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COURRET Thibaud

RAPPORT DE
vu
STAGE BUT 2023
I.U.T Génie civil Nîmes

ROURA S.A.R.L
13210
ZA la Massane-Saint Rémy
de Provence

Téléphone : 04.90.92.12.09
E-mail : @jean-luc.tamanti@wanadoo.fr

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Remerciements

Avant de commencer le développement de cette expérience professionnelle,

il me parait tout naturel de commencer par remercier les personnes qui m’ont
permis de réaliser ce stage en tant qu’ouvrier dans une entreprise de
maçonnerie. Ce stage m’a étais très bénéfique et m’a permis de visualiser la
partie pratique que nous n’abordons pas dans le premier semestre de B.U.T.

Je remercie donc M. TAMANTI, pour m’avoir fait confiance et ainsi m’offrir la

possibilité de pouvoir appréhender une approche technique et maitrisée du
métier qu’offre le B.T.P.
Je remercie aussi M. MADEIRA qui a été mon tuteur de stage pour sa
patience et ses qualités professionnelles. Et enfin j’aimerais remercier
l’ensemble des chefs de chantiers avec lesquels j’ai eu la chance de
travailler ainsi que tous les employés pour toute l’aide qu’ils ont pu me
prodiguer au cours de cette expérience.

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Plan détaillée

1/ Remerciement

2/ Plan détaillé

3/ Introduction : localisation chantier, environnement

4/ Présentation de l’entreprise

5/ Etude technique
 Ferraillage
 Fondations
 Pose agglos à bancher
 Coffrage
 Coulage du béton jusqu’à l’arase avec hydrofuge

6/ Organisation de chantier

6/ description métier : chef de chantier, manœuvre

8/Sécurité

9/ Bilan

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INTRODUCTION :

Eygalières carte de France 242 chemin des oliviers, 13810 Eygalières

La phase principale de mon stage s’est déroulé dans une commune française, située dans
le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d’Azur nommée
Eygalières.
C’est une commune qui est assez ferme sur les normes de constructions étant donné
qu’elle souhaite conserver son aspect de « petit village de province ».
Comme nous pouvons le voir, conformément à l'article R 111-21 (R. 111-27 nouveau) du
Code de l'Urbanisme :
ARTICLE UA-10 ASPECT EXTERIEUR DES CONSTRUCTION, VOLUMETRIES ET AMENAGEMENTS DE LEURS
ABORDS

De nombreuses caractéristique de construction m’ont surprises comme l’interdiction

d’utiliser une Grue lors d’une construction ou encore la règlementation concernant les
panneaux solaires. En effet, ils doivent être positionné au sol et pas sur le toit et ils doivent
bien s’intégrer à l’environnement sinon leur installation demeure interdite.

ARTICLE UA-10 ASPECT EXTERIEUR DES CONSTRUCTION, VOLUMETRIES ET AMENAGEMENTS DE LEURS

ABORDS

SOURCE : Commune d'Eygalières (mairieeygalieres.com)

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Présentation de l’entreprise

ROURA S.A.R.L :

L'entreprise ROURA, fondée en 1946, appartient à une famille d'artisans amoureux du

métier.
De la rénovation de mas typiques du pays des Alpilles en passant par les constructions
récentes de qualité réalisées en matériaux traditionnels, une équipe de professionnels se
met à votre disposition.
Ainsi, du gros-œuvre jusqu'à la charpente en passant par la couverture, le carrelage et la
piscine.

 HISTORIQUE

MR TAMANTI Jean-luc a repris au mois d’août 2005 l’Entreprise ROURA Michel, fils de Mr
ROURA Jean fondateur de celle-ci en 1946.
Connaissant le savoir-faire et le sérieux de l’entreprise depuis de nombreuses années, il a
conservé l’ensemble des salariés et poursuivit le travail de ses fondateurs avec la même
passion pour le métier de la construction traditionnelle et de la rénovation de Mas anciens.

 Equipe et compétences

L’entreprise est composée d’une secrétaire comptable, de chefs de chantier, de maçons

compagnons et d’aides maçons.

Son chiffre d’affaires pour l’année 2006/2007 a été de :

1.600.000 euros.

Situés entre Alpilles et Luberon, ils privilégient naturellement les pierres calcaires de la
région des Baux de Provence, de Ménerve, d’Oppède, de Saint Pantaléon…
Et les matériaux de récupération (bois, pierres, tuiles, carrelages etc…).

Ils gardent cependant un œil professionnel sur les matériaux nouveaux comme les briques
isolantes monomurs et les panneaux isolants de toiture, sans toutefois s’écarter du côté
typique de la Villa ou du Mas provençal

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 Savoir-faire : Gros œuvre

- Structures en béton armé

- Piscines
- Structures en pierres
- Créations d’ouvertures délicats
- Charpentes traditionnelles
- Couvertures en tuiles bâties
- Enduits extérieurs
- Rejointoiement de pierres
- Badigeons à la chaux

 Savoir-faire : second œuvre

- Cloisons et contre cloisons

- Isolation thermique et acoustique
- Enduits intérieurs
- Pose des menuiseries
- Scellement des volets
- Plafonds provençaux
- Plafonds voûtés
- Pose de tous type de carrelage
- Pose de cheminée

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Etude techniques :

 Mise en contexte

Pour vous situer mon arrivée dans le temps, j’arrive dans la phase de
fondations. En précède la démolition de l’ancienne maison et la délimitation
des trois MAS occupant le terrain. Mon stage s’est principalement déroulé sur
le MAS 1 et le MAS 2 car la construction doit être achevée avant aout.

MAS 2 :

Comme vous pouvez le voir sur la

photo ci-jointe, ma première mission
était une mission de repérage et
marquage au sol pour les futurs aciers
en attente. Pour se faire, nous avons
utilisés le plan d’architecte du MAS
correspondant.
 Effectif : 3 personnes (le conducteur
de travaux, le chef de chantier et moi)
 Matériels nécessaires : Un cordeau
nous permettant de marquer la
délimitation l’extrémité intérieur du
ferraillage. Une bombe de peinture de
couleur orange pour le marquage.

Cette première mission est en lien avec le bloc de compétence numéro 1 étant
donné que l’analyse des plans est nécessaire pour placer les futurs aciers en
attente.

La phase suivante était la pose des semelles filantes. Deux types de semelle
filantes ont été utilisés comme le montres les schémas ci-dessous.
 Effectif : 5 manœuvres
 Matériels nécessaires : fil de fer pour attacher les « U » et des supports
en bétons

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Comme vous pouvez le constater sur la photo ci-

jointe, les différentes parties des semelle filantes
doivent s’emboiter d’environ 50 centimètres pour
que leurs résistances lors du coulage soit optimal.

Une fois le ferraillage mis en place, le conducteur

de travaux ou le chef de chantier prévient le camion
toupie.

L’anticipation et l’organisation sont primordial

durant cette étape car il faut éviter les moments de
latence pendant les arrivée et départs des toupies.

Le coulage du béton doit être fait de manière

rapide et efficace. Le volume de béton doit être
calculée au préalable pour ne pas en manquer et
perdre de temps.

 Effectif : 2 personnes ( un manœuvre et le

conducteur de travaux)
 Matériels nécessaires : un camion toupie, un
râteau, niveau a bulle, un décamètre, un cordeau

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Pose des agglos à bancher :

La construction du mur de soubassement est réalisée avec des blocs à

bancher, ou bloc de coffrage, est un parpaing en forme de H. Creux et sans
fond, il s'’utilise pour l’édification de mur de soutènement ou de coffrage
perdus.
Analyse de la pose du mur de soubassement :
(1) Pose du premier rang
• Après avoir dessiné l’implantation des murs et préparé le mortier, veiller à
humidifier le support.
• Poser les deux blocs d’angle, face pleine sur le dessus. L’aplomb et le
niveau des blocs doivent être vérifié.
• Étaler le mortier entre les blocs d’angle, sans le tasser. On l’égalise à
l’aide d’une truelle et d’une taloche.
• Les autres blocs sont posés en prenant soin d’aligner le haut du parpaing
sur le cordeau qui aura été tendu sur la face extérieure du mur.
• Remplir les alvéoles de mortier si les conditions le nécessitent et racler les
joints.
(2) Pose des rangs suivants
• Déposer le mortier sur le rang précédent, en le répartissant de manière
régulière de chaque côté à l’aide de la truelle et de la taloche. L’épaisseur du
joint entre les deux rangées est comprise entre 1 et 2 cm.
• Mettre en place les blocs, en commençant par les deux blocs d’angle et
en les alignant au cordeau.
• Le décalage des joints verticaux de deux assises successives doit être au
minimum égal au tiers de la longueur de l’élément courant.
• Vérifier régulièrement l’altimétrie, régler l’aplomb, le niveau et
l’alignement.
• Bourrer les joints verticaux au mortier.
(3) Le chaînage
• Remplir l’intégralité du chaînage avec le béton.
• S’assurer que l’enrobage des chaînages, qu’ils soient horizontaux ou
verticaux, est au minimum de 10 mm

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Les blocs à emboîtement vertical peuvent être mis en œuvre sans joint
vertical maçonné. Cette technique est encadrée par le DTU 20.1, qui prévoit
certaines exclusions (construction en zone sismique, notamment). Facile à
mettre en œuvre, elle assure l’opacité de la paroi.

Ensuite, nous allons effectuer les mêmes étapes pour le deuxième et

troisième rangs. Une fois les trois rangs posés et le chainage mis en place,
nous allons passer au coffrage nous permettant de coulé l’arase.

Pour se faire, l’utilisation d’un niveau laser est

primordial. Celui-ci nous permets de placer les
planche de bois servant au coffrage de niveau et
surtout rapidement.

Pour maintenir les planches de coffrage en

position, des étrier de coffrage et des liteaux
positionnée sur toute la verticalité de la planche
sont nécessaire. Ceux-ci sont fixés au sol, et
permettent au coffrage de ne pas céder pendant la
partie de coulage.

Dans un premier temps, le béton est coulée

jusqu’au milieu du troisième rang.
Ensuite, nous pouvons coulée l’arase.

Les deux parties se différencie car lors du coulage

de l’arase, le béton nécessite un traitement
spécifique. En effet, le traitement hydrofuge est
integrer au béton.

Le traitement hydrofuge est principalement utilisé

en milieu humide, dès lors qu’on a besoin de
structure étanche qui résiste à la pénétration d’eau
sous pression ou bien qu’on souhaite éviter les
infiltrations ou les remontés d’eau.

 Dosage : 1 sachet d’hydrofuge pour 1 « sac »

de béton.

(1 sac de béton = 30 pelles de sables+ gravier, 3

seaux d’eau et un demi-sac de ciment.)

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Sur le chantier, ma principale mission était de faire le béton pour ensuite le

verset dans un godet et le verset avec des seaux dans les agglos a bancher.
Pour se faire, l’organisation est primordiale. Deux personnes se chargent de
réaliser le béton à la bétonnière et deux personnes munies de seaux se
charges de remplir les agglos à bancher de béton.

Une fois l’arase sèche, uniforme et de niveau, nous pouvons passer au

décoffrage. C’est une phase délicate mais assez rapide.

 Effectif : 5 manouvres
 Matériels nécessaires :
planche en bois, liteaux, visseuse,
étrier de coffrage, vis, clous,
niveau laser.

Je vous est explicités les différentes étapes de construction réalisés sur le

Mas 2. Nous avons réitéré exactement les mêmes étapes sur la MAS 1 pour
ne pas prendre du retard et pour que les logements soient terminés environ
lors de la même périodes.

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Compétences acquises
Le bloc de compétence que j’ai le plus approfondi durant ce stage est le bloc
de compétence numéro 1 : Représenter des solutions techniques de tout ou
partie d’un projet.

 Concernant le bloc de compétence n°1 j’ai eu la chance de réaliser la

limite de propriété du MAS 3. Nous avons placé des liteaux à chaque
angle délimitant la propriété et nous avons tirer des cordeaux reliant
chaque liteau. Puis nous avons réalisé un marquage au sol à l’aide
d’une bombe de peinture indélébile.
 J’ai aussi eu la chance d’étudier le plan de coffrage du MAS 2 pour
marquer au sol les extrémités des ouvertures et la position des
poteaux.

Plan de masse
MAS 3 1

Plan de coffrage du MAS 2

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Organisation de chantier

Le plan de masse ci-dessous est la zone principale de travail. Nous avons le

mas 2 qui est le logement situé sur la droite et le MAS 1 situé sur la gauche.

plan de masse MAS 1.2.3

Pour l’organisation du chantier, un conteneur étais placé à la place de la

piscine du MAS 2, celui-ci servait de rangements pour tous les outils nous
permettant de mener à bien l’avancement du chantier. Il est représenté par le
rectangle rougeâtre.

Sur le chantier, nous n’avions ni électricité ni eau. Le chef de chantier et les

ouvriers utiliser un groupe électrogène qui fonctionnent à l’essence.
Cela comporte de nombreux inconvénients :
 Bruit sourd et sans interruption qui donne des maux de tête.
 Anticiper la réserve d’essence.
 Important coût écologique et économique

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Concernant les ouvriers, l’organisation est très importante. En effet, la

multitude de chantier gérer par l’entreprise nécessite une excellente
répartitions des ouvriers pour ne pas prendre du retard. Les ouvriers doivent
être envoyés sur des chantiers ou les taches demandés corresponde à leurs
compétence.

Prenons un exemple, durant mon stage, j’ai effectué le traçage des

fondations à l’axe et marquer le traçage au sol pour poser les aciers en
attente. Cette tache nécessite d’être deux ou trois sur le chantier. Deux qui
tiennent le cordeau et le chef de chantier qui nous guide en cas de question.

En revanche, lorsque l’on réalise le béton à la bétonnière et qu’on le coule.

Cette opération nécessite d’être minimum 5. Deux qui réalise le béton à la
bétonnière, deux qui coule à l’aide de seaux et un qui conduit le MANITOU
munie d’un godet pour transporter le béton.

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Approche des métiers

Le métier que j’ai eu le plus la chance de côtoyer est le métier de chef de

chantier. C’est un métier comportant de nombreuse responsabilité et les
relations humaines ont un rôle très important.

Le chef de chantier joue un rôle clé dans le bon déroulement de la

construction. En effet, chaque problème rapporté par un manœuvre ou un
compagnon devient désormais son problème. C’est donc à lui de gérer
incident, commandes, stock, …

En revanche, comme beaucoup pourrais le croire, celui-ci, ne donne pas des

ordres aux manœuvres. En effet, il veille au bon déroulement tout en
conseillant ses camarades
Il doit posséder un esprit d’initiative sans craindre l’erreur tout en assumant
de grandes responsabilités en cas de problèmes survenu sur le chantier.

Personnellement, j’ai eu la chance de me voir confié exactement les mêmes

missions qu’un manœuvre. La confiance accordé par le chef de chantier,
mon tuteur de stage et le patron m’a permis de pouvoir réaliser beaucoup de
taches. Notamment utiliser une disqueuse pour couper les agglos ou encore
les ferraillages qui demeure être dangereuse.
Toute l’équipe m’a aussi fait confiance concernant le dosage de ciment,
d’hydrofuge nécessaire pour réaliser un béton de bonne qualité.

L’utilisation du laser pour le coffrage à été une de

mes missions favorites. Bien que celle-ci soit assez
simple, elle nécessite malgré tout une concentration
assez importante.

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Sécurité

La sécurité est un élément fondamental à ne surtout pas négliger sur le

chantier. Comme j’ai pu le constater en prenant un échafaudage sur la tête le
premier jour de mon stage.

E.P.I nécessaire :

 Combinaisons de travail : elles doivent être résistantes à l’usure, aux

déchirures et doivent être conformes aux obligations du marquage CE.
 Casques de sécurité : ils doivent être en bon état et répondre aux
normes Afnor NF EN 397 et à la certification CE.
 Lunettes de protection : les accidents des yeux représentant 3 % des
accidents du travail, le port des lunettes est primordial.
 Gants adaptés à chaque type de risques : en effet, les mains sont les
plus exposées aux dangers de coupures, perforations, allergies aux
produits, etc.
 Chaussures de sécurité : elles doivent être efficaces contre les chocs et
les agents agressifs tels que le feu ou les produits chimiques.
 Protections auditives : depuis 2006, l’employeur est responsable de
l’exposition au bruit de ses salariés.
 Masques de chantier : efficaces contre les aérosols, les particules
solides, les vapeurs et les gaz nocifs.
 Gilets de visualisation : ils doivent être conformes à la norme
européenne EN 471 et doivent permettre la visibilité de chaque ouvrier
sur le chantier.
 Dispositifs antichute : tels que les cordes, enrouleurs, harnais,
mousquetons, etc.

Sans oublier le PPSPS qui a pour but de réduire les risques liés à la
présence de plusieurs travailleurs.

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BILAN

Ce stage m’a été très enrichissant, il m’a permis de découvrir l’aspect

pratique du métier que nous n’étudions pas forcément en B.U.T 1.

Ce que j’en retiens principalement est l’aspect important des relations

humaines. 90% des manœuvre employés par l’entreprise par l’intermédiaire
d’une boite d’intérim était d’origine équatorienne. Malgré la barrière de la
langue, la communication était assez simple et on se comprenais sans trop
de difficultés. Encore aujourd’hui, certains me téléphone pour prendre de
mes nouvelles. Ces personnes m’ont transmis une leçon de vie.

Pour conclure, je tiendrais à souligner l’importance de l’organisation dans un

chantier. En effet, malgré que sur un chantier tout ne ce passe pas comme
prévu, l’organisation est la clé de la réussite. Elle nous permet de gagner du
temps, de finir le chantier en temps voulue et surtout de confier des taches à
toutes les personnes présentent.
Je terminerais par dire que la qualité d’adaptation est primordiale sur un
chantier et la prise d’initiative l’est tout autant.

« L'erreur n'annule pas la valeur de l'effort accompli. »

Encore merci à l’entreprise ROURA S.A.R.L de m’avoir accordé leurs

confiances.

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