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N°D77-076-07-2018
PREFECTURE DE
SEINE-ET-MARNE
PUBLIÉ LE 9 JUILLET 2018
1
Sommaire
2
Agence Régionale de Santé
D77-2018-06-29-001
Agence Régionale de Santé - D77-2018-06-29-001 - Arrêté n°2018-117 SACS Uni-teds (Association Agir et vivre l'autisme) 3
ARRETE N°2018-117
portant prolongation du renouvellement de l’autorisation
du service d’accompagnement comportemental spécialisé (SACS) Uni-teds sis
à Vaux le Pénil (77) géré par l’association Agir et vivre l’autisme
VU le code de l’action sociale et des familles et notamment les articles L. 312-1, L. 313-1,
L. 313-7 et L. 314-3 et suivants ;
VU le code des relations entre le public et l’administration et notamment son article L. 242-4 ;
VU le décret du 1er juillet 2015 portant nomination de Monsieur Christophe DEVYS en qualité
de Directeur général de l’Agence régionale de santé Ile-de-France ;
VU l’arrêté n° 079-2010 en date du 1er juin 2010, modifié, autorisant la création du service
d’accompagnement comportemental spécialisé (SACS) Uni-teds à titre expérimental, d’une
capacité de 8 places, pour des usagers âgés de 0 à 20 ans, présentant des troubles du
spectre de l’autisme à compter du 1er juin 2010 ;
Agence Régionale de Santé - D77-2018-06-29-001 - Arrêté n°2018-117 SACS Uni-teds (Association Agir et vivre l'autisme) 4
CONSIDERANT qu’en application de l’article L. 313-7 du code de l’action sociale et des
familles, les établissements et services médico-sociaux à caractère
expérimental mentionnés au 12° du I de l’article L. 312-1 du même code
doivent faire l’objet d’une évaluation au terme de la période ouverte par le
renouvellement de leur autorisation ;
CONSIDERANT qu’une évaluation du dispositif expérimental doit être menée par les
autorités compétentes ;
ARRETE
ARTICLE 1er :
ARTICLE 2 :
Ce service, à caractère expérimental, dispose d’une capacité de 8 places et est destiné à prendre
en charge des usagers âgés de 0 à 20 ans présentant des troubles du spectre de l’autisme.
ARTICLE 3 :
Agence Régionale de Santé - D77-2018-06-29-001 - Arrêté n°2018-117 SACS Uni-teds (Association Agir et vivre l'autisme) 5
ARTICLE 4 :
ARTICLE 5 :
Un recours contre le présent arrêté peut être formé devant le tribunal administratif compétent
dans un délai de deux mois à compter de sa publication.
ARTICLE 6 :
Le Directeur Général
de l’Agence régionale de santé
Ile-de-France
Christophe DEVYS
Agence Régionale de Santé - D77-2018-06-29-001 - Arrêté n°2018-117 SACS Uni-teds (Association Agir et vivre l'autisme) 6
DIRECCTE IDF
R11-2018-06-25-001
Le préfet de la Seine-et-Marne
Constate :
Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 13 juin 2018 par Monsieur SEBASTIEN DUFOUR en qualité de
micro-entrepreneur, pour l'organisme service à la personne dont l'établissement principal est situé 5 CHEMIN
DU BREUIL 77166 EVRY GREGY SUR YERRE et enregistré sous le N° SAP839643038 pour les activités
suivantes :
Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.
Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.
Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.
L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.
Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
Le Directeur Adjoint du Travail,
Olivier GAUTUN
R11-2018-06-26-001
DIRECCTE IDF - R11-2018-06-26-001 - Microsoft Word - ARRETE 2331 BEN SLAMA SOUHAILA_.doc 9
PRÉFET DE LA SEINE-ET-MARNE
Le préfet de la Seine-et-Marne
Constate :
Qu'une déclaration d'activités de services à la personne a été déposée auprès de la DIRECCTE - unité
départementale de la Seine-et-Marne le 26 juin 2018 par Mademoiselle Souhaila BEN SLAMA en qualité de
micro-entrepreneur, pour l'organisme BEN SLAMA Souhaila dont l'établissement principal est situé 16 avenue
Lesage 77680 ROISSY EN BRIE et enregistré sous le N° SAP839457470 pour les activités suivantes :
Toute modification concernant les activités exercées devra faire l'objet d'une déclaration modificative
préalable.
Sous réserve d'être exercées à titre exclusif (ou sous réserve d'une comptabilité séparée pour les personnes
morales dispensées de cette condition), ces activités ouvrent droit au bénéfice des dispositions des articles
L.7233-2 du code du travail et L.241-10 du code de la sécurité sociale dans les conditions prévues par ces
articles.
Les effets de la déclaration courent à compter du jour du dépôt de la déclaration sous réserve des dispositions
de l'article R.7232-18 du code du travail.
L'enregistrement de la déclaration peut être retiré dans les conditions fixées aux articles R.7232-20 à R.7232-
22 du code du travail.
Pour la Préfète,
Par délégation, la DIRECCTE,
Par subdélégation,
Le Directeur Adjoint du Travail,
Olivier GAUTUN
DIRECCTE IDF - R11-2018-06-26-001 - Microsoft Word - ARRETE 2331 BEN SLAMA SOUHAILA_.doc 10
PREFECTURE DE SEINE ET MARNE
D77-2018-07-05-002
D77-2018-07-05-001
D77-2018-07-05-003
DDS-BSIR-Arrt N2018CAB030
Préfecture
Direction des sécurités
Bureau de la sécurité intérieure et la radicalisation
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d’honneur,
Officier de l’Ordre national du Mérite,
VU le code général des collectivités territoriales, notamment ses articles L. 2214-4, L. 2215-1 ;
VU le code pénal ;
VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à
l'organisation et à l'action des services de l'Etat dans les régions et départements, notamment son
article 11 ;
CONSIDERANT, à cet égard, l’utilisation par des individus isolés ou en réunion de produits
incendiaires contre les forces de l’ordre et les services publics, notamment durant la période de la
fête nationale ;
CONSIDERANT, durant cette période, le nombre important d’incendies provoqués par des
individus isolés ou en réunion contre des biens, en particulier des véhicules et des bâtiments
publics ;
CONSIDERANT la nécessité de prévenir ces désordres par des mesures adaptés en vue
d’assurer la sécurité des personnes et des biens ;
…/…
1
Adresse postale : 77010 MELUN CEDEX - téléphone : 01 64 71 77 77 - télécopie : 01 64 71 75 25 - internet : www.seine-et-marne.gouv.fr
ARRÊTE
ARTICLE 1ER – Le transport par des particuliers des combustibles domestiques, dont le gaz
inflammable, et de produits pétroliers dans des récipients est interdit du vendredi 13 juillet 2018 à
partir de 08h00 jusqu’au lundi 16 juillet 2018 à 08h00.
ARTICLE 2 – En cas d’urgence et pour répondre à un besoin justifié, il peut être dérogé aux
dispositions de l’article 1er du présent arrêté, sur autorisation des services de la police ou de la
gendarmerie nationales délivrée lors des contrôles.
ARTICLE 3 – Les dispositions du présent arrêté sont applicables dans le département de Seine-
et-Marne.
La préfète,
2
Adresse postale : 77010 MELUN CEDEX - téléphone : 01 64 71 77 77 - télécopie : 01 64 71 75 25 - internet : www.seine-et-marne.gouv.fr
R11-2018-05-31-048
DS-Arrêté n°2018-BRDS-VP-190
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2018 BRDS VP 190 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC
MARCEL RIVIERE à LAGNY SUR MARNE
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/352 du 4 mai 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Denis
DECLERCK, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents et désignant les autres acteurs de la sécurité ;
VU l’avis émis le 30 mai 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies par
l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation des
personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC MARCEL RIVIERE
situé PLACE MARCEL RIVIERE 77400 LAGNY SUR MARNE conformément au dossier présenté et portant
sur 3 caméras intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les enregistrements au-
delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de mise
en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à des
enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements aux
agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des
douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont affectés.
Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de la présente
autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d’une
procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut être
prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations, être
retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure, et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions pénales
prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date de sa
notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de la
sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
R11-2018-05-31-050
DS-Arrêté n°2018-BRDS-VP-191
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2018 BRDS VP 191 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC
DE LA MAIRIE à CHEVRY COSSIGNY
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/352 du 4 mai 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Denis
DECLERCK, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents et désignant les autres acteurs de la sécurité ;
VU l’avis émis le 30 mai 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies par
l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation des
personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC DE LA MAIRIE situé 33
rue Charles PATHE 77173 CHEVRY COSSIGNY conformément au dossier présenté et portant sur 1 caméra
intérieure.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les enregistrements au-
delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de mise
en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à des
enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements aux
agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des
douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont affectés.
Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de la présente
autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d’une
procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut être
prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations, être
retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure, et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions pénales
prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date de sa
notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de la
sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
R11-2018-05-31-051
DS-Arrêté n°2018-BRDS-VP-192
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2018 BRDS VP 192 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC
DU CARROUSEL à FONTAINEBLEAU
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/352 du 4 mai 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Denis
DECLERCK, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents et désignant les autres acteurs de la sécurité ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Mme Karine LELONG,
gérante de l'établissement TABAC DU CARROUSEL ;
VU l’avis émis le 30 mai 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies par
l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation des
personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC DU CARROUSEL situé
25 place Napoléon BONAPARTE 77300 FONTAINEBLEAU conformément au dossier présenté et portant
sur 1 caméra intérieure.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 15 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une
enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les enregistrements au-delà
du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de mise
en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à des
enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements aux
agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des
douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont affectés.
Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de la présente
autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d’une
procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut être
prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations, être
retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure, et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions pénales
prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date de sa
notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de la
sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
R11-2018-05-31-052
DS-Arrêté n°2018-BRDS-VP-193
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2018 BRDS VP 193 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC
DE L'ETAPE à FONTAINEBLEAU
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/352 du 4 mai 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Denis
DECLERCK, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents et désignant les autres acteurs de la sécurité ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par M. Didier GUILLAU,
gérant de l'établissement TABAC DE L'ETAPE ;
VU l’avis émis le 30 mai 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies par
l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation des
personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement TABAC DE L'ETAPE situé 101
rue grande 77300 fontainebleau conformément au dossier présenté et portant sur 2 caméras intérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 21 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit, d'une
enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les enregistrements au-delà
du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de mise
en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à des
enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements aux
agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des
douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont affectés.
Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de la présente
autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d’une
procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut être
prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations, être
retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure, et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions pénales
prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date de sa
notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de la
sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
R11-2018-05-31-053
DS-Arrêté n°2018-BRDS-VP-194
Préfecture
Cabinet de la préfète
Direction des sécurités
Bureau de la Règlementation Des Sécurités
Arrêté préfectoral n° 2018 BRDS VP 194 portant
autorisation d'exploitation d'un système de
vidéoprotection sur le site de l'établissement
EPLEFPA-LYCEE BOUGAINVILLE à BRIE
COMTE ROBERT
La préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'Honneur
Officier de l'Ordre National du Mérite
VU le code de la sécurité intérieure, notamment les articles L. 251-1 à L. 255-1 et les articles R. 251-1 à R. 253-4 ;
VU la loi n° 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant dispositions diverses
relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU l’arrêté ministériel du 3 août 2007 portant définition des normes techniques des systèmes de vidéosurveillance ;
VU l’arrêté ministériel du 29 avril 2010 fixant les conditions de certification des installateurs de systèmes de
vidéosurveillance ;
VU l'arrêté préfectoral n° 18/BC/352 du 4 mai 2018 donnant délégation de signature à Monsieur Denis
DECLERCK, sous-préfet, directeur de cabinet, ainsi qu’à la directrice et les chefs de bureau et de service de la
direction des sécurités, le nommant délégué à la défense et à la sécurité de la préfecture, des sous-préfectures et de
leurs agents et désignant les autres acteurs de la sécurité ;
VU la demande d’autorisation d’installation d’un système de vidéoprotection présentée par Mme Isabelle
THUILLIER, directrice de l'établissement EPLEFPA-LYCEE BOUGAINVILLE ;
VU l’avis émis le 30 mai 2018 par la commission départementale des systèmes de vidéoprotection de Seine-et-
Marne après audition du référent sureté compétent ;
CONSIDERANT que pour garantir l’exploitabilité des images et pour renforcer de ce fait l’efficacité de la
vidéoprotection, le pétitionnaire atteste que les matériels utilisés sont conformes aux normes techniques définies par
l’arrêté ministériel du 3 août 2007 susvisé ;
CONSIDERANT que le pétitionnaire de l'autorisation tient un registre mentionnant les enregistrements réalisés, la
date de destruction des images et, le cas échéant, la date de leur transmission au parquet et veiller à l'habilitation des
personnes susceptibles d'exploiter et de visionner les images ;
CONSIDERANT que le public est informé de manière claire et permanente de l'existence du système de
vidéoprotection par voie d’affiches ou de panonceaux sur lesquels est représentée une caméra.
Article 1er : A compter de la date du présent arrêté et pour une durée de cinq ans renouvelable, le déclarant est
autorisé à exploiter un système de vidéoprotection sur le site de l'établissement EPLEFPA-LYCEE
BOUGAINVILLE situé RD 319 77170 BRIE COMTE ROBERT conformément au dossier présenté et portant
sur 7 caméras extérieures.
Article 2 : Le délai de conservation des images est fixé à 30 jours, hormis le cas d'une enquête de flagrant délit,
d'une enquête préliminaire ou d'une information judiciaire, le pétitionnaire ne peut conserver les enregistrements au-
delà du délai de conservation fixé par le présent article.
Article 3 : Le titulaire de l’autorisation doit informer, sans délai, l’autorité préfectorale de la date effective de mise
en service du dispositif de vidéoprotection et toute modification substantielle portant sur l'organisation, le
fonctionnement et/ou les conditions d'exploitation du système de vidéoprotection faisant l'objet de la présente
autorisation doit être déclarée auprès des services préfectoraux.
Article 4 : Le fait d'installer un système de vidéoprotection ou de le maintenir sans autorisation, de procéder à des
enregistrements de vidéoprotection sans autorisation, de ne pas les détruire dans le délai prévu, de les falsifier,
d'entraver l'action de la commission départementale de vidéoprotection ou de la Commission nationale de
l'informatique et des libertés, de faire accéder des personnes non habilitées aux images ou d'utiliser ces images à
d'autres fins que celles pour lesquelles elles sont autorisées est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000
euros d'amende, sans préjudice des dispositions des articles 226-1 du code pénal et L. 1121-1, L. 1221-9, L. 1222-4
et L. 2323-32 du code du travail.
Article 5 : Le personnel ne devra pas être visionné en permanence par les caméras.
Article 6 : Le présent arrêté autorise, dans le cadre de leurs missions, l’accès aux images et aux enregistrements aux
agents individuellement désignés et dûment habilités des services de police et de gendarmerie nationale ainsi que des
douanes et des services d'incendie à compétence départementale, régionale, zonale ou nationale où ils sont affectés.
Le délai pendant lequel ces services peuvent conserver les images est prescrit pour la durée de validité de la présente
autorisation sans excéder un mois, sans préjudice des nécessités de leur conservation pour les besoins d’une
procédure pénale.
Lorsque l'urgence et l'exposition particulière à un risque d'actes de terrorisme le requièrent, cette décision peut être
prise sans avis préalable de la commission départementale de vidéoprotection qui sera toutefois informée à
postériori.
Article 7 : La présente autorisation peut, après mise en demeure de son titulaire de présenter ses observations, être
retirée en cas de manquement aux dispositions des articles L. 251-1 et suivants du code de la sécurité intérieure, et
en cas de modification des conditions au vu desquelles elle a été délivrée, et ce sans préjudice des sanctions pénales
prévues par lesdits articles.
Article 8 : La présente autorisation est publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture. Elle peut faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal Administratif de Melun dans un délai de deux mois à compter de la date de sa
notification à l'intéressé ou de sa publication.
Article 9 : Le sous-préfet, directeur du cabinet du préfet de Seine-et-Marne, est chargé de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne, et dont une copie sera
adressée au pétitionnaire, au maire de la commune concernée, au contrôleur général, directeur départemental de la
sécurité publique et à la sous-préfecture de rattachement.
La préfète,
Pour la préfète et par délégation,
La directrice des sécurités
D77-2018-07-05-004
La Préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d’Honneur
Officier de l’Ordre National du Mérite
VU le décret n°2010-455 du 4 mai 2010 relatif à la mise sur le marché et au contrôle des produits
explosifs ;
VU le décret n°2010-455 du 31 mai 2010 relatif à l’acquisition, la détention et l’utilisation des
artifices de divertissement et des articles pyrotechniques destinés au théâtre ;
CONSIDERANT qu’en application des articles L.122-1 du code de la sécurité intérieure et 11 du
décret du 29 avril 2004 susvisé, le préfet de Seine-et-Marne a la charge de l’ordre public,
notamment la prévention des atteintes à la sécurité des personnes et des biens ;
CONSIDERANT, à cet égard, que les risques d’utilisation par des individus isolés ou en réunion
d’artifices de divertissement et d’articles pyrotechniques, principalement ceux conçus pour être
lancés par un mortier, contre les forces de l’ordre et les services publics, ainsi que le nombre
d’incendies provoqués par des individus isolés ou en réunion contre des biens, en particulier des
véhicules et des biens publics, sont importants à l’occasion de la période de la fête nationale ;
CONSIDERANT, en outre, que le niveau élevé et la prégnance de la menace terroriste, comme en
témoignent les trois attaques terroristes meurtrières commises à Carcassonne et Trèbes dans l’Aude
le 23 mars 2018 et celle commise dans la soirée du 12 mai 2018 à Paris, mobilisent, dans le cadre
du plan VIGIPIRATE qui demeure activé, les forces de sécurité intérieure pour assurer la
sécurisation générale de la région Ile-de-France et que, dès lors, elles ne sauraient être distraites de
cette mission prioritaire ;
CONSIDERANT qu’il appartient à l’autorité de police compétence de prendre des mesures
adaptées, nécessaires et proportionnées visant à garantir la sécurité des personnes et des biens et le
bon déroulement de cette cérémonie ; qu’une mesure réglementant temporairement la cession des
artifices de divertissement et des articles pyrotechniques les plus dangereux, ainsi que leur port et
transport par des particuliers répond à ces objectifs ;
Art. 1er : La cession, à titre onéreux ou non, des artifices de divertissement des catégories F2 à F4,
ainsi que celle des articles pyrotechniques des catégories T2 et P2, sont interdites du mercredi 11
juillet 2018 à partir de 08H00 jusqu’au lundi 16 juillet 2018 à 08H00.
Durant cette période, le port et le transport par des particuliers des artifices de divertissement des
catégories F2 à F4, ainsi que des articles pyrotechniques des catégories T2 et P2 sont interdits.
Art. 2 : Les personnes justifiant d’une utilisation des artifices de divertissement et articles
pyrotechniques à des fins professionnelles titulaires du certificat de qualification prévu à l’article 6
du décret du 31 mai 2010 susvisé ou titulaires d’un certificat de formation ou d’une habilitation
prévus à l’article R557-6-13 du code de l’environnement, peuvent, et à ces fins exclusivement,
déroger aux dispositions du présent arrêté.
Art. 3 : Les sous-préfets d’arrondissement, le contrôleur général, directeur départemental de la sécurité
publique de Seine-et-Marne, le colonel, commandant le groupement de gendarmerie départementale de
Seine-et-Marne et les maires du département sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.
La Préfète,
D77-2018-07-06-001
PREFECTURE DE SEINE-ET-MARNE
Sous-préfecture de Fontainebleau
Pôle départemental décorations
Médailles d’honneur
ARRETE N° 2018-SPF/DECO-021
Accordant la médaille d’honneur du travail à l’occasion de la promotion du 14 juillet 2018
La Préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'honneur
Officier de l’Ordre national du Mérite
Vu le décret 84-591 du 4 juillet 1984 relatif à la médaille d’honneur du travail modifié par les décrets 2000-1015
du 17 octobre 2000 et 2007-1746 du 12 décembre 2007 ;
Vu l'arrêté du 17 juillet 1984 portant délégation de pouvoirs aux préfets pour l'attribution de la médaille
d'honneur du travail ;
ARRETE
1/176
2/176
- Madame AN Narany
Retraitée, MAIRIE DE LOGNES, MARNE LA VALLEE.
- Monsieur BA Abdou
Plongeur, COMPASS GROUP FRANCE, CHATILLON.
3/176
4/176
5/176
6/176
7/176
8/176
9/176
10/176
11/176
12/176
13/176
14/176
15/176
16/176
17/176
18/176
19/176
20/176
21/176
22/176
23/176
24/176
25/176
26/176
27/176
28/176
29/176
30/176
31/176
32/176
33/176
34/176
35/176
36/176
37/176
38/176
39/176
40/176
41/176
42/176
43/176
44/176
45/176
46/176
47/176
48/176
49/176
50/176
51/176
52/176
53/176
54/176
55/176
56/176
57/176
58/176
59/176
60/176
61/176
- Madame AN Narany
retraitée, MAIRIE DE LOGNES, MARNE LA VALLEE.
62/176
63/176
64/176
65/176
66/176
67/176
68/176
69/176
70/176
71/176
72/176
73/176
74/176
75/176
76/176
77/176
78/176
79/176
80/176
81/176
- Madame HE Catherine
Agent de courrier, BNP PARIBAS, PANTIN.
82/176
83/176
84/176
85/176
- Madame LE Christiane
Informaticienne, BANQUE PALATINE, PARIS.
86/176
- Madame LE Marie-Claire
Opératrice montage, DESRUES SAS, PLAILLY.
- Monsieur LÊ Tung
Référent technique invalidité, CRAMIF, PARIS.
87/176
88/176
89/176
90/176
91/176
92/176
93/176
94/176
95/176
96/176
97/176
98/176
99/176
100/176
101/176
102/176
103/176
104/176
105/176
106/176
- Madame AN Narany
retraitée, MAIRIE DE LOGNES, MARNE LA VALLEE.
107/176
108/176
109/176
110/176
111/176
112/176
113/176
114/176
115/176
116/176
117/176
118/176
119/176
120/176
121/176
122/176
123/176
124/176
125/176
126/176
- Madame HO Martine
Conseiller assurance maladie, DRSM ILE DE FRANCE, PARIS.
127/176
128/176
129/176
130/176
131/176
- Monsieur LÊ Tung
Référent technique invalidité, CRAMIF, PARIS.
132/176
- Madame LY Chandavy
Comptable, EFFIA SA, PARIS.
133/176
134/176
135/176
136/176
137/176
138/176
139/176
140/176
141/176
142/176
143/176
144/176
145/176
146/176
147/176
148/176
149/176
150/176
- Madame AN Narany
Retraitée, MAIRIE DE LOGNES, MARNE LA VALLEE.
151/176
152/176
153/176
154/176
155/176
156/176
157/176
158/176
159/176
160/176
161/176
162/176
163/176
164/176
165/176
166/176
167/176
168/176
169/176
170/176
171/176
172/176
173/176
174/176
175/176
Article 5 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.
Article 6 : Le Secrétaire Général et le Sous-Préfet de Fontainebleau sont chargés, chacun en ce qui le concerne,
de l'exécution du présent arrêté.
La Préfète,
Béatrice ABOLLIVIER
176/176
D77-2018-07-06-002
PREFECTURE DE SEINE-ET-MARNE
Sous-préfecture de Fontainebleau
Pôle départemental décorations
Médailles d’honneur
A R R E T E N° 2018-SPF/DECO-022
La Préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'honneur
Officier de l’Ordre national du Mérite
Vu le décret n°87-594 du 22 juillet 1987, portant création de la médaille d’honneur Régionale, Départementale et
Communale ;
Vu le décret n°2005-48 du 25 janvier 2005 modifiant les conditions d’attribution de médaille d’honneur Régionale,
Départementale et Communale ;
AR R ETE:
1/70
2/70
3/70
4/70
5/70
6/70
7/70
8/70
9/70
10/70
11/70
12/70
13/70
14/70
15/70
16/70
17/70
18/70
19/70
- Madame LE LU Monique
Assistante familiale, DEPARTEMENT DE SEINE-ET-MARNE, demeurant à LE CHATELET-EN-BRIE.
20/70
21/70
22/70
23/70
24/70
25/70
26/70
27/70
28/70
29/70
30/70
31/70
32/70
33/70
34/70
35/70
36/70
37/70
38/70
39/70
40/70
41/70
42/70
43/70
44/70
- Monsieur LÊ Trung-Tin
Aide-soignant, HOPITAUX UNIVERSITAIRES HENRI MONDOR, demeurant à LOGNES.
45/70
46/70
47/70
48/70
49/70
50/70
51/70
52/70
53/70
54/70
55/70
56/70
57/70
58/70
59/70
60/70
61/70
- Madame LE GO Ghislaine
Adjt adm. ppal de 1ère cl., MAIRIE DE CRETEIL, demeurant à SERVON.
62/70
63/70
64/70
65/70
66/70
67/70
68/70
69/70
Article 4 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.
Article 5 : Monsieur le Secrétaire Général et Monsieur le Sous-Préfet de Fontainebleau sont chargés, chacun en ce
qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.
La Préfète,
Béatrice ABOLLIVIER
70/70
D77-2018-07-06-003
PREFECTURE DE SEINE-ET-MARNE
Sous-préfecture de Fontainebleau
Pôle départemental décorations
Médailles d’honneur
A R R E T E N° 2018-SPF/DECO-023
La Préfète de Seine-et-Marne
Officier de la Légion d'honneur
Officier de l’Ordre national du Mérite
Vu le décret 84-1110 du 11 décembre 1984 modifié relatif à l’attribution de la médaille d’honneur agricole ;
Vu l'arrêté du 11 décembre 1984 autorisant les préfets à décerner les médailles d'honneur agricoles ;
ARRETE
1/5
2/5
3/5
4/5
Article 5 : Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de Seine-et-Marne.
Article 6 : Le Secrétaire Général et le Sous-Préfet de Fontainebleau sont chargés, chacun en ce qui le concerne,
de l'exécution du présent arrêté.
La Préfète,
Béatrice ABOLLIVIER
5/5