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1) Droit international.
2) UE
3) CJCE
4) A. De Bloos SPRL c. société en commandite par actions Bouyer (litige pendant devant la
Cour de Mons).
8)
a. 1ère instance : le juge belge s’est déclaré incompétent pour connaître le litige.
b. Appel : le concessionnaire a interjeté appel devant la Cour de Mons.
c. Question à la CJCE : La Cour d’appel de Mons a posé des questions sur l’interprétation
de l’art. 5, 1° et 5° de la convention du 27 sept. 1968. :
10) Selon moi, il s’agit d’un RCJ. En effet l’art. 5, 1° de la convention stipule : « le défendeur
domicilié sur le territoire d’un Etat contractant peut être attrait, dans un autre Etat contractant
en matière contractuelle, devant le lieu du tribunal où l’obligation a été exécutée ou doit être
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exécutée. » D’où l’importance de déterminer ce que signifie le mot obligation pour connaître
le tribunal compétent.
1) Droit international.
2) Union Européenne.
4) Estasis Salotti di Colzani aimo et Gianmario (société italienne, siège Milan) contre
RÜWA Polstermaschinen GmbH (société allemande, siège Cologne).
5) Une entreprise allemande établie à Cologne a introduit une action devant le Landgericht de
Cologne, pour inexécution du contrat de livraison, par l’entreprise allemande à l’entreprise
italienne, de machines destinées à l’installation d’une fabrique de meubles capitonnés.
Le litige a été porté par voie de révision devant le Bundesgerichtshof (Cour fédéral de
justice) concernant la compétence du Landgericht.
La livraison a été convenue dans un contrat écrit signé à Milan, sur un papier à entête de la
société allemande et au verso se trouvait les conditions générales de vente.
Ces conditions contenaient une clause attributive de compétence aux tribunaux de
Cologne pour tout litige à naître entre les parties portant sur le contrat. Cependant le
texte du contrat ne renvoie pas expressément aux conditions générales, il renvoie
seulement à des offres antérieures de la société allemande, qui elles comportent un renvoi
expresse aux même conditions générales, au verso des documents.
6) Le problème juridique est de savoir si la clause attributive de juridiction prévue par les
parties dans le contrat est valable et par conséquent connaitre quel est le tribunal compétent
pour connaitre le litige.
7) Demandeur : / / /
Défendeur : / / /
8)
a. L’entreprise allemande a saisi Landgericht de Cologne, qui s’est déclaré
incompétent pour connaître le litige. (1ère instance)
b. Ce jugement a té réformé par l’Oberlandesgericht, qui déclaré le Landgericht
compétent ; (appel)
c. L’entreprise italienne s’est pourvue en révision de contre cet arrêt devant le
Bundesgerichtshof ; (cassation)
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d. Le Bundesgerichtshof pose 2 questions à la CJCE sur l’interprétation de l’art.
17, al. 1 de la convention du 27 septembre 1968 :
1) Droit international.
2) UE.
3) CJCE.
4) Powell Duffryn PLC c. Wolfgang Petereit.
5) 1979 : Powell Duffryn (soc. De droit anglais) a souscrit des actions nominatives de la
société IBH-Holding AG (soc de droit allemand).
1980 : AG durant laquelle les actionnaires décident de modifier les statuts de IBH et
insèrent une clause : « l’actionnaire, en souscrivant ou en reprenant des actions ou des
certificats provisoires, se soumet à la juridiction dont relève ordinairement la société,
pour tous les différends l’opposant à la société ou à ses organes. »
1981 et 1982 Powell souscrit d’autres actions et perçoit des dividendes.
1983, société IBH est en faillite.
6) Est-ce qu’il faut appliquer la clause attributive de juridiction prévue dans les statuts de la
société par actionnaires et société ou pas ? et dans quelles mesures ?
Est-ce que les statuts sont un contrat ?
9) La Cour statue :
Une clause attributive de juridiction insérée dans les statuts de la société est une
convention au sens de l’art. 17 car l’objectif est de donner une compétence exclusif à un
tribunal d’un Etat contractant que les partis auraient désigné. De plus, en devenant et en
restant actionnaire d’une société, l’actionnaire marque son consentement pour toutes les
dispositions qui sont prévues dans les statuts de la société.
10) RCJ
1) Droit national
2) /
3) Cour de cassation, 1ère ch., 9 mars 1882.
4) Bigwood c. Scheler
5) Divorce de Bigwood et Scheler, qui sont de nationalité anglaise, mais dont le domicile
est en Belgique.
6) Le juge belge a appliqué la loi belge pour prononcer ce divorce, car il y a violation ou
au moins fausse application du code civil.
Hors il s’agit d’un statut personnel donc c’est au juge étranger de prononcer le divorce
entre ces Anglais, sur d’autres bases.
Quelle loi doit-on appliquer ?
7) ///
8) a. 1ère instance : par supposition, je dirais que le juge en 1 ère instance s’est déclaré
incompétent pour connaître le litige.
b. Appel : arrêt qui déclare que le droit anglais coutumier admet que l’état des personnes,
pas par le principe de nationalité, mais par la loi de son domicile. Ainsi cet arrêt autorise
le juge belge à appliquer les causes de divorces et les principes de la loi belge.
c. Cassation : les parties vont en cassation, mais un pourvoi n’est recevable que s’il se
fonde sur la violation d’une loi belge. Hors dans ce cas, l’arrêt n’a fait qu’interpréter
que la loi du domicile est applicable pour l’état des personnes et donc aucune loi n’est
violé (on contrevient pas à l’art.3 du code civil).
9) Ici l’arrêt n’a fait qu’interpréter que la loi du domicile est applicable pour l’état des
personnes et donc ne dit en rien que l’on contrevient à l’art.3 du code civil.
10) RCL et RCJ.