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QUIZ

Vous disposer  d'une seule tentative pour répondre à ce quiz. Il porte sur l’ensemble des
vidéos de la semaine.

Le quiz ne comporte qu'une seule bonne réponse par question.

À la fin du quiz, vous aurez différentes possibilités :

Cliquez sur "Enregistrer" : cela enregistre vos proposition et vous pourrez y revenir plus
tard.

Cliquez sur "Vérification finale" : cela valide définitivement votre tentative et vous pourrez
ainsi voir si vos réponses sont correctes.

Cliquez sur "Afficher la réponse" : cela vous permet de vérifier la validité de vos réponses.
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Ce quiz est noté et est pris en compte dans la note globale.

Une fois votre quiz validé, vous pouvez voir la note que vous avez obtenue, dans l’onglet
« Progression », en survolant avec votre souris l’histogramme.

QUIZ HEBDOMADAIRE   (10/10 points)


1. Qu’est-ce que la victimologie ?

 Une discipline scientifique dont l’objet est l’étude de la victime


en tant que personne ou en tant que concept sous un angle
d’approche multidisciplinaire. 

 Une discipline scientifique dont l’objet est l’étude de la victime


en tant que personne physique individuelle sous un angle
d’approche multidisciplinaire.

 Une discipline scientifique dont l’objet est l’étude de la victime


en tant que personne ou en tant que concept sous l’angle
psychologique.
2. Quels sont les différents courants de la victimologie que nous pouvons relever ?

 La première victimologie qui se centre sur la responsabilité et le


rôle de la victime jouée dans l’acte criminel. Ensuite, apparaît la
deuxième victimologie qui va se préoccuper de la reconnaissance
de la victime dans son identité et dans sa souffrance. Enfin, nous
avons la troisième victimologie qui aborde une victimologie
générale transdisciplinaire.

 La première victimologie qui se centre sur l’irresponsabilité de


la victime jouée dans l’acte criminel. Ensuite, apparaît la deuxième
victimologie qui va se préoccuper de la victimologie générale
transdisciplinaires. Enfin, nous avons la troisième victimologie qui
aborde la victimologie plus particulièrement sous l’angle
criminologique.

 La première victimologie qui se centre sur la responsabilité et le


rôle de la victime jouée dans l’acte criminel. Ensuite, apparaît la
deuxième victimologie qui va se préoccuper de la reconnaissance
de la victime dans son identité et dans sa souffrance. Enfin, nous
aurions potentiellement une troisième victimologie qui aborde une
victimologie générale transdisciplinaire. Ce dernier courant n’a pas
encore été reconnu. 

3. L’argument spéciste sur lequel repose l’exclusivité du statut de victime aux personnes
humaines repose sur :

 L’affirmation de la supériorité de l’être humain sur le reste du


monde animal considéré comme hiérarchiquement inférieur.

 La sacralisation de la souffrance qui lie le rapport entre Dieu et


les hommes et exclut les animaux malgré leur emploi en tant que
victime sacrificielle.

 Les deux éléments précités. 


4. La victimisation secondaire renvoie :

 Aux conséquences négatives liées à un traitement inapproprié


et non respectueux de l’état de la victime. 

 Aux proches, à la famille et aux collègues directement impliqués


dans la situation à l’origine de la victimisation.

 Aux intervenants de la prise en charge des victimes qui voient


leur monde transformé suite au contact avec des personnes ayant
vécu un événement traumatique.

5. La victime invoquée est :

 La victime qui vit son traumatisme, sa souffrance de manière


impartageable et qui cherche une réparation.

 La victime qui vit une souffrance existentielle qui repose sur la
mobilisation des représentations victimaires collectives et qui
s’exprime par de multiples récits et de multiples discours. 

 La victime qui vit son traumatisme, une souffrance existentielle,


qui est reconnue par la justice pour obtenir réparation.

6. L’affaire d’Outreau (2005) et l’adhésion aux théories de réseau de hauts placés lors de la
Marche blanche (1996) illustrent :

 L’opposition entre le NOUS (les purs, les innocents, la


compassion avec nos semblables) et le EUX (les impurs, l’exo groupe
des nantis de la politique, de la finance, de la police, etc). 

 L’implication du statut social du responsable dans la prise en


considération de la victime.
 L’opposition entre le NOUS (les victimes, les bons) et le EUX (les
auteurs, les mauvais).

7. La revendication des droits propres que porte la victime invoquée trouve sa source dans :

 La désillusion du modèle social d’Etat providence des trente


glorieuses. 

 La construction sociale de la société des victimes.

 La désillusion du modèle social actif.

8. Selon Didier Vrancken, quand on parle de risque climatique, peut-on vraiment parler de
risque ?:

 Oui puisque nous en observons déjà les conséquences.

 Non puisqu’il faudrait être sûr de pouvoir le prévoir. Il faudrait


plus parler de « menace climatique ». L’enjeu est de pouvoir le
rendre suffisamment mesurable. 

 Non, cela n’existe que dans l’imaginaire collectif.

9. Selon Didier Vrancken, nous sommes dans des sociétés du travail sur soi. En quoi cela
consiste-t-il ?

 C’est des sociétés qui ont mis en place une série de dispositifs
pour aider les usagers, les personnes en souffrance saisie dans leur
subjectivité, à être acteur d’eux-mêmes, à mobiliser leurs
compétences, leurs capacités, etc. 

 C’est des sociétés qui ont mis en place une série de dispositifs
essentiellement psychologiques pour aider les usagers, les
personnes en souffrance à pouvoir se sortir de leur situation de
victimisation.

 C’est des sociétés qui ont mis en place une série de dispositifs
pour aider les usagers à rechercher quelles sont leurs qualités en
tant qu’individus et prendre conscience de leurs problèmes dans
leur réalisation personnelle.

10. Selon Didier Vrancken, quel lien peut-on faire entre la lutte des classes et la caricature de
l’affaire Dutroux ?

 L'idée qu’une élite est protégée par la société à la défaveur d’un


public de plus en plus fragilisé. Ceci renforcerait l’écart entre les
classes sociales.

 L'idée que l’Etat ne nous protège plus qui se traduit par un


mouvement de défiance à l’égard des forces de l’ordre, de l’autorité.
Nous observons aussi l’apparition d’un côté d’une élite et de l’autre
un public fragilisé qui montre du ressentiment, une montée de
l’obscurantisme allant parfois jusqu’au soupçon du complotisme.

 L'idée que d’un côté, une élite est apparue et incorpore en son
sein : la justice, la police et la politique. Et de l’autre côté, nous avons
un public fragilisé dénué de moyens. Ce public fragilisé montre du
ressentiment, une montée de l’obscurantisme allant parfois
jusqu’au soupçon du complotisme.

Vous avez utilisé 1 essais sur 1


QUIZ

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QUIZ   (10/10 points)


1. Quand apparaît pour la première fois le terme « victime » ?

 A partir du XV ème siècle. 

 A partir du XVI ème siècle

 A partir du XVIIème siècle

2. René Girard envisage le meurtre de la victime émissaire comme :

 L’union sacrée qui permet de relier les hommes entre eux afin
de maintenir le bon fonctionnement du groupe.
 L’union sacrée qui permet de rejeter la violence endémique à
l’extérieur du groupe en dehors de l’espace profane de la
communauté. 

 L’union sacrée qui permet d’offrir aux divinités une offrande afin
d’apaiser la colère des Dieux.

3. Jean-Michel Chaumont distingue deux périodes de la mémoire selon la seconde guerre


mondiale :

 Le « temps de la honte » et le « temps du silence et de la surdité


»

 Le « temps de la honte » et le « temps de la gloire » 

 Le « temps du silence et de la surdité » et le « temps de la gloire


».

4.La polémique sur le génocide de la Shoah entraîne :

 Une concurrence des victimes 

 Une reconnaissance du génocide

 Les deux

5.Dans l’approche inquisitoire, nous observons :

 Une nouvelle lecture des rapports de force dans le procès


pénal. 

 Un déplacement de la place de l’auteur dans le procès.

 Un regroupement communautaire entre le juge et la victime.


6.L’époque de la vengeance privée aurait positionnée la victime en tant que victime agissante
par sa capacité à :

 porter l’accusation par le rapport égalitaire existant au sein du


couple offenseur-offensé, par l’absence d’instructions préalables et
par le recours au jugement par les pairs. 

 porter l’accusation par le rapport inégalitaire existant au sein


du couple offenseur-offensé, par l’absence d’instructions préalables
et par l’absence de jugement par les pairs.

 porter l’accusation par le rapport égalitaire existant au sein du


couple offenseur-offensé et par l’absence d’instructions préalables
et par l’absence du jugement par les pairs.

7. L’accusation directe par l’offensé ou son lignage plutôt que par le juge est un exemple de :

 La réappropriation de l’espace de l’accusation confisqué par le


ministère public.

 La réaffirmation du droit de la victime à sa vengeance.

 Les deux. 

8. Les sacrifices primitifs animistes avaient pour rôle de :

 offrir une offrande aux dieux, de libérer l’animal de sa condition


inférieure et d’obtenir la bénédiction des dieux.

 légitimer la mise à mort de l’animal, conjurer la culpabilité et


expier l’acte selon lequel on a oté la vie de l’animal. 

 Les deux.

9. L’opération de tuer et de manger les animaux au travers d’une répétition sacrificelle avait
pour but :
 De garantir la distinction entre l’homme et l’animal et de
maintenir l’animal à l’extérieur de ce qui touche à l’humanité. 

 De répondre à un besoin de l’homme de se nourrir et de


maintenir sa relation avec Dieu.

 De répondre à un besoin de l’homme de se nourrir et d’ingérer


les propriétés propres aux animaux qui étaient mangés.

10.Le spécisme peut être définit comme :

 Toute attitude de discrimination que ce soit envers les animaux,


les femmes et les personnes de races différentes.

 Toute attitude de discrimination envers un animal en raison de


son infériorité par rapport à l’homme.

 Toute attitude de discrimination envers un animal en raison de


son appartenance à une espèce donnée. 

Vous avez utilisé 1 essais sur 1


TESTEZ VOS CONNAISSANCES

Envie de tester vos connaissances ? Réalisez ce quiz formatif.

La note obtenue ne sera pas comptabilisée dans la progression


finale.

QCM FORMATIF   (3/3 points)


Quelles ont été les apports des recommandations et directives européennes sur le
développement des politiques en faveur des victimes ?

 Ils ont été une source d’inspiration qui ont donné des
indications sur certains aspects de la législation. Ils ont montré que
seul une amélioration des standards de la justice était important
pour améliorer la situation des victimes.

 Ils ont permis un élargissement progressif du cadre sur la


position que la victime devrait occuper. Cela a permis une nouvelle
approche victimologique du système pénal.

 Ils ont été une source d’inspiration sur certains aspects de la


législation et ont permis un élargissement progressif du cadre sur la
position que la victime doit adopter. 

Quel est le problème qui caractérise la création d’initiative pilote comme la création de
centre de prise en charge des violences sexuelles ?

 Ils se préoccupent essentiellement de l’aspect médical de la


prise en charge de ce type de victimes.

 L’initiative est peu articulée par rapport au reste du dispositif


d’aide aux victimes préexistant. 
 Les victimes ne viennent que très peu dans ce type de
structure.

Que peut-on reprocher à la politique d’aide aux victimes qui a été développée ?

 De ne pas avoir pris en compte les victimes secondaires dans la


mise en place de cette politique.

 De s’être trop préoccupé exclusivement du parcours pénal de la


victime. 

 De ne pas s’être adressée directement aux principales


intéressés, c’est-à-dire les victimes.

Vous avez utilisé 1 essais sur 1


QUIZ

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ainsi voir si vos réponses sont correctes.

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Ce bouton n'apparaitra qu'après validation de votre réponse.

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QCM   (5/5 points)


Quels sont les points communs entre l’affaire Dutroux et l’affaire d’Outreau ?

 Elles traitent toutes les deux de dossiers de pédophilie et


montrent que les auteurs d’infractions sexuelles doivent être jugés
publiquement en dehors de l’espace judiciaire.

 Les deux affaires dénoncent l’expression du Mal absolu au


travers des violences sexuelles sur les enfants. Elles questionnent
les moyens mis en œuvre pour obtenir justice et le manque
d’impartialité de la part des autorités judiciaires.
 Elles traduisent l’exaspération du corps social à l’égard d’un
système démocratique perçu comme défaillant. Elles montrent
aussi l’expression du Mal absolu au cœur de l’intime. 

Perilleux et Marquet (2004) définissent quatre type de profils des manifestants de la marche
blanche. Quel profil ne retrouve-t-on pas dans leur analyse ?

 Ceux venant pour une manifestation ponctuelle mais dont la


nature de la manifestation n’importe pas.

 Ceux exaspérés par un système dichotomique caractérisant


une fracture entre les citoyens et les dirigeants.

 Ceux venant pour une manifestation contre les auteurs


d’infractions à caractère sexuelle. 

A partir de quelle date les premières propositions de loi sur l’indemnisation des victimes
apparaissent ?

 1967 

 1975

 1981

Quelles ont été les premières mesures destinées à rapprocher le citoyen de la police ?

 L’amélioration de l’accueil des victimes dans les commissariats 

 La mise en place de campagne d’information

 La mise en place des services d’aide aux victimes

Les services d’aide aux victimes en Belgique sont régis par :

 un décret communautaire


 Un agrément de la Fédération Wallonie-Bruxelles 

 La loi relative à la sixième réforme de l’Etat

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