Causes Dep Affective

GUIDE
LE S 1 3 C A US E S D E LA
DÉPENDANCE
AFFECTIVE
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LA DÉPENDANCE AFFECTIVE :
LA DÉPENDANCE AFFECTIVE, « ON EN SORT » EN LA COMPRENANT.
Vous avez été conditionné à être dépendant

affectif, vous n’êtes pas condamné à le rester.
La dépendance affective est un trouble de

la personnalité : on parle de personnalité dépendante.
Derrière ce terme à la mode, une réelle souffrance

pour l’individu qui la vit dans ses relations à autrui.
La dépendance affective c’est ce besoin

de nourriture affective que l’on va chercher en l’autre.
La personne dépendante affective entretient des

liens dysfonctionnels et des croyances limitantes
du type : « Je ne suis pas digne d’être aimée.»
Être dépendant affectif c’est chercher à maintenir

le lien avec l’autre à tout prix et ce, quoi qu’il en coûte:
aux dépens de notre intégrité physique et
psychologique.
La dépendance affective se joue souvent pendant

l’enfance mais pas seulement : on parlera de
dépendance affective primaire ou secondaire.
LA DÉPENDANCE AFFECTIVE, « ON EN SORT » EN LA COMPRENANT.
Vous avez été conditionné à être dépendant

affectif, vous n’êtes pas condamné à le rester.
Pour « SORTIR » de la dépendance affective,

3 éléments sont fondamentaux :
Prendre conscience de ce diagnostic : souffrir

à outrance dans nos relations n’est pas « normal ».
Identifier et comprendre les causes primaires

ou secondaires de la dépendance affective.
Trouver les clés de la reconstruction à travers

la thérapie et les exercices pragmatiques.
1.
POUR SORTIR DE
LA DÉPENDANCE
AFFECTIVE
JE PRENDS
CONSCIENCE DU
DIAGNOSTIC
1. JE PRENDS CONSCIENCE DU DIAGNOSTIC
VOICI 10 SIGNES
DE LA DÉPENDANCE AFFECTIVE
Vous avez peur de perdre l’autre,

1 d’être abandonné.e ou
rejeté.e
Vous évitez au maximum les

2 conflits avec la personne aimée
Vous faites tout pour satisfaire

3 l’autre quitte à vous oublier
Vous faites passer les besoins

4 de l’autre avant les vôtres
Vous attendez souvent l’avis

5 de l’autre pour prendre une
décision
Vous ne vous sentez pas

6 à la hauteur de l’être cher
Vous avez une grande

7 intolérance à la frustration et au
manque
Les ruptures ou éloignements

8 vous anéantissent totalement
Vous faites tout ce qui est en

9 votre pouvoir pour garder l’autre
Vous souffrez si vous n’avez pas

10 de nouvelles régulières de l’autre
1. JE PRENDS CONSCIENCE DU DIAGNOSTIC
Avez-vous constaté que :
Vos relations (sentimentales, familiales, amicales) se finissent souvent

de la même façon ?
Vous avez un schéma de répétition avec des scénarios de souffrance

qui se reproduisent ?
Prenez le temps d’identifier ces situations relationnelles que vous

accumulez et qui vous font souffrir.
Si vous vous reconnaissez dans au moins 3 de ces signes, vous faites

face à un manque affectif.
Si vous vous reconnaissez dans au moins 5 de ces signes, vous

souffrez de dépendance affective modérée.
Si vous vous reconnaissez dans 7 de ces signes ou plus, vous êtes

dans une dépendance affective sévère.
POUR ALLER PLUS LOIN : si vous vous réfugiez à outrance dans le sport,
le travail ou une activité, vous êtes peut-être un dépendant affectif qui s’ignore
et qui comble son vide affectif par un surinvestissement dans un domaine.
2.
POUR SORTIR DE
LA DÉPENDANCE
AFFECTIVE
J’IDENTIFIE
LES CAUSES
PRIMAIRES
2. J'IDENTIFIE LES CAUSES PRIMAIRES
On parle de causes primaires de la dépendance

affective quand ce trouble provient de l’enfance
Les causes primaires :

relation de l’enfant aux parents
L’attachement insécure
ambivalent
• Parents incohérents : alternent entre sensibilité et indifférence
à l’égard de l’enfant
• Ne sécurisent pas l’enfant qui ressent un abandon émotionnel
• Ne subviennent pas à ses besoins de sécurité
L’attachement évitant
• Parents distants
• Parents qui critiquent ou rejettent l’enfant
• Réagissent avec colère et punissent
• Enfant se sent rejeté et isolé affectivement
désorganisé
• Parents excessifs
• Parents qui sont imprévisibles
• Écrasent l’enfant par leurs comportements
• Enfant éprouve de la peur et un manque de sécurité
On parle de causes primaires de la dépendance

affective quand ce trouble provient de l’enfance
Les causes primaires :

relation de l’enfant aux parents
Les figures parentales

surprotectrices
Le deuil de l'enfant
confronté à la perte
L’enfant confronté à la
maladie
L’enfant confronté à l’arrivée

d’un nouveau membre dans
la fratrie
L’enfant victime de
harcèlement
L’enfant en manque de
repères stables
ambivalent
L’attachement insécure de type ambivalent est caractérisé

par un comportement instable et incohérent de la part
des parents qui vont osciller entre surprotection et désintérêt
à l’égard de l’enfant.
La réponse qu’offrent les figures parentales à l’enfant

n’est pas adaptée à la situation et à ses besoins.
Il développera un inconfort en présence des parents.
Réactions possibles dans ce type d'attachement
Impulsivité et Surprotection Désintérêt et absence

agressivité face ou excès de sensibilité émotionnelle face à
à une bêtise minime face à des dangers ce qui nécessiterait
de l’enfant. inexistants. de rassurer l’enfant.
L’enfant développe un manque de confiance en ses parents qui ne

répondent jamais de façon cohérente à ce qu’il éprouve.
Pour combler ce manque, il va mettre en place des comportements

compensatoires parfois marqués et excessifs pour tenter d’obtenir une
réponse appropriée de la part des parents.
L’attachement évitant
L’attachement de type évitant est caractérisé par un

comportement distant de la part des parents à l’égard
de l’enfant.
La réponse qu’offrent les figures parentales à l’enfant n’est

pas adaptée à la situation et à ses besoins. Il développera
un sentiment de rejet en présence des parents et se
coupera de ses émotions qu’il n’exprimera plus.
Peu de partage Réaction de colère et

Détournent le regard
émotionnel et affectif de violence chez
face aux pleurs ou
avec l’enfant qui est les parents avec
blessures de l’enfant.
un électron libre. sanctions punitives.
L’enfant cherchera de l’attention et de la valorisation auprès de personnes

extérieures et non auprès de ses figures parentales.
Pour combler ce manque, il va apprendre à ne pas partager ses émotions,

à les maitriser en apparence et à ne pas nouer de liens trop profonds
avec autrui par peur de souffrir.
désorganisé
L’attachement de type insécure désorganisé est caractérisé

par un comportement imprévisible de la part des parents
à l’égard de l’enfant.
La réponse qu’offrent les figures parentales à l’enfant n’est

pas adaptée à la situation et à ses besoins. Il développera
un sentiment de peur en présence des parents qui lui
transmettent stress, angoisses et comportements
« schizophréniques ».
Parents souvent
Aucun schéma
alcooliques, sous Réaction ambivalente
d’attachement fiable et
substances, ayant des entre « je rassure
construit, égarent
traumatismes non l’enfant tout en me
l’enfant
résolus. Climat de moquant de lui ».
émotionnellement.
violence et d’abus.
L’enfant n’aura aucun schéma d’attachement défini et cohérent et sera

confronté à des peurs auxquelles il ne trouvera aucune solution à travers ses
liens de proximité et ses relations.
Les figures parentales

surprotectrices
Protéger son enfant en tant que parents est l’un des

fondamentaux de base. Mais lorsque ceux-ci tombent dans
la surprotection, les risques sont destructeurs pour l’enfant
qui grandira en étant extrêmement intolérant à la frustration,
au manque et à l’absence de réponse directe à ses besoins.
La surprotection entraine le manque d’estime de soi chez

l’enfant qui tombera souvent dans la dépendance affective
en tant qu’adulte puisqu’il n’aura jamais appris par lui-même
à se construire indépendamment de ses figures parentales.
L’enfant qui évolue dans ce schéma n’appréhende le monde

qu’à travers le prisme de perception de ses parents qui ne lui
laissent que trop peu d’espace pour expérimenter, apprendre,
se faire confiance et faire confiance à autrui.
Surprotéger l’enfant le maintiendra dans un état de dépendance qu’il

reproduira alors dans ses relations à l’âge adulte en souffrant
particulièrement de ne plus se sentir sécurisé puisque le rôle
d’un partenaire ne sera jamais celui d’un parent.
Le deuil de l'enfant
confronté à la perte
L’enfant est, par définition, très dépendant affectif de

l’environnement familial dans lequel il grandit et faire face à la
perte d’une figure d’attachement (un grand-parent, un
animal de compagnie, la maladie d’un proche, le départ à
l’étranger d’un parent, etc.) le confronte brutalement à la
notion d’abandon.
Le décès ou l’éloignement d’une figure d’attachement va

obliger l’enfant à sortir de cette illusion sécurisante selon
laquelle ceux qui l’entourent sont invulnérables et ne le
quitteront jamais. En résulte une dépendance anxieuse aux
autres figures d’attachement qui peut se transformer en
dépendance affective à l’âge adulte.
L’enfant qui évolue dans ce schéma n’appréhende plus

le monde qu’à travers la peur qu’il arrive quelque chose à ceux
qu’il aime, le poussant ainsi à créer des liens de profonde
dépendance.
Dans le cas où la perte affecte profondément ses figures parentales, il aura

tendance à réprimer ses émotions et à essayer de « soigner » ses parents,
le conditionnant à se détacher de ses propres besoins et à grandir en étant
dans le sacrifice et le don de soi.
L’enfant confronté à la maladie
La maladie qui peut toucher l’enfant affecte de façon profonde

et parfois durable les liens d’attachement et le sentiment de
sécurité.
Si les parents transmettront à l’enfant leur angoisse face à la

potentielle gravité de la maladie, celui-ci fera face, en premier
lieu, à l’angoisse de la séparation avec ses figures
d’attachement durant ses séjours à l’hôpital.
L’hospitalisme de Spitz a mis en lumière le fait qu’un enfant

séparé trop durablement de ses figures d’attachement
développera des troubles psychiques profonds jusqu’à,
parfois, se laisser mourir puisque la séparation et le manque
affectif représentent déjà une mort en soi pour l’enfant.
Les séquelles de cet éloignement dans un contexte de maladie et

de soins peuvent mener à la dépendance affective à l’âge adulte
avec une grande insécurité et une peur de l’abandon qui persistera.
L’enfant confronté à l’arrivée d’un

nouveau membre dans la fratrie
L’arrivée d’un nouvel enfant dans un foyer familial est toujours

une magnifique expérience qui peut néanmoins affecter
profondément l’enfant ainé jusqu’alors unique objet d’attention
des parents.
L’enfant peut croire qu’il est remplacé par ce nouveau venu qui
attirera souvent, par ses besoins récurrents, toute l’attention
des figures parentales. L’ainé se sentira alors négligé,
abandonné et en grande insécurité affective si les parents
n’arrivent pas à équilibrer leur présence entre les deux enfants.
Dans le cas où l’ainé était particulièrement fusionnel avec l’une

de ses figures parentales, la scission sera d’autant plus brutale
pour lui, le confrontant à un syndrome d’abandon voire de
rejet dont il gardera des séquelles à l’âge adulte.
Dans ce contexte, un enfant peut glisser dans la dépendance affective

par ses liens très insécures à ceux qu’il aime et qui l’auront remplacé
(il le percevra comme tel).
L’enfant victime de harcèlement
Si les figures parentales et familiales jouent un rôle

prépondérant dans la construction affective de l’enfant, ses
pairs (amis, camarades d’école, etc.) ont également une
influence significative sur lui.
Un enfant victime de harcèlement à l’école, qu’il se manifeste

sous la forme de violences physiques, d’humiliation ou de rejet,
va subir une érosion de son estime de soi et grandir avec un
sentiment d’insécurité dans ses relations à autrui.
Dans ce contexte, et face à des figures parentales qui n’ont pas

toujours connaissance de ce qui se joue, l’enfant peut construire
un socle affectif très fragile qui rendra ses relations d’adulte
fragiles et douloureuses pour lui.
L’enfant aura tendance à se réfugier dans son cocon familial puisque

le « dehors » sera source d’une trop grande insécurité affective pour lui.
La dépendance affective par insécurité et manque d’estime de soi guette
alors l’adulte.
L’enfant en manque
de repères stables
L’un des principaux besoins fondamentaux de l’enfant est la

stabilité de son environnement de vie.
Un enfant confronté à des déménagements répétés, à des

changements d’école et d’environnements va grandir en
manquant de repères qui sont fondamentaux pour assimiler la
notion de sécurité affective et apprendre à créer des liens
sociaux durables.
Tout changement met au défi notre capacité d’adaptation qui

est suffisamment développée en tant qu’adulte pour
appréhender les choses, parfois avec stress, mais avec
une relative capacité à assimiler le changement.
L’enfant, lui, n’a pas encore acquis cette capacité d’adaptation et ressentira
un stress et une insécurité affective en subissant ces changements qui lui
feront perdre ses relations amicales et ses repères. Un adulte dépendant
affectif en devenir donc... avec un syndrome d'abandon.
Prenez un temps de pause
La dépendance affective peut avoir plusieurs causes.

Dans lesquelles de ces causes primaires vous
reconnaissez-vous ?
3.
POUR SORTIR DE
LA DÉPENDANCE
AFFECTIVE
J’IDENTIFIE
LES CAUSES
SECONDAIRES
3. J'IDENTIFIE LES CAUSES SECONDAIRES
On parle de causes secondaires de la dépendance

affective lorsqu’il y a d’autres causes à l’âge adulte
sans lien avec l’enfance.
L’HYPERSENSIBILITÉ LE HAUT-POTENTIEL
Syndrome de stress post-traumatique
UNE RELATION UN DEUIL NON

TOXIQUE RÉSOLU
L’adulte hypersensible
Être hypersensible c’est ressentir le monde, l’autre, l’amour, les

relations, les choses de la vie, avec une intensité émotionnelle
qui peut parfois blesser. C’est aussi capter avec finesse et
bien malgré soi, les émotions de l’autre, tout changement
d’attitude ou de comportement.
L’hypersensible c’est ce moussaillon sur la proue du bateau

qui capte le moindre changement dans la pression de l’air,
qui sent la météo se dégrader pendant que les autres
voguent avec une relative sérénité et insouciance.
C’est celui qui, avec à cette sensorialité décuplée, tente aussi

de comprendre pourquoi l’autre est changeant. Il interprétera
ce changement comme un rejet, comme une prise de distance
à son égard en occultant le fait que son partenaire a aussi un
jardin secret qui n’a rien à voir avec lui.
En étant capable de décrypter ce jardin secret de l’autre, il est blessé par

ses changements d’humeur. Ne supportant pas les émotions exacerbées
qui s’imposent à lui face à ce sentiment de rejet, il fera tout ce qui est en
son pouvoir pour rétablir l’harmonie.
L’hypersensible est donc profondément dépendant de l’humeur de l’autre

et fera tout pour ne plus ressentir cette souffrance.
L’adulte haut potentiel
Se sentir aimé et accepté se fait parfois à travers le regard

de l’autre et notamment à travers celui du partenaire qui
sera le garant de l’estime et de la confiance en soi du
haut potentiel.
Le haut potentiel tombe souvent dans la dépendance

affective lorsqu’un travail préalable d’amour de soi, d’estime
et d’affirmation de soi n’a pas été fait. Car ces
fondamentaux ne sont pas innés chez ce haut potentiel qui
est souvent mis à mal par cette différence qu’il ressent et
qu’autrui peut lui renvoyer en retour.
Autrui, ce miroir qui lui permettra de se sentir accepté dans

la norme ou qui pourra, a contrario, lui renvoyer l’image d’un
atypique, d’un original, d’un extraterrestre. Or l’être humain
a un besoin fondamental d’être reconnu par ses pairs, d’exister,
de faire partie d’une certaine norme.
Le haut potentiel, en cherchant la validation de celui qu’il aime, adoptera

certains comportements compensatoires pour se faire accepter, au risque
de lisser ce qu’il est et de dépendre du regard de l’autre.
Le syndrome de stress post-traumatique

après une relation toxique
L’individu qui fait face à une relation toxique dans sa vie

sentimentale va garder de profondes séquelles qui vont
souvent se répercuter sur la relation suivante si une
thérapie n’est pas mise en place pour soigner le
traumatisme.
La personne qui sort d’une relation toxique est dépossédée

d’elle-même : c’est son identité même et toutes les
dimensions qu’elle comporte qui sont détruites
progressivement et qui la confrontent à sa propre mort.
En résulte un état de stress post-traumatique et une détresse

qui va la pousser à chercher réparation à travers son nouveau
partenaire.
Une relation toxique fait subir à l’estime et l’amour de soi une érosion
profonde et l’individu cherchera à être validé par l’autre pour se
reconstruire.
Dépossédée de ses ressources, de sa confiance en soi et en l’autre, la

personne tombera dans des comportements compensatoires par réaction
au traumatisme relationnel vécu et glissera dans la dépendance affective.
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Le syndrome de stress post-traumatique

après un deuil
Perdre un être cher, une partie de soi, de sa vie, son travail,

incarne un bouleversement profond pour l’individu qui va
glisser dans une peur parfois viscérale de la perte.
Le syndrome de stress post-traumatique résulte ici d’une

confrontation à la finitude de l’existence et au risque de
refaire face, à tout moment, à la perte de ceux qui sont
indispensables à sa vie.
L’individu va alors avoir tendance à mettre en place des

comportements compensatoires par anticipation d’une nouvelle
perte. Il fera tout pour garder l’autre, pour ne pas être
abandonné car le deuil confronte également au syndrome
d’abandon.
Le risque qu’il prendrait en se confrontant à une souffrance comme celle

éprouvée face à cette première perte est trop grand pour l’individu. Sa seule
stratégie pour supporter cette peur est de s’assurer que l’autre sera toujours
à ses côtés, qu’il y aura le moins de changement possible dans sa vie.
Et garder l’autre à ses côtés signifiera éviter le conflit, s’inquiéter de l’absence

de nouvelles, envisager le pire et bien évidemment tout mettre en oeuvre
pour que cela n’arrive pas : la dépendance affective naît de cette peur
viscérale de resouffrir.
Prenez un temps de pause
La dépendance affective peut avoir plusieurs causes.

Dans lesquelles de ces causes secondaires vous
reconnaissez-vous ?

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Vous avez été conditionné à être dépendant

La dépendance affective est un trouble de

Derrière ce terme à la mode, une réelle souffrance

La dépendance affective c’est ce besoin

La personne dépendante affective entretient des

Être dépendant affectif c’est chercher à maintenir

La dépendance affective se joue souvent pendant

Vous avez été conditionné à être dépendant

Pour « SORTIR » de la dépendance affective,

Prendre conscience de ce diagnostic : souffrir

Identifier et comprendre les causes primaires

Trouver les clés de la reconstruction à travers

Vous avez peur de perdre l’autre,

Vous évitez au maximum les

Vous faites tout pour satisfaire

Vous faites passer les besoins

Vous attendez souvent l’avis

Vous ne vous sentez pas

Vous avez une grande

Les ruptures ou éloignements

Vous faites tout ce qui est en

Vous souffrez si vous n’avez pas

Avez-vous constaté que :

Vos relations (sentimentales, familiales, amicales) se finissent souvent

Vous avez un schéma de répétition avec des scénarios de souffrance

Prenez le temps d’identifier ces situations relationnelles que vous

Si vous vous reconnaissez dans au moins 3 de ces signes, vous faites

Si vous vous reconnaissez dans au moins 5 de ces signes, vous

Si vous vous reconnaissez dans 7 de ces signes ou plus, vous êtes

On parle de causes primaires de la dépendance

Les causes primaires :

• Ne sécurisent pas l’enfant qui ressent un abandon émotionnel

• Ne subviennent pas à ses besoins de sécurité

• Parents qui critiquent ou rejettent l’enfant

• Réagissent avec colère et punissent

• Enfant se sent rejeté et isolé affectivement

• Parents qui sont imprévisibles

• Écrasent l’enfant par leurs comportements

• Enfant éprouve de la peur et un manque de sécurité

On parle de causes primaires de la dépendance

Les causes primaires :

Les figures parentales

L’enfant confronté à l’arrivée

L’attachement insécure de type ambivalent est caractérisé

La réponse qu’offrent les figures parentales à l’enfant

Réactions possibles dans ce type d'attachement

Impulsivité et Surprotection Désintérêt et absence

L’enfant développe un manque de confiance en ses parents qui ne

Pour combler ce manque, il va mettre en place des comportements

L’attachement de type évitant est caractérisé par un

La réponse qu’offrent les figures parentales à l’enfant n’est

Réactions possibles dans ce type d'attachement

Peu de partage Réaction de colère et

L’enfant cherchera de l’attention et de la valorisation auprès de personnes

Pour combler ce manque, il va apprendre à ne pas partager ses émotions,

L’attachement de type insécure désorganisé est caractérisé

La réponse qu’offrent les figures parentales à l’enfant n’est

Réactions possibles dans ce type d'attachement

L’enfant n’aura aucun schéma d’attachement défini et cohérent et sera

Les figures parentales

Protéger son enfant en tant que parents est l’un des

La surprotection entraine le manque d’estime de soi chez