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Département LMD ST
Faculté de la Technologie
Membres du groupe :
Beldjoudi Daoud.
Barache Rafik.
Bali Yacine.
Benlamara Amrane.
Groupe :
A3.
J ( A) 0 0.1 0.15 0.2 0.25 0.3 0.35 0.4 0.45 0.46 0.5
Ealler (V ) 8.5 85 126 162 186 210 234 243 252 255 264
Eretour ( V ) 6.5 94 138 180 204 225 237 246 252 255 264
J ( A) 0 0.1 0.15 0.2 0.25 0.3 0.35 0.4 0.45 0.46 0.5
Ealler (V ) 4.15 41 61 80 94 104 114 123 127 128 130
Eretour ( V ) 4.15 47 67 85 100 110 119 123 128 128 130
N (Tr /min) 2800 2500 2200 2000 1800 1600 1400 1200 1000 600 400
E(V ) 250 225 195 180 159 143 127 110 90 54 37
Charge 0 1 2 3 4 5 6
I Ch ( A) 0 0.6 0.9 1.5 2 2.6 3.6
U (V ) 258 240 234 222 195 189 174
R gmoy=6.7 Ω
Fait le 19/11/1014
I. Introduction :
Une machine à courant continu est une Machine électrique. Il s'agit d'un convertisseur
Électromécanique permettant la conversion bidirectionnelle d'énergie entre une installation
électrique parcourue par un Courant continu et un dispositif mécanique ; selon la source
d'énergie.
d'un Stator qui est à l'origine de la circulation d'un Flux magnétique longitudinal fixe
créé soit par des enroulements satiriques (Bobine (électricité)) soit par des Aimant
permanent. Il est aussi appelé « inducteur » en référence au fonctionnement en
génératrice de cette machine.
d'un Rotor (électrotechnique) bobiné relié à un Collecteur tournant inversant la
Polarité de chaque enroulement rétorque au moins une fois par tour de façon à faire
circuler un flux magnétique transversal en quadrature avec le flux satirique. Les
enroulements rétorques sont aussi appelés enroulements d'induits, ou
communément « Induit » en référence au fonctionnement en génératrice de cette
machine.
Fils électriques, voltmètre, trois ampèremètres, une source, génératrice a courant continue.
Apres avoir fixé la vitesse de rotation a sa valeur nominale qui est de 3000 tours/min puis
nous avons mesuré a l’aide d’un voltmètre les différentes tensions tout en variant le courant
J en deux cas le 1er progressivement de 0 a 0.5 A puis en diminuant de 0.5 a 0 A.
On a refait la même démarche mais cette fois ci nous avons diminué le nombre de tours/min
à 1500.
Ensuite on a fixé le courant a sa valeur nominale qui est de 0.46 A puis nous avons mesuré a
l’aide d’un voltmètre les différentes tensions tout en variant le nombres de tours/min de
2800 a 400 Tours/min.
Enfin on a fixé la vitesse de rotation a sa valeur nominale qui est de 3000 tours/min et le
courant a sa valeur nominale qui est de 0.46 A puis nous avons mesuré a l’aide d’un
voltmètre et d’un ampèremètre les différentes tensions et courants tout en variant la
charge.
Figure 01 :
V. Manipulation :
1. Nombres de tours/min fixé :
Tableau n°1 :
J ( A) 0 0.1 0.15 0.2 0.25 0.3 0.35 0.4 0.45 0.46 0.5
Ealler (V ) 8.5 85 126 162 186 210 234 243 252 255 264
Eretour ( V ) 6.5 94 138 180 204 225 237 246 252 255 264
Tableau n°2 :
J ( A) 0 0.1 0.15 0.2 0.25 0.3 0.35 0.4 0.45 0.46 0.5
Ealler (V ) 4.15 41 61 80 94 104 114 123 127 128 130
Eretour ( V ) 4.15 47 67 85 100 110 119 123 128 128 130
Rôle du collecteur :
Pour expliquer le rôle du collecteur, nous allons considérer que la machine à courant continu
travaille en mode générateur. Le but de celle-ci est de
produire une tension, donc un courant unidirectionnel
dans la charge qui est connectée à ses bornes. Cependant
la rotation du rotor dans le champ d'induction nous permet
d'obtenir une force électromotrice alternative. Il faut donc
réaliser un redressement de la tension. C'est le rôle du collecteur.
Sur ce dessin nous voyons une bague collectrice divisée en deux parties. L'une des parties est
connectée à une extrémité de la spire et l'autre à l'autre extrémité. Sur ces deux bagues se
trouvent les balais formant l'axe neutre de la machine.
Voyons ce qui se passe lorsque le cadre tourne dans le champ d’induction. Nous
supposerons que la position 0° est celle du cadre quand il se trouve perpendiculaire aux
lignes d'induction.
Dans cette position la force électromotrice récoltée aux bornes des balais vaut 0 V car les
balais court-circuitent les deux bagues. Lorsque le cadre quitte cette position, la force
électromotrice induite commence à augmenter progressivement. Ceci est rendu possible par
le fait que le balai noir se trouve sur la demi-bague noire et que le balai blanc se trouve sur
l'autre demi-bague. Lorsque le cadre mobile arrive parallèlement aux lignes du champ
d'induction, la force électromotrice induite devient maximale. Le cadre continuant à tourner,
la force électromotrice induite ne peut faire que décroître.
Caractéristique à vide
Pour cela, nous allons tracer les variations de la fem de l'induit E en fonction du courant
inducteur. La machine fonctionne en génératrice à excitation indépendante fonctionnant à
vide (pas de charge aux bornes de l'induit) entraînée à vitesse de rotation nominale par un
moteur d'entraînement. On mesure la valeur de la fem au fur et à mesure de l'augmentation
du courant inducteur.
La caractéristique à vide a la même forme que la courbe de première aimantation du circuit
magnétique. Elle est valable si le circuit magnétique de la machine n'a jamais été aimanté ou
s'il a été totalement désaimanté. Elle donne les propriétés magnétiques de la machine.
Donc pour conclure la fem induite dans une génératrice dépend essentiellement du courant
d’excitation.
Tous ça se traduisent d’une part une réaction magnétique ɸ, et d’autre part une
chute ohmique : Rinduit × I
U =E−ɸ−Rinduit × I =E−ɸt
Pour cela on remarque une chute de tension dans cette partie (voir la feuille
millimétrique) car lorsque I =0 la machine fonctionne à vide (absente de charge).
La quantité:ɸt =ɸ−R induit × I est quelque fois appelée « la réaction totale de l’induit ».
La courbe représentant (U ) en fonction du courant débité (I) est appelé « caractéristique
externe ».
Lorsque l'on veut la faire travailler, en appliquant un couple résistant sur son axe, cela la
freine donc E diminue.
VI. Conclusion :
Pour le générateur de courant parfait, c'est le courant qui est constant, quelle que soit la
tension demandée. C'est également un modèle théorique car l'ouverture d'un circuit
comportant un générateur de courant non nul devrait conduire à fournir une puissance
infinie. Il est impossible de placer en série deux générateurs de courant de valeurs
différentes.
Les générateurs réels peuvent être simplement modélisés par l'association d'un
générateur de courant et d'une résistance branchée en parallèle. Un tel modèle
s'appelle modèle de Norton d'un générateur réel.
Un dipôle inductif est un générateur de courant au sens transitoire : il s'oppose à
toute variation de l'intensité du courant qui le traverse. Il est déconseillé d'ouvrir un
circuit comportant un dipôle inductif traversé par un courant non nul