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INTRODUCTION GENERALE
La croissance démographique a imposé à l’urbanisme de développer les méthodes nouvelles
pour adapter l’habitat urbain aux besoins de la population qui fait face aux problèmes de densité et
donc du manque d’espace. Parmi ces méthodes, nous notons la plus imminente qui est le
développement de la construction des immeubles de très grande hauteur à plusieurs niveaux.
Cependant, la réalisation de cette solution semble être la source de deux grands problèmes :
Pour y remédier, les architectes ont mis sur pied des dispositifs appropriés permettant de
minimiser les pertes d’énergie. Parmi ces dispositifs, on peut citer les monte-charges et les
ascenseurs.
Depuis l’apparition des ascenseurs, ces derniers n’ont pas cessé d’évoluer tant sur le plan
architectural que sur le plan technique. En effet, avec l’avènement des nouvelles technologies, les
constructeurs d’ascenseurs sont amenés à perfectionner leurs produits soit pour faire face à la
concurrence, soit pour préserver leur avance. Comme dans d’autres processus industriels,
aujourd’hui les hommes se tournent vers l’électronique pour commander les ascenseurs au
détriment de la commande à logique câblée. C’est dans cette dynamique que s’inscrit notre thème
de rapport de stage: « étude, conception et réalisation d’un ascenseur ».
Dans ce travail, il s’agira pour nous de concevoir une maquette de commande d’un ascenseur
qui dessert trois niveaux. Le microcontrôleur est le cerveau des opérations. C’est lui qui reçoit les
informations venant des capteurs et des boutons, vérifie l’état du système et donne l’ordre de
commande alors que la maquette en question n’est qu’une interface d’entrées/sorties au système.
Donc pour que l’ascenseur fonctionne, nous allons implémenter un programme de pilotage dans le
microcontrôleur.
Le travail que nous avons effectué dans ce mémoire se résume en trois chapitres :
♣ Le premier chapitre de notre travail nous présente les généralités sur les
ascenseurs.
♣ Dans le deuxième chapitre nous présentons la résolution du problème posé à
savoir la mise sur pied de notre ascenseur.
♣ Le troisième chapitre est réservé à la présentation des résultats.
CHAP I :
INTRODUCTION
Comme tous autres objets technologiques, l’ascenseur fut conçu dans le but de répondre à
un besoin très précis. Et, tout au long de chapitre nous allons présenter ses généralités en nous
attardent non seulement sur son historique et sa constitution mais aussi sur les risques et dangers
liés à son utilisation et de sa liaison avec un système automatisé. Nous illustrerons tout ceci chaque
fois par des images et schéma pour permettre une fluidité dans la compréhension
Il faudra attendre 1852 pour qu’Elisha Otis permette une application universelle de cette
invention. Il met en effet au point un ascenseur "parachute" pour répondre au problème de la chute
lorsque le câble se cassait. Le "parachute" consistait en un vieux ressort de charrette muni de barre à
cliquets fixé sur des rails qui empêchait la chute libre par le seul poids de la plateforme.
Le premier ascenseur affrété au transport de personnes est installé le 23 mars 1857 dans le
magasin d’E. V. Haughwout&Company, à New York. Ce bâtiment de cinq étages était considéré
comme le plus élevé pour l'époque. Otis imagina un ascenseur actionné par une série d'arbres et de
courroies entraînés par une centrale à vapeur dans le bâtiment. Sa capacité était de 450 kilogrammes
à une vitesse de 0,2 mètre par seconde. Quelques années plus tard il inventera le moteur à vapeur
alternatif Otis
Depuis cette invention les techniques n’ont cessé d’évoluer pour transporter plus de
personnes en moins de temps. Comme en 1878 lors de l’exposition universelle Léon Edoux présente
un élévateur Hydraulique, cet ascenseur pouvait transporter 80 personnes à 60 mètres de hauteur,
sa vitesse était de 1,10 mètre par seconde, un exploit pour l’époque. Le premier ascenseur électrique
fut construit par la firme allemande SIEMENS, pour l’Exposition industrielle de Mannheim, en 1880.
Il montait à 22 m en 11 secondes. Il transporta 8 000 passagers en un mois au sommet d’une tour
d’observation dominant l’exposition. Puis en 1889 dans le cadre de l’exposition universelle à Paris,
la tour Eiffel est dotée de quatre ascenseurs hydrauliques, pour permettre aux visiteurs de
l’exposition d’admirer Paris depuis la Tour Eiffel.
Figure 3 : Vue en coupe d’une gaine d’ascenseur avec une pièce réservé à la machinerie
a- La cabine :
C’est l’élément mobile qui abrite les usagers. Sa structure robuste n’autorise comme
ouvertures que la porte d’accès, les trappes de secours ou encore les artifices de ventilation.
Selon la norme, la hauteur minimum de la cabine est de 2 mètres. Celle-ci doit également être
équipée d’une porte intérieure équipée d’un détecteur de choc et un contrôle de fermeture.
b- La Gaine :
C’est l'espace vertical dans lequel se déplace la cabine. Elle doit être construite en
accord avec des règles élémentaires de sécurité, avec des matériaux solides (béton armé,
métal, verre feuilleté). Elle doit être adaptée à des différentes contraintes.
Les cabines des ascenseurs modernes sont entrainées par un moteur électrique
asynchrone « gearless ». C’est à dire à Entraînement direct sur une poulie. On ne retrouve
donc pas de réducteur, ni d’engrenages. Cette technologie est de plus en plus préconisée,
car elle permet un gain d’énergie évident. L’ascenseur peut ainsi supporter une charge utile
de 630 kg malgré une faible alimentation 220 volts.
d- gearless
Ils assurent la suspension. Dans la cage d’ascenseur que nous avons visité, ils étaient
au nombre de sept pour une raison de sécurité. En fait seuls deux suffisent. Leur diamètre
étant autour de 6.5mm chacun.
Ils assurent le maintien vertical de la cabine, et sont généralement situés face aux
câbles.
f- Le contrepoids :
C’est la charge mobile située à l’autre extrémité des câbles de traction et permettant de
contrebalancer la cabine.
Son fonctionnement est simple. Dès que la cabine dépasse une certaine vitesse, un câble
auxiliaire relié à la cabine passant dans une poulie se bloque par un système de pinces.
L’ascenseur a une vitesse nominale. Le parachute s’enclenche dès que la vitesse de la cabine
dépassait une certaine valeur en descente, mais aussi comme en monté.
g- Le variateur de vitesse :
Il agit d’assurer la régulation parfaite de la vitesse, dans le souci d’améliorer le confort des
utilisateurs. C’est en réalité un convertisseur de fréquence qui transforme en plusieurs
étapes (redressement, lissage…) le courant du réseau. Il génère un courant sinusoïdal à
amplitude et fréquence variable. Il est donc modulé en fonction d’une source d’information
de référence précise, dans les conditions optimales pour obtenir une régulation parfaite de
la vitesse.
Le moteur asynchrone couplé au variateur de fréquence est de loin le type de moteur le plus
utilisé pour les applications où il est nécessaire de contrôler la vitesse et le déplacement
d'une charge.
Le système moteur-variateur convient bien pour des applications tel que les
ascenseurs car on recherche une excellente précision à fois au niveau de la vitesse (confort
des utilisateurs) et de la précision de la position de la cabine par rapport aux paliers.
o Energie électrique,
o Energie pneumatique,
o Energie hydraulique...
- la partie commande (PC) :
Elle est l’ensemble capable de reproduire le savoir-faire humain. Elle commande la partie
opérative par l’émission d’ordre afin d’obtenir les effets sollicités. La PC peut être réalisée en
technologie câblée (électrique, électronique etc…..) ou en technologie programmée.
ordre Partie
Partie Opérative
compte rendu
Les ascenseurs modernes sont de nos jours des systèmes intelligents. Leur « cerveau »
des ascenseurs a lui aussi su évoluer dans le temps. Il s’agissait au départ de simples API
(Automate Programmable Industriel) qui n’exploitaient pas à son maximum le rendement
possible d’un ascenseur, multipliaient les mouvements inutiles, gaspillaient de l’énergie, sans
oublier l’usure prématurée de l’installation et le mécontentement des usagers voyant passer
devant eux une cabine seulement partiellement occupée.
De plus de nouvelles normes par exemple en matière de précision à l’arrêt et pour les
personnes âgées, l’exigence de confort des usagers et les besoins de rendement accrus pour
limiter les pertes d’énergie, ont accéléré les processus de modernisation et ont poussé les
concepteurs à intégrer des composants plus complexes tels que les microprocesseurs. Les
ascenseurs modernes sont désormais plus ou moins construits suivant le modèle de la figure
ci-dessous.
•Partie commande (rouge) : génère les consignes de déplacement de l’ascenseur, traite les
données des capteurs de position et les demandes de l’utilisateur.
•Entrées/sorties (vert) :
Interface Commande/ Puissance : assure l’alimentation électrique du moteur en fonction de
la consigne donnée.
Capteurs de position : informe en permanence la partie commande sur la présence ou
l’absence de la cabine à chaque étage.
Interface Homme/Machine : assure la communication avec l’utilisateur ; reçoit ses demandes
via les boutons poussoir et informe sur l’état actuel de l’ascenseur.
•Actionneur (bleu) :
Moteur : il assure le mouvement de l’ascenseur.
Compte tenu des dangers liés à l’utilisation des ascenseurs, et aux divers accidents
observés jusqu’ici, un certain nombre de mesure et de disposition doivent être prise pour
assurer la sécurité des usagers, des biens et même des installations. Ainsi on peut entre
autre citer :
CONCLUSION
Parvenu au terme de notre chapitre ou il était question de présenter les
généralités de l’ascenseur, nous pouvons au vue de tous ce qui a été mentionné que
l’ascenseur est un équipement complexe et que malgré son importance il n’en résulte pas
moins qu’il est très dangereux et que nous ne devons pas manquer de vigilance quand nous
y sommes à bords ou quand nous faisons des installations ou maintenances.
CHAP II :
ETUDE ET REALISATION
INTRODUCTION
Sachant que le travail qui nous a été soumis au départ et qui fait l’objet de notre thème
passe par la mise sur pied d’un prototype de commande d’un ascenseur, nous allons dans ce
chapitre tracer les différentes étapes à traverser pour cette réalisation et ceci par des idées
claires diffusant les étapes dans l’ordre chronologique. Nous présenterons aussi ici tous les
outils d’aide à cette réalisation, un dimensionnement du moteur qu’on utilisera et un devis
estimatif partiel de la réalisation du prototype.
b- Fonctionnement
Un usager présent devant l’ascenseur, fait appel à ce dernier si la cabine n’est pas à son
niveau. La cabine arrive à son niveau, s’ouvre. Il entre et appui sur un bouton pour choisir son
niveau de destination. Une fois qu’un usager a appuyé sur un bouton le système mémorise la
destination et la cabine va à ce niveau. Des capteurs placés sur la porte permettent de Contrôler
la fermeture effective des portes avant que la cabine n’entame sa course. Des voyants
permettant de spécifier si les portes sont ouvertes ou fermées, assurent un premier niveau de
sécurité. La figure 8 ci-dessous présente l’organigramme de fonctionnement de notre prototype.
Il décrit de manière simple le déroulement chronologique des différentes étapes de
fonctionnement de l’ascenseur.
Début
C I remplis
Démarrage du moteur
Eteindre voyant
Départ cabine
Détecter l’arriver
Allumer voyant
Eteindre moteur
Fin
d- dimensionnement
Dans ce paragraphe du système de traction, il est question pour nous de dimensionner le
système de traction de notre ascenseur. Celui-ci va comporter un moteur, un réducteur et un
tambour.
Réducteur
Moteur
Tambour
e- Choix du moteur
Pour la réalisation de notre système, nous avons choisi un moteur à courant continu
pouvant être alimenté sous une tension comprise entre 12 et 24 v. cela nécessitera un circuit
d’abaissement et de redressement de la tension puisque le secteur ENEO nous délivre une
tension bien plus élevée (230 v).
Caractéristiques techniques :
Puissance nominale : 9 KW
Cosϕ=O, 82
Rendement : 0,87
Masse 59,9 kg
Pcharge
=
η1 × η2
= . × .
= 7694, 2w
Pu= 7694,2 W
V=0.6m/s
.
Ωtambour= = . =1,2
Ωtambour=1,2 rad/s
Ωtambour = ( 2×π×Ntambour ) / 60
Ntambour = ( 60×Ωtambour ) / ( 2 ×π )
Rapport de réduction R = Nt / Nm = Ωt / Ωm = Tm / Tt
- Un régulateur de tension U1 (7805) pour les circuits nécessitant une tension de +5v ;
- Des condensateurs de 100 et de 320 nF ;
- 2 relais OMI-SH-1124D constitués de leur diode de roue libre ;
- 2 transistors bipolaires NPN BC337 ;
- Des résistances ;
- Des LED de signalisation pour facilitation de la maintenance.
Pour la conception et la réalisation de cette carte, nous nous sommes servis du logiciel
isis-protéus
le mode de visualisation 3D de ce logiciel nous a permis d’avoir une vue de notre carte avant
de passer à sa réalisation (implémentation et soudure des composants).
g- Choix du Microcontrôleur
Pour information, il faut toutefois noter que le MSP430 a des limitations qui
l'empêchent d'être utilisé dans des systèmes embarqués plus complexes. Par exemple,
il n'a pas de bus de mémoire externe qui lui permettrait d'accéder efficacement à des
mémoires RAM / ROM externes, et sa capacité de mémoire (8Ko de RAM, 1Mo de flash
pour les mieux dotés) peut se révéler insuffisante pour des applications qui demandent
de grandes tables de données. La figure 14 ci-apres donne une illustration du MSP430.
La photo de la figure ci-dessous nous donne une vue de la carte après sa réalisation.
h- CIRCUIT D’ALIMENTATION
Le moteur à courant continue utilisé fonctionnant sous une tension de 24 v DC, nous
avons été contraints de dimensionner et de concevoir un circuit d’alimentation adapté. De ce
fait nous avons fait usage des composants suivants :
i- PUPITRE DE COMMANDE
j- circuit d’affichage
C’est une carte électronique qui permet non à l’utilisateur de connaitre le niveau ou
se trouve la cabine d’ascenseur ; de vérifier si le niveau sélectionné a bien été pris en
compte.
- D’un shift register ou multiplexeur 74HC595 qui a pour rôle de multiplexer les trois
broches du microcontrôleur et commander les huit autres broches disponibles sur
l’afficheur en faisant une conversion série/parallèle ;
- D’une LED et d’une résistance permettant de faciliter la maintenance.
a- DESCRIPTION
b- Devis estimatif
Pour la réalisation de ce projet, nous avons eu besoin d’un certain nombre d’éléments
(composants et divers matériaux). Le tableau ci-après donne les détails du cout partiel du
projet.
Total 10 2000
CONCLUSION
Grace aux différentes combinaisons des notions apprises en cours et de nos
recherches nous avons pu élaborer l’ensemble de ces plaques et rencontrer le menuiser et le
mécanicien pour la conception de la partie en bois de notre prototype et la fixation de la
chaine et du moteur pour un résultat propre puisque c’est l’objectif recherché par nous et
l’ensemble de nos encadreurs. D’où nous pouvons nous lancer à la présentation du résultat
et aux différents commentaires et appréciations.
INTRODUCTION
Cette partie est réservée uniquement à la présentation des résultats et aux
différentes appréciations. Pour cette raison, nous procèderons de prime abord à présenter
le programme qui a permis la modélisation et les simulations avant de passer aux résultats.
Les résultats consistent aux captures d’écran et à la présentation du dispositif réalisé.
a- Présentation du logiciel
Le logiciel utilisé ici est energia qui est conçu pour programmer les instructions
interprétables dans l’environnement du MSP et la y sont insérés le code de pilotage de notre
ascenseur.
b- Instructions et codages
int pos;
int commande;
int tab[4];
int s1 = 7;
int imp = 6;
int bt0 = 2;
int bt1 = 3;
int bt2 = 4;
int bt3 = 5;
void memoriser()
if(digitalRead(bt0)) tab[0]=1;
if(digitalRead(bt1)) tab[1]=1;
if(digitalRead(bt2)) tab[2]=1;
if(digitalRead(bt3)) tab[3]=1;
void montee()
digitalWrite(mot1,HIGH);
digitalWrite(mot2,LOW);
//delay(100);
void descente()
//delay(1000);
digitalWrite(mot1,LOW);
digitalWrite(mot2,HIGH);
// delay(100);
void arret()
//delay(4000);
digitalWrite(mot1,LOW);
digitalWrite(mot2,LOW);
void initial()
while(digitalRead(s1)==0)
descente();
digitalWrite(mot2,LOW);
;pos=0;
int recherche()
int i;
for(i=0;i<4;i++)
if(tab[i]==1)
return i;
void pause()
for(int i=0;i<50;i++)
memoriser();
delay(100);
void securite()
if (digitalRead(s1))
digitalWrite(mot2,LOW);
pos=0;
tab[0]=0;
void temps()
for(int i=0;i<1150;i++)
memoriser();
delay(10);
void temps2()
for(int i=0;i<940;i++)
memoriser();
delay(10);
void setup()
pinMode(mot1,OUTPUT);
pinMode(mot2,OUTPUT);
pinMode(s1,INPUT);
pinMode(imp,INPUT);
pinMode(bt0,INPUT);
pinMode(bt1,INPUT);
pinMode(bt2,INPUT);
pinMode(bt3,INPUT);
digitalWrite(mot1,LOW);
digitalWrite(mot2,LOW);
initial();
delay(500);
void loop()
securite();
memoriser();
commande = recherche();
//0 à 1
if((pos ==0)&&(commande==1))
montee();
memoriser();
temps();
//delay(1000);
pos=1;arret();
pause();
tab[commande]=0;
// de 0 à 2
if((pos==0)&&(commande==2))
//0 à 1
//delay(500);
montee();
memoriser();
temps();
pos =1;
if(tab[1]==1)
// delay(1000);
pause();
tab[1]=0;
//1 à 2
// delay(500);
montee();
memoriser();
temps();
pos = 2;
// delay(1000);
pause();
tab[commande]=0;
//0 à 3
if((pos==0)&&(commande==3))
//0 à 1
//delay(500);
montee();
memoriser();
temps();
pos =1;
if(tab[1]==1)
// delay(1000);
pause();
tab[1]=0;
//1 à 2
//delay(500);
montee();
memoriser();
temps();
pos = 2;
if(tab[2]==1)
// delay(1000);
arret();
pause();
tab[2]=0;
//2 à 3
//delay(500);
montee();
memoriser();
temps();
pos = 3;
// delay(1000);
pause();
tab[commande]=0;
//1 à 2
if((pos ==1)&&(commande==2))
montee();
memoriser();
temps();
pos=2;
//delay(1000);
arret();
pause();
tab[commande]=0;
// 1 à 3
if((pos==1)&&(commande==3))
//1 à 2
// delay(500);
montee();
memoriser();
temps();
pos =2;
if(tab[2]==1)
//delay(1000);
pause();
tab[2]=0;
//2 à 3
//delay(500);
montee();
memoriser();
temps();
pos = 3;
//delay(1000);
pause();
tab[commande]=0;
//2 à 3
if((pos ==2)&&(commande==3))
montee();
memoriser();
temps();
pos=3;
// delay(1000);
arret();
pause();
tab[commande]=0;
//debut de la descente
//3 à 2
if((pos ==3)&&(commande==2))
descente();
memoriser();
temps2();
pos=2;
// delay(1000);
arret();
pause();
tab[commande]=0;
//3 à 1
if((pos==3)&&(commande==1))
//3 à 2
//delay(500);
descente();
memoriser();
temps2();
pos =2;
if(tab[2]==1)
// delay(1000);
pause();
tab[2]=0;
//2 à 1
//delay(500);
descente();
memoriser();
temps2();
pos = 1;
//delay(1000);
pause();
tab[commande]=0;
//3 à 0
if((pos==3)&&(commande==0))
//3 à 2
// delay(500);
descente();
memoriser();
temps2();
pos =2;
if(tab[2]==1)
//delay(1000);
pause();
tab[2]=0;
//2 à 1
//delay(500);
descente();
memoriser();
temps2();
pos = 1;
if(tab[1]==1)
arret();
pause();
tab[1]=0;
//1 à 0
delay(500);
descente();
// 2 à 0
if((pos==2)&&(commande==0))
//2 à 1
delay(500);
descente();
memoriser();
temps2();
pos =1;
if(tab[1]==1)
pause();
tab[1]=0;
//1 à 0
delay(500);
descente();
// 2 à 1
if((pos ==2)&&(commande==1))
descente();
memoriser();
temps2();
pos=1;arret();
pause();
tab[commande]=0;
// 2 à 0
if((pos==0)&&(commande==2))
//2 à 1
delay(500);
descente();
memoriser();
temps2();
pos =1;
if(tab[1]==1)
pause();
tab[1]=0;
//1 à 0
delay(500);
descente();
// 1 à 0
if((pos ==1)&&(commande==0))
descente();
CONCLUSION
Apres être passé par les différentes étapes de travail et à s’être mouvoir pour assez
nous pouvons de ce pas au vu de notre maquette nous estimer heureux de notre travail.
1 CONCLUSION GENERALE
Notre travail a consisté à l’étude et réalisation d’un prototype de commande d’un
ascenseur. Tout au long de celui-ci, conformément aux exigences que nous nous sommes
données dans le cahier de charge, nous avons été amenés à concevoir une carte de commande
permettant de piloter le système. Cette carte munie d’un microcontrôleur reçoit ses ordres de
commande des capteurs et du pupitre que nous avons également nous-même conçu et réaliser.
Par ailleurs, nous avons conçu et réaliser un circuit d’affichage munie d’un afficheur 7 segments
qui renseignait la position de la cabine d’ascenseur.
Nous n’avons pas la prétention d’avoir fait tous les contours de ce thème. Nous sommes
entièrement disposés à accepter les suggestions, les remarques et les critiques en rapport avec
ce travail afin de l’améliorer et d’obtenir des résultats meilleurs.
BIBLIOGRAPHIE ET WEBOGRAPHIE
• Google (cour sur les ascenseurs) le 30/08/2015 a 20h39
• Consultation d’un ancien rapport appartenant à Isaac Happy le 12/10/2015
• Tutoriel du logiciel energia telecharger a google le 03/11/2015
• Lecture des supports de cour dispenser a DIT
ANNEXE
Annexe
Annexe 2
Multimètre
Fer a souder