INTRODUCTION 5
I-INTRODUCTION 6
II-/ANTENNES IMPRIMEES 6
III-ADAPTATION 15
CONCLUSION 18
I-INTRODUCTION 19
III-4-Conception 21
III-5/Simulation 23
CONCLUSION 28
CONCLUSION GENERALE 29
Bibliographie 30
ANNEXE 31
Symboles utilisés
W : largeur de l'élément rayonnent
: Longueur effective
: Vitesse de la lumière
Z1
: Bande passante
L
: Longueur d'onde dans le diélectrique
INTRODUCTION
L?étude présentée dans ce rapport se place dans le cadre d?un mini projet de
conception d?une antenne Patch MICROSTRIP. L?utilisation d?un simulateur
électromagnétique(HFSS) permet d?appréhender des lois de comportements sans
avoir préalablement recours à un formalisme mathématique.
Dans un premier chapitre une étude succincte a été faite sur l?antenne imprimée qui
sont applicables aux différentes situations d'intégration, ainsi la simplicité de leurs
structures fait que ce type d?antenne est adapté au faible cofit de fabrication. Ceci
est une propriété clé qui explique l?introduction des antennes imprimées dans les
applications de la communication mobile. Je vais expliquer aussi le concept du
dimensionnement et le paramétrage des antennes imprimées de type<< Patch>>.
Après quelques rappels sur le fonctionnement théorique des antennes patchs, nous
allons efforcer à aborder le deuxième aspect celui de la conception d?une antenne
imprimée avec un simulateur électromagnétique, j?ai essayé de représenter les
résultats de simulation dans une fréquence bien précise. Basé sur une étape de
mesure : coefficient de réflexion, le diagramme de rayonnement, gain, directivité ...
I-INTRODUCTION
Le concept des antennes imprimées a été proposé dès 1953 par Deschamps [1]
mais il n?a été possible de les réaliser efficacement qu?à partir de 1970 (HOWEL et
MUSON) grace à l?arrivée sur le marché de diélectrique à faibles pertes. Depuis, la
recherche dans ce domaine n?a cessé de s?intensifier pour exploiter les nombreux
avantages des antennes imprimées
L?emploi d?antennes plaquées s?est quasiment généralisé dans tous les systèmes
de communication mobile. Ces antennes sont légères, peu encombrantes et peu
coûteuses. Elles sont fabriquées selon la technique photo lithographique des circuits
imprimés. Selon l?utilisation, on trouve différentes formes d?éléments rayonnants,
différents types de substrats ou encore différents types d?alimentation.
II-/ANTENNES IMPRIMEES
· faible poids,
· réseau d?antennes.
· faible gain.
L?antenne patch peut prendre plusieurs formes qui peuvent être rectangulaire, carré,
circulaire ou simplement un dipôle. Ces formes sont les plus courantes car elles
présentent une grande facilité d'analyse et de fabrication, mais également un
diagramme de rayonnement très intéressant.
Remarque :
Parmi toutes ces formes, l?élément rectangulaire est sans contexte le plus facile à
appréhender pour la compréhension des mécanismes de rayonnements des
antennes planaires,
d'alimentation est facile à mettre en oeuvre et à adapter. Mais il offre une bande
passante étroite.
Dans ce cas d?alimentation, on relie une ligne microstrip au patch. Cette ligne lui
amène de l?énergie. Il existe cependant un inconvénient dans ce type d?alimentation
vu qu?elle génère un rayonnement parasite.
Elles sont basées sur des équations physiques de l?électromagnétisme où l?on a fait
des hypothèses simplificatrices permettant d?obtenir des modèles simples.
Néanmoins, les résultats sont approchés. Les modèles fréquemment utilisés pour
analyser les antennes imprimées sont :
Elle permet de les modéliser par des tronçons de lignes micro-rubans dont les
caractéristiques sont bien connues.
)(_
f v2
La longueur effective :
a ff ~
fv
uu~
)( ~ 6 )
_ )( ~ ) ~
Le calcul des paramètres L et W du patch se fait par des outils numériques comme
Microstrip Patch Antenna Calculator?
Une ligne microstrip est constituée d'un ruban conducteur placé sur une face d'un
matériau diélectrique dont l'autre face constitue un plan de masse.
p)
p)-
a/
-))
*B-)9-
h > ,B - - B - ) +- 9)
aB)
v
Les relations précédentes ont été établies en supposant que l'épaisseur t du
conducteur est très faible devant l'épaisseur h de l'isolant (t/h <0,005). Dans les
autres cas, il faut apporter une correction, la plupart du temps négligeable. Pour les
puristes, voici la relation à utiliser:
Pour W/h > 0,16 (ce qui est toujours le cas dans notre domaine)
~~ ~ n (
)) )
Pour les impédances caractéristiques faibles (< 60 ?), la correction peut être ignorée.
Dans la pratique, il existe d'un fournisseur à l'autre une certaine dispersion de la
permittivité relative qui n'a, dans le domaine amateur, que des conséquences
mineures.
Par exemple, pour un microstrip voisin de 50?, une variation de #177; 10% de la
permittivité entraîne une variation de l'impédance caractéristique inférieure à 5% en
sens inverse. De même une variation de #177; 10% de la largeur de la piste entraîne
une variation de 5 à 6 % de l'impédance caractéristique (autour de 50?). On voit
donc que les microstrips sont somme toute assez tolérants.
Dans une ligne microstrip, comme dans un câble coaxial, la vitesse de propagation
de l'onde dépend du matériau isolant et est inférieure à sa vitesse dans l'air :
La longueur d'onde ëg dans la ligne microstrip est donc plus petite que la longueur
d'onde dans l'air ë0:
Avec ft ff
~( )
~ ~( ) ~
~( (
~~))
v ~~ ~~
a) Largeur W du patch
1 kw( )
n9
-)
b) Longueur L du patch
9)
fv
III-ADAPTATION :
Pour chaque système qui transforme l?énergie sur une ligne de transmission a
besoin d?adaptation car la ligne transforme l?impédance de charge en une autre
valeur d?impédance au droit de la source. Ce que voit la source dépend donc de l?
impédance de charge, de la longueur électrique de la ligne et de son impédance
caractéristique [8]
Principe :
Une autre façon de procéder pour arriver à l'adaptation d?une charge quelconque
consiste à utiliser un stub.
Principe :
A partir de la charge, grâce à un tronçon de ligne d'impédance caractéristique Zc et
de
longueur adéquate l, le point représentant l'admittance yL0 = 1/zL0 parcours un
cercle
jusqu'à ce que celui-ci croise le cercle représentant les admittances du type
, l'adaptation en partie réelle est ainsi réalisée. L?adaptation de la partie
G1={ (20)
) >>
Comme G1= ( )
Impédance d?entrée
=
n
~ ( )= ~ y ) ( )
CONCLUSION
PAR HFSS
I-INTRODUCTION
La phase de conception d?une antenne, à l?aide d?un logiciel adapté, est une étape
incontournable dans un souci de gain de temps et d?optimisation de structure aux
paramètres désirés.
Ce projet consiste à réaliser une antenne patch microstrip à une fréquence bien
déterminée.
Le cahier des charges nous impose les valeurs caractérisant des différents éléments
de l?antenne :
-l?adaptation à 50 Ohm
- le connecteur SMA/N
Avantages Inconvénients
HFSS utilise également un algorithme ALPS (Adaptative Lanczos Pade sweep) qui
lui permet de générer un maillage adaptatif automatiquement.
37.5391 4.0102 0.7405 30.5732 29.0922 303.8471 1.5185 3.1011 30.5732 10.6781
III-4-Conception
? Adapter par une ligne quarte d?onde ? Adapter par des encoches
Figure 17: Antenne patch MICROSTRIP adapté par ligne quart d?onde
III-5/Simulation
? Paramètre S :
Figure 18 : Paramètre S du Patch sans adaptation à la fréquence 2.45Ghz
Le paramètre S est le coefficient qui préoccupe le plus les concepteurs des antennes
imprimées car il représente le coefficient de réflexion qui joue le rôle de perturbation
sur la transmission des données.
Ici dans cette figure on constat que le coefficient S est de l?ordre de -44.23dB pour
une fréquence de résonance de 2.46Ghz, cette dernière est proche de la fréquence
souhaitée qui est de l?ordre de 2.45Ghz et la bande passante est de , cette
Dans cette figure on voit que le coefficient S a diminué jusqu?à la valeur de-48.93dB
pour une fréquence de résonance de 1.86Ghz cette amélioration est due à l?
adaptation par encoche (figure 16), mais la fréquence de résonance a été changer
cela ne peut être explique que par l?insertion des ouvertures (encoche) dans l?
élément rayonnant, ainsi la bande passante est de 100 MHz, il a été rétrécit ce qui
augmente la performance de l?antenne.
deux ou trois dimensions, dans le plan horizontal ou dans le plan vertical incluant le
lobe le plus important.
Le diagramme dans 2D :
On voit que la direction privilégier est en è=90° et ö=270° avec un gain de 0.082 (-
11.4dB), donc l?antenne est directive, il faut poser l?antenne dans ses directions
pour se bénéficier des performances optimales de l?antenne.
Le diagramme dans 3D :
Figure 23 : Diagramme de rayonnement de la directivité du patch non adapté.
La direction du lobe principale est à --Y, ce qui prouve que le patch est une antenne
directive, les lobes secondaires sont apparus car la structure et non adapté.
· Champ E/H
La répartition du champ E est basée sur les positions des noeuds (min) et des
ventres (max) des courants et des tensions, la distance entre les ventres est , le
maximum du champ est de 8.81e(3)V/m .
(a)Champ E (b) Champ H
· Cas intéressant
On voit que les deux pics représente le même paramètre S environ -24.5dB et
séparé par 310Mhz ce qui est désiré pour ne pas avoir une large bande de
fréquence.
CONCLUSION
Le dernier cas du patch c?était une idée pour avoir une antenne qui fonctionne en
plusieurs bandes de fréquence de résonance.
CONCLUSION GENERALE
L?antenne patch est une antenne directive surtout avec l?utilisation des techniques
d?adaptation qui ne permettent que minimise le coefficient de réflexion mais pas de
retrouver la fréquence de résonance souhaitée.
La conception d?une antenne patch a été très enrichissante. D?une part, il nous a
permis d'appliquer les connaissances acquises sur le logiciel HFSS et d'autre part, il
nous a donné la possibilité d?approfondir nos connaissances sur les antennes.
Ce projet nous a donné la possibilité de nous familiariser avec une situation réelle de
projet, de par le peu d?indications données au départ. Nous avons également pu
observer la mise en pratique des notions d?hyperfréquences assez difficiles à
appréhender seulement en théorie.
Bibliographic
ISBN 0-471-66782-X Copyright 2005 John Wiley & Sons, Inc. CH14 page 811