Les vivants sont rares

Après l’apparence du rhinocéros Jean et Bérenger parlent de sujets très philosophiques comme la vie
et la mort.

Bérenger et Jean sont assis au café et discutent. Bérenger se prend pour un penseur. Il dit qu’il ne
sait pas s’il veut continuer de vivre. Il n’a pas la force de vivre. Mais Jean pense que les paroles de
Bérenger ne font aucun sens parce qu’il dit que la solitude lui pèse mais aussi la société. Bérenger
pense que la vie est anormale, mais Jean dit qu’il n’y a rien de plus naturel. Mais l’argument de
Bérenger est qu’il y a plus de morts que de vivants. Mais Jean n’y croit pas. Il se moque de Bérenger.
Cependant, Bérenger ne s’intéresse pas à cela. Il se demande s’il existe. Jean est amusé et un peu
irrité. Il dit que Bérenger n’existe pas parce qu’ il ne pense pas.

Bérenger et Jean ont souvent des avis différents.