CCTP Lot TERRASSEMENTS - GROS OEUVRE

PRO - octobre 2021
EXTENSION MAISON MAGAUD
MAITRE D'OUVRAGE : M. et Mme MAGAUD

14 rue Jean Moulin
63110 BEAUMONT
SITUATION : Toiras
63580 LE VERNET - CHAMEANE
CAHIER DES CLAUSES

TECHNIQUES PARTICULIERES
(C.C.T.P.)
Lot N°01 TERRASSEMENTS - GROS OEUVRE
ATELIER 4 - JEAN JACQUES ERRAGNE

SARL au capital de 202000 € RCS CLERMONT FERRAND 833 607 385 APE7111Z N° intracommunautaire FR 80 833607385
62, Avenue JF Kennedy 63500 ISSOIRE Tèl : 04.73.89.31.10 Fax : 04.73.89.64.81 E-Mail : etudes@atelier4erragne.fr
EXTENSION MAISON MAGAUD DOSSIER PRO
Lot N°01 TERRASSEMENTS - GROS OEUVRE octobre 2021
01.1 PRESCRIPTIONS GÉNÉRALES
01.1.1 CONTENU DES PRIX

En plus des travaux définis par le présent C.C.T.P., il est précisé que la proposition de l'entrepreneur s'entend compris
:
- les frais d'essais,
- la protection contre les éboulements,
- l'implantation des bâtiments, par un géomètre agréé, par des repères durant l'exécution des travaux,
- les implantations intérieures des murs,
- les bornes repères de nivellement et les traits de niveau avec repères NGF.
- les frais occasionnés aux autres Entrepreneurs et résultant des écarts par rapport aux tolérances.
- la fourniture et amenée à pied d’œuvre, l'installation, évacuation de tout le matériel nécessaire à la bonne exécution
des travaux,
- l'installation électrique, compris branchement provisoire de chantier exécuté par les soins et à la charge de
l'entrepreneur du présent lot (armoire principale et transformateur),
- l'établissement et la mise à jour des plannings d'études et de réalisation des travaux,
- l'évacuation des eaux usées, compris branchement sur réseau,
- caniveaux et drains nécessaires à l'évacuation des eaux pendant la durée du chantier, compris branchement sur
réseau,
- l'installation d'eau compris branchement,
- la fourniture et la mise en œuvre d'air comprimé nécessaire au chantier,
- le nettoyage quotidien de ses ouvrages,
- l'évacuation des gravats, le nettoyage des voies d'accès au chantier,
- les frais indiqués dans la description générale des ouvrages,
- la quote-part de l'entrepreneur au compte prorata,
- la mise en place et l'entretien de la palissade de chantier,
- le nettoyage en fin de chantier, et en particulier le nettoyage des réseaux sous dallage, ainsi que les essais COPREC,
- le panneau de chantier suivant schéma architecte,
- les photos significatives des phases du chantier (fréquence mensuelle).
01.1.2 FORFAITISATION DES TRAVAUX

Le montant des travaux de Gros Œuvre sera forfaitisé pour le marché.
L'entrepreneur est censé avoir pris connaissance de toutes les contraintes dues au site et à la réalisation des ouvrages
décrits au présent C.C.T.P.
01.1.3 OBLIGATIONS DE L'ENTREPRISE
01.1.3.1 Connaissance des lieux

L'entreprise est censée s'être engagée dans son marché en toute connaissance de cause. En particulier, lui sont
parfaitement connus :
- le terrain et ses suggestions propres,
- les contraintes relatives aux constructions voisines,
- les modalités d'accès par les voies existantes,
- les possibilités et difficultés de circulation et de stationnement,
- les suggestions des règlements administratifs en vigueur se rapportant à la sécurité sur le domaine public.
Elle ne pourra jamais arguer que des erreurs ou omissions puissent la dispenser d'exécuter tous les travaux de sa
profession, ou bien fassent l'objet d'une demande de supplément de prix. Toutes modifications en cours de chantier
pour quelque raison que ce soit seront prises en charge par l'entreprise.
01.1.3.2 Qualification
L'entreprise devra avoir obligatoirement les qualifications professionnelles délivrés par l'O.P.Q.C.B.
01.1.3.3 Responsabilité
L'entreprise demeure responsable des dégradations causées :
- sur les bâtiments voisins,
- sur les propriétés voisines,
- sur la voie publique.
Il reste bien entendu que l'entreprise du présent lot sera responsable civilement de tous les accidents matériels ou
corporels du fait de ses travaux.
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01.1.3.4 Implantation
L'entreprise devra faire exécuter par un géomètre agréé, le piquetage du bâtiment en fonction des côtes et alignements
à respecter.
Les piquets seront rattachés en plan et en altitude à des repères fixes.
L'entreprise est tenue de veiller à leur conservation ainsi qu'à leur déplacement si les besoins des travaux l'exigent.
L'Entrepreneur est responsable de la conservation des repères. Si au cours des travaux, ceux-ci étaient détruits, il en
devra la remise en état sous sa responsabilité et à ses frais.
Le contrôle de l'implantation sur le site par le Maître d'Oeuvre ne dégage pas l'Entrepreneur de la responsabilité des
erreurs qu'il aurait pu commettre et de toutes les conséquences en découlant.
Cette implantation sera effectuée en présence du Maître d'Oeuvre.
01.1.3.5 Installation
L’entrepreneur aura à sa charge l’installation pour la durée du chantier des locaux suivants :
. Vestiaires et sanitaires de chantier.
. Local réfectoire.
. Bureau de chantier pour 15 personnes.
L'Entrepreneur devra fournir outre le plan de principe d'installation de chantier, tous les documents relatifs à
l'organisation complète de chantier et en particulier :
- les nombres, emplacements, caractéristiques et cadences des postes de grue,
- l'implantation des locaux de chantier,
- l'implantation des centrales à béton,
- l'implantation des surfaces réservées au stockage,
- l'implantation des accès au chantier.
L'ensemble des moyens nécessaires à toutes les opérations de contrôle précisées dans les règlements, le présent
Cahier de Prescriptions ou le Descriptif et exécutés systématiquement à la demande du Maître d'Oeuvre et son
représentant, sont de la fourniture de l'Entrepreneur.
01.1.3.6 Plans d'exécution

Les plans d'exécution tiendront compte des plans guides, standard et seront communiqués par le Maître d'Oeuvre.
Ils comportent notamment les indications suivantes :
Plan de coffrages :
- taux de travail du sol
- surcharges admissibles sur planchers
- nature et classe des ciments employés
- dosage des bétons
- résistance à la traction et à la compression exigée
Plan d'armatures :
- caractéristiques mécaniques exigées pour les armatures
- diamètre minimum des mandrins pour les armatures
- armatures de liaison
Les plans seront envoyés suffisamment tôt pour être approuvés avant le commencement des ouvrages sur le chantier.
L'Entrepreneur ne doit commencer les travaux qu'après réception des plans approuvés.
Les plans seront fournis de la façon suivante :
- en cours de travaux : 3 tirages jusqu'à accord définitif du bureau de contrôle
- en fin de travaux : 1 contre-calque.
Ces plans devront être des plans "tels que construits".
01.1.3.7 Sécurité
L'entreprise devra se conformer aux règlements de sécurité et notamment :
- mise en place de tous dispositifs assurant la sécurité du chantier, de la voie publique, de la voie privée, des accès :
échafaudage, auvent, parapluie, platelage pour protection des passants et des véhicules,
- mise en place, pour toutes interventions sur la voie publique d'un homme de trafic,
- chargement des camions sur la voie publique proscrit, sauf autorisations obtenues,
- prévoir, pendant toute la durée des travaux, un matériel de premier secours contre les risques d'incendie et
d'effondrement,
- fourniture et pose de panneaux de sécurité en voirie, aux sorties de chantier, après avoir obtenue l'autorisation de
l'administration compétente.
01.1.3.8 Nuisances
Les moteurs d'engins seront équipés conformément aux règlements en vigueur.
Le nettoyage permanent des accès du chantier sur les voies publiques ou privées, ainsi que des débords, est à la
charge du présent lot. Il en sera de même de l'entretien en cours de chantier et de la remise en état éventuelle, en fin
de chantier, des voies d'accès.
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01.1.4 DOCUMENTS DE RÉFÉRENCE
01.1.4.1 Généralités
Les matériaux, éléments ou ensembles traditionnels envisagés doivent satisfaire les normes françaises homologuées,
ainsi que les dispositions des documents techniques unifiés (D.T.U. et D.T.U. projets communiqués mais non publiés).
Les matériaux, éléments ou ensembles non traditionnels ne peuvent être admis que s'ils font objet :
- soit d'un Avis Technique de la Commission et d'une acceptation par le STAC,
- soit d'une enquête technique favorable par un Contrôle Technique agréé.
Font également référence les règles de sécurité contre l'incendie, ainsi que les règles professionnelles (U.N.M. et les
recommandations professionnelles provisoires I.T.B.T.P.).
01.1.4.2 Règles de calcul

Les ouvrages doivent être calculés conformément aux règles de calcul contenues dans les documents suivants (liste
non limitative) :
. Connaissance des sols.
- Documents Techniques Unifiés (D.T.U.)
- Cahier des Prescriptions Communes (C.P.C.)
- Cahier des Clauses Spéciales (C.C.S.)
- Autres documents
Etude de sols : en l'absence d'étude de sol, hypothèse de calcul 0.2MPa.
. Terrassement pour bâtiment.

- Cahier des Charges, D.T.U. n°12.
- C.C.S., D.T.U. n°13.1.
. Fondations superficielles
- D.T.U. 13.11
Règles pour le calcul des fondations superficielles (mars 1988).
- Documents techniques Unifiés (D.T.U.) n°13.2
- Cahier des Charges D.T.U. applicable aux travaux de fondations profondes pour le bâtiment.
- Cahier des Charges D.T.U. applicable aux travaux de Fondations Superficielles et règles pour le calcul des
Fondations Superficielles.
* Prescriptions techniques relatives aux dalles et volées d'escalier, préfabriquées, en béton armé, simplement
posées sur appuis sensiblement horizontaux.
- Autres documents.
- Cahiers du C.S.T.B.
* règles de calcul d'exécution de réception et d'emploi des planchers préfabriqués en béton armé
* Règles techniques de conception et de calcul des ouvrages et constructions en béton armé.
* Recommandations pour la prévision par le calcul du comportement au feu des structures en béton.
* Règles définissant les effets de la neige et du vent sur les constructions.
* Règles parasismiques.
* Normes de l'A.F.N.O.R.
. Fondations profondes
- D.T.U. 13.2.
Règles pour le calcul des fondations profondes et additifs.
. Béton armé
règles techniques de conception et de calcul des ouvrages et constructions en béton armé suivant la méthode des
états limites (règles BAEL 83)
- Cahier des Charges D.T.U. applicable aux travaux de Maçonnerie, Béton armé, Plâtrerie.
- Règles de calcul des caractéristiques thermiques utiles des parois de construction et des déperditions de base des
bâtiments.
. Maçonnerie
D.T.U. 20.11
Règles de calcul simplifiées pour les parois et murs en maçonnerie.
- Cahier des Charges D.T.U. applicable aux travaux de Maçonnerie, Béton armé, Plâtrerie.
. Bétons divers
D.T.U. 23.1
Règles de calcul des parois et murs en béton banché.
. Planchers
Cahier des prescriptions communes aux procédés de planchers.
Titre I - Planchers nervurés à poutrelles préfabriquées.
Titre II - Dalles pleines confectionnées à partir de prédalles préfabriquées et de béton coulé en œuvre.
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. Cuvelage
D.T.U. 14.1.
Règles de calcul applicables aux parties immergées de bâtiments en béton armé ou précontraint recevant un cuvelage.
. Béton précontraint
- Instruction provisoire n°2 relative à l'emploi du béton précontraint dans les ouvrages relevant du Ministère de
l'Aménagement du Territoire, de l'Equipement, du Logement et du Tourisme (IP 2).
- Titre II "Armatures en acier à haute résistance, pour constructions en béton précontraint par pré ou post-tension" du
fascicule 4 du CPC (Cahier des Prescriptions Communes applicables aux marchés de travaux relevant des services de
l'Equipement).
. Construction
- Règles générales de construction des bâtiments d’habitation, ainsi que les arrêtés et circulaires d'application.
. Revêtements et enduits
- Cahier des Charges, D.T.U. du C.S.T.B. applicable aux travaux:
. d'enduits extérieurs sur les bâtiments
. d'enduits intérieurs dans les bâtiments
- Cahier des Charges, D.T.U. du C.S.T.B. applicable aux travaux de Maçonnerie - béton armé - Plâtrerie.
- Cahier des Charges, D.T.U. applicable aux travaux d'enduits aux mortiers de liants hydrauliques.
. Fumisterie
. Assainissement
- Cahier des Prescriptions Communes (C.P.C.)
(pour les marchés publics du Bâtiment)
* Fascicule n°64 - non paru.
- Cahier des Clauses Spéciales (C.P.S.)
(pour les marchés privés du Bâtiment dans le cas où le C.P.C. n'a pas été rendu obligatoire par le C.P.S.).
* non paru.
- Autres documents.
- Normes relatives aux tuyaux d'évacuation en amiante-ciment.
- Normes relatives aux canalisations en grès.
- Normes relatives aux tuyaux en béton armé ou non armé.
NOTA : Avant de remettre son prix, l'entrepreneur du présent lot devra se rendre sur place pour reconnaître l'état
actuel des lieux et apprécier à son point de vue l'étendue et la nature des travaux à exécuter avec toutes les
suggestions inhérentes ou consécutives nécessaires à ces derniers.
En conséquence, en cas d'erreurs ou d'omissions dans les descriptions qui suivent, l'entrepreneur devra
effectuer tous les travaux indispensables à la réalisation complète et dans les règles de l'Art de son lot.
En aucun cas, il ne sera payé des travaux supplémentaires.
. Feu
- Règles FB
Méthodes de prévision, par le calcul, du comportement au feu des structures en béton (CSTB).
. Neige et vent
Règles définissant les effets de la neige et du vent sur les constructions, et Annexes.
. Séismes
Règles parasismiques
Révisés 1982
01.1.5 TOLÉRANCES DIMENSIONNELLES
Les tolérances dimensionnelles indiquées dans le tableau ci-après sont celles admises au moment des mesures de
contrôle opérées entre corps d'état différents et des mises en service. En conséquence, toutes les imprécisions
d'implantation, de déformation de coffrages, les variations de dimensions résultants de la température et du retrait,
considérés comme jeu de comportement sont cumulables. Ces valeurs cumulées doivent entrer nécessairement dans
les limites définies ci-après.
01.1.5.2 Tolérance d'implantation du tramage

L'entrepreneur fait établir l'implantation générale de l'ouvrage.
Les trames principales de référence et le niveau de référence sont matérialisés par des bornes, qui doivent être
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protégées pour demeurer en parfait état pendant toute la durée du chantier.

A chaque étape, l'entrepreneur doit réimplanter le tramage de l'ouvrage et les côtes de niveau. Les tolérances de
positionnement de ces éléments sont les suivantes :
. Niveaux :
- distance verticale entre deux repères quelconques de niveau : la plus grande des deux valeurs :
. 0.5 cm,
. 0.05 % de la distance verticale entre ces deux points.
. Verticalité
- écart de verticalité entre deux points quelconques correspondants du maillage de la trame, situés à des
niveaux différents : la plus grande des deux valeurs :
. 0.5 cm,
. 0.05 % de la distance verticale entre ces deux points.
01.1.5.3 Tolérance sur les éléments de structure

Les éléments de structure ou incorporés à la structure (poteaux, voiles, poutres, trémies, baies, etc.) sont positionnés
par rapport aux éléments réels de tramage définis au paragraphe précédent, suivant les côtes indiquées sur les plans.
Les tolérances :
- sur l'implantation réelle d'un élément par rapport aux trames,
- sur la distance entre deux points quelconques de l'ouvrage construit et la côte théorique résultant des plans,
sont les suivantes :
(//) : par exemple pour c = 40 m, la tolérance est 2.5 + 1 = 3.5 cm.
Au cas où l'utilisation des deux critères précédents conduirait à deux valeurs différentes, c'est la plus petite des deux
valeurs qui s'imposerait.
Les chiffres indiqués ci-dessus concernent par exemple :
- le positionnement en plan de tout point par rapport au tramage le plus proche
- la verticalité
- la section des poteaux et des poutres
- la distance entre éléments
- les épaisseurs des éléments
- le niveau d'un plancher par rapport à des niveaux de référence
- la dimension et l'implantation de baies ou trémies.
L'entrepreneur doit informer le Maître d'Oeuvre lorsque les tolérances ci-avant sont dépassées.
01.1.5.4 Déformations
Calcul des déformations :
Les déformations sont calculées selon les méthodes données à l'article A4, 6 du BAEL ou dans les chapitres
particuliers du Cahier des Prescriptions Techniques (CPT Planchers).
. Déformations admissibles
Planchers courants :
Ce sont ceux qui supportent des cloisons maçonnées ou des revêtements de sol fragiles, pour lesquels on évalue un
fléchissement appelé (appelé flèche active) qui, après mise en oeuvre des cloisons ou des revêtements de sol, doit
rester inférieur à :
. C 1/500 jusqu'à 5.00 ml
. C 0.5 cm + 1/1000 au-delà de 5.00 ml
Autres planchers
Ce sont ceux qui ne supportent ni cloisons maçonnées, ni revêtements de sol fragiles, ainsi que les planchers de
combles non accessibles normalement. Pour ces planchers, on limite la déformabilité, conventionnellement, par leur
fléchissement. Celui-ci doit rester inférieur à :
. C 1/350 jusqu'à 3.50 Ml
. C 0.5 cm + 1/700 au-delà de 3.50 ml
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01.1.6 MATÉRIAUX CONSTITUTIFS DES BÉTONS
Voir D.T.U. 20, 20-11, 20-12, 23.1 à 23.6
. Agrégats :
Voir normes N.F. P 18-301 et 304, articles 2.1 et 3.3 du D.T.U. n° 20. Les granulats doivent être propres, lavés,
exempts de terre et de poussière. Des essais de granulométrie doivent déterminer les catégories de granulats à utiliser
pour les bétons.
. Liants :
Voir normes N.F. P 15-401 à 15-461.
Avant son utilisation, le ciment doit avoir un âge suffisant pour qu'il soit complètement refroidi. Les symboles, classe et
dosage sont conformes aux normes N.F.
. Adjuvants :
Accélérateurs, retardateurs, plastifiants, entraîneurs d'air, hydrofuges : voir norme AFNOR P 82-303 et circulaire 80/08
du 8/8/1980 - Moniteur du 8/12/1980. Les adjuvants éventuellement utilisés ne sont acceptés que sous les conditions
suivantes :
- ils doivent figurer sur la liste agréée par la C.O.P.L.A. (Commission permanente des liants hydrauliques et des
adjuvants de béton),
- ils sont mis en œuvre conformément au cahier des charges du fabricant.
. Eau de gâchage du béton :

Conforme aux exigences de la norme N.F. P 18-303 concernant les caractéristiques physiques et chimiques. Les sels
dissous ne doivent pas risquer de compromettre la qualité du béton, ni la conservation du béton armé. En particulier, la
présence de chlorure, sel de sodium ou magnésium ne peut être tolérée que dans une proportion inférieure à celle qui
est admise dans une eau potable. Une analyse, à la charge de l'entrepreneur peut être demandée par le Maître
d'Oeuvre.
. Autres matériaux
La présente spécification ne décrit que les matériaux d'emploi général. En ce qui concerne les autres matériaux dont
l'emploi est préconisé dans les devis descriptifs particuliers, l'entrepreneur se conformera aux normes, prescriptions et
indications des fabricants les concernant.
L'Entrepreneur contractant déclare avoir une parfaite connaissance des buts à atteindre et des moyens à mettre en
oeuvre.
En conséquence, il donne sa garantie sans réserve pour tous les travaux à exécuter.
L'entrepreneur garantira ses ouvrages conformément aux articles 1792 et 2270 du Code Civil et au décret du 22.12.67.
Il devra souscrire, dans le cas où sa police individuelle de base serait insuffisante, une police complémentaire pour
couvrir l'ensemble des travaux.
En outre, il assurera entre la fin des travaux et la réception définitive des ouvrages, à ses frais, risques et périls, les
réparations ou réfections qui seraient nécessaires, que celles-ci soient motivées par une défectuosité des produits ou
matériaux employés, ou des conditions d'exécution.
Toutefois, ne sont pas compris dans cette obligation, les travaux d'entretien normaux ainsi que ceux qui seraient la
conséquence d'un abus, d'un usage anormal ou d'un défaut d'entretien dont il appartiendra alors à l'Entrepreneur de
faire la preuve.
Tous les équipements nécessaires à la bonne réalisation des ouvrages doivent être sur le site avant réalisation et être
utilisés par des personnes compétentes.
01.1.6.2 Tableau des bétons
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01.1.6.3 Tableau des mortiers

Référence D.T.U. n°26.1
01.1.6.4 Étude et contrôle des bétons

voir D.T.U. 20, chapitre VIII.
Les laboratoires qui effectuent les épreuves et essais dus par l'entreprise au titre de son marché, aussi bien lors de
l'étude préalable que pour le contrôle du béton lors de l'exécution des ouvrages, doivent être agréés par le Maître
d'Oeuvre et le Bureau de Contrôle éventuel.
. Définition du béton contrôlé :

Un béton contrôlé a une composition qui résulte d'une étude préalable, et sa production est soumise à un contrôle.
Cette étude et ce contrôle sont conformes aux prescriptions des articles ci-après.
. Étude préalable :
Elle doit être faite par l'entreprise aidée par un laboratoire si nécessaire, et porte sur les deux points suivants :
- examen des constituants du béton : analyse granulométrique,
- recherche d'une composition optimale du béton.
Tous les matériaux pris en compte dans les études (granulats, eau, ciment, éventuellement adjuvant, ...) sont ceux qui
doivent être utilisés sur le chantier.
On détermine les dosages en granulats, ciment, eau, éventuellement adjuvant, qui conduisent à un béton ayant :
- d'une part les caractéristiques mécaniques demandées,
- d'autre part, une consistance convenant à une mise en oeuvre correcte eu égard à l'ouvrage considéré et au matériel
utilisé.
Les essais de résistance mécanique relatifs à cette étude préalable sont à la charge de l'entreprise. Ils sont conduits
suivant les prescriptions du BAEL 83. Leur nombre est déterminé en accord avec le Maître d'Oeuvre, en principe six
essais sur éprouvettes cylindriques pour 50 m³ de béton. Selon la qualité du béton et sa régularité, un nombre
supérieur peut être demandé.
. Contrôle du béton :
Les prélèvements de contrôle sont effectués par l'entreprise à la demande du Maître d'Oeuvre. Les essais sont réalisés
par un laboratoire agréé. Un prélèvement est composé de trois éprouvettes. La fréquence de ces prélèvements, dans
le cas de contrôle strict, est la suivante :
Dans le cas d'un contrôle atténué, un prélèvement est effectué pour 300 M3 avec un minimum de prélèvement.
Les opérations de contrôle relatives à :
- l'acceptation des matériaux,
- la confection des bétons,
- la réception des ouvrages,
sont celles définies au chapitre VIII du D.T.U. 20. De plus, une épreuve de mise en charge de plancher B.A. et mesure
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des déformations est prévue, intéressant obligatoirement une poutre principale de la structure à l'endroit choisi et
désigné par le Maître d'Oeuvre.
01.1.6.5 Fabrication - Transport - Mise en œuvre du béton

Voir article 4.2. du D.T.U. 20.
. Fabrication et transport :
Le béton peut être fabriqué dans une centrale extérieure, qui doit être agréée par le Maître d'Oeuvre pour les classes
de béton demandés. Le transport doit alors être obligatoirement effectué dans des camions toupies.
Après fabrication, la mise en œuvre du béton doit être faite dans un délai maximum fixé en début de chantier ; à titre
indicatif, ou pourra adopter un délai de 1 h30 par température < à 25°C, et 1 h par temps plus chaud.
Il peut également être installé des centrales sur le chantier.
Tout ajout d'eau postérieur à la fabrication est interdit.
. Chauffage du béton pour bétonnage par temps froid :

La fabrication du béton chaud n'est autorisée qu'en agissant sur la température des agrégats (ceux-ci ne devant pas
être gelés) et sur celle de l'eau de gâchage (sans dépasser 35°C dans la bétonnière).
Les bennes de transport, les goulottes et les coffrages, doivent être calorifugés.
Le délai entre fabrication et mise en œuvre doit être réduit au minimum.
Les bétons ainsi mis en œuvre font l'objet d'un contrôle strict.
. Mise en œuvre :
Les coffrages doivent être arrosés préalablement au bétonnage. Leur surface doit être humide, mais non mouillée.
Le béton doit être mis en œuvre à la benne. Toutefois, certains ouvrages peuvent être coulés à la pompe, après accord
du Maître d'Oeuvre.
Les coulages, serrage, reprises de bétonnage, etc. sont effectués conformément à l'article 3.6 du D.T.U. 23.1. Pour le
coulage partiel d'un élément, se conformer à l'article 3.14 du D.T.U. 20.
Le béton ne doit pas tomber librement d'une hauteur supérieure à 3.00 m ; il doit être mis en œuvre par couche
horizontale de faible épaisseur (20 à 30 cm au maximum). Le laps de temps entre le bétonnage de deux couches
successives doit être limité pour éviter la ségrégation. La vibration par l'intermédiaire des armatures est interdite.
Le béton frais doit être protégé contre la dessiccation, jusqu'à la prise complète. Il est arrosé sans risque d'érosion de
la surface du béton.
Le béton durci, si le risque de dessiccation demeure, doit être arrosé pour conserver sa surface humide.
. Arrêts de bétonnage :
D'une manière générale, les arrêts de bétonnage doivent être évités.
L'emploi de barbotine de ciment sur les reprises de bétonnage est interdit.
Aucun arrêt de bétonnage n'est admis dans les cas suivants :
- dans la hauteur d'un poteau, entre deux planchers successifs,
- dans la hauteur des acrotères, garde-corps ou bandeaux,
- dans la portée d'un ouvrage en porte à faux.
Dans les poutres, l'arrêt de bétonnage éventuellement nécessaire doit être incliné généralement à 30° et coffré comme
indiqué ci-avant, le plan de reprise étant perpendiculaire aux bielles de béton comprimé. Tout ouvrage présentant un
plan de reprise contraire à cette prescription sera refusé, démoli, et reconstruit aux frais de l'entreprise sur l'ordre du
Maître d'Oeuvre.
01.1.6.6 Aciers pour béton armé

Voir normes N.F. A 35.015 et 35.016, D.T.U. 20, 20.11, 20.12, 23.1 à 23.6.
Les aciers utilisés, ronds lisses, ronds à haute adhérence (HA) ou treillis soudés, doivent être conformes à leur fiche
d'homologation et à l'article A 2.2 du BAEL 83.
Les armatures, au moment de leur mise en oeuvre et du bétonnage, doivent être exemptes de traces de rouille non
adhérente, de peinture, de graisse ou de boue.
Elles doivent être dimensionnées (diamètre et longueur), et façonnées conformément aux dessins. Le cintrage doit se
faire mécaniquement à froid à l'aide de matrices, de façon à obtenir les rayons de courbure indiqués dans les
conditions d'emploi qui concernent chacune des catégories d'acier.
Les armatures en attente doivent être positionnées avec soin, et conservées rectilignes, avec les longueurs
nécessaires pour assurer le recouvrement avec les armatures posées ultérieurement. Dans le cas où les armatures en
attente nécessiteraient un pliage et un dépliage, la nuance de l'acier utilisé serait obligatoirement celle de l'acier Fe E
24. Les armatures qui présenteraient une forme en baïonnette entraîneraient le refus de l'ouvrage qui les comporterait,
dans sa démolition sur ordre du Maître d'Oeuvre.
Les recouvrements, liaisons et assemblages par soudure sont interdit. Toute armature présentant une soudure sera
refusée.
L'enrobage mesuré entre le parement du coffrage et la génératrice extérieure de toute armature est au moins égal à :
- 4 cm pour les ouvrages à la mer, exposés aux embruns et brouillards salins ou à des atmosphères très agressives,
- 3 cm pour les parements soumis à des actions agressives,
- 2 cm pour les parements exposés aux intempéries, aux condensations ou au contact d'un liquide,
- 1 cm pour les parois situées dans des locaux couverts et clos, non exposés aux condensations.
L'enrobage des armatures est obtenu par des dispositifs efficaces de calage en béton ou en plastique.
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Toute partie bétonnée laissant apparaître les armatures sera soit démolie, soit repiquée et reconstituée avec du béton
sur ordre du Maître d'Oeuvre.
Ces valeurs d'enrobage peuvent être aggravées pour tenir compte des distances minimum aux parements pour
ancrage des barres, pour la tenue au feu de la structure ou pour toute autre cause qui exigerait des valeurs
supérieures à celles indiquées ci-dessus.
Tableau de tolérances sur les positions des armatures
01.1.6.7 Aciers de précontrainte

Voir D.T.U. 20, 20.11, 20.12, 23.1 à 23.6
. Aciers de précontrainte :
Ils doivent satisfaire aux prescriptions du Titre II du fascicule 4 du C.P.C. (Cahier des prescriptions communes
applicables aux marchés de travaux relevant des Services de l'Equipement).
Les câbles doivent être constitués de fils ou torons en acier à haute limite élastique, tréfilé ;
Autres caractéristiques (armature, gaines, dispositifs d'ancrage, lubrifiant pour câbles, stockage des armatures et
gaines) : voir le fascicule C.P.C.
La tolérance sur l'aire de la section doit être comprise entre + 0% et + 5%, la moyenne étant de 3%.
La surface de l'acier ne doit présenter aucun défaut tel que piqûres, arrachements, etc.
. Gaines :
Les gaines de protection des armatures de précontrainte doivent être agréées. Elles doivent présenter une résistance à
l'écrasement suffisante et une étanchéité complète à la laitance de ciment, et être assez souples pour épouser les
courbes des tracés prévus.
Les côtes intérieures et d'encombrement des gaines doit être précisées. La section minimale du vide intérieur d'une
gaine doit être au moins égale à deux fois la section de l'armature de précontrainte qu'elle contient. Le raccordement
de deux tronçons successifs doit être effectué au moyen de manchons de raccordement vissés ou emmanchés, ou par
soudure, selon les types de gaines utilisés. Le simple ramboutage, au moyen de bandes adhésives est interdit.
L'utilisation de bandes adhésives est permise pour assurer l'étanchéité au droit de raccordements de gaines par
vissage ou emmanchement.
Tout élément de gaine rouillé ou déformé sera refusé.
Tolérances sur la position des gaines :

Les tolérances de mise en place des gaines d'armatures en hauteur et en plan, par rapport aux épures d'exécution,
sont les suivantes :
- dans les hourdis
* en plan : 20 mm
* en hauteur : 5 mm
* en plan : 5 mm aux points où la distance aux parois latérales prend ses valeurs minimales
successives entre ces points : 10 mm
- dans les poutres
* en hauteur : 10 mm aux points où la distance aux parois supérieures ou inférieures prend ses valeurs
minimales successives entre ces points : 20 mm
. Fixation des gaines :

La stabilité des paquets de gaines et leur immobilité pendant le bétonnage seront soigneusement assurées.
Les gaines seront attachées à des barres horizontales, elles-mêmes fixées aux cadres et étriers. Afin d'éviter un
fléchissement de la gaine, l'espacement maximal admissible entre les barres support sera de 1.00 m à 1.50 m, suivant
la puissance du câble.
La résistance de chaque gaine d'un paquet devra lui permettre de supporter, sans déformation susceptible de gêner
l'injection les efforts provenant des autres gaines du paquet, dans les parties courbes, pendant les différentes phases
de mise en tension et d'injection des câbles.
. Dispositifs d'ancrage :
Le type et la provenance des dispositifs d'ancrage doivent être agréés.
. Lubrifiant pour câble :

Le lubrifiant éventuellement utilisé pour faciliter le glissement des câbles de précontrainte dans leur gaine au moment
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de la mise en tension doit être une huile soluble anti corrosive
. Stockage des armatures et gaines :

La durée et les conditions de stockage des armatures et des gaines doivent être soumises à l'agrément du Maître
d'Oeuvre.
Ces conditions doivent comporter au minimum le stockage sur un plancher à l'abri de la pluie, cet abri pouvant être
constitué par une bâche.
01.1.7 PAREMENTS DES BÉTONS COULÉS EN PLACE
Voir norme N.F. P 01.101 et D.T.U. 23.1 notamment ses articles :
- 3.3 coffrages et étaiements
- 3.35 produits de démoulage
- 3.4 tolérances concernant : niveau, implantation, épaisseur, verticalité
planéité des affleures, rectitude des arêtes,
- 3.7 décoffrage
- ragréages, finitions, trous des broches
01.1.7.2 Parements coffrés

On distingue trois familles :
- les parements plans désignés par la lettre "P"
- les parements courbes désignés par la lettre "C"
- les parements spéciaux désignés par la lettre "S" (graviers lavés, cannelures, parements obtenus par incorporation de
matrices contre les joues de coffrage, etc.).
Les parements doivent être exempts de tout produit nuisant à l'adhérence des enduits, des peintures, revêtements
hydrofuges, etc., ou risquant de faire apparaître des traces.
Tous les ragréages, ponçages, et enduits pelliculaires qui s'avèrent nécessaires pour obtenir un fini acceptable sont
dus. Il en est de même pour le redressement des arêtes, notamment celles des poteaux, poutres, tableaux, voussures.
De plus afin d'éviter toute contestation entre l'entreprise de gros œuvre et l'entreprise de peinture au sujet de la qualité
des parements, il sera effectué une réception des supports par l'entreprise de peinture en présence de l'entreprise de
gros œuvre et du Maître d'Ouvrage.
Les travaux éventuellement nécessaires pour amélioration des subjectiles seront à exécuter par l'entreprise de gros
œuvre.
Dans ce dernier cas, les travaux en cause sont réglés directement par l'entreprise de gros œuvre. Le Maître d'Oeuvre
n'intervient en la matière qu'en tant qu'arbitre et constate les attachements des travaux exécutés.
Tableau des parements coffrés plans
- Parements qualité ordinaire (P1), peut convenir quand le parement est caché ou lorsque la paroi est destinée à
recevoir un enduit de parement traditionnel épais.
* planéité d'ensemble rapportée à la règle de 2 ml :15 mm
* planéité locale rapportée à un réglet de 20 cm (creux max sous la réglette hors joint) : 6 mm.
* caractéristiques de l'épiderme et tolérances d'aspect :
. uniforme et homogène-nids de cailloux ou zones sableuses ragrées.
. balèvres affleurées par meulage.
. surface individuelle des bulles < à 3 cm². Prof.< à 5 mm.
. étendue maximale des nuages de bulles 25 %.
. arêtes et cueillies rectifiées et dressées.
- Parements qualité courant (P2), correspondant par exemple, à des ouvrages susceptibles de recevoir des finitions
classiques de papiers peints ou peintures nécessitant un rebouchage préalable et l'application d'un enduit garnissant.
* planéité d'ensemble rapportée à la règle de 2 ml :15 mm.
* caractéristiques de l'épiderme et tolérance d'aspect :
. uniforme et homogène-nids de cailloux ou zones sableuses ragrées.
. balèvres affleurées par meulage.
. surface individuelle des bulles < à 3 cm². Prof.< à 5 mm.
. étendue maximale des nuages de bulles 25 %.
. arêtes et cueillies rectifiées et dressées.
. parement ordinaire.
- Parement qualité soigné (P3) convient aux mêmes usages que le parement courant, mais avec meilleure finition
permettant de limiter les travaux de revêtements éventuels en exigeant une moindre préparation.
* planéité d'ensemble rapportée à la règle de 2 ml : 5 mm.
. parement ordinaire, mais l'étendage de bulles est de 10 % (enduit garnissant à prévoir par le peintre
0.6 k/m2).
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- Parements qualité spéciaux (S)

* planéité d'ensemble rapportée à la règle de 2 ml : 5 mm.
. selon l'aspect défini par l'architecte régularité de surface et teinte.
Traitement des parements destinés à recevoir un revêtement
L'entrepreneur du présent lot est tenu de prendre connaissance des revêtements qui seront appliqués sur les ouvrages
en béton.
Les parements des bétons doivent être conformes aux prescriptions des D.T.U. spécifiques aux revêtements qui
viennent les recouvrir.
D.T.U. 26.1 pour les enduits des liants hydrauliques
D.T.U. 25.1 pour les enduits intérieurs en plâtre
D.T.U. 55 pour les revêtements muraux scellés
D.T.U. 59.1 pour les peintures
D.T.U. 59.2 pour les revêtements plastiques épais
Pour les revêtements épais tels qu'enduits aux liants hydrauliques, carreaux céramiques, pierres scellées, etc.,
l'entrepreneur du présent lot doit prévoir systématiquement un bouchardage du parement sur le béton encore frais dès
le décoffrage, soit bouchardage mécanique, soit à l'aide d'un retardateur de prise de surface passé au préalable à
l'intérieur du coffrage (lavage au jet d'eau dès le décoffrage faisant apparaître les granulats).
Pour les revêtements minces, prévoir le parement P3 "soigné" sans traces d'huile de décoffrage ou autre produit
susceptible de nuire à l'adhérence du revêtement.
01.1.7.3 Parements supérieurs des dalles

Repère : lettre D
. Ouvrages de référence :
- D.T.U. 52.1 : Revêtements de sols scellés.
- Recommandations professionnelles provisoires "Travaux de dallage", annales de l'I.T.B.T.P., janvier 1980.
- Opuscule Fédération Nationale du Bâtiment : Règles professionnelles de préparation des supports courants en béton,
en vue de la pose des revêtements de sols minces, de janvier 1976.
. Définition des parements :

On distingue 4 types de parements, dont les caractéristiques de l'état de surfaces sont définies comme suit :
D1 : surface brute
Destiné à recevoir un revêtement épais tel que chapes, dallages carrelages épais scellés sur lit de sable, nécessitant
une réserve d'épaisseur de l'ordre de 5 cm et plus.
Aucune exigence particulière n'est requise pour l'état de surface.
D2 : surface courante régulière obtenue par un surfaçage à la règle ou à l'hélicoptère

Destiné à recevoir les types de revêtements tel que :
- carrelages scellés directement sur dalle, nécessitant une réserve d'épaisseur de l'ordre de 2.5 cm.
- parquets flottants :
a) en lames épaisses, clouées sur lambourdes calées nécessitant une réserve d'épaisseur de l'ordre de 6 à 7 cm,
b) en panneaux composites, non traditionnels, assemblés sur feutre d'étanchéité et lit de sable mince de calage
nécessitant une réserve d'épaisseur de l'ordre de 4 cm.
D3 : Surface soignée
Idem parement D2, mais destiné à recevoir en collage direct des revêtements de sol minces déformables sous réserve
d'un lissage (à la charge de l'applicateur), avec un produit agréé en consommation limitée à 2.5 kg/m2 maximum ; au-
dessus de cette valeur, un ponçage sera exigé.
D4 : surface très soignée (par ponçage si nécessaire)

Destiné à recevoir une peinture de sol, un revêtement résine.
Tolérances sur l'état de surface

Elles sont définies par les critères ci-après :
. Horizontalité :
L'instrument de mesure est une règle de 2.00 m de longueur équipée d'un niveau à bulle d'air. Une extrémité de la
règle est tenue en contact avec un point du plancher ; la règle étant horizontale, on mesure la dénivellation du plancher
à l'autre extrémité de la règle. On mesure de la même façon la dénivellation cumulée à l'intérieur d'une pièce.
. Planéité :
On distingue trois types de mesures complémentaires les unes aux autres, et caractérisant chacune la planéité à une
échelle différente :
- on mesure la flèche de la dalle sous une règle de 2.00 m de longueur,
- même opération que ci-dessus avec une règle de 0.20 de longueur,
- on mesure la hauteur des saillies locales des grains et des conglomérats de grains.
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01.1.7.4 Echafaudages et étais

Les échafaudages et étais doivent être calculés pour résister sans déformation aux charges qui leur sont transmises
par les coffrages et leur contenant, ainsi qu'aux effets du vent.
Ils doivent pouvoir être réglables à tout moment pour conserver aux coffrages supportés leur altitude et leur rectitude.
Ils doivent être disposés de telle sorte qu'ils ne donnent sur les surfaces d'appui que des efforts compatibles avec leur
résistance et qu'ils ne provoquent aucun tassement du sol ou déformation du plancher, qui entraîneraient par voie de
conséquence, la déformation des coffrages.
Le système de réglage doit permettre la dépose des étaies sans provoquer d'efforts sur les ouvrages réalisés.
01.1.7.5 Coffrage - Décoffrage

Voir article 3.3 du D.T.U. 23.1
. Coffrages :
Les coffrages doivent présenter une rigidité suffisante pour résister, sans déformation sensible, aux charges et
pressions auxquelles ils sont soumis, ainsi qu'aux chocs accidentels pendant l'exécution des travaux. Ils doivent être
suffisamment étanches, notamment aux arêtes, pour éviter toute perte de laitance.
L'étanchéité du coffrage doit être telle que ne puissent se produire que de rares suintements de laitance non
susceptibles d'affecter les qualités mécaniques, ni éventuellement, les qualités d'étanchéité ou d'aspect de la paroi.
Préalablement au bétonnage, les coffrages doivent être débarrassés de tous matériaux étrangers (papier, polystyrène
expansé, bois, fils d'attache, etc.).
Lorsque le béton est demandé brut de décoffrage, toutes dispositions doivent être prises pour que les faces après
décoffrage ne comportent aucune pièce de bois apparente.
. Produits de démoulage
Tous les moules et coffrages doivent recevoir, sur leur parement au contact du béton, un produit destiné à éviter toute
adhérence du béton au coffrage. Ce produit ne doit pas tacher ni être incompatible avec les revêtements scellés, peints
ou teintés, ni attaquer le béton ; il doit faire l'objet d'essais aux frais de l'entreprise et requérir l'avis du Maître d'Oeuvre
et du Bureau de Contrôle.
. Décoffrage
Le décoffrage doit être entrepris lorsque le béton a acquis un durcissement suffisant pour pouvoir supporter les
contraintes auxquelles il sera soumis immédiatement après, sans déformation excessive et dans des conditions de
sécurité suffisante.
Les ragréages ou rebouchages ne doivent être effectués qu'après l'avis du Maître d'Oeuvre. Ils sont faits soit avec du
béton à fine granulométrie, soit avec du mortier de ciment, après avis du Maître d'Oeuvre.
Tout ragréage ou rebouchage qui serait fait sans l'accord du Maître d'Oeuvre entraînerait la démolition et la
reconstruction de l'ouvrage aux frais de l'entreprise.
Les arêtes des ouvrages bétonnés doivent être, après décoffrage, protégées contre les chocs pendant toute la durée
du chantier.
Les surfaces de béton destinées à rester apparentes doivent être protégées par une feuille de polyéthylène contre les
projections de mortier, de peinture, etc.
NOTA : tous ragréages et rebouchages sont interdits sur béton architectonique en dehors des réservations prévues à
cet effet.
01.1.8 ÉTUDES
Le présent cahier a pour objet de définir les prescriptions techniques des éléments entrant dans la composition des
ouvrages, et de décrire ces ouvrages.
La Maîtrise d'Oeuvre est chargée par la Maîtrise d'Ouvrage d'une mission de base.
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01.2 PRESCRIPTIONS BETON ARME
GENERALITES
L'entrepreneur du présent lot devra tous les ouvrages nécessaires à l'exécution des ossatures porteuses et des
infrastructures suivant DTU et règles de calcul DTU, normes et réglementation actuellement en vigueur.
Les adjuvants éventuellement employés pour la confection des bétons et mortiers devront être agréés par la
Commission Permanente des Liants Hydrauliques et des Adjuvants du Béton.
Avant commencement de tous travaux, l'entrepreneur devra soumettre à l'approbation des Architectes tous les plans
de coffrages, ils devront respecter les plans de l'Ingénieur B.A. qu'il sera tenu de vérifier au niveau de la cotation.
Suggestions d'exécution :
Toutes les réservations demandées par les autres corps d'état. Toutes les réservations en dalle demandées par les
acquéreurs des locaux avant production des plans d'exécution, seront réalisées par l'entreprise.
La réalisation se fera à l'aide de coffrage outil permettant l'incorporation d'huisseries métalliques.
Traitement du béton.
Le béton sera soigneusement vibré dans les strictes limites nécessaires de façon à éviter toute ségrégation.
Qualité des matières premières :
1) Sable.
Les sables devront être fins, graveleux, débarrassés de toutes parties terreuses ou calcaires et avoir une granulométrie
conforme à la N.F.P. 18.304.
2) Gravillons et cailloux.
Les gravillons et cailloux devront avoir une granulométrie conforme à la N.F.P. 18.304.
3) Liants.
Les ciments seront choisis par les catégories suivantes :
. ciment CPA 45 NFP 15.302
. ciment CLK 45 NFP 15.305
. chaux hydraulique type XEH 50/100 NFP 15.310
. Les liants hydrauliques devront être stockés dans des endroits secs et clos, à l'abri de l'humidité.
4) Eaux de gâchage.
Les eaux employées pour le gâchage des mortiers et bétons devront répondre aux conditions déterminées par la
norme P. 18.303.
5) Aciers pour B.A.

Les aciers employés pour les armatures seront conformes aux Normes Françaises les concernant (A. 35.015 et
A.35.016).
Lors de la mise en place des aciers, l'entrepreneur devra veiller à respecter les distances minima entre aciers et
parements de l'ossature.
Aciers d'armatures, qualité ronds à béton façonnés à froid.
Barres à haute adhérence en acier écroui par torsion à froid. caractéristiques suivant fiches d'homologation.
Désignation commerciale: Acier Tor.
Barres en acier doux écroui par laminage. Caractéristiques suivant fiches d'homologation. Désignation commerciale:
Acier Doux.
6) Dans le cas d'utilisation de bétons prêts à l'emploi ces derniers devront répondre à la NFP 18.305.
Localisation :
Béton :
Béton de consistance ferme pour serrage soigné, mis en œuvre entre coffrages.
Composition pour 1m³ mis en œuvre.
- 350 kg de CPA 45
- 0,500 m³ de sable 1.6 6.3
- 0,800 m³ de gravillons moyens et gros 10/16 16/25
Suggestions particulières de mise en œuvre :

- Calage des aciers et des coffrages.
- Mise en œuvre du béton entre coffrages et vibration par couches de 0,30 d'épaisseur maximum
- Enrobage des aciers avec respect des côtes minimales
- Arasement de la surface.
L’entreprise titulaire du présent lot, devra tenir compte dans son offre la norme sur les bétons NF EN 206 - 1
Coffrage :
Coffrages bois ou métalliques.
Coffrages ordinaires.
Pour parements destinés à être enduits ou dissimulés, les faces coffrées devront être planes et d'aplomb, les balèvres
et cannelures seront meulées et les trous ragréés.
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Coffrages lisses et soignés.

Pour parements destinés à rester apparents ou à recevoir un ragréage et débullage effectués par le peintre. Les faces
coffrées devront être absolument lisses, planes et d’aplomb (coffrage métallique ou contre-plaqué) les balèvres et
cannelures seront meulées avec soin, les trous seront parfaitement ragréés.

Calage et étaiements des coffrages de telle sorte qu'ils ne puissent subir aucun mouvement ou déplacement lors du
coulage et du pervibrage. Le décoffrage ne s'effectuera que lorsque la résistance du béton sera suffisante.
Suggestions d’exécution :
- Réservations pour barbacanes 10 x 20 cm ht tous les 2 mètres environ selon étude de l’Ingénieur.
- Mise en place de joints secs par arrêt de bétonnage. Réservation du tenon par chevron 6 x 8 cm, Badigeonnage
d’huile de décoffrage avant la reprise du coulage.
- Arase lissée talochée et parfaitement horizontale en partie haute des murs formant acrotère.
Localisation :
Ouvrages en B.A. suivant étude de l'ingénieur B.A.
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01.3 DESCRIPTION DES OUVRAGES
01.3.1 TRAVAUX PREPARATOIRES
01.3.1.1 INSTALLATION DU CHANTIER

Conformément à la réglementation en vigueur.
Toute autorisation, signalisation, et frais de voiries seront à la charge du présent lot.
Localisation :
Suivant plan de masse.
01.3.1.2 BRANCHEMENT PROVISOIRE DE CHANTIER . ÉLECTRICITÉ

L'entrepreneur devra un branchement provisoire électrique pour la durée du chantier jusqu’à réception ou branchement
définitif par EDF.
Ce branchement comprendra :
- Demande d'installation auprès des services EDF d'un compteur de chantier et son disjoncteur d'abonné, à installer à
l'extérieur du bâtiment.
- Coffret étanche pour installation extérieure.
- Câblage entre compteur de chantier et coffret de chantier.
- Coffret de chantier 10/16 ampères comprenant :
. 4 prises 2P + T - 10/16 A.
. 1 inter différentiel 4 x 25 A - 30 mA.
. 4 disjoncteurs PH + N - 16 A.
. 1 voyant de mise sous tension.
. 1 bouton-poussoir arrêt d'urgence.
. raccordement sur bornier.
Localisation :
Pour la durée du chantier tous corps d’état.
01.3.1.3 BRANCHEMENT PROVISOIRE DE CHANTIER . EAU POTABLE

L'entrepreneur devra un branchement provisoire en eau potable pour la durée du chantier.
Ce branchement comprendra :
- A partir du regard existant ou prévu au présent projet, installation d’un réseau extérieur jusqu’au chantier, avec robinet
d’arrêt.
Localisation :
Pour la durée du chantier tous corps d’état.
01.3.1.4 IMPLANTATION
L'implantation définitive sera réalisée par l'entreprise de gros-oeuvre.
Une première implantation sera réalisée par l’entreprise du présent lot pour permettre l'exécution des terrassements.
Aucun travail ne sera entrepris avant que cette première implantation n'ait été vérifiée et éventuellement rectifiée par
les architectes ou leurs responsables.
En particulier le niveau ±0,00 du projet sera clairement identifié et matérialisé sur place et vérifié avec l’architecte avant
tout début de terrassement en masse.
Quoi qu'il en soit, cette implantation sera exécutée conformément au plan masse quant à la disposition des axes et
points principaux et quant aux côtes de niveau qui y sont portées.
L'entrepreneur ne pourra, en aucun cas arguer d'une différence d'implantation entre son étude et l'exécution, pour
obtenir une plus-value. Il est censé avoir vérifier l'implantation avant signature de son marché.
Avant tout commencement d'exécution, l'entrepreneur devra l'établissement des lignes et repères auxquels devront
être reportés les ouvrages à construire; les éléments de l'implantation des ouvrages et les côtes de repère seront
reproduits sur un plan. Si besoin est, le plan d'implantation sera réalisé par un géomètre.
Au fur et à mesure de l'avancement des travaux, l'entrepreneur assurera toutes les opérations de piquetage et de tracé
nécessaires à l'exécution des ouvrages.
Il devra vérifier également les limites exactes du terrain.
Localisation :
Implantation du terrassement pour le projet de bâtiment.
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01.3.2 TERRASSEMENT EN MASSE
01.3.2.1 TERRASSEMENTS GENERAUX
Exécution de terrassement en masse par tous moyens au choix de l'entrepreneur, dans terrain de toute nature y
compris rocher compact de type basalte.
Constitution des ouvrages :

- Purge de la couverture superficiel limono-argileuse et de manière générale tout point mou.
- Terrassement de la dernière couche "en rétro" sans faire évoluer les engins sur la pleine masse.
- Epuisement d'eau de provenance naturelle ou artificielle.
- Etampage, boisage et blindage éventuels.
- Reprise des éboulements.
- Finition et nivellement des fonds de fouilles.
- Chargement des déblais sur camions et évacuation à la décharge.
Celles énumérées au chapitre "GENERALITES" situé au début du présent chapitre.
Niveau de référence: selon plans de l’architecte.
Les surfaces de roches, horizontales et verticales, laissées apparentes seront traitées de manière structurale, au
marteau piqueur, afin d’obtenir un aspect naturel. Les surfaces horizontales au sol seront nivelées de manière à ne pas
créer de poche propice à la stagnation des eaux de pluie.
Localisation :
- Terrassement sur l’emprise de l'atelier du projet bâtiment selon plans :
Niveau de terrassement à -0.70 / niveau du dallage pour création de la plateforme recevant le remblai pour nivelage.
01.3.2.2 ENLEVEMENT DES DÉBLAIS DE TERRASSEMENT
Tous les déblais provenant des terrassements seront transportés aux décharges publiques.
Sauf : les déblais servant aux remblaiements à conserver sur place.
Le transport des déblais se fera avec des matériels et véhicules compatibles avec les voies d'accès.
L'entreprise devra les droits de décharge ainsi que tous les frais concernant cette évacuation.
Elle devra procéder à toutes les déclarations nécessaires, respecter les règlements en vigueur, et assurer l'entretien et
le nettoyage des chaussées.
Localisation :
Pour l'ensemble des déblais de terrassement non réutilisées en remblais.
01.3.2.3 REMBLAIS TECHNIQUES BATIMENT
01.3.2.3.1 REMBLAI TECHNIQUE
Avant tout remblai le fond de forme sera compacté à refus.

Purge éventuelle des sols reconnus comme de médiocres caractéristiques selon l’étude de sol.
Les travaux seront réalisés de la manière suivantes :

- Mise en place d'un feutre géotextile anti-contaminant.
- Exécution d'une plate-forme en graves type D21 ou D31 ou équivalent écrêté à 80 mm fortement compactées par
couches successives de 0,20 m d'épaisseur. Épaisseur totale de 40 cm arasé à -0.25 m / ±0.00.
Toutes les terres végétales devront être éliminées.
01.3.2.4 REMBLAI COMPLEMENTAIRE EN GRAVES POUR NIVELAGE
A partir de la couche de fondation réalisée et après réalisation des travaux de longrines par le lot Gros Œuvre.
Exécution d'un remblai complémentaire pour blocage de la partie supérieure par couche de réglage en concassé 0/20
ou 0/31.5.
Essais de plaques :
La réception du remblai avant mise en œuvre du dallage béton armé se fera après une série d'essais de plaques.
Dans le cas où les résultats ne seraient pas satisfaisants l'entreprise devra mettre en œuvre tous les moyens
nécessaires pour arriver au résultat demandé et défini ci-après.
Elle aura à sa charge tous les travaux de mise en conformité ainsi que tous les essais de plaques à renouveler pour
vérification, jusqu'à ce que les résultats soient conformes aux contraintes demandées.
Contraintes minimum à atteindre suivant rapport de sol.
Module de réaction verticale du sol ou module de Westergard :
W > à 30 MPa/m, conditions selon demande du rapport de l’étude de sol.
Localisation :
- 10 cm d'épaisseur sur l’emprise du bâtiment à créer.
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01.3.3 TERRASSEMENT EN FOUILLES
01.3.3.1 TERRASSEMENTS DES FONDATIONS
01.3.3.1.1 FOUILLES EN RIGOLES ET EN TRANCHÉES

Exécution de fouilles en rigoles et en tranchées par tous moyens au choix de l'entrepreneur.
Les fonds et parois de fouilles seront soigneusement dressés et finis.
Il sera admis une tolérance de 5 cm de sur profondeur, et un écart d'implantation par excès de 10 cm pour les fouilles
en tranchées et de 5 cm pour les fouilles en rigoles.
Au cas où la sur profondeur et les écarts d'implantation seraient supérieurs à ceux indiqués ci-dessus, les architectes
décideront s'il y a lieu de remblayer ou de combler par une maçonnerie de fondation.
Conditions d’exécution :
Les quantités indiquées aux différents documents de l’appel d’offre sont le calcul théorique selon les dimensions de
fouille mentionnées aux plans de fondations. L’entreprise devra prévoir dans ses prix unitaires, toute surlargeur qui
serait nécessaire en fonction des moyens mis en œuvre pour les terrassements, ou du fait de la nature géologique du
terrain.
Celles énumérées au chapitre "GENERALITES" situé en début du présent chapitre.
Niveau :
Ces fouilles seront exécutées à partir du niveau de la plate-forme exécutée par le lot terrassement.
Une réception des fonds de fouille par un géotechnicien en charge de l’étude de sol, devra impérativement être prévue
afin de valider les ancrages ou définir d’éventuelles purges et substitution en gros béton.
01.3.3.2 FOUILLES EN TRANCHEE DES RESEAUX
Exécution des fouilles en tranchées, en terrain de toute nature, largeur compatible avec les réseaux.
Les travaux comprennent le réglage du fond de fouille.
La largeur de la tranchée au fond doit être au moins égale au diamètre du tuyau augmenté de 0,50 m.
Le fond de la tranchée doit être débarrassé de tous corps durs ou gros agglomérats.
Ces fouilles devront assurer la protection mécanique des canalisations, la garde au gel, les profondeurs et écartements
réglementaires, ainsi que les pentes nécessaires à l'écoulement gravitaire.
Section moyenne : selon plan de réseaux.
En cas d'éboulement, des étaiements et des blindages doivent être mis en place.
Exécution des fouilles :
Pour les canalisations EU.
Pour les canalisations EP bâtiment.
Pour les réseaux courants forts et courants faibles
Pour l’adduction d’eau potable.
Localisation :
Ensemble des tranchées pour les réseaux extérieurs depuis la limite de propriété.
01.3.3.3 ENLEVEMENT DES DÉBLAIS DE TERRASSEMENT
Tous les déblais provenant des terrassements seront transportés aux décharges publiques.
Sauf : les déblais servant aux remblaiements à conserver sur place.
Le transport des déblais se fera avec des matériels et véhicules compatibles avec les voies d'accès.
L'entreprise devra les droits de décharge ainsi que tous les frais concernant cette évacuation.
Elle devra procéder à toutes les déclarations nécessaires, respecter les règlements en vigueur, et assurer l'entretien et
le nettoyage des chaussées.
Localisation :
Pour l'ensemble des déblais de terrassement non réutilisées en remblais.
01.3.4 RESEAUX
01.3.4.1 FOURREAU JANOLÈNE DIAMÈTRE 45

Fourniture et pose de fourreaux janolène aiguillés, diamètre 45 pour raccordement.
01.3.4.2 DRAIN PVC

Fourniture et pose d’un drain en pied de longrine avec crépines dirigées vers le haut et la présence d’un fond plat
étanche de type cunette ou équivalent.
Pente minimum 5 mm/m.
Compris toutes suggestions de bonne réalisation et d’un bon écoulement des eaux collectées.
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01.3.5 INFRASTRUCTURE
01.3.5.1 GROS BÉTON DE FONDATION

Béton de consistance plastique pour serrage moyen, mis en œuvre par couches successives de 0,20 cm d'épaisseur.
Béton du type B1 selon l'article du cahier des prescriptions générales Gros Œuvre.
Les bétons devront répondre à la norme NF EN 206-1.
Conditions d’exécution :
Les gros bétons doivent s’ancrer dans le bon sol défini par le bureau d’étude géotechnique dont le rapport devra être
étudié par l’entreprise.
En cas de sur profondeur importante par rapport à l’étude pour atteindre ce bon sol l’entreprise devra avertir la Maîtrise
d’œuvre avant coulage des bétons.
Dans tous les cas l’entreprise devra produire un relevé précis de ces sur profondeurs avec photos et pige graduée pour
chaque fondation.
Calcul théorique des quantités de béton.
Les quantités indiquées aux différents documents de l’appel d’offre sont le calcul théorique des fondations nécessaires
par rapport à la portance du sol.
Les sections indiquées de chaque fondation sont donc les sections minimales.
Il appartient à l’entreprise d’intégrer dans ses prix unitaires de gros béton, les quantités nécessaires à l’exécution de
ces fondations.
En particulier en fonction des moyens et engins de terrassement, il appartient à l’entreprise de majorer ses prix
unitaires en fonction des quantités réelles qui seront nécessaires par rapport aux moyens de terrassement utilisés.
Cette majoration tiendra compte de la section réelle d’exécution de ces fondations en fonction de leur profondeur
estimée par l’entreprise.
Par ailleurs il appartiendra également à l’entreprise de prévoir les quantités nécessaires liées au caractère instable des
couches de terres terrassées afin de prévoir les surlargeurs dues aux éboulements possibles. L’entreprise se référera
à l’étude de sol fournie et à la nature géologique du terrain.
De ce fait et au titre des recommandations précédentes, aucune plus-value ne sera acceptée entre les quantités du
calcul théorique et les quantités d’exécution.
La profondeur des gros bétons devra respecter impérativement respecter la

- Mise en œuvre directement sur fonds et parois
- Fort damage des couches successives
- Dressement, nivellement et profilage éventuel de la surface.
Localisation :
Gros béton de fondations des semelles B.A.
01.3.5.2 SEMELLES BÉTON ARMÉ
Béton de consistance ferme pour serrage soigné, mis en œuvre en pleine fouille par couches successives de 0.20 ml
d'épaisseur.
Y compris armatures.

- Calage des aciers.
- Mise en œuvre du béton.
- Vibration par couches de 0.20 m d'épaisseur.
- Épaisseur des aciers avec respect des côtes minimales
Localisation :
Ensemble des semelles suivant plans de coffrage béton armé.
01.3.5.3 CHAINAGES BETON ARME
Béton de consistance ferme pour serrage soigné, mis en œuvre entre coffrage par couches successives de 0.20 m
d'épaisseur.
Y compris coffrage et armatures.

- Calage des aciers et des coffrages.
- Mise en œuvre du béton entre coffrages.
- Vibration par couches de 0.20 m d'épaisseur.
18
- Épaisseur des aciers avec respect des côtes minimales

Réservation pour seuils sur portes de service et portes sectionnelles.
Localisation :
Ensemble des chaînages BA sur semelles filantes suivant plans de coffrage béton armé.
01.3.5.4 ÉTANCHÉITÉ SUR MURS ENTERRÉS
Exécution d’une étanchéité bitume liquide sur murs enterrés.

- Exécution de deux couches croisées de peintures bitumineuses.
Y compris ratissage préalable des surfaces poreuses.
- Fourniture et pose d'un film type DELTA MS sur l'ensemble des murs enterrés.
Pose suivant prescriptions du fabricant, y compris profil de fermeture en partie haute.
Localisation :
Sur chainage enterré au niveau du décalage de dalle.
01.3.5.5 DALLE PORTE
Exécution d'une dalle portée en béton armé.

- Réglage du fond de fouille et remblaiement complémentaire pour nivelage sur 5 cm d’épaisseur.
- Compactage du fond de forme.
- Film polyane
- Forme en béton de gravillon de rivière dosé à 350 kg/m3 de CPJ45.
- Plus value pour béton de forme vibrée
- Nappe de treillis soudé et aciers HA suivant les plans béton y compris liaisons armatures sur longrines.
- Epaisseur suivant plan de coffrage du bureau d'étude structure.
- Coffrage des rives.
- Forme de pente
- Réservations nécessaires.
- Déploiement des armatures des boîtes START.
- Finition lissée
Localisation :
Dalle portée dans garage suivant plans.
01.3.5.6 SEUILS BETON

Exécution de seuils en béton type B6, lissé, avec pente vers l'extérieur, compris glacis ciment naturel sur dessus.
Façon de rejingot béton avec 2 cm de ressaut.
Les seuils seront exécutés avant coulage du dallage et seront parfaitement réglés au niveau fini du bâtiment.
01.3.5.7 SEUILS EN PENTE AVEC CORNIÈRE MÉTALLIQUE.

Exécution d'un seuil en béton type B6, lissé, avec pente vers l'extérieur, compris glacis ciment naturel sur dessus.
Fourniture et mise en place d'un profil cornière galvanisé de 20 x 40 mm pour façon de rejingot y compris pattes à
scellement.
Hauteur rejingot : 20 mm.

Fixation par soudure aux éléments de charpente métallique.
Les seuils seront exécutés avant coulage du dallage et seront parfaitement réglés au niveau ±0.00.
19
01.3.6 SUPERSTRUCTURE
01.3.6.1 MAÇONNERIE D'AGGLOMÉRÉS CREUX

Maçonnerie d'agglomérés en béton de ciment et granulats lourds (conforme à la NFP 14.301) hourdés au mortier de
ciment.
Mortier du type M3 selon l'article du cahier des prescriptions générales gros œuvre.
La classe suivante de résistance à l'écrasement sera exigée : B 60.
- Montage à joints croisés
- Coupes, prises et liaisons, serrage sous dalle.
- Façon de chaînes d'angles
- Joints bien remplis, aplatis et ragréés en parement.
- Emploi d'éléments des feuillures lorsque ces derniers recevront des menuiseries.
- En cas de liaisons avec des éléments métalliques une protection contre la corrosion sera assurée.
- Toutes précautions seront prises pour éviter l'accumulation des eaux de condensation et des eaux pluviales ainsi que
leur progression dans les ouvrages.
Suggestions : Prévoir fixation des murs agglos à la charpente métallique au droit des chaînages verticaux et
horizontaux avec boulons fusibles suivant étude BA.
Aspect: Les agglomérés ne comporteront aucune défectuosité telles que fissuration ou arrachement, les faces seront
planes et les arêtes rectilignes.
01.3.6.2 CHAÎNAGES VERTICAUX BÉTON ARMÉ DANS MAÇONNERIE D’AGGLOMÉRÉS

Exécution de chaînages verticaux en béton armé dans les maçonneries d’aggloméré à l'aide d'éléments spéciaux
suivant les prescriptions du fabricant conforme au DTU.

- éléments agglomérés spécifiques.
- béton armé.
- armatures selon étude béton armé.
Localisation :
Suivant plan de coffrage étude BA.
01.3.6.3 CHAÎNAGES BÉTON ARMÉ

Exécution de chaînages en béton armé de qualité suivant norme NF EN 206-1 comprenant :
- béton
- coffrage
- armatures
Localisation :
Ouvrages de chaînage béton armé dans murs en maçonnerie d’aggloméré.
01.3.6.4 LISSES BÉTON ARMÉ

Exécution de lisses en béton armé de qualité suivant norme NF EN 206-1 comprenant :
- béton
- coffrage
- armatures
Localisation :
Ouvrages de lisses béton armé dans murs en maçonnerie d’aggloméré sous appui de baie et rampantes en tête de
pignon.
01.3.6.5 SOMMIERS BÉTON ARMÉ

Exécution de sommiers en béton armé dans maçonnerie d’agglomérés creux de section suffisante pour la pose des
pannes ou arbalétriers de charpente.
Y compris toutes suggestions de coffrage, béton et armatures nécessaires.
20
Dispositions selon plans de coffrage et plan de charpente.
01.3.6.6 LINTEAUX BÉTON ARMÉ
Exécution de linteaux en béton armé de qualité suivant norme NF EN 206-1 comprenant :

- béton
- coffrage
- armatures
Localisation :
Ouvrages suivant étude béton.
01.3.6.7 APPUIS DE BAIES SIMPLES

Exécution d'appuis de baies en béton lissé coulé en place ou préfabriqués, avec pente vers l'extérieur, compris glacis
ciment naturel sur le dessus et rejingot de 25 mm.
Localisation :
Ensemble des appuis de baies selon plans.
01.3.6.8 ARASES BETON SUR OUVRAGES DE CHARPENTE BOIS

Exécution des arases béton sur murs en maçonnerie neuves pour calfeutrement des ouvrages de charpente bois après
pose par le charpentier.

- Mise en place des coffrages et des armatures.
- Mise en place des bétons et réglage des arases.
Localisation :
Arases en béton armé en tête de mur hors pignon.
01.3.6.9 ESCALIERS BÉTON ARMÉ DROIT COULÉ EN PLACE

Exécution d’un escalier sur paillasse réalisé en béton armé, marches droites et dalle palière selon plan, y compris
coffrage ordinaire pour les ouvrages non apparents et "soigné" pour les ouvrages restants apparents ou recevant une
finition mince.
Les armatures seront intégrées dans les coffrages avec distanceurs avant le coulage du béton.
Localisation :
Escalier reliant les deux niveau de dallage du garage.
01.3.7 OUVRAGES EXTERIEURS
01.3.7.1 BECHES BETON ARME
Béton de gravillons dosé à 350 kg de ciment coulé entre coffrage.

Y compris coffrages, armatures.
Les travaux comprennent les réservations pour passage et la mise en place des réseaux éventuels au coulage du
béton.
Localisation :
Ensemble des bêches suivant plans de coffrage béton armé.
01.3.7.2 DALLE PORTE
Exécution d'une dalle portée en béton armé.

- Réglage du fond de fouille et remblaiement complémentaire pour nivelage sur 5 cm d’épaisseur.
- Compactage du fond de forme.
- Film polyane
- Forme en béton de gravillon de rivière dosé à 350 kg/m3 de CPJ45.
- Plus value pour béton de forme vibrée
- Nappe de treillis soudé et aciers HA suivant les plans béton y compris liaisons armatures sur longrines.
- Epaisseur suivant plan de coffrage du bureau d'étude structure.
21
- Coffrage des rives.
- Forme de pente
- Réservations nécessaires.
- Déploiement des armatures des boîtes START.
- Finition lissé.
Localisation :
Dalle portée extérieure suivant plans.
01.3.7.3 CANIVEAU A GRILLE NICOLL

Fourniture et pose de caniveaux à grilles passerelle en acier galvanisé de chez NICOLL ou équivalent.

- Caniveau en polypropylène de classe A15 suivant la norme EN1433
- Bétonnage latéral.
- Grille passerelle en acier galvanisé.
- Accessoires de piquage
- Fond / naissance à adapter sur place compris toutes suggestions de bon écoulement des eaux.
Localisation :
Devant le porte de garage.
22
01.4 OPTIONS
01.4.1 OUVRAGES EXTERIEURS
01.4.1.1 ESCALIERS BÉTON ARMÉ DROIT COULÉ EN PLACE

Prévoir démolition de l'escalier existant compris évacuation des gravats.
Exécution d’un escalier sur paillasse réalisé en béton armé, marches droites et dalle palière selon plan, y compris
coffrage ordinaire pour les ouvrages non apparents et "soigné" pour les ouvrages restants apparents ou recevant une
finition mince compris fondations et liaison avec l'existant.
Les armatures seront intégrées dans les coffrages avec distanceurs avant le coulage du béton.
Compris toutes suggestions de bonne réalisation et de bonne finition suivant plans architectes.
23

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PRO - octobre 2021

EXTENSION MAISON MAGAUD

MAITRE D'OUVRAGE : M. et Mme MAGAUD

CAHIER DES CLAUSES

Lot N°01 TERRASSEMENTS - GROS OEUVRE

ATELIER 4 - JEAN JACQUES ERRAGNE

01.1 PRESCRIPTIONS GÉNÉRALES

01.1.1 CONTENU DES PRIX

01.1.2 FORFAITISATION DES TRAVAUX

01.1.3 OBLIGATIONS DE L'ENTREPRISE

01.1.3.1 Connaissance des lieux

01.1.3.6 Plans d'exécution

01.1.4 DOCUMENTS DE RÉFÉRENCE

01.1.4.2 Règles de calcul

. Terrassement pour bâtiment.

01.1.5 TOLÉRANCES DIMENSIONNELLES

01.1.5.2 Tolérance d'implantation du tramage

protégées pour demeurer en parfait état pendant toute la durée du chantier.

01.1.5.3 Tolérance sur les éléments de structure

(//) : par exemple pour c = 40 m, la tolérance est 2.5 + 1 = 3.5 cm.

01.1.6 MATÉRIAUX CONSTITUTIFS DES BÉTONS

. Eau de gâchage du béton :

01.1.6.2 Tableau des bétons

01.1.6.3 Tableau des mortiers

01.1.6.4 Étude et contrôle des bétons

. Définition du béton contrôlé :

01.1.6.5 Fabrication - Transport - Mise en œuvre du béton

. Chauffage du béton pour bétonnage par temps froid :

01.1.6.6 Aciers pour béton armé

Tableau de tolérances sur les positions des armatures

01.1.6.7 Aciers de précontrainte

Tolérances sur la position des gaines :

. Fixation des gaines :

. Lubrifiant pour câble :

de la mise en tension doit être une huile soluble anti corrosive

. Stockage des armatures et gaines :

01.1.7 PAREMENTS DES BÉTONS COULÉS EN PLACE

01.1.7.2 Parements coffrés

Tableau des parements coffrés plans

- Parements qualité spéciaux (S)

Traitement des parements destinés à recevoir un revêtement

01.1.7.3 Parements supérieurs des dalles

. Définition des parements :

D2 : surface courante régulière obtenue par un surfaçage à la règle ou à l'hélicoptère

D4 : surface très soignée (par ponçage si nécessaire)

Tolérances sur l'état de surface

01.1.7.4 Echafaudages et étais

01.1.7.5 Coffrage - Décoffrage

01.2 PRESCRIPTIONS BETON ARME

Qualité des matières premières :

5) Aciers pour B.A.

Suggestions particulières de mise en œuvre :

Coffrages lisses et soignés.

Suggestions particulières de mise en œuvre :

01.3 DESCRIPTION DES OUVRAGES

01.3.1 TRAVAUX PREPARATOIRES

01.3.1.1 INSTALLATION DU CHANTIER

01.3.1.2 BRANCHEMENT PROVISOIRE DE CHANTIER . ÉLECTRICITÉ

01.3.1.3 BRANCHEMENT PROVISOIRE DE CHANTIER . EAU POTABLE

01.3.2 TERRASSEMENT EN MASSE

01.3.2.1 TERRASSEMENTS GENERAUX

Constitution des ouvrages :

01.3.2.2 ENLEVEMENT DES DÉBLAIS DE TERRASSEMENT

01.3.2.3 REMBLAIS TECHNIQUES BATIMENT