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Université de Zayan Ashour Djelfa

Faculté des sciences économiques et commerciales et des sciences de gestion

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Introduction: l'année universities


2017-2018
Le Fonds monétaire international (FMI) est une institution
internationale regroupant 189 pays, dont le but est de « promouvoir la
coopération monétaire internationale, garantir la stabilité financière,
faciliter les échanges internationaux, contribuer à un niveau élevé
d’emploi, à la stabilité économique et faire reculer la pauvreté »2.
Le FMI a ainsi pour fonction d'assurer la stabilité du système
monétaire international (SMI) et la gestion des crises monétaires et
financières. Pour cela, il fournit des crédits aux pays qui connaissent
des difficultés financières mettant en péril l'organisation
gouvernementale du pays, la stabilité de son système financier
(banques, marchés financiers) ou les flux d'échanges de commerce
international avec les autres pays.
Lors d'une crise financière, pour éviter qu’un pays ne fasse «
défaut » (c’est-à-dire que ce pays ne puisse plus rembourser ses
créanciers, voire ne plus payer ses dépenses courantes), le FMI lui
prête de l’argent le temps que la confiance des agents économiques
revienne. Le FMI conditionne l’obtention de prêts à la mise en place
de certaines réformes économiques visant en principe à réguler la
gestion des finances publiques (ingérence financière) et à établir une
croissance économique équilibrée à long terme.

1.Définition:

2
Le Fonds monétaire international (FMI), une
organisation internationale annoncée en 1944 à la
Conférence de Bretton Woods et officiellement
fondée en 1945 en tant que membre de 29 pays,
travaille à promouvoir la sécurité de l'économie
mondiale. Le Fonds a son siège à Washington DC et
est géré par ses membres, qui comprennent presque tous les pays du
monde avec 185 pays. Il était traditionnellement dirigé par un
Français.
L'institution a été créée le 27 décembre 1945 et devait à l'origine
garantir la stabilité du système monétaire international, dont
l'écroulement après le krach de 1929 avait eu des effets
catastrophiques sur l'économie mondiale. Après 1976 et la disparition
d’un système de change fixe, le FMI perd l'essentiel de sa raison d'être
et hérite d'un nouveau rôle face aux problèmes d'endettement des pays
en développement et à certaines crises financières.1
2.Fonctions du Fonds monétaire international :
Dans son contrôle des politiques économiques des pays membres,
le FMI est préoccupé par la performance de l'économie dans son
ensemble - souvent appelée performance macroéconomique. Cela
inclut la performance des dépenses totales (éléments de base, tels que
les dépenses de consommation des entreprises d'investissement) et de
la production et de l'emploi et l'inflation, ainsi que la balance des
paiements du pays - à savoir l'équilibre de ses relations avec le reste
du Fonds Alm.oarkz principalement sur les politiques macro-
économiques des pays - à savoir les politiques relatives à l'équilibre du
gouvernement, et la gestion de trésorerie crédit et taux de change - et
les politiques du secteur financier, y compris l'organisation des
banques et autres institutions financières et de contrôle, et en plus que
suffisamment d'attention du FMI dirige les politiques structurelles qui
affectent les performances macro-économiques - y compris les
politiques Su Le Fonds fournit des conseils à chaque pays membre sur
la façon d'améliorer sa politique dans ces domaines, permettant des
objectifs plus efficaces tels que l'emploi élevé, une inflation faible et
une croissance économique durable - croissance Ce qui pourrait
continuer sans causer de difficultés telles que des problèmes
d'inflation et de balance des paiements.
1
-voir Bulletin du FMI, Cas de l'Allemagne, 30 janvier 2006, page 28

3
3. Objectifs, aujourd’hui :
Depuis 1976, le rôle du FMI consiste en premier lieu à soutenir
les pays connaissant des difficultés financières. Lorsqu’un pays est
confronté à une crise financière, le FMI lui octroie des prêts afin de
garantir sa solvabilité et d’empêcher l’éclatement d’une crise
financière semblable à celle qui frappa les États-Unis en 1929.
L'article I des statuts du FMI en fixe les buts : « Encourager la
coopération monétaire internationale ; faciliter l'expansion et
l'accroissement harmonieux du commerce mondial ; promouvoir la
stabilité des changes ; aider à établir un système multilatéral de
paiements ; mettre temporairement, moyennant des garanties
adéquates, ses ressources générales à la disposition des États membres
qui font face à des difficultés de balance des paiements.
Plus généralement, et conformément à ses autres buts, le FMI a
pour responsabilité d'assurer la stabilité du système financier
international. » Le FMI est en ce sens, le responsable de dernier
ressort de la liquidité du système financier international, pour éviter le
blocage des échanges et la contagion à tout le système (risque
systémique) de problèmes momentanés de solvabilité d'un pays donné
ou d'une banque centrale donnée. C'est une sorte de « banque centrale
des banques centrales et trésors publics ».
Dans le cadre des prêts qu’il accorde, le FMI se doit de garantir
auprès de ses contributeurs la bonne utilisation des fonds alloués à tel
ou tel pays. Il ne s’agit pas seulement de retarder la crise par l’octroi
d’une aide monétaire temporaire, mais de profiter du répit accordé par
le prêt pour corriger les causes structurelles des difficultés
économiques. Ainsi le FMI exige des emprunteurs qu’ils mettent en
place les politiques économiques qu’il préconise : les « politiques
d'ajustement structurel ». Finalement les trois grandes missions du
FMI sont :1
 d’accorder des prêts aux pays en difficulté financière ;
 de conseiller les États membres quant à leur politique
économique ;
 d’apporter une assistance technique et des offres de formation
aux États membres dans le besoin.

1
-La grande désillusion, Joseph Stiglitz, Ed. Fayard, 2002.P44

4
4.Fonctionnement et ressources :
Le FMI est gouverné par ses 189 pays membres, chacun ayant
une voix pondérée par sa participation financière à l'organisation (sa
« quote-part »). Il prend de nombreuses décisions en concertation avec
la Banque mondiale au sein du « Comité de développement ». Sa
gestion courante est confiée à un conseil d'administration composé du
président de l'organisation et de 24 administrateurs représentant
chacun une nation. 8 d'entre elles ont un représentant permanent
(États-Unis, Royaume-Uni, France, Allemagne, Japon, République
populaire de Chine, Russie et Arabie saoudite), les 16 autres sont élus
par les pays membres.
La plupart des décisions sont prises dans les faits à l'unanimité.
Cependant, compte tenu des modalités de prise de décision au sein du
FMI, qui supposent une majorité qualifiée correspondant à 85 % des
droits de vote, les États-Unis, ou l'Union européenne dans son
ensemble, disposent de fait d'un droit de veto sur les décisions du FMI
puisqu'ils disposent chacun de plus de 15 % des droits de vote.
Cependant, les pays de l'UE ne sont pas toujours coordonnés.1
Les ressources du FMI liées aux quotes-parts sont d'environ 210
milliards de DTS (soit 300 milliards de dollars américains), auxquels
s'ajoute la possibilité pour le FMI de recourir à des emprunts envers
les grandes puissances économiques (ces crédits sont de l'ordre de 50
milliards de dollars). Lors du sommet du G20 de Londres le 2 avril
2009 il a été décidé d'accroître significativement les ressources du
FMI à hauteur de 1 000 milliards de dollars pour mieux faire face à la
crise mondiale. Les pays émergents s'estiment en effet sous-
représentés dans les institutions financières existantes. La réforme
aura fait passer de 4 à 6,4 % les droits de vote de la Chine, ce qui
l'aurait placée juste derrière le Japon mais loin encore derrière les
États-Unis dont la quote-part n'aurait que légèrement diminué que de
17,7 à 17,4 %. Cette réforme aurait permis aux pays des BRICS d'être
parmi les 10 pays ayant la plus forte quote-part, au détriment
notamment du Canada. En août 2010, 181 pays admissibles à voter
représentant 99 pour cent du quota avait approuvé cette hausse. Bien
que signé par le président américain Barack Obama en 2010, les

1
- « Reform of the Bretton Woods Institutions: The IMF Might Not Live to See Its Anniversary  » [archive]
(consulté le 16 juin 2015)

5
Républicains du Congrès des États-Unis ont refusé de ratifier ce projet
de réforme du Fonds Monétaire International.
Face à cette impasse, des solutions alternatives excluant les USA
ont été présentées par les BRICS (le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine
et Afrique du Sud) au sommet de G-20 en 2013 incluant un "fond
commun de devises" et une Banque de développement8. Sans une
résolution de l'impasse du Congrès américain, la position du FMI dans
le système financier mondial risque de devenir de plus en plus
marginalisée.
 Le FMI compte environ 2 700 employés.
 La seule langue officielle du FMI est l'anglais.
5.Politiques préconisées:
Là où il intervient, le FMI, avec l’aide d’autres organisations
internationales octroyant des prêts (comme la Banque mondiale),
négocie donc des plans dits d’Ajustement structurel. Ils consistent
généralement à améliorer les conditions de production et d’offre via la
promotion des mécanismes du marché. Parmi les mesures concrètes
souvent exigées, on trouve l’ouverture du pays aux capitaux étrangers
et au commerce international, la libéralisation du marché du travail et
la réduction du poids de l’État, c’est-à-dire la privatisation de
nombreuses entreprises. L’économiste anglais John Williamson a
regroupé l’ensemble de ces idées sous le terme de « consensus de
Washington », en soulignant qu’elles sont partagées par la plupart des
grandes organisations internationales (Fonds monétaire international,
Banque mondiale, Organisation mondiale du commerce…) dont la
plupart ont leur siège à Washington.1
Ces plans ne prévoient pas de baisses d'impôts, mais en général
des baisses de dépenses conjuguées à des hausses d'impôts afin de
rétablir l'équilibre budgétaire des États à problème. Par exemple, au
Cameroun, le plan d'ajustement s'est traduit par des hausses de la
fiscalité au point que le groupement patronal a dû demander une
« pause fiscale » de deux ans pour pouvoir faire face aux nouveaux
impôts.
Les interventions du FMI se sont multipliées dans les pays en
développement à partir des années 1980 qui virent éclater la crise de la
dette du Tiers Monde, notamment à partir de 1982 et la cessation de
paiement du Mexique. Toutefois le FMI est aussi parfois intervenu
1
- David Rogers, « IMF at center of budget debate » [archive] (consulté le 14 juin 2015)

6
dans des pays développés, comme en Corée du Sud à la fin des années
1990. Depuis 2000, le FMI est devenu de plus en plus impliqué dans
des pays développés, comme la Grèce en 2010, 2011; la Grèce
(encore), le Portugal, l'Irlande, la Roumanie et l'Ukraine en 2012. En
janvier 2012, ces cinq pays étaient les plus grands emprunteurs du
FMI. En 2013, le FMI a monté un sauvetage de 10 milliard de dollar
pour le système bancaire de Chypre.
6.Le FMI dans le système de Bretton Woods :
FMI, qui comptait 29 Etats membres à sa création en 1945, était l-
instrument derégulation du système établi par les Accords de Bretton
Woods.
Il devait fonctionner commeune coopérative où les contributions
des membres financeraient le retour à l-équilibre de la balance des
paiements de ses membres en difficulté et contribuer ainsi au bon
fonctionnementdu système de Bretton Woods.
Chaque pays versait une cote part en intégrant le FMI. Elle était
déterminée par sa puissance économique ± son PNB et l-importance
de son commerce extérieur. 25% de laquote-part était versés en or, le
reste dans la monnaie nationale du pays. Un pays pouvaitobtenir
directement entre 25% et 125% de sa quote-part en cas de déséquilibre
de sa balancedes paiements - droit de tirage. Le droit de tirage devait
permettre aux banques centralesnationales de défendre la monnaie sur
le marché des changes. 1
Le rôle du FMI est resté limitédans les années 1950-1960 à cause
des faibles ressources dont il disposait et du plan Marshallqui a fourni
les ressources nécessaires à la reconstruction.
A partir de la fin des années 1950, certaines difficultés sont
apparues car le systèmereposait sur la parité dollar/or et sur la
convertibilité externe du dollar ± un agent détenant desdollars pouvait
les échanger dans n-importe quelle banque centrale contre des dollars.
Les Etats-Unis devaient donc à la fois fournir des dollars en quantité
suffisante au monde pour lerèglement des opérations de commerce
international et limiter la création monétaire pour maintenir stable le
cours du dollar par rapport à l-or : le « paradoxe de Triffin ». Le
développement des échanges mondiaux a fait que l-or et le dollar se
sont révélés être desavoirs de réserve insuffisants et, en plus de

1
-bulletin :du FMI, 4 juin 2007, page 130

7
supprimer la convertibilité externe du dollar en1968, on a créé en
1969 une nouvelle monnaie : le DTS ± Droit de Tirage spécial. Il étai.
octroyé aux pays en fonction de leur quote part. C-est un dispositif
complémentaire pour queles échanges ne dépendent pas uniquement
de la production d-or et de la création monétaireaux Etats-Unis. Le
DTS permettait aux Etats membres de créer de nouvelles
liquiditésinternationales car il était, tout comme l-or et le dollar, un
avoir de réserve. Initialement, savaleur était fixée à 0.888671
grammes d or.
La convertibilité du dollar / or a été abolie en 1971 et le système
de Bretton Woods a pris fin avec les accords jamaïcains en janvier
1976. Ces accords officialisent la fin du régime de taux de change fixe
et exposent les fluctuations monétaires au marché des changes. Les
devises sont maintenant définies par le marché et plus standard.
Donnentéga lement le Fonds monétaire international surveillance. De
rôle aujourd'hui et le Fonds monétaire international travaillent toujours
sur la base du paiement des quotes-parts, calculé laide du produit
intérieur brut (PIB), et le solde du compte courant, les réserves
officielles, et le DTS ± DTS et est devenu un compte unitaire du FMI
et son rôle est principalement Actifs de réserve. 1
7.Quelques bonnes actions du FMI :
Au cours des dernières années, le FMI a joué un nouveau rôle dans
la coordination des accords de prêt et d'emprunt, ainsi que dans
l'orientation stratégique des crises financières, et le FMI a joué un rôle
de premier plan dans certaines réalisations notables. En particulier,
deux initiatives lancées par les États-Unis: le plan Brady, nommé
d'après le secrétaire au Trésor de l'époque, a aidé à résoudre les
problèmes de dette en Amérique latine, le second, dirigé par le
secrétaire au Trésor Robert Rubin, a mis fin à la dévaluation du peso.2
Le plan stratégique Brady a été adopté à la fin des années 1980
pour restructurer la dette des pays en développement avec les banques
commerciales qui dépendent de la réduction de la dette volontaire et
des opérations de service de la dette aux conditions du marché. 3
8.Les dérives du FMI:
1
-bulletin :du FMI, 4 juin 2007, page 131
2
-Kenneth Dyson, States, Debt, and Power. 'Saints' and 'Sinners' in European History and Integration, Hardback,
2014, p. 375
3
-Kenneth Dyson, States, Debt, and Power. 'Saints' and 'Sinners' in European History and Integration, Hardback,
2014, p. 376

8
1. Les nouvelles règles ne correspondent pas aux pays qui
demandent de l'aide.
L'économiste était John Maynard Keynes, qui a participé aux
négociations sur la création du Fonds monétaire international. Selon
lui, cela était dû au manque de demande mondiale.
En conséquence, le FMI a contribué à soutenir et à stimuler la
demande mondiale en fournissant des fonds et en encourageant des
politiques expansionnistes. Les pays en crise doivent augmenter leurs
dépenses publiques, réduire les impôts et les taux d'intérêt pour
maintenir le plein emploi.
2. Crises mal gérées par le Fonds monétaire international.1
A. La crise asiatique :Jusqu'aux années 1990, l'Asie du Sud -Est
était un modèle de développement économique. À l'époque,
on parlait du «miracle asiatique». La Thaïlande était l'un de
ces pays modèles. Il a réalisé de fortes économies, des
investissements publics dans l'éducation, une politique
industrielle intelligente et un taux de croissance élevé, mais
comme beaucoup d'autres pays asiatiques, il a dû faire face à
une forte baisse du prix de sa monnaie en juillet 1997.
B. La crise argentine: L'origine de la crise en Argentine a été
l'arrivée de la junte militaire (1976-1983) à travers un coup
d'État responsable de la défaite lors de la guerre des
Malouines. Au cours de ces années, la dette extérieure de la
«dette haineuse» a connu la première forte augmentation de 8
à 43 milliards de dollars.
Au cours de ces années, le Fonds monétaire international
(FMI) a accordé en 1976 un important prêt à l'Argentine, en
envoyant son produit à Wall Street ou à des paradis fiscaux.
En outre, la corruption et le détournement de fonds ont fait
surchauffer l'Argentine et pour respecter ces délais avant que
le Fonds monétaire international, l'Argentine, vende tout son
patrimoine national, à la fin du processus, environ 90% du
capital des banques et 40% Mains d'étrangers. Cela donnera
l'illusion de l'unification argentine mais ce ne sera que dans le
court terme.
C. Autre option pour résoudre les crises : Pendant la crise en
Asie du Sud-Est depuis 1997, les pays qui ont rejeté
1
-Lamia Oualalou, « On achève bien le FMI ! », Marianne, no 550, semaine du 3 au 9 novembre 2007, p 56

9
l'approche du FMI ont surmonté cette crise sans trop de
difficultés. 1

Conclusion:
Bien que cette recherche n'ait pas abordé le problème de la dette,
elle est étroitement liée à tout ce qui concerne le Fonds monétaire
international. S'ils ne le font pas, ils visent à limiter la réflexion sur le
domaine spécifique du travail du FMI. En revanche, le problème des
dépôts nécessite une étude spécifique.
1
-Lamia Oualalou, « On achève bien le FMI ! », Marianne, no 550, semaine du 3 au 9 novembre 2007, p 56

10
Le FMI doit avoir une vision plus vaste de sa mission, mais il faut
aussi renforcer salégitimité. La représentation de chaque pays au sein
du FMI doit refléter les évolutions de l'économie mondiale. les
rapports de force géopolitiques ont changé.

plan de recherché

Introduction:
1.Définition
2.Fonctions du Fonds monétaire international

11
3. Objectifs, aujourd’hui 
4.Fonctionnement et ressources 
5.Politiques préconisées:
6.Le FMI dans le système de Bretton Woods 
7.Quelques bonnes actions du FMI 
8.Les dérives du FMI
Conclusion

Références

1. Lamia Oualalou, « On achève bien le FMI ! », Marianne, no 550,


semaine du 3 au 9 novembre 2007

12
2. Kenneth Dyson, States, Debt, and Power. 'Saints' and 'Sinners' in
European History and Integration, Hardback, 2014,
3. voir Bulletin du FMI, Cas de l'Allemagne, 30 janvier 2006,
4. La grande désillusion, Joseph Stiglitz, Ed. Fayard, 2002.
5. « Reform of the Bretton Woods Institutions: The IMF Might Not
Live to See Its Anniversary » [archive] (consulté le 16 juin 2015)
6. David Rogers, « IMF at center of budget debate » [archive]
(consulté le 14 juin 2015)
7. bulletin :du FMI, 4 juin 2007

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