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Introduction

Plus de 1.200 cas de litiges banques/clients ont été traités en 2018 par le Centre marocain de médiation
bancaire (CMMB), soit un taux de croissance de 50% par rapport à 2017.

Lorsque l'arbitrage est entamé, les parties ne peuvent plus ester en justice. L’arbitre est « obligé de trancher,
comme le juge, sinon, c’est un déni de justice, qui est puni ».

Conclusion
Parmi les challenges à relever, il faudra augmenter le nombre de médiateurs. Nul besoin d’être spécialiste
pour l’être. Mais, il faut être formé et maîtriser la législation. «Il y a des techniques à acquérir». Par contre,
il n’existe aucun diplôme sanctionnant ce type de formation. Autre défi, intégrer les associations de
protection de consommateurs au processus de médiation.

En amont, il faut généraliser l’introduction de la clause de médiation dans tous les contrats. Au cas où la
clause ne figure pas dans un contrat, il faudrait que les deux parties acceptent la saisine d’un centre de
médiation.

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