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Notes TP conduction

L’objectif c’est d’étudier le phénomène de conduction.

La conduction c’est du transfert de chaleur qui se fait de proche en proche à travers un milieu (milieu
métallique) sans déplacement de matière.

Banc A

Sur le premier dispositif, on va étudier la conduction à travers des cylindres métallique, un en cuivre
et un en aluminium. La chaleur on va la transmettre suivant l’axe du cylindre, la section est
constante. (On ne pouvait pas faire de manipe sur le cylindre en aluminium car il y’avait une fuite).

Pour créer de la conduction dans matériau il faut qu’il y’a un gradient de température, une zone
chaude et une zone froide, donc à une extrémité ici nous avions un collier chauffant pour assurer
qu’il y’a bien 250°C qu’on va chauffer. On a un régulateur P&D, on souhaite le maintenir à 250°C, si
on dépasse ça vaut dire qu’il y a un problème de régulation, pendant la première manipulation
lorsque ce régulateur dépasse en dessus de 250°C on arrête la chauffe et s’il repasse en dessous de
250°C on remet la chauffe (automatisme). On fait ça jusqu’à ce que la première manipe soit relevée.
Une fois cette manipe est relevée, on éteint le premier banc. A l’autre extrémité pour créer un point
froid on a un petit échangeur dans lequel circule de l’eau froide qu’on peut relever son débit avec un
rotamètre, donc on a accès a des températures d’entrées et de sorties, ainsi la chaleur est transmise
du bar. On vérifie que la loi de fourrier est validée en relevant le profil de température.

On a des thermocouples numérotés d’un à dix. On a un afficheur et on sélectionne le


thermocouple qui nous intéresse, pour pouvoir positionner les températures on a les distances
exactes en mm Quand on voit que les T° sont stables on tracera le profil et en déterminera la
conductivité du cuivre ainsi la résistance thermique. 11 entrée, 12 sortie.

Vu qu’on n’utilise pas l’aluminium, on doit expliquer ce qui va changer dans le profil de T° le fait que
l’AL ait une conductivité plus faible que le cuivre.

Banc B

Sur le deuxième banc on a un cylindre en inox mais il est beaucoup plus moins long que son rayon
donc on l’assimile à un disque. Ce cylindre est entouré d’un collier chauffant (+de 200°C), On chauffe
à l’extérieur et au milieu on fait passer un débit d’eau froide. On a des thermocouples, on relève le
profil de T°C et grâce à la loi de fourrier intégré et linéarisé, on montre que comme la section à
travers laquelle la chaleur est transmise diminue qu’o se rapproche du centre du cylindre on va avoir
un profil qui n’est pas linéaire mais o le linéarise afin de déterminer la conductivité en inox.

Sur cette manipe, on a des thermocouples qui ne marchent pas, comme c’est le cas à l’entreprise, et
on a des thermocouples qui donnent des mauvaises valeurs (si j’étais à l’entreprise je dois
déterminer lesquels des thermocouples que je dois réparer ou étalonner).

Banc B avec rétrécissement

Sur la barre C on a plus accès au débit d’eau. On va avoir un changement de section, on a de


nouveau une barre en cuivre sauf qu’au début il fait 40mm de diamètre et après il fait 30mm de
diamètre. La chaleur transmise par conduction se conserve. Juste à partir du profil de T°C on doit
prouver qu’il y’a la même puissance qui es transmise dans la grande section que dans la petite
section.

Banc C

Sur le dernier dispositif, on va étudier les résistances de contacte. Il y’a deux barres, la barre 4 et la
barre 5 et à chaque fois il y’a une barre en aluminium et une barre en cuivre.

Il y’a un des deux dispositifs où on va se retrouver avec une faible résistance de contacte à
l’interface. Sur l’autre dispositif, on veut limiter les transferts de chaleurs entre deux milieux.

En traçant toutes les courbes des deux manipes sur le même graphique, on est censé être capable
de repérer si c’est sur la barre 4 ou 5 qu’il y’a le bon ou le mauvais contacte et être capable de
calculer la résistance à l’interface.

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