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Les raisons de mon projet
Vision
L ’habita t tra ditionne l e s t le cœ ur de la vie familiale e t s ocia le . Il e s t ve cte ur d’ide ntité ca r e s t l ’image d ’un
pays e t d ’une culture . Ave c une re che rche de plus e n plus ma rqué e de mode rnité e t de re ntabilité , l’a s pe ct
tra ditionne l s e pe rd. Il e xis te de s pos s ibilité s d ’a mé liora tion ma is ce lle s -ci re s te nt aujourd ’hui ma l diffus é e s
e t pe u connue s pa r le gra nd public.
Mission
Dé montre r que la c ons e rvation de l’arc hite c ture traditio nne l e t de s a pos ition da ns s on environne me nt e s t
importa nte e t qu’un ha bita t à la fois mode rne e t traditionne l e s t pos s ible . Ce la implique :
- D’é tudie r l’ha bita t tra ditionne l e t plus e n dé ta il 6 e xe mple s da ns 6 zone s clima tique s diffé re nte s .
- D’obse rve r de s moye ns e t de s s olutions mis e s e n pla ce e t me ttre e n ava nt de s initia tives
inté re s s a nte s .
- De ré flé chir e t d’a me ne r à ré flé chir à d’autre s s olutions .
Ambition
Co nvainc re qu’un habitat é c o lo g ique e s t ac c e s s ible par to us e t s e ns ibilis e r l’o pinio n public
s ur l’impo rtanc e de la c o ns e rvatio n de no tre patrimo ine arc hite c tural dans s o n
e nviro nne me nt. Do nne r e nvie à c hac un de de ve nir ac te ur de c hang e me nts dans un do maine
qui no us c o nc e rne to us : l ’habitat e t l ’e nviro nne me nt. Le dé fi é tant de faire é vo lue r no s
habitude s e t no s mais o ns .
Clima t tempé ré : moye nne de te mpé ra ture : 2°C e n ja nvie r, 16°C e n France (5 semaines)
juille t.
pré cipita tion a nnue lle : 1000 mm.
Clima t pola ire : moye nne de te mpé ra ture : - 33°C e n ja nvie r, 8°C e n
Suède (4 semaines)
juille t.
pré cipita tion a nnue lle : 700 à 1700 mm.
Égypte (5 semaines)
Clima t a ride cha ud : moye nne de te mpé ra ture : 7°C e n ja nvie r, 35°C e n
juille t.
pré cipita tion a nnue lle : moins de 500 mm.
Bolivie (5 semaines)
Clima t a ride froid : moye nne de te mpé ra ture : - 15°C e n ja nvie r, 15°C e n
juille t.
pré cipita tion a nnue lle : moins de 500 mm.
Kenya (5 semaines)
Clima t tropica l s e c : moye nne de te mpé ra ture : 23°C toute l’a nné e .
pré cipita tion a nnue lle : e ntre 500 e t 1500 mm.
Cambodge (5 semaines)
Clima t tropica l humide : moye nne de te mpé ra ture : 26°C toute l’a nné e .
pré cipita tion a nnue lle : 1800 mm.
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Les objectifs du projet
Pre miè re phas e : En Franc e (du 20 s e pte mbre 2003 au 24 fé vrie r 2004)
février
Etude de s monogra phie s .
Re che rche de pe rs onne s e t d’orga nis me s à re ncontre r dura nt le voya ge .
P re miè re é tude e n Ha ute S a voie .
Tro is iè me phas e : En Franc e (du 25 s e pte mbre 2004 au 20 s e pte mbre 2005)
ptembre
Confé re nce s , e xpos itions photos e t inte rvie ws .
Ré da ction d’un livre a cce s s ible a u gra nd public e t d’un livre te chnique de s tiné à de s
profe s s ionne ls .
Cré a tion d’un S ite Inte rne t pouva nt s e rvir de pla te forme d’é cha nge e ntre diffé re nts
profe s s ionne ls du monde e ntie r dé s ire ux de pa rta ge r le urs inform a tions e t le urs e xpé rie nce s .
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Restitution d’expérience (2/2)
Ré dac tio n d’un livre : e n c o llabo ratio n ave c le s é ditions Eyro lle s :
• Livre te chnique s ur l’ha bita t tra ditionne l s uiva nt le clima t d e s tiné s à de s
profe s s ionne ls .
Expos itions et co nfé re nc e s dè s o cto bre 2004 pré s entant le s initiative s e t les
habitats traditio nne ls renc ontrés .
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Les organismes parrains
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Un projet bien retransmis (1/2)
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Mon budget
6 Climats 6 Habitats
Chelala Jean-Gabriel
28 avenue d’Hastings
14700 FALAISE
Tél : 02.31.90.40.59
Portable : 06.84.35.81.85
E-mail : tdmhabitat@yahoo.fr
Web : www.6climats6habitats.com
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Maisons de terre : le pisé
La terre à pisé est une terre sableuse, à peine argileuse. Parfois on y ajoutait des
cailloux et graviers ce qui augmentait sa granulométrie et assurait une meilleure
cohésion.
La construction en pisé était une construction peu chère et solide. Le matériau était
pris sur place. Il ne pouvait y avoir ni stockage ni marchandage (à la différence des
constructions faites à partir de briques). La terre extraite du sol était quasiment prête à
l'emploi, elle ne nécessitait presque aucune transformation ni séchage. Il n'était pas
rare que la carrière d'où était extraite la terre devienne la mare de la ferme.
Dans certaines régions c'était le charpentier qui était le véritable maître d'ouvrage du
pisé, du fait de ses connaissances dans l'art de bâtir et dans la manipulation des
banches.
"… Il y a 30 ans et plus, il se faisait encore beaucoup de pisé. Les premiers pisés que j'ai fait, on
y allait à deux et toute la main d'œuvre était fournie à côté, c'était le propriétaire qui la
fournissait. C'est des voisins qui venaient lui donner la main. Après ils s'arrangeaient entre
eux, ils se rendaient le coup de main… Nous les charpentiers étions payés en argent… Les
banches, les pilons et le serre-joints c'était nous, autrement le reste, c'était le propriétaire"
"Une fois les murs achevés, il y avait le casse croûte offert par le patron. On arrosait deux
coups, … le deuxième venait quand la charpente y était…quand on montait les tuiles, c'était la
fête ! Ça se montait tout à bras alors ! il y avait du monde , même en rabiot.
Toute nouvelle construction était aussi l'occasion de resserrer les liens familiaux, amicaux et
professionnels entre les membres d'une même communauté et aussi parfois celle de réaffirmer
son statut social. Le propriétaire devait fournir les matériaux nécessaires… le bois, destiné à la
charpente et à la menuiserie était fréquemment offert par les parents…
En travaillant toute la journée, on arrivait à faire 7 ou 8 banchées. On montait deux tours sans
s'arrêter et puis il fallait laisser sécher pendant 15 jours, après avoir couvert le mur de tuiles,
pour le protéger des pluies. Ensuite on recommençait…trois mois s'écoulaient entre le début et
la fin du gros œuvre…"(Extrait de Construire en Terre, juin 1979).
Il existe différentes sortes de torchis suivant les qualités de paille et de terre qui sont
associées. Ces torchis peuvent prendre la forme d'une pâte molle ou de tresse. Dans le
premier cas, la terre prend l'aspect de galettes qui sont empilées. Dans le second cas, le
torchis est essentiellement composé de paille qui est trempée dans un mélange appelé
"barbotine" (terre saturée d'eau).
Quels que soient les matériaux utilisés, l’architecture rurale jusqu’au XIX e siècle était
régie par un principe d’économie maximum. C’est pourquoi on construisait avant tout
avec les matériaux que nous offrait le site. Aussi la construction d’une maison en
colombage nécessitait surtout la présence de bois à proximité, les déplacements et le
transport de matériaux étant réduits et coûteux à cette époque.
Le mélange utilisé est constitué de terre, de paille et d’eau. Il est ensuite moulé
manuellement dans un cadre en bois avant d’être séché au soleil. Le bois utilisé est le
plus souvent du saule, humidifié de manière à ne pas avoir de problème lors du
démoulage.
L’adobe est sans doute l’un des plus anciens produits de l’histoire de l’art de bâtir. Il a
été à la base même de l’architecture mésopotamienne et égyptienne. D’ailleurs, ce
terme vient de l’égyptien " thobe " qui signifiait " brique ". On trouvera des multitudes
d’adobes de tailles et de formes différentes suivant les moules utilisés mais en Midi-
Pyrénées, ces briques sont généralement relativement plates (environ 5 x 30 x 40 cm)
Ce qui différencie les constructions de type appareillée avec la technique du pisé, c’est
la possibilité de fabriquer et de stocker l’ensemble des matériaux nécessaires à la
construction de la maison avant d’engager les travaux. Le paysan pouvait fabriquer ses
briques au fur et à mesure. De ce fait, la brique est aussi vite devenue objet de négoce.
Il a existé dans la région de nombreuses aires de fabrication et de stockage des briques.
La terre est moulée puis compactée à l’aide d’une presse. La terre utilisée est plus
proche de la terre à pisé que de la terre à adobe : elle est moins argileuse, plus
sableuse.
En fait, la B.T.C. est d’une certaine manière une version plus moderne de l’adobe. Les
constructions en B.T.C. se développent aujourd’hui et sont la forme la plus répandue
de construction en terre crue. Ces briques présentent l’avantage d’être très résistantes
et très souples quand à leur utilisation.
Autrefois, les blocs comprimés étaient réalisés par pilonnage manuel dans un moule,
une technique dérivée du pisé. Ce n’est qu’au début de ce siècle que le pressage des
blocs est mécanisé ; d’abord par des presses manuelles à couvercle lourd rabattu avec
force sur la terre en excès dans le moule. Puis apparaissent les presses à pilon
mécanique mues par la force des bras. C’est avec les années 60 qu’apparaissent les
premières presses mécaniques, automatiques, hydrauliques.
Disponible sur près des trois quart des territoires habités, la terre crue a été utilisée en
Europe du Nord comme en Europe du Sud, en Afrique, au Moyen-Orient, en Inde et
en Asie, dans les Amériques. Depuis l’aube de l’humanité, cette terre est restée le
matériau le plus universel, concurrencé uniquement par le bois là où il est abondant
(ceinture équatoriale, Europe du Nord et Amérique du Nord)
La terre crue a aussi été utilisée dans la construction de grands monuments, la tour de
Babel, le palais de Cnossos, celui d’Aménophis III en Egypte, témoignages disparus.
D’autres sont toujours là : les enceintes de Tiznit au Maroc, de Tashkourgan en
Afghanistan, de Bam en Iran, et une bonne partie de la muraille de Chine, les palais de
Badi à Marrakech, du Gouverneur à Santa Fé, de Ségou Sikoro au bord du Niger, de
Tarim au Yémen, les églises d’Isleta au Nouveau Mexique, de San Francisco en
Californie, le couvent des Jésuites à Popayan en Colombie, les mosquées de Djennée,
de Mopti, du Maroc, d’Egypte, du Yémen…
Avant le règne d’Auguste, et les fastes architecturaux des siècles impériaux, les
bâtisseurs romains utilisaient couramment la terre crue dans la construction de
l’habitat, réservant alors la terre cuite aux toitures et aux canalisations.
Aujourd’hui plus d’un tiers de la population de notre planète habite des constructions
de terre.
Les techniques, les matériaux, l’outillage, le savoir faire dans le bâtiment se sont
totalement transformés dans la seconde moitié du XX e siècle. La terre crue a également
évolué. Elle a suivi le mouvement général de l’évolution de l’architecture : recherche
d’une mise en œuvre plus rapide, matériaux prêts à l’emploi, matériaux aux qualités
spécifiques plus poussées (thermiques, acoustiques…). Elle n’a pas, jusqu’à présent,
réussi à passer au stade industriel et reste pour le moment un produit artisanal.
Par contre la terre crue se révèle imbattable dans un domaine difficile et d’une urgente
actualité : la construction respectueuse de l’environnement. Dans la recherche d’une
architecture possédant de réelles qualités environnementales, peu énergivore, en
ressource illimitée, ne produisant pas de déchets (la terre retourne à la terre),
l’architecture de terre crue se situe au premier rang avec le bois.
Les textes sont essentiellement issus de Maison d’argile. Architecture de Terre Crue en
Midi-Pyrénées, exposition des CAUE de Midi-Pyrénées, 1999.
L’architecture En Terre
Introduction
Dans la plupart des pays du monde, il est possible de mouler la terre pour construire
des bâtiments, au moyen d’outils sophistiqués ou très primitifs. L’étendue des
possibilités techniques et architecturales de construction est extrêmement variée. Ce
vaste potentiel de construction a permis d’édifier des modestes abris, des maisons
villageoises, des bâtiments urbains, des édifices religieux, ainsi que des palais et des
villes entières.
Dans les pays sans moyens industriels; à toutes les latitudes du monde, la terre reste le
principal matériau de construction. Les matériaux traités sont coûteux en monnaie
étrangère et en énergie importée. Les communautés dépendent encore de l’utilisation
de solutions, de matériaux et de savoirs locaux. Ces matériaux et techniques sont
généralement très bien utilisées et peuvent assurer une vraie qualité architecturale, qui
puise le maximum des ressources humaines et matérielles disponibles localement.
Les techniques généralement associées avec les procédés utilisant des moules, des
cadres et le façonnage direct sont " pisé", " terre pilonnée", " paille argileuse", "
clayonnage enduit de torchis", " torchis", et " blocs comprimés".
Clayonnage enduit de torchis: un cadre, normalement en bois, est rempli de treillis enduit
ou de filet tissé de matière végétale. Une terre très argileuse est mélangée avec de la
paille ou une autre fibre végétale; pour empêcher la contraction au séchage.
La paille argileuse: la terre utilisée est très argileuse et est décomposée dans de l’eau
pour former un engobe gras qui est ensuite ajouté à la paille. La terre lie la paille
ensemble.
Torchis: des boules de terre sont amassées l’une sur l’autre et légèrement tapotées à la
main ou avec les pieds pour former des murs monolithiques. La terre est renforcée en
rajoutant des fibres, normalement de la paille provenant de toutes sortes de céréales et
de fibres végétales, comme de l’herbe et des brindilles.
Pisé: (briques de terre cuites au soleil): les briques sont fabriquées avec une terre
malléable à laquelle on ajoute souvent de la paille. Les pisés étaient traditionnellement
modelés à la main ou dans des moules en bois et en métal, mais de nos jours les
machines sont répandues.
Terre pilonnée: la terre est tassée dans un cadre. Dans de nombreux pays, on utilise des
pilons et des cadres en bois. Il est possible de construire des murs monolithiques avec
de la terre pilonnée.
Blocs en terre comprimée: de nos jours, le procédé pour comprimer les blocs de terre est
mécanisé à l’aide de presses hydrauliques, manuelles, ou d’installations complètement
intégrées. Les résultats sont des formes solides et précises, des briques cellulaires et
creuses, des revêtements de sol et du dallage.
De nos jours, le pisé, la terre pilonnée et les blocs de terre comprimée sont les
techniques les plus courantes de construction en terre. Elles ont atteint des niveaux
technologiques et scientifiques extrêmement élevés et permis de construire toute une
gamme de composants et de systèmes de construction: par exemple des fondations,
sols, toits plats et inclinés, arches, sols, cheminées, canaux, routes, barrages et ponts
etc.
Les argiles non cuites sont les principaux liants de la terre. Ce principe est ancré dans
la culture de la construction dans maintes régions du monde. On estime que plus d’un
tiers de la population mondiale vit dans des maisons construites en terre. Malgré leur
limite qui est de s’amollir quand elle sont mouillées, ce sont les liants les moins chers,
et elles consomment très peu
d’énergie.
que dans les régions sujettes à l’eau et à l’humidité. Les plans optimaux dépendent
énormément de l’environnement, tels le drainage et le niveau hydrostatique, le climat
et l’intensité et la quantité de précipitations, les vents durant les pluies, ainsi que les
habitudes d’entretien des habitants.
La plupart des terres consistent en de l’argile, une proportion de limon, du sable et des
graviers. Les particules les plus grandes donnent à la terre sa structure, alors que
l’argile la lie et lui donne sa cohésion.
Pour obtenir un bon matériau de construction qui est solide et facile à utiliser, la
proportion d’argile devrait être de l’ordre de 15% en moyenne. Le sable devrait
représenter entre 40 et 80%, les graviers de 0 a 40% et le limon de 10 a 25%. Si la teneur
en argile est trop haute, on peut ajouter des minéraux comme du sable, des graviers,
ou des fibres comme de la paille et du pelage.
La terre non cuite est souvent comparable en prix, et même plus économique,
que les technologies concurrentielles. Elle ne nécessite aucun coût majeur de
transport grâce à sa légère infrastructure de fabrication.
Elle ne nécessite qu’un mode de fabrication simple et des outils qui sont
accessibles à un large groupe de maçons et de bâtisseurs individuels.
Elle appartient à l’héritage architectural traditionnel de nombreux pays tout en
utilisant des matériaux locaux, et permet aux populations de prendre en charge
la production de leur environnement et de contrôler leur habitat.
Photos
T. Joffroy (2): Arabie Saoudite, Janadryah, 1988. Bâtiment d’exposition construit pour
la Royal Commission pour Jubail et Ynabu. Architectes de CRATerre.
Mathisen (1): Mali, Segou 1987. Gabriel Cisse Centre construit en blocs de terre
comprimée (CEB). Architectes: N.Widmer et A. Klien.
Adobe and Rammed Earth Buildings: Design and construction Paul Graham McHenry
£19.95, (University of Arizona Press), 1989, ISBN 0 81651 124 1
Building with Earth: A handbook (Second edition) John Norton Ce manuel apporte une
aide pratique pour décider et choisir comment bâtir avec de la terre; il va de la
sélection de la terre à la construction et l’entretien. Les techniques de la deuxième
édition de ce livre, révisée et mise à jour, se concentrent sur des réalisations de bonne
qualité au moyen de méthodes accessibles aux gens riches comme aux plus pauvres,
pour des bâtiments simples ou plus sophistiqués. £9.95, (ITP), 1997, ISBN 1 85339 337 1
Buildings of earth and straw Bruce King Dans cet ouvrage, Bruce King explore en détail
les méthodes pour construire des maisons durables et sûres en paille. Alors que
beaucoup de livres techniques peuvent être arides, difficiles à lire et peu intéressants,
Bruce est arrivé à partager des informations techniques de façon accessible et
divertissante. Il est vrai que même si pour comprendre certaines parties de ce livre il
est nécessaire d’avoir une formation en ingénierie, le bâtisseur non initié y trouvera
une profusion de documentation utilisable. £15.95, (Chelsea Green), 1996, ISBN 0 96447
187 6
The Cob Builders Handbook: You can hand-sculpt your own home Becky Bee Ceci est un
manuel qui vise à encourager une renaissance de la construction naturelle. Il s’adresse
aussi bien à des gens qui ont de l’expérience dans la construction; qu’à des novices, et
est rempli d’instructions et de schémas faciles à suivre. Becky Bee a bâti des structures
naturelles aux Etats-Unis, en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Amérique Centrale et
au Samoa. Son entreprise, Groundworks, est à la pointe du renouveau du torchis, en
tant qu’entrepreneur et en organisant des ateliers et des symposiums sur la
construction naturelle. £17.95, (Chelsea Green), 1997, ISBN 0 96590 820 8