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DS5 - 4h - 24/02/22 - Correction cyclique :

Partie 1
Correction Exercice 1 : Structure du magnésium (Z=12)
3. On remarque que les angles dans la molécule cyclique (60°) sont beaucoup
1. Le magnésium possède 2 électrons de valence . plus petit que ceux de la molécule coudée. Ces angles sont une contrainte
2. Mg2+ est formé préférentiellement car il possède la structure d’un gaz trop forte : la molécule cyclique n’existe pas.
noble. 4. L’oxygène possède 6 électrons de valence, un atome d’hydrogène en possède
3. Même famille -> même colonne. On peut citer le Béryllium ou le Calcium. 1. La molécule de H2 O2 possède donc 7 doublets. Les atomes d’oxygène
doivent respecter la règle de l’octet alors que ceux d’hydrogène doivent
4. Le magnésium est à gauche dans le tableau périodique, il a donc une élec-
respecter la règle du duet. À cause de cela, la seule géométrie possible est
tronégativité assez faible (comme les métaux alcalins).
que les 2 atomes d’oxygène soient reliés entre eux. On trouve alors :
5. Le magnésium réagit donc avec des éléments très électronégatifs (à droite
du tableau périodique) comme les halogènes par exemple.
6. Pour obtenir la structure électronique d’un gaz noble, l’oxygène forme des
ions O2 – et le magnésium forme des ions Mg2+ . Il y a donc formation de
MgO .
5. D’après la structure électronique, l’iode se situe dans la 5e ligne du tableau
La réaction est donc 2 Mg+O2 = 2 MgO
périodique des éléments et dans la 17e colonne (2 + 10 + 5). Il s’agit donc
7. Pour obtenir la structure électronique d’un gaz noble, le chlore forme des d’un halogène qui possède 5 + 2 = 7 électrons de valence.
ions Cl – et le magnésium forme des ions Mg2+ . Il y a donc formation de
MgCl2 . La réaction est donc Mg+Cl2 = MgCl2 6. Chaque atome d’iode possède 7 électrons de valence, donc le molécule
de Lewis du diiode possède 7 doublets d’électron. De plus, chaque atome
Correction Exercice 2 : Molécules de Lewis d’iode doit vérifier la règle de l’octet. On trouve :
1. L’oxygène possède 6 électrons de valence. La molécule de Lewis d’ozone
possède donc 9 doublets d’électrons. De plus, chaque atome d’oxygène
doit respecter la règle de l’octet. On trouve alors (attention à bien faire
7. Les liaisons de Van der Waals sont responsables de la cohésion diiode
respecter les charges formelles ! !) :
(molécule apolaire).
8. l’iode est plus polarisable que le chlore. La molécule de diiode est donc
aussi plus polarisable que celle de dichlore. Les liaisons intermolécu-
laires sont donc plus fortes entre deux molécules de diiode. On a donc
Teb (I2 ) > Teb (Cl2 ) .

2. Avec le même raisonnement, on trouve, dans le cas où la molécule serait

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Correction Exercice 3 : Cours et applications du cours 5. (a) f (x) = −dEp /dx . [De manière équivalente, était accepté ∆Ep =
− f (x)dx.]
R

1. [Vérifier les cas extrêmes (α = 0 ou α = π/2) vous aurait permis de (b) i. f (z) = −dEp /dz = −mg Donc Ep (z) = mgz (+cte).
corriger de nombreuses formules fausses.]
ii. Si on note x la longueur du ressort, f (x) = −dEp /dx = −k(x − l0 )
→
−
(a) P = mg(sin α→ −
ex − cos α→
−
ey ) . Donc Ep (x) = k(x − l0 )2 /2
→
−
(b) T = T (− sin α→
−
ex + cos α→
−
ey ) . dEp d2 Ep
(c) Équilibre si (x = x0 ) = 0. Stable si (x = x0 ) > 0.
[Attention : pour un angle orienté, il faut une expression valable aussi dx dx2
bien pour α > 0 et pour α < 0.]
Correction Exercice 4 : Mouvement pendulaire
→
− GM m d h
 
(c) F = 2 →
−
ex + √ →
−
−√ ey d→
−
er d→
−
eθ
h +d h +d h + d2 = θ̇→
− = −θ̇→
−
2 2 2 2
1. eθ , er .
dt dt
[En cohérence avec le schéma, vérifier que la composante suivant →
−
ex est
→
−
bien négative, et positive suivant ey .] 2. [L’énoncé demandait « dans la base polaire », donc pas forcément besoin
−−→ →
− ici d’écrire la composante suivant →
−
ez .]
2. En notant AB = d.→ −
ex le vecteur déplacement, on obtient W ( P ) = −−→
−−→ →
− −
→ OM = r→ −
e (+z →−
e ) donne →
−v = ṙ→
−
e + rθ̇→−
e (+ż →
−
e ) , puis :
m→−
g .AB car P = cte. Donc : r z r θ z

→
− −−→ −−→
W ( P ) = m→−
g .AB = mgd cos(→ −
g , AB) →
−
a = r̈ − rθ̇2 →
−
er + 2ṙθ̇ + rθ̈ →
−
eθ (+z̈ →
−
   
→
− ez )
W ( P ) = mgd cos(π/2 − α) = mgd sin α = 3 × 9, 81 × 5 × 1/2 = 74 J
[On trouve bien W > 0 car le travail du poids est moteur dans une chute
→
− →
−
vers le bas.] 3. P = mg cos θ→ −
er − mg sin θ→
−eθ et R = −R→ −
er .
3. [L’énoncé note P la puissance du moteur, donc ne pas donner le même →
−
[Vérifier que P est suivant →
−
er quand θ = 0, et suivant −→
−
eθ quand θ = π/2.]
nom à la puissance des frottements !] →
− → −
4. Dans le réf. terrestre, le PFD appliqué à la bille donne : m→−
a = P + R.
D’après le théorème de la puissance cinétique Ptotale = dEc /dt, la puissance
Après projection sur →−
e (pour éliminer la contribution du support), en uti-
θ
totale appliquée au navire est alors nulle si la vitesse est constante. Donc g
P + Pfrott = 0, soit : lisant r = ` et z constants : m`θ̈ = −mg sin θ, qui donne θ̈ + sin θ = 0 .
`
→
− − C’est une équation différentielle non-linéaire (à cause du terme en sin θ),
P = −Pfrott = −( f .→
v ) = −(−kv0 3 →
−
u x .v0 →
−
u x ) = kv0 4 (> 0 pour un moteur !)
donc on ne peut pas appliquer les théorèmes habituels.
5. Pour θ suffisamment petit, sin θ ' θ, qui donne l’équation de l’énoncé en
4, 0 × 106
q
P posant ω0 = g/` .
k= 4 = = 6, 4 × 103 kg.s.m−2
v0 (18/3, 6)4
6. [Attention, on n’avait pas directement de CI sur θ̇(0) mais sur v(0). Mais
4. On applique à la masse le théorème de l’énergie cinétique entre le point le lien est simple car : v = `θ̇.]
→
−
A (z = 0, v = v0 ) et le point B (z = h, v = 0) : ∆Ec = W ( P ), soit C’est une ED linéaire homogène de solution générale : θ(t) = A cos(ω0 t) +
−−→
0 − mv02 /2 = m→−g .AB = −mgh (W < 0 car travail résistant). Donc B sin(ω0 t), de dérivée θ̇(t) = −Aω0 sin(ω0 t) + Bω0 cos(ω0 t).
h = v 2 /(2g) = 1, 25 m ? CI θ(0) = 0 donne 0 = A × 1 + B × 0, donc A = 0.
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? CI v(0) = v0 = `θ̇(0) donne v0 /` = −Aω0 × 0 + Bω0 × 1, donc B = v0

D’où θmax = √ , on retrouve bien le même résultat qu’à la question 7.
v0 /(`ω0 ). gl
v0 v0
Donc θ(t) = sin(ω0 t) = √ sin(ω0 t) .
`ω0 `g Prise en compte des frottements :
7. D’après l’expression précédente, l’angle est maximal pour sin(ω0 t) = 1. 14. Cette fois, le PFD donne, après projection sur →
−
eθ et utilisation de v = `θ̇ :
v0
Donc θmax = √ λ g
`g θ̈ + θ̇ + θ = 0 .
m `
15. Le mouvement est pseudo-périodique si le discriminant de l’équation ca-
Aspect énergétique. λ2
q
ractéristique est négatif ∆ < 0, soit m2
− 4 g` < 0, donc λ < 2m g/`
1
8. On a Ec = 21 mv 2 et ~v = lθ̇. D’où Ec = ml2 θ̇2 . 16. Le théorème de la puissance mécanique nous donne : dEm
= P(f~non−cons ).
2 dt

9. On a Ep (z) = mgz + cst et Ep (−l) = 0. D’où Ep (z) = mg(z + l). Ici : P(f~non−cons ) = −λ~v .~v = −λv 2 .
Or, comme z = −l cos(θ), on a Ep (θ) = mgl(1 − cos(θ)) . dEm
Ainsi : = −λv 2
dt
1
10. On sait que Em = Ep + Ec . D’où Em = ml2 θ̇2 + mgl(1 − cos(θ)) .
2
→
− R t+T →
−
11. Par définition on a Woscil ( R ) = t
→
−
R .~v dt où T est la période d’une
oscillation. Or R est toujours perpendiculaire à la trajectoire (i-e perpen-
Partie 2
→
− Correction Exercice 1 : QCM
diculaire à la vitesse), donc le travail de R est nul .
Aspect énergétique
12. Les seules forces qui travaillent dans le système sont des Oscillations
forces conservatives ; le système est donc conservatif. Chute d’une goutte 1. D
L’énergie mécanique se conserve (elle est constante) . 1. B
1. D 2. B et C
2. C
13. d’après le théorème de l’énergie mécanique on a ∆Em = 0. Soit M0 le point 2. C 3. B et D
point initial de la trajectoire et Mmax le point où l’angle est maximal. 3. A
3. C 4. C
En M0 on a : Ec = 12 mv02 et Ep = 0 (car θ = 0). 4. B
4. C 5. A et C
1 5. C
Donc Em (M0 ) = mv02 . 5. A 6. C
2 6. D
En Mmax on a : Ec = 0 (car v = 0) et Ep = mgl(1 − cos(θmax )) . 7. D

Donc Em (Mmax ) = mgl(1 − cos(θmax )) .

D’après le théorème de l’énergie mécanique on a :
v02
1 2
2 mv0 = mgl(1 − cos(θmax )). D’où cos(θmax ) = 1 −
2gl
2
θmax v02
En utilisant le DL, on a 1 − 2 =1− 2gl
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Correction Exercice 2 : Système masse-ressort. ii.

1. (a) [L’énoncé demande l’unité SI. Donner la dimension ou bien une unité m 2 k 2 m k v0 2
 
Em (t) = ẋ + x = (v0 cos(ω0 t))2 + sin(ω0 t)
non SI ne rapporte AUCUN point.] 2 2 2 2 ω0
Équation aux dimensions : m 2 m 2 2
= v cos (ω0 t) + v0 sin (ω0 t)
2
car ω02 = k/m
[F ] M.L.T −2 2 0 2
[α] = = = M.T −1 m 2
[v] L.T −1 = v car cos2 (ω0 t) + sin2 (ω0 t) = 1 ∀t
2 0
α s’exprime donc en kg.s−1 dans le système international d’unités.
Ainsi, l’énergie mécanique est constante, cohérent avec avoir négligé
(b) Em (t) = mẋ /2 + kx /2
2 2 la dissipation.

(c) On applique le théorème de l’énergie mécanique à la masse. La seule iii. L’amplitude de l’élongation est v0 /ω0 . On doit donc avoir
→
− v0max /ω0 < xmax . Donc :
force non conservative est la force de frottements f = −α→
−
v de puis-
→
− →
− →− →
− →
−
sance P ( f ) = f . v = −α v . v = −αv = −αẋ < 0.
2 2 s
k
[De nombreuses copies ont proposé une puissance des frottements po- v0max < xmax ω0 = xmax = 3, 2 m/s (4)
m
sitive, ce qui ferait diverger l’Em ...]
D’après le théorème de l’énergie mécanique :
2. ? Faire un schéma pour chaque situation.
dEm →
− ? Situation 1 : la masse est soumise à son poids et au rappel du ressort
= P( f ) (1) qui se compensent à l’équilibre d’après la première loi de Newton : −mg +
dt
mẋẍ + kxẋ = −αẋ2 (2) k(leq1 − l0 ) = 0. Donc :
mẍ + kx = −αẋ (3) mg
leq1 = l0 + > l0 car la masse tire sur le ressort (5)
k
α k
donc ẍ +
ẋ + x = 0
m m ? Situation 2 : la masse est soumise à son poids, au rappel du ressort, et à
[Vous devez savoir (cf cours Oscillateurs amortis) que le système peut la poussée d’Archimède qui se compensent à l’équilibre : −mg + k(leq2 −
diverger si les signes des trois termes de l’ED ne sont pas identiques... l0 ) + ρeau V g = 0. Donc :
Or, vous savez qu’un système masse-ressort amorti ne peut pas diver-
ger. Il faut donc s’étonner si vous trouvez un signe différent (m − ρeau V )g ρeau V g
leq2 = l0 + = leq1 − < leq1
et rechercher une erreur de calcul.] k k
k car la poussée d’Archimède compense partiellement le poids
(d) i. Pour α = 0, l’équation se simplifie selon : ẍ + ω02 x = 0 avec ω02 =
m
[Si vous introduisez ω dans la solution, il faut le définir.]
La solution générale est de la forme : x(t) = A cos (ω0 t)+B sin (ω0 t). ? Conclusion : après réarrangement, on en déduit la masse et le volume :
Les conditions initiales imposent : 0 = A et v0 = Bω0 . 
k(leq1 −l0 )
Donc finalement :  m = g = 1 kg
v0 k(leq1 −leq2)
x(t) = sin (ω0 t)  V = ρeau g = 0, 5.10−3 m3 = 0, 5 L
ω0
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Correction Exercice 3 : Chute d’une gouttelette Correction Exercice 3 : (Sujet ? )Tir de canon de 36 livres
1. Rapport des normes : 1.
→
− Π 1, 3 × (4π(0, 1748/2)3 /3)
kΠk ρair V g 1, 3 =
ρair .Vboulet .g
= = 2, 1.10−4  1 (11)
− = ρ V g = 1000  1
→ (6) P mg 17, 6
kP k eau

2. Vu la réponse de la question précédente, on négligera la poussée d’Archi- On négligera donc la poussée d’Archimède devant le poids.
mède. Appliquons le PFD à la goutte dans le référentiel terrestre supposé 2. PFD au boulet :
galiléen. L’axe (Oz) est pris selon la verticale descendante. On obtient
→
− →
− d→
−v →
− →−
m→−
a = P + R . Qui donne en projection sur (Oz) : mv̇ = mg − 6πηrv. m =R+P (12)
dt
D’où :
6πrη = −6πηr→
−
v + m→
−
g (13)
v̇ + v=g (7) →
−
dv 6πηD/2 →
−
m + v =→
−
g (14)
dt m
3. Par analyse dimensionnelle, on pose τ = m/(6πrη) . La vitesse limite est
donnée en recherchant la solution particulière constante de l’ED. Pour 3. Par analyse dimensionnelle, on définit τ = 6πηD/2
m
. Aux temps longs, la
→
− −→
dv/dt = 0 en v = vl , on obtient vlim = mg/(6πrη) . On peut reformuler vitesse limite est donnée par v = cte, d’où :
l’ED :
v vl →
− m→
−
g mg → mg
v̇ + = (8) vl = τ →
−
g = =− −
ez de norme vl =
τ τ 6πηD/2 6πηD/2 6πηD/2
(15)
4. L’énoncé nous donne la masse volumique mais pas la masse d’une goutte. →
−
[Je note ici vl la norme de vl mais l’énoncé était peu précis sur ce point.]
On les relie par m = ρeau .4πr3 /3. Donc vlim = (gρeau .4πr3 /3)/(6πrη) =
(2gρeau r2 /(9η). Donc : L’ED devient :
d→
−v →
−
v →
−
vl
s + = (16)
9vlim η dt τ τ
r= = 3, 1 µm (9)
2gρeau 4. ? Pour vx (t) : dvx /dt + vx /τ = 0
5. • Solution particulière vl . Solution homogène vxh (t) = C1 exp(−t/τ ).
• Solution générale homogène : v(t) = A exp (−t/τ ) avec A = cte. CI vx (0) = v0 cos α, donc C1 = v0 cos α.
• Donc avec la CI v(0) = 0, la solution est : Solution générale vx (t) = v0 cos α exp(−t/τ ) .
? Pour vz (t) : dvz /dt + vz /τ = −vl /τ
v(t) = vl (1 − exp (−t/τ )) (10)
Solution particulière vp = −vl
6. L’énoncé ne donne pas de CI sur z(t) donc on posera z(0) = 0 pour faire Solution homogène vzh (t) = C2 exp(−t/τ ).
simple. On rappelle qu’on a orienté (Oz) vers le bas. Donc v = dz/dt. En Solution générale vz (t) = −vl + C2 exp(−t/τ ).
intégrant : CI vz (0) = v0 sin α, donc C2 = v0 sin α + vl .
z(t) = vl .t + vl τ exp (−t/τ ) + C Solution générale vz (t) = −vl + (v0 sin α + vl ) exp(−t/τ ) .
z(t) = vl .t + vl τ. (exp (−t/τ ) − 1) 5. ? Pour x(t) : dx/dt = v0 cos α exp(−t/τ )
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En intégrant : x(t) = −τ v0 cos α exp(−t/τ ) + C3

CI x(0) = 0 donne C3 = τ v0 cos α.
Donc x(t) = τ v0 cos α(1 − exp(−t/τ ))
? Pour z(t) : dz/dt = −vl + (v0 sin α + vl ) exp(−t/τ )
En intégrant : z(t) = −vl .t − τ (v0 sin α + vl ) exp(−t/τ ) + C4
CI z(0) = 0 donne C4 = τ (v0 sin α + vl ).
Donc z(t) = −vl .t + τ (v0 sin α + vl )(1 − exp(−t/τ ))
6. Pour t grand, x(t) tend vers xmax = τ v0 cos α ' τ v0 en négligeant l’in-
fluence de l’angle sur le calcul d’ordre de grandeur. On obtient :
m 17, 6 × 450
xmax = τ v0 = v0 = = 2, 7.108 m (17)
6πηD/2 6π × 1, 8.10−5 × 0, 1748/2

On trouve une portée supérieure au rayon terrestre, bien peu compatible

avec les données expérimentales. La principale erreur de la modélisation
est de considérer une force de frottement linéaire en vitesse, ce qui n’est
pas réaliste à une vitesse initiale si élevée.