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Concours DeadByDiscord

Chapitre 20 : The Last Melody


Le tueur : Kiana (La Mélomane)

La civilisation de Jiroft était autrefois très puissante et en


pleine expansion. La puissance perse était redoutable et celle-ci
demeura stable durant plusieurs siècles. Le royaume d’Anshan,
dans lequel Kiana est née, était assez paisible et redouté par
les forces extérieures.
Une initiation attendait chaque enfant perse qui atteignait sa
majorité durant la célébration du Norouz, le Nouvel An persan.
Les garçons devaient se faire tatouer une étoile sur l’épaule,
pour montrer allégeance complète envers l’empire, puis les
filles devaient se faire tatouer un arbre sur le torse, pour
souligner la fertilité et la préparation à la vie de famille. À
chaque tranche de 5 ans, un nouveau tatouage devait leur être
apposé pour souligner les grandes étapes de leur
développement, jusqu’à leur mort. Même les cadavres avaient
le droit à un dernier signe d’adieu. Kiana trouvait cela ridicule,
mais elle y prit part sans avoir le choix, surtout pour que ces
parents ne l’énervent pas.
Kiana était la dernière d’une famille de quatre enfants. Elle
menait une vie tranquille, jusqu’au jour où vint son tour
d’accéder à la cour royale. Issue d’une famille de musiciens, elle
n’avait que 4 ans lorsqu’elle commençait à se livrer chaque soir
à des spectacles lors des grands banquets de la dynastie perse.
Sa famille n’était ni riche ni pauvre, mais elle paraissait bien
aux yeux du peuple et du roi (ce qui était une bonne chose).
Tous ses frères et sœurs, après avoir atteint l’âge de la
majorité, ont poursuivi chacun leur vie respectivement à
l’armée du roi, ou bien à la maison. Par contre, Kiana n’était
pas du genre à respecter les coutumes, elle était une déviante
selon ses frères et sœurs. Son père lui faisait souvent la
remarque qu’un jour, si elle ne suivait pas sa voie qui lui fut
dictée, un malheur s’abattrait sur elle et sur toute la famille.
« Les vieux ont toujours la manie d’exagérer ». Se disait-elle.
Elle voulait être une grande virtuose, appréciée de tous. Elle
désirait au plus profond de continuer à jouer de la musique,
sans vouloir poursuivre la même voie que toutes les femmes
perses. Son désir était de faire de la musique une
voie…montrer au peuple et au roi que la vie n’était pas
seulement faite pour procréer et mener des guerres pour
s’enrichir. Non, elle voulait impérativement prendre un autre
chemin, que personne n’a pris avant elle.
Lorsqu’elle atteint ses 20 ans, elle se présenta devant le roi
parmi plusieurs jeunes filles pour jouer un morceau. Les plus
talentueuses et les plus belles avaient la chance de résider
dans la demeure royale pour prêter divertissement à Sa
Majesté. Un jeu d’enfant pour cette dernière.
Pendant trois longues années, elle continua à jouer pour Son
Excellence, mais uniquement ce qu’il désirait, ce qui la limitait
très souvent en matière musicale. Ressentant un vide, et
désirant ne pas oublier ses ambitions, elle osa un soir
confronter Sa Majesté pour lui présenter ses projets. Le roi
n’ayant pas apprécié du tout son idéologie, décide d’éteindre
rapidement la conversation. Furieuse, Kiana sut à ce moment-
là que le seul moyen de changer les choses était d’éduquer et de
rallier des gens à sa cause, le roi ne lui a pas laissé une seule
chance de s’exprimer.
Elle commença donc chaque semaine à se faufiler en dehors du
palais par un tunnel qu’une des cuisinières lui avait montré
(cette dernière rejoignait souvent un des gardes du palais pour
se livrer à la débauche par ce tunnel, ce qui était très discret
pour Kiana). À quelques mètres de son village se trouvait une
grotte très bien cachée. Dans cette grotte, elle et ses alliées
jouaient de la musique chaque soir et elles discutaient de ce
que la vie à Anshan serait si les femmes avaient plus de
liberté. Kiana leur enseignait tout le savoir musical qu’elle
possédait. Son but n’était pas de faire la guerre, mais bien de
faire place au changement en ralliant plusieurs femmes à sa
cause. Plus elles seraient nombreuses, plus elles avaient la
chance de se faire entendre.
Un soir changea sa vie à jamais. Alors qu’elle passait par le
tunnel secret habituel, elle fut capturée par les gardes et fut
emmenée auprès du roi, là où elle trouva la cuisinière qui lui
avait parlé du tunnel, bâillonnée et remplie de bleus. Personne
ne l’avait vu sortir les dernières semaines, puis la cuisinière ne
l’aurait jamais trahi, elle ignorait tout d’elle et n’aurait pas fait
mal à une mouche. Quelqu’un avait vendu la mèche. Elle ne
voulut rien avouer par peur qu’il arrive quoi que ce soit aux
autres femmes. Il demanda aux gardes de la torturer jusqu’à ce
qu’elle parle, mais en vain, elle n’a rien voulu divulguer. « Tu
essayes d'entamer une révolution alors que j’ai éteint la mèche
depuis bien longtemps. Une des femmes qui allaient à vos
rencontres m’a tout avoué, je voulais voir si tu allais me cacher
quelque chose ou si tu allais me craindre en me disant la
vérité, je sais quoi faire de toi à présent ».
Le soir même, elle fut enfermée dans les cachots, remplis de
blessures et de fractures, deux doigts retirés, les cheveux
asymétriquement coupés et des gouttes de sang gisant partout
où elle se mouvait.
Elle ne savait pas que le courroux du roi allait s’abattre sur ses
amis et sa famille. La nuit même, les alliées furent capturées et
torturées une par une, pour finir aux cachots, emprisonnées
séparément de Kiana. Des pleurs surgirent et les femmes
suppliaient le roi de ne pas faire de mal à Kiana, qu’elle était
jeune et qu’elle n’a seulement voulu apporter le bien. En
entendant leurs lamentations, Kiana prise de rage se libère de
ces chaînes en se fracturant les os et en utilisant son sang pour
que les chaines glissent plus facilement. Elle arriva par la suite
à endommager les barreaux usés de la fenêtre de sa cellule
avec un bout de bois qu’elle trouva à terre. Les femmes
continuèrent à faire du bruit pour que Kiana puisse filer en
douce sans que les gardes ne s’aperçoivent de rien.
Malheureusement pour elle, c’était la dernière fois qu’elle allait
revoir ces femmes. Ne voulant pas attirer l’attention des autres
villageois, elle partit d’abord se réfugier auprès de sa famille.
Au moment d’ouvrir la porte, ses entrailles ont décidé de
repousser toute la bile qu’elle contenait. C’était une vraie
boucherie. Ses parents étaient assis sur des chaises avec des
lames qui traversaient leur corps. Elle courut directement à
chaque demeure respective de ses frères et de sa sœur, puis
elle les trouva dans le même état que ses parents.
De vrais barbares, même au sein d’une civilisation prospère.
Kiana criait avec désespoir. Dévastée et bouleversée, elle ne
savait plus quoi faire. Traumatisée par cette nuit qu’elle vient
de vivre, traumatisée par les tortures qu’elle subit, traumatisée
de voir son foyer se transformer en une boucherie abominable,
traumatisée de comprendre ce qu’était la réalité. L’innocence
fut complètement abandonnée. Elle avait tout et elle a tout
perdu. Elle disparut ce jour-là dans les forêts d’Anshan,
n’ayant nulle part d’autre où aller.
Pendant des mois, les gardes continuèrent désespérément à la
chercher pour prononcer sa mort, mais sans résultats, ils
décidèrent d’abandonner suite aux ordres du roi. Les autres
femmes furent exécutées bien avant et l’affaire fut vite
étouffée. C’était l’erreur la plus fatale que le roi d’Anshan avait
commise de toute sa vie.

10 ans après la catastrophe que Kiana ait vécue, c’était le


lendemain du Norouz. Le village commençait sa journée, les
musiciennes du roi se levaient et les servantes se lavaient
avant de commencer leur journée. Pas de gardes, pas d’hommes
dans les parages. Ce n’est que quelques minutes plus tard que
des dizaines de cries retentirent partout. Tous les gardes, sans
exception, furent assassinés. Une servante a finalement trouvé
le roi complètement décapité, les doigts retirés et les jambes
coupées. Des notes musicales imprégnées de son sang étaient
retranscrites tout autour des murs de sa chambre. La servante
a pu distinguer un message écrit en persan : ‘’Bashida
Ka’Musiqa Mojod Astkala ra Metjar Wal’ant Kand’’. Que la
musique pétrifie et tue les êtres d’argile.
Les Perses l’appelaient Shitansad, la démone du son. Depuis
l’incident du palais, Anshan finit par être conquis et le temps
fit son travail. Les conquêtes continuèrent et le cycle de la vie
se poursuivit. Parfois, les villageois pouvaient entendre des
bruits de dôtar après le coucher du soleil. Était-ce seulement le
vent ou bien des sons venus des enfers?

Arme : Dôtar de Minuit


Un dôtar fait de cristal noire, si dur qu’aucune matière à ce
jour n’a pu le détruire. Cet instrument est imprégné de la rage
et des traumatismes que Kiana vécu lors de ces derniers jours
à Anshan. Il lui permet de berner facilement les survivants et
de biaiser leurs capacités à entendre, que ce soit du bruit fort
ou faible.
Lorsque Kiana frappe un survivant avec son dôtar, il
n’entendra plus aucun son pendant 10 secondes par défaut et
cela charge graduellement son pouvoir Sérénade Maléfique.
Mettre un survivant en état critique ne lui applique pas
d’autres effets.
Capacité spéciale : Sérénade Maléfique
Lorsque la jauge est remplie, Kiana commence à jouer de son
dôtar afin de perturber le sens des survivants. Ces derniers
souffriront du nouvel effet de statut Confusion. Les commandes
des survivants dans son rayon de terreur sont inversées et
après que les survivants quittent son rayon de terreur, ces
derniers continuent à souffrir de l’effet de statut Confusion
pendant 30 secondes. Pendant la Sérénade, Kiana conserve sa
vitesse normale, mais peut frapper les survivants sans avoir à
récupérer de ses attaques de base.
Attaque spéciale : Dernière Résonance
Maintenir le bouton Pouvoir lorsque Sérénade Maléfique est
active envoie des ondes de son ultra-forte qui blessent les
survivants d’un segment de santé. Les survivants frappés par
une onde lorsqu’ils sont blessés passent en état critique et
souffrent de l’effet de statut Aveuglement et Entrave pendant
20 secondes.

Compétences :
1- Labyrinthite (Niveau 30) : Jouer d’un instrument de
musique c’est bien, mais perturber et torturer ceux qui
vous ont fait du mal c’est mieux.
Quand un survivant rate un test d’habileté de réparation
ou de soins, les bruits causés par son échec font en sorte
que lui et le(s) survivant(s) à 2 mètres de lui souffrent de
l’effet de statut Confusion pendant 30/35/40 secondes.
‘’Le son doit impacter, percuter, déchiqueter…’’ – Kiana
2- Sort : Harmonie des Âmes (Niveau 35) : Tout le monde est
fautif, vous faites en sorte que chacun subisse votre
courroux. Lorsque les 5 générateurs sont réparés, si un
totem passif est encore présent sur la carte, ce sort s’y
applique. Tant que le sort est actif :
- Frapper un survivant avec une attaque de base blesse
non seulement ce dernier, mais cela blessera également
le deuxième survivant le plus proche.
- Frapper un survivant blessé avec une attaque de base
le mettra non seulement en état critique, mais cela
mettra également en état critique un autre survivant
blessé. Si plusieurs survivants sont blessés, le deuxième
à être mis en état critique sera aléatoirement blessé par
le sort.
- Ce sort prédomine tout autre sort restant à la fin du
match. Lorsque le totem ensorcelé est purifié, tous les
autres sorts seront désactivés à la fin du match.
- Le tueur a un malus de vitesse de 7%
‘’Ils crurent qu’ils allaient s’en tirer…faute de jugement’’ –
Kiana
3- Hymne de l’Entité : Un lien profond vous unit à l’Entité.
Votre force forgée par ce que vous aviez vécu suscite
l’intérêt que l’Entité a pour vous.
Lorsqu’un survivant est accroché et qu’un générateur finit
d’être réparé, l’Entité dresse une barrière autour du
survivant accroché pendant 30 secondes afin qu’il ne soit
pas sauvé. Le chronomètre de l’acte sacrificiel est mis en
pause pendant ce temps. Cette compétence s’active à
chaque 2 crochets obtenus par le tueur.
« Ma mélodie invoque et implore les énergies les plus
puissantes de cet univers » – Kiana

Survivant : Mikail Uzan


Chaque personne qui vient au monde découvre sa propre
passion au fil du temps. Certains aiment le sport, les jeux
vidéo, la botanique, le journalisme et d’autres préfèrent les
jeux de société. C’était le cas pour Mikail, un érudit des échecs.
Né à Istanbul, il était issu d’une famille de professeurs. Étant
enfant unique, il n’avait pas de pressions sur les épaules, il
savait qu’il ne deviendrait jamais enseignant. Il préférait
passer ses journées à battre ses camarades aux échecs.
Il participait sans relâche depuis l’âge de 6 ans à des tournois
d’échecs à travers la Turquie. À 8 ans, il devint le champion
officiel des échecs dans son pays. À 12 ans, il commençait à
participer à plusieurs reprises aux championnats mondiaux
des échecs avec l’accord de ces parents, puis à 18 ans, il
remporta pour la première fois le titre du champion mondial
des échecs. Rien ne pouvait battre sa détermination et son sens
de la stratégie lorsqu’il se posait à table devant son adversaire,
tout en évaluant méticuleusement le terrain. Jeune et
champion du monde ? C’était bien possible.
Mikail enchainait les victoires et ne connaissait pas la
défaite…du moins presque pas. Lors du championnat d’échec
de Saint-Pétersbourg, il arriva en dernière ronde contre
Alekseï Dragonov, son plus grand rival. C’était la quatrième
saison de suite que ces derniers arrivaient en finale pour
l’affrontement ultime, sauf que Mikail ne craignait pas Alekseï,
il avait toujours une longueur d’avance par rapport à tout et
chaque fois, comme cette fois-ci, il savait qu’il allait goûter de
nouveau à la victoire. Le dernier match devait avoir lieu un
vendredi après-midi dans l’arrondissement de Sosnovskoïe.
Après la demi-finale et les dernières salutations, Alekseï vint à
Mikail et lui proposa d’aller prendre un verre pour la première
fois en quatre ans de combat. Ne voulant pas être impolie,
Mikail accepta l’offre.
Après quelques bières, les émotions prirent place et les deux
jeunes hommes éméchés, commencèrent à parler de tout et de
rien. Alekseï proposa un marché à Mikail qui lui coupa le
souffle. « Allez Mika! Ce sera la cinquième fois cette année, et
on sait très bien que t’as plus de chances de gagner…j’ai tout
essayé…écoute, ma famille est riche et je connais beaucoup de
gens, tu ne penses pas que tu devrais céder ta place ? ». Mikail
perplexe se demandait si c’était une sorte de chantage, une
remarque passive agressive ou bien les deux. « Cette fois-ci, je
vais gagner et tu n’auras pas le choix de faire face à ta
défaite ». Alekseï devait être très saoul, donc Mikail décida de
finir sa bière et laisser son rival de côté tout en lui disant que
jamais cela ne va arriver.
La journée de la finale, Mikail arrive dans son dortoir pour
s’apercevoir qu’il n’y avait personne. Deux minutes après, la
porte se referme, un sac en soie sur sa tête et deux personnes
s’emparent de lui. Tout s’est déroulé si vite. Il fut assommé et
transporté dans un camion pour être emmené au beau milieu
de nulle part. Quelques heures plus tard, il se réveilla dans une
montagne loin de la ville. Il pouvait apercevoir les bâtiments de
loin. Ne voulant pas se laisser faire par ce vendu d’Alekseï, il
décida de tenter le tout pour le tout et descendre la montagne
le plus vite qu’il pouvait. Le plan d’Alekseï était de faire
comprendre aux arbitres que Mikail capitulait et qu’il cédait la
victoire à son adversaire.

Alors qu’il descendait tout doucement, il perdit l’équilibre à


cause d’une roche mal enfoncée et tomba dans un gouffre
circulaire. La chute était longue et Mikail se demandait quand
est-ce qu’il allait enfin toucher le sol. C’est alors que…

Le brouillard.

Mikail se réveilla devant un feu de camp où trois autres


personnes étaient assises autour. « Tiens, en voilà un autre ».
« Bienvenue parmi les misérables, ta vie est désormais ici ».
Mikail ne comprenait pas pour l’instant ce qui lui arrivait. Tôt
ou tard, il allait réaliser que c’est à son tour d’être un pion dans
l’échiquier.

Compétences :
1- Armageddon (Niveau 30) : Vos forces et vos faiblesses sont
équilibrées pour vous donner un meilleur rendement.
Pour chaque survivant encore vivant, vous avez un malus
de vitesse de réparation et de soins de 3%. Lorsque les
cinq générateurs sont alimentés ou que le sprint final est
déclenché, pour chaque survivant sacrifié ou mort,
l’ouverture des portes de sortie prend 3 secondes de moins.
Vous pouvez faire cela avec un maximum de 1/2/3
survivant(s).
« Il est important de départager les ex æquo à la fin d’un tournoi. Le
résultat d’une telle partie est forcément décisif » - Petit guide de jeux
d’échecs pour les amateurs
2- Candidat (Niveau 35) : Lorsque c’est raisonnable, prendre
des risques peut parfois vous sauver la vie.
Lorsque vous souffrez de l’effet de statut Épuisement,
durant une chasse, si vous arrivez à tenir 30/25/20
secondes sans vous faire frapper par le tueur, l’effet de
statut Épuisement disparaîtra. En revanche, si vous vous
faites frapper par le tueur avant le compte à rebours, vous
souffrirez de l’effet de statut Brisé pendant 30/25/20
secondes.
« J’ai plus qu’un tour dans mon sac, c’est déjà pensé ! » - Mikail
Uzan
3- Entité et Mat (Niveau 40) : Lorsque les pions se font rares
et que le roi est en danger, il faut jouer le tout pour le
tout.
Gagnez un jeton en effectuant l’une des actions suivantes :
- Effectuer un décrochage sécuritaire
- Encaisser un coup pour protéger un survivant
- Secourir un survivant en étourdissant le tueur
avec une palette
- Secourir un survivant en aveuglant le tueur avec
une lampe de poche
Pour chaque jeton, jusqu’à un maximum de 4, le compte à
rebours de votre deuxième phase du sacrifice au crochet
prend 6 secondes de plus. Après avoir été libéré, vous êtes
Brisé jusqu’à la fin de la partie.
« Il ne faut pas remettre au lendemain une partie qu'on
peut abandonner le jour même. » Alekseï Dragonov

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