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5-1) Introduction :
La diffraction est un phénomène physique propre à la lumière et caractérisé par son pouvoir de contourner
les obstacles interposés dans son trajet d’une part et l’appariation de franges sur les plans d’observation
interposés après l’obstacle d’autre part. Ce phénomène qui était bizarre au départ a trouvé son explication
physique par le principe d’Huygens-Fresnel. Selon ce principe la lumière se propage de proche en proche
et que chaque front d’onde se comporte comme étant un ensemble d’ondelettes émettant de la lumière
dans toutes les directions (selon d’ondes secondaires). Ces ondelettes issues de ces sources secondaires
interférent entre elles, ce qui permet d’expliquer l’appariation de franges sur l’écran d’observation.
L'interprétation de la diffraction a été adoptée par de nombreux chercheurs, et tous les résultats
rassemblés par chaque chercheur ont été utilisés par le physicien qui suit comme preuve pour expliquer ce
phénomène. Parmi ces chercheurs, on cite :
A) Grimaldi Francesco Maria (1618-1663, 45an Italie) :
Grâce à des mesures précises des phénomènes de diffraction (terme qu'il semble être le
premier à utiliser), il démontra que la transition entre la lumière et l’ombre était
progressive et non brutale et pour cela il ne suffit pas de considérer la propagation
rectiligne de la lumière.
B) Christian Huygens (1629-1695, 66an Hollandais) :
Il propose en 1678 la première théorie ondulatoire et il exprime la conception intuitive du
phénomène de diffraction de la façon suivante : chaque point de la surface d’onde
principale est considéré comme une source secondaire
1
D) Gustav Kirchhoff (1824-1887, 63an Allemand) : il donna aux idées de Huygens et
de Fresnel des bases mathématiques plus solides (il utilise les conditions aux limites à la
fois au champ et à sa dérivée normale), il y réussit en montrant que l’idée attribuée par
Fresnel, sources secondaires, étaient en fait des conséquences logiques de la nature
ondulatoire de la lumière. La théorie de Kirchhoff donne des résultats qui concordent de
façon remarquable avec l’expérience, cependant, il existe dans cette théorie certaines
contradiction internes qui ont motivé la recherche la recherche de développements
mathématiques plus satisfaisants.
E) John William Strutt Rayleigh (1842-1919 Anglais) Arnold Johannes Wilhelm
Sommerfeld (1868-1951 Allemand) :
Kottler tenta d’éliminer ces contradictions en interprétant le problème des valeurs aux
limites. Plus tard, la théorie du Kirchhoff fut aussi modifiée par Sommerfeld et Rayleigh qui
éliminèrent l’une des hypothèses déjà mentionnées par l’utilisation de la théorie des
fonctions des Green. Sommerfeld donna en 1896 la première solution rigoureuse d’un
problème de diffraction.
x
xz
r
Ouverture S
Plan
d’observation
Figure (5.2) : Schéma précisant les notations utilisées dans l’étude de la diffraction
D’après les résultats obtenus par les chercheurs motionnés ci-dessus et après quelques approximations
(voir aussi l’exercice 05-01) la formule de diffraction de Rayleigh-Sommerfeld s’écrit sous la forme
suivante :
2
E ( xz , y z ) = E (x, y ) exp( j K 0 r ) dx dy …............................………… (5-1)
1 +∞
j λ0 .z ∫∫
−∞
r=z 1+
( xz − x) + ( yz − y )
2 2
z2
Quand la distance z est suffisamment grande pour que l’approximation soit bonne, on dit que le plan
d’observation est situé dans le domaine de la diffraction de Fresnel, et dans cas le développement
binomial de la racine carrée permet de faire l’approximation suivante :
⎛ (x − x )2 + ( y z − y )2 ⎞
r ≈ z ⎜⎜1 + z ⎟ …...........................................................................……….… (5-2)
⎟
⎝ 2 z2 ⎠
Donc la relation (5-1), devient :
⎡ ⎛ (xz − x )2 + ( yz − y )2 ⎞⎤
E ( xz , y z ) = ( )
1 +∞
j λ0 z ∫ ∫− ∞
E x , y exp ⎢ j K z ⎜
0 ⎜1 +
⎟⎥ dx dy ….......................... (5-3)
2 z2 ⎟
⎢⎣ ⎝ ⎠⎥⎦
Ainsi, mis à part les facteurs multiplicatifs de phase et d’amplitude qui sont indépendant de x, y , on
obtient :
E (xz , y z ) =
1 ⎛ (x )2 + ( yz )2 ⎞⎟
exp( j K 0 z ) exp j ⎜⎜ K 0 z
j λ0 z ⎟
⎝ 2z ⎠
...................... (5-4)
+∞ ⎡ ⎛ x 2 + y 2 ⎞⎤ ⎡ ⎛ x x + yz y ⎞⎤
∫ ∫−∞ E ( x , y ) exp ⎢ 0 ⎜⎜
j K ⎟⎟⎥ exp ⎢− j K 0 ⎜⎜ z ⎟⎟⎥ dx dy
⎣ ⎝ 2 z ⎠ ⎦ ⎣ ⎝ z ⎠⎦
Donc si on veut calculer la distribution du champ E ( x z , y z ) dans le plan d’observation, il suffit de calculer
⎛ ⎛ x2 + y2 ⎞⎞
fonction de phase quadratique exp⎜⎜ j K 0 ⎜⎜ ⎟⎟ ⎟ , mais le calcule de cette TF est généralement très
⎟
⎝ ⎝ 2 z ⎠⎠
difficile (voir spiral de Cornu Ex : 05-02 et annexe 2) [Alfred Cornu (1841-1902, Français)].
3
5-2-2) Les approximations de Fraunhofer (Champ lointain) :
Le calcule de la figure de diffraction de Fresnel est en général bien plus difficile que le calcule
correspondant de la figure de diffraction de Fraunhofer. Dans ce cas, on adopte une condition encore plus
(
⎛ x2 + y 2
k0 ⎜⎜
) ⎞⎟ << z
⎟
⎝ 2 ⎠
Donc le facteur de phase quadratique est alors sensiblement égal à l’unité. Donc l’équation (5-4) devient :
E ( xz , y z ) =
K'
j λ0 z ∫∫
−∞
+∞
[ ]
E (x, y ) exp − j 2π (ν x x + ν y y ) dx dy ............................................ (5-7)
Avec :
⎛ (x )2 + ( yz )2 ⎞⎟ ........................................................................ (5-8)
K ' = exp( j K 0 z ) exp j ⎜⎜ K 0 z ⎟
⎝ 2z ⎠
Mis à part les facteurs multiplicatifs de phase et d’amplitude qui précédent l’intégrale, on constate que
spatiales.
Enfin, pour calculer l’intégrale précédente, il faut connaître l’expression de E ( x, y ) qui représente dans
notre cas la distribution du champ sur l’ouverture. Dans ce qui suit, on va considérer quelques exemples
Remarque :
⎡ ⎛ ⎛ x 2 + y 2 ⎞ ⎞⎤
1) Pour éliminer le terme quadratique ⎢exp⎜⎜ jK 0 ⎜⎜ ⎟⎟ ⎟⎥ , nous pouvons utiliser une lentille
⎟
⎢⎣ ⎝ ⎝ 2 z ⎠ ⎠⎥⎦
convergente mince. Puisque l’une des propriétés les plus remarquables et les plus utiles d’une lentille
convergente est son aptitude naturelle à réaliser une transformation de Fourier spatiale bidimensionnelle
dans son plan focal image (voir Ex : 05-03).
4
5-3) Diffraction de quelques formes géométrique spéciales :
Nous allons considérer maintenant un certain nombre d’exemple de calcules relatifs à la diffraction de
On peut appliquer directement les résultats (formule (5-7)) du paragraphe précédent pour déterminer la
distribution du champ complexe dans la figure de diffraction de Fraunhofer relative à une ouverture
donnée quelconque. Cependant, on doit noter que les récepteurs de radiations, y compris l’œil, ne sont
sensibles qu’à l’intensité optique et non à l’amplitude du champ. Les figures de diffractions seront donc
M(x,y,z)
x xz
h
z
L’ouverture diffractante est une fente fine de largeur l et de longueur h , avec h >> l , donc la
⎛ x⎞ ⎛ x ⎞ ⎧1 x ≤l
t' ( x ) = rect ⎜ ⎟ Avec : rect⎜ ⎟ = ⎨ ............................. (5-9)
⎝l⎠ ⎝ l ⎠ ⎩0 ailleurs
j λ0 z ∫ ∫− ∞
[ ]
E0 .t ' ( x ) . exp − j 2π (ν x x + ν y y ) dS ............................... (5-10)
l/2
Et comme dS = h.dx ⇒ E ( xz ) = exp[− j 2π (ν x x )] h.dx
K '.E0
j λ0 z − l∫/ 2
5
l/2
⇒ E ( xz ) = exp[− j 2π (ν x x )] dx
K '.E0 .h
j λ0 z − l∫/ 2
L’intensité diffractée étant donnée bien sur par la multiplication de l’équation précédente par son
Avec :
2
⎛ E .h.l ⎞
I 0 = ⎜⎜ 0 ⎟⎟ ………........................................………………………....…… (5-13)
⎝ λ0 z ⎠
⎛ sin (0 ) ⎞
2
2) L’intensité des maximas secondaires décroît rapidement comme l’inverse du carré des nombres
impairs. Pour m = 1,2,3.... On obtient respectivement : I max s = 0.045I 0 , 0.016I 0 , 0.008I 0 ....
Donc, on notera le faible niveau des maximas secondaires par rapport au maximum principal : I max = I 0
Finalement, l’allure de la figure de diffraction par une fente est donnée ci-dessous:
Intensité normalisée
Mmm
3 .λ 0 . z
−
2 .l
x z (mm )
λ0 .z λ0 .z λ0 .z λ 0 .z λ0 .z λ 0 .z
−3 −2 − 2 3
l l l l l l
λ0 .z λ0 .z
2
l l
Figure (5.4) : Distribution de l'intensité diffractée par une fente fine en fonction de ( x z ) 6
4) Lorsque on confine une lumière dans une fente fine, on s'aperçoit que, premièrement la lumière s'étale
sur l'autre côté de l'ouverture (le long de la direction de confinement), et deuxièmement et du fait que la
diffraction est équivalente à une interférence, on va observer des franges d'interférence sur l'écran
sin (θ ) =
xz
z
l
λ0 z
ΔX = 2
l
Donc en pratique, on observe donc une tache centrale très brillante entourée de taches latérales, de moins
en moins brillantes.
7
5-3-2) Diffraction par une ouverture rectangulaire h ≈ l :
L’ouverture diffractant est une fente fine de largeur l et de longueur h est donnée par la formule suivante
⎛ x⎞ ⎛ y ⎞ ⎧1 x ≤ l / 2 et y ≤ h/2
t ' ( x, y ) = rect ⎜ ⎟rect ⎜ ⎟ ⇒ ⎨
⎝l⎠ ⎝ h ⎠ ⎩0 ailleurs
L’intensité diffractée étant donnée bien sur par la multiplication de l’équation précédente par son
[ ]
⇒ I ( xz , y z ) = E * ( xz , y z )E ( xz , y z ) = I 0 sin c 2 π ν y h . sin c 2 [ π ν x l ] ….......………………… (5-15)
Intensité
normalisée
y z (mm ) x z (mm )
Figure (5.6) : Distribution de l'intensité diffractée par une fente fine en fonction de ( x z , y z ) 8
5-3-3) Diffraction par une ouverture circulaire :
L’ouverture diffractante est une ouverture circulaire de rayon r0 est donnée par la formule suivante :
⎛ r' ⎞ ⎧1 r ' ≤ r0
t ' ( x, y ) = circ⎜⎜ ⎟⎟ Avec : circ(r ') = ⎨
⎝ r0 ⎠ ⎩0 ailleurs
2 2 2
⎡ ⎛ r ⎞⎤ ⎡ ⎛ r ⎞⎤ ⎡ ⎛ rz ⎞ ⎤
⎢ J 1 ⎜⎜ 2 π z r0 ⎟⎟ ⎥ 2 2 ⎢
J 1 ⎜⎜ π z D ⎟⎟ ⎥ ⎢ J 1 ⎜⎜ π D ⎟⎟ ⎥
E 2 π r02
⎝ λ z ⎠⎥ ⎡ E π r' ⎤ ⎢ λ z ⎠⎥ ⎢2 ⎝ λ z ⎠ ⎥
⇒ I (rz ) = ⎢ 0 =⎢ 0 ⎥ 2 ⎝ = I0
⎢ λ0 z rz ⎥ ⎣ λ z ⎦ ⎢ rz ⎥ ⎢ r ⎥
⎢ 2π π π z D ⎥
λ z 0 ⎥⎥⎦ ⎢
r 0 D ⎥ ⎢
⎢⎣ ⎢⎣ λz ⎥⎦ ⎢⎣ λz ⎥⎦
⎡ J (π ν r D ) ⎤
2
rz
Ouν r = La fréquence la fréquence spatiale suivant le rayon r ' , D = 2. r0 est le diamètre de l’ouverture.
λz
Cette distribution de l’intensité est appelée la tache d’Airy du nom de George Biddell Airy (1801-1892)
1.22 * λ
ε= A
r' rz
1,22 .λ
z z
2.r0
Figure (5.8) : Diffraction par une ouverture circulaire
5) La tache d'Airy intervient aussi lors de la lecture d'un espace de stockage optique (CD, DVD, blu-
ray...). En effet, la capacité de stockage de ces supports optiques est entièrement dépendante de la largeur
de cette tache : la tache ne doit couvrir qu'une seule piste du disque, ainsi, plus la tache est large, plus
l'espace entre deux pistes est grand, et moins la capacité de stockage est grande.
9
Figure (5.9) : Distribution de l'intensité diffractée par un trou circulaire en fonction de ( x z , y z )
M (xz )
l
S a
Dans ce cas, on a fentes fines de largeur l et de longueur h , avec h >> l , donc l’équation de diffraction
s’écrit :
⎛a l ⎞
⎜ + ⎟
⎝ 2 2⎠
⎡ ⎛ x x ⎞⎤
E ( xz ) =
K ' E0 .h
j λ0 z ∫ exp ⎢− j K ⎜⎜ z ⎟⎟⎥ dx
⎝ z ⎠⎦
⎛ l a⎞
−⎜ + ⎟
⎣
⎝2 2⎠
10
⎛a l ⎞
⎜ + ⎟
⎝2 2⎠
⇒ E ( xz ) = ∫ exp[− j 2π ν x] dx
K ' E0 .h
j λ0 z
x
⎛ l a⎞
−⎜ + ⎟
⎝2 2⎠
⎡⎛⎜ − a2 + 2l ⎞⎟ ⎛a l ⎞
⎜ + ⎟ ⎤
⎢ ⎝ ⎠ ⎝2 2⎠
⎥
⇒ E ( xz ) = ⎢ ∫ exp[− j 2π ν x x ] dx + ∫ exp[− j 2π ν x x ] dx ⎥
K ' E0 .h
j λ0 z ⎢ ⎛ l a ⎞ ⎛ l a⎞ ⎥
−⎜ + ⎟ ⎜− + ⎟
⎣ ⎝2 2⎠ ⎝ 2 2⎠ ⎦
⎡ sin[π ν x l ]⎤
⇒ E ( xz ) = ⎢2 cos [ π ν x a ].
K ' E0 .h
⎥
j λ0 z ⎣ πνx ⎦
2
⎛ E .h.l ⎞
⇒ I ( xz ) = 4 ⎜⎜ 0 ⎟⎟ [cos[π ν x a ]sin c[π ν x l ]] = 4 I 0 cos2 [π ν x a ]sin c 2 [π ν x l ] ……………………… (5-20)
2
⎝ λ0 z ⎠
[ ]
sin c 2 [ π ν x l ] : Le terme de diffraction. cos 2 π ν x a : Le terme d’interférence.
1) L’intensité est distribuée suivant la fonction cos 2 [π ν x a ] qui représente le terme d’interférence par les
deux fentes, courbe pleine, modulée par la fonction sin c 2 [π ν x l ] qui représente le terme de diffraction par
Intensité normalisée
x z (mm )
λ0 .z λ 0 .z λ0 .z λ0 .z
− 2
l a a l
λ 0 .z
2
l
Figure (5.11) : Distribution de l'intensité diffractée par deux fentes fines en fonction de ( x z )
11
2) D’après le cours d’interférence, on a démontré que l’intensité lumineuse au point M (x , y ) s’écrit sous
⎢ sin ⎜ 2 ⎟
2 ⎠⎥ ⎢ 2 sin cos
N = 2 ⇒ I ( xz ) = I1.4⎢ ⎝ ⎥ = I1.4 ⎢ 2 2 ⎥ = I .4 ⎡cos2 ϕ ⎤ Avec ϕ =
2 π xz a
⎢ 2. sin ϕ ⎥ ϕ ⎥ 1 ⎢
⎣ 2 ⎥⎦ λz
⎢ 2 sin ⎥
⎢⎣ 2 ⎥⎦ ⎣ 2 ⎦
En réalité, chacune des fentes F1 et F2 de faible largeur l diffracte à l’infini une lumière d’intensité.
D’après le cours de diffraction, formule (5-12), on a démontré que l’intensité lumineuse diffracté par une
3) La position de la m-ième frange brillante comptée à partir de la frange centrale brillante est donnée par
la formule suivante :
λz
π ν x a = m π ⇒ xz = m
a
Donc l’interfrange des ordres d’interférence est :
λz
i= ……………………………………………..…………………… (5-21)
a
⎡ π xz ⎤ ⎡ 2 π xz ⎤
I (x z ) = 4 I 0 sin c 2 ⎢ ⎥ ⎢cos i ' ⎥ ……………….….………………… (5-23)
⎣ i ⎦⎣ ⎦
4) D’après cette figure, on remarque que la 5-ième frange brillante est coïncide avec un minimum nul de
l’enveloppe de la tache de diffraction, donc d’après les deux formules précédentes on peut tirer :
λz λz
⇒ xz = 5 =1 ⇒ a = 5.l
a l
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6) Si on diminue la distance a et on maintient l constant, on observe une diminution du nombre de
⇒ I ( xz ) = I 0 ⎜⎜ ⎟⎟ = I 0 ⎜⎜ ⎟⎟ = 4 I 0 sin c 2 [π ν x (2l )]
⎝ πν x l ⎠ ⎝ πν x l ⎠
- Ce résultat était prévisible, puisque lorsque a tend vers l , les deux fentes se rejoignent pour former une
fente unique de largeur 2.l et d’amplitude double et donc d’intensité quadruple 4 I 0 . Et comme on a
d’après la formule de diffraction (5-12), pour une fente de largeur l , obtenue dans le cours :
I1 = I 0 sin c 2 [ π ν x l ]
Donc pour une fente de largeur 2l et d’amplitude double, on remplace l par 2 l et I 0 par 4 I 0 on retrouve
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