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Chapitre 1
Chapitre 1
Alice André venait de se réveiller pars la brise du matin fraiche et de l’odeur de terre
mouillée avec difficulté. Lorsqu’elle se redressa, elle prit conscience qu’elle dormait devant
le corps d’un homme sur de la terre
Elle essaya d’étouffer un cri elle se leva et sentit sa main droite menottée a la sienne.Sa
montre affichait le 15 octobre 2018.
Elle se trouvait au milieu d’une forêt dense dorée par l’automne à la végétation très
variée. Cela l’inquiétait de plus en plus car elle ne connaissait aucun endroit de semblable à
Paris, même les forêts qui s’y trouve à proximité .
Qui était cet homme ? Un voyou qu’elle avait arrêté? Un ami d’enfance qu’elle ne
reconnaissait pas ? Non ce visage ne lui disait rien.
Alice repoussa quelque mèche blonde sur son front puis considéra les menottes qui la
liaient avec cet étranger ; C’était un modèle basique que nombreux services de police
utilisent et qui pourrait même être le sien. Elle fouilla dans sa poche et sentit un calibre
mais ce n’était pas le même qu’elle utilisait dans son travail.
Lentement Alice essaya de regrouper ses souvenirs. Hier elle était sortie avec trois de ses
copines faire la fête avec ses trois copines dans les Champs Elisée. Elles avaient trop bu ce
soir-là. Les quatre amies se séparèrent à minuit, elle avait regagné sa voiture dans un
parking souterrain puis……
Le trou noir. Son cerveau moulinait dans le vide. Il était paralysé gelé sur cette image.
Elle refusa de se laisser abattre, de toute évidence quelque chose de mal venait de se passer
cette nuit et même si elle avait toute oublié , l’homme au qu’elle elle était enchainé allait lui
rafraichir la mémoire . Du moins c’était ce qu’elle espérait.
Ami ou ennemi ?
Dans l’ignorance elle pointa le calibre au-dessus de la tête et le secoua sans menagement
pour le réveiller .Lorsqu'il se réveilla il resta surpris par le paysage sylvestre puis il se
retourna vers Alice et lui parla en anglais avec un accent américain:
_Mais ou sommes-nous ?
_On doit surement être à Wilcow c'est la foret la plus proche d'ici.
_C'est ou ça ?
_Une fille avec une flingue donc c'est moi qui décide .
Il la défia du regard mais comprit qu'il m'avait pas la situation en main . Il laissa le silence
s'installer .
_Je m'appelle Alice André je suis capitaine de la police a Paris .J'ai passé la soirée avec mes
copines aux Champs Elysee. J'ignore comment on s'est retrouve ici ni pourquoi on est
enchaîné .C'est à toi.
_Je suis Martin Keyne je suis inspecteur en chef dans la police à Dublin .Le dernier souvenir
est d'être à Wilcow pour une affaire .
_La seul façon de savoir dans quel endroit on est c'est de sortir d'ici .
Il prirent plusieurs bonnes minutes pour trouver un sentier battue .La rumeur de la ville
avec un drôle de pressentiment .
Tout à coup il arrivèrent sur une colline au-dessus de la quelle on voyait tout le paysage .
A Central Park.
_Oh mon dieu! souffla Martin tandis que la peur et la stupéfaction se lisait sur le
visage d'Alice
Même si la réalité était difficile à admettre il n'y avait aucun doute qu'ils s'étaient réveillés
au milieu de "Ramble" l'endroit le plus sauvage de Central Park .
_Donne-moi ta main .
_Comme ça les gens ne pourront pas voir les menottes et penseront qu'on est juste un
couple qui se promène.
_Appelez-moi encore une fois comme ça et je vous étrangle avec ces menottes ! Je vous
comprime le cou jusqu'à votre dernier souffle .Mort on dit beaucoup moins de conneries
vous verrez.
Il ignora la menace .
_En tout cas moi je vais pas rester avec toi à jouer les fugitifs je dois rentrer et terminer
mon affaire .
_n'oubliez pas qu'on lies l'un à l'autre donc tu vas me suivre et s'il faut recourir à la force
n'oublie pas que c'est moi qui a le flingue .
Il n'essaya pas de la contredire .Il sortirent du magnifique parc pour se retrouver dans la
tumulte de la rue
_Bon il faut trouver un moyen pour nous libérer de ces menottes et un téléphone dit Alice
Quelque minutes une petite camionnette s'est arrête devant eux .Bingo elle appartenait à
un garage de réparation . Il devrait surement y avoir quelque outils .La voiture s'éloigna
pour se garer dans une petite ruelle .Tout se passait pour le mieux .
_Attends laisse-moi faire dit Martin .Il brisa la vitre et ouvrit la porte .Bon c'est moi qui
condit .
_Comme tu veux, le plus important c'est de s'éloigner d'ici les lus vite possible ensuite on
verra.
Il partirent de la ruelle vers la sortie de la ville. Ils s'arrêtèrent devant une usine
abandonnée.
_On s'arrête ici ,on regarde s'il quelque chose pour nous enlever ces menottes puis on
essaie de trouver une façon pour revenir au centre-ville
_Oh regarde ce que j'ai trouvé dit-il en lui montrant une pince .Je pense que ça fera
l'affaire .
_Oui j'étais entrain de suivre un meurtrier mais je ne peux pas t'en parler .
_Est ce que tu penses pas qu'on est dans un cas critique pour que tu me caches ça .
_Je ne peux pas t'en parler sans te dire que je ne te disais pas toute la vérité, en fait je
travaille dans la police mais pas en Irlande je travaille à Chicago sur l'affaire du meurtrier
Erik Nikovski, j'étais dans les de Chicago jusqu’à a ce que je trouve un indice qui me mène à
toi mais après ça je ne me souvient plus de rien je te le jure
Elle souffla puis dit: car c'est mon père ,un ancien policier , qui l'a tué.
Je m'en souvient comme si c'était hier. Il y a trois ans, j’étais en train d'attendre dans la salle
du gynéco en regardant des photos de femmes tous étranglé par des bas de soies .
Il avait maintenant quatre victimes .J'essaie de trouver quelque chose qui relie tous ses
crimes mais rien à faire à part les bas avec lesquels il les étranglait et qu'elle vivaient toutes
seuls . Je me sentais frustrée car il y avait quelque choses qui reliait les victimes et cet
impression me gâchait la vie. Ce qui me dérange aussi c'est que ce criminel ne laisse aucune
trace derrière lui ,le seul indice qu'on a c'est une femme qui avait vu un homme habillé en
noir s'enfuient de la scène du crime avec une moto à trois roues. Je regardais plusieurs
clichés des victimes pendant leur vie quotidienne. Je remarquais que la première victime
avait un châle fétiche qu'elle portait sur toute ses photos à part celle prises le jour de sa
mort .La deuxième victime avait perdu son téléphone portable la troisième aussi .Mais
qu'est-ce que la quatrième victime avait perdu? Sa vie, oui mais quoi encore. Je pris mon
téléphone et appela Seymour un de mes collègues:
Il est vrai que je dois m'occuper de mon bébé et que je dois lui acheter tout ce dont il a
besoin .Mon mari Paul a déjà fait sa part des choses comme à chaque fois j'esquive la
question :
Il raccrocha puis l'assistante de la gynéco pour me prévenir que c'était mon tour .J'entre
dans la salle et m'installe .La docteur me dit que tout va bien et que l'accouchement aura
dans quelques semaines ,soudain mon téléphone sonna :
Je prends ma veste et je sors . J'entends la docteur me dire qu'on avait pas fini la séance
mais je m'en fous ,je dois à tout prix terminer cet enquête .
_Je voulais vous demander si Sara avait perdue quelque chose avant sa mort?
_Oui c'est pour ça qu'on s'est disputés ce jour-là ,elle avait perdue l'ours en peluche préféré
de notre fils au jardin des tuileries.
Je raccroche puis je pars en direction du siège des objets perdus s'adressa à l'accueil pour
leur demander de voir le directeur . Je monte les marches doucement puis entre dans le
bureau du directeur :
_ Bonjour Alice André de la brigade criminel , je voudrais vous demander si ces qutre
femmes sont venus pour remplir le formulaire ?
Il regarda les noms puis prit ses dossiers qu'il examina au bout d'une minute :
Je sentis ma déception monter .Tout à coup je pose une question qui me surprit moi meme
_Encore une chose :est-ce que vous avez un employé qui a une moto à trois roues ?
_Oui c'est Erik Nikovski il ne travaille que pour remplacer les employés en congé