Vous êtes sur la page 1sur 5

Juxhin Çela – European University of Tirana / Albania 2012

Sujet: L'homme en relation avec l'être, l'existence et la liberté.

I. Introduction

Dans la Critique de la raison pure, Kant avait mit en évidence les conditions générales subjectif
de chaque expérience et de toute science. Maintenant, Heidegger cherche chez Dasein les
conditions de toute recherche pour la vérité comme une enquête sur l’être de ce qui est. Puisque
ici semble qu’est Dasein lui-même qui est mit en question, d’autre part Heidegger développe une
sorte d’analyse réflexive d’activité transcendant, selon laquelle la question de la vérité ne peut
pas être introduite d’une façon authentique, tandis que Dasein qui a élevé cette question,
gagnant la conscience « de l’être pour sa mort » pour son projet e l’anxiété, a effectue une
rupture de la situation tactique dans laquelle il se trouve et il s’est orienté vers l’existence.

La vérité est ce qui convient, soit question ou proposition. Alors que le vraie et le réel
signifient la conformité dans un double sens. D'une part, la cohérence (l'Accord) la question de
ce qui était auparavant assumé et d’autre part se conformer à ce qui est dit dans l'énoncé qui se
rapporte à cette question. La définition ci-dessus est habituellement soumise avec la formule:
“veritas est adaequatio intellectus ad rem”, (la vérité est l'adéquation de l'intellect à l'objet).
Cependant, la vérité visualise de cette façon, ou autrement, la vérité proposée est de nouveau
possible uniquement sur la base de la vérité matérielle “adaequatia rei ad intellectuc” (la
pertinence de la propriété à l'intellect)

“Veritas si adaequatia rei ad intellectum” ne signifie pas le dernier concept transcendante


soulevé par Kant, sur les fondements principaux de la subjectivité humaine que les «objets»
allaient conformément à notre connaissance. Par ailleurs, il signifie croyance théologique
chrétienne qui, en termes de ce qu'elle est si elle est, une question, comme créé (ens creatum)
existe aussi loin que ce qu'il atteigne entre eux correspondent à l'idée que nous visualisons
(divinus intellectus), ca veut dire dans l'esprit de Dieu et, par conséquent cette idée, en ce sens est
«vraie». D'autre part, aussi intellectus humanus est un ens creatum, donc quelque chose créé
comme la capacité d'un homme donné par Dieu, il pourrait satisfaire sans aucun doute son idée,
mais cependant bien intentionnés lui-même peut atteindre les mesurer d’être soulevée par la
réalisation de l'idée dans ses propositions à sa correspondance qui est pensée sur la question, ce
qui devrait être en conformité avec l'idée. Si tous les êtres sont «créés», alors la possibilité de la
vérité de la connaissance humaine est basée sur le fait que la question et l'idée (précisément pour
cette raison et à cause de la même manière) vont convenir entre eux sur la base de l'unité du plan
divin de la création.
Ainsi, Veritas comme adaptation de l'article (créer) sur l'intellect (le divin) garantie veritas quant
à l'adaptation de l’intellect humain vers l’élément. Par conséquent, partout, signifie
essentiellement Veritas, l'avènement de l'homme en soi (comme créé) dans un accord avec le
créateur, une «corde» en lien avec la manière dont ils sont définis par la règle de la création.

La liberté est l'essence de la vérité qui peut être effectuée sur quel que soit acte, et donc l'acte
d'une détermination présenté, soit ce dernier compatible ou non avec un "vrai", l’acteur doit
nécessairement être libre, alors se pose la question: comment il faut penser a l'essence de la
liberté? Ce qui est réellement ouverte, quand une énoncé présenté correspond correct et
précisément l’être ouvert à l'existence même d'une posture ouverte. Et c'est seulement cela, la
liberté pour ce qui est ouvert dans une aire ouverte permet aux humains à être ceux qui sont à
l'origine de la liberté de se poser comme une cession des êtres à eux-mêmes.
Nous avons en fait toujours sans comprendre, non seulement sur son expérience
d'avoir une base de soutien importante, l'existence (dans le sens de l'existence) de l'histoire
humaine commence dans ce moment où le penseur atteint à faire un approche altérative afin de
ne pas changer les êtres, en demandant: Quels sont les êtres?
Etre dans son ensemble se révèle ainsi comme physis, «nature» ne signifie pas encore
un domaine particulier de l'homme, en plus les êtres en soi comme un tout, et plus précisément
dans le sens de la présence lors de leur apparence. L'histoire ne commence que lorsque les êtres
eux-mêmes parviennent à rester à l'écart et de ne pas ouvrir leur maintien sur le confidentiel, et
seulement si celle-ci soit conçue sur la base de la question qui a à voir avec les êtres humains en
tant que tels.
Toutefois, si Dasein existant, qui laisse les humains à être soi-même, laisse même l'homme
libre de sa «liberté», en lui offrant selon son choix, quelque chose de possible (un humain) et
imposée sur ce quelque chose de nécessaire, alors il faut dire que ce caprice humain ne devrait
pas avoir la liberté à sa disposition. L'homme ne «possède » pas la liberté comme une
propriété. Dans le meilleur des cas c’est le contraire: la liberté, Dasein existant, inventeur, sont
ceux qui possèdent les humains, et donc à l'origine, de sorte que seulement ils parviennent à
fournir la connexion pour l'humanité, connexion d'être distinctive par moi-même et l'être
comme un tout, Il était là, alors où est fixé pour les premiers fondements de toute l'histoire. Parce
que seulement l’être existant est historique. «La Nature» n'a pas d’histoire.

Liberté, ca veut dire laisser les êtres humains à être eux-mêmes, alors apparaît comme
un accomplissement la consommation de la substance de la vérité dans le sens de l'intelligence
humaine. Cependant, (la vérité) n'est pas caractéristique de la formulation correcte qui ce joint a
un objet à partir d'un «sujet humain» et qui ont certainement des valeurs en quelque part, mais
sur quelle sphère nous le savons pas toujours. Au contraire la vérité est la découverte humaine
est celle qui se manifeste par une ouverture où tous les comportements humains et les attitudes
sont exposées dans une région ouvertes. On peut donc dire que l'homme est toujours d'une façon
le genre d'existence. Que l'homme existe (eksist) ici ne signifie pas que pour l'humanité
historique, l'histoire de ses possibilités est essentielle à la découverte de l'homme enregistré dans
son ensemble. Ainsi, que la rareté et les simples décisions de l’histoire surgissent précisément
de la manière dont l'histoire se déroule essentiellement comme l'essence originelle de la vérité.
Comme un engagement à la découverte de l'humain dans son ensemble réalise la
liberté elle-même déjà de synthétiser tous les comportements humains dans son ensemble. La
vérité selon Heidegger est la découverte et la dissimulation: donc être démontrée par quelque
chose à la lumière de ces êtres et à partir de cet être et comme étant dérivée de ces êtres, mais
dans la mesure où l’être se retire, supprimé, laissant les choses qui ne soient pas seulement pour
sa composition mais pour ce qu’ils sont. Donc ca conduit à la découverte de la vérité et du
secret. Depuis que la découverte signifie avant tout, la suppression du secret, selon Heidegger
cependant que le secret qui est arrivé à être enlevée et la vérité a été conçu comme par exemple,
qui n'est pas caché, qui est présent et disponible, l'entité peut intervenir ici librement et
arbitrairement. Eh bien comme objet manipulateur et dominant.
D’ici , on finit pas d'autre choix pour continuer à la métaphysique, donc la pensée que l’être se
sent comme quelque chose découvert par la science et la technique, les êtres peuvent faire très
bien sans elle, et intervient dans le monde comme si le monde n'était pas autre que une grande
minière à exploiter: et de là, la technologie du monde, convertit toutes les entités dans un
instrument.

II. Conclusion

Le monde selon Heidegger ne peut pas être reconnu, mais seulement peut être
compris. L'homme dans son existence réalise que le rien et l’être sont indissociablement liés. En
d'autres termes, l’homme se rend compte qu'il est une créature mortelle, dont le sort ne peut être
évité. Sa liberté d'exploiter que l'on doit endurer son sort avec courage pour combattre la mort,
respectivement, autrement compris craindre la mort. Ainsi l'homme ne peut jamais réaliser son
essence humaine, car elle est toujours donnée.
La liberté humaine est essentiellement une attitude, ouverte, et ne se couche jamais en lui-même.
Tout comportement est basé sur cette approche et prend par lui l'orientation et le développement.
Cependant, cette approche tend vers la dissimulation, dans le processus parvient à se cacher,
laissant à profiter de sa disparition, aussi oublier le mystère.

III. RÉFÉRENCES

Zhane Hersh. «Confusion philosophique." Tirana: Maison d'édition « Dituria ».


Samuel Stof (). «Philosophie, Histoire et problèmes."
Résumés des conférences prises pendant les heures de séminaires et de conférences.

Vous aimerez peut-être aussi