• L’installation et la désinstallation • Le paramétrage • La maintenance • La mise à jour • L’évolution • La sauvegarde / la restauration • La planification • La supervision • Le conseil • Le support • La veille technologique dans le périmètre technique des matériels et logiciels de type serveur, principalement les systèmes d’exploitation Note : - Le BLade permet de permet de mettre plusieurs serveurs ensemble au lieu de les mettre individuellement dans les racks - Les baies de disques : sont des armoires à disques - Dans les salles serveurs on met en place des faux planché & des faux plafonds pour cacher les câbles RAID : Le RAID (Redundant Arrays of Inexpensive Disks) est un ensemble de technique de virtualisation du stockage permettant de répartir des données sur plusieurs disques durs afin : 1. D’améliorer soit les performances 2. Soit la sécurité ou la tolérance aux pannes de l’ensemble du ou des systèmes, 3. Soit pour obtenir plus d’espace de stockage RAID 0 : l’avantage du RAID 0 est d’avoir plus d’espace de stockage mais son inconvénient est que dès qu’un des disques plantes les données ne sont plus disponibles car les données ont été réparties sur tous disques En RAID 0 : Quand la capacité de stockage des disques est homogène la taille totale des sera le nombre de disques * par la capacité unitaire d’un disque et dans le cas où la capacité des disques sont hétérogène la capacité de stockage est la capacité minimum RAID 1 (Minimum deux disques) : Dans ce cas si on sauvegarde une donnée, la donnée est copiée sur tous les disques et l’avantage est que même si on perd n-1 disque (avec n le nombre de disque) le dernier disque contiendra toujours les mêmes informations RAID 2 : N’a pas vu le jour, le projet a été un échec 1 bloc = 512 octets RAID 3 (minimum 3 disques) : Ce qui fait la particularité de ce RAID c’est que ce dans ce RAID un des disques est utilisé comme un disque de parité permettant la restauration des données des données de chaque disque en cas de perte, mais ici on ne peut perdre qu’un seul disque à la fois (le disque de parité lui- même inclus) pour pouvoir reconstituer les données. Au-delà de la perte d’un disque le système est DOWN, donc la restauration ne sera pas possible. La capacité de stockage dans le cas où les capacités de stockages sont homogènes, la capacité de stockage sera : (n-1) * C. Dans le cas où la capacité de stockage est hétérogène la capacité sera : (n-1)*Cmin RAID 4 (minimum 3 disques) : Pareil que RAID 3, mais il fonctionne en bloc de 512octets RAID 5 : ici chaque disque est à la fois un disque de stockage et même temps un disque parité, l’avantage est qu’on a beaucoup de stockage et on ne peut que perdre qu’un seul disque RAID 6 : Le RAID 6 est une évolution du RAID 5 qui accroît la sécurité en utilisant n informations redondantes au lieu d'une. Il peut donc résister à la défaillance de n disques. Les fondements mathématiques utilisés pour les informations de redondance du RAID 6 sont beaucoup plus complexes que pour le RAID 5 ; les implémentations de l'algorithme se limitent souvent à n=2 (soit la perte de 2 disques) de ce fait. Les combinaisons de RAIDs :
Histoire de GNU / Linux :
On a deux branches : RPM & DEB Ubuntu : « On n’est ce qu’on est grâce aux autres »
GNU Linux : Gestion des utilisateurs
La gestion des utilisateurs revient à faire 3 choses : la création, la modification et la suppression Création de l’utilisateur révient à créer un utilisateur et à l’ajouter dans un groupe(S’il n’est pas ajouter dans un groupe un groupe sera automatiquement crée avec comme nom de groupe le nom de son profil et il y sera ajouté Pour ajouter un utilisateur : useradd ou adduser Exemple : adduser login (par défaut : créer un groupe login, crée un dossier /home/login ) Exemple : useradd –d /dossier –g nom_groupe login Linux à besoin de 7 infos pour un user : login, groupe, répertoire de travail, user_id, groupe_id, Shell, Commentaire Pour le mdp du compte (la création ou la modification) : passwd login Pour la création d’un groupe : addgroupe ou groupeadd Pour modifier un user : usermod ou moduser Exemple : usermod –d /nouveau_repertoire login Pour modifier un groupe : modgroupe ou groupemod Exemple : modgroup nouveau_nom ancien_nom Pour supprimer un utilisateur : userdel ou deluser Exemple : Pour supprimer un groupe : delgroupe ou groupedel A chaque fois que vous ajouter un utilisateur : /etc/passwd (ce fichier contient 7 champs : login:mdp:user_id:groupeid:description:repertoire:shell) et /etc/group (Ce fichier contient : nom_groupe:groupe_id:les_membres_du_groupe Niveau de démarrage Linux à 6 niveaux de démarrage (7 mais le 4 est obsolète) Dossier : /etc/inittab Runlevel : n N = 0 : l’arret du syteme N = 1 : demarrage single-user N = 2 : demarrage normal N= 3-5 : Modes de demarrage que l’on peut se configurer N = 6 : correspond au redemarrage
Se déplacer dans l’arborescence linux chemin absolu et relatif
Les commandes courrantes
pwd : emplacement courrant cd : sans vous amène dans le dossier contenu cat : affiche le contenu d’un fichier ls : afficher le contenu d’un dossier (-a affiche tout le contenu du dossier, -l affiche des infos détaillées sur les fichiers, -la ) cp fichier destination : copier mv fichier destination : déplacer rm fichier mkdir : créer un dossier touch : créer un fichier rmdir : supprimer un répertoire vide rm –rf destination : supprimer un fichier ou répertoire Configuration réseau Les dossiers de configurations : RPM : /etc/sysconfig/network-scripts/ifcfg-eth(i) avec i £ de 0 à n-1 Contenu du fichier : ifcfg-ethi DEVICE = eth(i) ONBOOT = Yes | No IPADDR = … NETMASK = … GATEWAY = … BOOTPROTO = none | static | dhcp DEB : /etc/network/interfaces Contenu du fichier : /etc/network/interfaces iface eth0 inet static address …. Netmask … Gateway … Iface eth1 inet dhcp Pour redémarrer la carte réseau la commande est : services network restart ou {down puis start} La gestion des droits Un fichier possède 3 trois de droit : celui du propriétaire (le premier chiffre), celui des membres du groupe du propriétaire (le second chiffre) et les autres(le troisième chiffre) Les droits : ReadWriteXecute R:4;W:2;X:1; Quelques commandes cat | more | less fichier : affiche le contenu d’un fichier head : affiche les 10 premières lignes tail : affiche les 10 dernières lignes signe « superieur » : pour rediriger la sortie standard signe »» signe «read inferieur » permet de stocker le contenu d’un fichier dans une variable | : BY permet de combiner les commandes
Pour changer le nom de la machine (RPM) : /etc/sysconfig/network
nl : permet de numéroter les lignes ln : permet de créer un raccourci ex : ln -s /source /destination grep : permet de trouver une chaîne de caractère dans un fichier ex : grep [param] ‘’chaîne’’ desctination/* param : -v : inverse -r : recursive -i : ne pas tenir compte de la casse find : recherche un fichier dans l’arborescence ex : find [dossier] [-a | -o] [critères] [commande] ex : find / -name ‘’fichier.txt’’ -a cdate+3 -print sed : permet de remplacer une chaîne de caractère par une autre à l’affichage ex : sed -e ‘d/chaine1/chaine2/g’ wc -l : nombre de ligne dans un fichier wc -c : nombre de mots dans un fichier cut : permet de decouper un fichier par champ ex : cut [-d separateur_champ] -f[liste_de_champ] fichier ex : cut -d ‘’ ‘’ -f1,3 fichier.txt ex : cout -c1-10 /etc/passwd : les 10 première caractère de chaque ligne split : permet de couper un fichier en plusieurs ex : split -l 50 fichier.txt morceau awk : ex : awk -F ‘’separateur’’ [-f fichier.awk] ‘commande’ ex : awk