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Dr R. HAOUCHE
La surveillance de la qualité de l’air
• Chimie nocturne
– Pas de photolyse => peu de radicaux => faible réactivité
de l’atmosphère
Pouvoir oxydant de l’atmosphère
Dans la plupart des cas, les produits rejetés sont des produits
inertes ou stables, c’est-à-dire ne subissant pas ou peu de
transformations ou d’altération d’origine chimique en contact
avec l’atmosphère.
1. Les conditions de rejet
a- Rejet instantané
a- Rejet instantané
b- Rejet continu
b- Rejet continu
t=x/v
avec :
X : distance entre la source et le point considéré ;
v : vitesse du nuage de polluants.
1.2. Mode d’émission
c- Détermination du type de rejet
Si la particule d'air que l'on vient de soulever est plus froide que le
milieu environnant, elle sera plus lourde et donc redescendra à son
niveau de départ. L'atmosphère est alors stable.
2. LES FACTEURS METEOROLOGIQUES
2.3. La turbulence atmosphérique
a. Turbulence d’origine thermique : Stabilité thermique de l’atmosphère
Selon que l'air est saturé en vapeur d'eau ou non, les valeurs limites
fixant la stabilité ou l'instabilité d'une atmosphère sont donc :
- Air non saturé : Décroissance plus rapide que -1°/100 mètres = instabilité
Décroissance moins rapide que -1°/100 mètres = stabilité
couche d'inversion
2. LES FACTEURS METEOROLOGIQUES
2.3. La turbulence atmosphérique
Dans le cas d'un air humide, cette décroissance est plus faible
car la condensation dégage de la chaleur et réchauffe le milieu.
Pour une montée de 100 mètres la décroissance se situe en
moyenne à - 0,6°C pour une montée en altitude de 100 m.
2. LES FACTEURS METEOROLOGIQUES
2.3. La turbulence atmosphérique
L’effet de Foehn
3. LE FACTEUR TOPOGRAPHIQUE
Les essais à échelle réduite se font généralement sur une maquette placée
dans une soufflerie ou une veine hydraulique. L’échelle de travail est en
général de l’ordre du 1/50e. Pour représenter un phénomène identique à
ce que l’on observait dans la réalité, il faut s’assurer de la conservation de
grandeurs adimensionnelles de façon à garder le même système
d’équations pour les essais en grandeur réelle et ceux à échelle réduite.
MODELES DE CALCUL
- une densité à peu près égale à celle de l'air (ou bien il est très dilué);
- une température identique à celle de l'air ;
- une vitesse initiale relative nulle.
Le ième rejet instantané, indicé i, est émis à l’instant ti et a une masse Mi.
MODELES GAUSSIENS: METHODES DE RESOLUTION
Rejet continu – Modèle « à bouffées»
La concentration C du gaz dans l’atmosphère en un point (x,y,z) est alors de
la forme :
MODELES GAUSSIENS: METHODES DE RESOLUTION
Rejet continu – Modèle «panache»