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Lettre à un apprenti philosophe : Y avait-il de la

philosophie dans le charlatanisme « bac philo 2009 » ?

par Yanick Toutain


19/06/2009

Je vous ai entendu parler jeudi matin. Un candidat qui espérait un sujet sur l' «
espace et le temps ». J'écrivais hier
« Tout espoir n'est donc pas perdu : le crétinisme sarkozyste, le crétinisme
darcosiste n'a pas réussi à éteindre toute lueur d'intelligence à l'intérieur des
écoles !!! Mais quid de cette interrogation gnoséologique ? Quel sujet pouvait
donc ouvrir la porte à un des questionnements fondamentaux. Un
questionnement fondamental pour le passé. Mais aussi pour le présent et pour
l'avenir. (…) Aura-t-il seulement eu UNE possibilité de glisser UNE thèse
philosophique dans les sujets donnés par les clowns ?»
C'est l'objet de ce nouveau texte. Après avoir démontré – hier, en abrégé – qu'il
n'existait AUCUN sujet de philosophie dans les stupidités charlatanesques
distribuées – en tant que sujets d'épreuve – par les clowns du mercenariat
rhétorique, par les « clowns titrés professeurs » de « coaching philosophique »,
nous examinons, aujourd'hui, où pouvait bien se nicher de la véritable science
philosophique au sein des clowneries d'hier.

Baccalauréat 2009 : les sujets de philosophie des filières générales


Information 18/06/2009
La session 2009 du baccalauréat a débuté avec l'épreuve de
philosophie le 18 juin. Retrouvez l'ensemble des sujets proposés aux
élèves de terminale en filières générales.
• Série L
• Série E.S.
• Série S

Série L
1er sujet : L’objectivité de l’histoire suppose-t-elle l’impartialité de l’historien ?
YT : absurdité. Les états d'âmes des scientifiques n'ont pas d'effet sur la vraie
science. L'histoire appellera Sarkozy un criminel coupable d'un génocide
sanitaire en Afrique. Cela n'est pas de la philosophie
YT2 : L'épistémologie historique n'est pas de la philosophie. Pour qu'une étude
scientifique relève de la philosophie, le critère de base est le fait que cette étude
puisse être conjointe aux domaines des sciences physiques, des sciences
biologiques et des sciences humaines. Ce simple critère clarifie le « dilemme ».
Il suffit de considérer alors « histoire humaine », « histoire du vivant » et «
histoire de l'inanimé » pour mettre de la lumière là-dessus et faire révélateur de
la duplicité du rédacteur du sujet : Quelle « impartialité » ou « non impartialité
» de l' »historien du vivant » pourrait faire problème ? L'explication est toute
simple : « sujet » d'esclavagiste, « sujet » de colonialiste, question d'examen
posée par un petit laquais de la France Occupante, pseudo « question
philosophique » posée par un complice idéologique du crime colonialiste, un
complice du génocide sanitaire qui assassine 3 millions de bébés africains
chaque année. Il s'agit pour ces « clowns titrés historiens » d'ouvrir la porte à la
critique de ce qu'ils appellent la « repentance », il s'agit de masquer le vol que
subit l'Afrique, vol annuel de plus de 1000 milliards d'euros. Vol perpétré par la
gang Sarkzoy-Bolloré et les Troupes d'Occupation Colonialistes. L'historien
dont rêvent ces criminels et leurs complices est l'historien qui ne fera pas le
parallèle entre la révolte de Spartakos – qu'ils persistent à appeler « Spartacus »
- et la Révolution Africaine qui monte et qui les chassera. Un « historien »
laquais et servile qui ne fera pas de comparaison entre Caius Julius Caesar qui
déporta plus de UN million de Gaulois pour servir d'esclaves aux fainéants de
Rome et les déportations colonialistes qui enrichirent la France, un « historien »
servile idéologique qui ne fera pas de comparaison entre le policier raciste
sarkozyste de 2009 et le policier raciste étasunien de 1850. Pas de comparaison
entre la chasse aux esclaves en fuite – dans les États du Nord des USA de 1850
et dans la France de 2009.
Leur « historien impartial » n'est qu'un vil larbin.
Leur prétendue « objectivité » aboutirait, en « histoire du vivant » à refuser de
nous réjouir de l'apparition de cette même vie au sein de l'inanimé;
Où donc la philosophie peut-elle donc se nicher dans ce sujet.
Nulle part.
Ou alors en creux : c'est précisément la négation des lois de la philosophie, dans
les trois domaines qui permet aux idéologues de produire leur flagornerie
habituelle.
En effet, la découverte de la Loi de la Transformation Quantité-Qualité (LTQQ)
au sein de l'histoire de l'inanimé, c'est précisément le commencement de
l'histoire du vivant. C'est, en effet, une accumulation de quantités qui permit
l'apparition du vivant. Accumulation d'atomOs en troupeau qui se sont grumelés
de façon cyclique, avec des chocs se reproduisant à l'identique qui ont produit
les photons. Photons s'agglomérant - reproduisant cycliquement leurs
configurations géométriques internes – les uns aux autres pour produire les
atomES : Noyaux – protons, neutrons - et électrons. Atomes s'agglomérant pour
devenir matière inanimée.
Molécules s'agglomérant et, par la LTQQ devenir cellules du vivant.
Cette LTQQ a permis de passer des organismes les plus basiques aux animaux
les plus évolués.
On remarquera que les accélérations et les ralentissements qui sont les
modalités des trajectoires des électrons atomiques et celles des planètes autour
de leurs soleils sont aussi les accélérations et les ralentissements des peaux des
animaux aux trajectoires sinuantes. Accélérations de la peau du serpent –
tournée vers l'extérieur - qui doit augmenter sa vitesse pendant que sa peau à l'
« intérieur » ralentit son trajet en se contractant. Cela n'est que le reflet moteur
de l'alternance contraction dilatation mis en lumière par Wilhelm Reich. Ainsi
qu'il mit en lumière la contradiction dialectique entre le système sympathique et
le système parasympathique.
La transformation de la quantité en qualité fut découvert par Hegel mais son
caractère de loi philosophique fondamentale fut énoncé par Friedrich Engels.
Extraits de « La dialectique de la nature » de F Engels.
LA DIALECTIQUE
Retour à la table des matières
(Développer le caractère général de la dialectique en tant que science des
connexions, en opposition à la métaphysique.)
C'est donc de l'histoire de la nature et de celle de la société humaine que sont
abstraites les lois de la dialectique. Elles ne sont précisément rien d'autre que les
lois les plus générales de ces deux phases du développement historique ainsi
que de la pensée elle-même. Elles se réduisent pour l'essentiel aux trois lois
suivantes:
- la loi du passage de la quantité à la qualité et inversement;
- la loi de l'interpénétration des contraires;
- la loi de la négation de la négation.
Toutes trois sont développées à sa manière idéaliste par Hegel comme de pures
lois de la pensée : la première dans la minière partie de la Logique, dans la
doctrine de l'Être ; la seconde emplit toute la deuxième partie, de beaucoup la
plus importante, de sa Logique, la doctrine de l'Essence ; la troisième enfin
figure comme loi fondamentale pour l'édification du système tout entier. La
faute consiste en ce que ces lois sont imposées d'en haut à la nature et à
l'histoire comme des lois de la pensée au lieu d'en être déduites. Il en résulte
toute cette construction forcée, à faire souvent dresser les cheveux sur la tête :
qu'il le veuille ou non, le monde doit se conformer à un système logique, qui
n'est lui-même que le produit d'un certain stade de développement de la pensée
humaine. Si nous inversons la chose, tout prend un aspect très simple, et les lois
dialectiques, qui dans la philosophie idéaliste paraissent extrêmement
mystérieuses, deviennent aussitôt simples et claires comme le jour.
D'ailleurs quiconque connaît tant soit peu son Hegel sait bien que celui-ci, dans
des centaines de passages, s'entend à tirer de la nature et de l'histoire les
exemples les plus péremptoires à l'appui des lois dialectiques.
Nous n'avons pas ici à rédiger un manuel de dialectique, mais seulement à
montrer que les lois dialectiques sont de véritables lois de développement de la
nature, c'est-à-dire valables aussi pour la science théorique de la nature. Aussi
ne pouvons-nous entrer dans l'examen. détaillé de la connexion interne de ces
lois entre elles.
1. Loi du passage de la quantité à la qualité et inversement. Nous pouvons, pour
notre dessein, exprimer cette loi en disant que dans la nature, d'une façon
nettement déterminée pour chaque cas singulier, les changements qualitatifs ne
peuvent avoir lieu que par addition ou retrait quantitatifs de matière ou de
mouvement (comme on dit, d'énergie).
Toutes les différences qualitatives dans la nature reposent soit Sur Une
composition chimique différente, soit sur des quantités ou des formes
différentes de mouvement (d'énergie), soit, ce qui est presque toujours le cas,
sur les deux à la fois. Il est donc impossible de changer la qualité d'aucun corps
sans addition ou retrait de matière ou de mouvement, c'est-à-dire sans
modification quantitative du corps en question. Sous cette forme, la mystérieuse
proposition de Hegel n'apparaît donc pas seulement tout à fait rationnelle, mais
même assez évidente.
Il est sans doute à peine nécessaire d'indiquer que même les différents états
allotropiques et d'agrégation des corps reposent, parce qu'ils dépendent d'un
groupement moléculaire différent, sur une quantité plus ou moins grande du
mouvement communiqué à ces corps.
Mais que dire du changement de forme du mouvement ou, comme on dit, de
l'énergie ? Lorsque nous transformons de la chaleur en mouvement mécanique
ou inversement, la qualité est pourtant modifiée et la quantité reste la même ?
Tout à fait exact. Mais il en est du changement de forme du mouvement comme
du vice de Heine: chacun pour soi peut être vertueux, mais pour le vice il faut
toujours être deux. Le changement de forme du mouvement est toujours un
processus qui s'effectue entre deux corps au moins,, dont l'un perd une quantité
déterminée de mouvement de la première qualité (par exemple de chaleur),
tandis que l'autre reçoit une quantité correspondante de mouvement de l'autre
qualité (mouvement mécanique, électricité, décomposition chimique). Quantité
et qualité se correspondent donc ici de part et d'autre et réciproquement.
jusqu'ici on n'a pas réussi à l'intérieur d'un corps singulier isolé à convertir du
mouvement d'une forme dans l'autre.
Il n'est question ici pour l'instant que de corps inanimés; la même loi est valable
pour les corps vivants, mais elle procède en eux dans des conditions très
complexes, et aujourd'hui encore la mesure quantitative nous est souvent
impossible.
Si nous nous représentons un corps inanimé quelconque divisé en particules de
plus en plus petites, il ne se produit tout d'abord aucun changement qualitatif.
Mais il y a une limite : si, comme dans l'évaporation, nous parvenons à libérer
les molécules isolées, nous pouvons certes, dans la plupart des cas, continuer
encore à diviser celles-ci, mais seulement au prix d'un changement total de la
qualité. La molécule se décompose en ses atomes, qui ont isolément des
propriétés tout à fait différentes de celles de la molécule. Dans le cas des
molécules qui se composent d'éléments chimiques différents, la molécule
composée est remplacée par des molécules ou des atomes de ces corps simples
eux-mêmes; dans le cas des molécules des éléments apparaissent les atomes
libres, qui ont des effets qualitatifs tout à fait différents: les atomes libres de
l'oxygène à l'état naissant produisent en se jouant ce que les atomes de
l'oxygène atmosphérique liés dans la molécule ne réalisent jamais.
Mais la molécule elle-même est déjà qualitativement différente de la masse du
corps physique dont elle fait partie. Elle peut accomplir des mouvements
indépendamment de cette masse et tandis qu'en apparence celle-ci reste en
repos, par exemple des vibrations caloriques; elle peut, grâce à un changement
de position ou de liaison avec les molécules voisines, faire passer le corps à un
état d'allotropie ou d'agrégation différent, etc.
Nous voyons donc que l'opération purement quantitative de la division a une
limite, où elle se convertit en une différence qualitative : la masse ne se
compose que de molécules, mais elle est quelque chose d'essentiellement
différent de la molécule, comme celle-ci l'est à son tour de l'atome. C'est sur
cette différence que repose la séparation de la mécanique, science des masses
célestes et terrestres, de la physique, mécanique des molécules, et de la chimie,
physique des atomes.
Dans la mécanique, on ne rencontre pas de qualités ; tout au plus des états
comme l'équilibre, le mouvement, l'énergie potentielle, qui tous reposent sur la
transmission mesurable du mouvement et qui peuvent eux-mêmes s'exprimer
quantitativement. Donc, dans la mesure où un changement qualitatif se produit,
il est déterminé par un changement quantitatif correspondant.
En physique les corps sont traités comme chimiquement invariables ou
indifférents ; nous avons affaire aux modifications de leurs états moléculaires et
au changement de forme du mouvement, changement qui, dans tous les cas, au
moins d'un des deux côtés, met en jeu les molécules. Ici, toute modification est
une conversion de la quantité en qualité, une conséquence d'un changement
quantitatif de la quantité du mouvement, quelle qu'en soit la forme, qui est
inhérent au corps ou qui lui est communiqué.
Ainsi, par exemple, le degré de température de l'eau est tout d'abord indifférent
relativement à sa liquidité; mais, si l'on augmente ou diminue la température de
l'eau liquide, il survient un point où cet état de cohésion se modifie et où l'eau
se change d'une part en vapeur et d'autre part en glace. (HEGEL, Encycl., Éd.
Complète, tome VI, p. 217 1.)

Ainsi, il faut une intensité minimum déterminée du courant pour porter à


l'incandescence le fil de platine (de la lampe électrique) ; ainsi, chaque métal a
sa température d'incandescence et de fusion, chaque liquide son point de
congélation et son point d'ébullition, fixes pour une pression connue, - dans la
mesure où nos moyens nous permettent de réaliser la température en question;
ainsi, enfin, chaque gaz a lui aussi son point critique où la pression et le
refroidissement le rendent liquide. En un mot, les soi-disant constantes de la
physique ne sont en majeure partie pas autre chose que la désignation de points
nodaux, auxquels un apport ou un retrait quantitatifs de mouvement entraînent
dans l'état du corps en question une modification qualitative, donc où la
quantité se convertit en qualité.
Cependant le domaine dans lequel la loi de la nature découverte par Hegel
connaît ses triomphes les plus prodigieux est celui de la chimie. On peut définir
la chimie comme la science des changements qualitatifs des corps qui se
produisent par suite d'une composition quantitative modifiée. Cela, Hegel lui-
même le savait déjà (Logique, éd.. compl. III, p. 433) 2. Soit l'oxygène: si, au
lieu des deux atomes habituels, trois atomes s'unissent pour former une
molécule, nous avons l'ozone, corps qui par son odeur et ses effet se distingue
d'une façon bien déterminée de l'oxygène ordinaire. Et que dire des proportions
différentes dans lesquelles l'oxygène se combine à l'azote ou au soufre et dont
chacune donne un corps qualitativement différent de tous les autres ! Quelle
différence entre le gaz hilarant (protoxyde d'azote N 2O) et l'anhydride azotique
(pentoxyde d'azote N2O5) ! Le premier est un gaz, le second, à la température
habituelle, un corps solide et cristallisé. Et pourtant toute la différence dans la
combinaison chimique consiste en ce que le second contient cinq fois plus
d'oxygène que le premier. Entre les deux se rangent encore trois autres oxydes
d'azote NO, N2O3, NO2), qui tous se différencient qualitativement des deux
premiers et sont différents entre eux.
Ceci apparaît d'une façon plus frappante encore dans les séries homologues des
carbures, notamment des hydrocarbures les plus simples. Des paraffines
normales, la première de la série est le méthane CH 4 ; ici les 4 valences de
1
2
l'atome de carbone sont saturées par 4 atomes d'hydrogène. La seconde, l'éthane
C2H6 comprend deux atomes de carbone qui ont échangé une valence, et les six
valences libres sont saturées par six atomes d'hydrogène.
(...)
Cependant nous rencontrons dans ces séries la loi de Hegel sous une autre
forme encore. Les premiers termes n'admettent qu'une seule disposition
réciproque des atomes. Mais, si le nombre des atomes qui constituent une
molécule atteint une grandeur déterminée pour chaque série, le groupement des
atomes dans la molécule peut s'opérer de façon multiple ; de la sorte on peut
rencontrer deux corps isomères ou plus qui ont le même nombre d'atomes C, H,
O par molécule, mais qui sont pourtant qualitativement différents.
(…)
Il y a plus De l'analogie des corps qui nous sont connus dans chacune des séries,
nous pouvons tirer des conclusions sur les propriétés physiques des termes
encore inconnus de la série et, tout au moins pour ceux qui suivent
immédiatement les termes connus, prédire avec une certaine certitude ces
propriétés, point d'ébullition, etc.
Enfin la loi de Hegel n'est pas valable seulement pour les corps composés, mais
aussi pour les éléments chimiques eux-mêmes. Nous savons maintenant « que
les propriétés chimiques des éléments sont une fonction périodique de leurs
poids atomiques ». (ROSCOE-SCHORLEMMER : Manuel complet de
chimie, tome II, p. 823)3, que leur qualité est donc déterminée par la quantité de
leur poids atomique. Et la confirmation en a été fournie d'une façon éclatante.
Mendeléiev démontra que dans les séries, rangées par poids atomiques
croissants, des éléments apparentés, on rencontre diverses lacunes, qui
indiquent qu'il y a là de nouveaux éléments restant à découvrir.
(…)
Grâce à l'application - inconsciente - de la loi hégélienne du passage de la
quantité à la qualité, Mendeléiev avait réalisé un exploit scientifique qui peut
hardiment se placer aux côtés de celui de Leverrier calculant l'orbite de la
planète Neptune encore inconnue 4.

3
4
Dans la biologie comme dans l'histoire de la société humaine, la même loi se
vérifie à chaque pas, mais nous voulons nous en tenir ici à des exemples
empruntés aux sciences exactes, puisque c'est ici que les quantités peuvent être
exactement mesurées et suivies.
Sans aucun doute ces mêmes messieurs qui ont jusqu'à présent taxé de
mysticisme et de transcendentalisme incompréhensible la loi du passage de la
quantité à la qualité vont-ils déclarer maintenant qu'il s'agit là de quelque chose
de tout à fait évident, de banal et de plat qu'ils ont utilisé depuis longtemps et
qu'ainsi on ne leur a rien appris de nouveau. Mais cela restera toujours un haut
fait historique d'avoir exprimé pour la première fois une loi générale de
l'évolution de la nature, de la société et de la pensée sous sa forme
universellement valable. Et, si ces messieurs ont depuis des années laissé se
convertir l'une en l'autre quantité et qualité sans savoir ce qu'ils faisaient, il
faudra bien qu'ils se consolent de concert avec le monsieur Jourdain de Molière,
qui avait lui aussi fait de la prose toute-sa vie sans en avoir la moindre idée.
(texte ré-édité à partir d'une édition-scan totalement bâclée de Jean-Marie
Tremblay. Grâces lui soient rendues pour ces « travaux » inachevés. On
retournera lui signaler les erreurs décelées quand son emploi du temps
overbooké à vouloir tout scanner le premier lui laissera le temps de répondre
poliment aux mails qui lui sont envoyés.)
Lire ce texte, le lendemain du jour de son « épreuve de philosophie » doit
sembler très étrange pour un étudiant de terminale « scientifique » ! Mais
l'explication est simple : les charlatans incapables et ignorants ne vous feront
lire ni du Engels ni du Hegel. Leur ignorance crasse apparaitrait trop vite !!!
Leur incompétence, leur arrogance peuvent s'accomoder de leurs habituels
baratins sur « la liberté » et autres foutaises. Mais la science, la véritable
science, la « philosophie naturelle » de Newton, la véritable philosophique
atomique de Puthagoras, ils la fuient comme le mensonge fuit la lumière.
On peut maintenant trouver – comme on trouve un trésoir enfoui – où, à quel
endroit était caché la philosophie, la science philosophique dans l'énoncé des
crétins
« L’objectivité de l’histoire suppose-t-elle l’impartialité de l’historien ? »
Elle est cachée dans le non-dit : le pseudo apprentissage de cette pseudo
philosophie en classe terminale vise à empêcher la découverte de la véritable
philosophie. Et donc à empêcher la connaissance des véritables lois de l'histoire
: lois basées sur les lois de transformations quantité qualité. La non-impartialité
du « clown titré professeur » de philosophie consiste dans le voile qu'il pose sur
les véritables textes scientifiques : Ne pas lire Hegel ni Engels est du même
tonneau que de passer une licence d'histoire en ayant « étudié » Decaux et
Castelot.
La non objectivité du « philosophe » qui a rédigé ce « sujet » est patente :
quand il souhaite entendre critiquer la repentance, quand il souhaite ne pas voir
ses collègues être appelés à la barre du futur Nuremberg de l'Afrique, qui jugera
les Sarkozy, les Bolloré, les Alliot-Marie, les Jospin, les Jack Lang et toutes les
crapules complices du crime colonialiste, tel un Pinocchio qui se démasque, il
révèle par sa question son refus de la connaissance par la jeunesse des véritables
lois de la science.
Pourquoi ?
Parce que, simplement, l'application de ces lois révèlent l'écroulement prochain
du capitalisme.
Parce que les « clown titrés professeurs » sont les larbins du capitalismes.
Et que les chiens qui mangent les miettes colonialistes qui lui sont allouées par
Bolloré ne vont pas mordre la main de leur maître.
Voilà où se trouvent les lois philosophiques dans cette question : le fait que
celui qui la pose refuse qu'on connaisse la transformation quantité qualité qui va
l'abolir en tant que membre d'une classe exploiteuse.
Les étoiles explosent et les classes exploiteuses sont abolies.
Voilà ce que les menteurs refusent « au nom de l'objectivité bourgeoise », au
nom de leur « impartialité » de clowns corrompus et mensongers. Clowns
rédacteurs de sujets et clowns correcteurs.
2e sujet Le langage trahit-il la pensée ?
YT : Les concepts sont exprimés par des mots. Les concepts sont scientifiques.
Cette question est du Canada dry de l'épistémologie.
YT2 : Voilà le genre de sujet dont raffolent les clowns. Mais vont-ils traiter de
l'apparition du langage dans les société humaines. Que nenni, les clowns n'y
connaissent rien. Vont-ils traiter des systèmes de communication au sein des
populations animales. Mais non, ils sont totalement ignares sur ce sujet. Vont-ils
mener une étude sur le passage entre les communications électriques et les
communications chimiques ? Vous rigolez, on est à mille lieues de leur «
domaine de connaissance » ! Vont-ils prendre des exemples issues de la «
biomathématique » la plus récente étudiant les « communications » entre
l'estomac et les autres organes ? Farce ! Vont-ils présenter des études sur les
diverses langues utilisées par les humains ? Mais non ! Farce ! Vont-ils mettre
en lumière le fait que si les Espagnols parlent plus vite que les Français est lié
au fait que la langue espagnol a besoin de davantage de mots, de davantage de
syllabes pour exprimer exactement la même chose ? Farce ! Les « clowns de la
fausse philosophie » n'y ont jamais pensé.
Vont-ils présenter des thèses sur les modes de raisonnement différents des
peuples à écriture cunéiforme, des peuples aux écritures hiéroglyphiques et les
peuples à lettres ? Vous rigolez !!!! S'il fallait faire de la science pour faire de la
« philosophie », cela se saurait !!!!
Vont-ils présenter des thèses scientifiques sur les peuples dépourvus de
systèmes d'écriture quant à leur capacités à exprimer « leur pensée » ? capacité
différente de la nôtre ? Mais ils sont ignares ?
Vont-ils présenter des études scientifiques sur les peuples à traditions orales ?
Quelle blague !!! Depuis quand un cours de philosophie appuie-t-il ses thèses
sur des travaux historiques ? Depuis quand un « philosophe » prend-il le risque
de voir une découverte historique remettre en cause sa thèse ?
Vont-ils donc comparer Polubos qui se méfiait des sources écrites à Titus Livus
qui a construit son Histoire sur des archives ? Vont-ils interviewer des paysans
sur le Débarquement Impérialiste Etasunien de 1944 ?
Mais ce distingo langage parlé-langage écrit n'est qu'un aspect du problème que
les clowns prétendent traiter, prétendent juger, prétendent noter.
Mais qu'est-ce que ces gens-là appellent « pensée ».
Quelle est donc cette « pensée » dont ils prétendent connaître les contours ?
Ils vont donc présenter des tomographies de patients en train de penser à
différents domaines ? Ils vont donc faire étudier les « zones du langage » à leurs
élèves ? Ils vont faire étudier les localisations cérébrales du langage ? De la
pensée ?
Mais.... vous rigolez !!!
Ces gens sont des rhéteurs ! Ils ne valent pas plus chers que les imbéciles
protagonistes du Gorgias de Platon-Socratès. Ils apprennent les techniques du
baratin ! Il s'agit de vendre au capitaliste le plus offrant ! Pas de comprendre la
science.
En quoi le langage écrit est-il une transformation quantité qualité du langage
parlé ?
En quoi, si la phase liquide est une étape entre la phase gazeuse et la phase
solide, les dessins des grottes de Lascaux sont-elles une étape entre le stade du
langage parlé et les représentations écrites des langues parlées ?
Quelle seraient donc les étapes suivantes ? En quoi l'accumulation de quantités
de mots parlés a abouti aux mots écrits et donc, en quoi l'accumulation de mots
écrits débouche-t-elle sur une nouvelle qualité ? Dans ce cadre, quel est le statut
de la photographie, de la chanson enregistrée ?
Et quid alors de représentations symboliques autres que les lettres ? Quid les
chiffres et des mots ? Quid du solfège ? Quid de tous les autres systèmes
symboliques ? Les organigrammes informatiques ? Les symboles des danseurs,
les symboles des sourds muets ?
Où était la philosophie ? Où était nichée la science philosophique dans le « sujet
d'examen » des clowns ?Dans la variation, dans l'évolution, dans les
transformations quantité qualité. Seulement voilà, les clowns ont éjecté Engels
hors de leurs cours !!!!
Les clowns du fascisme colonialiste, les clowns de la Puissance Occupante
Coloniale craigent comme la peste le retour du marxisme. Ils ont éjecté la
formoisie de la scène politique mondiale, ils ont détruit l'Etat formois de Russie,
ils ont éjecté tout ce qu'ils pouvaient éjecter sans prendre le risque d'apparaitre
pour ce qu'ils sont : des fascistes colonialistes.
Ils ont commencé par Wilhelm Reich. L'adversaire de la stupide pulsion de
mort de Sigmund Freud ils l'ont évacué des livres de « philosophie » en
terminale. Quant à Malinowski, à peine arrivé que déjà éjecté.
Le Marx rebelle est lui aussi persona non grata. Il n'y a que le « Marx historien
» , le fond de commerce des formois du style Ben Said qu'il n'ont pas pu
totalement effacés.
Mais les clowns de la « Révolution américaine », les thuriféraires de l'auteur du
« Royaume de dieu sur Terre » tiennent le pouvoir. Ils contrôlent la situation.
Pour un enseignant honnête qui persiste, contre vents et marées à enseigner la
Révolution d'Octobre et la Révolution de Février il y en a cent qui masquent
l'Histoire, qui trafiquent l'Histoire. Qui mentent. Qui truquent. Pour UN prof
honnête , combien de racistes comme Pierre Miquel, combien de racistes
comme Lévi-Strauss ? Quoi d'étonnant alors que le naufrage de l'enseignement
de l'Histoire aboutisse à la perte corps et biens de la totalité de la philosophie.
3e sujet Expliquez le texte suivant : Il n'y a pas de satisfaction qui d'elle-même
et comme de son propre mouvement vienne à nous ; il faut qu'elle soit la
satisfaction d'un désir. Le désir, en effet, la privation, est la condition
préliminaire de toute jouissance. Or avec la satisfaction cesse le désir et par
conséquent la jouissance aussi. Donc la satisfaction, le contentement ne
sauraient être qu'une délivrance à l'égard d'une douleur, d'un besoin ; sous ce
nom, il ne faut pas entendre en effet seulement la souffrance effective, visible,
mais toute espèce de désir qui, par son importunité, trouble notre repos, et
même cet ennui qui tue, qui nous fait de l'existence un fardeau. Or c'est une
entreprise difficile d'obtenir, de conquérir un bien quelconque ; pas d'objet qui
ne soit séparé de nous par des difficultés, des travaux sans fin ; sur la route, à
chaque pas, surgissent des obstacles. Et la conquête une fois faite, l'objet atteint,
qu'a-t-on gagné ? Rien assurément, que de s'être délivré de quelque souffrance,
de quelque désir, d'être revenu à l'état où l'on se trouvait avant l'apparition de ce
désir. Le fait immédiat pour nous, c'est le besoin tout seul c'est-à-dire la douleur.
Pour la satisfaction et la jouissance, nous ne pouvons les connaître
qu'indirectement ; il nous faut faire appel au souvenir de la souffrance, de la
privation passée, qu'elles ont chassées tout d'abord. Voilà pourquoi les biens, les
avantages qui sont actuellement en notre possession, nous n'en avons pas une
vraie conscience, nous ne les apprécions pas ; il nous semble qu'il n'en pouvait
être autrement ; et, en effet, tout le bonheur qu'ils nous donnent, c'est d'écarter
de nous certaines souffrances. Il faut les perdre pour en sentir le prix ; le
manque, la privation, la douleur, voilà la chose positive, et qui sans
intermédiaire s'offre à nous. Schopenhauer, Le monde comme volonté et
comme représentation
Après avoir lu quelques lignes, le titre m'est venu. Comme une révélation :
« Schopenhauer va aux p... ». Et quelques secondes de plus m'ont donné le titre
complet :
LE CRETIN SCHOPENHAUER VA AUX P... *

(P..*. = PERIPATETIECIENNES)
Comme nous ne pratiquons pas le désanachonisme censeur, nous prendrons
comme point de départ le fait que des contemporains de ce crétins ne
fréquentaient pas les péripatéticien-ne-s ni ne pratiquaient aucun commerce
sexuel tarifé. Comme par ailleurs il existe – au moins – un lecteur
comptabilisant les « crétins » , il nous faudra argumenter sur la caratère
conceptuel de la caractérisation de « ce » crétin.
Schopenhauer va aux p...* et nous le fait savoir : « Et la conquête une fois faite,
l'objet atteint, qu'a-t-on gagné ? Rien assurément, que de s'être délivré de
quelque souffrance, de quelque désir, d'être revenu à l'état où l'on se trouvait
avant l'apparition de ce désir. » Le lecteur de Wilhelm Reich identifie
immédiatement le problème : Le patient vient d'éjaculer, il a honte, sa partenaire
– pour le prix payé – ne lui manifeste aucun geste de simulacre affectif.
D'autant qu'il n'en a pas envie. Il a évacué sa tension. Il a payé pour cela. Et il
est « revenu à l'état où l'on se trouvait avant l'apparition de ce désir ».Wilhelm
Reich, avec la même méthode avait identifié le lieu d'où venait la volonté de «
pureté du sang » des abrutis fascistes nazis : du bordel. Il nous expliquait, en
effet, que c'était la crainte des maladies vénériennes qui était enfoui dans cette
pureté souillée. Pour le nazis, la prostituée ne peut qu'être de confession juive et
donc être la seule à vouloir lui transmettre des MST.
Ici, pour le crétin Schopenhauer, ce sont ses expériences – ou celles narrées à
lui par ses compagnons de chambrées militaires – qui sont à la base de son
insatisfaction. L'individu normal – dans la norme égalitariste, dans la norme
féministe, dans la norme humaniste, et donc hors de la norme de la barbarie
capitaliste – lui aura choisi avec soin son ou sa partenaire. Il ou elle admire la
personne avec qui il va se caliner réciproquement. Les contacts physiques sont
consécutifs à des échanges verbaux. L'admiration réciproque que ces personnes
éprouvent l'une pour l'autre vont transformer le commerce sexuel en un échange
de dons réciproques qui auront pour sens d'exprimer toutes les admirations.
Admirer ne signifie par se mirer, se regarder dans un miroir. Dans l'échange
sexuel, c'est le don qui entraîne le don : point n'est besoin de rechercher quelque
jouissance que ce soit, de demander, de quémander. Puisque l'autre est occupé
de l'autre. Puisque l'autre est occupé de satisfaire le partenaire. Et quand – mais
ce n'est pas un « impératif » ni « kantien » ni « schopenhauerien » - l'élévation
des différences de potentiel aura atteint le sommet d'une courbe dialectique.
Quand les mouvements pelviens et les frottements auront maximisé les
échanges et auront entrainé une telle accumulation de bio-électricité – visible
sur les graphes des capteurs bio-électriques de Wilhelm Reich – il se produira
une transformation quantité qualité simultanée à une émission génitale, la
courbe dialectique connaîtra une chute quasi-verticale, dont la dérivée première
aura une valeur (négative) absolue d'autant plus grande que la jouissance sera
plus élevée. Quand les deux partenaires se seront – l'un à l'autre – donné le
meilleur d'eux-mêmes, offert le meilleur d'eux-mêmes...
A cet instant, à cet instant seulement : ils se souriront. Leurs remerciements
réciproques – parfois gâchés par les découvertes nicotinesques – seront
(resteront) proportionnels à leurs admirations réciproques.
S'être – l'un à l'autre – donné des actes physique aura valeur de témoignage,
valeur de preuve de ce qu'ils d'admirent l'un pour l'autre.
Mais.... aux p... ça ne se passe pas pareil. Schopenhauer en témoigne.
Mais... chez les malheureux pour qui le mot baise n'est pas la conjugaison du
verbe issu du nom « un baiser ». Pour qui ce ne sont pas les mains qui sont
baisées, mais les assemblages vivants qui viennent dépoétiser certain texte du
malheureux Damien Saez
(...)
Se pendre à bout de corps perdus, S'éprendre de tous nos corps nus Evadez, évadez, évadez, évadez-
moi, Ce sont des fuites qui nous nettoient
Embrasons, embrasons, embrasons, embrasons-nous, Le feu des corps est bon Le feu des corps est
doux Au devant des supplices c'est le coeur qui crie, Notre espoir fait office de lumière éblouie
(le passage laidement charnel est sur le vidéo du lien : je l'ai ..."censuré" sur mon blog ...
romantique !!!)

Chez ces malheureux, il en est de l'amour comme de la drogue : la chute est


brutale.
Mais de là à théoriser les bad trip pour prétendre en faire des textes de
philosophie. IL n'y a que les crétins qui peuvent prétendre le faire. Tant qu'ils
détiennent le pouvoir d'Etat.
Démonstration :
« Il n'y a pas de satisfaction qui d'elle-même et comme de son propre
mouvement vienne à nous ; il faut qu'elle soit la satisfaction d'un
désir. [traduction: 1° un désir DONC satisfaction d'un désir ] Le désir, en effet,
la privation, est la condition préliminaire de toute jouissance. [traduction : 2° Le
désir = la privation 3° Le désir DONC la jouissance] Or avec la satisfaction
cesse le désir et par conséquent la jouissance aussi. [traduction : 4° satisfaction
DONC fin du désir 5° fin du désir DONC fin de la jouissance .] Donc la
satisfaction, le contentement ne sauraient être qu'une délivrance à l'égard d'une
douleur, d'un besoin ; » [traduction : 6° Satisfaction = contentement 7°
satisfaction = délivrance 8° délivrance = fin d'une douleur 9° besoin = douleur]
L'enchainement logique est totalement absurde. Il n'est même pas fait de
distinction claire entre le « plaisir de l'attente », le « plaisir de la jouissance
orgasmique » et le « plaisir de la quiétude post orgasmique ». Tout se joue dans
la rhétorique stupide des apparences. En fait on peut résumer cela a :
Schopenhauer et ses copains sont contents d'aller au bordel. DONC ils sont
contents. Schopenhauer et ses copains sortent du bordels (ils ont payés cher,
trop cher). DONC ils ne sont plus contents. La preuve ? La voilà : ils étaient
contents d'ALLER au bordel. Leur « plaisir » était de faire le trajet dans un
sens. Pas dans l'autre sens. Ils n'ont pas de plaisir à REVENIR du bordel !!!!
Il paraît que les crétins qui choisissent de pareilles stupidités comme « sujets »
d'un « examen » sont payés ! Mais ce n'est qu'une rumeur !
Et le pompon : un espèce d'ataraxie digne des abrutis réincarnés de la bande du
grand Lama
« sous ce nom, il ne faut pas entendre en effet seulement la souffrance effective,
visible, mais toute espèce de désir qui, par son importunité, trouble notre repos,
et même cet ennui qui tue, qui nous fait de l'existence un fardeau. »
J'avais résumé tout cela hier par « YT : Un charabia qui ressemble à de la
science psychologique. Mais n'est pas de la science philosophique. »
YT2 : Le pire,c 'est qu'ils auraient pu prélever dans les textes du même Schopenhauer
ceux qui correspondent à sa critique gnoséologique du matérialisme. Critiquer son
absurde point de vue aurait consisté à FAIRE DE LA SCIENCE
PHILOSOPHIQUE. Les clowns ont préféré "Les aventures de S... au b..."

Série E.S.
1er sujet : Que gagne-t-on à échanger ?
YT : De la pseudo-science économique. Rien à voir avec la philosophie.
YT2 : Un texte très drôle déposé par un habitué du site Abidjantalk.com – dans
un tout autre contexte - avait, la semaine dernière, résumé cela. Je le reproduis
ici.
Ça se passe dans un village qui vit du tourisme, sauf qu'à cause de la crise
il n'y a plus de touristes. Tout le monde emprunte à tout le monde pour
survivre. Plusieurs mois passent, misérables.

Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de
100€.

Le touriste n'est pas plutôt monté dans sa chambre que l'hôtelier court
porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent euros. Le
boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l'approvisionne en
viande. Le paysan, à son tour, se dépêche d'aller payer sa dette à la
prostituée à laquelle il doit quelques passes. La prostituée boucle la boucle
en se rendant à l'hôtel pour rembourser l'hôtelier qu'elle ne payait plus
quand elle prenait une chambre à l'heure.

Comme elle dépose le billet de 100€ sur le comptoir, le touriste, qui venait
dire à l'hôtelier qu'il n'aimait pas sa chambre et n'en voulait plus, ramasse
son billet et disparaît.

Rien n'a été dépensé, ni gagné, ni perdu. N'empêche que plus personne
dans le village n'a de dettes.

N'est-ce pas ainsi qu'on est en train de résoudre la crise


mondiale?

Je n'ai pas le temps de rechercher le point de départ


et comme Google boycotte le site Abidjantalk.com en
oubliant de relever des pages et des pages... je donne le
lien vers les 45 sources !!! On pourrait faire une autre réponse : on
gagne ce qu'ont gagné les partenaires du sujet précédent. Quant à la
transformation quantité qualité : elle se trouve dans l'avenir. En effet, une
accumulation de travail salarié, sous la contrainte d'un salaire versé par un
capitaliste ou un Etat capitaliste fera apparaître une nouvelle qualité : le travail
facultatif. Chacun, payé 1000 euros par mois, se rendra utile à l'humanité.
La principale source de productivité sera la créativité : elle sera fournie sans
contrôle, sans SACEM, sans flicage de la circulation de l'innovation.
En effet, les droits d'auteur seront payés aux descendants des milliards de nos
ancêtres qui sont à l'origine de notre niveau économique.
Idem pour les choix d'investissements , la LTQQ nous montre que
l'acculumation de classes exploiteuses a mené l'Humanité au gouffre avec 200
GtC giga tonnes de carbone au dessus de nos têtes. La LTQQ nous fait prévoir
l'investissement démocratique, le retour, dans les mains du citoyen – 300 euros
par mois – du droit d'investir, des choix d'investissement. L'échange, ce sera la
participation économique de chacun pour améliorer la société ! Mais cette
LTQQ n'était pas l' »objet » du « sujet » du clown !
2e sujet : Le développement technique transforme-t-il les hommes ?
YT : Cela a à voir avec le matérialisme historique. Qui est l'application à
l'histoire de la science philosophique. Mais ce n'est PAS de la philosophie.
YT2 : Cette parodie de Marx qui ne dit pas son nom est le seul des sujets qui
puisse ouvrir la porte directement à la LTQQ. Mais ce qui est dramatique, c'est
le fait qu'un ignare, qu'un individu ignorant tout de la LTQQ et donc qui
ignorerait tout de la science philosophique pourrait avoir l'arrogance de
répondre à une telle question, de noter un devoir portant sur une telle
question. Sur le plan philosophique, la bonne question serait : « quels sont les
niveaux de développement économiques accumulés qui sont susceptibles de
transformer les sociétés humaines ». Tout autre serait la question appliquée à
l'individu lui-même. En effet, les employés de la banque brésilienne qui ont
accepté de se faire greffer une « puce GPS » sous la peau pour les localiser en
direct, celui qui est muni, en permanence d'une oreillette téléphonique, ceux qui
jouent à des jeux vidéos avec des capteurs absolus seraient l'objet d'une autre
étude tout à fait distinct. Une étude qui intègrerait les greffes actuelles et à venir
comme pendant biologique à l'aspect technologique résumé ci-dessus. Mais ce
sont, au total, trois études différentes. Et le caractère philosophique de ces trois
études ce serait la façon dont la LTQQ serait ici appliquée. Ce ne serait pas
l'étude interdisciplinaire qui relève, elle, strictement, des sciences humaines. Et
non de la philosophie.
3e sujet : Expliquez le texte suivant :
Quant à savoir s’il existe le moindre principe moral qui fasse l’accord
de tous, j’en appelle à toute personne un tant soit peu versée dans
l’histoire de l’humanité, qui ait jeté un regard plus loin que le bout de
son nez. Où trouve-t-on cette vérité pratique universellement acceptée
sans doute ni problème aucun, comme devrait l’être une vérité innée ?
La justice et le respect des contrats semblent faire l’accord du plus
grand nombre ; c’est un principe qui, pense-t-on, pénètre jusque dans
les repaires de brigands, et dans les bandes des plus grands malfaiteurs
; et ceux qui sont allés le plus loin dans l’abandon de leur humanité
respectent la fidélité et la justice entre eux. Je reconnais que les hors-
la-loi eux-mêmes les respectent entre eux ; mais ces règles ne sont pas
respectées comme des lois de nature innées : elles sont appliquées
comme des règles utiles dans leur communauté ; et on ne peut
concevoir que celui qui agit correctement avec ses complices mais
pille et assassine en même temps le premier honnête homme venu,
embrasse la justice comme un principe pratique. La justice et la vérité
sont les liens élémentaires de toute société : même les hors-la-loi et les
voleurs, qui ont par ailleurs rompu avec le monde, doivent donc
garder entre eux la fidélité et les règles de l’équité, sans quoi ils ne
pourraient rester ensemble. Mais qui soutiendrait que ceux qui vivent
de fraude et de rapine ont des principes innés de vérité et de justice,
qu’ils acceptent et reconnaissent ? John Locke, Essai sur
l’entendement humain
YT : Charabia pseudo philosophique.
YT2 : Dans ce texte sur l'innéité biologique de la morale qui ne dit pas son
nom, l'endroit où se trouverait nichée la philosophie réclame les soins attentifs
de Sherlock Holmes en personne !
Un militant égalitariste pourrait même s'amuser de voir quel est l'aveuglement
d'un Locke sur l'état actuel de sa « société ». Comme si « son » Angleterre
n'était rien d'autre qu'un ramassis de « hors-la-loi » et de « voleurs » ! Comme si
les esclavagistes du Sénat de Rome était moins « hors la loi » et mois « voleurs
» que les rançonneurs qui écumaient les « eaux territoriales » de l'Epire ?
Comme si les « Pirates » que mata (qui n'est pas le pluriel de matum, ni de
matus, ni …. de maton) Caius Julius Caesar étaient plus malhonnêtes que celui
qui agit en « pirate esclavagiste géant » en capturant UN million d'esclaves en
Gaule.
Comme si Hitler « hors-la-loi » avaient été plus nocif à la France que Sarkozy
ne l'est aujourd'hui envers l'Afrique. Où sont les bandits ?
En Afrique, le « gang Bongo » avait fusionné avec l' « Etat Bongo ». Et comme
la fusion des deux s'était opéré sous le parrainage des services secrets français :
les employeurs de ce Bongo.... où sont les hors la loi ?
Le gang Sarkozy-Bolloré a-t-il des règles en Afrique ? Les règles du génocide
de 1994 sont-elles un exemple de ce que « La justice et le respect des contrats
semblent faire l’accord du plus grand nombre ».
Quand Sarkozy finance les armes du génocide, il semble respecter un
contrat. Quand Sarkozy, en juillet 1994 cherche où faire atterrir ses avions il
peut avoir des inquiétudes de ce que les livraisons des armes pour le Hutu
Power aient lieu dans le respect des contrats.
D'où viennent ces contrats ?
L'Histoire nous le dira !
Quelles étaient les coulisses du génocide. Les historiens – les vrais - nous le
dirons.
De quelle science relève le texte de Locke ?
Pour commencer de la science historique. Ce qui est dommage pour lui, c'est le
caractère a-historique de ses propos en rendent absurdes toutes ses assertions.
Quand bien même la conclusion en serait valide. Un Locke connait Caesar, il
connait les pirates. Il connait Pompée.
Et quels seraient donc les critères pour des règles positives ? Pour des règles
humanistes ?
Tout simplement du concept de « productivité historique ».
Quel lien avec la philosophie ?
Tout simplement de l'étude de la « productivité » en physique (de son lien avec
le pseudo concept d'entropie) et de son étude en biologie : quels liens entre
productivité et le thèses de Darwin ?
Mais nous sommes sortis de ce sujet stupide !

Série S
1er sujet : Est-il absurde de désirer l’impossible ?
YT : L' « impossible » de madame Michu ou l' « impossible » sortant du
déterminisme absolu depuis 13 milliards d'années. La question est stupide ! A
moins d'en faire une critique …. des miracles !!!
YT2 : C'est le deuxième endroit où la science philosophique pourrait venir faire
irruption. En se contentant, de façon gnoséologique, de paraphaser Laplace en
indiquant, qu'il y a 13 milliards d'années, il était prévisible qu'un sujet d'examen
aussi stupide allait être donné.
Et que nier cela revient, en creusant des trous dans la chaîne du déterminisme, à
croire aux miracles. L'impossible étant miraculeux, avoir une sexualité
tellement perticulière qu'il faille "désirer" des miracle relève d'un usage
monastique prolongé d'outils destinés au culte : les bougies sacrées. Une
nouvelle fois la science psychologique de Wilhelm Reich met la lumière sur les
syndrômes !

Quant au lecteur curieux, il est renvoyé sur la lecture de


L'OURS MOHAMED DEVOILE LES HYPOCRITES
et de sa "republication"
sur Newstin : L'OURS MOHAMED ET LES BIGOTS
ISLAMO-FASCISTES IRANIENS
2e sujet : Y a-t-il des questions auxquelles aucune science ne répond ?
YT : Charabia pseudo épistémlogique. 3e sujet : Expliquer le texte suivant :
Les affaires générales d’un pays n’occupent que les principaux
citoyens. Ceux-là ne se rassemblent que de loin en loin dans les
mêmes lieux ; et, comme il arrive souvent qu’ensuite ils se perdent de
vue, il ne s’établit pas entre eux de liens durables. Mais quand il s’agit
de faire régler les affaires particulières d’un canton par les hommes
qui l’habitent, les mêmes individus sont toujours en contact, et ils sont
en quelque sorte forcés de se connaître et de se complaire. On tire
difficilement un homme de lui-même pour l’intéresser à la destinée de
tout l’État, parce qu’il comprend mal l’influence que la destinée de
l’État peut exercer sur son sort. Mais faut-il faire passer un chemin au
bout de son domaine, il verra d’un premier coup d’oeil qu’il se
rencontre un rapport entre cette petite affaire publique et ses plus
grandes affaires privées, et il découvrira, sans qu’on le lui montre, le
lien étroit qui unit ici l’intérêt particulier à l’intérêt général. C’est donc
en chargeant les citoyens de l’administration des petites affaires, bien
plus qu’en leur livrant le gouvernement des grandes, qu’on les
intéresse au bien public et qu’on leur fait voir le besoin qu’ils ont sans
cesse les uns des autres pour le produire. On peut, par une action
d’éclat, captiver tout à coup la faveur d’un peuple ; mais, pour gagner
l’amour et le respect de la population qui vous entoure, il faut une
longue succession de petits services rendus, de bons offices obscurs,
une habitude constante de bienveillance et une réputation bien établie
de désintéressement. Les libertés locales, qui font qu’un grand nombre
de citoyens mettent du prix à l’affection de leurs voisins et de leurs
proches, ramènent donc sans cesse les hommes les uns vers les autres,
en dépit des instincts qui les séparent, et les forcent à s’entraider.
Tocqueville, De la démocratie en Amérique
YT : Il doit y avoir un inspecteur général auteur d'un ouvrage
sur Tocqueville en préparation ou est-ce le Bushophilisme Obamaphilisme
persistant. L'Histoire des constitutions est de l'Histoire, pas de la philosophie, la
philosophie du droit n'est PAS de la philosophie et n'a pas grand chose à voir
avec celle-ci – sans la médiation de la science historique.

YT2 : La transformation quantité qualité se trouvera là :


combien faudra-t-il de textes hypocrites et mensongers
publiés par les idéologues des envahisseurs de l'Afrique
pour que la révolution se déclenche ?
Combien de textes tentant de masquer la nature fasciste
esclavagiste des USA en 1835, en 1840 seront publiés
par les clowns de l'Inspection Générale française avant
que la jeunesse française ne se révolte contre
l'obscurantisme colonialiste.
Que leur maître Vincent Bolloré craigne que la
repentance fasse FERMER ses camps de la MORT en
Afrique, on peut le comprendre... mais que deux années
de suites, ces clowns osent publier un texte sur les USA
de 1840 qui ne mentionne pas la terreur fasciste, les
fuites des esclaves vers le Nord, la poursuite des esclaves
en fuite par les polices néo-sarkozystes des USA
antérieurs à 1861... relève de l'abjection la plus totale.
Mais tout aussi abjecte est l'ignorance des policiers
français de 2009 que le rôle qui leur est demandé par
Alliot-Marie - la criminelle 2004 de l'hôtel Ivoire à
Abidjan et par Sarkozy ... est le même rôle que les
polices du Nord des USA "jouaient" à la poursuite des
esclaves du Sud en fuite vers le Nord.
Et il y a encore des Tocqueville dans tous les médias
français pour ... banaliser le crime ...
Et taire les trois millions de bébés morts, chaque année !
Nous publierons, un jour les noms de TOUS CES
CLOWNS !!!
Un jour seront publiés les noms de ces
REVISIONNISTES qui font croire que les USA de
Tocqueveille étaient autre chose qu'un camp de travail
fasciste comparable... à l'Afrique de Bolloré-Sarkozy !!!
LA NOUVELLE ETINCELLE La philosophie, le baccalauréat
2009, le matérialisme, la science et les clowns charlatans imposteurs

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