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Remerciements
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Présentation du projet.............................................................................................. 6
Localisation................................................................................................................6
Caractéristiques........................................................................................................ 7
Les différents intervenants.......................................................................................8
Compte rendu de l’évolution du chantier..............................................................10
Première Visite (09/10/2023)................................................................................10
Deuxième visite (20/10/2023)...............................................................................11
Troisième visite (21/11/2023)............................................................................... 12
Quatrième visite de chantier (18/12/2023)........................................................... 14
Comparaison des moyens constructifs................................................................ 16
I. La brique........................................................................................................... 17
II. Les murs banchés............................................................................................17
III. L'aggloméré.....................................................................................................18
IV. Les murs préfabriqués.................................................................................... 18
Etude technique : ACV............................................................................................ 19
Présentation de l’étude........................................................................................ 19
Détermination des résistances.............................................................................20
Choix des matériaux alternative 1........................................................................20
Impacts environnementaux.................................................................................. 23
Amélioration de l’alternative................................................................................. 25
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Introduction
Ce projet a été réalisé en collaboration entre les étudiants de premières et
deuxièmes années du cursus en B.U.T Génie Civil - Construction Durable à l’IUT de La
Rochelle. Ce rapport retranscrit le projet que nous avons mené pendant plusieurs mois
sur le suivi et l’étude technique d’un chantier.
Tout d’abord, nous présenterons le chantier dans son ensemble. Puis, les
premières années présenteront leurs visites réalisées sur plusieurs semaines et
développeront leur point technique sur l’étude des procédés constructifs. Pour terminer
les élèves de deuxième année détaillerons leur choix d’étude technique qui porte sur
l’Analyse de Cycle de Vie (ACV) de l’ouvrage.
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Présentation du projet
Le projet que nous suivons est un chantier type bâtiment (nous ne suivons pas la
rénovation de la maison en zone 4 - Cf Caractéristiques -, qui débutera plus tard). La
renaudière est un chantier comprenant divers logements et un commerce. Elle s’inscrit
donc dans une politique de redynamisation de la ville en diversifiant les types
d’habitations et en agrandissant la zone d’activités de Clavette.
La surface du terrain, pour les logements et le commerce, est de 5037 m². Les
bâtiments couvrent une surface de plancher de 1050.30 m², pour une hauteur de 7.42
m.
La surface de plancher, pour la maison d’assistante maternelle et d’un espace
co-working, est de 16.72 m² pour une hauteur de 5.14 m. La surface de bâtiments à
démolir est de 27.64 m².
Localisation
Le chantier de la Renaudière est implanté au 45
Rue du Grand Chemin à Clavette (17220). Il se situe à
15 minutes de La Rochelle, à 18 minutes de la plage ainsi
qu’à 5 min à pied d’une école, d’une aire de jeux pour
enfants et d’une boulangerie. La Renaudière est donc
implantée dans une ville dynamique et familiale. De plus,
la ville connaît depuis quelques années une grande
expansion.
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Caractéristiques
Le chantier est divisé en 4 parties afin de confronter l’attractivité du bourg de la
commune. Les 4 zones sont les suivantes :
- Zone 1: Les commerces et appartements
- Zone 2: Les maisons
- Zone 3: La maison d’assistante maternelle
- Zone 4: 5 terrains à bâtir
Le projet se fait donc en plusieurs étapes en commençant par les zones de
commerce et les habitations toutes deux composées d’un RDC et un étage R+1, avec
un accès par escalier extérieur. En toiture, ils ont opté pour une toiture-terrasse
inaccessible avec des panneaux photovoltaïques. Ces bâtiments se reposent sur des
fondations avec des semelles filantes et un mur de soubassement. Au total, sur ces
deux zones, on compte 12 logements dont 6 logements privés et 6 logements sociaux.
La particularité de ces bâtiments est que les murs extérieurs sont faits en briques et les
murs intérieurs seront des voiles banchés et les plancher seront coulés en place.
En ce qui concerne, la zone 3 avec la future maison d’assistante maternelle, c'est
une maison existante qui sera réhabilitée une fois les zones 1 et 2 terminées. Nous ne
verrons donc pas l’avancée des travaux de cette zone, ni celle de la zone 4 (terrains à
bâtir).
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Les différents intervenants
➔ La maîtrise d’ouvrage
Promoteur immobilier
Architecte
➔ Gros œuvre
➔ Maîtrise d’oeuvre
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➔ Autres intervenants
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Compte rendu de l’évolution du chantier
Première Visite (09/10/2023)
Lors de notre première visite le lundi
9 octobre 2023, les fondations avaient été
coulées en zone 2. Nous pouvons également
distinguer les réservations, qui sont pour le
moment bouchées avec du polystyrène (fig 1 et
1.1). La banche d’un mur intérieur était montée
en première. En effet, pour des raisons de
longueur, ce mur intérieur sera monté en
premier, suivi des murs extérieurs, puis les
autres murs intérieurs seront construits. Ce
mur sera coulé dans l'après-midi.
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Deuxième visite (20/10/2023)
Lors de notre visite du vendredi 20
octobre, les murs banchés et murs de
soubassement étaient installés dans la plupart
des maisons ou alors étaient en cours de
fabrication (zone 2).
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Troisième visite (21/11/2023)
Durant notre troisième visite, les murs des
maisons (zone1) et du commerce (zone 3) étaient
montés. (fig 7)
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Dans le local à vélo, les agglomérés ont commencé à être montés (fig 14). Nous
pouvons voir les chaînages verticaux dans les angles des murs. Les poteaux supportant
les escaliers extérieurs et la première marche ont été coulés (fig 15). Au fond de
l’image, nous pouvons remarquer les escaliers préfabriqués qui seront installés au fond
de l’image.
Les poutres, supportant les appartements au R+1 (zone 1), séchaient dans
des banches. Ces banches avaient également été utilisées pour faire les murs de
soubassement dans les maisons. Les poutres ont une forme particulière car
celles-ci font la délimitation entre le bord de l’appartement et la terrasse qui est plus
basse (fig 12). Les poteaux longeant la terrasse présentent également cette
particularité (fig 13).
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Quatrième visite de chantier (18/12/2023)
Depuis notre dernière visite, les planchers au R+1 des maisons ont été coulés
et les prédalles de la toiture-terrasse ont été installées.
Les dalles ont été coulées en même temps que le balcon, celui-ci est soutenu par des
aciers chapeaux courant dans le plancher.
Ces aciers (aujourd'hui non visibles) mesurent 6 mètres de long. Il y a 2 mètres dans
la terrasse et 4 mètres dans le plancher de la maison (fig 15 et 15.1).
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On retrouve la même coursive pour desservir les
appartements. Les escaliers ne seront pas indépendants de
la coursive, pour l’instant les armatures sont juste en attente
dans une Stabox.
En effet, contrairement aux trous laissés lors de la pose des banches que
nous avions vu lors de notre dernière visite. Il est impossible de reboucher les trous
laissés par les gardes corps avec du béton car il ne faut pas mélanger différents
matériaux afin que l’enduit utilisé soit le même. C’est également pour cette raison
qu'avant que l’enduit soit projeté, il faudra mettre un grillage sur les linteaux en béton
et les enduire de colle à brique.
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En zone 1, les poutres sur la devanture du commerce ont
été installées (fig 19). On voit également un film d’étanchéité
vert au sol. Sur le côté, il y a des réservations pour la
plomberie. Il est en effet impératif de séparer les circuits
d’eau pour le magasin et ceux des appartements. En zone
1, l’isolant sera posé sur le béton avant de couler la dalle.
Au contraire de la zone 2 où l’isolant sera placé après le
béton.
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Comparaison des moyens constructifs
Le choix de ce point technique part d’une interrogation. Pourquoi tant de murs
différents et ne pas faire tous les murs de la même façon ? En effet, certains murs sont
banchés, d’autres en brique, en préfabriqué ou encore le local à vélo qui est en
parpaings. Nous allons donc justifier les choix de ces différents procédés constructifs.
I. La brique
On la retrouve dans les maisons (fig 22), elle est
montée sur des murs de soubassement banchés afin
qu’elle ne soit pas en contact avec le sol. Elle a été
choisie car elle est meilleure pour l’isolation que le
parpaing et les murs banchés. Bien que plus onéreuse à
l’achat, elle compense les coûts d’isolation qu’il y aurait
eu pour des murs en parpaings. Aussi, elle est plus
écologique que le parpaing (il n’y a pas de production de
clinker). Cependant, la pose de la brique a posé
problème sur le chantier car il a beaucoup plu, et il est
impossible de poser la brique sous la pluie. Le planning
de chantier a donc dû être modifié et des étapes
inversées pour pouvoir être dans les temps.
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III. L'aggloméré
On le retrouve exclusivement dans le local à
vélo (fig 25). Peu onéreux, il est parfaitement adapté
pour un petit espace non chauffé.
Ces différents matériaux nous ont donc permis d’élargir nos connaissances sur
les différents moyens constructifs, leurs avantages et leurs inconvénients. Nous avons
pu étudier les différents types de murs et voir quels critères permettent de choisir le
meilleur moyen de construction. Ces différents critères que nous avons identifiés sont :
le prix, l’isolation procurée, la facilité de mise en place, les propriétés techniques.
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Etude technique : ACV
Présentation de l’étude
En tant que deuxième année, notre étude technique portera sur l’Analyse du
Cycle de Vie (ACV) d’un bâtiment ; en lien avec notre parcours ainsi que la SAE 3.1
réalisée en troisième semestre. Notre objectif principal est de se consacrer à
l’enveloppe du Bâtiment d’habitation B, se situant dans la zone 3 (figure 28). Nous
sommes donc chargées de répertorier l’ensemble des matériaux qui composent le
plancher bas/intermédiaire/haut, les murs extérieurs ainsi que les menuiseries. Pour ce
faire nous avons fait appel au Cahier des Clauses Techniques et Particulières (CCTP)
fourni par l’entreprise Clefer Construction.
De cette manière, nous chercherons à augmenter la résistance thermique et
diminuer l’impact environnemental de l’ouvrage, à travers deux variantes. Nous ferons
appel à plusieurs supports pour la réalisation de cette étude : Excel (référencement et
calcul de données) ; ainsi que la base INIES qui répertorie les de Fiches de Déclaration
Environnementale et Sanitaire (FDES), indispensable à notre étude de projet.
Figure 27 : Bâtiment B
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Détermination des résistances
Pour commencer, nous nous sommes basés sur les documents du thermicien
afin d’avoir la composition de chacune des parois composant notre bâtiment. De plus,
dans la notice de la RT2012 les résistances des matériaux utilisés étaient référencées
ce qui nous a permis de faciliter nos recherches des FDES (Fiches de Déclaration
d’Effets sur l’Environnement) pour la suite. L’objectif en comparant les deux alternatives
est d’augmenter la résistance pour chaque lot car plus la résistance est élevée plus le
matériau est meilleur isolant. Cela aura un impact sur l’utilisation du chauffage en hiver
et l’utilisation de la climatisation en été.
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Choix des matériaux alternative 1
Murs extérieurs
Bloc béton
Nous avons choisi une structure en bloc béton, car c’est un matériau standard
et peu cher. En revanche, sa consommation en énergie primaire non renouvelable
risque d’impacter négativement son ACV.
Isolant
La projection de mousse rigide de polyuréthane est une technique d’isolation
thermique efficace pour les toitures, les murs et les sols. C’est pourquoi nous l’avons
choisi afin d’améliorer la résistance thermique des murs extérieurs. En revanche, le
principal inconvénient sont les polluants qu’il produit le long de son cycle de vie.
Parement
Nous devions trouver un nouvel enduit pour les murs extérieurs. Après plusieurs
recherches sur INIES. D’une part car l’objectif premier était d’améliorer la performance
thermique de notre bâtiment. L’enduit d’isolation par protection et flocage que nous
avons choisi sur le site INIES y contribue selon sa fiche technique.
Plancher bas
Isolant
Nous avons choisi le même isolant que pour le plancher bas : la fibre de bois,
pour sa production issue de matériaux recyclables et ses caractéristiques thermiques.
Revêtement
Nous avons décidé de partir dans un premier temps sur un revêtement de sol en
parquet. En recherchant sur INIES, nous avons trouvé un parquet massif en bois issu
de France en douglas naturel. Ce matériel issu du pays minimise les impacts
environnementaux. Seulement la fiche ne contenait pas d’information sur une
quelconque résistance ou conductivité thermique. Nous avons donc recherché la
conductivité thermique standard d’un bois massif en douglas sur internet.
Plancher haut
Isolant
Concernant l’isolation thermique sous toiture, nous avons choisi un isolant
biosourcé différent de celui utilisé précédemment : la ouate de cellulose ; non pas pour
sa performance thermique mais sa source de production. L’inconvénient est qu’il est
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possible que cela impacte la hauteur sous-plafond du R+1. Seulement, pour favoriser
l’inertie thermique du matériau, nous devions mettre une épaisseur de 30 cm d’isolant
afin de performer la résistance thermique du cas de base. De cette manière, on limite
l’impact environnemental et augmente la résistance thermique de la toiture.
Plancher intermédiaire
Isolant
Concernant l’isolation du plancher intermédiaire, nous avons tout d’abord entamé
des recherches sur internet afin de trouver un isolant qui serait biosourcés, pour réduire
ses impacts environnementaux. Mais aussi dont l’épaisseur augmentera peu, pour ne
pas trop empiéter sur la surface habitable existante. C’est comme ça que l’on a trouvé
la fibre de bois. En recherchant par la suite sur la base INIES, nous avons finalement
trouvé cette nature d’isolant qui respecte ces attentes.
Menuiseries
Nous devions faire de même pour les menuiseries et trouver une alternative.
Nous avons choisi celle en aluminium notamment pour sa résistance thermique. On
souhaitait considérablement l’augmenter sachant que c’est la principale cause de
déperditions thermiques. En revanche, sa consommation d’énergie primaire non
renouvelable et non utilisée comme matière première est très élevée et ne garantissait
une alternative plus verte que les anciennes menuiseries.
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Impacts environnementaux
À partir de nos choix de matériaux fait précédemment pour la solution alternative
de la solution de référence, nous avons importé chaque résultat des impacts
environnementaux repris dans les FDES, c’est-à-dire le changement climatique,
l’épuisement des ressources abiotiques, l’utilisation totale d’énergie primaire non
renouvelable, les déchets dangereux éliminés, la consommation d’eau douce et
l’utilisation des ressources d’énergie primaire non renouvelables et non utilisées en tant
que matière première. Nous donnons chaque impact environnemental sur une durée de
vie de référence de 50 ans afin de pouvoir les comparer, par la suite. De plus, nous les
avons multipliés avec les surfaces référencées dans le métré afin d’avoir un résultat
représentatif sur l’enveloppe de l’ouvrage.
Notre but en comparant les deux variantes est que la solution alternative
obtienne un impact moins important. Nous avons analysé ces résultats dans un tableau
récapitulatif avec lequel nous avons réalisé un diagramme radar permettant de
visualiser les améliorations.
D’après nos résultats, nous remarquons que certains impacts de notre variante
restent supérieurs à celle de référence, cependant la consommation d’eau douce et
l’épuisement des ressources abiotiques sont faiblement inférieurs.
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Grâce à ce diagramme radar, nous avons comparé ce que chaque matériau
produit lors de son cycle de vie, entre la variante de référence et la variante 1. Les
résultats ne sont pas concluants, cette dernière ne respecte pas les conditions émises
au départ. C’est pourquoi nous devons changer les éléments concernés.
Dans l’objectif d’optimiser, nous avons remarqué que les menuiseries, les blocs béton et
l’isolation du plancher haut jouaient un rôle majeur dans chaques indicateurs
environnementaux.
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Amélioration de l’alternative
Choix des matériaux
Ensuite, nous comparons les résistances de plusieurs solutions afin d’en savoir
plus sur les matériaux choisis.
Ces résistances thermiques nous permettent d’en savoir plus sur l’isolation de
chaque paroi. Cela nous permet de consolider davantage nos décisions car nous
constatons que les résistances thermiques se situent pour la plupart au-dessus de notre
solution de référence. Nous pouvons dire que notre bâtiment à une efficacité
énergétique plus importante grâce aux nouveaux matériaux. De plus, nous avons une
réduction des besoins bioclimatiques au fait d’une meilleure isolation par les parois de
l’ouvrage.
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Impacts environnementaux
Nous avons recherché les FDES de ces nouveaux matériaux et nous avons pu
faire un récapitulatif de ces résultats que vous pouvez voir dans le tableau et le
diagramme suivant.
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Analyse des diagrammes
Sur ces graphiques, nous constatons que les murs extérieurs sont les éléments
qui ont le plus gros impact sur 3 des 4 indicateurs : l’énergie primaire non-renouvelable,
l'épuisement des ressources abiotiques et le changement climatique. Cependant, nous
pouvons remarquer que les menuiseries représentent plus des trois quart des déchets
dangereux éliminés ; sa production est donc néfaste au climat.
La répartition des lots dans chaque indicateur dépend des surfaces qu’ils
reprennent, le fait qu’elles soient plus ou moins grandes influencent le résultat de leur
empreinte écologique. Pourtant, les murs ou encore les menuiseries ne possèdent pas
les surfaces les plus élevées, ce qui nous permet de constater que leur impact est
élevé. Nous pouvons conclure que ces deux éléments sont les plus influents sur
l’environnement.
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Conclusion
En tant que premières années, ce projet nous a permis de découvrir le
déroulement d’un chantier et de voir comment les éléments influent sur la progression
du chantier, notamment la pose de la brique. Nous avons également vu la gestion du
matériel comme le stockage des banches le long des murs.
Quant aux deuxièmes années, cette étude technique nous a permis de nous
questionner tout en améliorant nos connaissances sur le choix qu’importe un matériau
lors d’un projet d’ouvrage. De plus, l’enjeu principal se trouvait dans nos choix et notre
analyse afin de suivre la trame fixée initialement.
Finalement, nous pourrions étudier le prix de notre seconde variante sur le marché,
étant donné que nous faisons appel à des matériaux coûteux. Ceci nous permettrait de
réaliser si ce projet est concevable et réaliste avec une démarche positive sur
l’environnement.
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