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SOMMAIRE

INTROBUCTION..................................................................................................................................1
I. UN MAGASIN PARTICULIER....................................................................................................2
II. CAPITALISME A OUTRANCE EXERCE DANS LE MAGASIN..............................................2
CONCLUSION......................................................................................................................................4
INTROBUCTION

L’œuvre Au Bonheur Des Dames est un roman écrit par Emil Zola, un écrivain
nationaliste. Il met en exergue dans cette œuvre les affaires d’une part et l’amour d’autres
part. Le thème a développé dans cet exposé est : « Le bonheur des dames ou le prototype d’un
capitalisme à outrance », d’où dans cet exposé nous parlerons plus des affaires que l’amour
c’est-à-dire le capitalisme démesuré d’Octave Mouret qu’on démontrera par plusieurs points
comme : le traitement des Commis, le rapport entre les clients et Mouret, la particularité du
magasin et le capitalisme démesuré de Mounet.
I. UN MAGASIN PARTICULIER
1) Particularité du magasin
Les grands magasins apparaissent pour attirer la clientèle et vendre toujours beaucoup
plus, ils remettent en causes les principes structurants qui régissaient le commerce dans Paris :
la spécialisation. Ainsi, on peut maintenant trouver de tout dans un même espace (robes,
gants, manteaux, chapeaux,). Finis les petits magasins ! On étale les marchandises sur de très
grands espaces, le magasin comprend de grands immeubles. C’est le cas du magasin Au
Bonheur Des Dames de Octave Mouret.

2) Capitalisme démesuré
Grace au génie commerciale de Octave Mouret, il vent, gagne à tout prix de l’argent. Il se
fait de l’argent grâce aux femmes bien qu’il sait fait conquit par une en fin de compte. Pour
faire avancer son entreprise, Octave Mounet met sans le vouloir en faillite les petits magasins
de son voisinage en ravageant toute la clientèle. Grace a la multitude d’articles de bonnes
qualités qui se trouve dans boutique. Pour un meilleur rendement Octave Mouret abuse des
employés en leurs demandant d’être plus sérieux au-delà de leur limite et aussi il contribut a
la mort des petites entreprises.

II. CAPITALISME A OUTRANCE EXERCE DANS LE


MAGASIN
1) Traitement des commis dans le magasin
Les conditions de travail des employés du magasin « Au Bonheur Des Dames » sont très
difficiles car ils n’ont ni contrat de travail, ni sécurité de l’emploi. Ils sont soumis l’arbitraire
patronal pourtant personne ne songe à se révolter « Les vendeurs acceptaient leurs situations
sur le fouet de la nécessite ou l’habitude ». Ils sont sages mais dans des conditions déplorables
: les chambres sont glacées donc pas de chauffage. Ils s’y refugient à la fin de la journée après
treize heures de travail environ qui leurs laissent l’espoir vides. Ces conditions de travail qui
feraient de nos jours des bandits tout salariés Européen, étaient la norme et les employés des
grands magasins pourraient même passer pour des privilégies si l’on compare leurs conditions
de travail à celles des mineurs de Germinal ou des cheminots de la bête humaine. Le seul
objectif du bonheur des dames comme de toute entreprise dans une société au capitalisme
flamboyant comme s’était celle du second empire.

2) Rapport entre les clients et monsieur Mauret


Octave Mouret, directeur de l’enseigne « Au Bonheur Des Dames » qui tient à fournir un
service personnalisé a ses clients et à leurs offrir une expérience client positive, il est mieux
placé pour comprendre leurs besoins et être à l’écoute de leurs demandes, il leur accorde
également une importance particulière ce qui lui permet de trouver des résolutions et de les
satisfaire pleinement. Il décrit la clientèle comme la proie d’une chasse impitoyable dont elle
est le gibier. Monsieur Mouret attire les clients et les incites à acheter à la « baisses des prix »
(vendre des produits a pertes pour renouveler sa marchandise plus vite car la femme achetée
quand elle croit conclure une affaire avantageuse).
CONCLUSION

En somme force est de constater qu’on sent tout au long du roman une fascination de Zola
pour ce grand magasin, même s’il en fait un monstre engloutissant vendeuses et clientes. Selon lui, le
succès des grands magasins, inévitable, est une bonne chose, même s’il s’accompagne de la ruine des
autres commerces et conditions de travail particulièrement dures. Zola applique dans son roman les
lois du darwinisme, selon lesquelles les plus forts survivent, tandis que les plus faibles sont appelés à
disparaitre. Emile Zola nous propose en quelques sorte un témoignage de l’épopée capitaliste, qui
débute donc dès son époque ; le XIXe siècle.
TABLE DES MATIERES
INTROBUCTION..................................................................................................................................1
I. UN MAGASIN PARTICULIER....................................................................................................2
1) Particularité du magasin.............................................................................................................2
2) Capitalisme démesuré.................................................................................................................2
II. CAPITALISME A OUTRANCE EXERCE DANS LE MAGASIN..............................................2
1) Traitement des commis dans le magasin.....................................................................................2
2) Rapport entre les clients et monsieur Mauret..............................................................................2
CONCLUSION......................................................................................................................................4

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