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Mini projet de calcul pratique de structure

Introduction

Pour construire un ouvrage de génie civil, l’ingénieur y intervient par son étude basée en
premier lieu sur la conception de l’ouvrage, et en deuxième lieu sur le calcul de ses éléments
porteurs.

Comme pour tout édifice et ouvrage de génie civil, Ce projet a pour but la conception et le
dimensionnement d’une villa jumelée à un étage plus rez de chaussée R+1.

Notre travail est naturellement fait à partir du plan architectural qui nous a été fourni. On va
établir un plan de coffrage pour les planchers haut RDC et haut étage tout en respectant et en
restant fidèle aux règles de l’art c’est à dire aux contraintes techniques et architecturales.

La villa est une construction à usage d’habitation destiné à abriter une famille. Donc c’est un
lieu où vit et évolue l’homme ; Ce qui nous oblige à garantir et assurer sa sécurité et sa
convivialité avec un coût optimal et acceptable. Pour se faire, on utilisera l’expérience acquise
combinée au règlement du Béton Armé suivant la méthode des éléments limite.

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1 CONCEPTION :

A la base de tout projet il appartient à l’ingénieur concepteur de former, d’élaborer dans son
esprit, les formes et les caractéristiques que l’ouvrage en question doit avoir pour répondre au
mieux aux contraintes et finalités pour lesquelles le projet est fait c’est ce qu’on appelle la
conception.

La conception revient à définir la structure du bâtiment à partir du plan architectural. C’est à


dire ; on devra placer les poutres, les poteaux, choisir le type de plancher puis les
dimensionner.

Tout projet du génie civil a pour fondement sa conception. C’est De cette conception que
dépendra la réussite du projet. Il est donc indispensable d’y apporter toute l’attention et le soin
nécessaire.

Pour bien réussir cette phase de définition, La conception doit tenir compte de plusieurs
facteurs parmi lesquels on cite:

 Le mode de fonctionnement des structures.


 Le mode d’action des charges.
 Les finalités du projet c’est à dire ses contraintes.
 Les données naturelles.
 Les données d’intégration au site.
 Les moyens économiques.
 Les données socio-économiques et les mœurs surtout dans le cas des immeubles
d’habitation.
 Les meilleures dispositions constructives et les règles de bonne pratique.

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1.1 Finalités

Avant de démarrer la phase de conception, on doit définir les finalités de projet :


 Destination de projet. Dans notre cas par exemple il s’agit d’abriter des personnes.
 Etre esthétique s’intégrer dans son milieu.
 Résistance.
 Rigidité.
 Stabilité.
 Moindre coût c’est à dire économique.
 Durabilité.
 Disponibilité de matériaux utilisés pour réaliser le projet.

1.2 consistance des travaux :

Il s’agit de deux villas jumelées, c’est pour cela on se contentera de l’étude d’une seule. Les
travaux à effectuer pour réaliser ce projet de superficie totale 440m². sont comme suit :

 Construction du RDC qui comporte trois Salon; une cuisine,et WC.


 Construction du 1er étage : Il comporte quatre chambres, un hall, SDB, WC et trois terrasses.
 Construction de la terrasse : c’est une terrasse accessible qui comprendra la cage d’escalier.
 Aménagement d’une aire de plantation (jardinage) puisqu’il s’agit bien sur d’une villa.

1.3 Système structural :

L’ossature joue un rôle très important. Elle est composée des éléments qui assurent la stabilité
de l’ouvrage, transmettent les charges de ces points d’application jusqu’au sol à travers les
Fondations et gardent la résistance et la rigidité de l’ensemble.
Pour remplir toutes ces fonctions la structure du bâtiment est constituée de :

 D’éléments horizontaux : plancher, poutres.


 D’éléments verticaux porteurs : poteaux.
 D’éléments divers : escaliers, remplissage.

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 De fondations.

Le modèle de structure adapté est constitué d’une ossature en poteaux poutre, pour supporter
les charges verticales venant des planchers. Les calculs seront élaborés d’une manière
générale sur la base de documents réglementaires en vigueur BAEL 91, DTU.

La fonction de résistance du bâtiment sera assurée par l’ossature poteaux, poutres, poutrelles.
Et la fonction de clôture, d’étanchéité et d’isolement est assuré par les éléments de remplissage
briques, entrevous.

1.4 principe de conception:

1.4.1 Principe de l’emplacement des poteaux.

Pour l'emplacement des poteaux, on doit avoir le minimum de poteaux qui assurent la stabilité
du bâtiment et n'affectent pas son esthétique. Pour ceci, la distance entre deux poteaux ne doit
pas dépasser les 7 m sinon on se trouvera avec des poteaux de grande section et donc
apparents. De plus les poutres auront des retombées assez importantes. De même, la distance
ne doit pas être inférieure à 1.5m sauf dans des cas comme pour le soulagement d'une poutre
ou d'un poteau.

Donc dans l’emplacement des poteaux l’un des soucis majeurs est d’éviter que ceci soient
encombrants et occupe de l’espace qui est destiné à une autre utilisation. Le mauvais
emplacement des poteaux peut également nuire à l’esthétique de la construction.
De ce fait dans l’établissement de notre plan de coffrage nous avons veillé à ce que ces cas ne
se produisent pas en dissimulant les poteaux dans les cloisons.
Les poteaux n’apparaîtront donc pas en plein centre des salons ce qui aurait pu poser une gêne
à leur utilisation.

On a veiller aussi à ce que les poteaux du premier étage repose directement sur des poteaux
sous adjacentes pour assurer une continuité descendante des charges et éviter l’apparition de
moment.

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Un autre souci dans l’emplacement des poteaux est de faire en sorte que les charges et
surcharges puissent être acheminées dans de bonnes conditions jusqu’aux blocs de fondations
selon le schéma suivant : Plancher poutres  poteaux  fondations sol dans le but
d’assurer la transmission complète et adéquate des charges.
Nous avons aussi veillé à ce que les charges soient reparties de façon qu’on ne puisse se
retrouver avec des poteaux relativement très chargés ce qui peut entraîner des tassements
différentiels très préjudiciables à la structure.

Les poteaux sont conçus de telle façon qu’on évite le chevauchement de leurs semelles.

1.4.2 Principe de l’emplacement des poutres principales de la structure.

L’un des problèmes de dimensionnement des poutres est la flèches. Les poutres ayant des
travées de grandes portée auront au cours de leur exploitation des flèches qui seront nuisibles
et gêneront l’exploitation de l’ouvrage ou bien elles auront des hauteurs qui seront très
encombrants.
Nous sommes attelés au cours de notre dimensionnement à ce que les poutres ne dépassent
pas les 6m de portée de leur travée comme usuellement recommandé.
Comme pour les poteaux nous avons placer également les poutres en sorte que les efforts
soient transmis dans de bonnes conditions.
Les règles de bonne pratique nous ont permis de fixer les hauteurs et les largeurs des poutres.
Toutefois ces dimensions doivent être choisies en sorte que la mise en place des armatures
soit possible et qu’elles soient suffisamment éloignées des bords.
En plus de ces ratios il faut tenir compte de l’importance des charges appliquée aux poutres
dans le calcul de leurs dimensions.
Par le biais de ces principes on place donc les poteaux puis les poutres qui reposent sur ces
derniers.
Les largeurs des appuis sont conditionnées par les dimensions des poteaux et les charges à
transmettre.

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1.5 conception des planchers :

Les planchers sont des surfaces planes horizontales limitant les étages et supportant les
revêtements de sols. Deux fonctions principales leur sont assignées :

 Fonction de résistance : les planchers supportent les charges. et surtout leurs poids propre.
 Fonction d’isolation : les planchers assurent l’isolation acoustique et thermique.

Ce sont donc des éléments de structures planes dont le rôle est de couvrir et collecter les
charges pour les amener aux poutres.

Pour les planchers d’habitation ces 2 fonctions doivent être garanties.

On peut distinguer 2 grandes classes de plancher suivant le mode d’exécution:


 Les planchers coulés sur place ou planchers dits «traditionnels »
 Les planchers préfabriqués, la préfabrication pouvant être totale ou partielle.

Suivant le mode de fonctionnement on distingue principalement 4 catégories de planchers qui


sont les suivantes :

 Plancher à poutres secondaires et poutres principales.


 Plancher à poutres parallèles rapprochées.
 Plancher à corps creux.
 Plancher dalles.

1.5.1 procédés de fabrication :

Les constructions en béton armé sont les plus courantes. Pour gagner sur le temps de coffrage
on opte pour les poutrelles préfabriquées. Les poutres et les poteaux sont coulés sur place
moyennant le coffrage et l’échafaudage.

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Le plancher de notre villa sera à corps creux. Sauf pour les surfaces en porte à faux, on
utilisera la dalle pleine comme étant un élément lourd pour donner le contre poids.

 Pourquoi un plancher à dalle pleine pour les éléments en porte à faux :

En console, on a un moment négatif, donc on va prévoir des armatures supérieures tendues et


pour diminuer cette valeur on a intérêt à charger les travées voisines d’où la notion du contre
poids.
Le plancher en dalle pleine a un poids spécifique supérieur à celui du plancher en hourdis.
Donc on aura dalle pleine coulée dans les surfaces en porte à faux.
La dalle pleine nous permet de réalisé l’ancrage de ces armatures de traction supérieures dans
de bonnes conditions.
Et pour ces dalles en balcon on prend comme épaisseur h =12 cm. puisqu’ils ne seront pas
fortement sollicités.
Une autre raison pour avoir choisi la dalle pleine, est celle de dimension du corps creux qui
aura une largeur bien fixe, d’où la nécessité de couper l’hourdis pour pouvoir le placé. Par
contre la dalle pleine peut prendre la forme qu’on veut.

 Pourquoi un plancher corps creux :

Nous avons opté pour le plancher en corps creux par rapport à d’autres en raison des multiples
avantages qu’il offre.
En effet Ces planchers réduisent considérablement la quantité de coffrage à utiliser et
s’apprêtent très bien à la préfabrication. De plus cela permet de réduire le poids propre du
plancher.

Les corps creux sont généralement en agglos fabriquées en usine ou en atelier par des
pondeuses.
Les entrevous n’ont aucun rôle mécanique ils ne sont là que pour le remplissage elles sont
fabriquées en terre cuite.

On peut donc résumer les avantages de ce type de plancher comme suit:

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 Economie d’acier.
 Economie de béton.
 Economie de main d’œuvre.
 Economie de temps.
 Economie de coffrage.
 Economie de manutention.
 Meilleure isolation phonique et thermique l’onde acoustique ou thermique sera piégée dans le
creux des entrevous.

1.5.2 Schéma du plancher sur entrevous.

Ce plancher satisfera aisément nos exigences car nous le préconisons pour un villa ce qui
suppose des charges modérées.
L’étude d’un plancher à corps creux se ramène aux choix des dimensions de la dalle et des
corps creux puis au dimensionnement.

1.5.3 Choix des dimensions du plancher.

Les dimensions du plancher sont choisies suivant la destination du projet.


Nous dimensionnons une villa ; ce qui suppose des charges d’exploitation et permanentes
modérées. Nous choisirons donc un plancher 16+4 (Article B.6.8, 423 des règles BAE). pour ce
plancher sauf pour les panneaux Voisins des éléments en porte à faux ou on a prévu un
plancher 8+12 c’est à dire on a augmenter l’épaisseur de la dalle de compression pour
l’ancrage des armatures de traction supérieurs.

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Les portées seront inférieures à 5m afin d’éviter les éventuelles vibrations inhérentes au
déplacement de charges sur le plancher.

Pour les dalles utilisés pour les éléments en porte à faux on va choisir une épaisseur 12

1.5.4 sens des poutrelles :

En général les poutrelles sont placées dans le sens de la petite portée du panneau considéré
pour éviter de grande longueur et de grande flèche sans oublier les grandes sollicitations qui
peuvent exister dans les poutrelles placées dans le sens de la grande portée des panneaux.
Toutefois certaines contraintes architecturales telles que la nécessité de noyer certaines
poutres dans le plancher pour éviter qu’elles nuisent à l’esthétique par exemple peuvent
amener à placer les poutrelles dans le sens de la grande portée.
L’entre axe des poutrelles sera 60 cm.

2 LES CHARGES :

On va étudier toutes les charges qui agissent sur les éléments de la structure. Il y a deux types
de charges : verticales et horizontales, mais dans notre projet on ne tient compte que des
charges verticales vu que la structure n’est pas très élevée pour considérer le vent ou le séisme
par exemple.

la transmission des charges se fait selon le cheminement suivant :


Hourdis  Poutrelles  Poutres  Poteaux  Fondations  Sol.

Les actions correspondent aux forces résultant des charges appliquées. On distingue :
 les charges permanentes
 les charges d’exploitation

Les charges et les surcharges prise en compte dans chaque bloc sont liés au choix des
matériaux utilisés dans la réalisation des planchers et mur. Ainsi qu’au mode de fonctionnement
prévu à cet effet.

 Charges permanente :

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c’est le poids propre des éléments Elles sont peu variables. Les charges permanentes ou le
poids mort d’un plancher comprend différents éléments :

 Le revêtement : enduits, carrelages.


 La structure portante : dalle, poutrelle.
 Le hourdis de remplissage : entrevous.
 Le plafond : enduit de plâtre.
 Les cloisons de distribution.
 Les charges d’exploitation :

Les surcharges sont données comme suit ::

 Terrasse accessible 175daN/m²


 Pièce d’habitation 150daN/m²
 Balcons 350daN/m²
 Escalier et halls d’entrée 250daN/m

2.1 Charges du hourdis :

2.1.1 Au niveau de la terrasse :

 Les charges permanentes :

La terrasse est sujette aux intempéries donc exige une protection. Pour se faire on disposera
en plus de la structure portante, du hourdis de remplissage et du plafond un revêtement spécial
composé de bas vers le haut par :

 La terrasse est accessible d’où l’intérêt d’une protection mécanique par des carreaux de
béton sur lit de sable de 2 cm d’épaisseur
 Une forme de pente en béton léger de 2 % de pente pour assurer un parfait écoulement de
l’eau pluviale.

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 étanchéité : pour assurer une imperméabilité de la terrasse. On utilisera une multicouche de


feutre bitumé.

Pour le panneau 16+4 par exemple on prend donc les valeurs résumées dans le tableau
suivant :

Forme de pente 2 KN/m²


Etanchéité multicouche 0.12KN/m².
plancher (16+4) 2.80KN/m²
Enduit. 0.3KN/m²
Carreaux teintés 0.7KN/m2

 Les charges d’exploitation :

On considère que la terrasse est accessible. 1,75KN/m²

2.1.2 Au niveau du plancher de l’étage.

 Les charges permanentes :

Plancher(16+4) 2.80 KN/m²,


Enduit plâtre sous plafond 0.3 KN/m2;
Cloison légère de répartition 1 KN/m2;
Granito poli 0.22 KN/m²,
Chape en mortier en ciment 0.8 KN/m²;

 Les charges d’exploitation :

On a les valeurs indiquées si dessus.

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2.2 Charges sur les poutres

Les poutres sont des éléments à deux dimensions faibles par rapport à la 3 ième. Elles sont
destinées à travailler à la flexion simple due aux charges qui leurs sont transmises par le
plancher.

Pour les poutres reposant sur deux appuis, la détermination des sollicitations est immédiate.
Mais pour les poutres continues les équations de la statique restent insuffisantes pour
déterminer les conditions aux appuis. Il existe deux méthodes, en règle BAEL, pour trouver une
solution : Une méthode forfaitaire et méthode de Caquot.

Les charges sur les poutres englobent les charges transmises par les poutrelles, les acrotères,
cloisons de façade ou cloisons légères et le poids propre des poutres.

2.3 Charges sur les poteaux :

Les poteaux sont des éléments de structures destinés à supporter un effort normal qu’il
transmettent jusqu’aux fondations.

Dans le cas courant des poteaux de bâtiment, le calcul d’effectue par la méthode forfaitaire du
B.A.E.L à partir des hypothèses simples, à savoir :

 Élancement limité pour parer au risque de flambement ;


 Effort normal de compression centrée ;
 Justifications des sections à l’E.L.U.R seul.

Pour admettre la discontinuité des travées pour les bâtiments solidaires, il faudra majorer l’effort
de 10% pour les poteaux intermédiaires voisins des poteaux de rives dans le cas des poutres
continues comportant au moins trois travées et de 15 % pour les poteaux centraux dans le cas
de poutres continues a deux travées.

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2.3.1 descente de charges :

La descente de charges est le cumulées des charges permanentes et les charges d’exploitation
multipliée par des coefficients suivant l’étage considéré.

Il s’agit de déterminer les charges appliquées à chaque élément de la structure, et comme les
charges s’accumulent, il est obligatoire de commencer par le haut du bâtiment, et on descend
étage par étage jusqu’aux fondations.
Les éléments de la structure sont les suivants :
 Poutrelles + table de compression.
 Poutres.
 Poteaux.
 Fondation.

2.3.1.1 Poteau supportant la terrasse

 Charges permanentes :
Les charges permanentes sont égales à la somme des charges permanentes unitaires dues au
plancher, forme de pente, l’étanchéité, l’isolation thermique, protection mécanique etc, ainsi
qu’au poids propre de poteau et le poids des poutres délimitées par la surface, et dans le cas
des poteaux ayant des surfaces de transmission de charge sur les quelles reposent des
acrotères, on ajoute le poids des acrotères.

 Charge d’exploitation

On distingue deux cas :


 Terrasse accessible : Q=175Kg/m2 x S
 Terrasse nom accessible : Q=100Kg/m2 x S

2.3.1.2 Poteau supportant l’étage i

 Charge permanente :

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La charge permanente sera égale à la somme des charges résultantes des poids du plancher,
du revêtement, les cloisons légers, de l’enduit, ainsi qu’au poids propre de poteau et le poids
des poutres délimitées par la surface.
La charge permanente G au niveau de l’étage i prise dans l’ensemble du bâtiment est égale à
la charge Gi augmentée des charges permanentes transmises par les niveaux sus jacents

 Charge d’exploitation

Elle est déterminée suivant l’usage de l’étage, on appliquant la loi de dégression de charge.

2.3.1.3 Règle de dégression de charge :

Pour les bâtiments à étages multiples, les surcharges ne sont pas appliquées simultanément
avec l’intensité maximale, on définit alors les surcharges réduites applicables seulement dans le
cas des immeubles à usage de bureaux ou d’habitation.

Si S0 est la surcharge sur la terrasse et S1, S2, Sn, les surcharges respectives des planchers
des étages, la surcharge réduite à l’étage n est donnée par la formule suivante.

S=S0+((3+n)/2n) x (S1+S2+ +Sn)

Le coefficient ((3+n)/2n) est valable pour un nombre d’étages supérieur à cinq dans le cas
particulier où les surcharges sont identiques à tous les niveaux S 1=S2=Sn, la règle de
dégression devient :

S0+S1+0.9S1+0.8S1+ +0.5S1.

On réduit la surcharge de 0.1 par étage jusqu'à la valeur 0.5 conservé pour les étages suivants.
Une fois la charge que va supporter chaque poteau est déterminée ; on passe à l’étape de pré
dimensionnement et calcul des armatures de ces poteaux soit avec la charge centré ou
excentré

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Pour notre villa Nous pouvant déterminer les charges permanentes et les surcharges de la
terrasse et des acrotères. Ces charges vont être reprises par les poutres qui vont les
transmettre aux poteaux du premier étage. On va donc déterminer les charges reprises par
chaque poutre puis par chaque poteau.
Les charges permanentes et les surcharges du plancher haut rez- de-chaussée vont être
reprises par les poutres qui vont les transmettre aux poteaux du rez de chaussée. Cumule les
charges reprises par les poteaux du rez de chaussée. Il n’y aura pas de dégression verticale.

2.4 Charges sur les fondations :

La fondation est l’ensemble des semelles de la structure et les aménagements du sol qui leur
sont associés, c’est l‘ensemble des organes de transmission des charges de la superstructure
au sol son calcul nécessite une connaissance parfaite des ossatures de la structure et ses
charges en tenant compte des caractéristiques du sol et de principe de la descente de charge

La fondation transmet au sol les effets des charges et surcharge ainsi qu’elle reçoit les actions
ascendantes du sol ; toutes ces actions constituent un système de forces en équilibre, tous ça
en vue d’avoir une stabilité d’ensemble de la structure.

Notre choix se basera sur deux critères principaux :


 Assurer la sécurité des habitants et la stabilité de la construction.
 Adopter une solution économique.

Pour cela il est nécessaire de reconnaître les caractéristiques du sol.

Les charges sur les fondations sont les charges transmises par les poteaux.

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3 PLAN DE COFFRAGE :

Généralement Une fois que le bureau d’études reçoit les plans définitifs d’architectures, il
procède à l’établissement des plans de coffrages, à savoir les vues en plans, les élévations et le
dossier des coupes et détails, tout en respectant les contraintes techniques et architecturales.
La conception revient à définir la structure du bâtiment à partir du plan architectural. C’est à dire
on devra placer les poutres, les poteaux, choisir le type de plancher puis

Pour tracer le plan de coffrage, il faut éviter comme on l’a déjà signaler certains problèmes :
 Emplacement d’un poteau à l’intérieur d’un salon
 Emplacement d’un poteau à l’entrée
 Limitation des portées des poutres et des portes à faux

Pour remédier au problème ; il est judicieux de concevoir d’autres poteaux qui s’arrêtent au
niveau du plancher haut du RDC.

Pour notre villa, On n’a pas l’étage posé exactement sur le rez de chaussée, il s’agit des
surfaces consoles;d’où la nécessité de prévoir des dalles pleines pour ces surfaces.
Certains poteaux du rez de chaussée, s’ils continuent vont se trouver au milieu des chambres
de l’étage, donc on a intérêt à les arrêter à ce niveau ce qui va aboutir à une diminution de
poteau au niveau plancher haut de l’étage , donc à une insuffisance de stabilité.
C’est pour cela, et dans le but de soutenir l’étage on a été obligé de créer des raidisseurs au
niveau du plancher haut du rez de chaussée, ces derniers vont devenir des poteaux pour
L’étage considéré (voir le plan coffrage)

3.1 Dimensions générales

Le choix des dimensions des pièces et essentiellement une question d’expérience et, avec un
peu d’habitude, on voit généralement quelles dimensions conviendraient, par exemple en se
reportant à des ouvrages analogues déjà réalisés. En outre, on se base également sur les
règles usuelles de construction.

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Donc avant tout calcul, il faut donner les dimensions de chaque élément structural.
Généralement, on fait un pré dimensionnement et on vérifie par la suite.

3.1.1 Poutres :

Les poutres reprennent les charges des poutrelles, des cloisons et leurs charges propres puis
les transmettent aux poteaux. Les dimensions des poutres sont imposées d’une part par celles
des éléments structuraux qui s’y reposent d’autre part par des contraintes esthétiques et
fonctionnelles déformation, charges transmise. Les règles de bonne pratique conseillent les
marges pour les poutres chargées continûment sur plusieurs travées :

 Hauteur totale h :
1 h 1
 
Poutres sur appuis simples
15 l 10
1 h 1
Poutres continues  
15 l 10

 Largeur b d’une section rectangulaire 0.3 h  b  0.6 h

 Largeur b0 d’une section en Té 0.2 h  b  0.4 h

Avec l la portée entre nus d’appuis de la travée, h sa hauteur et b sa largeur


Voir le plan de coffrage qui contient les dimensions choisies pour chaque poutre.

On doit aussi songer à uniformiser les poutres afin de faciliter leur exécution.
Certaines poutres, on va changer leurs dimensions, il s’agit en effet de poutres qui sont dans le
sens les poutrelles de plancher, donc ne reprennent pas la charge due à celui-ci, comme par
exemple la poutre N015 ces poutres seront donc noyées et on prend une hauteur de 0.20 m
Pour aussi assurer une belle continuité entre les poutres et la dalle on limite la hauteur des
poutres au moins à l’épaisseur de la dalle c’est à dire à 20 cm.
Les poutres seront à inertie constante pour d’une part assurer une certaine facilité d’exécution
et d’autre part gagner en temps car pour des charges relativement modérées on n’économise
pas grand chose avec une inertie variable.

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Pour les poutres intérieures on prendra une largeur b = 20cm pour tenir compte de l’épaisseur
des cloisons.

3.1.2 Poteaux :

 Dimensionnement des poteaux


N
Le dimensionnement se fait par la formule : B
10
N : Nombre totale de m2 de planchers supportés par le poteau.
B : La section du poteau en m2 ( B = ab pour le cas d’une section rectangulaire de côtés a , b .
N est donnée par :
N  105
.  S  ( g  q ) / 1000 ( MN )
g : la charge du plancher par m2 ,
q : la surcharge du plancher par m2 ,
S : la surface des planchers supportés par le poteau en question.
Le coefficient “1.05 ” pour tenir compte du poids du poteau.

D’après l’article B.8.2,10, on suppose que le poteau est soumis uniquement à un effort de
compression centré parce que les moments de continuité ou d’encastrement s’ils existent ont
une valeur faible et ne sont pas pris en compte dans le calcul et on néglige l’effet(la
composante horizontale du vent parce que notre construction à un seul niveau.
L’imperfection de rectitude est négligée et on limitera l’élancement

Les dimensions des poteaux doivent être en rapport avec les charges à supporter. L’intérêt est
de dimensionner largement : il coûte moins cher de transporter les charges par le béton que par
l’acier. mais des impératifs esthétiques ou d’encombrement imposent un gabarit maximal à ne
pas dépasser.
Normalement les gabarits augmentent aux étages inférieurs mais on va laisser le même gabarit
pour l’étage et le rez-de-chaussée.
Afin de simplifier le coffrage aux appuis on limite les dimensions du poteau à la largueur des
poutres c’est à dire 20 cm.
Min(a, b) > 20 cm

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L’effort tranchant à l’appui fixe une valeur minimale des dimensions du poteau.
On doit avoir : Vu < 0.267  b  a  fc28

On prend pour les poteaux de notre projet de section axb=20x20 cm

 Détermination de la longueur de flambement

La longueur de flambement Lf est déterminée en fonction de la longueur libre des poteaux et de


leur liaisons effectives.
D’après l’article B.8.3,31 les poteaux de cette construction sont encastrés dans la fondation et
articulés au niveau du plancher, donc Lf = 0.7Lo, avec Lo la longueur du poteau.

 Elancement

Il traduit l’aptitude d’une pièce à flamber. on a intérêt à réduire l’élancement dans le but de se
prémunir à toute instabilité de forme.
L’ élancement =Lf/i
Tel que Lf : longueur de flambement.
i : rayon de gyration i = (I/B)0.5
B : la section du poteau, pour une section rectangulaire B=a*b
=(Lf.(12)0.5)/a
Il faut que <50 pour que toutes les armatures participent à la résistance.

 Choix de la forme de la section

Les poteaux peuvent être en principe de forme quelconque : carré, rectangulaire, circulaire,
trapézoïdale, hexagonale, octogonale, polygonale quelconque, en T, en I, en caisson ou tout
simplement adapté à l’espace disponible.
Nous opterons pour des poteaux de section carrée pour les adapter aux appuis des poutres.
En effet la section carrée (20*20). Elle est la plus économique et nécessite le moins du coffrage

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3.1.3 les fondations.

Les éléments de fondation ont pour objet de transmettre au sol les efforts apportées par les
éléments de la structure.
Etant que nous avons des villas jumelées on utilisera des semelles excentrées au niveau du
joint entre les deux villas. Pour éviter les problèmes liés à une éventuelle déformation dans une
qui pourrait entraîner des effets dans l’autre. Toutes les autres semelles seront centrées.

le type de semelles adopté est déterminer Suivant le rapport géotechnique établi par le
laboratoire agrée, et en se basant sur les rapports des terrains avoisinant, qui nous fournissent
des données relatives à la nature de sol de terrain de construction et la valeur de la contrainte
admissible s. Si par exemple la couche de sol présente de bonnes caractéristiques On
préconise des semelles isolées carrées sous poteaux, ancrées dans le sol.

On optera dans notre cas pour une fondation superficielle si le sol est de bonne qualité et vu
aussi les charges sont relativement modérées.

La semelle rigide s’adapte mieux à notre cas car :


On utilisera moins d’acier ;
Calcul simple comme les éléments classiques ;
Pas besoin de béton de qualité nécessairement bonne ;
Facilité d’exécution.

 Dimensionnement de la semelle.

Ceci revient à déterminer le coffrage de la semelle et les armatures.


On considère la combinaisons d’actions aux Etats limites et on vérifie l’Etat limite de service.
Les dimensions des semelles sont fonction des contraintes admissibles du sol. Pour le calcul on
suivra les hypothèses suivantes :

Charges centrées sur le pilier.


sol homogènes avec une capacité portante de 3 bars.
Semelle rigide.

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Diagramme de répartition des pressions sur le sol est uniforme.


L’armature va équilibrer les efforts de traction.

La méthode utilisée est la méthode des bielles mise au point à la suite d’essais et qui consiste à
admettre que les efforts provenant du poteau sont transmis au sol par des bielles de béton
obliques et équilibrées 2 à 2 par les armatures. Les bielles de béton comprimées engendrent
des efforts de traction à la base de la semelle.
On considère le poids propre de la semelle égal à 5 % de celui du poteau, donc la charge P
supportée par la semelle est égal à 1.5 fois celle supportée par le poteau .

4 MATERIAUX DE CONSTRUCTION

L’ingénieur concepteur est appeler à faire un choix judicieux de matériaux de sa construction,


qui sont destinés à remplir des rôles bien déterminés afin d’assurer la conformité de l’ouvrage.
Vu que notre construction n’est pas très grande et qu’on s’attellera dans la conception à limiter
les portées le béton armé sera adéquat pour l’exécution des travaux.

Le constructeur doit aussi aboutir à des règles précises d’utilisation du BA, il doit maîtriser
parfaitement les matériaux utilisés à savoir l’acier et le béton. Il doit en effet avoir des
connaissance vague concernant :

 Les caractéristiques physiques, mécaniques, et chimiques du béton et de l’acier


 Le comportement du béton et de l’acier lorsqu’ils sont associés.
 Les caractères des matériaux concernent :les résistance caractéristiques à la compression et
à la traction. Les déformations (allongement et raccourcissement) ;et les diagrammes
déformations contraintes.

4.1 Béton armé :

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Depuis l'invention du béton, les constructeurs ont compris son intérêt au niveau économique et
ses possibilités d'expression architecturale dans le domaine du bâtiment.
Les techniques d'emploi et de mise en oeuvre du béton n'ont cessé depuis de s'améliorer, et ce
n'est que vers la moitié du siècle dernier que fût inventé le béton armé. La naissance de ce
nouveau matériau, qui utilise la bonne résistance du béton à la compression et les propriétés de
l’acier pour résister à la traction, fût suivie par l'ouverture de nombreux champs d'application et
connut un essor rapide que ce soit sur le plan pratique ou sur le plan théorique.

la majorité des éléments constituants l’ossature du projet seront donc réalisée par le béton
armé qui présente donc les qualités suivantes :

 Préférable en compression
 Grande résistance à la traction et à la compression
 Maniabilité importante
 Ne nécessite pas une main d’œuvre qualifiée.
 Grande durée de vie
De plus c’est le matériau le plus courant et le plus disponible sur le marché.

Le béton armé s’obtient en coulant le béton à l’état pâteux dans un coffrage où sont disposées
des barres d'acier dites armatures. On distingue les armatures longitudinales dirigées suivant
l'axe longitudinal de la pièce et les armatures transversales disposées souvent
perpendiculairement aux premières.

Le béton utilisé dans notre projet est le béton courant dosé 350Kg/m 3 et ayant les
caractéristiques suivantes:

 Poids volumique : 2500kg\ m3.


 Résistance à la compression à 28 : fc28 =25Mpa.
 Contrainte admissible de compression : c=14.2Mpa
 Résistance à la traction à 28 jours : ft28=2.1Mpa.

4.2 Acier :

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Dans le but d’assurer une bonne adhérence béton acier on choisit des armatures à haute
adhérence avec une limite élastique fe = 400MPa c’est à dire Fe E 40.
Ces armatures ont pour caractéristiques:
 fe = 400 MPa
  s = 1.15
 s = 348 Mpa

4.3 étanchéité :

L’étanchéité sera appliquée en terrasse en utilisant Un feutre d’étanchéité bitumé qu‘on va


placer après avoir donner une certaine forme de pente. Ces feutres d’étanchéité vont couvrir la
terrasse. ils sont mesurés par leurs épaisseurs on parle de feutre 36, 40, 27. il est à noter que
ces feutres sont fragiles.

Pour éviter l’écoulement de l’eau vers les extrémités on peut prévoir un larmier lors de la
construction de l’acrotère dont le rôle est essentiellement de ramasser ces goûtes d’eau.
L’étanchéité pour ce projet comprendra :
 Une couche d’imprégnation à froid ;
 Une couche d’EAC
 Un feutre bitumé type 36S

4.4 cloison :

On distingue les cloisons extérieures doubles et celles intérieurs simples pour séparation des 2
pièces ; Elles sont réalisées respectivement par des briques creuses en terre cuite rouge de
6+8T et de 6T (T :Nombre de trous).
Elles assurent la clôture et la séparation, elles n’ont aucun rôle de résistance Certaine cloisons
doivent présenter des exigences de résistance au feu en matière d’isolation thermique et
phonique.

4.5 revêtement :

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Son rôle est de rendre la surface étanche, lisse et facile à nettoyer ainsi que de diminuer la
pénétration des saletés.
On choisira donc les carreaux en grès cérame émaillé d’épaisseur 1.5cm posé avec un ciment
colle. Il sera appliqué sur le sol des salons, chambre, cuisine, hall et balcons.
Pour les salles d’eau et murs de cuisine, le revêtement sera réalisé avec faïence
La terrasse sera revêtue en carreaux de ciment teinté
Le revêtement des escaliers sera en marbre pour des raisons esthétiques.

4.6 enduit :

on distingue deux types d’enduits

 Enduit extérieur : ce sont des revêtements imperméables minces qui protègent les murs de la
pluie. Il joue donc un rôle d’imperméabilisation (étanchéité à l’eau) et de décoration (aspect
ou finition).

Il sera exécuté en 3 couches :


La Couche d’accrochage : qui assure l’adhérence de l’enduit au support.
Le corps enduit : c’est une couche épaisse, qui permet d’obtenir à la foie une surface plane,
une épaisseur étanche et une surface rugueuse.
Et finalement la couche de finition, qui assure à la fois le rôle décoratif et la protection du corps
d’enduit.
 Enduit intérieur : réalisé sur mur et sur plafond, exécuté en 2 couches ;

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conclusion

Ce projet nous a permit de franchir le portail de la conception en matière de génie civil, et


d’utiliser les connaissances acquises lors de notre étude.

Avant de clore notre étude, il est intéressant de mentionner que La conception d’un ouvrage
diffère d’un ingénieur à un autre, c’est à dire que le choix de la conception n’est pas décisif.
A condition de ne pas sortir du cadre des principales règles de l’art.

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Remerciement
Introduction

1 CONCEPTION :............................................................................................................................................................2
1.1 FINALITÉS........................................................................................................................................................................3
1.2 CONSISTANCE DES TRAVAUX :..........................................................................................................................................3
1.3 SYSTÈME STRUCTURAL :.................................................................................................................................................3
1.4 PRINCIPE DE CONCEPTION:...............................................................................................................................................4

1.4.1 Principe de l’emplacement des poteaux....................................................................................................................4


1.4.2 Principe de l’emplacement des poutres principales de la structure..........................................................................5
1.5 CONCEPTION DES PLANCHERS :.......................................................................................................................................6
1.5.1 procédés de fabrication :...........................................................................................................................................6
1.5.2 Schéma du plancher sur entrevous............................................................................................................................8
1.5.3 Choix des dimensions du plancher.............................................................................................................................8
1.5.4 sens des poutrelles :...................................................................................................................................................9

2 LES CHARGES :...................................................................................................................................................................9

2.1 CHARGES DU HOURDIS :................................................................................................................................................10


2.1.1 Au niveau de la terrasse :........................................................................................................................................10
2.1.2 Au niveau du plancher de l’étage............................................................................................................................11
2.2 CHARGES SUR LES POUTRES..........................................................................................................................................11
2.3 CHARGES SUR LES POTEAUX :.......................................................................................................................................12
2.3.1 descente de charges :...............................................................................................................................................12
2.4 CHARGES SUR LES FONDATIONS :..................................................................................................................................15

3 PLAN DE COFFRAGE :.....................................................................................................................................................16

3.1 DIMENSIONS GÉNÉRALES...............................................................................................................................................16


3.1.1 Poutres :...................................................................................................................................................................17
3.1.2 Poteaux :..................................................................................................................................................................18
3.1.3 les fondations...........................................................................................................................................................20

4 MATERIAUX DE CONSTRUCTION...............................................................................................................................21

4.1 BÉTON ARMÉ :...............................................................................................................................................................22


4.2 ACIER :..........................................................................................................................................................................23
4.3 ÉTANCHÉITÉ :.................................................................................................................................................................23
4.4 CLOISON :.......................................................................................................................................................................23
4.5 REVÊTEMENT :...............................................................................................................................................................24
4.6 enduit :..........................................................................................................................................................................24

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conclusion

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