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Génie Energétique

(FI1)

Chapitre I : Théorie des


Graphes

Noureddine MOUSSAID

1
• Vous gérez déjà des projets sur le terrain
mais vous souhaitez développer vos
compétences ou vous avez encore peut
d’expérience et vous voulez mieux
travailler en equipe

2
Gérer et animer un projet, être chef de projet c’est d’abord savoir
en négocier l’objectif mais aussi prévoir. Pour cela, il faut savoir
mettre en œuvre les outils de l’analyse fonctionnelle,
de planification (MPM, PERT, Gantt), gérer un budget, maîtriser
les risques, motiver et animer une équipe-projet tout cela en
conciliant les intérêts du maitre d’ouvrage et des parties prenantes.

On parle de projets tous les jours : projets de lois, projets de


carrière, projet de développement, avant partir en vacances on fait
des projets ...

3
Principe :

La gestion de projet permet de représenter et de résoudre des


problèmes d’organisation parmi lesquels :

• Le problème d’ordonnancement qui consiste à organiser dans le


temps
(« ordonner ») un ensemble de tâches qui concourent à la
réalisation d’un objectif, compte tenu de contraintes temporelles
(Succession des tâches) et des moyens humains et matériels
consacrés à l’exécution des tâches.

• Les problèmes de transport qui consiste à acheminer dans un


réseau des quantités entre m origine et n destination, compte tenu
de capacités de transport.

4
I. Langage élémentaire des graphes
• Soit :
– X= x 1, x 2, …..., xn ensemble de n sommets.
– R une relation entre les éléments de X.

Définition :

Un graphe est une relation liant les sommets ( ou points) d’un


ensemble X.
Le couple (X, R) définit un graphe.
La relation entre deux sommets (xi, xj) du graphe est :
• Un arc si elle est à sens unique : xi xj
• Une arête si elle n’est orientée : xi xj
Un graphe dont toutes les relations sont des arcs est un graphe
orienté.

5
I. Langage élémentaire des graphes
I.1- Principales représentations d’un graphe :

I.1.a- Représentation sagittales :(du latin sagitta : « flèche »)


• Un chemin est une suite d’arcs dont l’extrémité terminale de
chaque arc (sauf pour dernier) est l’extrémité initiale du suivant.

C. .E
A.

. .
B D
Ainsi : A, B, D est un chemin, alors que, A, B, C n’en est pas un.

• Un circuit est un chemin qui se ferme sur lui-même :


l’extrémité terminale du dernier arc est l’origine du premier. Ainsi :
C, B, D est un circuit.
6
I. Langage élémentaire des graphes
I.1.b Représentation sous forme de matrice booléenne :

Sommets d’arrivée
A B C D E

A 0 1 0 0 0
Sommets B 0 0 0 1 0
d’origine C 0 1 0 0 1
D 0 0 1 0 1
E 0 0 0 0 0
Le chiffre 1 signifie l’existence d’une relation
La matrice se lit dans les deux sens:
- En ligne : Le sommet C est suivi des sommets B et E.
- En colonne : Le sommet E est précédé des sommets C et D.
7
I. Langage élémentaire des graphes

I.1.c- Représentation sous forme de dictionnaires :


Dictionnaire des précédents Dictionnaire des suivants
Sommet Précédent Sommets Suivant
X P(x) X S(x)

A A B
B D
B A; C
C D C B; E

D B D C; E

E D; C E

8
I. Langage élémentaire des graphes
I.2- Recherche des niveaux d’un graphe sans circuit.
Cette étape a pour objectif de rendre la représentation sagittale du graphe
plus claire. Elle consiste à classer par ordre croissant de niveau les sommets
de gauche à droit.
Le niveau d’un sommet est le nombre d’arcs qui le sépare de l’origine par
le chemin le plus long.
A B C
. . .

D .
Niveau 0 : A ; D
Niveau 1 : B
Niveau 2 : C

Remarque : Pour représenter un graphe, il est nécessaire de supprimer


les contraintes redondantes :

9
I. Langage élémentaire des graphes

Sommets Sommets
antérieurs
A Le terme « antérieur »
signifie avant
B A
C B;D
D
A B C
. . .

D .

L’arc AC ne doit pas figurer sur la représentation.

10
I. Langage élémentaire des graphes
Exemple :

Présentation de la démarche à partir du dictionnaire des précédents :


La réalisation d’un projet nécessite
Tâches (x) Tâches
la réalisation de 9 tâches dont antérieures P(x)
les conditions d’antériorité sont précisées
A
dans le dictionnaire
des précédents suivants : B A
C A,D
D
E A,C

F A;C;E;H

G A;B;C
H D
I A;C;G

11
I. Langage élémentaire des graphes
Détermination des niveaux à partir des dictionnaires des
précédents:
• La démarche est itérative :
 Sont de Niveau 0 les sommets sans précédent :
Niveau 0 = A, D.

Pour déterminer le niveau 1 : les sommets classés en niveau 0 (soit A, D)


sont barrés dans les 2 colonnes.

 Sont de Niveau 1 Les sommets dont la colonne P(x)


est entièrement barrée.
Niveau : 1 = B;C et H

Les sommets classés en niveau 1 (soit B; C ; H ) sont barrés dans les


deux colonnes ; puis la procédure est répétée pour les niveau suivants :
Niveau 2 : E ,G
Niveau 3 : F, I

12
I. Langage élémentaire des graphes
Construction du graphe :

B
.
A G I
. . .

C
.
E F
D . . .

.
H
Niveau 0 Niveau 1 Niveau 2 Niveau 3
13
II. Problèmes d’ordonnancements :

L’ordonnancement a pour buts :

• D’organiser dans le temps ( « ordonner ») un ensemble de tâches,


soumises à des contraintes, pour la réalisation d’un objectif.
• De déterminer le meilleur temps de réalisation de l’objectif.
• D’indiquer les tâches qui ne peuvent souffrir de retard sans remettre
en cause la durée totale du projet.
Les méthodes d’ordonnancement sont fondées sur la théorie des
graphes. Les principales sont :

– la méthode PERT (Program Evaluation Research Task).


– La méthode MPM (Méthodes des Potentiels Métra).

14
II. Problèmes d’ordonnancements :

II.1- La méthode des Potentiels Metra (MPM)


II.1.a- Convention de représentation :
 Les sommets du graphe représentent les tâches à réaliser et sont
symbolisés par des carrés.
 Les arcs représentent les contraintes de succession. Ils sont évalués et
correspondent au délai à partir duquel peut commencer la tâche suivante.
Début
Début au plus tôt au plus tard

t T t T
durée de X durée de Y
X Y

La tache X précède la tache Y et doit être achevée avant


le commencement de Y.

15
II. Problèmes d’ordonnancements :

II.1.b- Tracement du graphe :

Les sommets sont placés par niveaux de façon à limiter les


croissances entre les arcs, et la durée des taches est reportées
sur les arcs.
Un sommet FIN : aboutissement des taches sans suivant termine le
graphe.

Exemple : Construction d’un entrepôt à ordonnancer.

9 tâches reliées par des contraintes d’antériorité :


le dictionnaire des précédents est communiqué :

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II. Problèmes d’ordonnancements :
Tache X Tache précédent P(x) Durée probable ( Semaine)
A-Plan 2
B-Achat materiaux A 2
C-fondation A 6
D-Murs B,C 5
E-Electricité D 2
F-Divers D 3
G-Toiture D 6
H-Peinture E ,G 2
I -Alarme E 2

Les niveaux sont :


Niveau 0 : A Niveau 1 : B,C
Niveau 2 : D Niveau 3 : E ;F;G
Niveau 4: H,I

17
II. Problèmes d’ordonnancements :

13 17 2 15 19
2 6
E I
B
2 2 5 2 2

5 6 19 19
2 21 21
0 0 8 8 13 13
D G H Fin
A

2 6 5 3
13 18
2 2 F
C

18
II. Problèmes d’ordonnancements :
II.1.c- Détermination du chemin critique:

La recherche du chemin critique nécessite le calcul des dates au plus tôt


et des dates au plus tard de chaque tache.
 Calcul des dates de début au plus tôt.
La date de début le plus tôt est la date à laquelle une tache peut
commencer.
Une tache ne peut commencer tant que les taches antérieures ne sont
pas terminées. On retient donc le chemin le plus long.

0 0 +5 = 5
X
5
sens de calcul 0+6 = 6
6
Z

0
6
Y

19
II. Problèmes d’ordonnancements :
Exemple:

Le projet peut donc terminer au niveau 21 semaines après


le commencement des travaux.
 Calcul des dates de début au plus tard :
C’est la date limite à laquelle une tache peut commencer
sans retarder le projet.
La date limite de commencement d’une tache ne doit pas
remettre en caisse la durée totale du projet
On retient le chemin le plus court.
20 - 5 = 15
15 5 0 20 19 – 3 = 16
U V
3 Sens de calcul
6 19
W

20
II. Problèmes d’ordonnancements :

Les dates de début au plus tard se calculent en partant


de la fin du projet.

Le chemin critique est le chemin le plus long entre le niveau 0


et la fin du projet, il constitue l’ensemble des taches critiques,
c’est -à- dire des taches dont la réalisation ne souffre aucun retard.
Tache critique= date de début au plus tôt = date de début au plus
tard.

Exemple : Chemin critique : A-C-D-G-H


Vérification : 2+6+5+6+2=21.

21
II. Problèmes d’ordonnancements :

Le chemin critique est le chemin le plus long entre le


niveau 0 et la fin du projet.
Il est constitué de l’ensemble des tâches critiques, c’est-à-dire des
tâches dont la réalisation ne souffre aucun retard :

Tâche critique : Date de début au plus tôt= Date de début au plus tard

La longueur du chemin critique est donc égale à la somme des durées des
tâches critiques.

22
II. Problèmes d’ordonnancements :
II.1.d- Calcul et interprétation des marges :
) Marge totale :
C’est le retard maximum que peut prendre la réalisation d’une
tache sans retarder la durée totale du projet.
tx T x
Marge Totale de X = Tx -tx
x

) Marge libre :
C’est le retard maximum que peut prendre la réalisation d’une
tache sans remettre en cause les dates au plus tôt des taches suivantes,
et donc sans retarder la durée totale du projet :
dx ty
tx
Marge libre de X = ty - dx - tx
X Y

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II. Problèmes d’ordonnancements :
Remarque :
 La marge libre d’une tache est toujours inférieure ou égale
à sa marge totale.
 Les taches critiques ont des marges nulles, tout retard dans
l’accomplissement d’une tache critique retarde d’autant le projet.

II.2- Méthode PERT :


II.2.a- Convention de représentation

Les arcs du graphe représentent les taches à réaliser ;


Les sommets représentent les étapes de l’avancement du projet.
Ils correspondent à la fin des taches et sont symbolisés par des cercles
identifiés par un numéro.

Tache X (durée de X) la tache X est achevée au sommet S.


s
24
II. Problèmes d’ordonnancements :

 La représentation sagittale peut nécessité l’introduction de taches fictives


(ou virtuelles) de durée nulle dessinée en pointillés et l’introduction
de sommets fictifs.
 Respect des contraintes de succession.
Tache Tache antérieures
C A
D A, B
A C
A C
 (durée o)

B D
B D

Représentation fausse: la tache Représentation correcte : Les contraints


n’est précédée que de A sont respectées grâce à la tache fictive 
25
II. Problèmes d’ordonnancements :
 Taches parallèles : qui succèdent à même tache et qui précédent
une même tache.
B
A D
S1 S2
C

Représentation fausse : les sommets ne peuvent pas être identifiés


sans ambiguïté en raison des deux arcs B et C.

B
S2
A
 (durée o)
S1
D
S2
Représentation correcte : L’identification est possible graçe au sommet
fictif S2 et à la tache .

26
II. Problèmes d’ordonnancements :

II.2.b- Tracement du graphe:


Un sommet Début, point de départ des taches de niveau 0
initialise le graphe.

Exemple:
E(2)
B(2) 4
2 I(2)
A(2)
Début 1 (0) (0)

C(6)
G(6) H(2)
2 D(5) 3 5 fin

F(3)

27
II. Problèmes d’ordonnancements :
II.2.c- Détermination du chemin critique:
 Calcul des dates de début au plus tôt des sommets : la date de début
au plus tôt calculée pour un sommet indique la date au plus tôt de toutes les
taches qui partent du sommet :
Les dates de début au plus tôt se calculent en marquant les sommets
de la gauche vers la droite, de manière analogue à celle de la méthode MPM.

E(2) 15 19 I(2)
4 8
B(2) 4
2
A(2) 2 2
Début 1 L(0) B(0)

C(6)
8 8 13 13 G(6) 19 19 H(2) 21 21
2 D(5) 3 4 6

F(3)

28
II. Problèmes d’ordonnancements :

Le projet peut être terminé au niveau 21 semaines après


le commencement des travaux.

 Calcul des dates de fin au plus tard, des sommets :

La date de fin au plus tard calculée pour un sommet indique


la date de fin au plus tard de toutes les taches qui arrivent au sommet.
Les dates de fin au plus tard se calculent en partant de la fin
du projet de manière analogue à la MPM.

Chemin critique: A;C;D;G;H

Vérification : 2+6+5+6+2=21

29
II. Problèmes d’ordonnancements :

II.2.d- Calcul des marges:


La définition des marges calculées est la même que celles donnée
en paragraphe (MPM), en revanche la procédure de calcul diffère:

ti X(dx) tj Tj
i j

La marge totale d’une tache X est égale à :


Tj - dx - ti = marge totale de X

La marge libre de X:
tj - ti - d x

30
II. Problèmes d’ordonnancements :

Exemple: Calcul des marges:


Tache E : Marge totale : 19- 2- 13 = 4
Marge libre : 15- 2- 13 = 0
Tache B : Marge totale : 8- 2- 2 = 4
Marge libre : 8- 2- 2 = 4 Retenue le sommet réel

II.3- Le graphique de Gantt:


Principe:
la méthode consiste à déterminer les possibilités de placer les opérations
sur les différents postes de travail, en fonction des contraines techniques
de succession et des possibilités de production de chaque poste.
Remarque:
C’est une méthode peu satisfaisante, car il y a un grand nombre
de combinaison des taches, par contre utilisée après la méthode PERTou MPM,
elle permet une synthèse de lecture facile de l’ensemble
des contraintes qui pèsent sur le projet.
31
II. Problèmes d’ordonnancements :
Le diagramme de Gantt se présente ainsi:

F(3)

 

B(2) E(2) I(2)


    

A(2) C(6) D(5) G(6) H(2)


   

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21

32
I. Suppression des redondances :

Soit la situation suivante extrait d’un graphe :

Tâches Tâches pré requises


X -
Y X
Z X, Y

Dont la représentation serait x y z

L’arc en pointillés signifie que X doit être effectuée avant Z,


information utile puisque l’on sait que X doit être avant Y,
qui est elle-même avant Z.
Supprimer cet arc revient à effacer X dans la liste des tâches
pré requises de Z.

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I. Suppression des redondances :

Dans la pratique, pour déceler ces redondances, on détermine les tâches


pré requises des tâches pré requises, et on élimine en colonne 2 toutes les
tâches figurant à la fois en colonne 2 et 3.

C1 C2
Tâches pré Tâches pré requis des tâches
Tâches requises prés requises
X - -
Y X -
Z X, Y X

Il faut réitérer le procédé autant de fois que nécessaire, comme


nous allons voir dans l’exemple :

34
I. Suppression des redondances :
Exemple :
C1 C2 C3 C4 C5 C6
Tâches Désignations Tâches pré Tâches
requises P.P
A Acceptation des plans - - - - -
B Préparation du terrain - - - - -
C Commande des matériaux A - - - -
D Creusage des fondations A,B - - - -
E Commandes des portes et A - - -
fenêtres
F Livraison des matériaux A,B,C A - - -
G Coulage des fondations A,C,D,F A,B,C A - -
H Livraison des portes et fenêtres E A - - -
I Pose des mûrs, charpente, toit G A,C,D,F A,B,C A -
J Mise en place des portes et A ,H,I E,G A, A,B, A
fenêtres C,D,F C
35
I. Suppression des redondances :
Les tâches soulignées en gras seront supprimées de C2 ( car E C2  C3.)
Les tâches entourées qui figurent en C2  C4 peuvent être supprimées
de C2 et ainsi de suite.
On peut donc travailler avec le tableau suivant:
Tâches Désignation Tâches pré requises Durée en jours
A - 4
B - 2
C A 1
D A,B 1
E A 2
F B,C 2
G D,F 2
H E 10
I G 4
J H, I 1
36
II. Programmation au plutôt et au plus tard :

II.a- dates au plutôt :


Début au plutôt : tx = max ty + d y
yP(x)

Fin au plutôt : t’x = tx + dx

II.b- dates au plus tard :


Début au plus tard : Tx=min Ty – dx
yS(x)

Fin au plus tard : T’x = Tx + dx

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II. Programmation au plutôt et au plus tard :

Une tâche aura représentée par :

LEGENDE

Fin au plus t’x T’x


Fin au plus tôt
tard x dx
Tâche x Durée dx  tx Tx
Début au Début au plus lx Lx
plus tôt :tx tard :Tx
Marge libre Marge totale

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II. Programmation au plutôt et au plus tard :
Exemple :
Tâches i Désignation de la tâche i Durée di Ancêtres
A Terrassement 5 -
B Fondations 4 A
C Charpente de verticale 2 B
D Charpente de la toiture 2 C
E Couverture 3 D,F
F Maçonnerie 5 C
G Gros oeuvre de plomberie et d’électricité 3 B
H Coulage de la dalle de Béton 3 G
I Chauffage 4 H, F
J Plâtre 10 I, E
K Finition et installation des machines 5 J,M
L Négociation de l’achat des machines + délai de livraison 15 -
M Réception des machines et essais “hors site” 3 L
39
II. Programmation au plutôt et au plus tard :
Niveau du graphe :
Niveau 0 : A, L
Niveau 1 : B, M
Niveau 2 : G, C
Niveau 3 : H, F, D
Niveau 4 : I, E
Niveau 5 : J
Niveau 6 : K
LEGENDE
Fin au plus tôt Fin au plus tard
Tâche Durée
Début au plu tôt Début au plus tard
Marge libre Marge totale

40
13 17 19 20
5 5 9 9 11 11 D 2 E 3
A 5 B 4 C 2 11 15 16 17
0 0 5 5 9 9 3 4 1 1
0 0 0 0 0 0
16 16 30 30
F 5 J 10
11 11 20 20
15 27 18 30 12 13
0 0 0 0
L 15 M 3 G 3
0 12 15 27 9 10
15 16 20 20
0 12 12 12 0 1
H 3 I 4 35 35
12 13 16 16 K 5
1 1 0 0 30 30
0 0

35 35
41
Fin
III. Diagramme de GANTT :

Exemple :

11 11 13 17 19 20
C 2 D 2 E 3
9 9 11 15 16 17
0 0 3 4 1 1 16 16
F 5
11 11
30 30 20 20 0 0
J 10 I 4
20 20 16 16
0 0 0 0

42
III. Diagramme de GANTT :
C critique F critique I critique J critique
C F I J

MLE E E au plus tard

E MTE E au plus tôt

MLD D

MTD D D au plus tard

D MTD D au plus tôt

temps
9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22
43
IV.Décomposition d’une macro-tâche en sous-tâches :

Exemple :
Formulation avant décomposition :
Macro tâche A :

17 17 19 19
10 10 D 2
B 7
A 10 17 17
10 10 19 19
0 0 0 0
0 0 Fin
0 0

13 17
C 3
10 14
4 4

44
IV.Décomposition d’une macro-tâche en sous-tâches :
Supposons que l’on puisse scinder l’opération A en deux sous-tâches
A1(4) et A2(6) et que B puisse commencer dés que A1 est achevée.
Formulation après décomposition :

4 4 10 10 11 13 15 15
A1 4 A2 6 B 7 D 2
0 0 4 4 4 6 13 13
0 0 0 0 2 2 0 0
15 15
Fin
13 13
C 3
10 10
0 0 45

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