
dins ou marelies, et est entouré d'un portique de ttiuqt ivlonnes, cannelées, d'ordre- (briulluen, qui se rapfwoelie par son sù/le de lorchv /prc.
59 CHAPITEAU ET BASE'COMPOSITE D'APRES L'ANTIQUE PL. LDL
1
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Base c o n s e r v é e a u Musée du V a t i c a n .
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Rm., cette planche. nous donnons » , » un. autre e.vemple de tordre compo.'Ue, pou,-faire. juger du goiù des anciens dans leur sculpture areluleelurole .
te chapileau a été ù-euvé dans les, rouilles frites ai pied du capitale., et appartenait au portique qui entourait le.r Ce 11re des .lieu, du conseil, la 6„.rc au..;,;
composite, est décorée dormmeus dons toute.,- ses moulures, elle est canseroée d Home, dam,- le Muser du lotira,,. _ 1)après ces divers e.cemple.,- 1 c/cue peut se
conmi,ore, une sorti des moins du professeur, II doit, tout en o/,se,-„a,d les reqtes du bon goût et de tort, tasser au travail de „•„,, ,,c„ie. le soin d en/imter
de nouvelles créations, puisque les plus beau.,- monuments qui nom- restent de lantiqmlé ne ..ont dus qui,,, caprice des ,m-/ule,tes „,„ les ont élevés, car
il.,- iqneraicnt entièrement les moyens indiqués par Ifqnole. de diviser les colonnes, en un certain nombre de diaméln:.; ,1 est cependant „écessu„-e d haUtu»
1rs ,,,,-„.,- des commeneunte pue des rrqlesJ ires cl muuriables, ,i des formes et des dispositions d'un style plu; coereel cl uqré.Mc
MANIERE DE GALBES. LES COLOffiBS D'APRES VL&NOlk- - PL l'L
ht diminution ou galbe dar colonnes se fîiït de plusieurs iiainiéres. nous avons donne dans cette planche le.r deux çue fignole mpirde comme 1rs meilleures _ lï.«l*î* Agiut
détermine lu hauteur et lu grosseur de In colonne et ùi quantité dont on veal qu file diminue depuis le '3j'usqu au haut on décrit art demi renie à Vendrait ou elle commence a diminuer, si un
danse, en autant de partie* que l'on ,»-ul, l'arc qui est compris entre les-tréauté du diamètre de la <vtonne et la perpendiculaire 6. 6 tirée du haut du [lit .au- le diamètre; an vttetage en.mife le..- S*
de la colonne en autant de partie.* aptles que ion a divisé l'art; puis la rencontre des tiques perpendiculaires avec le.r transversales déterminent, ta diminution, comme on le voit dan.e la figuir
le galbe de ralentie peut servir pour le Tosatn et le Dorique •
Fiç -ir""' hpial préparé la colonne comme donc la ftqure t"'fr an doit tirer au v.7 inférieur du fit une ligne indéfinie, qui commence au point £.'. el passe par U point If-paôe,
reportant la mesure l',J> à partir du point (', elle viendra couper la cathèle de la adonne au point li. on prolongera cette ligne f 'BJusqu'à ce ça 'elle rencontre la ligne hon*.anf*ie au
point A, d'où l'an tirera autant de lignes que l'an voudra*, ces lignes couperont l'ai» de ta colonne en autant de- points di/férens; reportant la mesuré r.V, aussi bien au de.esus qu'au
dessont- du ''H de la colonne, sur chacune de ces tiques prolongées au delà de l'axe vers la circonférence, an obtiendra la limite du contour cherché tètte dernière -métJwde de diminution
peut être appliquée aux colonnes Ioniques, Corinthiennes et tomposi&zr.
Fia- 3 e ? * huint dessiné ces colonnes droites, si nous iioule-. en fàiiv des torses-, ranime celles qui sont dans l'église de es Pierre de Rame, vous devrejaire le plan comme vaar
le vouer. ' le petit recelé du milieu, marque de combien on veut que la colonne soit torse, nous divisez ce petit cercle en S parties égales, pour élever de ces points de division 4 lignes
parallèles à la eatAète, et partageant la colonne en £â parties égales, vausjitrmeré^ votre spirale, du- nulieul qui ,eera le centre de ta colonne, a ce rentre- voua- rappatterex la grosseur car.
respandante delà colonne droite, ligne pour ligne, comme m le voit dn/ur la figure- de dais seulement-vous avertir que les quatre nandires i.2.d. 4. marquer dans le-.dessin, ne serveiti que peur
la moitié de la première circonvolution en montant, parretnw ce.?! du centre qu'il faut commencer cette première moiUée. itjàut suivre pour tout le reste la circon/è'rence du petit cercle .
bannis la dernière moitié de etrèonvatutum d'en haut, ou il fuit aussi se sentir de 4- autres- points intérietws au petit cercle, comme on la dé/a pratique pour le- bas- du fiit.
61 ENTABLEMENT .DE COUR.OÏIMMMT D'APRES- VIG-NOLE, PL: LXI
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3.4 p - —
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dj.lmil M. «•»»«.
/;•«- eornirtie de, mwonnrmenl: de la rorupasitioa île l/ipwle. eut d une fini belle, proportion,, elle fient à la /Air. du. amntkœa et div Dorique, el ranime
l'assure fnpiole, elle est d'un liel aspect ai esseution, sa proportion anee faut le reste de (r/tirade, est telle, nue la hailteiu- totale se danse m oiae parties,
dont mie art pour la anividke el le.r dis autres pour la /àcaJe, ou en voit, un bel ésempU! ail /allais llonelli ,'t Home .
62 PORTE M I S LE STYLE TOSCAN" 1) ÂPEES VIGHOLE, PL, LXLL
.1 i.ïewil dd. GARWER FRERES. LIRRATBE3. 6,Bue- des Sainis réms, àFarhf ï/ïSon^.
Cette porte est appelles rustique 'parceque les parement tk pierre- sont en bossages puju&r, et dordre Toscan ptirc&pt'eùe est couronnée d un entablement de cet
ordre. Poiu- dessùœr cette porte, iljtiut diviser Ut hauteur totale en. 3 partie.? dont 2 sont pour la hauteur de l'ouverture, et d'autre pour la partie comprise depuùr
le dessous de la plate Invuie, /tuyau au dessuw.de la corniche, en reportant- une- de- ces J parties de chaque* coté de l a,re de la porte on détermine la lar-
geur totale, puûf en subdivisant en deux cJtaque. partiej- çu on vient de- pointer, on obtient la largeur dej- jambages et ceUe tir la ban?.
I. appareil des pierres est tellement- combine, qu'elles peuvent s'entre-soutenir sans au on ait besoin de mortier pour les relever enùe elles, quelle
que soit la grandeur de la porte.
G3 POETE DU PALAIS DE LA CHANCELLERIE D'APSES VEGBOLE. PL , LXLU
;•••••:•• H h-
J^EêMtùM. n. Hilmi.r.-.
La porte de la, choiuxllerie, dont f'ufnole donne, tel le dessin, ne fut pas èseeatée. Fignole. I avait composée pour /émaner ce palais, dont Bramante avait efe
Udrefittecte. __ La proportion de celte porte, est relie de deu.r marée superposés r'eat à -dire, qu'elle a en haitteiw le double de sa largeur, le chambranle est.
d"etwiron. un huitième de l'ouverture, et nuée le filet qui forme la •faillie de la crosselfe il en a erunron le siriénieI 1er cola/mes ont jO module.r V.'f de haut',
ou u? modules compris le socle, l'entablement a le quart de la hauteur de la colonne et la balustrade; composée de luut Imhtslres et de deiur moitiés de ha -
l/firlee.r, a environ le cinquième de la hauteur de lu colonne.
64 PORTE D'ENTREE DIT M A T S DE &APRMOLE D'APRES 7EG-ÏÏOLE. •PL.LXftf.
J.A. leoeil ,M. GABHER FRERES. UBBMBE3. b. rue des Samtr Pères, a Paris - S » " " - «-<
Cette forte eséetitee par l%piole, il l'entrée du Palais du lardinaf Farnèse à Capixnale, est disposée /le manière- à. faire avant corps sus- la, façade,
d'environ un module île saillie, 1er pilastres .raid masques par i3pterr&r de rvfènd, qui ne laissent appel ceaou- que les l'oses et les aliapileaas de ee*
pdastrw; qui ont Iwil dutmèti-es de hauteur, h' ehf'et delta- twu.r,raûs de l'arcade, pénètrent dans l'entablement qui est orne de trûjh/phee et de nui -
tules. et qui <t te quart de ta hauteur de la colonne,, un aifique qui sert d'appui' au premier elaqe, et où sont places le.r armes du caidùud Farnèse,
termine le coiiroiuiemeid de relie parte _ l'arrade, a en hauteur, deu.r/àts sa larqeur, et e.ri fermée dans la partie ei/itreepar une espère de herse
65 PORTE'D'ENTREE DE L'EG-LISE S ' LAURENT ffl D.fllASO D'APRES VIGTOLE, PL, LSA
J.A^Letuti. de!
Cette portepeut être appelle*! corinthienne. pwsauc les moului-es <pu composent cette perte appartterui&tf à l'ardre fhrint/tien, ains-i <pi<> les modifions dont
l,i corniche est ornée, la hauteur <le la baie est du double de on lo/yeur. les censoles jvrzvnt e supporter h corniche et ô la consolider, lo; prise est bombée et
peut receuoir de lu sculpture de très peu de relief, nous avons placé dans l'ouverture de la lune le détail en grand dr la corniche, rote suivant une eclu-llc de
modules détermines, en donnant J modules de iartjeiir <i cette porte.
66 PORTE DU SALOIT DU PALAIS IMNESE D'APffiS ÏÏGNOLE. PL, I X
UUUUULMMMJinjJJ^^^ fi F F F
" . - • :
*-',J
UMJlAMiULJlJlJUiAJUUUiiL^
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% V,//s,jjrss/>///s/;ss,
5 pied;?
ù'tfe fenêtre or/ts le rex -de -ehaussee dit palais de Ltiprarole, OYZ laie, a di-ux carrée de- proportion, et won. chambranle, a yp de l ouverture.
la- tablette d'appui est supportée- par deux- contrôles liss&r, qui posent dans une petite retraite, pratiquée daiur le soubassement qui va en pente
le.'fronton &rt décrit comme, h précédent.
69 mimm MIQÏÏI DÏÏ PALAIS DE CAPBARÛIE r AIRES VIG-MM. PL. "J,\U
La,fenêtre, que/ nous donnons ici, est située, au, premier êtaqt au, dessus- de la fenêtre dorique' que, nous avons donnée dans la- planche, prece -
dente, clic a de même en hauteur, Jeux four sa, laracur: le, chambranle avec, le contre chambranle., a le tiers de la largeur Je h baie ; au des.ru.
de-la corniche-, est un aiustement qia, renqtlit le cintre de ~f arcade.
70 PORTE D'ENTREE DES JARDINS FARNESE D'APRES VIGNOLE. PL.13X.
CROISEES .
£«.- demi, cintre , Un, œdde bevuj'• Carra, en, me^^nine.
,/.• ,ma(>ii.':iVHLcrl
hcp.ya.
'
V
"! 1
>rles et Croisées
à/chambranle, d cort>i,-h,- à chambranle <
"34
de mitte-t'./ .irdiiuu
Kff. iS FHT:I6.
d^.ZetreU, del*
JHottf avons cherché à. réunir dans cette planche; les diverses proportions- ei-Jormcs, des- portes, arcades cl fenêtres, il est t je crois inutile d ea>~
pUauer les inoyens d'obtenir ces différentes proportiorve, d'autre part, notre teste, trop restreint, nous empêchant det faire de trop longues explications,
l'élève pourras facilement, les reconnaître en étudiant cette plandie atlefitivementy•
PARALLELE H BALUSTRADES D APBES VLGMLE PL.LXffl,
J-À. Leoetl dd GâKMER FBEBES. LïBRAJBES.é'. A M des Saint.' Pères à Paris. &c6aa - v .
four terminer notre traité d'ardiitecuae., nous avons cru devoir donner un parallèle de htdustrades, d'après Fùqnvle. — La balustrade n'est autre chose qu'an
appui ou accoudoir: _sa hauteur, a toujours un peu plus ou un peu moins Je âvzr pieds ou tut mètre-, elle doit être élevée, sur un socle su/fisiuU, pour de-
qaqersa base de lu saillie de la corniche qui en au'Jieraii, en perspective, lu majeure partie, les piédestaux qui servent d'arrêt au.r halustres, dûment eue sanpfa
ou rû lies, et toujours en rapport avec les ordres qui les supportent. _2Z ne {nul pas cunjondre la hilusti-ade avec l"ait/que, puisque celui-ci, n'est presque fou -
jours, au iui piédestal continu, qiu coanm/ie un ordre, comme on le ooit duns les urcs île f/vumphe.