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Il nous paraissait important de faire évoluer la prise en charge du patient alcoolique dans une

dynamique d'atelier de parole mais également dans des entretiens individualisés. L'évolution est liée
à l'étude de comportement, les conséquences biologiques et consommation excessive d'école sur
l'organisme, et l'association quasi constante de troubles émotionnels, desorganisations dépressives,
anxieuses. Le modèle n'étant plus de manière absolue d'obtenir une abstinence totale de travailler
sur une modération qui dans un 2e temps pourra aboutir à l'abstinence par la prise de conscience du
patient que celle-ci n'est pas seulement une soumission un désir médical mais une réalité le mieux-
être pour lui-même, redonnant une dynamique sociale également à de la disqualification de son état
alcoolisé à une reprise de parole qui pourra de nouveaux êtres entendus.
Nous disposons également de nouvelles thérapeutiques Médicamenteuse qui vont permettre la
gestion du craving,Mais également de nouvel état d'esprit associant bienveillance, souplesse et
tolérance des situations de rechute .
Nous utilisons également différents documents qui sont remis au patient qui pourra les conserver
pour lire et relire afin que puisse bien comprendre sa maladie ainsi que la démarche des soignants la
meilleure collaboration aux soins possibles.
Le poste sera donc un rôle actif dans son propre soin.
Si l'abstinence ne peut pas être obtenue dans la mesure où celle-ci ferait trop référence à une
contrainte, le patient alors développant des résistances dans la mesure où son identité est
compromise dans la soumission sera toutefois intéressée par la réduction de sa consommation dans
la mesure où celle-ci est directement corrélée à une diminution des risques de cancer de l'appareil
digestif, de la vessie, du cancer du sein Mais également des pathologies Organique chronique,
Cirrhose, insuffisance cardiaque, troubles neurologiques périphériques Et centraux .
La dépendance est un système de récompense, phase de plaisir, de déplaisir Et perte du contrôle
finalement qui peuvent être Associé a Un manque de volonté, il s'agit également de prendre en
compte les phénomènes biochimiques de la récompense sachant que les systèmes dopaminergiques
opioidergique, Et cannabinergique favorise une situation agréable À l'origine Du craving.

Sur le plan pratique Nous utilisons à la clinique les différents outils médicamenteux qui associent
acamprosate (revia) et le naltrexone (selincro)dans le maintien de l'abstinence,, et le disulfirane
(aotal) en prévention des rechutes Pour la partie éducation thérapeutique Nous réunissons quelques
patients Dans un groupe de paroles spécialisées Avec des débats qui tourneront autour de l'alcool ou
sera abordé leur dépendance à la fois pour qu'il évoque leur histoire et leur situation mais aussi pour
qu'ils entendent les difficultés rencontrées par l'autre. Ces différentes situations sont bien entendues
renforcer par des entretiens individuels qui ont également pour but d'aller au-delà de leur
consommation et les aides à évoquer les éléments dépressifs sous-jacents, également Reprendre
dans leur histoire familiale les scénarios ou l'alcoolisation devient presque un élément d'identité à
l'appartenance du groupe, banalisant ainsi l'image d'un parent dépendant de l'alcool dans l'idée de le
réhabiliter dans son statut de père ou de mère.
Nous devons également juger de l'authenticité de la démarche qui malgré une prise en charge
proposée n'ont pas d'authenticité , Démarche à la demande des tiers, Familiaux, judiciaires, ou
administratifs il appartient alors a l'éducation thérapeutique De reprendre Ce manque d'authenticité
est installé dans la réflexion du patient au-delà du bénéfice qu'il recherche il peut également obtenir
un bénéfice médical social et émotionnel.
Il s'agit de prolonger l'efficacité de la prise en charge au-delà du séjour, le discours de modération
qui consiste à réduire sa consommation par cette dimension moins intrusive semble être mieux
entendu et aura de toute façon le bénéfice de diminuer les risques de pathologies et de dommages
physiques et psychiques.
Il s'agit bien entendu de toujours aider les patients ayant fait plusieurs rechutes Il n'existe pas de
critère qui interdirait une prise en charge selon un nombre précis d'épisodes d' alcoolisation et l'autre
thérapeutique doit rester disponible.

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