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Etude d’un variateur de vitesse a machine
a courant continu
Abid Ahmed
Dédicaces
Ahmed
Remerciements
En préambule à ce mémoire
Nous remerciant ALLAH qui nous aide et nous donne la patience et le courage
durant
Nous souhaitons adresser nos remerciements les plus sincères aux personne qui
nous
Merci à tous
Chapitre I
I.1.Introduction.…………………………………………………………………………………0
I.2.Définition…………………………………………………………………………………….0
I.3.Constitution………………………………………………………………………………….0
I.3. 1.Carcasse:
I.3.2. Inducteur:
I.9. Rendement……………………………………………………………………………….12
I.10. Différents modes de réglage de la vitesse d’un moteur à courant continu ...........
I.10.1. Réglage rhéostatique................................................................................................
I.12. Conclusion……………………………………………………………………………….13
Chapitre II Variateur de vitesse du moteur à courant continu
II.1 Introduction.…………….……………………………………………………… 18
II.2 Fonctionnements dans les quatre quadrants.……………………………………. 18
II.2.1 Modélisation de la machine à courant continu..……………………… 18
II .2.2 Caractéristiques électromécaniques ………………………………….. 19
II.2.3 Les quadrants de fonctionnement d'une machine à courant continu…20
II.3 Principe du variateur de vitesse pour un moteur à CC……………..……………20
II.3.1 Les dispositifs électroniques utilisés pour la variation de vitesse des
moteurs à courant continu………………………………………. 21
II.3.2 Structure des variateurs de vitesse….…………………………………..... 21
II.4 Alimentation d'un moteur à courant continu par un redresseur commandé ….. 21
II.4.1Montage redresseur PD3 complet : (tout thyristors)……………………….. 22
II.5. Alimentation d'un moteur à courant continu par un hacheur…..……………... 23
a- Structures d’hacheurs non réversibles…………………………………….. 23
a.1) Hacheur série ou dévolteur………………………………….. 24
a.2) Hacheur à stockage capacitif ………………………………………… 24
b. Structures d’hacheurs réversibles …………………………………….. 25
b.1) Hacheur série réversible en courant ………………………………... 25
b.2) Hacheur réversible en tension…………………………………………. 26
b.3) Hacheur réversible en tension et en courant…………………………… 27
II.6 Technique de commande à MLI…………………………………………………. 28
II.6.1 Introduction ……………………………………………………………... 28
II.6.2 Principe de la commande MLI …...……….......................................... 29
II .7Modélisation de l'association du MCC/Hacheur………………............................. 30
II.7.1Modélisation du moteur à courant continu……………………………… 30
II.7.2 Modélisation du Hacheur sur Simulink ………………………………… 31
II.8 Résultats de simulations …...…………………………………….………………… 32
II.8.1 Fonctionnement à vide sans changement de la consigne………………….. 32
II.8.2 Fonctionnement à vide avec changement du signal de consigne…………. 33
II.8.3 Fonctionnement en charge…………………………………………………. 34
II.8.4 Interprétations des résultats de simulation………………………………. 35
II.9.Conclusion…………………………………………………………………………….. 35
Liste des figures
Figure .II .1: Schéma équivalent d’un moteur à courant continu entrainant une charge….. 18
Figure -II.3 : Variations (vitesse & courant) dans les quatre quadrants ………………..19
Figure -II.5 : Variation de la vitesse d'un moteur à courant continu par un convertisseur
statique alternatif/continu………....................................................................................…………. .20
Figure -II.7 : Machine alimentée par un redresseur entièrement commandé double sens………22
Figure .II.18: Modèle utilisé par simulation de la machine à courant continu …………… 29
En effet, la plupart des moteurs tournent à vitesse constante. Pour moduler la vitesse
des équipements de procédé, on a longtemps eu recours à divers dispositifs mécaniques.
Aujourd'hui, on fait surtout appel à des variateurs de vitesse électroniques[01].
La liaison d'un moteur à courant continu à une source du même type se fait à
l'intermédiaire d'un convertisseur statique « Hacheur » qui permet la variation de la tension
moyenne aux bornes de l'induit, jusqu'à ces dernières années ; la commande des
convertisseurs statiques industriels était réalisée à l'aide des circuits électroniques à faible ou
moyenne puissance[01].
Dans notre mémoire, on présente plusieurs cas que ce soit l'étude du moteur à courant
continu, puis Nous allons présenter les différents dispositifs qui sont utilisés dans les
I.2 Définition :
Les machines à courant continu sont des convertisseurs électromécaniques d’énergie : Soit ils
convertissent l’énergie électrique absorbée en énergie mécanique lorsqu’ils sont capables de fournir
une puissance mécanique suffisante pour démarrer puis entraîner une charge en mouvement. On dit
alors qu’ils ont un fonctionnement en moteur. Soit ils convertissent l’énergie mécanique reçue en
énergie électrique lorsqu’ils subissent l’action d’une charge entraînante. On dit alors qu’ils ont un
fonctionnement en générateur [01].
I.3.Constitution:
Une machine à courant continu comprend les parties principales suivantes: l'inducteur, il contient
des pôles principaux et des pôles auxiliaires, la carcasse, le rotor ou l'induit et le dispositif collecteur /
balais. Comme indiqué dans la figure (I.2)
Figure (I.2): Constitution de moteur à courant continu.
I.3.1.Carcasse:
Elle forme la partie extérieure qui supporte les différentes parties de la machine, elle
renferme le champ magnétique.
Le collecteur est un ensemble de lames de cuivre isolées latéralement les unes des autres, réunies
aux conducteurs de l’induit en certains points.
Les balais ou frotteurs, sont fixes et appuient sur le collecteur pour assurer la transmission de
l'énergie entre la machine et le circuit extérieur. Ils sont maintenus par des porte-balais dans lesquels
des ressorts viennent maintenir une pression appropriée du balai sur le collecteur.
Ces balais sont faits de carbone. Il s'agit d'un matériau ayant une bonne conductivité thermique et
électrique. De plus, il est assez doux pour ne pas endommager le collecteur.
Les pôles auxiliaires sont installés exactement au milieu de la distance qui sépare les pôles
principaux et sont fixés à la carcasse par des boulons.
La figure (I.7) montre une photo réelle des pôles principaux et des pôles auxiliaires:
Figure (I.7):Les pôles principaux et les pôles auxiliaires.
Le fonctionnement du moteur à courant continu est basé sur le principe des forces de Laplace :
Un conducteur de longueur (L), placé dans un champ magnétique et parcouru par un courant, est
soumis à une force électromagnétique [3].
Le champ créé par l'inducteur agit sur les conducteurs de l'induit : Chacun des (N) conducteurs de
longueurs (L) placé dans le champ (B) et parcouru par un courant (I) est le siège d'une force
électromagnétique perpendiculaire au conducteur [3]. :
F = B.I.L.sinα (I.1)
Ces forces de Laplace exercent un couple proportionnel à l'intensité (I) et au flux (Φ) sur le rotor.
Le moteur se met à tourner à une vitesse proportionnelle à la tension d'alimentation (V) et,
inversement proportionnelle au flux (Φ) [3].
Au passage de tout conducteur de l'induit sur la ligne neutre, le courant qui le traverse change
de sens grâce au collecteur. Le moteur conserve le même sens de rotation [3].
Pour inverser le sens de rotation du moteur, il convient d'inverser le sens du champ produit par
l'inducteur par rapport au sens du courant circulant dans l'induit [3]. :
Il existe quatre types différents de moteurs électriques qui sont classés en fonction du type
d'excitation qui est employé, qui sont [4]:
Dans ces conditions, la force contre électromotrice (E) ne dépend que de la fréquence (n) de
rotation.
Donc la fréquence de rotation (n) est proportionnelle à la tension (V) d'alimentation du moteur.
Compte tenu de la conservation de la puissance d'une machine (en négligeant les pertes), la
puissance électrique absorbée est [4]:
Pa=V.I (1.5)
Si (V) est proportionnelle à (n) cela signifie que (Tu) est proportionnel à (I).Donc le couple
utile (Tu) est proportionnel à l'intensité du courant d'alimentation du moteur.
Pour un moteur à excitation séparée, le flux (Φ) est constant donc la fréquence de rotation (n) est
proportionnelle à la tension d'alimentation (V) :
E V −R . I
n= = =K .V (I.6)
KΦ KΦ
Dans ces conditions, la force contre électromotrice (E) dépend de la fréquence (n) de
rotation et de l'intensité du courant (I).
Donc la fréquence de rotation (n) est proportionnelle à la tension (V) et au courant (I)
d'alimentation du moteur.
Compte tenu de la conservation de la puissance d'une machine (en négligeant les pertes), la
puissance électrique absorbée est :
Pa = V. I (I. 9)
Si (n) est proportionnelle à (V) et à (I) cela signifie que (Tu) est proportionnel au carré de
l'intensité (I²).
Donc le couple (Tu) est proportionnel au carré de l'intensité du courant d'alimentation du moteur.
Pour un moteur à excitation série, le flux (Φ) n'est pas constant mais proportionnel à (I) donc la
tension d'alimentation (V) est proportionnelle à la fréquence de rotation n et à l'intensité (I) [3]:
E = k. n. N. Φ = K. .I (I.11)
Les propriétés du moteur à excitation dérivation sont les mêmes que celle du moteur à
excitation indépendante.
Les inconvénients :
Plus la vitesse de rotation est élevée, plus les balais doivent appuyer fort
pour rester en contact et plus le frottement est important.
Aux vitesses élevées les charbons doivent être remplacés très régulièrement
Le contact électrique imparfait cause des arcs électriques, usant rapidement
le commutateur et générant des parasites dans le circuit d'alimentation.
Pour des fonctionnements en moteur de petite puissance, ce problème peut être résolu grâce à
la technologie du moteur à courant continu sans balai communément appelé moteur brushless. Un
dispositif d'électronique de puissance remplace l'ensemble balai collecteur. La position du rotor est
détectée par des capteurs à effet Hall et le courant est commuté par des transistors à effet de champ
[04].
Pu
η ¿ Pa
avec:
Pu : Puissance utile.
Pa : Puissance absorbée.
U n−( R a+ R add) I n
n=
K
Pour :
KU
Et : C=
(Ra+ Rr)
Ainsi on obtient un faisceau de droites comme la montre ≪figure I-13≫.
Le démarrage de ce type de moteur doit être assuré à flux maximal. Une fois la vitesse est
nominal, il sera possible de réduire le flux en utilisant des résistances variables appelées rhéostat
d’excitation. Mais plus le flux est faibles le coupe que peut développer la machine à courant continu
est faible.
U Rt
n 1= −
K Φ1 K Φ1
ΦN > Φ1 > 𝛷2
U Rt
n 2= −
KΦ 2 KΦ 2
nN< n1 <n2
U Rt
n N= −
KΦ KΦ
Figure (I-16) : Caractéristique de réglage par la variation du flux magnétique.
Avec ce procédé on ne peut qu’augmenter la vitesse du moteur par rapport à sa vitesse nominale
U −Ra Ia
n= (I-12)
KΦ
appareils de levage.
I.12. Conclusion
Les machines à courant continu ne sont plus guère utilisées à l'heure actuelle comme génératrices
de puissance, leurs larges possibilités de réglage de vitesse ont favorisé leur utilisation en moteur
(à excitation séparer) dans les applications où cette caractéristique est importante, surtout depuis le
développement des semi-conducteurs de puissance (transistors et thyristors).La supériorité de ces
moteurs réside dans le fait qu'ils se prêtent facilement à un contrôle souple, continu et presque
instantané de leur vitesse.
Chapitre II :Variateur de vitesse du moteur à courant continu
II.1 Introduction :
Les moteurs à courant continu sont très utilisés dans les systèmes automatiques qui nécessitent une
régulation précise de la vitesse de rotation. Le principe de la régulation de vitesse consiste à choisir le
bon convertisseur.
Nous allons présenter les différents dispositifs qui sont utilisés dans les processus de régulation de
vitesse du moteur à CC. Ensuite, nous donnerons une description détaillée de la stratégie d’obtention
d’une onde MLI utilisée pour la commande d’ouverture et de fermeture des interrupteurs
électroniques installés au niveau du hacheur.
Nous cherchons dans ce chapitre à asservir deux paramètres du moteur, le courant absorbé qui ne
doit pas dépasser en aucun cas le courant maximal supporté par le moteur, ainsi que la vitesse de
rotation qu'on cherche à varier.
Figure .II .1: Schéma équivalent d’un moteur à courant continu entrainant une charge
Les équations caractérisant de la machine à courant continu sont exprimées comme suit e :
l/ La loi d'Ohm nous permet d'écrire :
d
U =RI + L + E (II-1)
d
Cem=KT Φ I (II-1)
d
Cem-Cr=J d (Couple dynamique) (II-4)
Dans la pratique on maximise le couple Cem en donnant au flux d'excitation sa valeur nominale.
Soit :Φnom =Φem
Cem=K.I (II-5)
Et
U R
Ω= K −¿ K2 (II-6)
Avec K=KT Φnom
II.3.1 Les dispositifs électroniques utilisés pour la variation de vitesse des moteurs
à courant continu :
Deux variateurs sont utilisés pour faire varier la vitesse d’un MCC
1 ou 2 sens de rotation.
II.4 Alimentation d'un moteur à courant continu par un redresseur commandé [7]
Le redresseur commandé (essentiellement à thyristors) assure directement la conversion de
l’énergie alternative en continu. Il délivre une tension légèrement ondulée dont la valeur moyenne
U est réglable, le redresseur est alimenté en triphasé (figure-II.5).
Figure -II.5 : Variation de la vitesse d'un moteur à courant continu par un convertisseur statique
alternatif/continu
Un convertisseur unidirectionnel ne pouvant débiter le courant que dans un seul sens, alors il
n'est pas capable de faire fonctionner une machine à courant continu dans les 4 quadrants (où I
Pour cela il existe une solution, en branchant aux bornes de la machine à courant continu deux(02)
convertisseurs identiques en antiparallèle
Figure -II.7 : Machine alimentée par un redresseur entièrement commandé double sens
Il faut gérer le passage d'un pont à l'autre :
Du quadrant n°2 au quadrant n°3
La charge est constituée par un moteur à courant continu. Pour améliorer la qualité du courant
c’est-à-dire limiter l’ondulation résultant du découpage sur le courant de sortie, on insère une
inductance en série avec le moteur. On néglige l’ondulation résiduelle.
Remarque : On note que le sens de la tension de sortie est inversé par rapport au cas précédent.
b. Structures d’hacheurs réversibles : [10]
Les structures que nous venons de voir ne sont pas réversibles, ni en tension, ni en courant.
L’énergie va donc toujours de la source vers la charge. Il est possible de modifier ces dispositifs
pour inverser le sens de parcours de l’énergie. Ainsi, une source peut devenir une charge et
inversement. Ce type de comportement se rencontre usuellement dans les systèmes électriques.
Ainsi, un moteur en sortie d’un hacheur représente une charge. Cependant, si on veut réaliser un
freinage, le moteur va devenir une génératrice, ce qui va entrainer un renvoi d’énergie à la source
qui est plus astucieux qu’un simple freinage mécanique.
Cette fois, Ik peut être positif ou négatif. Il n’y aura plus de phénomène de conduction
discontinue et de l’impossibilité pour le courant de changer de signe. Simplement, suivant le sens
du courant, l’un ou l’autre des composants assurera la conduction.
Figure -II.12 : Structure d’un hacheur série réversible en courant.
La structure du hacheur série réversible en courant est donnée par la figure II.12. C’est la structure
du hacheur série classique par des interrupteurs réversibles en courant avec modification de la
charge. En prenant une MCC qui peut, sous tension constante, fonctionner en génératrice ou en
moteur.
La charge est formée par une machine à courant continu en série avec une inductance, destiné à
limiter l’ondulation de courant dans la machine. La machine fonctionne sous un courant toujours
de même signe.
Si α est supérieur à 0.5, alors la tension moyenne de sortie est positive. En revanche, dans le cas
où le rapport cyclique est inférieur 0.5, la tension moyenne de sortie est négative.
Le hacheur, alimenté par la tension ‘ VS ‘ a une structure en "H" et permet un fonctionnement dans
les "4 quadrants".
Fonctionnement en moteur dans le sens (+) : On convient que c'est le sens indiqué sur le
boîtierde commande. T4 est fermé, T3 est bloqué : T1 et T2 sont commandés de façon
complémen taire avec le rapport cyclique α :
0 < t < αT : T1 et T4 sont passants, il y a transfert d'énergie du réseau vers le moteur et la bobine.
αT < t < T : D2 et T4 sont passants, la bobine transfère de l'énergie au moteur dans une phase de
roue libre. La tension moyenne aux bornes du moteur est positive UM = α Uh.
Fonctionnement en moteur dans le sens (-) : La position (-) du commutateur modifie les
noms du transistor saturé en permanence et des transistors commandés de façon
complémentaire. T2 est alors saturé en permanence, T1 bloqué : T3 et T4 sont commandés
de façon complémentaire avec le rapport cyclique α :
0 < t < αT : T3 et T2 sont passants, il y a transfert d'énergie du réseau vers le moteur et la bobine.
αT < t < T : D4 et T2 sont passants, la bobine transfère de l'énergie au moteur dans une phase de
roue libre. La tension moyenne aux bornes du moteur est négative UM = - α Uh
La technique la plus utilisée dans les variateurs de vitesse pour MCC est la commande par
modulation de la largeur d’impulsion MLI.
Le premier, appelé signal de référence, est un signal continue qui varie entre deux
seuils définis en fonction de notre application.
E=k.Ω (II-5)
C= (II-5)
La tension Va aux bornes de l'induit sera :
V= (II-5)
Appliquons-la transformée de Laplace sur ces équations :
E(p)= (II-5)
C(p)= (II-5)
V(p)= (II-5)
Le transitoire du courant a une durée équivalente au temps de démarrage avec une valeur de
crête d'environs 3,4 A et après reviens à sa valeur nominal 0.1 (Figure-II.20).
En charge:
En démarrant également le moteur à vide, p uis en appliquant une charge à 1,5 sec, la vitesse
chute d'une valeur de 30 rad/s de la vitesse nominale (Figure-II.22).
Par rapport au courant, au démarrage à vide il y'a un pic et après le courant prend une valeur
(0.1 A), après 1,5 sec en applique une charge le courant augmente jusqu’à 0,6A. En supprimant
cette charge à 3sec le courant diminue et prend la valeur de 0.1 A (Figure-II.22).
II.9 Conclusion
D'après les résultats obtenus par le logiciel MATLAB, on remarque que la vitesse du moteur
à courant continu diminue quand la charge est appliquée, elle ne retourne jamais à sa valeur
initiale . Pour éliminer ce problème on va un régulateur classique PID. Le rôle de ce régulateur
est de maintenir la vitesse à sa valeur de consigne ou de référence .
Conclusion générale
Dans ce travaille, nous avons présente l‟étude du moteur à courant continu, puis la technique
de la variation de vitesse.
Bibliographie :
[5] MICHAEL PINARD ‹‹ Commande électronique des moteurs électriques ›› édition Dunod,
Paris, 2004.
[6] Amin AYAD ‹‹Etude et réalisation d’une commande MLI pilotant un hacheur série››,
mémoire Master, Université Abou Bekr Belkaid Tlemcen, 2014
[7] Lycée Colbert De Torcy ‹‹ Structure et fonctionnement d’un moteur à courant continu à vitesse
variable››, document de cour 1ère année Secondaire, Académie de Nantes
[8] TIR Zoheir ‹‹ Modélisation et Simulation de la Machine à Courant Continu ››, Mémoire
Magister en électrotechnique, 2008