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CHAPITRE 0 : INTRODUCTION
Les pays dits développés, équipés et forts, se sont fortement investis
dans les domaines techniques afin de se doter des infrastructures moderne pour
satisfaire aux besoins de leurs populations.
C’est avec cet esprit que nous nous sommes intéressés au développement des
infrastructures scolaires, afin de contribuer à la modernisation du secteur
éducationnel de la ville de Matadi.

0.1. PROBLEMATIQUE
La ville portuaire de Matadi connait de jour au jour une croissance
démographique par rapport à ce dernier temps, ce ci fait que les nouvelles cités
Connaissent des grands problèmes liés aux infrastructures de base telles que : les
Routes, les Hôpitaux et les Ecoles.
Quand en ce qui nous concerne, nous avons constatés que le
nouveau quartier issu du lotissement SEP CONGO, le Quartier SOYO et le
Camp ANGO – ANGO non lieu de la frontière de NOKI connait les problèmes
d’infrastructures Scolaires viables répondant aux normes de l’UNESCO. Les
jeunes de ce coin de la ville sont victimes de cette difficulté et sont condamnés à
parcourir des longues distances pour aller étudier dans des écoles telles que :
VUVU – KIETO, NTETEMBUA, LISANGA. Ceci nécessite au moins les frais
de transport et cause des perturbations à la scolarité des enfants dues au retard.
Face à cette situation, nous sommes posés de questions ci – âpres :
1. Comment faire face aux difficultés des transports qu’éprouve la
population de ce coin?
2. Quel site est convenable pour construire un bâtiment scolaire dans ce coin
?
3. Quel type de bâtiment qu’il faut pour répondre à tous les exigences du
milieu en question ?
4. Quels sont les dimensions à donner aux éléments des structures du dit
bâtiment pour qu’il ait la stabilité ?

0.2. HYPOTHESES
1. Pour faire face aux problèmes de transport des enfants et prévenir contre
les accidents, nous projetons la construction d’un bâtiment scolaire en ce
coin.
2. Le site convenable est situé au quartier ANGO – ANGO
3. Le bâtiment est un bâtiment du type RDC+2
4. Les éléments de structure seront en Béton Armé et dimensionnées suivant
les règles BEAL 1991.
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0.3. CHOIX ET INTERET DU SUJET


Le choix de notre sujet est motivé par le souci majeur de répondre
aux besoins réels d’infrastructures scolaires pour l’encadrement de la jeunesse
de quartier ANGO – ANGO. Ce sujet brulant de l’heure suscitera des intérêts
diversifiés :
 Sur le plan architectural : une innovation de l’architecture sur la
modernisation de la conception des infrastructures scolaire et l’usage
économique de l’espace ;
 Sur le plan économique et social : une création d’emploi des jeunes durant
l’exécution des travaux et une source de revenue pour les petits
commerces devant l’école ;
 Sur le plan politique : mise a la disposition des politiques, un projet à
exploiter pour les bien être de la population.

0.4. DELIMITATION DU SUJET


Dans ce travail, il sera question de procéder principalement à la
conception et dimensionnement de l’ouvrage. Le dit projet dont le plan est placé
en annexe servira de support architectural. L’édifice à érigée devant contenir
tous les salles et bureaux de l’institut ANGO – ANGO en vue de pouvoir bien
permettre de travailler dans les conditions plus au moins acceptables.

0.5. SUBDIVISION DU TRAVAIL


Mis à part l’introduction et la conclusion, notre travail est subdivisé
en deux parties et est composé de six chapitres à savoir :
 Premier partie : concerne L’étude architecturale et est composée d’un
seul chapitre qui est
 Chapitre Premier : Constitution Générale du Projet
 Deuxième partie : concerne Le Dimensionnement de l’ouvrage ;
Elle est composé de cinq chapitres suivants :
 Chapitre Deuxième : dimensionnement de la dalle ;
 Chapitre Troisième : dimensionnement des poutres ;
 Chapitre Quatrième : dimensionnement des colonnes ;
 Chapitre Cinquième : dimensionnement de la fondation
 Chapitre Sixième : dimensionnement de l’escalier .
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CHAPITRE I. CONSTITUTION GENERALE DU PROJET

I.1. PRESENTATION DU SITE


Le terrain faisant l’objet de notre étude est situé dans la commune
de Matadi à coté de la frontière de NOKI dans l’ancien camp ANGO – ANGO,
dans la ville de Matadi chef lieu de la province du Kongo – Central en
République Démocratique du Congo.

I.2.2. SITUATION GEOGRAPHIQUE


Notre site est situé dans la partie Nord – Ouest de la commune de
Matadi et près de la frontière avec la République Populaire de l’Angola.

I.2.3. TOPOGRAPHIE DU SITE


Le terrain de notre site est en pente avec une inclinaison d’un angle
de plus au moins 10 % et a 400 m2 de surface dont nous avons 80.00 m de long et
50.00 m de large.

I.2.4. RESEAUX
En ce qui concerne les réseaux, le site est entouré par différents
réseaux disponibles ; à savoir : L’électricité ; eau potable ; Téléphonique et en
fin accessible par des Véhicules.

I.2.5. PARAMETRE SPECIFIQUE DE CONCEPTION

I.2.5.1. Conception
Le projet a été conçu en tenant compte des normes architecturales,
échelles et dimensions des espaces utilisées par L’UNESCO.

I.2.5.2. Structure
Le béton armé est l’élément qui constitue la structure principale de
notre projet, car il intervient dans tous les éléments du bâtiment notamment : la
Fondation ; la Dalle ; les Colonnes ; les Poutres et L’escalier, tandis que le béton
non armé sert pour le revêtement de pavement et autre éléments.

I.5.3. Orientation et Belle Vue


La configuration du site, l’accessibilité au réseau routier, nous ont
permis de disposer la façade principale. Les baies sont disposées de manière à ce
que les bureaux soient à suffisamment ventilés.
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I.6. COMPOSITION ARCHITECTURALE

I.6.1. Programme
Dans tout projet d’architecture, un programme doit – être de mise
pour que la conception suive les normes requises dues au bon fonctionnement du
bâtiment. Tel qu’il est signalé dans la page précédente, notre conception porte
sur un bâtiment de trois niveaux dont l’occupation se présente de la manière
suivante :

 Réez de Chaussée
 Bureau du directeur
 Bureau du directeur adjoint
 Bureau du conseillé pédagogique
 Bureau du conseillé administratif
 Bureau du directeur de discipline
 Salle des enseignants
 Salle d’attente
 Dégagement
 Locaux
 Corridor
 Blocs sanitaire et
 Cage d’escalier.
 Premier étage
 Salle de lecture
 Bureau de livraison
 Bureau du chef
 Réception
 Dépôt matériel (livre)
 Cage d’escalier
 Locaux
 Blocs sanitaires et
 Balcon
 Deuxième étage
 Salle d’informatique
 Bureau de livraison
 Bureau du chef
 Dépôt matériel
 Réception
 Locaux
 Cage d’escalier
 Blocs sanitaires et
 Balcon.
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CHAPITRE II : DIMENSIONNEMENT DES DALLES

II.1. DEFINITION
Une dalle est une structure plane dont l’épaisseur (e) est de loin inferieure aux
deux autres dimensions (longueur et largeur)
 La dalle étant horizontales, et souvent soumise à des charges verticales
descendantes, elle est toujours armée à sa partie inferieure au moyen d’un
quadrillage d’armatures constituées par deux nappes superposées et
orthogonales.
 Si la dalle est encastrée sur ses appuis, elle comporte a sa partie supérieure
des armatures appelées barres chapeau

II.2. ELEMENTS UTILISES


Nous utiliserons un plancher constitué d’une dalle associée à des
poutres principales et secondaires qui est le plus courant pour les bâtiments
administratifs, industriels, ou à caractères d’habitation. Il est constitué par une
dalle d’épaisseur constante, reposant sur un système des poutres secondaires et
des poutres principales. Les panneaux (plaques) de la dalle reçoivent les charges
statiques et dynamiques et le transmettent aux poutres. L’ensemble des efforts
sont finalement repris par des poteaux ou par des murs des refends porteurs ;
mais, pour notre cas la dalle sera soutenue par des poutres et poteaux constituant
le portique.

II.3. CARACTERISTIQUES DES MATERIAUX1

II.3.1. Le béton

Pour l’établissement des projets dans les cas courant, un béton est
défini par la valeur de sa résistance à l’âge de 28 jours dite valeur caractéristique
requise (spécifiée). Celle – ci notée fc28 est choisie à priori. Compte tenue des
possibilités locales et des règles de contrôle qui permettent de vérifier qu’elle est
atteinte.

Lorsque les sollicitations s’exercent sur un béton dont l’âge de J


jours (en cours d’exécution) est inferieure à 28, on peut admettre en premier
approximation que J ≤ 28, on se réfère à la résistance. fc j Obtenue au jour
considéré, on peut admettre en premier approximation que J ≤ 28, la résistance
des bétons non traités thermiquement suit approximativement les lois suivantes :
j
fc j= ∗fc28 Pour fc 28=40 Mp a
4.76+ 0.83
1
COURS DE TECHNOLOGIE de Construction Tome III Les matériaux de construction, ISAVADOGO 2000 M.A.J. M. CALLAUD
juillet 2003 - version n°2
72

j
fc j= ∗fc 28 Pour fc28=40 Mp a
1.40+0.95

La valeur de fc jest conventionnellement prise àfc28 pour J=28


lorsqu’il s’agit de vérifier la résistance des sections ; ce pendant, pour
l’évaluation des déformations, convient de tenir compte des valeurs probable des
caractéristiques du béton au – delà de 28 jours. On peut alors admettre que pour
les grandes valeurs de j, on a sensiblement fc j=1.1 fc 28 ; a condition que le béton
ne soit pas traité thermiquement et que sa résistance fc 28 ne dépasse pas 40 Mp a ;
si non, on peut évaluer fc j par la première des formules ci-dessus pour 28 ≤ J < 60
et prendre fc j=1.1 fc 28 pour J ≥ 60.
Dans tous les cas, la résistance à la compression est mesurée par la
compression axiale de cylindre droit de résolutions de diamètre 16 cm
( section 200 cm2 ) et de hauteur 32 cm ; pour un granulat de grosseur au plus égale à
40 mm. Les éprouvettes, conformes à la norme NF P18−400, sont
confectionnées et essayées selon le mode opératoire des normes NF P18−406.
La résistance caractéristique à la traction du béton à j jours notée fc j est
conventionnellement définie par la relation :
ftj=0 , 6+0 , 06 fcj(en MP a)

Cette formule étant valable pour les valeurs de fc jau plus égales à60 MP a .
II.3.2. L’acier
Les armatures doivent être conformes aux textes réglementaires en
vigueur : Titre I du CCTG et texte s’y référent.

Le caractère mécanique servant de base aux justifications est la


limite d’élasticité garantie F e .
F e=400 MP a pour F e E 400 et F e=500 MP a pour F e E 500
Le module d’élasticité longitudinale de l’acier est pris égale à : E a=200000 MP a
Les armatures pour béton armé sont constituées par des aciers qui
se distinguent par leurs nuances et leurs états de surface : on trouve les ronds
lises (norme A 35 – 0,15) et les barres à haute adhérence (norme A 35 – 0,16).
Pour les ronds lisses, il existe deux nuances : F e E 215 et F e E 235, correspondant à
des limites d’élasticité garantie de 215 et 235 MP a (les diamètres disponible sont :
6,8,10 et 12 mm) ; pour les barres à haute adhérence , les armatures sont
F e E 400 et F e E 500 Correspondant à des limites d’élasticité garantie de 400 et
500 MP a (les diamètres disponibles sont : 6,8,10,12,14,16,20,25,32 et 40 mm).

N.B. pour ce travail, nous utilisons les matériaux de caractéristiques suivantes :

 Béton : fc28=30 Mpa


 Acier : F e E 400

II.3.3. Identification des plaques


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II.3.3.1. Plan de répartition des plaques

II.3.3.2. Regroupement des plaques suivant leurs encastrements


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N° Plaques Nature Schéma statique Dimension de


d’encastrement plaque suivant
Lx et Ly
Ière 1, 9, 18, 26, encastrée de 600∗600
groupe 35et 36 deux cotés non
opposés

IIème 10 encastrée de 400∗600


groupe deux cotés non
opposés

IIIème 11,12,13,14 encastrée de 400∗600


groupe ,15,16,17,2 quatre cotés
7,30,33

IVème 20,21 ,22 ,2 encastrée de 200∗600


groupe 3 ,24 ,25 ,2 trois cotés et
8 ,31 ,34 libre à l’autre

Vème 2,3,4,5,6,7, encastrée de 600∗600


groupe 8,29,32 trois cotés et
libre à l’autre

VIème 19 encastrée de 300∗600


groupe trois cotés et
libre à l’autre.

II.4. CALCUL DE LA DALLE

II.4.1. Evaluation des charges

II.4.1.1. Poids propre de la dalle


Pour les dalles continues, l’épaisseur courante de la dalle est donnée par la
lx lx
formule suivant 40 ≤h 0 ≤ 30
La dalle de référence est celle qui a une grande dimension dont
l x =6.00 met l y =6.00 m
⟹lx=600 cmet ly=600 cm
600 600
≤h0≤ ⇒ 15 ≤h 0 ≤ 20 , nous adoptons l’épaisseur de la dalle qui est
40 30
e=15 cm H u=H t−d
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Ht
D’où d= 20 +2
15
d= +2=2.75 cm soit 3 cm
20
H u=15−3=12 cm
 Poids propre de la dalle : 0 , 15 m∗2500 kg /m3=375 kg /m2
 Poids de revêtement : 0 , 04 m∗2200 kg/m3=88 kg/m2
La charge permanente totale G est de l’ordre de
2 2 2
G=375 kg/m +88 kg /m =463 kg /m
Notre projet de l’immeuble étant conçu pour les bureaux
administratifs, il peut être classé dans la catégorie des immeubles publics et nous
adoptons pour ce dernier, une surcharge d’exploitationQ=500 kg/m2. Etant donné
que notre ouvrage est dimensionné en BEAL, la somme des charges
permanentes et les surcharges d’exploitation seront majorées par des coefficients
de sécurités affectés aux charges.
 Etat limite ultime (ELU) Pu :

Pu=1 , 35 G+ 1, 5 Q=1 , 35∗463+1 , 5∗500=1375.05 kg /m


Etat limite de service (ELS) Ps
Ps=G+ Q=463 kg/m+500 kg /m=963 kg /m

II.4.1.2 Matériaux2
Béton fc28=30 Mpa
Acier F e E 400=fe ⟹ 400 Mpa
Caractéristique des matériaux
 Béton 𝐝𝐨𝐬é à 350 kg /m3 ⇒ fc 28=30 Mpa
fbu=0 , 85 fcj θ∗δb ; Avec θ=1; δ b=1, 5 ; fcj=fc 28=30 MPa
fbu=0 , 85∗301 , 5=17 MPa
La contrainte limite du béton à la traction : ft 28=0 , 06 fc28 .+0 ,6
⇒ ft 28=0 , 06∗30+0 , 6=2.4 MPa
 Acier
feu=fe δ s ; avec δ s=1 ,15 fe=400 MPa
feu=4001 , 15=348 MPa

II.5. CALCUL DES MOMENTS


Pour le calcul des moments de la dalle, nous avons utilisé la
méthode de H. MARCUS 1ere version3 qui revient à considérer chaque panneau
de la dalle isolement et à calculer les moments fléchissant positifs au milieu
2
C.T NZEZA COURS DE BETONABAQUES DE DREUX G2 BTP - IBTP/MATADI 2014-2015
3
Dans la1ere version H.MARCUS a pu établir ou calculer des coefficients des réductions pour des valeurs des moments
maximum.
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ainsi que les moments négatifs éventuels en bordure de la plaque sans se


préoccuper de l’influence des panneaux voisins. On considère un panneau de
dalle comme parfaitement encastré là où il est continu avec un autre et librement
appuyé au droit des poutres de rive ou dans les murs en maçonnerie.

a. Premier groupe

Lx 600
Calcul de α= = =1 La dalle porte dans le deux sens, l’abaque nous donne les
Ly 600
valeurs de K suivantes :
Kx=0.027 ; Ky=0.027 ; K ’ x=−0.070 ; K ’ y =−0.070
2 2
Mx=kx∗p∗l x=0.027∗1375.05∗( 6.00 ) =1336.55 kgm
2
My =ky∗p∗l y=0. 027∗1375.05∗¿
2 2
Mx ’=−k ’ x∗p∗l x=−0.070∗1375.05∗( 6.00 ) =−3465.13 kgm
2 2
M ’ y=−k ’ y∗p∗l y=−0.070∗1375.05∗( 6.00 ) =−3465.13 kgm

b. Deuxième groupe

Lx 400
Calcul de α= = =0.66 ≥ 0.4 La dalle porte dans le deux sens, l’abaque nous
Ly 600
donne les valeurs de K suivantes :
Kx=0.045 ; Ky=0.011; K ’ x=−0.100 ; K ’ y=−0.039
2 2
Mx=kx∗p∗l x=0.045∗1375.05∗( 4.00 ) =1062.94 kgm
72

2
My =ky∗p∗l y=0. 011∗1375.05∗¿
2 2
Mx ’=−k ’ x∗p∗l x=−0.100∗1375.05∗( 4.00 ) =−2200.08 kgm
2 2
M ’ y=−k ’ y∗p∗l y=−0.039∗1375.05∗( 6.00 ) =−1930.57 kgm

c. Troisième groupe

Lx 400
Calcul de α= = =0.66 ≥ 0.4 La dalle porte dans le deux sens, l’abaque nous
Ly 600
donne les valeurs de K suivantes :
Kx=0.034 ; Ky=0.008 ; K ’ x=−0.074 ; K ’ y=−0.026
2 2
Mx=kx∗p∗l x=0.034∗1375.05∗( 4.00 ) =748.03 kgm
2
My =ky∗p∗l y=0. 008∗1375.05∗¿
2 2
Mx ’=−k ’ x∗p∗l x=−0.026∗1375.05∗( 4.00 ) =−1628.06 kgm
2 2
M ’ y=−k ’ y∗p∗l y=−0.026∗1375.05∗( 6.00 ) =−1287.01 kgm

d. Troisième groupe

1375.05 kg/m
1476.30 kg/m

200

Lx 200
Calcul de α= = =0.33≥ 0.4 La dalle porte dans un seul sens, l’abaque nous
Ly 600
donne les valeurs de K suivantes :
2
−P l 2 1375.05∗( 2.00 )
Mx= = =−2750.10 kgm
2 2
72

Mtx=0.85∗Mx⟹ 0.85∗(−2750.10 )=−2337.58 kgm

Mapx=0.50∗Mx ⟹ 0.50∗(−2750.10 )=−1375.05 kgm

MA et MB=0

e. Cinquième groupe

Lx 600
Calcul de α= = =1 La dalle porte dans le deux sens, l’abaque nous donne les
Ly 600
valeurs de K suivantes :
Kx=0.021 ; Ky=0.025 ; K ’ x =−0.055 ; K ’ y=−0.068
2 2
Mx=kx∗p∗l x=0.021∗1375.05∗( 6.00 ) =1039.54 kgm
2
My =ky∗p∗l y=0. 025∗1375.05∗¿
2 2
Mx ’=−k ’ x∗p∗l x=−0.055∗1375.05∗( 6.00 ) =−2722.59 kgm
2 2
M ’ y=−k ’ y∗p∗l y=−0.068∗1375.05∗( 6.00 ) =−3366.12 kgm

f. Sixième groupe

Lx 300
Calcul de α= = =0.5 La dalle porte dans le deux sens, l’abaque nous donne
Ly 600
les valeurs de K suivantes :
Kx=0.06 ; Ky=0.005 ; K ’ x=−0.114 ; K ’ y=−0.02
2 2
Mx=kx∗p∗l x=0.06∗1375.05∗( 3.00 ) =742.527 kgm
72

2
My =ky∗p∗l y=0. 005∗1375.05∗¿
2 2
Mx ’=−k ’ x∗p∗l x=−0.114∗1375.05∗( 3.00 ) =−1410.80 kgm
2 2
M ’ y=−k ’ y∗p∗l y=−0.02∗1375.05∗( 6.00 ) =−990.03 kgm

Tableau N°1 : tableau récapitulatif des moments


Moment en travée (kgm) Moment aux appuis (kgm)

N° groupe Mx My Mx ’ M’ y

I. 1336.55 1336.55 −3465.13 −3465.13

II. 1062.94 544.52 −2200.08 −1930.57

III. 748.03 396.01 −1628.06 −1287.01

IV. −2750.10 −2337.58 −1375.05

V. 1039.54 1237.55 −2722.59 −3366.12

VI. 797.20 265.73 −66.43 −1062.94

II.5. CALCUL DES ARMATURES


Pu=1375.05 kg /m

Ps=963 kg /m

fc 28=30 Mpa

d=18Cm – 3 Cm=15 Cm
b=100 Cm
FeE 400=400 Mpa
0.85∗f C 28 0.85∗300 2
f c= = =17 Mpa=170 kg /cm
θ∗γ b 1∗1.5
fe 400 2
f S= ⟹ =347.8 Mpa soit 3478 kg/cm
γS 1.15
Pu 1375.05 kg/m
γ= = =1.42
Ps 963 kg/m
γ −1 F c28 1.42−1 30
α c= + = + =0.51
2 100 2 100
μl=0.80 α c ( 1−0.40 α c )=0.80∗0.51 ( 1−0.40∗0.51 )=0.324
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Pour le calcul des armatures dans chaque groupe, pour déterminer les armatures
à placer dans la dalle nous adoptons pour le groupe qui présente un moment plus
élevé et les armatures trouvées dans ce groupe sont affectées dans toute la dalle.

Pour ce qui concerne notre travail, nous considérons le I ème groupe


où le moment est élevé par rapport aux autres groupes.

 Première groupe

 Mx=My=1336.55 kgm ≃133655 kgcm


Mx 133655 kgcm
μ= 2
= 2 2
=0.054< 0.324
b∗d ∗f C 100 cm∗( 12 cm ) ∗170 kg /cm

μ< μl ⇒ La section sera simplement armée ou elle n’admet pas d’armatures


comprimées ; A ’=0
α =1.25∗( 1− √ 1−2 μl ) ⇒ 1.25∗( 1−√ 1−2∗0.054 )

α =0.0 69

Z=d∗(1−0 , 4 α )=12∗( 1 – 0 , 4∗0.069 )=11.66 cm

Mu 133655 kgcm 2
A= = =3.29 cm
Z∗fs 11.66 cm∗3478 kg /cm 2

Soit 5 HA 10 pm

 M ’ x=M ’ y=3465.13 kgm ≃346513 kgcm


M 'u 346513 kgcm
μ= 2
= 2 2
=0.14< 0.324
b∗d ∗f C 100 cm∗( 12 cm ) ∗170 kg /cm

μ< μl ⇒ La section sera simplement armée ou elle n’admet pas d’armatures


comprimées ; A ’=0

α =1.25∗( 1− √ 1−2 μl ) ⇒ 1.25∗( 1−√ 1−2∗0.14 ) =0.18

Z=d∗(1−0 , 4 α )=12∗( 1 – 0 , 4∗0.18 )=11.13 cm

Mu 346513 kgcm 2
A= = =8.95 cm
Z∗fs 11.13 cm∗3478 kg /cm 2

Soit 8 HA 12 pm

PLAN D’ARMATURES
72

COUPE DE LA DALLE

CHAPITRE III : DIMENSIONNEMENT DES POUTRES

III.1. GENERALITES
72

Dans ce chapitre, nous allons calculer les poutres continues


c’est – à – dire les poutres sur plusieurs appuis. Calculer ces poutres revient à
déterminer les éléments des réductions (M, N et T) ainsi que les armatures
longitudinales et transversales. Celles-ci seront en section Té, pour calculer les
éléments de réductions dans ces poutres, nous allons utiliser la méthode
analytique (méthode de trois moments). Hors mis cette méthode, il y en a
d’autres également permettant à l’ingénieur de génie civil de pouvoir
dimensionner les poutres telles que la méthode de HARDIS CROSS.

On appelle par méthode de trois moments, puisque l’on considère


trois appuis à la fois consécutifs qui forment les équations ; ainsi on, aura autant
d’équations qu’il y a d’appuis intermédiaires, ceci donne un système d’équations
dont les inconnues sont des moments aux appuis intermédiaires.

III.2. ROLES DES POUTRES

 Transmettre les charges verticales sur les colonnes qui découlent du poids
des éléments de la structure ;
 Servir d’appuis du plancher.

III.3. SOLLICITATIONS

Les poutres sont sollicitées par quatre types des charges qui sont :

 Charge due au poids propre de la poutre ;


 Charge due au poids propre de la dalle ;
 Charge due aux murs des remplissages ;
 Charge due à la surcharge d’exploitation.

III.3.1. Plan des poutraisons et transfert des charges de la dalle sur la


poutre
72

III.4. DIMENSIONNEMENT DE LA POUTRE LONGITUDINALE

III.4.1.. pré dimensionnement

a. Détermination de la Hauteur de la Poutre


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La hauteur de la poutre est généralement comprise entre


1 1
L x et L de la travée la plus longue entre axes des colonnes.
20 10 x

1 1
Soit 20 L x ≤ ht ≤ 10 Lx
1 1
∗600 ≤ ht ≤ ∗600
20 10
30 cm ≤ht ≤60 cm , nous adoptons pour notre poutre une hauteur ht=40 cm
b. Détermination de la largeur (base) de la Poutre
ht 40
b 0= ⟹ =20 cm
2 2

 D’où la section de notre poutre sera de40 cm∗20 cm


ht 40
 L’enrobage (d’) sera : 20 + 2⟹ 20 +2=4 cm
 La hauteur utile(d) sera :d=ht−d ' ⟹ 40−4=36 cm

0.18
0.22

0.20

c. détermination de la table de compression


2∗L 2∗600
b= + b 0= +20 cm=140 cm
10 10

II.4..2. Analyse des charges sur la poutre

 Poids propre de la retombée (nervure) (G1.)


3
b 0∗ht∗ρbeton ⟹ 0.20 m∗0.22 m∗2500 kg /m =110 kg /m

 Poids du mur de remplissage (G2.)


72

3
b mur∗h mur∗ρmac ⟹ 0.20 m∗3.00 m∗2200 kg /m =1320 kg/m

 poids revêtement sur le mur (G3.)


(b ¿ ¿ mur∗hmur ∗ρend )∗2¿
3
(0.02 m∗3.00 m∗1800 kg/m )∗2=216 kg/m

 Poids total de la poutre ( pu)


G 1+ G2+G 3

⟹ 110 kg /m+ 1320 kg/m+216 kg /m=1646 kg /m

Comme la poutre est dimensionnée suivant la méthode des états limites ultimes,
la charge totale sera majorée par un coefficient affecté aux charges qui est 1.35.

D’où pu=∑ G∗1.35 ⟹ 1646 kg/m∗1.35=2222 kg /m

III.4.2.1..Schéma de transfert de charge de la dalle sur la poutre


longitudinale

III.4.2.2..calcul des charges sur la Poutre

 Plaque N°10.11.12.13.14 (trapèze)


S∗Pdalle
q u=
LT
( B+b )∗H ( 6.00 m+ 2.00 m)∗2.00
S= ⟹ =8.00 m2
2 2
2
8.00 m ∗1375.05 kg /m
q u= =2062.54 kg/m
6.00 m

 Plaque N°1.2.3.4.5 (triangle)


S∗Pdalle
q u=
LT
72

S=
B∗H
2
⟹ (
6.00 m∗3.00 m
2
=9.00 m2 )
2
9.00 m ∗1375.05 kg /m
q u= =1833.40 kg /m
6.00 m

III.4.2.3 Charges définitives entre travées de la poutre


Travée A−B=2062.57+1833.40+2222=6117.97kg /m
Travée B−C=2062.57+1833.40+2222=6117.97 kg/m
Travée C−D=2062.57+1833.40+ 2222=6117.97 kg /m
Travée D−E=2062.57+1833.40+2222=6117.97 kg/m
Travée E−F=2062.57+ 1833.40+2222=6117.97 kg /m

Schéma statique de la poutre

6117.97kg/m
6404.85 kg/m

A B C D E F

600 600 600 600 600


III.4.2. calcul des moments fléchissant

Ici la méthode qui nous aidera à déterminer les moments et les


réactions aux appuis est celle de CLAPEYRON, elle consiste à considérer trois
appuis consécutifs équivalents à deux travées consécutives.

M A L AB +2 M B ( L AB + L BC )+ M C LBC =−6 EI ( R BA
B + RB )
BC

M B LBC +2 M C ( L BC + LCD ) + M D LCD =−6 EI ( RCBC + R CD


C )

M C LCD +2 M D ( LCD + LDE ) + M E LDE =−6 EI ( RCD


D + RD )
DE

M D L DE +2 M E ( LDE + L EF ) + M F LEF =−6 EI ( R DE


E + RE )
EF

3
q∗L
Où, EI est une constante, R BA BC
B ou R B =
24 EI

M A =M F =0

24 M B+ 6 M C =−6 EI (
6117.97∗( 6.00 )3 6117.97∗( 6.00 )3
24 EI
+
24 EI )
( )
3 3
6117.97∗(6.00 ) 6117.97∗( 6.00 )
6 M B +24 M C + 6 M D=−6 EI +
24 EI 24 EI
72

6 M C +24 M D +6 M E =−6 EI (
6117.97∗( 6.00 )3 6117.97∗( 6.00 )3
24 EI
+
24 EI )
( )
3 3
6117.97∗( 6.00 ) 6117.97∗( 6.00 )
6 M D +24 M E =−6 EI +
24 EI 24 EI

24 M B+ 6 M C =−660740.76
6 M B +24 M C + 6 M D=−660740.76
6 M C +24 M D +6 M E =−660740.76
6 M D +24 M E =−660740.76
Après calcul et résolution de l’équation par le logiciel RDM 6,
nous trouvons ainsi les moments dans les différents appuis de la poutre
M A =M F =0
M B =−23183.89 kgm
M C =−17387.91 kgm
M D =−17387.91 kgm
M E =−23183.89 kgm

III.4.3. Calcul des réactions aux appuis4

a) Travée A – B

A B
6.00m

+∑ X =0
g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R A −q∗l+ R B=0
g
⟹ R A −6117.97 kg/m∗6.00 m+ R B=0

g
⟹ R A + R B=36707.82 kg (1)
2
g q∗l
+↻ ∑ M A =0 ⟹−l∗RB + + M B=0
2
2
6117.97 kg /m∗( 6.00 m )
−6 R gB + +23183.89 kgm
2
g
−6 R B=13307.35 kg
g 13307.35 kg g
R B= ⟹ R B=−22217.89 kg (2)
−6
4
GOULET, Jean et BOUTIN, Jean Pierre, Aide-mémoire. Résistance des matériaux, 8 éd Dunod, Paris
1998, p308
72

Portons (2) dans (1)


g
R A + R B =36707.82 kg
R A + 22217.89 kg=36707.82 kg
R A =14489.93 kg

b) Travée B – C

B C
6.00m

+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R B−q∗l+ R c =0
d g
⟹ RB −6117.97 kg/m∗6.00 m+ RC =0
d g
⟹ RB + R C =36707.82 kg (1)
2
q∗l g
+↻ ∑ M B=0 ⟹−M B + −l∗RC + M C =0
2
2
6117.97 kg/m∗( 6.00 m)
−23183.89+ −6.00∗RCg +17387.91 kgm
2
g
−6.00 RC =110123.46 kg
g 110123.46 kg g
RC = ⟹ RC =−17387.91 kg (2)
6
Portons (2) dans (1)
d g
R B + RC =36707.82 kg
d
R B +17387.91 kg=36707.82 kg
d
R B=19319.91 kg

c) Travée C – D

C D
6.00m
72


+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ RC −q∗l+ R D =0
d g
⟹ RC −6117.97 kg /m∗6.00 m+ R D=0

d g
⟹ RC + R D=36707.82 kg (1)
2
q∗l g
+↻ ∑ M C =0⟹−M C + −l∗R D + M D =0
2
2
6117.97kg /m∗( 6.00 m )
−17387.91+ −6.00∗RgD +17387.91 kgm
2
g
−6.00∗R D=−110123.46 kg
g
⟹ R D=18353.91 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d g
RC + R D=36707.82 kg
d
RC +18353.91 kg=36707.82 kg
d
RC =18353.91kg

d) Travée D – E

D E
6.00m

+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R D−q∗l+ R E =0
d g
⟹ R D−6117.97 kg /m∗6.00 m+ R E =0
d g
⟹ R D + R E=36707.82 kg (1)
2
q∗l g
+↻∑ M D=0 ⟹−M D + −l∗R E + M E=0
2
2
6117.97 kg /m∗( 6.00 m )
−17387.91+ −6.00∗RgE + 23183.89 kgm
2
g
−6.00∗R E=115919.44 kg
g
⟹ R E=−19319.91 kg (2)
Portons (2) dans (1)
72

d g
R D + R E=36707.82 kg
d
R D +19319.91 kg=36707.82 kg
d
R D=17387.91 kg

e) Travée E – F

E F
→ 6.00m
+∑ X =0
d
+↑ ∑Y =0 ⟹ R E−q∗l+ R F =0
d
⟹ R E−6117.97 kg /m∗6.00 m+ R F =0
d
⟹ R E + RF =36707.82 kg (1)
2
q∗l
+↻ ∑ M E=0 ⟹−M E + −l∗R F =0
2
2
6117.97∗( 6.00 )
−23183.89+ −6.00 R F =0
2
−6 R F =−110123.46 kgm
−110123.46 kg
R F= ⟹ R F =−18353.91 kg (2)
6
Portons (2) dans (1)
d
R E + R F=36707.82 kg
d
R E +18353.91 kg=36707.82 kg
d
R E=18353.91 kg

III.4.4. Calcul des moments en travées

a) Travée A – B
2
( RA )
M AB= −M A ; Avec M A =0
2∗q
( 14489.93 )2
M AB= =17159.13 kgm
2∗6117.97

b) Travée B – C
72

2
( R dB )
M BC = −M B; Avec M B =23183.89 kgm
2∗q
( 1931.99 kg )2
M BC = −23183.89 kgm
2∗6117.97kg /m
M BC =7321.24 kgm

c) Travée C – D
2
( RdC )
M CD = −M C ; Avec M C =17387.91 kgm
2∗q
(18353.91 )2
M CD = −17387.91 kgm
2∗6117.97 kg/m
M CD =10142.95 kgm

d) Travée D – E
2
( RdD )
M DE = −M D; Avec M D=17387.91 kgm
2∗q
(17387.91 )2
M DE = −17387.91 kgm
2∗6117.97 kg /m
M DE =7339.65 kgm

e) Travée E – F
2
( RdE )
M EF = −M E; Avec M E=23183.89 kgm
2∗q
( 18353.91 )2
M EF = −23183.89 kgm
2∗6117.97 kg /m
M EF =4346.97 kgm

Tableau N°3 : Récapitulatifs des moments et réactions aux appuis

Appuis Travée Réactions aux Moments aux Moments en


s appuis (kg) appuis (kgm) travées (kgm)

A A–B −14489.93 kg 0 17159.13

B–A 22217.89 kg −23183.89 7321.24

B B–C −19319.91 kg

C–B 17387.91 kg −17387.91 10142.95


72

C C–D −18353.91 kg

D–C 18353.91 kg −17387.91 7339.65

D D–E −17387.91 kg

E–D 19319.91 kg −23183.89 4346.97

E E–F −18353.91 kg

F E–F 18353.91 kg 0

Diagrammes des moments

Diagrammes des efforts tranchants


72

III.4.5.Calcul des armatures

Nous déterminerons la largeur de la table de compression car la


poutre est solidaire à la dalle. La largeur de la table de compression à prendre en
compte est limitée à la plus faible des valeurs ci – dessous :
2∗L 2∗600
b= +b0⟹ +20 cm=140 cm
10 10

III.4.5.1 Calcul des sections d’armatures longitudinales


III.4.5.1.1. Section d’armature en travée (travée A – B)
M max =M A−B =17159.13 kgm
2
f C =170 kg /cm
2
f S=3478 kg/cm

M G −H
μu = 2

b∗( d ) ∗f C

1715913 kgcm
μu = 2 2
=0.055 ≤ 0.392
140 cm∗(36 cm ) ∗170 kg /cm

La poutre sera simplement armée.


α =1.25∗( 1− √ 1−2∗μu )

α =1.25∗( 1− √ 1−2∗0.055 )
α =0.070

 Vérification de la position de l’axe neutre (Y)


Y =α∗d ⟹ 0.070∗36 cm
Y =2.52cm

L’axe neutre tombe dans la table de compression et la section en Té


sera calculée comme une section rectangulaire de base b et de hauteur totale ht .
72

 Bras de levier (Z)


Z=d−0.4 y ⟹ 36 cm−0.4∗2.52 cm
Z=34.99 cm
 Section d’armatures ( A S )
M A−B 1715913 kgcm
A S= ⟹ 2
Z∗f S 34.99 cm∗3478 kg/cm
2
A S=14.10 cm soit 10 HA 14 mm/m

III.4.5.1. 2. Section d’armature aux appuis (appuis B)


M B =M u=23183.89 kgm soit 2318389 kgcm

MB
μu = 2
b 0∗( d ) ∗f C

2318389 kgcm
μu = 2 2
=0.52> 0.392
20 cm∗( 36 cm ) ∗170 kg /cm

μu > μ lim ¿¿ L’appui sera doublement armé et admet d’acier comprimé.

1. Calcul de moments réduit du béton


M rb=μlim ¿∗b ∗d ∗f 2 2
⟹0.39∗15∗( 36 ) ∗170=1718496 kgcm¿
0 c

α 1=1.25∗( 1− √ 1−2∗μu )

α 1=1.25∗( 1−√ 1−2∗0.39 ) ⟹ α 1=0.66

Z1 =d ( 1−0.4∗α 1 ) ⟹36∗( 1−0.4∗0.66 ) =26.50 cm

 Section d’armatures ( A S 1 )
M rb 1718496 kgcm
A S 1= ⟹ 2
Z∗f S 26.50 cm∗3478 kg/cm
2
A S 1=18.65 cm
72

2. Calcul de moment résiduel


M rés=M u−M rb

M rés=2318389 kgcm−1718496 kgcm=599893 kgcm


'
Z 2=d−d ⟹36 cm−4 cm=32 cm

 Section d’armatures ( A S 2 )
M rés 599893 kgcm
A S 2= ⟹ 2
Z∗f S 32 cm∗3478 kg/cm
2
A S 2=5.39 cm soit 3 HA 16 mm /m

Acier tendue¿ A S 2+ A S 1
2 2 2
⟹ 18.65 cm +5.39 cm =24.04 cm soit 8 HA 20 mm/m

III.4.5.1.3. Calcul des sections d’armatures transversales5


Nous procédons aux calculs de la manière suivante ; nous
cherchons d’abord la raison qui est égal à la portée de la travée divisée par
deux ; la valeur trouvée est l’équidistance de chaque cadre suivant la progression
de CAQUOT définie par les valeurs suivantes :
7 ;8 ;9 ;10 ;11 ;13 ;16 ;20 ;25 ;30 ;35 et 40
Tu
σ u= ;
b0∗d

0.9∗f C∗ A
St ≤ t
;
b0∗γ S∗( σ u−0.3 k∗f tj )

5
MOUGIN, Jean Pierre, Cours de béton armé, BAEL 91, calcul des éléments simple et des structures des bâtiments, Ed
Eyrolles, 1992, Paris, 268p ; p471
72

2
n∗π ¿ ( d )
At = et
4
∅L
∅t =
3

Avec :
T u=effort tranchant ou réactions aux appuis

σ u= contrainte ultime de cisaillement

∅ t = diamètre des étriers

At = section des étriers

b 0= base de la poutre

d = hauteur totale de la poutre

St = espacement des étriers

k = 0, si la poutre est coulée avec reprise de bétonnage ou la fissuration est


très préjudiciable
k = 1 pour autres cas.

 Effort tranchant à droite


d
T u=R B=19139.89 kg
 Contrainte ultime de cisaillement
Tu
σ u=
b0∗d

19139.91 kg 2
σ u= =26.83 kg /cm
20 cm∗36 cm

 Diamètre des étriers


∅L 16 mm
∅t = ⟹ =5 .33 mm ; ont adopte 6 mm
3 3
 Section des étriers
2 2
n∗π ¿ ( d ) 3∗3.14 ¿ ( 0.6 )
At = ⟹ =0.84 cm2
4 4
 Espacement des étriers
72

0.9∗f e∗¿ A
St ≤ t
¿
b0∗γ S∗( σ u−0.3 k∗f tj )
2
0.9∗4000 kg /cm∗0.84 cm
St ≤ 2
=4.90 cm
20 cm∗1.15∗26.83 kg /cm
St =7 cm

St 7 cm
S0 = ⟹ =3.5 cm
2 2
L 6.00
Module ou raison ¿ 2 ⟹ 2 =3.00

III.5. DIMENSIONNEMENT DE LA POUTRETRANSVERSALE

III.5.1.Predimensionnement de la Poutre

III.5.1.1. Détermination de la Hauteur de la Poutre


La hauteur de la de cette dernière est généralement comprise entre
1 1
L et L de la travée la plus longue entre axes des colonnes.
20 x 10 x
1 1
Soit 20 L x ≤ ht ≤ 10 Lx
600 600
≤ ht ≤
20 10
30 cm ≤ht ≤60 cm , nous adoptons pour notre poutre une hauteur ht=40 cm
III.5.1.2.Détermination de la largeur (base) de la Poutre
ht 40
b 0= ⟹ =20 cm
2 2

 D’où la section de notre poutre sera de40 cm∗20 cm


72

ht 40
 L’enrobage (d’) sera : 20 + 2⟹ 20 +2=4 cm
 La hauteur utile(d) sera :d=ht−d ' ⟹ 40−4=36 cm
 La largeur de la table de compression :
2∗L 2∗600
b= + b 0= +20 cm=140 cm
10 10

0.18 m

0.22 m
A

0.20

III.5.2. Analyse des charges sur la poutre

 Poids propre de la retombée (nervure) G1.


3
b 0∗ht∗ρbeton ⟹ 0.20 m∗0.22 m∗2500 kg /m =110 kg /m

 Poids du mur de remplissage G2.


3
b mur∗h mur∗ρmac ⟹ 0.20 m∗3.00 m∗2200 kg /m =1320 kg/m

 poids revêtement sur le mur G3.


(b ¿ ¿ mur∗hmur ∗ρend )∗2¿
3
(0.02 m∗3.00 m∗1800 kg/m )∗2=216 kg/m

 Poids total de la poutre ( pu)


G 1+ G2+G 3

⟹ 110 kg /m+ 1320 kg/m+216 kg /m=1646 kg /m

Comme la poutre est dimensionnée suivant la méthode des états limites ultimes,
la charge totale sera majorée par coefficient affecté aux charges qui est 1.35.

D’où p u=ΣG∗1.35 ⟹ 1646 kg /m∗1.35=2222 kg /m


72

III.5.2.1.Schéma de transfert de charge de la dalle sur la Poutre


Transversale

III.5.2.2. Calcul des charges sur la poutre


 Plaque N°33, 30 et 27 (trapèze)
S∗Pdalle
q u=
LT
( B+b )∗H ( 6.00 m+ 2.00 m)∗2.00
S= ⟹ =8.00 m2
2 2
2
8.00 m ∗1375.05 kg /m
q u= =1833.4 kg/m
6.00 m

 Plaque N°10 et 11 (triangle)


S∗Pdalle
q u=
LT

S=
B∗H
2

2(
4.00 m∗2.00 m
)
=3.00 m
2

2
3.00 m ∗1375.05 kg /m
q u= =1031.28 kg /m
4.00 m
 Plaque N°35, 32, 29, 26, 1, 36, 2 et 11 (triangle)
S∗Pdalle
q u=
LT

S=
B∗H
2

2(
6.00 m∗3.00 m
)
=9.00 m2
2
9.00 m ∗1375.05 kg /m
q u= =2062.58 kg/m
4.00 m
 Plaque N°19 (triangle)
S∗Pdalle
q u=
LT

S=
B∗H
2

2(
3.00 m∗1.50 m
)
=2.25 m2
2
2.25 m ∗1375.05 kg /m
q u= =1031.28 kg /m
3.00 m

III.5.2.3. Charge définitive entre travée de la poutre


Travée G−H=2062.58 +2062.58+2222=6347.16 kg/m
72

Travée H−I =2062.58+1833.4 +2222=6117.98 kg /m


Travée I −J =2062.58+1833.4 +2222=6117.98 kg /m
Travée J −K=2062.58+1833.4+2222=6117.98kg /m
Travée K−L=1031.28+ 2222=3253.28 kg /m
Travée L−B=1031.28+1031.28+ 2222=4284.56 kg/m
Travée B−M =2062.58+2062.58+ 2222=6347.16 kg /m

III.5.2.3. Schéma statique de la poutre

III.5.3. Calcul des moments fléchissant


Ici la méthode qui nous aidera à déterminer les moments et les
réactions aux appuis est celle de CLAPAYRONS, elle consiste à considérer trois
appuis consécutifs équivalents à deux travées consécutives.

M G LGH +2 M H ( LGH + LHI ) + M I L HI =−6 EI ( R HG


H + RH )
HI

M H LHI +2 M I ( L HI + LIH ) + M J LIJ =−6 EI ( RIHI + R IJI )


M I LIJ +2 M J ( L IJ + LJK ) + M K L JK=−6 EI ( R IJJ + R JK
J )

M J LJK + 2 M K ( LJK + L KL ) + M L L KL=−6 EI ( R JK


K + RK )
KL

M K L KL+ 2 M L ( LKL + L LB ) + M B L LB=−6 EI ( R KL


L + RL )
LB

M L L LB +2 M B ( L LB + LBM ) + M M L BM =−6 EI ( R LB
B + RB )
BM

2
q∗l
Où, EI est une constante, R HG HI
H et R H =
24 EI

M G=M M =0

( )( )
3 3
6347.16∗( 6.00 ) 6117.98∗( 6.00 )
24 M H + 6 M I =−6 EI +
24 EI 24 EI

6 M H +24 M I +6 M J =−6 EI (
6117.98∗( 6.00 )3
24 EI
+ )(
611.97∗( 3.00 )3
24 EI )
( )( )
3 3
6117.98∗( 6.00 ) 6117.98∗( 6.00 )
6 M I +24 M J +6 M K =−6 EI +
24 EI 24 EI
72

6 M J +18 M K +3 M L =−6 EI (
6117.98∗( 6.00 )3
24 EI
+ )(
3253.28∗( 3.00 )3
24 EI )
( )( )
3 3
3253.28∗( 3.00 ) 4284.56∗( 4.00 )
3 M K + 14 M L + 4 M B =−6 EI +
24 EI 24 EI

4 M L + 20 M B=−6 EI ( 4284.56∗( 4.00 )3


24 EI
+)(
6347.16∗( 6.00 )3
24 EI )
24 M H + 6 M I =−60774.26
6 M H +24 M I +6 M J =−660741.84
6 M I +24 M J +6 M K =−660741.84
6 M J +18 M K +3 M L =−344942.28
3 M K + 14 M L + 4 M B =−90512.59
4 M L + 20 M B=−411083.59
Après calcul et résolution de l’équation par le logiciel RDM 6, nous
trouvons ainsi les moments dans les différents appuis de la poutre.
M G=M M =0
M H =−23913.26 kgm
M I =−16533.21 kgm
M J =−20077.55 kgm
M K =−13280.24 kgm
M L =2393.03 kgm
M B =−21043.59 kgm

III.5.4. Calcul des réactions aux appuis6

a) Travée G – H

G H
6.00m

+∑ X =0

g
+↑ ∑Y =0 ⟹ RG −q∗l+ R H =0
g
⟹ RG −6347.16 kg /m∗6.00 m+ R H =0
g
⟹ RG + R H =38082.96 kg (1)

6
GOULET, Jean et BOUTIN, Jean Pierre, Aide-mémoire. Résistance des matériaux, 8 éd Dunod, Paris
1998, p308
72

2
g q∗l
+↻∑ M G =0 ⟹−l∗R H + + M H =0
2
2
6347.16 kg/m∗( 6.00 m)
−6 R gH + +23913.26 kgm
2
g
−6 R H =138162.14 kg
g 138162.14 kg g
RH= ⟹ R H =23027.02 kg (2)
6
Portons (2) dans (1)
g
RG + R H =38082.96 kg
RG +2307.02 kg=38082.96 kg
RG =−15031.94 kg

b) Travée H – I

H I
6.00m

+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R H −q∗l+ R I =0
d g
⟹ R H −6117.98 kg /m∗6.00 m+ R I =0

d g
⟹ R H + R I =36707.88 kg (1)
2
q∗l g
+↻ ∑ M H =0 ⟹−M H + −l∗R I + M I =0
2
2
6117.98 kg/m∗( 6.00 m )
−223913.26+ −6.00∗R gI + 16533.21 kgm
2
g
−6.00 R I =102743.59 kg
g 102743.59 kg g
RI = ⟹ R I =17123.93 kg (2)
6
72

Portons (2) dans (1)


d g
R H + R I =36707.88 kg
d
R H + 17123.93 kg=36707.88 kg
d
R H =−19583.95 kg

c) Travée I – J

I J
6.00m


+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R I −q∗l+ R I =0
d g
⟹ RI −6117.98kg /m∗6.00 m+ R J =0

d g
⟹ RI + R J =36707.88 kg (1)
2
q∗l g
+↻ ∑ M I =0 ⟹−M I + −l∗RJ + M J =0
2
2
6117.98kg /m∗( 6.00 m )
−16533.21+ −6.00∗R gJ +20077.55 kgm
2
g
−6.00∗RJ =113667.98 kg
g
⟹ RJ =18944.66 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d g
R I + R J =36707.88 kg
d
R I + 18944.66 kg=36707.88 kg
d
R I =17763.22 kg

d) Travée J – K

J K
6.00m

+∑ X =0
72

d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R J −q∗l+ R K =0
d g
⟹ RJ −6117.98kg /m∗6.00 m+ R E=0

d g
⟹ RJ + R K =36707.88 kg (1)
2
q∗l g
+↻ ∑ M J =0 ⟹−M J + −l∗R K + M K =0
2
2
6117.98 kg/m∗( 6.00 m )
−20077.55+ −6.00∗RgK +13280.24 kgm
2
g
−6.00∗R K =103326.33 kg
g
⟹ R K =17221.06 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d g
R J + R K =36707.88 kg
d
R J + 17221.06 kg=36707.88 kg
d
R J =−19486.82 kg

e) Travée K – L

K L
3.00m

+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R K −q∗l+ R L =0
d g
⟹ R K −3253.28 kg /m∗3.00 m+ R L=0
d g
⟹ R K + R L=9758.84 kg (1)
2
q∗l g
+↻∑ M K =0⟹−M K + −l∗R L + M L =0
2
2
3253.28 kg /m∗( 3.00 m )
−13280.24+ −3.00∗R gL + 2393.03 kgm
2
g
3.00∗R L=3752.55 kg
g
⟹ R L=1250.85 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d g
R K + R L =9758.84 kg
d
R K +1250.85 kg=9758.84 kg
d
R K =−9758.84 kg
72

f) Travée L – B

L B
4.00m

+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R L−q∗l+ R B =0
d g
⟹ R L−4284.56 kg /m∗4.00 m+ R B=0
d g
⟹ R L + RB =17138.24 kg (1)
2
q∗l g
+↻ ∑ M L=0⟹−M L + −l∗R B + M B =0
2
2
4284.56 kg/m∗( 4.00 m )
−2393.03+ −4.00∗RgB +21043.59 kgm
2
g
−4.00∗R B=52927.04 kg
g 52927.04 kg g
R B= ⟹ R B =13231.76 kg (2)
4
Portons (2) dans (1)
d g
R L + R B=17138.24 kg
d
R L +13231.76 kg=17138.24 kg
d
R L=−3906.48 kg

g) Travée B – M

B M
6.00m

+∑ X =0
d
+↑ ∑Y =0 ⟹ R B−q∗l+ R M =0
d
⟹ RB −6347.16 kg /m∗6.00 m+ R M =0
72

d
⟹ RB + R M =38082.96 kg (1)
2
q∗l
+↻ ∑ M G =0 ⟹−M G + −l∗R H =0
2
2
6347.16∗( 6.00 )
−21043.59+ −6.00 R M =0
2
−6 R M =93205.29 kgm
93205.29 kg
RM= ⟹ R M =15534.22 kg (2)
6
Portons (2) dans (1)
d
R B + RM =38082.96 kg
d
R B +15534.22 kg=38082.96 kg
d
R B=−22548.74 kg

III.4.4. Calcul des moments en travées

a) Travée G – H
2
( RG )
M GH = −M G; Avec M G=0
2∗q
( 15055.94 )2
M GH = =17854.71 kgm
2∗6347.16

b) Travée H – I
2
( RdH )
M HI = −M H ; Avec M H =23913.26 kgm
2∗q
(19583.95 kg )2
M HI = −23913.26 kgm
2∗6117.98 kg/m
M HI =7431.00 kgm

c) Travée I – J
2
( RdI )
M IJ = −M I ; Avec M I =16533.21 kgm
2∗q
(17763.22 )2
M IJ = −16533.21 kgm
2∗6117.98 kg /m
M IJ =9254.06 kgm

d) Travée J – K
2
( RdJ )
M JK = −M J ; Avec M J =20077.55 kgm
2∗q
72

(19486.82 )2
M JK = −20077.55 kgm
2∗6117.98 kg /m
M JK =10956.88 kgm

e) Travée K – L
2
( R dK )
M KL= −M K ; Avec M K =13280.24 kgm
2∗q
( 9758.84 kg )2
M EF = −13280.24 kgm
2∗3253.28 kg /m
M EF =1356.52 kgm

f) Travée L – B
2
( R dL )
M LB = −M L; Avec M L=2393.03 kgm
2∗q
(3906.48 kg )2
M LB = −2393.03 kgm
2∗4284.56 kg /m
M LB =−612.14 kgm

g) Travée B – M
2
( R dB )
M BM = −M B ; Avec M B =21043.59 kgm
2∗q
( 22548.74 kg )2
M BM = −21043.59 kgm
2∗6347.16 kg /m
M BM =19009.41 kgm
72

Tableau N°3 : Récapitulatifs des moments et réactions aux appuis

Appuis Travées Réactions aux Moments aux Moments en


appuis appuis travées

G G–H −15055.94 kg 0 17854.71

H–G 23027.02 kg −23913.26 7431.00

H H–I −19583.95 kg

I–H 17123.93 kg −16533.21 9254.06

I I–J −17763.22 kg

J–I 18944.66 kg −20077.55 10956.88

J J –K −19486.82 kg

K–J 17221.06 kg −13280.24 1356.52

K K –L −9758.84 kg

L– K 1252.55 kg −2352.03 −612.24

L L–B −3906.48 kg

B–L 13231.76 kg −21043.59 19009.41

B B–M −22548.74 kg
72

M M–B 1553.22 kg 0

III.4.5. Diagrammes des moments fléchissant

III.4.6. Diagramme des efforts tranchants

III.5. Calcul des armatures


41
Nous déterminerons la largeur de la table de compression car la
poutre est solidaire à la dalle. La largeur de la table de compression à prendre en
compte est limitée à la plus faible des valeurs ci – dessous :
2∗L 2∗600
b= + b 0= +20 cm=140 cm
10 10

III.5.1. Calcul des sections d’armatures longitudinales


III.5.1.1. Section d’armature en travée (travée B−M)
M max =M B− M =19009.41 kgm≈ 1900941 kgcm
2
f C =170 kg /cm
2
f S=3478 kg/cm
72

M G −H
μu = 2

b∗( d ) ∗f C

1900941 kgcm
μu = 2 2
=0.061 ≤ 0.392
140 cm∗(36 cm ) ∗170 kg /cm

La poutre sera simplement armée.


α =1.25∗( 1− √ 1−2∗μu )

α =1.25∗( 1− √1−2∗0.061 )
α =0.078
 Vérification de la position de l’axe neutre (Y)
Y =α∗d ⟹ 0.078∗36 cm
Y =2.808 cm

L’axe neutre tombe dans la table de compression et la section en Té


sera calculée comme une section rectangulaire de base b et de hauteur totale ht .

 Bras de levier (Z)


Z=d−0.4 y ⟹ 36 cm−0.4∗2.808 cm
Z=34.88 cm
 Section d’armatures ( A S )
M B− M 1900941 kgcm
A S= ⟹ 2
Z∗f S 34.88 cm∗3478 kg/cm
2
A S=15.66 cm soit 8 HA 16 mm/m
72

III.5.1. 2. Section d’armature aux appuis (appuis H)


M H =M u =23913.26 kgm soit 2391326 kgcm

MH
μu = 2
b 0∗( d ) ∗f C

2391326 kgcm
μu = 2 2
=0.54>0.39 2
20 cm∗( 36 cm ) ∗170 kg /cm

μu > μ lim ¿¿ L’appui sera doublement armé et admet d’acier comprimé.

1. Calcul de moments réduit du béton


M rb=μlim ¿∗b ∗d ∗f 2 2
⟹0.39∗20∗( 36 ) ∗170=1718496 kgcm¿
0 c

α 1=1.25∗( 1− √ 1−2∗μu )

α 1=1.25∗( 1−√ 1−2∗0.39 ) ⟹ α 1=0.66

Z1 =d ( 1−0.4∗α 1 ) ⟹36∗( 1−0.4∗0.66 ) =26.50 cm

 Section d’armatures ( A S 1 )
M rb 1718496 kgcm
A S 1= ⟹ 2
Z∗f S 26.50 cm∗3478 kg/cm
2
A S 1=18.65 cm

2. Calcul de moment résistant


M rés=M u−M rb

M rés=2391326 kgcm−1718496 kgcm=672830 kgcm


'
Z 2=d−d ⟹36 cm−4 cm=32 cm

 Section d’armatures ( A S 2 )
M rés 672830 kgcm
A S 2= ⟹ 2
Z∗f S 32 cm∗3478 kg/cm
2
A S 2=6.04 cm soit 8 HA 10 mm/m

Acier tendue¿ A S 2+ A S 1
2 2 2
⟹ 18.65 cm + 6.04 cm =24.69 cm soit 8 HA 20 mm/m
72

III.5.1. 3. Calcul des sections d’armatures transversales7


Nous procédons aux calculs de la manière suivante ; nous
cherchons d’abord la raison qui est égal à la portée de la travée divisée par
deux ; la valeur trouvée est l’équidistance de chaque cadre suivant la progression
de CAQUOT définie par les valeurs suivantes :
7 ;8 ;9 ;10 ;11 ;13 ;16 ;20 ;25 ;30 ;35 et 40
Tu
σ u= ;
b0∗d

0.9∗f C∗ A
St ≤ t
;
b0∗γ S∗( σ u−0.3 k∗f tj )
2
n∗π ¿ ( d )
At = et
4
∅L
∅t =
3

Avec :
T u=effort tranchant ou réactions aux appuis

σ u= contrainte ultime de cisaillement

∅ t = diamètre des étriers

At = section des étriers

b 0= base de la poutre

7
MOUGIN, Jean Pierre, Cours de béton armé, BAEL 91, calcul des éléments simple et des structures des bâtiments, Ed
Eyrolles, 1992, Paris, 268p ; p471
72

d = hauteur totale de la poutre

St = espacement des étriers

k = 0, si la poutre est coulée avec reprise de bétonnage ou la fissuration est


très préjudiciable
k = 1 pour autres cas.

 Effort tranchant à droite


d
T u=R B=22548.74 kg
 Contrainte ultime de cisaillement
Tu
σ u=
b0∗d

22548.74 kg 2
σ u= =31.31 kg /cm
20 cm∗36 cm

 Diamètre des étriers


∅L 16 mm
∅t = ⟹ =5.33 , ont adopte≤barre de 6 mm
3 3
 Section des étriers
2 2
n∗π ¿ ( d ) 3∗3.14 ¿ ( 0.6 )
At = ⟹ =0.84 cm2
4 4
 Espacement des étriers
0.9∗f e∗¿ A
St ≤ t
¿
b0∗γ S∗( σ u−0.3 k∗f tj )
2
0.9∗4000 kg /cm∗0.84 cm
St ≤ 2
=4.19 cm
20 cm∗1.15∗31.31 kg /cm
St =7 cm

St 7 cm
S0 = ⟹ =3.5 cm
2 2
L 6.00
Module ou raison ¿ 2 ⟹ 2 =3.00
72

III.6. CALCUL DE LA POUTRE DE CHAINAGE

III.6.1. EVALUATION DE LA CHARGE HORIZONTALE


(poussée du vent)8

III.6.1.1. Vitesse normale du vent (V ¿¿ n)¿

La vitesse normale du vent est la vitesse de pointe instantanée qui


n’est atteinte ou dépassée que trois jours sur mille, notons qu’elle est une
donnée, prépondérante pour cette étude, et est obtenue à l’aide des relevés
météorologiques.

N.B : pour la province du KONGO – CENTRAL, la vitesse nominale


V n=28.54 m/s

III.6.1.2. La vitesse extrême du vent (V ¿¿ e )¿

La vitesse extrême du vent est la plus grande vitesse instantanée à


laquelle la construction peut être soumise une fois dans sa vie (40 à 60 ans)
V e =√ 1.75*V n ⟹1.325∗28.54=37.75 m/s

III.6.1.3. La pression normale du vent (q n)

La pression normale du vent est la pression du vent qui s’exerce à


une hauteur de 10 mètres au – dessus du sol.
2
V
Partant du théorème de Bernoulli q=ρ
2∗g

Avec :

 ρ : la masse volumique du vent ¿ 1.225 daN /m2;


8
PHAMBU NGEMBO J.R. ; Cours de pont, G3 BTP, IBTP/ Matadi, 2015 – 2016.
72

 V : vitesse du vent ;
 g: accélération de la pesanteur¿ 9.81 m/s 2, prenons g=10 m/ s2
2
(28.54)
Ainsi,q=1.225 =49.89 daN /m2 ≈ 50 daN /m2
2∗10

III.6.1.4. La Pression dynamique du vent (q d )

III.6.1.4.1. Définition

On appelle pression dynamique de base on noteq 10, celle du vent qui


s’exerce à une hauteur de 10 mètres au-dessus du sol pour un site normal, c’est-
à-dire ni exposé cas de la montagne et la mer, ni protégé cas de la ville, sa valeur
varie en fonction des régions :

Tableau N°5 : Différentes valeurs de pression dynamiques9

Région de la RDC Pression dynamique Pression dynamique


normale extrême
2 2
Kinshasa, Bandundu et le 50 daN /m 87.5 daN /m
Kongo – Central
2 2
Le Kasaï et l’Equateur 70 daN /m 122.5 daN /m
2 2
Les 2 Kivu et l’Orientale 90 daN /m 157.5 daN /m

Connaissant aussi la pression normale du vent(q n) , on peut


déterminer la pression dynamique extrême q d (q10) à 10 mètres au – dessus du sol
par la relation :q 10=1.75∗qn ⟹ 1.75∗50=87.5 daN /m2

IV.6.1.5. Effet de la hauteur

Etant donné que la hauteur du bâtiment est de 11.24mètres, le


règlement NV 65 prévoit une modification de la pression de base. Dans notre
cas, nous allons considérer la pression extrême comme étant connue et
représentant le cas le plus défavorable. Elle est obtenue par la formule :

9
PHAMBU NGEMBO J.R. ; Cours de pont, G3 BTP, IBTP/ Matadi, 2015 – 2016.
72

q H 2.5∗H +18
=
q10 H +60
2.5∗q10∗H + 18
⟹ q11.36 = ; avec H=11.36 m
H+ 60
2.5∗87.5∗11.36+18
q 11.36=
11.36+ 60
2
q 11.364=90 daN /m

III.6.1.6. Effet du site

A l’intérieure d’une région, à la quelle correspond une tenir compte


de la nature du site, de l’implantation donné par le tableau qui suit :

Tableau n°6 Effet du site

Types de site Région I Région II Région III

Site protégé (intérieure d’une ville) 0.8 0.8 0.8

Site normale 1.0 1.0 1.0

Site exposé (en montagne) 1.35 1.30 1.25

III.6.1.7. Evaluation de la pression dynamique du vent


q=q 11.24∗K s∗K r∗Z

Avec :

 q = la pression dynamique du vent ;


 q 10.50= la pression du vent à 10 mètres ;
 K s = coefficient dépendant du site=1 ;
 K r =coefficient dépendant de la région=1 et
 Z =zone d’influence de file de poteaux.
2
q=90∗1.35∗1∗1∗4.5=405 daN /m =405 kg /m

III.6.2. Calcul de la poutre chainage longitudinale

 Poids propre de la poutre


3
b 0∗ht∗ρbeton ⟹ 0.20 m∗0.20 m∗2500 kg /m =100 kg /m

 Effet du vent¿ 405 kg/m


 Poids de la toiture¿ 100 kg /m
72

N u=1.35 G+1.5 Q+1.5 W

N u=1.35∗100 kg /m+ 1.5∗100 kg /m+ 1.5∗405 kg /mN u=892.50 kg/m

III.6.3. schéma statique de la poutre

III.6.3.1. Calcul des moments fléchissant et des réactions aux appuis

Ici la méthode qui nous aidera à déterminer les moments et les


réactions aux appuis est celle de CLAPEYRON, elle consiste à considérer trois
appuis consécutifs équivalents à deux travées consécutives.

M A L AB +2 M B ( L AB + L BC )+ M C LBC =−6 EI ( R BA
B + RB )
BC

M B LBC +2 M C ( L BC + LCD ) + M D LCD =−6 EI ( RCBC + R CD


C )

M C LCD +2 M D ( LCD + LDE ) + M E LDE =−6 EI ( RCD


D + RD )
DE

M D L DE +2 M E ( LDE + L EF ) + M F LEF =−6 EI ( R DE


E + RE )
EF

3
BA BC q∗L
Où, EI est une constante, R B ou R B =
24 EI

M A =M F =0

24 M B+ 6 M C =−6 EI ( 892.5∗( 6.00 )3 892.5∗( 6.00 )3


24 EI
+
24 EI )
( )
3 3
892.5∗( 6.00 ) 892.5∗( 6.00 )
6 M B +24 M C + 6 M D=−6 EI +
24 EI 24 EI

6 M C +24 M D +6 M E =−6 EI ( 892.5∗( 6.00 )3 892.5∗( 6.00 )3


24 EI
+
24 EI )
( )
3 3
892.5∗( 6.00 ) 892.5∗( 6.00 )
6 M D +24 M E =−6 EI +
24 EI 24 EI

24 M B+ 6 M C =−96390
72

6 M B +24 M C + 6 M D=−96390
6 M C +24 M D +6 M E =−96390
6 M D +24 M E =−96390
Après calcul et résolution de l’équation par le logiciel RDM 6,
nous trouvons ainsi les moments dans les différents appuis de la poutre
M A =M F =0
M B =−3382.11kgm
M C =−2536.58 kgm
M D =−2536.58 kgm
M E =−3382.11kgm

III.6.3.2. Calcul des réactions aux appuis10

a) Travée A – B

A B
6.00m

+∑ X =0

g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R A −q∗l+ R B=0
g
⟹ R A −892.50 kg /m∗6.00 m+ RB =0
g
⟹ R A + R B=5355 kg (1)
2
g q∗l
+↻ ∑ M A =0 ⟹−l∗RB + + M B=0
2
2
892.50 kg/m∗( 6.00 m )
−6 R gB + +3382.11kgm
2
g
−6 R B=19447.11 kg
g 19447.11kg
R B=
6
g
⟹ RB =3241.19 kg (2)
Portons (2) dans (1)
10
GOULET, Jean et BOUTIN, Jean Pierre, Aide-mémoire. Résistance des matériaux, 8 éd Dunod, Paris
1998, p308
72

g
R A + R B =5355 kg
R A + 3241.19 kg=5355 kg
R A =2113.81kg

b) Travée B – C

B C
6.00m

+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R B−q∗l+ R c =0
d g
⟹ RB −892.50 kg /m∗6.00 m+ RC =0
d g
⟹ RB + R C =5355 kg (1)
2
q∗l g
+↻ ∑ M B=0 ⟹−M B + −l∗RC + M C =0
2
2
892.50 kg /m∗( 6.00 m )
−3382.11+ −6.00∗R gC +2536.58 kgm
2
g
−6.00 RC =15219.47 kg
g 15219.47 kg
RC =
6
g
⟹ RC =2536.58 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d g
R B + RC =5355 kg
d
R B +2536.58 kg=5355 kg
d
R B=2818.42 kg

c) Travée C – D
72


+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ RC −q∗l+ R D =0
d g
⟹ RC −892.50 kg/m∗6.00 m+ R D =0
d g
⟹ RC + R D=5355 kg (1)
2
q∗l g
+↻ ∑ M C =0⟹−M C + −l∗R D + M D =0
2
2
892.50 kg /m∗( 6.00 m )
−2536.58+ −6.00∗R gD + 2536.58 kgm
2
g
−6.00∗R D=16055 kg
g
⟹ R D=2677.50 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d g
RC + R D=5355 kg
d
RC +2677.50 kg=5355 kg
d
RC =2677.50 kg

d) Travée D – E

D E
6.00m

+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R D−q∗l+ R E =0
d g
⟹ R D−892.50 kg /m∗6.00 m+ R E=0
d g
⟹ R D + R E=5355 kg (1)
2
q∗l g
+↻∑ M D=0 ⟹−M D + −l∗R E + M E=0
2
72

2
892.50 kg /m∗( 6.00 m )
−2536.58+ −6.00∗R gE +3382.11 kgm
2
g
−6.00∗R E=16910.53 kg
g
⟹ R E=2818.42 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d g
R D + R E=5355 kg
d
R D +2818.42 kg=5355 kg
d
R D=2536.58 kg

e) Travée E – F

E F
6.00m

+∑ X =0
d
+↑ ∑Y =0 ⟹ R E−q∗l+ R F =0
d
⟹ R E−892.50 kg /m∗6.00 m+ R F=0
d
⟹ R E + RF =5355 kg (1)
2
q∗l
+↻∑ M E=0 ⟹−M E + −l∗R F =0
2
2
892.50∗( 6.00 )
−3382.11+ −6.00 R F
2
−6 R F =−12682.89 kgm
−12682.89 kg
R F=
6
⟹ RF =2113.82 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d
R E + R F=5355 kg
d
R E +2113.82 kg=5355 kg
d
R E=3241 kg

III.6.4. calcul de la poutre chainage transversale

 Poids propre de la poutre


3
b 0∗ht∗ρbeton ⟹ 0.20 m∗0.20 m∗2500 kg /m =100 kg /m
72

 Effet du vent¿ 405 kg/m


 Poids de la toiture¿ 100 kg /m
N u=1.35 G+1.5 Q+1.5 W

N u=1.35∗100 kg /m+ 1.5∗100 kg /m+ 1.5∗405 kg /mN u=892.50 kg/m

Schéma statique de la poutre

III.6.4.1. Calcul des moments fléchissant et des réactions aux appuis


Ici la méthode qui nous aidera à déterminer les moments et les
réactions aux appuis est celle de CLAPAYRONS, elle consiste à considérer trois
appuis consécutifs équivalents à deux travées consécutives.

M G LGH +2 M H ( LGH + LHI ) + M I L HI =−6 EI ( R HG


H + RH )
HI

M H LHI +2 M I ( L HI + LIH ) + M J LIJ =−6 EI ( RIHI + R IJI )


M I LIJ +2 M J ( L IJ + LJK ) + M K L JK=−6 EI ( R IJJ + R JK
J )

M J LJK + 2 M K ( LJK + L KL ) + M L L KL=−6 EI ( R JK


K + RK )
KL

M K L KL+ 2 M L ( LKL + L LB ) + M B L LB=−6 EI ( R KL


L + RL )
LB

M L L LB +2 M B ( L LB + LBM ) + M M L BM =−6 EI ( R LB
B + RB )
BM

2
q∗l
Où, EI est une constante, R HG HI
H et R H =
24 EI

M G=M M =0

24 M H + 6 M I =−6 EI ( 892.50∗( 6.00 )3


24 EI )(
+
892.50∗( 6.00 )3
24 EI )
( )( )
3 3
892.50∗( 6.00 ) 892.50∗( 3.00 )
6 M H +24 M I +6 M J =−6 EI +
24 EI 24 EI

6 M I +24 M J +6 M K =−6 EI ( 892.50∗( 6.00 3


24 EI
)
+ )(
892.50∗( 6.00 3
24 EI
)
)
( )( )
3 3
892.50∗( 6.00 ) 892.50∗( 3.00 )
6 M J +18 M K +3 M L =−6 EI +
24 EI 24 EI
72

3 M K + 14 M L + 4 M B =−6 EI (
892.50∗( 3.00 )3
24 EI
+ )(
892.50∗( 4.00 )3
24 EI )
( )( )
3 3
892.50∗( 4.00 ) 892.50∗( 6.00 )
4 M L + 20 M B=−6 EI +
24 EI 24 EI

24 M H + 6 M I =−96390
6 M H +24 M I +6 M J =−96390
6 M I +24 M J +6 M K =−96390
6 M J +18 M K +3 M L =−54219.34
3 M K + 14 M L + 4 M B =−20304.38
4 M L + 20 M B=−62476
Après calcul et résolution de l’équation par le logiciel RDM 6, nous
trouvons ainsi les moments dans les différents appuis de la poutre.
M G=M M =0

M H =−3406.37 kgm
M I =−2439.53 kgm
M J =−2900.52 kgm
M K =−2023.39 kgm
M L =−131.76 kgm
M B =−3097.40 kgm

III.6.4.2. Calcul des réactions aux appuis11

a) Travée G – H

G H
6.00m

+∑ X =0

g
+↑ ∑Y =0 ⟹ RG −q∗l+ R H =0
g
⟹ RG −892.50 kg /m∗6.00 m+ R H =0
g
⟹ RG + R H =5355 kg (1)
11
GOULET, Jean et BOUTIN, Jean Pierre, Aide-mémoire. Résistance des matériaux, 8 éd Dunod, Paris
1998, p308
72

2
g q∗l
+↻∑ M G =0 ⟹−l∗R H + + M H =0
2
2
892.50 kg/m∗( 6.00 m)
−6 R gH + + 3406.37 kgm
2
g
−6 R H =19471.37 kg
g 19471.37 kg
RH=
6
g
⟹ R H =3245.23 kg (2)
Portons (2) dans (1)
g
RG + R H =5355 kg
RG +3245.23 kg=5355 kg
RG =2109.77 kg

b) Travée H – I

H I
6.00m


+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R H −q∗l+ R I =0
d g
⟹ R H −892.50 kg /m∗6.00 m+ RI =0
d g
⟹ R H + R I =5355 kg (1)
2
q∗l g
+↻∑ M H =0 ⟹−M H + −l∗R I + M I =0
2
2
892.50 kg /m∗( 6.00 m )
−3406.37+ −6.00∗R gI +2439.53 kgm
2
g
−6.00 R I =15098.16 kg
g 15098.16 kg
RI =
6
g
⟹ RI =2516.36 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d g
R H + R I =5355 kg
d
R H + 2516.36 kg=5355 kg
d
R H =−2838.64 kg
72

c) Travée I – J

I J
6.00m


+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R I −q∗l+ R I =0
d g
⟹ RI −892.50 kg /m∗6.00 m+ RJ =0

d g
⟹ RI + R J =5355 kg (1)
2
q∗l g
+↻ ∑ M I =0 ⟹−M I + −l∗RJ + M J =0
2
2
892.50 kg /m∗( 6.00 m )
−2439.53+ −6.00∗R gJ +2900.52 kgm
2
g
−6.00∗RJ =16525.99 kg
g
⟹ RJ =2754.33 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d g
R I + R J =5355 kg
d
R I + 2754.33 kg=5355 kg
d
R I =2600.674 kg

d) Travée J – K

J K
6.00m

+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R J −q∗l+ R K =0
72

d g
⟹ RJ −892.50 kg /m∗6.00 m+ R E=0
d g
⟹ RJ + R K =5355 kg (1)
2
q∗l g
+↻ ∑ M J =0 ⟹−M J + −l∗R K + M K =0
2
2
892.50 kg /m∗( 6.00 m )
−2900.52+ −6.00∗R gK +2023.39 kgm
2
g
−6.00∗R K =15187.87 kg
g
⟹ R K =2531.31 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d g
R J + R K =5355 kg
d
R J + 2531.31 kg=5355 kg
d
R J =−2823.69 kg

e) Travée K – L

K L
3.00m

+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R K −q∗l+ R L =0
d g
⟹ R K −892.50 kg/m∗3.00 m+ R L =0
d g
⟹ R K + R L=2677.5 kg (1)
2
q∗l g
+↻∑ M K =0⟹−M K + −l∗R L + M L =0
2
2
892.50 kg /m∗( 3.00 m )
−2023.39+ −3.00∗R gL +131.76 kgm
2
g
3.00∗R L=2124.62 kg
g
⟹ R L=708.21 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d g
R K + R L =2677.5 kg
d
R K +708.21 kg=2677.5 kg
d
R K =−1969.29 kg
72

f) Travée L – B

L B
4.00m

+∑ X =0
d g
+↑ ∑Y =0 ⟹ R L−q∗l+ R B =0
d g
⟹ R L−892.50 kg/m∗4.00 m+ R B =0
d g
⟹ R L + RB =3570 kg (1)
2
q∗l g
+↻ ∑ M L=0⟹−M L + −l∗R B + M B =0
2
2
+892.50 kg /m∗( 4.00 m )
−131.76+ −4.00∗R gB +3097.40 kgm
2
g
−4.00∗R B=10105.64 kg
g 10105.64 kg
R B=
4
g
⟹ RB =2526.41 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d g
R L + R B=3570 kg
d
R L +2526.41 kg=3570 kg
d
R L=−1043.59 kg

g) Travée B – M
72


+∑ X =0
d
+↑ ∑Y =0 ⟹ R B−q∗l+ R M =0
d
⟹ RB −892.50 kg /m∗6.00 m+ R M =0
d
⟹ RB + R M =5355 kg (1)
2
q∗l
+↻ ∑ M G =0 ⟹−M G + −l∗R H =0
2
2
892.50∗( 6.00 )
−21977+ −6.00 R M =0
2
−6 R M =12967.6 kgm
12967.6 kg
RM=
6
⟹ R M =2161.27 kg (2)
Portons (2) dans (1)
d
R B + RM =5355 kg
d
R B +2161.27 kg=5355 kg
d
R B=3193.73 kg

CHAPITRE IV. DIMENSIONNEMENT DE LA COLONNE LA PLUS


CHARGEE
72

IV.1. INTRODUCTION
Dans ce chapitre, nous aurons tout simplement déterminé la charge
maximum que doit supporter la fondation de notre ouvrage. En effet, les calculs
se feront de haut en bas jusqu’à atteindre la semelle de fondation. Pour cela,
nous considérons la colonne la plus chargée par l’intersection de la poutre
longitudinale et transversale la plus chargée de la structure au moyen de laquelle
nous allons faire notre descente des charges qui seront uniformisées aux autres
colonnes. Donc pour notre cas, nous considérons la colonne B comme étant la
plus chargée.

IV.2. GENERALITES
La rupture d’une colonne soumise à un effort de compression peut
se, c’est – à – dire pour un élément court, soit pour un élément long. Sachant que
l’élancement (λ) est le rapport entre la longueur du flambement et le moment
lf
d’inertie de la pièce. λ= L < 50, dans la pratique λ=35

IV.3. CALCUL DE LA SECTION DU POTEAU13


lf ∗√ 12
Nos colonnes sont de 3.50 m de hauteur. a= Or lf =k∗l
λ
lf =0.5∗315=157.5 cm

157.5 cm∗√ 12
a= =15.59 cm Soit a=20 cm Cherchons b par la relationb ≥ a b=30 cm,
35
donc la section de notre colonne est de20 cm∗40 cm soit 800 cm2

IV.4. DESCENTE DES CHARGES


72

On appelle descente des charges, l’opération qui consiste à calculer


pour tous les éléments porteurs de la construction (murs, colonnes). Les charges
qu’ils supportent à chaque niveau du bâtiment en partant du dernier niveau en
descendant jusqu’à la fondation.

Nous considérons la colonne la plus chargée, celle située au


croisement de la poutre longitudinale et transversale la plus chargée. Sur ce, la
descente des charges s’obtient de la manière suivante :
 La somme des réactions d’appuis à ce point ;
 Le poids propre de la colonne.

IV.5.1. Charges aux pieds de la colonne du 3eme niveau au point B


Q4 =∑ Réactions d ' appuis
 Réaction d’appuis au point E pour la poutre longitudinale.
g } =3241.19 k ¿
RB
d } =2818.42 k ¿
RB
 Réaction d’appuis au point E pour la poutre transversale.
g } =2526.41 k ¿
RB
d } =3193.73 k ¿
RB
⟹ 3241.19 kg+2818.42 kg +2526.41 kg+3193.73 kg
Q4 =11779.21 kg

IV.5.2. Charges aux pieds de la colonne du 2eme niveau au point B


Q3=Q 4 +∑ Réactions d ' appuis+ P p
72

 Réaction d’appuis au point E pour la poutre longitudinale.


g'
R B =22217.89 kg
d'
R B =19319.91 kg
 Réaction d’appuis au point E pour la poutre transversale.
'

R gB =13231.76 kg
d'
R B =22548.74 kg
 Calcul du poids propre de la colonne
P p=a∗b∗γ béton∗h
P p=0.20∗0.40∗2500∗3.18=630 kg
Comme nous travaillons en ELU, donc le poids propre de la colonne sera majoré
par un coefficient de majoration qui est 1.35
P p=630∗1.35=850.5 kg
⟹ 11779.21+ ( 22217.89+19319.91+13231.76+ 22548.74 ) +850.5
Q3=72560.01 kg

IV.5.3. Charges aux pieds de la colonne du 1eme niveau au point B


Q2=Q3 +∑ Réactions d ' appuis+ P p
 Réaction d’appuis au point E pour la poutre longitudinale.
g
R =22217.89 kg
E
d
R =19319.91 kg
E

 Réaction d’appuis au point E pour la poutre transversale.


g
R =13231.76 kg
E
d
R =22548.74 kg
E

⟹ 72560.01+ ( 22217.89+19319.91+13231.76+22548.74 ) +850.5


Q2=150728.91 kg
Q1=Q2 + P p ⟹ 150728.91kg +850.5 kg=151579.51 kg
a. vérification au flambement
lf
λ=
imin
b 30
i min = ⟹ =8.66
√12 √12
157.5
λ= =18.18<35
8.66
Ok, Le condition est vérifiée ; donc il n’y a pas risque de flambement.
b. calcul des armatures

A S=
∝[
Qu B r∗f c 28
+
1.35
∗γ S ]
fe
Qu: Effort normal ultime
72

Br : Section réduit du béton


∝: Coefficient due au flambement
A S: Section d’armatures
0.85
∝=
β

( )
2
λ
β=1+0.2
35

( )
2
35
β=1+0.2 =1.2
35
0.85
∝= =0.708
1.2
Br= ( a−4 cm )∗( b−4 cm )

2
⟹ ( 20−4 cm )∗( 40−4 cm )=576 cm

A S=
[
150728.91 576∗300
0.708
+
1.35
∗1.15
]
4000
A S=[ 212893−128000 ]∗0.0002875
2
A S=24.40 cm soit 10 HA 18

 Armature transversales
1. Diamètre d’armatures transversales
∅l
∅t =
3
18
⟹ ∅t= =6 mm
3

2. Espacement des cadres12


St ≤ ( 15∗∅ l ; 40 cm ; a+10 cm )
St ≤ ( 15∗1.4 ; 40 cm ; 20+10 cm )
St ≤ ( 33 cm; 40 cm; 30 cm)

Nous adoptons St =35 cm

PLAN DE FERAILLAGE

12
J.P. Mougins, Béton armé BEAL 91 modifier 99
72

CHAPITRE V : DIMENSIONNEMENT DE LA FONDATION

V.1. DEFINITION
72

La fondation est un ouvrage de transmission destiné à transmettre


au sol dans des bonnes conditions, les charges permanentes et les charges
variables d’une construction.

V.2. STABILITE DE FONDATION

Les fondations doivent être stables, c’est – à – dire qu’elles ne


doivent donnent lieu à des tassements que ceux – ci permettent la tenue de
l’ouvrage. Des tassements uniformes sont admissibles dans certaines mesures,
mais les tassements différentiels sont rarement compatibles avec la tenue de
l’ouvrage.
Il est nécessaire d’adopter le type et la structure des fondations à la
nature du sol que va supporter l’ouvrage. L’étude géotechnique a pour but de
préciser les types, le nombre et la dimension des fondations nécessaires pour
fonder un ouvrage sur un sol donnée. Quant à nous, à l’égard de la profondeur
du bon sol et la nature de ce dernier, notre fondation est superficielle,
c’est – à – dire la fondation dont la profondeur n’excède pas en général 2 à 3
mètre.
La fondation superficielle est constituée de deux types des semelles,
notamment :
 La semelle continue et
 La semelle isolée.
Pour notre ouvrage, nous avons choisi la fondation sur semelle isolée.

V.3. DIMENSIONNEMENT DE LA SEMELLE ISOLEE13

V.3.1. Dimensionnement de la semelle

Dans ce cas, il faut déterminer les deux dimensions de la semelle.


En général, les dimensions de la semelle sont déterminées de telle sorte qu’elles
Bx bx
soient homothétiques à celle de la colonne, c’est – à – dire B = b
y y
BX

by=40 cm
bX=20 cm

13
Ir. PHAMBU NGEMBO René, fondation IBTP/Matadi 2014-2015cours inédit

BY
72

V.3.1.1. Calcul de la section rapprochée


La nature de notre sol est rocheuse, et a été vérifier par un travail de
T.F.C de ENOCK MPANZU DIAMETO nous adoptons comme contrainte du
sol 10 à 20 kg /cm2 et nous adoptons comme contrainte du sol 15 kg /cm2
Nu
S1 =
σ sol

151579.51 kg 2
S1 = 2
=10105.300 cm
15 kg/cm


b
B X = x ∗S 1 ⟹
by
20
40 √
∗10105.300

B X =71.08 cm, nous adoptons B X =80 cm

BY =
by

bx
∗S 1 ⟹
40
20 √
∗10105.300

BY =142.16 cm , nous adoptons B X =160 cm


Bx bx
Donc B = b soit 0.5=0.5 ok, vérification réussie
y y

V.3.1.2. Calcul de la hauteur utile

VI.3.1.2.1. Condition de rigidité

 La hauteur utile doit vérifier les deux conditions suivantes :


B X −b x
≤ hu ≤ B X −b x
4
80−20
≤ hu ≤ 80−20
4
15 ≤ hu ≤ 60, nous adoptons hu =45 cm

 La hauteur h de la semelle est égale à :


hu +5 cm ⟹ 45 cm+5 cm=50 cm

V.3.1.2.2. Calcul du poids propre de la semelle


P ps=B X∗BY ∗h∗γ béton
3
⟹ 0.80 m∗1.60 m∗0.50 m∗2500 kg /m =1600 kg
72

VI.3.1.2.2. Calcul du poids propre du béton de propriété


P pbp =B' X∗B ' Y ∗h∗γ béton
3
⟹ 0.90 m∗1.70 m∗0.05 m∗2200 kg /m =168.3 kg

VI.3.1.2.3.Vérification de la contrainte

Les fondations repartissent les charges d’un ouvrage sur le sol de façon
à ce que la charge total sur le sol soit inférieure ou égal à son taux de travail
maximum
σ sol ≤ σ sol
Ptotal N u + P ps + P pbp
σ sol = ⟹
S semelle S semelle
151579.51+ 1600+168.3 2 2
=11.98kg /cm <15 kg /cm
80∗160
La condition est vérifiée ; donc il y a stabilité.

V.3.1.4. Calcul des armatures en ELS

Comme c’est une fondation, cette dernière sera dimensionnée aux


états limites des services parce que la fissuration est préjudiciable, la contrainte
2 2
des aciers f s= 3 f e ⟹ 3 ∗4000 kg/cm=2666.66 kg/cm

 Armature inferieure
N u∗(B y −b y )
Ai= Dans le sens de Y
8 ( h−d ' ) f s

151579.51 kg∗(160 cm−40 cm)


Ai = =18.94 cm2 Soit 10 HA 16 pm
8 ( 50 cm−5 cm ) 2666.66 kg /cm
 Armature supérieure
N u∗(B x −b x )
A s= Dans le sens de X
8 ( h−d ' ) f s
151579.51 kg∗(80 cm−20 cm)
A s= =9.47 cm2 Soit 9 HA 12 pm
8 ( 50 cm−5 cm ) 2666.66 kg/cm
e : Epaisseur au bord libre
e ≥ 6 ∅ +6 cm⟹ 6∗1.2 cm+6 cm=13.2 cm
soit e=15 cm

PLAN D’ARMATURES
72

COUPE

CHAPITRE VI. ETUDE DE L’ESCALIER EN BETON ARME


VI.1. GENERALITES14
L’escalier est un ouvrage en béton armé ; en bois ; métallique ou en
maçonnerie destiné à franchir le niveau d’un immeuble, ou encore permet la
circulation verticale d’un niveau à l’autre du bâtiment.

VI.1.1. Formes d’escalier


14
NZEZA, 2016, Cours de technologies du bâtiment, G3 BTP, IBTP/Matadi
72

Elles sont multiples et variées :


 Escalier à volée droite (escalier à volée droite avec palier de repos au
milieu);
 Escalier à deux volées droites ;
 Escalier à volée droite avec angle et
 Escalier à quartier tournant.
VII.1.2. Quelque considération technique
Dans un escalier, nous avons quelques différentes parties qui sont :
1. La marche : c’est la surface horizontale sur laquelle on pose le pied.
Elle est composée de deux parties :
 Le giron : c’est la distance horizontale comprise entre deux nez de
marche consécutifs.
 Le recouvrement : c’est la partie de la marche recouverte par la marche
du dessus. Il n’est pas pris en compte dans le calcul mais il permet
d’améliorer le confort de celui-ci.
2. La hauteur de marche : c’est la distance verticale entre deux nez de marche
à la suite.
3. La contre marche : sur l’illustration au-dessus, elle n’est pas obligatoire
mais rend l’escalier
4. L’emmarchement : c’est le passage utile de l’escalier.
5. La marche palière : c’est la marche qui se situe dans le prolongement du
palier.
6. La volée : ensemble de marches compris entre deux paliers. (Dans un lieu
public, la volée ne doit pas comporter plus de 21 marches).
7. Mur d’échiffre : mur utilisé pour tracer l’escalier.
8. La paillasse : comprise entre l’angle rentrant de la marche et la sous face de
l’escalier .Elle supporte les marches.
9. Jour : vide entre deux volées.

VI.2. DIMENSIONNEMENT DE L’ESCALIER


En partant de la formule de J.B. RONDELET, nous avons :
2 h+G=64 cm, considérons la hauteur d’une contremarche égale à 17 cm

2 h+G=64 cm

2∗17+G=64 cm
G=64 cm−34=30 cm
72

Le nombre des contre marches (n) est égal au rapport de hauteur d’un volée sur
la hauteur d’un contre marche.
H
n= Avec
h
H=1.59 m
h=0.17 m
1.59
n= =9.35 ≈ 10 contre marches
0.17

N.B : comme notre escalier à deux volées qui comprend dix contre marches par
volée, c’est – à – dire le nombre de marche par volée sera égal à 10−1=9
marches par volée.
VUE EN PLAN ET COUPE ESCALIER

VI.2.1. Calcul de l’angle de volée


h 17
tgα= ⟹ =0.56 ⟹ α =arctg 0.56=29 ° , 24 ' '
g 30

VI.2.2. Calcul de la longueur de la paillasse


L= √ H + L1 ⟹ L= √ ( 1.59 ) + ( 3.80 ) =4.12 m soit 412 cm
2 2 2 2

VI.2.3. Calcul de l’épaisseur de la paillasse


1 1 412 412
L≤e≤ L⟹ ≤e≤ =11.7cm ≤ e ≤ 16.48
35 25 35 25
Nous adoptons e=15 cm

VI.3. EVALUATION DES CHARGES

VI.3.1. Poids d’une marche


72

1
Pmarche = ∗0.17∗0.30∗1.36∗3.3∗2500=286.11kg /m
2

VI.3.2. Poids sur la paillasse

Pmarche =e∗emmarchement∗γ =0.15∗1.36∗2500=510 kg /m

VI.3.3. Surcharge d’exploitation

Notre bâtiment étant classé dans le rang du bâtiment public, nous


adoptons une surcharge d’exploitation sur l’escalier une valeur deQ=510 kg/m2
VI.3.4. combinaison des charges
Pu=1.35 G+1.5 Q
Pu=1.35∗( 286.11+510 kg ) +1.5∗500=¿
Pu=1824.75 kg /m

VI.3.5. Charges qui fléchit la paillasse


P ' u=P∗Cosα
''
P ' u=1824.75∗cos 29° , 24 ∗1 m=1592.24 kg/m

VI.4. EVALUATION DES CHARGES SUR LE PALIER DE REPOS


 P Pr dalle=0.15 m∗1 m∗2500 kg /m3=375 kg/m

VI.4.1. Surcharge d’exploitation


 Surcharged ' exploitation=500 kg /m2∗1 m=500 kg /m
VI.4.2. Combinaison des charges
Pu=1.35 G+1.5 Q
Pu=1.35∗( 375 kg )+ 1.5∗500
72

Pu=1256.25 kg /m

VI.4.3. Schéma statique

3.80 m 2.00 m

VI.4.4. Calcul des moments


Pour le calcul de moment fléchissant, nous utiliserons la
méthode de CLAPEYRON autrement dit méthode de trois moments. On
l’appelle trois moments puisque l’on considère trois appuis à la fois pour former
les équations. Ainsi on aura autant d’équations qu’il ya d’appuis
intermédiaires. Ceci donne un système d’équations dont les inconnues sont des
moments sur appuis intermédiaires.
M A LBC +2 M B ( L AB+ LBC ) + M C L BC =−6 ( R BA
B + RB )
BC

D’où pour notre cas nous avons :

[ ]
3 3
1592.24∗(3.8) 1256.25(2)
3.80 M A +2 M B ( 3.80+2.00 ) +2.00 M C =−6 +
24 24

Avec M A =M C =0 ⇒ 11.60 M B =−24354.84


⟹ M B=−2099.55 kgm

VI.4.5. Calcul des réactions aux appuis et les moments en travée


 Travée AB

1592.24 kg/m

A 3.80 m B

g g
+↑ ∑Y =0 ⇒ R A + R B=q∗l ⇒ R A + R B =6050.5 (1)
72

2
g ql
+↻∑ M =0 ⇒−L R B + + M B=0
A
2
2
1592.24∗( 3.80 )
⇒−3.80 RBg + +2099.55=0
2
g
−3.80 R B=13595.52 kg
g
⇒ R B=3577.77 kg (2)
Portons (2) dans (1) on a :
G
R A + R B =6050. 51 kg

⇒ R A +3577.77 kg=6050.51 kg

R A =−2472.74 kg
2
( R A)
(2472.74 )2
M AB max = −M A ⇒ =1920.08 kgm
2∗q 2∗1592.24
 Travée BC
1256.25kgm

B 2.00 m
C

D
+↑ ∑Y =0 ⇒ R B + R C =q∗l
d
⇒ R B + RC =2512.5 kg (1)
2
ql G
+↻∑ M =0 ⇒−M B + −L R B =0
A
2
2
1256.25∗( 2 )
⇒−2099.55+ −2 RC =0
2

−2 RC =416.99

⇒ RC =208.46 kg (2)

Portons (2) dans (1) on a :


d
R B + RC =2512.50 kg
D
⇒ R B +208.46 kg=2512.50 kg kg
72

d
R B=2304.04 kg
2
( RBD ) (2304.04 )2
M BC max = −M B ⇒ −2099.55=13.33 kgm
2∗q 2∗1256.25

VI.5. Calcul des armatures


a. Travée (travée A – B)
M max =M A−B =1920.08 kgm

M A −B
μu = 2

b∗( d ) ∗f C

192008 kgcm
μu = 2 2
=0.066 ≤ 0.392
140 cm∗(13 cm ) ∗170 kg /cm

La poutre sera simplement armée.


α =1.25∗( 1− √ 1−2∗μu )

α =1.25∗( 1− √ 1−2∗0.066 )
α =0.085
 Vérification de la position de l’axe neutre (Y)
Y =α∗d ⟹ 0.085∗13 cm
Y =12.56 cm

L’axe neutre tombe dans la table de compression et la section en Té


sera calculée comme une section rectangulaire de base b et de hauteur totale ht .

 Section d’armatures ( A S )
M A−B 192008 kgcm
A S= ⟹ 2
Z∗f S 12.56 cm∗3478 kg/cm
2
A S=4.39 cm soit 9 HA 8
2
1 4.39 cm 2
Arep = ∗A ⇒ =1.1 cm soit 5 HA 6
4 4

b. Travée (travée B – C)
M max =M B−C =13.33 kgm

M B−C
μu = 2

b∗( d ) ∗f C
72

1333 kgcm
μu = 2 2
=0.00046 ≤ 0.392
140 cm∗(13 cm ) ∗170 kg /cm

La poutre sera simplement armée.


α =1.25∗( 1− √ 1−2∗μu )

α =1.25∗( 1− √ 1−2∗0.00046 )
α =0.00058
 Vérification de la position de l’axe neutre (Y)
Y =α∗d ⟹ 0.00058∗13 cm
Y =0.0075 cm
Z=d∗(1−0 , 4 ∝ ) ⇒ 13∗( 1−0 , 4∗0.0075 )
Z=12.99 cm
 Section d’armatures ( A S )
M B−C 1333 kgcm
A S= ⟹ 2
Z∗f S 12.99 cm∗3478 kg /cm
2
A S=0.030 cm soit HA 6

c . Appui B
Moment :2090.55 kgm ≃ 209055 kgcm

Mu
μ= 2
b∗d ∗f c
209055 kgcm
⇒ 2 2
=0.073< 0,392
100 cm∗( 13 cm ) ∗170 kg/cm

La section sera simplement armée

∝=1 , 25 ( 1−√ 1−2 μ ) ⇒ 1 ,25 ( 1−√ 1−2∗0.073 )


⇒ ∝=0.095
Y =α∗d ⟹ 0.095∗13 cm
Y =1.24 cm
Z=d∗(1−0.4 ∝ ) ⇒13∗( 1−0 , 4∗1.24 )
Z=12.50 cm
Mu 209055 kgcm 2
A= ⇒ =4.83 cm soit 7 HA 10
Z∗fs 12.50 cm∗3478 kg /cm2
VI.6. Poutre palière
L L 280 280
≤ ht ≤ ⇒ ht ≤ =18.66 ≤ ht ≤ 28
15 10 15 10
Nous adoptons ht=25 cm
ht 25
b= = =12.5 cm
2 2
Nous adoptons b=13 cm
72

VI.6.1. Charge et surcharge


 Poids propre: 0.13 m∗0.25 m∗2500 kg /m3 =81.25 kg /m

( 1592.24
 La moitié du poids de la palliasse : 2 )=796.12 kg /m
 La moitié du poids du palier de repos :( 2 )=628.125 kg/m
1256.25

Charge totale P=1505.50 kg/m

VI.6.2. Calcul des moments

1505.50 kg/m

A
2.00 B

Détermination du moment en travée et effort tranchant.


2
PL2 1505.50∗( 2.00 )
M AB=M BA = ⟹ =752.75 kgm
8 8

VI.6.3. Calcul des armatures


Moment :752.75 kgm=75275 kgcm
Mu
μ= 2
b∗d ∗f c
75275 kgcm
⇒ 2 2
=0.064 <0,392
13 cm∗( 23 cm ) ∗170 kg/cm
La section sera simplement armée
∝=1 , 25 ( 1−√ 1−2 μ )
⇒ 1 , 25 ( 1−√ 1−2∗0 .064 )
∝=0.082
Y =∝∗d ⇒ 0.082∗23=1.89 cm
Z=d−0.4 y ⇒ 23 cm−0.4∗1.89 cm=22.24 cm
Mu 75275 kgcm 2
A= ⇒ 2
=0.97 cm soit 2 HA 8
Z∗fs 22.24 cm∗3478 kg /m

PLAN DE FERAILLAGE
72

CONCLUSION
Nous voici à la phase finale de notre travail intitulé
‘’CONCEPTION ET CALCUL DE STRUCTURE EN BETON ARME D’UN
BATIMENT SCOLAIRE R+2 POUR LE COMPTE DE L’INSTITUT ANGO
– ANGO’’.
A l’issue de ce travail, nous avons constaté qu’après l’évaluation
des toutes les charges et dimensionnement des différents éléments, la charge
transmise par l’ouvrage est inférieure à celle du sol. Sur ce, nous nous
permettrons de conclure que notre ouvrage pourrait être construit en ce site sans
crainte et les risques de tassement ne sont pas à craindre.
Pour la stabilité de notre ouvrage, voici les différentes dimensions
que nous donnons pour chaque élément étudié de notre structure :
 La dalle épaisseur : 15 cm;
 La poutre section :20 cm∗40 cm;
 La colonne section : 20 cm∗40 cm;
 La fondation section :80 cm∗160 cm
72

Cette innovation que nous apportons ne va certainement pas


résoudre le problème dans son ensemble, mais c’est un petit pas vers la
modernité. Nous pouvons dire que notre travail s’inscrit dans le cadre de la
révolution de la modernité dans le secteur de l’infrastructure administrative.
Pour atteindre cet objectif, nous suggérons que l’état congolais
puisse octroyer des moyens financiers consistants pour la matérialisation de ce
projet jusqu’au niveau des secteurs, territoires, districts, villes, province du
kongo-central.
Enfin, nous invitons nos lecteurs de nous apporter leurs contributions
constructives, leurs remarques ainsi que leurs suggestions pour rendre encore ce
travail plus efficace.

BIBLIOGRAPHIE
a) OUVRAGE

 LAMIRAULT, Jean et RENAUD, Henri, Béton armé. Guide de calcul


Foucher, Paris, 1993, p 143 ;
 HUSSON, Jean Marie, Etude des structures en béton (BAEL91 révisé 99)
éd Casteilla, 25 rue Monge, Paris, p 235 ;
 MOUGIN, Jean Pierre, Cours de béton armé, BAEL 91, calcul des
éléments simple et des structures des bâtiments, Ed Eyrolles, 1992, Paris,
p 268 ; p471 ;
 PERCHAT, Jean et Roux, Jean, Pratique du BAEL 91, Cours avec
exercices corrigés, Ed. Eyrolles (4éd), 2002, Paris, p466.
b) TFC et MEMOIRE
 Cheikh Hanane, Étude d'un bâtiment« 2 sous – sol, r.d.c +9 étages » du
forme irrégulière à usage multiple, juillet 2012 ;
 NOUHOU MAGAGI KADRI, Etude technique d’un bâtiment R+3 à
usage de marche, Juin 2013 ;
72

 Prince Alexis NGOYI KASONGO, « Etude et dimensionnement d’un


immeuble R+3 avec sous – sol et mur de soutènement à usage d’hôtel, à
construire dans la commune de NGALIEMA », 2011 – 2012 ;
 Rammal, Dimensionnement et calcul de structures d’un Site de
Maintenance et de Remisage, Juin 2010.
c) Cours
 MANGINZI NYEMBO, Cours de calcul des structures en béton armé
(2010 – 2011) inédit, INBTP, Kinshasa, 154p ;
 C.T. Nzeza, Cours de béton armé, inédit, 2ème graduat BTP à l’IBTP, Ed.
2015 – 2016 ;
 M. Ir. J. KITOKO, Cours de stabilité TOME I et II, 3ème graduat BTP à
l’INBTP, Ed. 2008 – 2009 ;
Ir. Baron KIONI, Cours de stabilité 3ème graduat BTP à l’IBTP, Ed.
2015 – 2016 ;

TABLE DES MATIERES

EPHIGRAPHE………………………….………………….…….... ….…………………………………….i
DEDICACE………………………………………..…………………..………….…………………………..ii
IMEMORIUM……………………………….………………………….……….………………………….iii
AVANT PROPOS…………………………….……………………….………….…………………………iv
CHAPITRE 0 : INTRODUCTION.........................................................................1
0.1. PROBLEMATIQUE......................................................................................1
0.2. HYPOTHESES..............................................................................................1
0.3. CHOIX ET INTERET DU SUJET.....................................................................2
0.4. DELIMITATION DU SUJET..........................................................................2
0.5. SUBDIVISION DU TRAVAIL........................................................................2
72

CHAPITRE I. CONSTITUTION GENERALE DU PROJET.........................................3


I.1. PRESENTATION DU SITE.............................................................................3
I.2.2. SITUATION GEOGRAPHIQUE................................................................3
I.2.3. TOPOGRAPHIE DU SITE........................................................................3
I.2.4. RESEAUX...............................................................................................3
I.2.5. PARAMETRE SPECIFIQUE DE CONCEPTION.........................................3
I.2.5.1. Conception.....................................................................................3
I.2.5.2. Structure........................................................................................3
I.5.3. Orientation et Belle Vue......................................................................3
I.6. COMPOSITION ARCHITECTURALE..............................................................4
I.6.1. Programme...........................................................................................4
CHAPITRE II : DIMENSIONNEMENT DES DALLES..............................................5
II.1. DEFINITION................................................................................................5
II.2. ELEMENTS UTILISE.....................................................................................5
II.3. CARACTERES DES MATERIAUX..................................................................5
II.3.1. Le béton...............................................................................................5
II.3.3. Identification des plaques...................................................................7
II.3.3.1. Plan de répartition des plaques...................................................7
II.4. CALCUL DE LA DALLE.................................................................................8
II.4.1. Evaluation des charges.......................................................................8
II.4.1.1. Poids propre de la dalle................................................................8
II.4.1.2 Matériaux.......................................................................................9
II.5. CALCUL DES MOMENTS.............................................................................9
II.5. CALCUL DES ARMATURES.......................................................................13
CHAPITRE III : CALCUL DE LA POUTRE............................................................16
III.1. GENERALITES..........................................................................................16
III.2. ROLES DES POUTRES..............................................................................16
III.3. SOLLICITATIONS.....................................................................................16
72

III.3.1. Plan des poutraisons et transfert des charges de la delle sur la


poutre..........................................................................................................17
III.4. ETUDE DE POUTRE LONGITUDINALE.....................................................18
III.4.1. Dimensionnement des Poutres.......................................................18
III.4.1.1. pré dimensionnement..................................................................18
a. Détermination de la Hauteur de la Poutre.............................................18
III.4.1.4.calcul des charges sur la Poutre.................................................19
III.4.1.5. Charges définitives entre travées de la poutre.........................20
III.4.2. calcul des moments fléchissant.......................................................20
III.4.3. Calcul des réactions aux appuis.......................................................21
III.4.4. Calcul des moments en travées.......................................................25
III.4.5.Calcul des armatures........................................................................27
III.4.5.1 Calcul des sections d’armatures longitudinales.........................27
III.4.5.1.1. Section d’armature en travée (travée A – B)......................27
III.4.5.1. 2. Section d’armature aux appuis (appuis B).........................28
III.4.5.1.3. Calcul des sections d’armatures transversales...................30
III.5. ETUDE DE POUTRETRANSVERSALE........................................................32
III.5.1. Dimensionnement des Poutres.......................................................32
III.5.1.1. Détermination de la Hauteur de la Poutre................................32
III.5.1.2.Détermination de la largeur (base) de la Poutre.......................32
III.5.2. Analyse des charges sur la poutre...................................................32
III.5.2.1.Schéma de transfert de charge de la dalle sur la Poutre
Transversale.............................................................................................33
III.5.2.2. Calcul des charges sur la poutre................................................33
III.5.2.3. Charge définitive entre travée de la poutre..............................34
III.5.4. Calcul des réactions aux appuis.......................................................36
III.4.4. Calcul des moments en travées.......................................................41
III.4.5. Diagrammes des moments fléchissant.........................................43
III.4.6. Diagramme des efforts tranchants..................................................44
72

III.5. Calcul des armatures..............................................................................44


III.5.1. Calcul des sections d’armatures longitudinales..............................44
III.5.1.1. Section d’armature en travée (travée B−M).............................44
III.5.1. 2. Section d’armature aux appuis (appuis H)...............................45
III.5.1. 3. Calcul des sections d’armatures transversales.........................47
III.6. CALCUL DE LA POUTRE DE CHAINAGE...................................................49
III.6.1. EVALUATION DE LA CHARGE HORIZONTALE (poussée du
vent)............................................................................................................ 49
III.6.1.1. Vitesse normale du vent (Vn).....................................................49
III.6.1.2. La vitesse extrême du vent (Ve)................................................49
III.6.1.3. La pression normale du vent (qn).............................................49
III.6.1.4. La Pression dynamique du vent (qd ).........................................50
III.6.1.4.1. Définition.............................................................................50
IV.6.1.5. Effet de la hauteur.....................................................................50
III.6.1.6. Effet du site................................................................................50
III.6.1.7. Evaluation de la pression dynamique du vent..........................51
III.6.2. Calcul de la poutre chainage longitudinale.....................................51
III.6.3. schéma statique de la poutre..........................................................51
III.6.3.1. Calcul des moments fléchissant et des réactions aux appuis...52
III.6.3.2. Calcul des réactions aux appuis.................................................53
III.6.4. calcul de la poutre chainage transversale.......................................56
Schéma statique de la poutre.....................................................................57
III.6.4.2. Calcul des réactions aux appuis....................................................58
CHAPITRE IV. DIMENSIONNEMENT DE LA COLONNE LA PLUS CHARGEE.......64
IV.1. INTRODUCTION......................................................................................64
IV.2. GENERALITES..........................................................................................64
IV.3. CALCUL DE LA SECTION DU POTEAU13.................................................64
IV.4. DESCENTE DES CHARGES.......................................................................65
72

IV.5.1. Charges aux pieds de la colonne du 3eme niveau au point B............65


IV.5.2. Charges aux pieds de la colonne du 2eme niveau au point B............66
IV.5.3. Charges aux pieds de la colonne du 1eme niveau au point B............66
CHAPITRE V : DIMENSIONNEMENT DE LA FONDATION.................................69
V.1. DEFINITION..............................................................................................69
V.2. STABILITE DE FONDATION......................................................................69
V.3. DIMENSIONNEMENT DE LA SEMELLE ISOLEE.........................................69
V.3.1. Dimensionnement de la semelle.........................................................69
V.3.1.1. Calcul de la section rapprochée.................................................70
V.3.1.2. Calcul de la hauteur utile............................................................70
VI.3.1.2.1. Condition de rigidité............................................................70
V.3.1.2.2. Calcul du poids propre de la semelle.................................71
VI.3.1.2.3.Vérification de la contrainte................................................71
V.3.1.4. Calcul des armatures en ELS.......................................................71
CHAPITRE VI. ETUDE DE L’ESCALIER EN BETON ARME...................................73
VI.1.1. Formes d’escalier.............................................................................73
VI.2. DIMENSIONNEMENT DE L’ESCALIER......................................................74
VI.2.1. Calcul de l’angle de volée................................................................74
VI.2.2. Calcul de la longueur de la paillasse................................................75
VI.2.3. Calcul de l’épaisseur de la paillasse................................................75
VI.3. EVALUATION DES CHARGES...................................................................75
VI.3.1. Poids d’une marche.........................................................................75
VI.3.2. Poids sur la paillasse........................................................................75
VI.3.3. Surcharge d’exploitation.................................................................75
VI.3.5. Charges qui fléchit la paillasse.........................................................76
VI.4.1. Surcharge d’exploitation.................................................................76
VI.4.5. Calcul des réactions aux appuis et les moments en travée............77
VI.5. Calcul des armatures..............................................................................78
72

a. Travée (travée A – B)............................................................................78


b. Travée (travée B – C)............................................................................79
c . Appui B.................................................................................................79
VI.6. Poutre palière........................................................................................80
VI.6.1. Charge et surcharge.........................................................................80
VI.6.2. Calcul des moments.........................................................................80
VI.6.3. Calcul des armatures.......................................................................80
CONCLUSION................................................................................................ 82
BIBLIOGRAPHIE............................................................................................ 83
a) OUVRAGE................................................................................................83
b) TFC et MEMOIRE.....................................................................................83
c) Cours........................................................................................................83

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