Vous êtes sur la page 1sur 15
OF THE LEVENTH INTERNATIONAL CONGRESS OF LINGUISTS BOLOGNA-FLORENCE, AUG. 28-SEPT. 2, 1972 Edited by LUIGI HEILMANN Societa editrice il Mulino Bologna 4994 77 [LBS UNIVERSAUX LINGUISTIQUES (ET LES AUTRES) Euaewo Cosansv Introduction 4, Toute lingisique admet explicsament ou implictement des, niver sux, do moins des universox dun certain ‘ype. Aine Yon se cemande quls font les phontmes (on les ons») de langue donne, gulls sont ses até foes gnimmaicales, quot sont, dans cet langue, ls types de phsses, de gucle Fogo cla chang ts cuts de ton sti, ca pa i de pnb on wns») ct des catépriss grammaeals, 1 elle pole leaves gammaial dea phase ou s-cle ext soumise au hangeeat lingustiqe, ct Ces, xpem- dat Us fae que le stucrualime modere oo, du moins, serains coarans da structudisme, en aGoptant, dass le tuition humboldvense, To peindpe — dans fun crtan sobs, prfatement valable —aton lequel toute langue doit te d6 ‘cue de son propre plat de’ we, oat i insensblement partes — cu ait, Tastes courant, universes, 8 Tintérieur dy sumone meme! — 3 ae entaer st méme 2 exapérer lr diferenoe entre les lang, as dsiment des fnalogis de stretuce msi bien fonctionnlles que matali. Dane ceraines for sme: du suuetaine Ton est méme arivé 4 voulor dine les eatéorics line sustgus fonctionseles excsivement par rapport 4 une langue donage (ef. 1, 2.2.1) em feisane abstraction de leorunivesalté. Daas ce sem fe colloque tent Dobbs Perry, N.Y. en 1961, en posnt explctement, et aut la base une au {ie remarquable de’ maséiaux pertinent, les prblemes de univenaux ct des slopes de suctre caoxéssan. des ses de sates Hngustiuss (4 7p0- logic) » argue elfevemeat, sins qu M, Osgood Ta signlé dans I cade 4 ce clogur mése®, un toumant dé dane la linguisigee moderne. Es ae ‘eal, aos dure, par rpport la sadton bloomflelienge Mais, dv point de rue de Tingusigue européenne, Yon peut asi paler an foorant at eppOrE ion spect de la tadiion sauruiene, & srveis, dune vigoureose remise en valeur dla consdéation panchroniqne des langues, dont Is posite — sat ‘our ce qi est des pracpes séoénur — erat nie pa Fedinand de Sausor ye” Depus lors, on Fest mis, dans le seweturlse mine &: ensite t surtout, ans la grammait péaraive, ila recherche d'uiveraux et en a acento pl, aussi Bin dane lx dicusione théorqoes que dans le tavall analysigue et dex az ads ce es tie nun, Cl wee ue ae les mances dintodoction la ingussgue: 1a ob Yon pret certaines sere fie de nguedifecses comme ant ruedement hecginc,Fon cea 1 nie de pemser 2 crtne rvrages de M. akon. pun ae, 8 Cos pe 389, souvent les mimes fits comme giant, dans le fond, aser semblables, voir idea tigues. Aujourdhui Yon assiste méme 2 une vie prolilérion doniverste plus fou moins fondés ou plus ou soins hyporhtiques, 2. Par conséquent, le moment est ven, nous semble, de se demandee gel est le sens, quelles sont les possbitgs et fos limite de la secherche d'un versaue et si ce nest pas, 4 plasicurs égards, une gute du Grea: précisément, d'un Grual qu'on ne troavern jamais, ou bien parce qu'il neste pat, ou bien pecce quil ne peut pas se trouver [a ob on le cherehe. 3. Le probltme des universaux linguistiques et étroitement Tié atx pro: blemes de Ia grammaire universlle, de Vappreniseage der langues et de Ia typalo- tie, mais nous ne pourrons pas traiter cer problemes ici (en es qui concetne la ‘rammaire universe, ef. pourtant n. 61). I Les wniversaux du langone 1, Te valley Myerar edayie. En effet, ce qui frappe tout d'sbord dans Jes recherches et dans les affirmations de principe concernant les universaux linguistiques, c'est que les wniversasx contatés ou proposés ne le soxt pas dane Je infme sens. Tandis que pour certains auteare les sels universux dignes de ce ‘nom et dignes d'ire cherchés sont coux gui seaient de « vitt univernaux >, 22 ‘rouvant effectivement dans toutes les langues, dastres auteurs insistent surtout sur les universaox statistiques 00 « de tendance», ou més sur dee ¢ universaux » gi, par déintion, ne peuvent pas ére commans & toutes le langues, 20. A cet égard, i faut stinguer, en premier ev, selon leat satut lo soue, cing types d'universalitéstrois primairs et deve secondaire. 2d. Les uois wypes primates sont Jes suivants: 1) Universatieé concepmelle ou univeraté en tant que posible, de ce point de vue, toutes les catégories linguistiques, méme une catégorie constatée dans une seule nngue, er méme des catégories hypothétiques qui ne soient pas fn contradiction avec la notion de langage, sont univereles, dans le eene quelles constityent des posibilités unverselles du langage: elles pourraient se présenter dang des langues qu'on ne connait pas avjourti ow dre adopiées pour des systimes linguistiques qu'on pourrait ralsoanablement ‘mnagine, 2) Université escetielle ou universalité en tant que nécecité retionnel le; dans ce sens est universelle toute propriété sppartenant ux notions de langue cet de langage ou pouvant Gre dst de ces notions en tant gue tees 3) Université en tant que généralité bistorigue (on empirigue): est Puni= our la dinain ene Tusinemalté omelet a pds hatrou, non weet Lopisimo, po 122, et « emilee enter 9) 0335, boar i dekocoe ‘pir unre ene ef is eerie cepg Soman p32. out Ie as BO Tesiomar''s Bleeurg usd Bese, 2 Ie et «Oat onigtven Gramm pp 2350, Cl aunt Se, disso Ge Say Seren een eer pcr Sees femeos maleancemey samy Ooh fest, sl Fon en sepce ey tnivennue Rance, t's cnemauy engin as invent noscursrguss (ev ues ves) 4 verslité des proprités qu'on constate effectivement dans toutes les langues du moins, dans tostes les langues comnues (et gee, dans ce dernier cas — qui ces le cas normal —, Yon aterbue pur induction uss! aux langues quon te con ‘le pas au moment'de la glocralstion). Cette géndvalics peut éxte absolue ou tative: elle est sdlative (probabite prexée), si les propriévés en cause vo con. statent, non pas dane toutes, mais seulement dans la plupart des langves connucs; toutefois, du point de wae uhéoigue, i n'y a pas de dlféence entre ces deur types (ci. 2.23.1). Par entre, Tuniveralité eventielle est toujours absolve an tives augue elle ert nécestte (cf. 3.2.2). es universaur coctespondant & ces trois eypes d'universlté, nous let ap- pelleroas, rexpectivement: universaue posibles,wniversus essentels et universaux empires’, 2.4.2. Les daux types secondsite sont dee désvations par combinsson des trois types prmaies. Lune de ces déivatons combine possblixé ee générlité, en Timitant le nombre des eéments consitutifs posibles des langues. Le fat général ( universel») serait par conséquent, dns ce cas, la classe fixe de possi, mais ‘chaque langoe présaterait un choix intéreur de cette classe, ce choix pouvant, ‘aturellement,éee en parti ientique. Dank une variante de cette déivation, on dé finie comme tele mais qui se présente asex souvent, certains cémente dela classe fixe de possbiliés se trouversicnt dans toutes les langues et setsent, par conse ‘quent de par sof généraux. L'aute désvation combine possiblite et aécessie, en sdmettant une connexion nécessaize entre certaines possibile, Le univereaux ‘comespondant & oes deux dévivations, nous les appelerons, respectivement, univer: seo cist waver pict (u len, Paced ae a tering co. ante, implication, 22.0. Revenoos a chicun des types duniversaux qu'on vient <’éablir pour ccaminer quelques problémes qui se poseat 2 leur dyad 22.1. Tous les faite consatés dans les langues — ou méne imaging pour des langues, posibles — (propritiés, fonctions, eatégoriesfonetionzlles, procédés tmatéiels) doivent, sans exception, étre consdérés tout d'abord comme des uni- versaux possibles (concepzues), cestAdite comme dee possiblirés univerelles da langage, indépendanes dune langue donnée, pour gulls soient défnissables et [pour qu'on poisse éentoelement poser le prebléme de leur univesltérationnel- Te on empirique. Cest, da reste ce qu'on fait constimment, méme si Yon ne sen aperjot pas. Ain p.cx, les extégoriesverbales sont des universaux dana ce sens, ct uniquement de c fait elles sont définssables. Contrairement & ce qu'on & sou vent alfimé', Yon ne définit per Je « substandten-anglas », Dans un sens, Te ‘tsubstantitenanglis » ne peut pas ése défini,puisqve, en tant que cacion dn ‘objet historique (Ia langse anglaise), cest A son tour un objet, et le objets ne Che sition iene de ML Rego, Up 2; ei, cao aly sce Soon, edn. sen wae de MMe {rfopad ae ants be ce yo oe gag’ so7 ey i ee pl tan at, einagcaas Sineeany cnigeacir of Sting Cage eee Pa ee Sng fen pots Kage cogs Zap Het" peri aves ot te Senate Por Sh dab dha, 2 Elin hte BA oe Eh sc nn ds vows enc de ee (a 31,33, 48 eB ator Thm bee, B. Boch tO. L Teer, Onin, pp. 6869, , danse ion mite 3 ropes dee tnochase 8 Sapo, Ue ee 5 woceo conse peavent pas éure définis, mais seulement constatés et dérits (et Yon peut, natv tellement, faire leur histoire). En voulane définie le « substantienanglais», Ton 1 fait que déctire son expression et Je comportement de cette expression. En fet, par rapport A une langue doanée, Yon peut uniquement se demander si une ‘aégorie existe ox non dans cette langue et, si clle y existe, quele est sa mani festation matésille (son comportement paredigmatique et syntagmatique)’. En alg, n'y a pas de difference logique entre, pee, la définition de Ia notion infise et celle de Ja notion de substantif: es deux socons ne peuvent étre dé finies qu'unversellemeat et indépendamment dune langue donnée. La diffrence qui ya est subsantielle, cestadize due 2 la nature différente des deux notions; Tinfe ext un procédé universe de Texpression, tandis que le substanif est une caégorie da contens, une modalité univerelle de le eignficaton, Sil ven tit as asi, pourgut le « ubstentien anglais» Vappelleraiton préisénent substan iP Diautee part, par rapport an « subrantfen anglais », Yon ne pourait pas poser Ie probléme de Tuniveralisé; on ne pourrait pas ec demandet si d'eutes Tagues (ou toutes les langues) ont le « substantitenangal », pulagve, certaine reat, elles ne peuvent pas Vavoir. On dit parels que cete posibiité ext donnée paar Ie fait quil y a rout de mée une ressomblance entre le « substanten an his», le «substenttenallemand », le « subsuantifenlatin », ete. En wéalit dans ‘cas, Ton a en we la categorie universe, cest ire les propidsés communes {qui constituent cette « ressemblance » du point de vue fonedonael. Dans un autre sens, on pourmit bien déinir une catéporie entiremeat identigue au « substan. ccoranglas 9. Dans ce cas, cependant, cecl ne serait pls le « substantifex-anglas , taais une possiblité wniverselle du langage, méme si elle ne pouvsit pas tcc constasée dans autres langues. Une ééfnition en tant que tele est toujours ‘niverselle: elle définit woe pousbilsé limite, Mais une definition univerelle limplique pas la généealieé objective de ce quelle defini, Ains, xi Ton definit ‘nlversellement Tadjecf, cack ne signife aucinement que Con attibve Tadjectt A toutes les langues, passu'ane délinion sve pas wn jgement devistence: on le ‘fint pour toate langue dans laquelle it pulse se présente. 22.2.1. A propos des universisx exsentiels dl faut insister surtout sur le fait quis sont déduits des notions mémes de langage et de langue — dans Je sens quils sont des Aéments consituls, os der consequences ttionnellemeat éeessires des ements constiutifs de ces notions — ct non pas des definitions respectives. Une définsion (sl agit d'ane definition « rélle») ext Je produit dela contemplation de la notion pore, son pas le conti, Fa outre, les défink tions sont des propesitons; elles affizment quelque chote propos de quelaue chose, elles impliquent analyse et spnthise (Balzer al. clvbens) et, de ce fait, elles peuvent dere fansses, tandis que les notions inuitives pares, non-ane Iysdes, ne peuvent pas Tete, La seule: possiblité méshodologique & cet éqard, est, par conséquent, de se places, pour ainsi dire, « devant» le notions de lan: sage ct de langue et de se demander si ele ou telle propriéeé cst un axbut écesscire des ondres de fats correspondants pour qu’on pulse leur applique: les noms de langage et de langue". (CE. pourtant 22.33. pour ce qui concerne heuristique). 1,06, ste dco de bins, «Descnacn y enero, p35 et Lago, big ty forulalons cnerane oe vpivenase spun peg constant on r9- bare re ier diitos (e@.n3) Maa Ferg, Up 48 sere arr anon ae oe Bop et mcs: Sub otvera say he uated ae sonal fey they ae oncep of tngungs, ete ln fm hs femal dfn or Bat ct is te ‘Feonralneat foot titan! saplasin’ epic the cone of engage Ri Hose, Diy p12, 4 ben va quilt Pinwgoer Heber ne pope pose i L 156 oneASeUr LoMLisTOUE (mT One Avress) St 22.22. La plupart des universax extenticls immédiatement évidents, ct partent, géaéealement admis, sont des universaur ginériques, cestdite des’ po” Drift ‘tes pinérales sans aucune spéificé en ce gui conceme let fits» qu 9 correspondent; sins, px: Te langage se présente nécessirement sout Ia forme de langoes; toute langue doit evoir expression et coment; toute langue inpliqee ‘une orgunisition grammaticale; toute langue change au cours de son histoire, ctc.®. Mais Yon peut aussi, sans doute, admette comme des universux essen ties toute une aése de fats benucoup plus spéifiques. Ainsi, p.es., il para cessaire que le mot existe dans toute langue ea tant qu'unté lee, bien qu'il ne soit aucunement nécesare quil existe partout en tant que nivers de strat ration grammatiale". I] n’est pas nécestare que la « qualité» sot distinguée di s prosts » et, par conséquent, Vadjectif n'est pas wn universe estentiel. Mais d ‘est nécessaire que, dans toute langue, quelque chose pulse Gre aflirmée de quelgne chose ef, partant, que toute langue ait des procédé pour dstinguer rheme ct theme (2 comment » ct « tople»)®. Il atest par rationnellement ncesire gu'l ‘existe pariout des pronoms\ personnels comme catigorie autonome, mals Wet néoesaire que toute langue sit capable de distinguer de quelque fagon les per tonnes du dialogue et la noxpersonne. Et Von peut soutenir aussi, avec de bor. ret raisons, la nécessité de Ia distinction entre nom et verbe, bicn entendy, en tant que dsincion entre fonction sabuatioe et fonction werbale, et non ps fen tant que distinction entre deat classes ds lexigue ® 2223. Les universax estentcle — surtout sion les considéce comme ap- perrenant aux definitions on déduits de ccllerci — peuvent, sans doute, prare ‘moins intéressants que les empiriques, da moins en ce qui conceme Is conneis saner scientifique des langues". Mais, toot dabord, on Ta vu, ils ne sont Aédoits des definitions. D'ante part, tous les universaux essentels ne sont pas Jmmdistement évideats et le fait qu'on polwe lee déduze niimplique ascunerent leat bunalité scientifique. Trisitmement, leurs conséquences, en ce qul conceme 4a structuration des langues (en particulier Jes conséquences « dynamigues», ef ube te pate tn To tw the ne fh a he ni ott tg ets ae Te a oo Poi Patho fen gamen spe wee dn waar eg sry A ate gaan 2A arama tes den mm TLS Sore See eee “des langost a expresion aon ghonigee Ex cimctamt que ir carte wal tt tea Se See scree eran eerie creas ee eras eae us, O28 Sh cee ee ea es Se aE Gn Se Sarr iiss the arent Gaeta os meee erties, we ae chara eh oeeee ogee ee a aay ye eee | dete Hpi = reac Fath gf Gat taped gin pnt re ee bre: Sapien ete oe Exe Gries rae eee eae cee ES lier eo Na eed rm eb ne ee Son ei mia ps ae taneer cose ee aera Sa ce ae ei 2 sa LSE Sot Rn crn dam yey, ope Noa at i Ses tee ts A, aes eet nei acs Sana ete ees Be Elna papa mee caine i doe fa gs cee tat mprtimaiee inact a Bins ML Mortweik, p24, lee dere «th ‘CE sass Oxgeod, UL, p, 238. 133), sant souvent encore moins évidentes. Finalement, il y a une hiearchie des ‘universaux eseentiels, qui eat intdcstante en sl, cestindie pour la connaissance scienifique générale di langage ” 2.2.3.1. Les universaux empitiques, en tant que constatés et non rationnel- ‘emeat déduts, ne valent dune fagan absolue que pour les langues dans lesquel- es ils ont constatés,tandis que pour dausres langues ils ne valent que com sme probabiliés et jusqu’a ce qu’on trouve des exceptions (stuf qu'ls puissent ‘ize juss par une néeessité rationnelle, mais, dans ce cas, ils deviennent des vuniversasx esventiels). Admetire lear généralité’ pour toutes les langues sigaife toujours émette une hypothise, cestacire, géaraliser pat induction ce qui & ‘a6 effectivement constaé™; pat contre, Thypothise de Ie gfnéralié o'a pas de ‘Sens en ce qui concerne les univers esenticls: une néceité rationnelle alest pus une pénérilistion; elle et, dis le début, « ploéele »®, Cestadire que lx stot de aera emis legge venuinge» come ‘ou supposée),tandis que la généralté des aniversiax exentels est « intinstque ». ‘Le caractire logique des universuux empirigues ne change pus du fait de leur présence dans toutes les langues connues. Si, pcx, l'on copstate — comme, en ‘effet, on Te constare — que les sylabes ouverts ne manguent dans aucune des Tangues connues, ci est toujours une constatation empisique, sana universalité né- -ersnire™ Toute les langues connues ont des consoases et des voyelles, mais tune langue, sans voylles, ou, du moins, sane voylles fonctionnelle, n'est pas imposible”. Supposons, pex., que dans’ une langue toutes les consonnes solent -automatiquement suives d'un élément vocaligue déterminé, ou que toute conson- zne dune certsine clase soit sutomatiquement suvie dune voyelle déterminée: ‘ette langue naurat pas de voylles fonetionnelles*. 22.32, Tou ee cone pura qu est ave ds ulveras ‘empitigues, et a’afecte aucunement leur importance. En effet, le {ait que leat ‘nénéralté soit extinséque da point de vue rationnel nexclut pas quils pulssent ‘fue absolument généranx de facto, dans le langage humain tel que nous le con- ‘uulisons, ai quls puissent re morivés par dautres nécesstée que Ia nécesité sationelle, Certans universaux empiriqueseffectivement peésens dans toutes les 2 Bod M, Holes lt 3 ul ela na ee deoig cr de, ade ‘Noses Soar eanierons sone fs en vi, atte ie EEG Sn Lage nna aS nro ate), Meron ea i ok gen ek Mog aduke Ge dia at dk Gah to coos Posies a egw fe Lita iene vein ths on st) et dese NE, Guesbor, UL, p. TX, capi, 4 paper den uaiveras, Pafimaon Wen conte ge Boomield he cn fie patty nou Inngags re lade gration» ‘Gale oi arin sore even, ats fe eae PO, Rlnie Yon peat, matcllement, se desunes ai wo fit emptguement gal me pout te dome ces ote ot dew man am See ney ype ou ty fos Je ages crc mt iy ene ee “feo UL gp. GeO parte me ts, et Fragen deter reeant i oan er penne ee don pombe Se ely fa of epee saver oats topes; Mg rage fun uninenel empgie! ur, mas el erp abolumeat et = es ovensaux uncusigus (ET as avmess) 33 langues postraent, sans doute, Etre dus au hasard: est une possibileé qu'on ne Dest pas exclure Wavanee, bien quelle soit en réalitéinfime, étant donné le sombre des langues de Uhumanité. Mais es autres devaient alors tre motieés. Précisément — si Ton exclut une morivation historique (par une éventualle origine ‘commane des langues) —, ie devrsient tre détermings, oa bien pat des stsors. (pte ‘sents dans toutes les langues) ct quels sont, parm cauxci, lee univers een Du point de voe théorique, cette démaiche n'est ceraiement pas nécesstre pour les universaux esseniels, qui ne sont identifi comme tels que par déve- tion, Cependant, la eonsattion emprique de ees usiversaux dans beaucoup de langues (surtout sl sapit d'univercux « spécfiques», ef. 3.2.) peat dite i portnte ds point de vue houritigue, a savoir: a) pour éviter le danger de con sidérer comme rationnellement néeestaire ce qui est propre a certains langues fou mie, peutic, 4 une seule langue (ce gui continue ane exeut de Tancenne Emon elves en pai, ue oor; b) prc Go can fais consaiés comme pénérase peivent avoir une justification rationsclle qui, & premiére wae, nous éehappe 22.4. Les universane siteife ont cons une fortuse bien mésiée dant le omsine des tits distinc phoniques, grice 2 a phonologe jakobsonienne. Da reste, méne sans Thypothise de Tuniversalté, In phooologie « toujours travailé aver un nombre assez limit de tats distinctifs, ce qui, du moins do point de vue empirgue, parat parfaitement risonnable dans cate section de la lingsiti~ ‘que, Il'en evt de méme pour lee procédés matéiels du langage dans les domaines. i lane le st da caracoe woe ngage. A, ote conmstane, eel ice a jo le Se Hes, Aafeading TS ct, Ss ir Ge ae SS sfene enih isfmis Fak on oe “PD Gi tnancio fe St, Marra cae Jes wiveeox ok tre me Saga uo Sa I tae Seated a‘ em aap ges ba Ip ise of eaec Wanton et I alert hice at onde br the sere of te ‘he iin ad dal In mE The die de ompeenie Ge eutle oa Soc ee Fe tive, vane fe edd thie Ct le ‘pestle per expr, Tae hee Se pa Sener {a ppg Var fl (plane sy prc st pt one ase 2G Per te talon Grain p32, Ck ‘ms ecient a Ser apes See St roao costa de la grammaize ct du lexique (formation des mots); le nombre de cox procédés eat pas ilimité ct, dans beaucoup de cas, le nombre de postibltés est méme ‘partullement déerming (px. peli, infixe, suffixe). Par contre, Thypothése ans Jlogue® concernant Vorgtisition pleématiqne des langues — hypothtse plusieurs fois nize, sous différentes forme, au cours de Vhistire et renouvelée de nos fouts® "a toutes les chances dee fausse, si Yon conaiere le caratére libre ‘a langage (dans le sens que son ebjet est infini). Mais, ick aust, et bien que Ia ‘che ne soit pus pratiguement sétsabe, il ext possible, en pringpe, d'éablir let traits ditinesifs fonctionnant dans les langues de Vhumanité 2 un moment donoé de histoite, et ily @ toujours la posible abr do moins une liste des tats ‘slenantiquer les plot [réquents, cz qui n'est pas sans intérét. En outt dans co domaine auss, il y a des sections dans Iequelles le nombre des possibilins ext Togiquement déerminé. 2251. Les implications genveat eae shfriqns (dds au moyen de "analy etsepeele ex ponies considers) oa bien empriques (costae) ‘ios, pex, Timplcaion: «Le trme nectre dune opgoson sémantique bi dire deux signif de langue 9” et one implication trie, candi aoe: {St dans une lngue ily # flexion iy a aust dination + est une implication Srirgee Da point dee de lee fre, es imply pauvent te ett tales iio 3 eas mplgue pes x), 00 bien blatralesou récprogucs Cx impligne 9 ty impligne 2), pases (31% alors 9, ou ben Bais (a sior: no) 2.25.2. Lex implications théoriques impliqnent en méime temps le motive: tion des connesions quelle repréentent,tandis que les implications empitiques Iiimpliquent pas de motivation. Dane le sens d’ene motivation possible, ls im plications empitiguer unilatésies serient méme exactemnet le contaire des Implications théoriques formeliement analogues. En effet, Six, alors , en tant ‘quimplication empiriqus, sigiferit, dans ce sens, «sil y a x est parce gu’ Jaye (Cervicire: «es ) qui déermine x»), wandis gue comme implication théorique la mime formule signifies «c'est x qui détermine 7 >, % Cencine Mrypothie dun genre ate limit et, en mine emp, dtimié (3A doa toa) de et ste “kat PM. Rawal, Ay Integrated Theory, yp. 162163 sary 3G Bsc Leyte Unpel fo D8 Sg SOT Ee ince Mie a, Horas at F Grete. UL 9,2. 5S "Gpliatate doar fue adgneaement dvingtes de yaiemase cues N. Spel ace fay ot usd cielo Saracens of tgs. Se ae, “i sugit oe cur typer ate dren. dimpliation. Let univeraur costes bas unmnstux Lncutsigus (EF Las AUTaES) gs justi nous avons considéeé le eyper duniversux linguistiques da ‘de leur start Jogique par rapport aun inhi cuniveraie et de ive. Mais pour que lear porte et leur sens sient eufisament ue cas, Tes types possles d'universux doivent étre distinguts tres points de vue, & savoir: a) selon les niveau dx langage quils, ) selon le degré de wéralité des aspects du langage auguel il ¥ap- pliquen; ¢) selon la perspective dans laquelle is se placent par typport aux lan- fues; d) selon Je plan sémiotique auguel ils se rapportent; e) selon leut formu. 3, Dan Je langage, i faut ditnguer trois niveau; Je niveau universe de activité de pier, fe ivesu historiqae des Langs, et le niveau parce da alscours (ou du «texte »)™. Les universaux linguistiques peuvent concerncr che fem de ces ives. Dans le rechercher 4 propos des univeseux Pon parle 80a. ent universe di lengege, t Fon entend parcel ‘e qui se trouve dans tows tes les langues. Os en reali, es univesnix des langues ne clncdent pes avec Jes universaux du langage. Tos les univerensx des langues sont en mine tes des aniversary, puss ages conten, pide, wh ean \angige; mai tout les cniverarox du langage ne ont pas nécessazemcat des ‘univergur' des Tangues: ln peuvent Ere sta des wniverson de Tactité ce parler ou bien des univereax do texte™ Les nivessane qui sent 4 Tones ds jour sont, certainement, les universur des langues, Poutast, meme sl on Timise ce niveau, il faut ter compre ev caiversaux des deux ates niveanx gg, donde ces pe de connidéres pour ls sruturaion fonetionelle er matéielle des langues. A presen, Ia sechee che dans ce sens nest quentamée™ mee 32. Du point de vue du degsé de généealisé des aspects de langage au- uel ib sappliguent, les universaux peuvent ize génrigues et spéofiques. Les ‘Ainsi, p.ex. 1 Toots. le langues distinguent des catégories verbales » est un tunvenclgénéigue; «Toutes fs Tanguce podem a stp dv rem et un Sven! epg 322. Cette distintion es, cettinement, une distinction relative, « pétsi- que» ex spécifigue » étant, dais chaque ox, des termes corrdlatfs, Cependant, 2% A propos de ce dino, ut jms ne Tnguiigue de Paced de peer ot ogi de Plagne on Conn dey ungch dBec smc cosas lle doit fu faite parce que la nécessité, rationselie ou empirique, que les un versaux impliquent ou postlent ne conceme que le degré de généeié auquel E'S eadenou dec sve, aden anon Ore Set de nécesité spécfique se trouve en rapport inverse avec ‘ds universase, Les oniversaix concernant Tactvisé de parler consider indé. pedamment dune langue donnée soat tous des universauc génériques dun trie Thane degre, len ext de méme pour presque tous les univers traditionnellement scceptés par tous les logoistes, y compris les adversetes de Ponversiame. Ceci ‘igifie que la nécersité que ces universaux impliquent par rapport aux falts par- Soliers des langues est ts faible. 3.31. Les langues sont incessamment produites — faites et refstes — ‘par Pectivité linguistgue, Elles peuvent éire consdérées en ellesmémes, dans wne Devspective staique, ou bien di point de vue de Tactivité qui les produit, et Gans une perspective dynamique, Cest-dice comme finlité de cete activité. Cet ‘permet de disinguer des universaux starigus et des universaux dynamigues ™. Les smivertux statiques sont des propriéeés universlles des langues considéséss cen elles némes; Tea universmux dynamiques sont des principes et des nonmes de actvisé gut prodait les langues ®- 3.32. En tant que princpes et normes d'une activité, es universaux. dy- ramigues peuvent avoir det manifestations multiples et, en méme temps, difé. rentes, dans la méme langue ou dans des langues diférentes, ce qui, pourtant, affece pas leur unité™, D'auze part, nest aa néoesaire que la finals quils Iimpliquent soit & chague moment enczement walisée. Du point de we de leat alison dans les langues considésées comme produits historiques, lls se présen- tent le plus souvent comme des « tendances ». Ain, parmi les universaux m0- tivés pat des raisons dordke pratique, la «tendance » a la symétrie des syattmes phorologigues et, en principe, de tout autre sysitme partiel 2 Vinéricur de le langue, ou bien, d'un point de vue plus général, la « tendance» a la régulanté des systtmes Linguisiguee™. De la, un autze moti de Tinie nonvulgrize des uni ‘erst «statistiques » — cestacire non absolus da point de wwe statique — qui pewent,précsément, xe des manifestations d'universaux dynamiques. Du reste, ‘dans Ia perspecive dynamique, tous les universase staiques — dans la mesore dans laquelle on exclt le hard, et si ne sagt pas de conditions permanentes de Vactvisé Unguisiqoe — peovent &tre ioerpréds comme des manifestations des principer régsans Tactivté qui cxde les langues, et Ton peut dstinguec univer eux dynamiques & manifestation constante ct universaux dynamiques a manifesta. tion smultiple et variée. 4 Les univer «inchoniqnes® ne sont quine fore paticice des univenaue mR amin od Ut cae pes rs i pela oie to, nee ble eho a pie fas ae sn aie ey eo ee ies Sede or Rgae yond naar cs oa ae SEE wait mite dor ranifeations da principe de Fenthropocenrame invoave ech her ‘Yonivorsel dynamique forrmolé par H. Paul, Princinien, p. 227: « Jede see ete rains aa iD 2 a pir cei ee SS eee Sar Pape pe dine tte Pieces der Smnchpencse ne wht pln came Go e Soeae SP sorvent, un tanacl se Siive ‘dimromigue, mais, © ar remarguable crate ne sas ouermsivx Eoeutenees sr uns avmess) 57 34, Dupo de ue ln si me! hw rp See ee ae ae ele fama ttn tas Tecan eae (concernant Je rapport entre les deux ). En principe, il y a dans les lang a ee dy a i Bs do Tote a ae Sl eve eg re ce ef ee pe pe cere es pa ee ene Seon = Srl a hese pees eB eee cs ole ee eke a 3.5, Dias leo fomlaon les sniversix pase de oss ou nd if. Mais Is. poss admerent wat une formation formalemet apa, les gas une formulation fomelnet pose, Ain: Toute es eagoes Sart» ~ « Aucune langue ne mange dex, « Ancine linge dey» ~ «fo. te Ie langues manguet de 9 >. Ca vt wot fl exit, deeming bt es prsuppoatons des gues wg les forsaios so cms 2 odie. Du poin de we obj, es universe nail abu ipo «Au Sine linge fay, ot peu ott, ker pons ncper an dane ce Gis inns. La tevube, is formulins ngaves sot cbjestiemets Inte fatten en eas de nuvi relive, cena, longi wag de props Sas clos lies en Sr is i en sumcloue es pose («Aucune Inge ends dn epe 9), inpletion dabsere (bnece cucmaate & eax posit) ou dene: sion de ceruines polis dune sie lopiqvement dtcynings, bien qe = cat edmaict oan dor formlaon pods condaives™ 1 Universeue du langege ot wniversaux de la linguistique 1. Les wniversaux du langage doivent étre sigoureutement distingués dee universn de Ie linguiscigue. Les universaux da langage sont des propeies du langage méme, qui peuvent éire dégagées et identifies par Ia lingistique, tandis ‘que les universaux de Ia linguistique sont des propritts de Ia linguitigue qu ne se justifent qu’ ce niveau, par des exigences dordee interne de la lingui ‘que en tant que scence, 2, Dans un certain sens, bien entendu, toutes les notions scientifiques se ‘pportant ax Tengage appertiennent a la lingstgne et, par 1 toute théorie lin. fuistique, explicite ou implicite, est universll, poisgyelle se situe sur Je plan des notions, qui sont par définition « universlies » (cf 1, 221), Dans ce sens, toute forme de ls linguistique, de mime que toute displive lingustique partie es fe bln due pov name brewn; pour gratin de Cente 4 ropa do 14 hi aoe to: os "2 se OL 1, ‘hea, pen «Ane un de ore Va ‘Soins OSV, BS, armen gas (et est imgfiguée pu) Is formulation positive ‘area Les nh oe pede, pn io us portles adee SVS TEST, PUSS olgui cote dem fog Mpa dntvere Mt, Back Ele Peace be see Serene di eat peat (p. Vie «Ber pur ia ie aloe concerned nee et ay, at's by nce wi focal, tre — la grammaire comme la émantique lexicale, la grammaite historique com ine la diletologic — t ses culvert, Cestaire ses notions, ss catégories Ses schémas interpretation déinis ou tactement adoptés, en’ principe, pout toute langue possible, auss bien as niveau de Ia théore qu’as niveau de Tanalyse fe dela description; et, de ce point de vue, le cogatio lferarum de lx gramaire Tistrique de in Renaissance état un universel dans la méme mesure que la loi PBonstique des néogrammairiens 00 que la notion opposition de la lnguisigue several, SM ee ae sin fue Pan ane Ma age le ri em, cen cries Ge fue ce Ge ons a Giese 2 ars a Se ace pera om ome a Se ae ieee me es on cee sie ee ae fl See ea ee i core pie Soe ee a ae le gal Oe yee ee ee Feeble cape peng Nyon ed cn ie lee ee em Ee Brera cieeteas eee ene eee ee <7 dans des cas particuliers, a kein ‘sont souvent des décisions formelles i, fae sl om aie eg a fl ia pono emer, eae fs a cena Sea ik be ia eK iin i, a Fe icc ie pete gp sire a is a dias Ce ee foe sa i eae eae ee cone es a aa ga hee Ee ora es eo Aa ee rae ae pre meme ge cre me eens pe 2 see sec Se aes sees eas 3.2. Nous appelons univesaur de la fingistque les universaux cotrespon- © Le crite do I goon 26 by fe von, pyee dire que Je hookme conn dc Se aire SES let ign ie eB ee ct ne none "ets Br nan cen Tes objer ein bosons formu esi tous: ee nt ne 1s wwrasiox Licutsmquss (er 188 AumBES) 59 dant 3 des notions et a des décions formlles dele linguntique®. Si, pez, Yon onsate que touts les langoes connoes gui ont /e/ ont aus Je/ of quc Lon craze cette onsatation ous forme dune impleadan eae /e/ c/a), cat um nivel implienf da Tanguge. Si dans une théorie un /e/ set adn que sil Yoppore 3 un ef, cext aus une implcaon, mais une inpicetion ): en tant quuniversd Implcat d langage, cle signifi gue les comsonnes cles voyeles¥impliquentxéiproqerent dans les langues; n tant quunvenl ipl’ de le ingisiqu, elle peut st sifier gue consonnes et voyeles simpliguent sédproquerent dans Mnterpeét ion: ins, dans le cas de notre langue hypotbériaue sans voyelles foetonnelles (ck. 1, 223.19, Yon pout dre, du point de wwe dune cerine theo, que cette fang, s'syunt pas ce voylc, a pas de consonnes non pls. dar Tes anes te eugene wy ven del ngs ine setts eel set gs ‘es immo so ois Axara Be tes po mc ‘near dni sot ar cio pe cea Oe oe mot rae ar woven ces qn foc Le os Sets ego neo eda) on rhs eC vn irc ab liad ane pre, Tait ses Se Tena snrpcie se seas erga ds lms ode es del ‘Seton nse aves der de 4.1. Considérons, pex, la thise — souvent népérée& la suite @Aristote — selon laquelle tout verbe contiendrit Ie vetbe « tre, de fagon que 5 Babite et & dvbpuras Baby tact serient «la méme chose». Cette beaucoup crtiquée dans la lingustique moderne, Or, ea eal, ele peut ‘un sens rts précis et, en méme temps, prfaitement taisonable, x on I te mt niveas de Vanalyse conceptuelle, cestdire comme analyse de ln 0% ‘everbe». En effet, af Von congoit Ie verbe comme pattie dy discours qui a fexelence In fonction de transformer les «mots > en « phrase >, le diibile 8 if i H ake nc toxics ley lao, ou bic Je pies" ceich comme tebe en egret yet, se Pe edd ty on Teapot dela oglur des Hate een» Ton Sle Gut tne ‘es plunge seroot repeésensées par I conlear verte sur les cartes géogmaphiques, ce seta un pee tien aha me eS eee cats ot ual: mine ope de pahinion (nedates dace) ca exemn coca dictum’, Yon peat bien dire ope le vibe «te», dans fonton de copuly Sette la verbal ore e qu, dane co sen, tos tie vrbe content ‘Sbnile led (gon pout eptaener pr Les) eee vee ue n, Poutanty dns ce cle Babllow gui se toure dace Se Bali set ps Te Babin de lenge prone (ou Bab et Bir tre ne sient ps Ia Inune chon) aia Te tom fun spi lexealinerminé youn de yoo ce figs et ea est pan ard (as «aus ere fonts), mals seulement {Enom del yb poe: Cast comme x Ton dit gue tout ve et Lae ‘vest dan le acu von viet de Gn ®, Mais Taye once, en fear que eye dit ps que ler verbs den les liffrentes langues, «Po™ ty it Sutalica ‘cite Sens lags are ee ‘Tene de ce anges (oo! poole ne pes cxver, elle nafftme pas Ie carn Srimif du ete «te» dane lesen glnogonige o ios ele ataibve Tie pot Ie verbe a fonte es lang (a eet um fit ce fat ite a far dues conidénioa), Ey sina, Tanaye Bet comprise w'wtine pas Fexstence siemnme sur ents quelle dégageele x explgue» ost snple Ipent ce gl ets imligoé» cans ln ton, le ne suppore par oe sybise A etiS eeora deete sncon eu eve +n {Se punoot le wabe print rele weber rrpent Tamas. os ‘Srbinaton din lime avec webs «ae Cet un univer de i np Shoe hetrgue pines om univers en at quaypttae, ly pour deve Iit'on universe da langage dot ie vere etsy le st bln, ne 4 Ve fie us™ Si dans deotipon dune lage on décide de réercr Ie veer omine Lex + ate, cet oven! de le desepin, ui devas {pr dex exgcnots concernant ce nve, Eta Ton conic gue dans I ange Inte gun deat lv dens Lev et ce» exeentcomire dv ene a Som om en sv de rns Inge ao oss sn din ia « pnducton de pases», combine ew ents pout en fern des Yer Seer Tribe a langege a nivere de Tn deripon 42, Cat, mats mutandis, apse présente dane une inesrétion stceott des noms subrtanfe™ lon lagu cv noms pouraent ee cose, Sm grumnaine ptceatie,comine proclant de propstons lave dela U0. Sore de bec >” Aina, tbe mon pour tte Intrpaé comme tn feaplcemeat tltéieu, per iunsformnton, dene arucuce profonde du type the one vabo it ‘men, gu costitacrl us suniversl do langage». L’on peu remanqr, tet So asm Sa ee at in Xr ey no ie profeie, Inge, trace (won adic oa appellation) —- Gat nec, un rappor alin ave lex proponions rativs et dont le come Se ays Pg Dae fh, 67 ab oy da Gy ate ree” ESlnion arenichaneat cute de nner’ Vinee pe. $081, dank st ee as UNINSHU LNLT.OUNS (EF 2 Auman) 6 orement syvergue st souvent ditérnt de da des noms tls que fre, are, Jomme (rer one oo mina abrlte)®, cet inrpncaton ative a alee pestment la diction cut conse som print de depre Mal, spose Suc cate distevon soit revpenble un aute vem de Uamayey I ft ie Forant clst gil rapt don onverel de Is lnguitiqu, el peste joe dns un cera type de gmat, et non par Tun sive du langage, Et XE, ce que Vintepréation en case i, est, tot simplement, qv oom ren tt ce corm mute On de tron, coe formule expine ne ame ope gustav, ct nm pat oe sythte wacle» das le langage En eft, dane les lanes qoe aoa ‘omnaons, ct noe ~~ dr rcns fe ome pric (ce ul et uate cw de tmen) — sont dt does lene sont pat spin» par les ate prant ‘8 moment de In production. dev pines, par combinakon de wma et Leg: Sily a des langues den fqn Te niles ct le ctor sont fasionome, ett, per consent, fs les nome sont ayn» das Tate 4 pate ces langues sone, de ce fe, iene der langues dans sql es tors piles se presente ds le debt comme «tg» et Tou 1 pa Ie rot 'anmaler cee ference, en atibont la wytice ips ly lnge, sous pete uc, dans Jes devs ca, i agit de ie levee sige se filet en fabane absirction ds fit gue Te start de ces sige ent pr Te {tne dis les deur cases de anges 43, Une forme plus poussée de Minterpréation qu'on vient de discter, ext daltirmer qu'on pourrait « dériver», en géaéeal, les mors lenématiques cor respondant des catégorcs vesbales — les substan, le adjctif, les verbes — Pune base commune indéterminse, qui pourrait re ensuite deserminé, selon les x, comme subsantif, adjectil ow verbe; ainsi, angl. tall et tallness pourndent ue interprétés comme ayant la méme bate. Ceci serait en méme temps, dion, tune base plos universelle que elle des «classes lexclee», pulsq'elle supprime. rit les désacconds entre les langues dane ce domaine: Ia méme base postraitéte transformée, pex, en adjecif dans une langue et en verbe dans une astre lenguc. Or, défi dics Te'cas done seule ex méme langue, cete interpréasion nest pas sans dificult. 11 est bien vrai que, dans des buts didactiques, Tom peut dite, ex, que le signifié lexical est celal gut ext commun aus termes de chacune des ‘tes exp. Hlanco-lancaralonguear, negromegrurencgrear et le sgailie ext. tic, cela gui est cférent pour chacun des termes de chacane de ces ses, ais identique pour les paces Aonco-nezro, blancaromnegrure, Blanguearnegreat. Mais ‘ect niimplique pas dans chaque cas une désivation dieece de Lex + sigaiié ‘atégoriel, wu qu’en espagaol Blarcura, blanguesr et negara, negroar sont ve | putin, wespectiverent, de blanco et negro ct impliquent ces termes eo tant gue déja décezmings eomme adjeesis, En anglais, on a's par non plus Lex tll» + Adj, Lex «ull» -+ Subst, mais dell, Adj —> tallnes, Subst, Ex Are du développement peut Ete different dane des aes analogucs*, Mais ce s'est fie fame, es case ME Sach cu Tallme, UEP, pp. 12021, 9% in, See, It sowed, mar Sp. sel dai. Cask set pat sane conn ‘qu'une difficalté marginale que Ton peut faclement xéoudee, dans fe cade de la imme théoie, ea adoptant des transformations epécifiques poor chaque langue sins, pex, en partant de la base indéterminée, om areversit Pabord 2 tll et Ton pesscaiteasuce &tallness. Demandons nous, putt, si la base méme qu'on adopte ‘dane cote interpretation peut étre un universe ngustigue. Tout dabord, cette Inerprétation signifie que les mots lexématigues (primaires) pesvent.ée' cons leds, expecivement, comme: Lex + subuantivite, Lex -+ agjectiité, Lex + verbal. Ceci est parfaitement acceptable en tant qu'analyse; mais, si on considire ‘ett analyse comme correspondent & une syachise » actuelle» daas le langage, on ‘ales més difiealés qu'on a vues dans le eat de man «the one who is @ man, fen ce qui concetne Ia disponibile de cexsignifiés et la possibilté de les « synthe fier» dan es ciférents langues, Deusitemement, Lex sapplique dans le formules, ees, dans chague cas, 2 n sigifé levial une langue donnée. Or Porganisn tion dl signifi lexieal nest pas Ta meme dans les diferentes langues. Par conséquent, sion applique Panayse plusieurs lagves, ov toute les langues, simultanément, Ja base commune ne peut pes éze Lex, mais uniquement une séalicéextralinguistique Sept oe ae pa 6 eon cose cy pais eal ie ah a cee Soha e Tae Poteet timers mht me ae ee aces a un Herre techie rnin ht Moe cnet Seiie ee beanie sagen anaes 1.13, La distinaion entre «aie designe » et ign» (onction manic) coc, a fond, avec a tinction ble Init de Humboldt, Per Stal oes ote eps» kit «fms ine Liieage» Ganere Sprachform) Ea fat, ls fnetoninstrunentale de la contrac Er sve es dan ecard fe conpe le ui eve le conta, pet te cost Secs pti le ea na rie ree ion ot Pt canons: de pit de ve lingtdgoe, le et subramée soot ine iB esunap plo glaunle. On pournt micox peer de « mattre de a ens dans Te neue dans agule rage rune pero « pelingiigue» er fre pr ane oon snag ne Ini dna, en fa de

dans In memare 1 prea come Unvenelcment vale et fait dbnzaction des fonctions s& Shaaducs des anges ce enter » (tu, ese, soot les sues Tangs Ga exien) en un sate Geen qu, ar rapport ax sige ngs, i oo ae meme hivean que lr rite deigner cent we’ «image» de cet alten ff, une nowton «mbolgy > ext cle dane le ees propre do ame: ce prose a welt, cle la «synbole», mais ele ln sgifie ps I ditence entre des image proptetent tes de situations wales comme calles {ion dene, pes par Flore bar Pau, Rove est plas and que Peo des Sisto Syubelgees tells que Ag." Act Obj (e Apent Action ~ Objet»), ‘RUSB ee Jone pr ln poate cen rite, pate fat que ct notations at pour es tens de es es Oo pea dg ut dx ston Toles imine Clemente que os exemple ce sont oof Eo tehdams genreur de ln designation, des reprodoctions générales de la rae ‘€ designe. 13. Par eonsguent, dane ce ii sit, nootpcrons implement de « ds pation’ et dew tain signe» (dergntum) ses fie In dtinton — 9 Sane faves eqande — ene pemée reingusiqur, wali extalingsinique Satan oe tele et rele conidéste comme pense par une penséeloggue: do Sine dee du lngope, ll apt toooars de [a «mate» des foncone man. ‘goes, 1A. Os, dans les recherches linguistiques de beaucoup de lgcens aint que dina certains counts de la lngoeque actel, surtout dans in grammaie see Ser tou paaitrement dans i goamistegenztve ol opt com Ce econpevcai lest point pa oa Et Henique wo copetsntl da femal GE (Belong ond Benno we. a 2 ‘arpariah Die Clauttan pp OL.d: «Es et lo cwichen dem, wa oor ton WAS PUR rer Spaced Sy at von ter Spock seb exit? wird, Se NES SAI fa ich set gs, ohh aiden as Unnsaix mecteuss (er tes AurESS) te puncte be» wo sare die «alma (on ssa dette se, ar scone 5 ly a se poi toe ae Sepa, Aoprnsent oer Rees ass ‘Ese mine lpi one hs vee pens eo {is toe cpt Pot Carr Pompe a= Poms Cas os Co fin gibt ab he Hamer a's toe La foe fe Fmd Mai ae an tos cto a ures fede ion fox out singer dpe cn yet lon ta tpg Sos in te fan ou tna pao Stat kage ea pene tek St dm ite Da pe tron ee dns ence 0 ef os gn pal lnc tite pe eer hb abn 2) ser scar tben es al ooh seiten von Paul », dans les situations dans lesquelles le francais dit: 1) it dort; Bion bait at, 9) ade batts por Poot nate it tne «ce potter aged emacon cate my Fa et stn tis Fn me ow et re a dh ceed avon pt apc mi sence pes yeu pe so ln gt ale en BA ures ry ale a tec ert enue edn ean ctr ues temaincn qe se dees pnts; et Fon peat dat et Gantry mame sce dbus sh Sr Kaus a ee, Gh dv et snap, «hc gage Bo eh le nes Streleme g's X cr gan epost Can na qe deur terse Sn dean Gi ype ASB Aa ca tr ef ar fri cme St wena angst Inge ee se 22. tg fa mime esos le dr scr pfs on ie ta etn en pire ck ede Sg ose Fle ot en alge dun ee opon. Bl, hr pga comer bs Entry dn dejan 3 Ss «tpsymer cop fan ps Se ‘pony kpugaa® ar rapt hl Gignac et So gue a a,b UT tam SALSA, SRE TP ess pons wep a spent a Se. fa Se nn Se fee Se he ee ae ee Sa Ne BU Maa ale eth hla ps OE a lee ai Sa See Be pee area ate Ot ga ee eae Sd nal let es ase Matt aca 2S Sage Tie FE cee ca inte ge er aan SELB hick Sore Teele de cece wae er ee Soe ee eee SRS ce A Sh a te pe foi i he Ec Cpe Wie SY ale De Soe ee anne Bes ee ee BE SO A ee a a ace aetsctatnt a le Sone pei SN da ar LNT ate age reDRD sbece eene lng ction Tepes ee a ea “tas Cet a meungages ence Has out iplemeat ins, eno ge ples suvet, on pace givens de pret Nal ide Sten ines, ce sone, ft Ss Sages‘ toms BME Wer ge a pen defen ts egrets Sr haga a doa dah Sea elves pred appa & tenesy oa ben ton Tecenplc Ao par rad qu Bo A Se sand, Fane 3 a ASE ra 6 somo cose sofre lng ext ssi ne «pire», ct une pips dan: mée ange Ur ene codon elntcnc', Ca tiie que ce sont, cent, 1s = ports designation, et non ps es fonctions séaansques dct langues qu'on en oe Bele fat que, pour représntes le erates pofondes Font souvent recturt Tue notation noligu, ext plement symptomatgue A et égard 22:1, Aussi bien dane Ie linguistique fonctionnelle que dans le cas des courants en quettion de la Tinguitique actuelle, il sagt, au fond, cx rapport wal LS (Mais, tandis que dant le linguistique fonctionnlle on west efforeé sourtout de ‘monte que les langues sont différentes par sapport & la réaliéicentique qu'elles jgneat (quelles n’analysent pa de la mime fagon la rélté désignée), dans ane partic dela lingistique actuelle on fait de grands efforts et on a dévelopné toute lune technigne pour monter qu'en dépit des diférences entre ls hingues la rélté désignée et, cependant, la meme. Cesti-die qu'on affirme tout simplement eed les syotses In, Le, La ef ne sont pas, ax fond, diférets, puiqu'ls sont tous sepportables ai plan de R, Par exc, oa aura découvert une base universcle da langage et on aneit dépaaeé la linguistique fonetionselle qui, ele, caursit pes su In eos 2.2.2, On, évidemment, es efforts auxguels on fit allusion manquent leur bot, ils sont vaine et lear résultat ost tautolopique. ls manguen: leur bot parce ‘que — entrepts pour moniter que les analogies des langues sont pus nombreuses ‘ce quvom ne pense — ile sbootistent 2 montrer que les langues coincident dans le désgnation. Mais cect nee pas la méme chose que de montier des analogies centze les Langucs. Les anlogies peuvent re consatces uniquement sur le plan de Le Le, Is ety nom pas sat le plan de R, gui est a base commune de référence par rapport & laquelle on éublit aussi bien les analogies que les différences entre Tes langues. Le plan de R, quelle que soit Ia fagon dont on le eongoit (pensée pralinguistique,ralité objective, pense « universlle») est par dinition extétiear tux langues, puisg’l mest pas encote (oa west phos) Ly, ni La, ni La etc. Plas ‘Sncore: ce plan est exttieut au langage toot court; en elfet, on pourrit fe ma: fester au moyen dun autre ayattme expres (musique, pentore, gestes) et, dans ‘ce sens, le deige tenda vers la porte et Sorte! Fuori! Hinays! ausient In meme Structute profonde. Les efforts en caute sont vans, parce que, avec un étlage ‘xtnordinaire ePénergic et de talent, is aboutisent, aprés de longs dérours, 2 ‘Sémontret que dans les Ingses on parle de la méme réalité, co qui est conoédé {Gavance. Finalement, eur vltat est tautlogique, pace que — Gant doané que la structure de base’ qu’on adopte ext extealinguistique — il sigife simplement ‘que Tes langues ne sone pas diférentes en vertu de la sGalité culls désignent Go de la a satitre» gu’elles organieent, male uniquement en tnt que langues. 231, ‘Tout cect ne veut pas dire que la saline désignée ait pas d'impor. tance, ni quelle puisse tre ignorée. Aw contraire. Elle a’apparient pat au lan ‘ene, wale, précisément de ce fit, elle est le point de repre nécrasire pour toute ‘onsidération sémantque da langage, dans la pratique et dans la science, Dans a5 wvansavx rmconenoss (nx ans aUmenS) YYenulyse sfmantque une langue, 'on doit se rapporter la néalité désgnée pour pouvoir constater de quelle fagon cette langue Vanalyse, Ceti, que sont let traits de la rélieé adoptés comme traits dintnctfe de ses signifies, Décire une langue «de son propre paint de vue > ne sgniie poe ignoter les rapports qui sézablisvent entre cete langue et la réalité, mas uniquement décire cette langue ‘du point de vue de son analyse dela rat, et non pas comme systtme désignatf, estate, du point de vee d'une analyse nondinguistique de cette mime realté Pour la méme raison, la consdératon de la ralité (on da « contenu de pensée ») ‘impose dans la tradoetion, dans Vappreatisage des langues et dane Is comper raison sSmantique entre les langues. Dans la traction, on ne passe pat directe- tment d'une langue Lj 4 une langue I — ce qui, di reste, ese pas possible, Puisgue les signfis, dans la mesure od ils pparennent & une langue donnée, a¢ font pas « tradusbies » —, mais uniguemest 4 travers le plan de Ri en effet, il vagt, dans Ia tnduction, de désigner, au moyen de fonctions sémentiques de Ig, les'mémes « realités» désignées per des fonctions sémantiques de Ly dane un veate déterminé. Dans Pappreniesage d'une langue Le pasts une langue Li, il sgit de découvrir les analogies et les ditérences que Lz présente, par tpport a L,, dans sa propze analae de la réalit. Et dane la comparsison sémentique. des Tangs, il faut monter, précifment, de quelle faon la méme réalisé ext analyege dans des langues dliféentes. 20.2, es equivalences de i digi & Vinkeur Bune select mime langue — du tone A tut plus grand que D> B est plat pet que Ae A vat B= D et ou par A oe woot pus ss Importance nom ght, Af inane fone langue aparica ax conaiuncy des rvurces snantgusmen ai ‘ezemes q'ele ote pour Ie dination des nes stale». Dans ln emu fram ane‘ fort, sa dt txt ana se do fom touve pax, les dléentes pombe que e iain «poor Pespeer sion de lee finakté> ct dev éguvuene tells que (lpi wonerh) et pce Bernt ~ ut pico eteent ~ ad pocom peendam = pocem peenes ~ pe fe pet = pacom Peta cic Le qantas fencoomaale,§ ce de Son int de rue amlyaque, ai ndsnnement pore 1 age Vesamen de ct fipect des langues En elf, testa sche dun ate pede gamma stl le gammaize«sytheique» (os onomatclogge), so pre de la digo, 4k «fonenu de pene» b expres, ee about A Fespreion dan une langue dona. Tet vie quien pertant de i dgnation on srve prod, come on diy «toutes les phrase comectes d'une linge» co pecan parler fonctions ‘Ezantigues de ete lange, mais nes considerer ces fonction, et me ab ove es couse, pa consequent, ses pouvoir dic pouyuc es meet Helis pevene Exe digs par der expressions ifr, et Sr lee Seca par des eaprens identi, ce sue tou set pant dels ngoe eo ‘bvtot pe da out Grdaes dane Ia Ps fe eone ie Pam swe [econ to ewonan costae sta da sein qu’d cSté de — et par rapport &— la grammce « analytique » (oe ‘smantigue), qui éablit les paradigmes fonctionnels de le langue en question, 2A, Lesrot ten ps, par consauet, dese rapport re de sigate, Leer, c'est adopter Je point de woe de la téalité désignée comme point de voe exclusif, de considézer cette rélité comme un nivean des langues et de lui attibuer des « universnux du langage » 30, Cosi implique que les universnox mémes de la désignation doivent ttre Gobls dans Te langege et du point de we des fonctions linguistiques, non ‘pas le contare. Un uniersel de In designation est un rapport « général » (exis tant dans toutes les langues) entre une fonction linguistique et une « réalité» deigne, 3.1. Sous une premine forme, abs générale (« toutes Je langues ont quel “gue chose pour désgner la ralitéx'), ce rapport n'imolique pas de delimitation Hlentque dans la designation et dans ig signification: Ia méme fonction sément ‘que prurmit cortesponde aussi A Pautzes ralitée ct la méme walité pourrait cor espn 2 plusieurs fonctions. Alms, pex: «toutes les langues ont une fone tion lexicale pour désgner Ia main», mais Ta déignation de la main. pourrait frre subsumée sous une fonction plus générele ov, at coatisze, re répartie em ‘ue plusiears fonctions, Dans ce sens, Ia recherche duniversaux de désignation ne petals pas promettre beaucoup, paisgue, dant ce cas — da moins ¢agissant de Ia ‘élite connue par tous les res humains —, il est probable que le seul universe! possible sot, précisément, Vuniverse généigue qu'on vient de former”. L’on ft affimé, pex,, que la possesivité ext exprimée dans coutes les langues. Mais, tout dabord, agit dune emégorie aes mal délinie, Si Yon considére un type pertculier de poseeaivite («le fait d'éxre propsgiace d'un bien matériel ou Spiritual»), Fon constate que — sauf dans les langage « techniques » — ce type ‘est pas exprimé on tant que tel dans les langues romanes, elves et germanique, fi il est eubramé sor une fonetion beascoup plus aéoéile (A peu pts: « com recon néclle on conceptuelle, en tent gue dépendance ou incerdépendance»), Ain ‘i, en feangit et en allemand, les « posesss » (le vetbe « avoir , les adjcifs possess) apparaisent, en principe, pour tous lex sypes de cette connexion et les Giférences demplol concetnent uniquement la distinction entre « dépendance » (wy: ay dépend de x») et «interdépendance » (xe-y: ey dépend de x et x pend de ys) ot, 8 Vntéricur de Ia « dépendance », Ia distinction entre « rap port vu dans la perspective de x» / dan le méme sets pour des ttucures fyaigoes com pews, Lx paradigms dex nivenmx supe de scorn prummetale St, ‘ralbeurisement, ater mal conan, Gant donné Teal déplowble des eas de Ste fence pon de Mas Ca i Sn sabe, Blue guten ce qu concere lex fonctions particles, que dimportantes Sblins Pouveen sl rcerche duniverans dea dadgretan. Conclusions aap tee sees sone tet es nes, det aes» «Tous les langues sont construites scion les mémes prncipes et sont, dans ce sens kdentiques » sont deux affirmation contraires, mais non pas_contadicioires, En effet, les langues ne sont pas diferentes dans le méme sens dans legal elles sont analogues, ct les diférences ne concernent pat le méme niveau que les antlogies de principe ‘Les langues sont diférences dans leur organisation sémantique et mattille, mais clles sont toutes construites en vue de In méme fonction générale et sont toutes des éalstions historique de ce que dfji Humboldt et Steinthal eppelient « Vide de langoe ». En outre il y « dans les langues des analogies gul vont av-delh de oniversalité esenticle, cestaire des analogies on exigées par Vidée. méme de « langue » pour toute langue posible. Cest pourguoi la recherche d'universaux linguistiques est impoctante et annonce comme frociute, précisément, surtout dans le sens dans lequel les langues sont en principe diferentes, Ce sont es ans langage es le Nevog nonetirenct e, de co ft, le Ménse peoaing y univer doen ete Iingage, et non pes dans ser détecsindonn Université de Tabingen SIBLIOGRAPAIE, Atte, Metiponic De Inerpeaon. Bach E «Nouat snd noun plawery, dat: ULE, pp. 90122, Bloch B. st Tings, G. L Ouine of Lianne Ana, Bana, 4942. Gromitr,N. Aipects of the They of Spee, Card, Ns, 13S Detrminuién y atno», Row: Jerbuc, 195356, 7. po. 2956, ‘Nentcideo, 1957, Howe Win tnd Url Oernhnger wo Gee Lag, Heke Jaki, {einirs, fs UL 82 Koo, Jr gf Po P.M. Tne Thy of Linh Best ae Se a vin Ne Rnbik tt aise Sete, Se 7 7 wotgh Maen pa EM sarees ere : te a Se et Soe sas uvsave LcoeeaqUs (et 198 AUTEEE) TE ‘Slater Render, M. Eun del stem de aspect 9 tiempos det verbo eign ation, Seenane, 1558 fe Fe Dig Ce tO 5 Silay de Gis ar lpi al ao a Sy ecto Se Ss tl Sig de Sch ns SPs laf ante, ly J Cri, Cas, Na, 190. tts twa Lape Thro tg Ba a No Yar, 18 ie Jue Deen ne cht, is J. LV, Ope oma Mm, Soll, Pest Eat

Vous aimerez peut-être aussi