Vous êtes sur la page 1sur 3

Juste Apres l’Independence a l’intérieur comme a l’extérieur nous étions fiers vraiment fier d’êtres des

algériens Pour un pays qui venait de sortir du joug du colonialisme, a cet époque la l’Algérie qui venait
de commencer son devellopement malgré un manque considérable des cadres d’expérience dans le
domaine industriel , a su produire des tracteurs, des moteurs, des moissonneuses-batteuses, des
chargeuses, des détergents, des engrais, des barrages, écoles et universités, hôpitaux, etc.) , les années
80 et 90 nous ont marques par une grave régression de l’économie nationale selon laquelle le
fournisseur étranger est tenu d’assurer une présence physique et accompagner les cadres algériens
pour la maîtrise complète du fonctionnement de l’usine, la période allant de l’année 2000 jusqu'à le 12
dec 2019 le partenaire étranger n’était qu’actionnaire et «manager» de notre propre entreprise.

les étrangers (Chinois, Japonais, Canadiens, Turcs, etc.) qui construisaient nos maisons, nos autoroutes
et réalisaient les grands projets hydrauliques, la transformation des hydrocarbures et les produits
miniers. des véhicules importés et aucune production de pièce de rechange pour la maintenance de
notre parc automobile, est-ce logique ? que savons nous faire aujourd’hui pour satisfaire ne serait-ce
que nos besoins les plus vitaux ?

Le mal est partout généralisé oui partout ! Et Pour être convaincu le mal de l’Algérie c’est nous l’être
humain. On dit que l’Algérie est un pays très riche. C’est vrai qu’il l’est, mais seulement par les
ressources naturelles de son sous-sol que le bon Dieu lui a données. nous souhaiterions que ce mal
cesse, la mission sera difficile mais pas impossible a réaliser ! la nouvelle équipe dirigeante de la
nouvelle Algérie doit travailler d’avantage pour mener a bon essieux notre cher pays, en leur souhaitant
un très bon parcours dans le cadre de leur nouvelle tache Car Il est temps de cesser d’être
indifférents, se mobiliser est une nécessité, afin d’éviter à notre cher pays de sombrer dans une
nouvelle catastrophe.

Monsieur le ministre Par la, il est nécessaire de faire un survol rapide synthétisant de manière très
concentrée le schéma de l’évolution a l’événement secteur minier par un exemple concret du savoir si
réellement avons-nous progressé ou non ? La Sonarem (Société nationale de recherche et
d’exploitation minière), créée en 1967, juste après la nationalisation des mines en 1966. — Les mines
fonctionnaient très bien en H24.

Juste Apres la création du GSE (la Gestion socialiste des entreprises), le SGT (Statut général du
travailleur) , La Sonarem, qui était vraiment opérationnelle, a été restructurée en plusieurs autres
sociétés minières autonomes : Ferphos, Enof, Enamarbre, Edemines, Enasel, ENG (granulats) et Erem.
De toutes ces sociétés, seule Ferphos a pu continuer son exercise le plus normalement que possible en
raison de la grande capacité de production des mines de fer et de phosphate qu’elles exploite.les autres
ont été dissoute.(victime des reformes),plusieurs raison

l’Erem (Entreprise nationale de recherche minière). L’Erem est la seule entreprise nationale chargée
d’entreprendre des recherches minières à caractère industriel, c’est-à-dire des activités qui consistent à
explorer le sous-sol, évaluer le potentiel minier national, découvrir et évaluer des gisements de
matières premières exploitables nécessaires au développement de l’industrie nationale. Cette
entreprise, créée en 1982, a fait fusion avec l’ONIG (Office national de l’information géologique) en 1992
pour donner naissance à l’ORGM (Office national pour la recherche géologique et minière), croyant que
cette nouvelle structure serait plus efficace pour atteindre les objectifs assignés à chacune des deux
associés. Malheureusement, cela n’a pas été le cas, car dans la loi n°98-11 du 22 août 1998 portant
orientation et programme à projection quinquennale sur la recherche et le développement
technologique 1998-2002 (voir J.O n°62 du 24 août 1998), il a été spécifié que l’ORGM sera transformé
en EPST (Etablissement public à caractère scientifique et technique).

Par cette décision, l’ORGM, héritier de l’EREM, n’a plus la vocation d’entreprendre une recherche minière
à échelle industrielle. la privant ainsi de tout ancrage juridique susceptible de lui procurer un
financement public adéquat pour entreprendre un programme de recherche minière conséquent.

La Loi minière de 2001 prévoit uniquement la création de deux agences minières (ANPM et Angcm), à
caractère administratif, non concernées par la recherche minière à caractère industriel. La mise à l’écart
de l’ORGM a été confirmée par l’ex-ministre de l’Energie et des Mines Chakib Khelil, qui, lors de
l’installation du DG de l’ORGM le 2 août 2004, a ordonné au staff dirigeant de cet organisme public de
changer de statuts et de devenir autonome. Et ainsi, les décideurs de l’époque venaient de signer l’arrêt
de mort de la recherche minière en Algérie. Entre-temps, depuis la promulgation de la Loi minière 2001
à ce jour, l’ANPM a procédé à l’adjudication des sites miniers

Parallèlement, la recherche minière était inopérante, Et c’est pour cette raison que le secteur minier
national se trouve aujourd’hui caractérisé par un déséquilibre grave, difficile à remonter sur les plans
humain, matériel et disponibilité de ressources minières exploitables.

En effet, en dehors des carrières de substances utiles, il n’y a pratiquement plus de mines dignes de ce
nom en Algérie, à l’exception des mines de fer de l’Ouenza-Boukhadra et des phosphates de Dj. Onk
exploités par Ferphos, les mines d’or de Tirek et Amesmessa exploitées par l’Enor (partenariat) et qui
sont à l’arrêt depuis près de 2 ans, ainsi que le gisement de polymétaux d’Oued Amizour (partenariat)
dont la mise en exploitation est en cours de préparation d’après ce que nous entendons. Ce qui aggrave
davantage la situation du secteur minier, c’est  le blocage de l’ORGM, qui a eu pour effet le départ des
spécialistes (géologues, géophysiciens, géochimistes, minéralogistes, etc.) expérimentés en mesure de
prendre en charge la relance de la recherche minière en Algérie.

Une grave situation due à la défaillance Il a fallu plus de 30 ans pour que les autorités chargées du
secteur minier s’aperçoivent de l’échec en rassemblant les différentes sociétés minières nationales, dont
l’ORGM, dans une nouvelle société minière, Manal Spa (à l’image de l’ex-Sonarem des années 1970 !)
créée en février 2011 voila, construit, on démolit et on reconstruit pour revenir à la case départ de 1967
! (date de création de la Sonarem). Le résultat final, malheureusement, n’est pas un développement,
mais une régression sur tous les plans : perdition du personnel technique expérimenté (ingénieurs et
techniciens dans toutes les spécialités des sciences de la terre), perte du potentiel scientifique et du
savoir-faire acquis, et comme exemple la Compression des effectifs de 2008. Et recrutement des
nouveaux en 2010 on les titularisant. Nous sommes en retard d’au moins une étape par rapport à nos
voisins en voie de développement !

Qu’on est il du secteur minier et de l’orgm ? ON ESPERE UN changement

Depuis 2007 Nous avons évolué dans un monde de La médiocrité, esprits de sectarisme, d’oppression,
d’intimidation, un système de gestion anarchique qui écoute que lui-même. Intelligence négative
,destructive ,désordre hiérarchique n’a jamais existé a l’orgm auparavant portant atteinte même à la
dignité et l’honneur du travailleur le blessant dans son état morale et physique usant de tous les moyens
et technique(harcèlement morale et rétrécissement)dans le but de le rabaisser et le faire retourner sur
ses principes et ses convictions.
Et si le malaise a pendant de longues années été silencieux il s’exprime aujourd’hui parce qu’il y’en a
marre des vengeances des rancunes les pratiques non règlementaires et destructives des ressources
humaines et le système managériales qui n’est ni en place ni de spécialité, Aucune évolution
scientifique, ni projet de développement de l’entreprise que du mal, des directions régionales anéanties
presque fermées non restructurées, des cadres a vocation scientifiques écartés des directions et
remplacer par des mécaniciens pour la première fois depuis l’histoire de la recherche minière.

Des aller et retours vers Alger (pour un paquet d’OMO, vidange, une panne machine peut durer des
mois etc…...) Des milliers d’exemples la centralisation de l’entreprise a permis aux derniers salarié de
la DG d’obtenir un poste de chargé d’étude il suffit juste d’être de la région ? Elle a permis aussi la
création des postes immérités au niveau central. Sans diplôme nommé directeur ; acheteur directeur,
mécanicien chef de dep etc…la monarchie tout est confondue entre le bien public et bien privé.

Trouvez-vous normale qu’une petite entreprise comme la notre avec cinq machines opérationnelles, un
effectifs de 420 ouvriers aux environs à sa charge un bureau d’étude pour un bilan insignifiant? Dont
les frais de l’étude dépasse les 3000000 da.

sur le plan administratif le fiasco une direction qui a du mal a distinguer entre une décision
d’affectation d’un travailleur d’un rôle de SG élu par les travailleurs ci-joint la décision) la plus parts
des employés fassent recours aux avocats dont leurs problème soulevé d’office par les juges.

Le premier responsable déclare si je n’améliore pas les salaires ma mission sera échoué … Même si
l’ex ministre vous a ordonné d’augmenter les salaires de certains travailleurs Selon vos déclarations.
Equitablement serait plus juste Sans passer par la discrimination, hors Cette augmentation ne se repose
sur aucun critère objectif.

Le mandat du comité de participation expiré en 2004 l’employeur refuse de respecter un droit de


renouvellement.

La stagnation de la carrière de l’employé diplômé depuis son recrutement (32ans)? En comparaison


avec ceux, sans diplômes qui perçoivent des salaires plus élevés….etc… Les décisions de nomination

Vous aimerez peut-être aussi