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1/Les maladies virales sont déclenchées par des virus, organismes

vivants qui utilisent le système immunitaire de l’hôte pour se


développer. Les virus sont nombreux et responsables d’une multitude
de maladies allant de la simple rhinopharyngite et de la grippe, au
VIH, en passant par certaines otites, les bronchiolites et infections
cutanées…1

Les antibiotiques ne doivent pas être utilisés lors des infections virales
: ils ne sont pas efficaces et leur utilisation contribue à faire émerger
des souches de bactéries résistantes.
2/
CHAMPIGNONS:
Maladies d’origines fongiques
Certains champignons ou parasites peuvent être à l’origine de
maladies parasitaires, telles que des mycoses, la toxoplasmose, le
paludisme…
Il existe des traitements adaptés, qui ne sont pas nécessairement des
antibiotiques.1,2
BACTÉRIES
Maladies d’origines bactériennes
Les infections bactériennes peuvent être des otites, angines, infections
de la peau (panaris, abcès…), diarrhées, infections urinaires et
génitales.
La prescription d’antibiotiques peut être nécessaire pour lutter
efficacement contre la bactérie impliquée.
1/Politique et système de santé en Algérie :
La santé est assurée par deux types de soins : public et privé. Chacun
peut avoir des soins gratuits dans un hôpital géré par l'état ou aller
dans une clinique privée où il doit payer. Beaucoup de cliniques
privées ont été créées ces dernières années dans presque tous les
domaines de santé.

2/ l’éthique et la déontologie des professions de santé :


les professionnels de santé doivent être guidés par des valeurs
éthiques notamment les principes du respect de la dignité de la
personne, de l'honneur, de l'équité et de l'indépendance
professionnelle ainsi que par les règles de déontologie.

3/ L’information-éducation-communication :(IEC)
est un volet de la communication sociale. Synonyme de
sensibilisation, il a pour objectif de faire évoluer les usages et
pratiques par le biais de l’éducation. S’appuyant au départ
uniquement sur des messages de santé et d’hygiène, ses méthodes et
outils se diversifient aujourd’hui de plus en plus

L impact de l environnement sur la santé :


La pollution de l’eau, de l’air, des sols, les habitats vétustes ou les
conditions de travail dangereuses sont à l’origine de multiples
pathologies, notamment cancéreuses, de troubles de la reproduction et
du développement.

Politique de prévention en Algérie:


L’élaboration de toute politique de sécurité et santé au travail (SST)
ainsi que l’établissement de tout programme de prévention des risques
professionnels nécessite une connaissance approfondie du système
déjà en place et des besoins tant au niveau national qu’au niveau de
l’entreprise. Le ministère du travail de l’emploi et de la sécurité
sociale, en charge de la sécurité et de la santé au travail en liaison
avec les institutions concernées et les partenaires sociaux, veille à
l’élaboration et à la mise en place de la politique et des programmes
nationaux de prévention des risques professionnels.
Les enjeux de la prévention des risques professionnels tendent à :
1; Protéger la santé et la sécurité des travailleurs.
2: Créer un emploi de qualité
3: Adapter au mieux le travail à l’homme
4: Répondre aux obligations de la prévention
5: Favoriser le dialogue social dans le cadre de la PRP.
6: Contribuer à la performance de l’entreprise par l’existence d’une
ressource humaine protégée.

La pauvreté dans le monde :


La pauvreté désigne dans une société donnée le fait d'être dans une
situation d'infériorité matérielle par rapport aux individus les plus
favorisés1; cela se traduit notamment par des difficultés à subvenir à
ses besoins et à ceux de ses proches.
La pauvreté peut résulter de situations chroniques hérités de la
naissance, dont le cas extrême est l'esclavage, mais également se
perpétuer de génération en génération par le biais de l’organisation
sociale en lien avec l'accès à l’éducation, l’état de santé, ou des statuts
politiques particuliers ; elle peut également survenir par des incidents
dans la vie d'une personne, comme la spoliation, les catastrophes
naturelles et la destruction de biens, le chômage, etc.

L'économie de la santé:
est un domaine de la science économique consacré à l'étude de la
santé. L'économie de la santé s'intéresse à l'organisation du système
de santé, aux déterminants de l'offre de soins et de la demande de
soins1.

L HISTOIRE de l Algérie (1954 à 1962)


La guerre d'indépendance de l'Algérie éclate le 1er novembre 1954
avec la "Toussaint rouge", une série d'attentats commis par le FLN
(front de libération nationale) qui souhaite émanciper le pays de la
présence française. L'Algérie est en effet une colonie française depuis
1830. En 1955, l'état d'urgence est déclaré et l'armée française
débarque en Algérie. C'est le début d'une guerre meurtrière qui oppose
les indépendantistes algériens à l'armée française et aux Européens
d'Alger partisans de l'Algérie française. Les violences s'enchaînent
dans les deux pays, touchant militaires et civils, sans qu'aucun accord
ne puisse être trouvé, jusqu'à la présidence du général de Gaulle en
1958. Son arrivée au pouvoir va finalement permettre de signer les
accords d'Evian, de voter l'indépendance de l'Algérie et de mettre fin
au conflit en juillet 1962.

Le rôle des equipes de santé lors des catastrophes naturelles :


Le personnel médical devra être des agents de réduction des risques
de catastrophe : Le rôle des agents de santé est fondamental dans le
cadre de l'identification des risques sanitaires potentiels résultant des
catastrophes naturelles et pour la promotion des mesures
individuelles et communautaires visant la réduction ...

Prise en charge de valvulopathies


La présence d'une valvulopathie nécessite une prise en
charge cardiologique qui comporte un bilan initial : clinique,
électrocardiographique et échocardiographique. Ce bilan
permet de préciser l'importance de la valvulopathie, son
étiologie et son retentissement sur le fonctionnement
cardiaque.

La prise en charge d endocardite


La prise en charge d'un patient atteint d'endocardite
infectieuse est hospitalière et doit faire intervenir une équipe
multidisciplinaire expérimentée. Traitement : antibiothérapie
parentérale prolongée plus ou moins chirurgie valvulaire.

Prise en charge de l'infarctus du myocarde


La prise en charge de l'infarctus du myocarde doit être la
plus rapide possible afin d'éviter les morts rythmiques initiales
(grâce à la défibrillation percutanée) et de rouvrir le plus
précocement possible l'artère responsable de l'infarctus, soit
par thrombolyse, soit par angioplastie coronaire.
Prise en charge de 'insuffisance cardiaque
De nombreux types de médicaments sont utilisés pour
maîtriser l'insuffisance cardiaque. Le médecin peut prescrire,
entre autres, des inhibiteurs ECA, des bêtabloquants, des
anticoagulants et des diurétiques. En général, on utilise une
combinaison de médicaments pour le cœur.

La prise en charge de l’HTA


La prise en charge de l’HTA contribue à l’allongement de
l’espérance de vie. Elle repose sur des mesures
hygéonodiététiques et éventuellement un traitement
médicamenteux. Elle vise à abaisser la pression systolique en
dessous de 14 et la pression diastolique en dessous de 9.
Lorsque la pression artérielle est maîtrisée efficacement à
l'aide de ces traitements, le risque d'accident vasculaire
cérébral et celui de maladie cardiaque diminuent.
Prise en charge de la maladie thromboembolique

L’examen de confirmation diagnostique de référence


actuel est l’écho-Doppler veineux pour la TVP et
l’angioscanner thoracique pour l’EP. Les traitements
anticoagulants à dose curative pour une durée d’au
moins trois mois constituent la pierre angulaire de la
prise en charge thérapeutique. L’arrivée des
anticoagulants oraux directs qui ont démontré, dans les
études cliniques, une efficacité et une sécurité
d’utilisation au moins équivalentes à celle des
traitements anti-vitamines K, devrait permettre de
faciliter la prise en charge ambulatoire de cette
pathologie et des traitements plus prolongés en cas de
facteur de risque persistant.
La prise en charge d’asthme
La prise en charge est organisée autour d'un médecin
et d'une infirmière référente responsable de
l'application du traitement et de la surveillance. Le
traitement comporte 1 à 6 nébulisations de β2-
mimétiques et une corticothérapie éventuellement
associées à une oxygénothérapie nasale. La
surveillance infirmière rapprochée permet de mesurer
l'évolution, de rechercher les complications. Elle est
fondée sur l'inspection, les mesures répétées des
fréquences respiratoire et cardiaque, de la saturation
en oxygène et du débit expiratoire de pointe.
Prise en charge de détresse respiratoire aiguë
La détresse respiratoire aiguë nécessite la mise en
œuvre sans délai de mesures de réanimation efficaces
 une oxygénation à haut débit et/ou l’initiation d’une
ventilation mécanique ont pour objet de restaurer une
hématose satisfaisante
 l’IOA doit avoir des connaissances sur l’étiologie des
dyspnées et les indications d’une oxygénothérapie
 le débit expiratoire de pointe (DEP) ou peak-flow peut
être utilisé comme indicateur du degré d’obstruction
des bronches
 l’utilisation des lunettes à oxygène est recommandée
pour les faibles débits d’oxygène, soit de 0,5l/min à
5l/min
 le masque à haute concentration est préconisé pour
les débits supérieurs à 8 l/min, permettant ainsi
d’obtenir une FiO2 comprise entre 8O% et 100%
 le recours à la VNI est indiscutable pour les patients
présentant une décompensation de BPCO et un OAP
cardiogénique
 l’optiflow est indiqué en cas d’hypoxémie réfractaire,
pour les patients très sécrétant ou en cas d’intolérance
à la VNI
 l’intubation orotrachéale est préconisée en cas de
détresses respiratoires avec une diminution des
échanges gazeux alvéolaires et une déficience de la
pompe respiratoire
 la préparation des drogues nécessaires à l’induction
et leur administration relèvent du rôle propre de
l’infirmier, sur prescription médicale.
Prise charge devant :
Gastrite
La gastrite elle est généralement traitée par la suppression de certains
aliments irritants et des habitudes alimentaires :
· Suivi un régime équilibré ;
· Eviter la consommation excessive des épices ;
· Eviter les aliments très chauds ou très froids ;
· Eviter la consommation d'alcool et du tabac ;
· Eviter la consommation excessive de café et de boissons acides
· Eviter la plus possible le traitement prolongé par les anti-
inflammatoires non stéroïdiens (les AINS) ou les corticoïdes (en
cas de traitement par les AINS, il faut la prendre après le repas) ;
· Eviter les matières grasses et les huiles (viande cuit, rôti ou
grillé, sans matières grasses) ;
· Bien mâcher tous les aliments lentement ;
· Prendre les repas à heures fixées ;
· Eviter de boire fréquemment pendant le repas, et de se coucher
juste après le repas ;
· Eviter le sur-mangé (surcharge de l’estomac) ;
· Eliminer les grignotages entre les repas ;
Les principes de la prise en charge des péritonites incluent des
mesures générales, une antibiothérapie et un traitement chirurgical en
urgence, la prise en charge de l’opéré sur l’abdomen demande des
moyens et une équipe soignante adéquate et compétant.
L’I.D.E joue un rôle très important et complexe au même temps dans
le domaine de chirurgie car il assure les soins post opératoire d’un
opéré, la méthodique et la compétence et l’efficacité de l’infirmier
assurent le traitement définitif du malade.
La cirrhose
La cirrhose est un facteur pronostique péjoratif dans
l'évolution des hépatopathies. Le bilan repose sur
l'évaluation clinique, le bilan biologique fonctionnel
hépatique, l'échographie abdominale et l'endoscopie
digestive haute. En cas d'hospitalisation en urgence, la
recherche d'une cause de décompensation (infection,
hémorragie) s'impose également en urgence.
fissure et fustule

Soins infirmiers pré-opératoires

 Recueil de données : antécédents


 Bilan sanguin : extrêmement rare sauf pour les hémorroïdes ou
le risque d’hémorragie post-opératoire non négligeable peut
nécessiter la présence d’une carte de groupe sanguin valable.
 Examens complémentaires : aucun
 Explication de l'intervention : heure de prémédication, Passage
en salle de réveil, Perfusions, Antalgiques…)
 Préparation locale : douche pré-op à la bétadine scrub
 Le jour de l'intervention : constantes de référence, douche
bétadine, mettre chemise hôpital, mettre bas de contention,
donner prémédication
Soins infirmiers post-opératoires

 Appareillage en retour de bloc :


o Réa / VVP
o Pansement anal local
o Bas de contention
 Surveillance post-op immédiate :
o Retour de bloc, surveillance horaire les 6 premières
heures puis toutes les deux heures.
o Surveillance conscience
o Risque hémorragique : Pouls, TA, Coloration, diurèse,
pansement
o Risque respiratoire et sédation (les patients remontent
très rapidement dans les services et sont souvent peu
réveillés)
o Risque douleur : Évaluation douleur, horaires antalgiques
o Surveillance de reprise de la diurèse car risque de
rétention aiguë post-opératoire : surveiller l’absence de
douleur au niveau du bas ventre et l’absence de globe
urinaire
o Lever précoce à J0 et alimentation normale 6heures après
extubation.
prise en charge d un malade cancereux
Dès l’annonce du diagnostic, l’infirmier va accompagner le patient et
sera présent dans les différentes étapes de la prise en charge :
 hospitalisations
 mise en place et surveillance des traitements
 accompagnement lors des moments de doute (perte de l’élan
vital, modification du schéma corporel, fatigue intense,
difficultés dans les relations familiales, …).
La prise en charge et l’entrée du patient dans son programme de
soins débute donc par l’annonce du diagnostic qui sera faite tout
d’abord par le médecin et reprise par l’infirmière. Ce moment ne
peut être banalisé et est un élément important qui va conditionner la
relation de confiance si importante dans ce contexte entre soigné et
soignant.
Après l’élaboration du PPS (Programme Personnalisé de Soins), le
patient va être hospitalisé pour les premières étapes de son
traitement (chimiothérapie, radiothérapie, curiethérapie, chirurgie,
etc.). L’infirmière aura un rôle important d’accompagnement mais
aussi d’information durant ces premiers moments avec le service
hospitalier.
Par son expérience et sa pratique, l’infirmière pourra expliquer au
patient la conduite à tenir pour pouvoir faire face au mieux aux
traitements proposés et à leurs principaux effets secondaires. Elle
devra considérer chaque patient comme singulier tant par son
approche psychologique que personnelle et bien identifier ses
différentes ressources.
Ces dernières, qu’elles soient matérielles, psychologiques, familiales
et financières, vont permettre au patient de pouvoir faire face à la
maladie et à son évolution.
Durant les différentes hospitalisations du patient l’infirmière pourra
observer et analyser l’évolution du patient par rapport à l’avancée de
sa maladie.
Les hospitalisations peuvent aussi s’étendre sur une durée limitée et
alors prendre place en hôpital de semaine ou en hôpital de jour.

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