Questions 

:
6) b

7) d

8) Oui, les deux professionnels de santé portent leurs arguments sur des points en commun : l’origine
de ces médicaments génériques, leur efficacité, et la présence ou pas de leurs conséquences néfastes.

Commençant par l’origine, ils ont dit que le médicament générique est fabriqué par l’exploitation des
formules principaux (de base) du médicament original ce qui le fait identique à ce dernier, MAIS il y a
quand même des différences entre les détails.

Et, en ce qui concerne leur efficacité, il a été mentionné que ce médicament a les mêmes effets curatifs
sur les symptômes présentés MAIS ça peut encore provoquer des erreurs de posologie, par exemple
prendre en générique double la quantité prise de l’original pour le rendre efficace.

Enfin, pour les conséquences, la pharmacienne a dit que ces médicaments ne présentent aucun risque
sur la santé, PAR CONTRE le médecin a mentionné plusieurs conséquences qu’il a rencontré, comme la
présence d’excipients dans les médicaments génériques et non pas dans les princeps, stimulant des
allergies ; des somnolences et des chutes...

Donc les points et arguments avancés par les deux se complètent.

9) a) original b) copies c) identique

10) Les articulateurs utilisés par Madame N’Guyen sont : donc, comme, en effet, une fois, Ainsi, mais,
au même, effectivement, enfin.

Ceux utilisés par le Docteur Dorffer sont les suivantes : d'abord, or, par ailleurs, en effet,
malheureusement, par ailleurs, Ainsi, de plus, enfin, or.

11) On remarque dans les 2 passages qu’il y a une différence entre les deux vocabulaires de chaque
spécialiste, vue que Valérie N’Guyen est totalement avec l’usage de ces médicaments génériques, tandis
que dans le second passage, Docteur Patrick Dorffer montre une grande contradiction envers ce type de
médicaments. Cela crée 2 thèses contradictoires, une thèse supportant la sécurité d’usage de ces
médicaments, et une antithèse qui la réfute.