Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
GESTION DES
OUVRAGES D'ART
Guide méthodologique
GESTION DES
OUVRAGES D'ART
Guide méthodologique
Juillet 1990
et diffusé par le
SERVICE D'ETUDES TECHNIQUES DES ROUTES ET AUTOROUTES
IRA 46, avenue Aristide Briand - BP 100 - 92223 Bagneux cedex - FRANCE
Téléphone : (1) 42 31 31 31 - Télécopieur : (1) 42 31 31 69 - Télex 260763 F
Ce document a été élaboré par un groupe de travail national du Club, composé de :
MM. CI IANARD
LA VERNE
ROUGE
TOURRE
GRIONI
C'est avec grand plaisir que nous préfaçons ce document consacré ù la gestion des
ouvrages d'art départementaux, fruit d'une étroite collaboration entre un groupe de travail
national et le club régional de l'Est en s' appuyant sur l' expérience du département de la Haute-
Marne.
Les réflexions très nombreuses qui se mènent pour une gestion optimale des chaussées
trouvent ici leur complément pour les ouvrages d' art afin que l' ensemble du patrimoine routier
réponde bien aux besoins des usagers . C'est du moins notre voeux et nous espérons que ce
document y contribuera .
Les Présidents du Club d' Echange d' Expériences sur les Routes Départementales
SYNTHESE
Les ouvrages d'art (ponts, murs, déblais, remblais de grande hauteur, tunnels, ouvrages de
protection . . .) constituent un patrimoine important, vivant, que l'on peut mieux gérer en ayant une
politique globale de gestion.
La hiérarchisation des ouvrages d'art est obtenue à l'aide d'une méthode d'analyse
multicritère .Les ouvrages d'art sont classés en deux groupes :
Pour chaque groupe peuvent être définis des objectifs de qualité de service.
Ph. Chanard
Page laissée blanche intentionnellement
SOMMAIRE
SYNTHÈSE 5
A - LE CONTEXTE 11
B - LE PATRIMOINE A GERER 11
a - QU'EST CE QUE LES OUVRAGES D'ART
b - UN PATRIMOINE DÉPARTEMENTAL IMPORTANT
c - UN PATRIMOINE VIVANT
C - LA PROBLÈMATIQUE 12
a - BILAN DE L'EXISTANT
b - UNE APPROCHE NOUVELLE
B - PRINCIPES DE LA MÉTHODE 20
a - LES DONNÉES INITIALES
b - LES ÉTAPES DE LA MÉTHODE
c - TABLEAU DE SYNTHESE
C - APPLICATION DE LA MÉTHODE 22
a - DONNÉES INITIALES
b - ÉTAPES DE LA MÉTHODE
III - CONCLUSION 45
IV - ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
7
Page laissée blanche intentionnellement
CADRE GENERAL
D' A N A L Y S E
DE LA
Dans le domaine routier ils s'appuient sur une direction technique (services techniques
départementaux) . Cette dernière peut voir ses moyens renforcés par des contrats de gestion passés
notamment avec les services d'Etat mis à disposition (directions départementales de l'Equipe-
tnent) .
B . LE PATRIMOINE A GERER
a - QU'EST CE QUE LES OUVRAGES D'ART ?
Ce sont les constructions dont la stabilité est nécessaire à la sécurité d'une voie de
communication . Ils comprennent donc :
Un patrimoine important numériquement ; en ne considérant que les ouvrages d'art les plus
importants, on dénombre en France environ :
- 30 000 ponts d'ouverture supérieure à 5m représentant 5 millions de m de tablier ;
- 7 000 kms de murs de hauteur supérieure à 2m représentant 25 millions de m.
Un patrimoine important par sa valeur la valeur de remplacement des ouvrages d'art se situe
approximativement entre 60 et 80 milliards de francs . Certains sont inestimables du fait de leur
caractère historique.
Un patrimoine important pour l'économie départementale ; les ouvrages d'art sont des
éléments essentiels du réseau routier qui sont conçus pour servir pendant une longue période (en
théorie voisine du siècle).
Un patrimoine important pour l'image de marque du département et des techniciens;
certains ouvrages servent de vitrine du fait de leur importance ou de leur esthétique mettant ainsi
en valeur les choix des décideurs et les compétences des techniciens (de l'administration et des
entreprises). A contrario l'expérience montre que toute catastrophe s'accompagne de campagnes
de presse très virulentes du style «les ingénieurs savent-ils encore construire des ponts ?» discré-
ditant les gestionnaires des ouvrages d'art .
11
c - UN PATRIMOINE VIVANT
Les ouvrages d'art vieillissent ; ils doivent donc être entretenus régulièrement . Il faut
souligner que le défaut d'entretien se traduit en général par une diminution de la durée de vie
de l'ouvrage et par une aggravation de son état, aggravation qui conduit à des dépenses
d'entretien ou de réparations souvent fortement majorées.
L'entretien courant est vital pour les ouvrages d'art . L'objectif principal de l'entretien
courant est le maintien de l'état des ouvrages dans les meilleures conditions de sécurité, de
confort et d'esthétique pour l'usager . Il peut être réalisé à l'initiative des subdivisions territoria-
les avec leurs moyens propres . Il ne nécessite pas de spécialisation importante contrairement
aux travaux de réparations.
Un rapport préparé par le groupe de recherche routière de l'ocnr( organisation de coopération et
de développement économiques) en septembre 1981 indiquait : «Une dépense annuelle d'un
montant au moins égal à 0 .5 % de la valeur de remplacement des ouvrages parait nécessaire pour
assurer une mise en oeuvre d ' une politique rationnelle d'entretien à caractère préventif à
l'exclusion des dépenses de réparations».
C - LA PROBLEMATIQUE
l - Une connaissance limitée de leurs ouvrages ; ils ne possèdent pas d'inventaires exhaus-
tifs et n'ont pas une connaissance précise de leur état.
2 - Une gestion des ouvrages d'art peu rigoureuse ; les politiques de gestion des ouvrages
d'art sont peu élaborées . Aucune planification de l 'entretien préventif n'a été recensée . Les
propositions de travaux notamment de grosses réparations, ne sont pas établies à partir de critères
homogènes sur l 'ensemble du département.
3 - Une structure de gestion plus orientée vers les ouvrages neufs que les ouvrages
anciens ; cette orientation et les moyens limités en personnel des C .D .O .A . ne permettent pas de
gérer correctement les ouvrages d'art anciens et d'avoir un archivage digne de la valeur du
patrimoine.
12
Le cadre d'analyse de gestion des ouvrages d'art proposé comprend des phases à dominante
technique et d'autres à dominante politique, mais suppose un dialogue permanent entre décideurs
(maître d'ouvrage) et techniciens (maître d'oeuvre) . Les phases sont :
13
USAGES
CARACTERISTIQUES ET FONCTIONCS ~CRITERES DE HIERARCHISATION
~~..
PROPOSITION DE PROGRAMMATION
PHASE 6 PROGRAMMATION
INSCRIPTION AU BUDGET
TRAVAUX
PHASE 7 : SUIVI 'SUT A En fonction du contexte local, le conseil général devra parfois choisir entreconstructlonsneuves, adaptation
1 11 aux objectifsou grosses réparations . Le présent document n'est pas un outil permettant de faire un tel choix.
T
a a
Les chapitres suivants sont donc consacrés l'aide la programmation des travaux de grosses reparations.
14
1 - Phase politique «amont» : TRADUCTION DES OPTIONS DU DÉPARTEMENT
Cette phase est destinée à expliciter des options du conseil général et à les traduire en termes
opératoires . Il s'agit essentiellement :
- d 'établir un éventail de critères dont la liste et le poids relatif dépendent largement du
contexte local . Ces critères serviront à hiérarchiser les ouvrages d'art et à les classer en plusieurs
groupes ;
- de fixer pour chaque groupe d'ouvrage d'art une grille d'objectifs de qualité de service
souhaité par le conseil général (permanence du service, sécurité, confort de l'usager, esthéti-
que...).
Le rôle du technicien dans cette phase est de recueillir et d'analyser tous les éléments
relatifs au patrimoine ouvrages d'art afin d'opérer un diagnostic c'est-à-dire de confronter la
situation existante aux objectifs . Les données à recueillir dans cette phase seront donc largement
fonction des critères retenus pour la hiérarchisation du réseau et des types d'objectifs arrêtés.
C'est pourquoi elle intervient après ou en parallèle avec la phase précédente.
METHODEDEP ROGRAMMATION
DES
T RAVAUX DEGROSSESREPARATIONS
SUR
OUVRAGESD'ART
Page laissée blanche intentionnellement
A - INTERETET DOMAINE D EMPLOI DE'L.A METHODE
a - INTERET DE LA METHODE :
Les ouvrages d'art départementaux (ponts, murs, . . .) sont très nombreux et mal connus . Ils
ne peuvent être examinés régulièrement par les seuls spécialistes des ouvrages d'art . Dans la
pratique, les subdivisionnaires sont responsables du suivi des ouvrages d'art.
Cette situation conduit en général :
- au manque d'homogénéité dans la constatation des défauts ;
- au caractère subjectif des procès verbaux de visite ;
- à l'impossibilité de comparaison des états relatifs des ouvrages d'art.
La méthode proposée résoud ces problèmes en attribuant une note à chaque dégradation
suivant son importance.
. La méthode concerne uniquement les travaux de grosses réparations des ouvrages d ' art
courants qui , contrairement à ceux d'entretien, visent à redonner à un ouvrage ses caractéris
tiques initiales ou bien à conforter ou modifier une partie trop faible compte tenu des efforts
qui s'appliquent . Elle pourra également faire ressortir le très mauvais état d'un ouvrage
qui après estimation des travaux nécessitera d'être reconstruit plutôt que réparé.
. La méthode ne concerne pas les ouvrages, non courants ou ceux sous surveillance,
contrôlés par des spécialistes.
. La méthode est exploitable par les agents des subdivisions qui réalisent
les visites périodiques des ouvrages courants, après un minimun de formation.
19
B - PRINCIPES DE LA, METHODE
Comme cela a été défini dans le cadre d'analyse, la méthode pour être appliquée
nécessite au préalable :
1 - Décomposition en trois parties et calcul des dégradations limites pour chacune des
parties de 1'ouv-age :
Fondations-appuis, Structure, Equipements.
2 - Calcul des indices de gravité 1G de chaque partie d'ouvrage à partir des désordres
relevés dans les procès verbaux ;
7 - Préprogran mation .
c - TABLEAU DE SYNTHESE
wt-
Calcul da la Inspection détaillée
note d'intervention
I = max (El, E2, E3)
Investigations Haute
complémentaires surveillance
Classement selon
note d'intervention
Préprogrammation
Inscription au budget
Programme d'études, de travaux
4-
Réalisation études et travaux Suivi
21
L 'inventaire permet :
- de faire des nalyses macroscopiques ;
- de prendre des décisions de portée générale (ex . mise en gabarit des ouvrages sur
axes principaux).
Patrimoine Tous lis ouvrages d'art importants économiquement qui ne peuvent être
concerné facilement remplacés par l'utilisation des techniques de terrassements :
*EDOUART cf . annexe II Logiciel pour la gestion (les ouvrages d'art - Direction des Routes - SETRA -
22
But : classer les ouvrages, indépendamment de leur état, selon le rôle qu'ils jouent
dans le département . comme les routes, les ouvrages d'art peuvent être classés en groupes ou
catégories pour lesquels le gestionnaire définira les niveaux de service (objectifs de service,
dégradation limite admissible . . .).
Application de la méthode:
Pour chaque ouvrage :
- on note chaque critère 1, 2 ou 3 selon 3 cas possibles
- on totalise les 5 notes «ni» correspondantes aux critères pour
obtenir une note de hiérarchisation N = n l + n2 + n3 + n4 + n5
Les simulations effectuées en subdivisions montrent qu'en première approche il n'est pas
nécessaire de pondérer les critères.
Un tel découpage fait ressortir dans le premier groupe tous les ouvrages des routes
départementales du réseau routier structurant, ainsi que les plus importants économiquement des
autres routes.
Ce critère est nécessaire pour une bonne prise en compte des ouvrages les plus petits des
routes importantes . Souvent ces routes font l'objet d'un bon traitement en surface, l'ouvrage de
faible dimension, peu visible est négligé car intégré au remblai.
Note
3 - Ouvrage d'art soutenant, portant ou dégageant une route du réseau d'intérêt général
primaire
2 - Ouvrage d'art soutenant, portant ou dégageant une route du réseau d'intérêt général
secondaire
1 - Ouvrage d'art soutenant, portant ou dégageant une route du réseau d'intérêt local .
23
n2 - Impact sur l'exploitation routière, cas des déviations
Ce critère reflète la gêne à la circulation routière en cas de coupure pour travaux (ouvrage
d'art = point sensible) . Les itinéraires de déviations seront retenus de façon à assurer une
exploitation similaire à celle de la voie initiale . Une telle définition des déviations écarte toute
contrainte de gabarit ou de tonnage . Les contraintes subsistantes sont celles afférentes au
fonctionnement des services particuliers tels ramassage scolaires ou transport de personnel,
ordures ménagères.
Note
3 - Déviation impo ;sible
2 - Déviation possi -)le : avec allongement de parcours de plus de 10 km sans contrainte
de services particuliers
ou avec allongement de parcours de moins de 10 km avec con
trainte de services particuliers
1 - Déviation possible : avec allongement de parcours de moins de 10 km sans contrainte
de services particuliers.
Ce critère reflète 1' .itilité des ouvrages pour les piétons . Les chantiers routiers en général
ne perturbent guère les piétons, en revanche les travaux sur ouvrages peuvent poser de gros
problèmes à la circulation piétonne qui ne peut supporter des allongements de parcours
importants.
Note
3 - Ouvrages d'Art avec flux de piétons important
2 - Ouvrages d'Art avec flux de piétons moyen
1 - Ouvrages d'Art avec flux de piétons faible ou nul.
Ce critère spécifique aux ouvrages d'art est le reflet de l'importance des (légats humains
et matériels pouvant être )rovoqués par la rupture de l'ouvrage que celle-ci soit due à son état
défectueux ou a son environnement.
Note
3 - risque important
2 - risque moyen
1 - risque faible ou ~iul.
24
n5 - Importance de l'ouvrage
Note
3 - . Ouvrages d'art non courants
Remblais et déblais de grande hauteur dont le matériau constitutif ou de
fondation est classé A ou B (selon RTR)*
2 - . Ouvrages d'art courants de portée comprise entre 10 m et 40 m (ponts)
Ouvrages d'art courants de hauteur comprise entre 5 m et 9 m (murs)
Ouvrages d'art courants d'ouverture supérieure à 5 m (buses)
Remblais et déblais de grande hauteur dont le matériau constitutif ou de
fondation est classé C (selon RTR)
1 Ouvrages d'art courants de portée < 10 ni (ponts)
Ouvrages d'art courants de hauteur < 5 m (murs)
Ouvrages d 'art courants d ' ouverture < 5 m (buses)
Remblais et déblais de grande hauteur dont le matériau constitutif ou de
fondation est classé D (selon RTR).
IOTA : Les ouvrages d'art courants inscrits :i l'inventaire ou classés wnonuinents historiques» passeront dans la catégorie immédiatement
supérieure.
25
. 42 ponts - 6 béton précontraint BEP (poutre PTE, dalle DAL, fils adhérents PRAD)
- 11 béton armé BEA (cadre CAD, poutre PTE, arc ARC, buse BSE)
- 25 voute maçonnerie MAC (VTE)
. 2 buses métalliques BSE MET
. 10 murs MUR (béton armé BEA, maçonnerie MAC)
3 remblai - déblai de grande hauteur (REB) (DEB) (GRH)
cw/I'RAGer D'ATT
lfiTCT/f TOTAL
42 PONTS
3
111 MURS
TOTAL 9
26
2ème Cas : D 213 Mur en béton armé soutenant la route, en rase campagne
TOTAL 7
critère n1 : cohérence avec la voie : D 788 classé en catégorie III donc note 1
critère n2 : impact sur la circulation : déviation possible donc note 1
critère n3 : impact sur la circulation piétonne : présence de piétons
moyenne donc note 2
critère n4 : risque par les tiers : faible donc note 1
critère n5 : importance de l'ouvrage : voute d'ouverture 4 .5 m donc note 1
TOTAL
critère n 1 : cohérence avec la voie : D 145 classé en catégorie III donc note 1
critère n2 : impact sur la circulation : déviation possible donc note 1
critère n3 : impact sur la circulation piétonne : faible donc note 1
critère n4 : risque par les tiers : faible donc note 1
critère n5 : importance de l'ouvrage : déblai rocheux stabilisé donc note 1
TOTAL 5
27
1 .0 1 .0 1 .0 1 .0 1 .0 1
NUMERO
CD IND FRANCHISSEMENT PR TYPE C'OH DESEN TRAV RISQ IMP !
RTE CLAVT DIET TIERS O .A
***************************«**********************************************************************
28
GROUPE 1
23 OUVRAGES
GROUPE 1
16
Li'l PONTS
] J3IISES METAL.
1 I 1 MIIRS
GROUPE 2
34 OUVRAGES
GROUPE 2
26
29
3 - DEFINITION DES NIVEAUX DE SERVICE
Parmi les phases d'élaboration d'une politique de gestion figure la définition des niveaux
de service à l'aide d'objectifs à atteindre . Ceux-ci seront plus contraignants pour les ouvrages du
groupe 1 que pour ceux du groupe 2.
30
Prise de mesures
conservatoires.
ouvrages du ouvrages du
groupe I groupe II
Périodicité
des Tous les ans . Tous les trois ans.
visites
On constate que sur les routes importantes, le suivi sera fait par itinéraire plutôt que selon
la taille des ouvrages.
31
Le contenu des différentes parties pour chaque type d'ouvrage est précisé dans le tableau
ci-dessous :
Type d'O .A .
Ponts Déb lais
Tunnels Murs Buses Remb lais ( ; .1 I.
Parties
Cette décomposition sert de canevas à l'établissement des procès verbaux qui se présente
sous la forme d'une feuille double recto verso.
32
- En seconde page apparaissent :
six colonnes pour les structures dont le contenu a été défini ci-dessus.
. six colonnes pour les équipements dont le contenu a été défini ci-dessus,
. une zone de commentaires de la visite,
. un visa du chef de subdivision responsable des visites attestant la trans-
mission du procès verbal à la cellule spécialisée.
1/ en subdivision
L'agent de la Subdivision chargé de la visite constate les dégradations.
Pour cela il peut s'appuyer sur une notice (cf . annexe III).
Pour chaque dégradation il mesure leur stade d'évolution et attribue une valeur (note
comprise entre () et 10) en fonction des seuils prédéfinis dans le procès verbal.
Il achève le remplissage du procès verbal par un commentaire et le remet au
subdivisionnaire pour visa et transmission avec avis éventuel à la cellule spécialisée.
2/ en cellule spécisalisée
Avant la visite, le spécialiste pourra avoir rempli les rubriques générales,y compris
le cadre réservé à la méthode d'aide à la programmation.
Après la visite, le spécialiste commencera l ' exploitation des relevés en complétant
les colonnes n5 (élévation au carré des valeurs) et en effectuant les totaux . Il poursuivra
l 'exploitation selon la méthode définie au chapitre suivant .
;;
______________________
astiççi .. __ R
_
01.17 DI 11111111111 t OrliN , 1121
I1Rj1AÇT ION OOVIAGE - LNV CNT \ / .161 : Hi - p
-1
Poodeuon .- -
1111 . I . '.4t., . 0
a.,r.. ti5e.-t,aII. 1, c.,- ~t IA;o1o_ - .
DIUDIR01mc 11 . L uchn 7
111
.1 . n . . . a-1 11 S R- ~
D1GRADATI0T I0
. S0
. {2~C~~-1uw .0liOw Si .Î1, 1 . xrt,C,
1011
F.ie _r I —_ --_-
1 . fD1 1 r k.
otc11Y1t101 D1 I S 1 I I Il, . -1 4
Poodet,00 .- ~(... u/otr a..- e,..6(4;1-.,.. ~ n ..I ) rwem
1 n1 1 i i5. . ~ $ R J,
1 r5D1 Ir SC . -rl
II Î .1k . ~~ 1
Egulpe.eot. 1rISU
IND1<E DE 1 1 .1
IG-It n 1111t10 „ yC11a 1 1 p 11a -p
1r0r L r I,71n ( R .G
r ar. `-r'1'f
,
L' r 21e. -_
LR~ E,- la .xr r lu -1 3
1111011S Il h.. . r 1x -11
\~\\ 2 h. . . lu o o
lup : r W -11
- -
Or I. ____
111110111 11 D la fT1IV 6
D~SC .
D ..
IISIn LE : .__
par (M)t• et Gr .del: _ rratu.la, le 10 1 IDa
110f101 Du IItIfI01 l' IIn ~ p
=REGISTRE A W COOL LE p R
6 b+ t f n`lile 1
~1rt ..
',et ..l .., Ila o
1, II 11[ . -r
11 ..
1I10IIIIEIR IOCü 11
Il.. N., 1 . rxt+ .p
~rx ..t•ut 1+ .txil,[I ~
GK1101t101 1.t5 .+ 114m, WC1LIt11t01
N.+ _._. .___.- ____
n.lr. ~_k1-___ . ."-1” MU MU . . 1 .11 •
IYw PLLU a.. .o. .F
10.11.11n Il /.1Î11n -r / 1
tl .p+a 11 . r
0ILIIOIf101 11
11111111 o
la,elle, tl . pu
6 p . . Iwo
6
I.r 1 I I r 10<. r
nl ;tlf .e 41(1111 l<,
loulle . ry .px I 01L t 1,IIn Qo1.i 6 Nrl.te, xIl1r ..i,. .0 111x141
21 . I, lcn .xr a
S l.r r 21 . r Ir o
SÎ7 Î .1np i
lm . . r lu r f11 41 le.l,e,t ~r
r1100111 ID r 101,urlu
la .l ll . I1xn r luo . .r rr Ix ,6.,..t. 110u41uc+ la .aluua
l, .x,r Ix 1/1/11111 5.i 4.1 . ...G<.
D11 .. r A fel /, I . . .rlu.
11100: u r.j ,.. P... Nr.wo..~
N.a I, . INN+ ~ô<5 .. C7Î, UfOn,tio . lu, l, .e., N
pr k. r1 r clral,tlo ..relolrelri9~7n ~r
.x.rnr+ I1. 1 Iln .r de lu 1 Sc. ~r f
110041.111r 01 111010 Ir nu r .r+ilrr 11n
6.6.. rin
Il,oe 1 .r +vaaa ,11. 9mr ur 1. n,vul,N t
lr i .5. Duromll
.~ p 1'1,11011101 DIS 1111 r 1 .r cA'
-r . ..h, . r11. 1 11n-r t Ut
Jr 111n
t 11c.r1
1mt1 d/tit! .r,ti[tut .Irll-1
pri, 1 . re ?Lat All gma n .s 11+Mcr xx .i .ra"i ~. -r O
IIrIR 1 '11a111 :11 tr,<r, I. .ilr . -r~r
/n61. .o, 11ut1 .+ 2 1 . 1.4 le n wb -r 11
Iuu .+ ;1 .,
r1,e tOtW pIInit
x
h ..x llndu ~~ )
6atin, a
xr """L',! ::''.:64. .
110 ~r
41 ~
. .,lut1 1oIIm11111_IoI LI 11I1(1
11111051111l? II t :el. 4
111111! DI 101 . u /e l ph .. . l.n.pÎlt. l 41i[ d+ 1 :!Itc ltl,y~(T .i%1 +p.
-__ hnu .x ei,itb tP_ L` dj./
°
Il, . O.
1111111111r D0 MM r5n ~j 6 I.tlriel 1 uNai:
11 10411 .rc Ilc 1111 r)n MWl
rla Q1~ 1
.ucnu u1[ . hNnu
.n, Ibor/m .kn,itn : x, imr.utiu Il ;pun .x
o .6lipe r1a or1 0 . m /Nordree
t0,6 Ham
1. .t Irx,.l, Nr 1, 0x1i,i .iou.in r Il
Seuls figurent sur le procès . verbal les éléments portés manuellement par l'agent dela subdivision.
34
Comme cela est apparu sur l'exemple de procès verbal quantifié précédent, l'ouvrage
visité est décomposé en trois parties : fondations appuis, structure, superstructure .Les dégrada-
tions sont repérées et notées (c) . Ces valeurs sont comparées à des dégradations limites qui
permettent d'évaluer des indices de gravité puis des indices d'urgence, et enfin une note
d'intervention sur l'ouvrage.
On calculera les dégradations limites pour chacune des trois parties d'ouvrage de la façon
suivante en utilisant la formule : 15-N-i, soit :
5 Groupe II 10-i
6 9-i
7 Groupe I S-i
8 7-i
9 6-i
10à 15 5-i
(i) est la note reflétant pour une partie de l'ouvrage (Fondation, Appui, Structure,
Equipements) l ' interaction ouvrage d ' art - environnement . Elles est détaillée au ci-après .
35
Les indices de gravité reflètent l'état de l'ouvrage. Ils sont calculés par partie d'ouvrage
selon la formule :
k est un coefficient ,Jar type d ' ouvrage qui permet la comparaison de l'état des ouvrages
d'art entre eux en notant sur 1000 chaque partie d'ouvrage . Il est fonction du nombre de désordres
1000
pris en compte et de la note maximale qui peut leur être attribuée ( k = ).
1c2 max
c valeur de chaque stade de dégradation figurant dans le procès verbal de visite quan-
tifié . Elle est élevée au erré pour faire ressortir les dégradations les plus importantes.
;t,
3 - Calcul des indices d'urgence
Les indices d ' urgence sont également calculés par partie d ' ouvrage selon la formule :
E=IGx(n+1)
La cellule spécialisée ouvrages d'art effectue alors un classement des ouvrages d'art
selon l' indice d'intervention I.
6 - Estimation
Compte tenu du nombre d ' ouvrages «x» habituellement retenu au programme de grosses
réparations, la cellule spécialisée ouvrages d ' art établit ou actualise en relation avec les
gestionnaires locaux concernés des estimations sommaires pour x + 20 % des ouvrages.
Il faut noter :
- qu'une liste des travaux non retenus existe pour remplacer des opérations qui
seraient en retard
- que les estimations ne portent pas uniquement sur les travaux mais également
sur les études
- que certains travaux seront réalisés pour des questions d'opportunité.
7 - Préprogrammation
La cellule spécialisée ouvrages d'art propose alors une liste d'ouvrages classés essen-
tiellement selon leur groupe hiérarchique et selon leur note d ' intervention à la direction
technique du département .
37
Exemples__ -- . . . - - -
Deux exemples sont détaillés ci-après, l'un correspondant à un pont en maçonnerie, l'autre à
un pont en béton armé .
38
DYYTt@T DI111DIt101
I61111 1141111 C C. 40111111}101
iODITI .Ia : 1111
Prog 1.nrD•I d. TLite Qau111iM d•006r•ge• dirt
Appna D•gO•••ri• roda D•Oouerie I
--------------
101111m1
11 1 11 .
----- ..,vr . .. 1a
4 S IDa
10a
4 .- - ------
Z,
6
_ . .. .
[~W6 M~ awo,. 3
..
.nou o
01101f DI 1111111
6 1 '161u. 110 -)
NON Di L'OWAAGG ~ W p(•~S IDCNTILIAMT 11 . 6 e 120 -,f 0
11616111 1 1111 -,
1!11 -, le
COIDIONL 00 Lo0.11t1 (FY 11111T t/e I . .6rtu. 0 ` .~ V
Y0I. IOIT.i TYPE :AD MZRO p .1 . :~ . S âaaeil mv ~ W I.
ü Î Î . enl
1/ 1. I. 6d6 .
n S WC W~ 4
39
D 5 - Pont de Freydet
*-*-*-*-*-*-*
2
. Fondation appui : maxi = 7x 10 + 1x8 + 2x6 + 1x5 + 1x4 + 1x3 = 886
(7 types de dégradai ions pouvant conduirà une note c maxi de 10 :affouillement,mouvements
d'appuis,défaut de verticalité,. . . ; 1 type avec un maxi de 8 : fissure ; 2 types avec un maxi
de 6 : nids de caillolx, efflorescence ;1 type avec un maxi de 5 : atterrissements ; etc.. . )
Pour note :- sur 1000 : k = 1 Otx) = 1,13
886
40
hoed. 1.rl.1 4 . 10.tt. p1.ltttt4. 401ur,pu 4'art I 1011117 11 110D1 D11 .1 101 -1
Appel . Mt. A.4-.1 Tr1 .A. Mtoo lrM 0111010 $11 0111 --_ 0 040, o
I
01r0111tl01
,ul 41101D0r0ltr,n
111410 11,,11,110,I, -1~1100
0°1 U . 0eu4ir 0
ION DE L'OUVO401 : V'0..» FR,e IDLNTITIAMT :_ .___
1001101 0lenl. 0.111,
101e. . 0, 1011,04 -1
Du 0o04Î01
C0101Ur1I ,1 01 ~1{
000 .4 .1-If^ l0 0. 11
YOLE PONTE! TYPE :1LP MUNENO : S .32 .p.3 0o ID
110.1 O
I - b.I 4àCou
OBSTACLE FRANCA : FnO>II~
01101 01 uL(1tt 0000
---------------------------------------------- LI0 COnlntl
EIQy
1/ lcIISA7I0N Dj otrvAAÇE 01r]t 01 t44f171 100 . I,rlln .I
IwCll IIOl 40 4,eren -I {
01• 3 07• Z .I. A o/ . .5 . 4 11,,0n o
1}/LI.}I}rI 00, 00 00111 -I 1 0
n . Q 1 N. D . 1 Group . := 1 N16 : gnu* . I : N0 .6 : prou,. II 1
$011110,71 00 .r 1110,1 ,010r0,.r
------ -------------------------------- ,11010 0 110 4v, 110.1 ,00t,., a S
IITINACTION 001 . .3E = INVrIONNlNENT 0 II .' 00 L II. . S. CEO
014110111011I401
00 1001 1r - { 411r4,ti4 ,10Q
Pon4 .ttone- .DDUO . : 0, . 0 ; structure : 10• C' E941De. en l . : 0, . 0 1p. . ..uu . 0'1„ °, L q, , Su -1 { ll .+O .f
.05r I 16
uul 10c,10,4 0e 1 --- -
1101 00 C111w0I 0 .0,00.,, 0
DEGI_ApATI011 LtgITE 1111,101 . I D .11ur
1 1,1,40 a, 1, eepr,4,elon 11.00, 15-N-t , .v .c N 00 .44 . 1 30 1 III11tIG1 1 .1 1 .I
4
— —_ , 11u - 10 IL
Pon4,11on,-,oval . I Structure : i Epu0D,1e0t, : î• e0, 00 00000 1. 00110
00014 L
r nn 00 ,,I104.
0:110 101110S
00 .00 c° .. ..000 .1 '0
ou 0e r1N1.
Fon0,llo0 . Structure LpulDe .ents ,u4, 0r5 .1 10 ]0,°1100
.t11 -I {
D '01C,,tI01 I 0'
D01401
11 I I i i
-I 1..1,10r
a040. 1°.0411.. .I 1 111 '
0 i. 1 . O
44
,, .r11 .4 10 36 .an.nue, 000,,t n I-1
. Orr. ..D.4NJ4 " Qj~ 6
0111S
— !10$ In 0n0I}II
u 00 i',rr0,,r1
. . 001-. .w.~ R .4 — 1. 1011. 3.0411 0 l, 336
. .. . :4 . .130, i~ 0 1 .ô 1r eLV (a I
- l0 64 1a1L 4011 1 .11 . 6'
111u
nlnp0
1 . .1w O
'a -110. CC11m1j10 111 N q1111
u . .4. ,. .rt. 1. 11 tD01 .lNlu arrA-'1,~ 1I
11111101 .0110111011 1I II 410 -'a I1 ~ m:u ur .ri. .ri•44ro / i an
,n}t
3 10400 1 0000,
IIIt0114[IIN 00/ ~
1.
.00 1001/11710 9
"' V . . : .. ..1 ' " 0". °''
1t41w10 0 1
'040 11 °e . -I 1
t111114 L11 10010
7014 411110 :Ag1 .IIJ• .40 5-
4 .1 0rru11 rr I. 1r1t .141~04r. I. I / 11
41
2 - Liste des ouvrages : il a été communiqué à chaque subdivision une liste par canton
des ouvrages, assortis de leurs caractéristiques principales . Ces listes permettent de vérifier
les données du fichier de façon à lui garantir une crédibilité optimale.
Mode opératoire sur le terrain : En règle générale les agents préfèrent exécuter les
visites à deux personnes . En consacrant aux visites une journée entière de travail, une équipe
de deux personnes établit les procès verbaux de six ouvrages en moyenne (ler établissement
de procès quantifiés).
42
Tous les procès verbaux sont transmis à la C .D .O .A . après visa par le subdivisionnaire.
La C .D .O .A . retourne aux subdivisions une photocopie du procès verbal et classe l'original dans
le dossier d'ouvrage après exploitation.
Perception de la méthode par les agents : d'une façon générale les agents ont apprécié
la méthode car simple (pas de mesures compliquées), claire (tous les défauts sont répertoriés
et explicités) et très concrète (les notes finales reflètent effectivement le classement intuitif de
dégradation des ouvrages que l'on ressent localement).
c - EXPLOITATION EN C .D.O.A.
A la date du 1er février 1990, 150 ponts en maçonnerie ont été visités.
Il est apparu important de raisonner sur l'indice de gravité et l'indice d'urgence car l'indice de
gravité permet d'effectuer un préclassement selon l'état et l'indice d'urgence permet en outre
d'intercaler quelques ouvrages en état moyen mais de niveau de service élevé, au niveau des
ouvrages en mauvais état.
d - CONTRÔLES DE QUALITE
BILAN ACTUEL
- La méthode est fiable dans son domaine d'emploi (ouvrages d'art courants)
- Sa mise en oeuvre est d'autant plus facile qu'il existe un climat de confiance
entre la C .D .O .A . et les subdivisions . Elle s'appuie à tous les niveaux sur des
personnels motivés et compétents d'où la nécessité impérative d'une formation
professionnelle efficace .
43
Page laissée blanche intentionnellement
III
CONCLUSION
Chaque ouvrage d'art départemental mérite attention même s'il est peu visible.
Le groupe «Gestion des ouvrages d'art» du Club d'Echange d'Expériences sur les Routes
Départementales :
45
Page laissée blanche intentionnellement
ANNEXE
SONDAGE 1988
BILAN DE L'EXISTANT
a demandé, fin 1987, au Groupe de Travail "Gestion des Ouvrages d'Art" de fai-
re le point sur les Ouvrages Départementaux.
- Connaissance du Patrimoine
- Politique de Gestion
- Organisation des Travaux.
INVENTAIRE
Les Services ont mis Il ressort des sondages que les ouvrages les plus connus
grande hauteur.
FICHIERS
Les fichiers informa- 709 des Départements utilisent ou ont un fichier err élabo-
tisés sont passés dans ration . Les autres ont des fichiers "papier" . les raisons
produits "maison".
Les Fichiers servent Les fichiers informatisés sont . utillisés pour l'inventaire
principalement 1 l ' in- do pool s et buscs essentiellement . Sfl des fichiers infor-
ventaire, à ln program- matisés snnl conçus pour traiter terme les murs de sou-
mation des visites ou Lèncrnent . ()eux fichiers sur I roll servent la programma-
. Consistance
Les fichiers compren- 100 7,1 des fichiers contiennent . les données suivantes :
que les Ponts (murs La plupart des fichiers comprennent en plus l'un ou plu-
- travaux exécutés.
11151 ILS
Procès - verbaux
nnnuclle type,
Les procès verbaux de Les procès verbaux sont pour la plupart des docnunent_s
senter sous une forme t ruct ion technique du 19 octobre 1979 . Ils sont jugés
simple et parlante, satislnisants è environ 70 %.
Inspection détaillée
de vtstte) .
11RCIIIUIIGES
d'ouvrages doit être Les supports utilisés sont papier, calque, microfilm.
techniques .
In I' lan i ficnt ion en matière d' cnl ret i en, grosses répa-
Il existe ries strnté- dans 'i(1 .,, des Déportements sous (ovine de progrrunnre !rien
tien préventif reste a Dans les Départements où elles ont été mise en oeuvre,
Décideurs.
gestion Ielles
économiques ;
formalisée.
Aspect AdnrinisLraLiI
procès verbaux de visite Dans 9UM dc.r, cas les C .D .U .A sont_ associées 1 In progrnm
est souhaitable mais non motion . Dans ''(J des cas les C .D .U .A exploitent les
Aspect
specLiI- innneier
tion d'investissements.
Objectifs initiaux
Des objectifs réalistes
A l'origine les C .D .0 .A ont été créées pour
toujours valables.
- amé 1 turc r la qualité des ouvrages d ' art,
110. 10
[n Pratique
Des moyens souvent Les C .D .OA sont constituées de façon très variables.
définie ainsi .
Maîtrise d'Oeuvre
Une situation en pleine Personne morale qui pour sa compétence technique est
évolution en ce qui concerne chargée par le Maitre de l'Ouvrage de concevoir, de
la Maîtrise d'Oeuvre . diriger, de contrôler l'exécution des travaux et de
proposer leur réception et leur règlement : [TAI D .D .E
ou DEPARJEMf_N1 5 . T .D.
'Maître d'Oeuvre
La Direction des Travaux Personne physique choisi par le Maître d'Oeuvre pour
territoriales . Subdivisionnaires.
très contrastées :
Exemple
et réparations ;
réparations ;
la D .D .0 ou S .T .D.
la D .D .E ou S .T .D.
Conception
L'esthétique est recherche` lente entre C .D .I) .A, Cellules ILudes et Travaux Neulr;
Travaux Neufs trPs cri vue vention des Services techniques de I'ELAL (5ETRA, CETE)
Travaux sur Ouvrages d'Art 95 A 100 des Travaux sur Ouvrages d'Art Neufs
existants est réalisée sur sont réalisés sur la brise des Marchés Publics, pour
factures, ce qui n'est pas les 1rivaux sur Ouvrages d'Art anciens ce taux est
Neufs où les Marchés Pu- Les travaux de moindre importance sont réglés sur fric
blics prédominent . -Lares.
La recepL iori des Ouvrages Dos épreuves sont Lou jours e((ectuées sur Ics Ouvrages
d ' ArL neufs n'est pas une d'Art roufs rarement sur les Ouvrages d'Art aurions.
On c((ort . reste n Hire hésiter n prononcer des réceptions avec rriserves pour
est . adresse .
Page laissée blanche intentionnellement
ANNEXE II
LOGICIEL EDOUART
FICHES INVENTAIRES
PAR TYPE D'OUVRAGES
EDOUART
Le logiciel pour la gestion
des ouvrages d'art
Sous l ' égide de la Direction des Routes, EDOUART a été spécifié par
un groupe de travail comprenant les Cellules Départementales d ' Ou-
vrages d 'Art de quatre Directions Départementales de l 'Equipement.
C' est donc un logiciel défini par des gestionnaires d 'ouvrages d 'art pour
des gestionnaires d 'ouvrages d ' art.
a[1 :I1:
nFE OIWIfU1 (1111 DE U all
Il frarAasserts Ca mas
Fr.rthi~ls d'us srèdieisia Iigtiaale
frueMssererts d'un (estuaire Fichier
fryehissa!wMs d'une voie Irarhie LISTES PRÉDÉFINIES
'r,'ew des fr.ahis:cnaits
'lisages par dote d'xhtmenl 3
1711(
Ôangs pupre!taee de calcul MM tE VOMI
~talwpprrte.uaua (U6,ca~e.iedd
pur suai
Ulsan effehdes par a suhdi ~
Ulsan a Ravoir (dite *passa)
Situes a prevoir (tri sr IrauiU)
` Milans aide Une douzaine d ' éditions existe en standard pour répondre aux besoins
actions aimais des wit aale les plus fréquents : listes des ouvrages par canton, par subdivision, par
ae haliaas0it le cala gestionnaire, par sections d'itinéraires avec restitution des gabarits et des
limites de charges ; listes des visites effectuées ou à prévoir . ..
aaaa . aille 011I0Ura CeaUa a
)raitsat de rtiti.. rt : ~ taille *rift 71
IF de ligne en clair oirai
fichier P de alaa
~erri~a
FlFl
table
talle 71
~
r ante trr
0 MM PI~ IE l'115~
/ I1lFJrfI01 E l'11111ff
EDITIONS A LA DEMANDE
N S~IS15111 QFIir1101E N
MI Q W511E n
11f~Pllllll IF uME
s OIr of U WBiE
1pE UI11l II V 0151119IIrIE
L' utilisateur peut définir lui-mème le contenu d 'une liste correspondant
exactement à ses besoins s pécifiques . Pour définir cette liste, l 'utilisateur
f T1
est guide par EDOUART . De plus, il peut memoriser ces définitions
~~ wbe~ca)aes
celas anal a th pour les réutiliser ultérieurement.
ss) Ma
SÉLECTIONS MULTICRITÈRES
ImEEUUNIR ~1J! 1. Il )e OMIS - LIM
Cette possibilité est prévue pour limiter les éditions i la demande aux
lierai6 fitdf: FIIIOI~S a
m\ seuls éléments répondant aux critères fixés par l'utilisateur.
aac>Prtuutaa
- la lisle is feesYasrlts An siïeisia
En principe, les éditions sont imprimées directement sur l'imprimante
l'hsei ds tiFa sr rdar, 0ea Mitai pr Irai
t fatrtlrs sai-pubi}a ) connectée à l'ordinateur . Néanmoins, EDOUART offre la possibilité
Critias *latin pur atm édition de router ces éditions vers les fichiers sur disque . Ces fichiers, de type
5101515E
texte, sont ensuite utilisables et modifiables par d ' autres logiciels
notamment par les traitements de textes.
D MI . r! :rir :•, :• .1
~
IM[Ni ;:i!irT trYt. .:
l'MTIl17NT :1NTM/
UN LOGICIEL FACILE A UTILISER I~F(NI,ARAT ; PNT I/ UNITS
`'rIL1UIS10N : .
[CtlllA t : OINIIES
UtiF POPTTE : N 7
PP ; b 1M
Destiné d être utilisé par des non-informaticiens, EDOUART a fait tCV F":!ANIF t :
,t 1i KNII : mm Mil. ER F Edition title sirptilik
l 'objet d ' un soin tout particulier concernant la facilité et le confort I';MtNIF 1 :
d'utilisation . Les techniques d 'aide en ligne, de menu, de fenêtrage ont
été utilisées afin de respecter les recommandations ergonomiques.
AIDE EN LIGNE
UTILITAIRES
CONFIGURATION NÉCESSAIRE
MICRO-ORDINATEUR: PIROGUE
(PQXT, AT ou compatibles)
640 Ko de mémoire centrale
Disque dur
Ecran couleur ou monochrome
Système d ' exploitation DOS 2 .0 ou supérieur
TARIF
FRANCHISSEMENT
Nom : PONT DE REBREUVE
Identifiant : 0484 nbre d'Ouvrages : 1
Gestionnaire 1 DDE
Mini Maxi
Longueur de la brêche : 6 m
Largeur utile (m) 7 .00 7 .00 Nombre de voies : 2
Larg de chaussée (m) 5 .40 5 .40
Biais (en grades) 91 91
— ouvrage N 1
Nom : PONT DE REBREUVE
Famille : Mixte
Matériau : Poutrelles enrobées en béton armé
Longueur : 7 .08 m
Largeur : 7 .00 m
Travées identiques :
Nombre 1
E 1 C II C I N V C N T A I R E
FRANCHISSEMENT
PhoLogrophic
Nom :
1dcnLiCicaL .i .on
Nombre d'Ouvrage :
Subdivision .
Commune :
Voie
Principale
ObsLacic ;;
I_onducur de La brdchn
Nombre dc voies :
Trafic : volume
annde
Concessionnaires
OUVRAGENI°
Photographie
Nom :
N° : (intégrant in catégorie de in voie portée soutenue ou dégngée)
Subdivision gestionnoire :
Carocteristiques géométriques
-----------------------------
Enmille
MnLérinux
Longueur totale
N° de trovéc
Portée
Mini Maxi
: Bin .ir
Caracteristiques de gestion
---------------------------
Datc de construction
Date de CH de garantie particuli .èrc
Caractéristiques d'Exploitation
--------------------------------
Gabarit sur Ouvrages d ' Art
Limitation de charge
Remarquer Particulières
-----------------------
Ouvrager d'Art en site clnssé, . . .
F I C H E I N V E N T A I R L
FRANCHISSEMENT
Photographic
Nom :
IdcnLiricoLi .on
Nombrc d'Ouvrages
Subdivision :
Communes :
Voic
Principale
Obstacles
Longueur de in brèche :
Nombre de voie_
Trafic : volume
nnn(c
Concessionnaires
OUVRAGE N°
Photographie
Nom :
Subdivision Gestionnaire :
Caractéristiques géométriques
-----------------------------
Famille
Matériaux
Longueur totale
Hauteur mini
Hauteur maxi
Surface vue
Caractéristiques de gestion
---------------------------
Date de construction
Remarques Particulières
-----------------------
E I C I I L I N U L N T AI R L
FR/1NC11 (;SEMI N T
Photogrsphic
Nom :
Identification
Nombre d'Ouvro ec
Subdivision .
Communes :
Voie
' Principnlc
Obstscicn
Londucur do i~ brèche_
Nombre do voies
T r ;cFic : volume
nnncc
i-onccssJonn :uces
OUVRAGE N°
Photographie
Nom :
Famille
Matériaux
Longueur totale
Ouverture
Flèche
Biais.
Caractéristiques de gestion
---------------------------
Date de construction
Date de fin de garantie particulière
Caractéristiques d'Exploitation
-------------------------------
Remarques Particulières
-----------------------
a~ 1 0 0 E I N V E N TA I R L
`
~`'~~
V~1P
FRANCHISSEMENT
Photographie
Nom :
Identiricotion
Nombre d'Ouvrages :
Subdivision :
Communes :
Voie
: Principale
: Obstacles
Longueur de 1 brùche
Nombre de voice :
TrnEic : volume
onnec
Conccssionnni rcs
OUVRAGE N°
Photographie
Nom :
Subdivision Gestionnaire .
Caractéristiques géométriques
-----------------------------
Famille
Matériaux
longueur totale
Hauteur mini
Hauteur maxi
Remarques Partiçulières
-----------------------
DESORDRES
SUR
OUVRAGES EN MACONNERIE
NOTICE EXPLICATIVE
(CLUB DE L'EST)
SOMMAIRE
AFFOUILEMENT 1
MOUVEMENT D'APPUIS 3
BOMBEMENT 4
DEFAUT DE VERTICALITE 5
CAVITE ou LACUNE 8
DECOLLEMENT DE BANDAU 9
BOMBEMENT DE TYMPAN 12
DEFAUT D'ETANCHEITE 13
EFFONDREMENT LOCAL 16
EROSION D'APPUIS 17
DEGRADATION DE CHAUSSEE 18
DEGRADATION DE PARAPET 21
On peut constater :
une simple mise à nu des maçonneries constituant les fondations
Il s'agit de l'obstruction du lit du cours d'eau en période d'étiage tant à l'amont qu'à l'aval
de l'ouvrage par des dépots de sédiments.
On évaluera d'une part la proportion de la largeur du lit encombrée par ces dépots et la
hauteur de ces dépots au dessus du niveau de l'eau en période d'étiage normal.
Ce défaut sera évalué pour chacun des appuis et seul le plus grave sera retenu
Ce défaut se traduit parfois par une déformation en profil en long du parapet ou du garde
corps.
Il est en général trés diffile à évaluer mais se manifeste toujours dans une voute par
l'apparition de fissures aux reins et à la clé de la voute,avec parfois dégradation du vousoir de
clé du bandau sous un excés de compression . On peut également relever une ouverture des
joints des bandaux en face interne à la clé et en face externe aux reins.
Un tassement est évolutif. il peut trés bien s'etre manifesté puis se stabiliser
On recherchera donc son évolution plus que sa valeur
Ainsi si l'on a déformation du parapet et fissures on ne notera que le plus élevé des deux .
BOMBEMENT
Ce défaut affecte les murs de tête, les culées, les piles et les tympans.
Cette évaluation peut se faire avec précision à l'aide d'une régie ou d'un cordeau mais aussi
à l'oeil avec un réglet .
DEFAUT DE VERTICALITE
Ce défaut affecte les culées, les piles, les murs de tête en aile ou en retour dans la partie
fondation - appuis et les tympans dans la partie structure.
Il sera évaluée sur chacun de ces éléments et seul le plus élevé sera retenu.
Selon que le défaut est stabilisé ou évolutif le coefficient sera noté différemment selon le
tableau :
1 Métre < 5 cm 3 8
>5cm 6 10
2 Métres < 10 cm 3 8
> 10 cm 6 10
3 Métres < 15 cm 3 8
> 15 cm 6 10
4 Métres < 20 cm 3 8
> 20 cm 6 10
III-5
DISJOINTOIEMENT DE PAREMENT EN MACONNERIE
Ce défaut concerne les appuis ,les douelles ,les tympans ,les murs de tete.
Un joint est considéré dégarni quand on peut y introduire une lame métallique sur une
profondeur d'au moins 5 centimétres.
On ne retiendra pour la partie que le coefficient le plus élevé, évalué sur un des élements.
Sur le meme élément on peut trouver plusieurs zones affectées,le coefficient prendra
le total de ces zones.
Ce défaut peut affecter les appuis , les douelles , les tympans , les murs de tete
Il s'agit de dégradation profonde du parement sur une surface limitée ou une dégradation
généralisée des parements .Frequemment sur un ouvrage on trouve les deux
Ce défaut n'est pas à confondre avec les cavités ou lacunes , ou l'a on a chute ou dispari
tion de moellons .
Ce défaut ne sera pas pris en considération pour les parties de piles et de culées sur lesquelles
on évaluera une érosion ou une abrasion.
Selon que ce défaut concerne plus ou moins de 50% de la surface de l'élément considéré
on prendra selon la profondeur moyenne de la dégradation des coefficients différents .
III - 7
CAVITE ou LACUNE
Dans le cas de cavité ou lacune il reste en place de la maçonnerie mais sur une épaisseur
moindre .
DECOLLEMENT DE BANDAU
horizontale
!> en élevation
verticale
La gravité d'une fissure est liée à la largeur de celleci, et à son évolution dans le temps.
Une fissure dont l'ouverture tant à augmenter est en général trés grave.
Son évolution ne peut s'apprecier qu'aprés avoir poser des témoins de platre.
EVALUATION : On estime que lorsque la fracture a donné lieu à des déplacements ,dans
une des trois directions,égaux à 5 centimétres elle a atteind son stade ultime et sera donc
notée 10.
Son évaluation reste identique sinon qu'au lieu d'apprecier un «ventre» on appreciera la
déformation en plan.
Dans de nombreux cas ce défaut est associé à une fracture à la jonction entre le tympan et
le bandau .
DEFAUT D'ETANCHEITE
Celui ci se caractérise par l'apparition sous l'intrados de traces humides ,parfois de traces
de coulures d'eau chargée de calcite (traces blanchatres) ou formation de stalactites sur les
surfaces en plafond.
Ce défaut est la cause d'autres dégradations .Sa gravité devrait donc être liée à l'ampleur
des dégradations qu'il génére .Ces dégradations étant deja évaluées par ailleurs ,on se limitera
à juger l'étendue du défaut.
INTENSITE DU DEFAUT:
STADE D'EVOLUTION:
On ne retiendra pour l'ouvrage que le défaut qui donne le coefficient le plus élevé .
III - 13
DECHAUSSEMENT DE PIERRE DE VOUTE
Il s'agit de pierres de l'intrados de la voute qui ont tendance à decendre, voir tomber,
du fait d'une décompression de l'intrados de la voute.
Ce décalage régne souvent sur toute la largeur de la voute . Si ce n'est pas le cas on cherchera
à évaluer l'affaissement maximum
La gravité de ce défaut est liée à son intensité mais aussi à la forme de la voute.
On admettra en effet un affaissement moindre dans une arche trés surbaissée
Ce défaut est une érosion des matériaux à la base des piles ou des culées ,érosion du à
l'action de l'eau sur des matériaux tendres ou de mauvaise qualité.
Ce défaut sera évalué pour chacun des appuis en mesurant la profondeur maximum de l'éro-
sion et seul le plus grave sera retenu.
Dans le cas d'une pile qui serait éroodée sur les deux faces les coefficients sont plus
élevés .
On ne retiendra pour ce défaut que le coefficient le plus élevé évalué pour l'ensemble des
appuis .
DEGRADATION DE CHAUSSEE
Ce défaut s'évalue en jugeant d'une part la perte de confort de l'usager et d'autre part
l'usure du matériau de revetement .
l3ienque selon le type d'ouvrage et l'itinéraire concerné on rencontre sur les ouvrages des
enduits ou des bétons bitumineux ,dans un souci d'homogéinité ces deux types de revétements
seront traités sans distinction .
Toute zone fissurée ou dont le revétement est décollé ,ou toute zone recouverte de
végétation sera réputée non étanche .
On évaluera pour chacune des deux rives la proportion de surface réputée non étanche
et l'on retiendra pour l'ouvrage le coefficient le plus élevé .
DEFAUT DES DISPOSITIFS D'EVACUATION
DES EAUX SUPERFICIELLES
Ce défaut se manifeste par la présence d'eau qui stagne sur l'ouvrage sur une surface au
moins égale à 1 métre carré.
Au niveau de la visite on cherchera la cause et on s'assurera qu ' il ne s'agit pas d'un défaut
d ' entretien (gargouille bouchée ou caniveau encombré de déchets divers).
Si c'est le cas le défaut doit être rapidement réparé dans le cadre de l'entretien de l'ouvrage .
DEGRADATION DE PARAPET
ou de garde-corps
Dans le cas d'un garde-corps sera considérée dégradée toute zone ou l'on reléve une
disparition du métal par oxydation, ou des déformations importantes, ou l'absence de certains
éléments du barreaudage.
Il sera pris en considération quand une partie ou la totalité d'un dispositif de sécurité est
manquant ou dans un état tel qu'il peut être considéré comme manquant.
III 22
DEGRADATION DES CORNICHES
On évaluera sur chacune des deux rives la longueur relative de corniche dégradée ( qui
a perdu son profil d'origine) ou qui a subi un déplacement en plan ( ripage vers l'extérieur).
Ne seront pas pris en compte les parties couvertes de végétation ou de mousse dont
l'élimination reléve de l'entretien courant.
Page laissée blanche intentionnellement
ANNEXE IV
PROCES VERBAUX
QUANTIFIES
103
DEPARTENKNT :
SUBDIVISION :
COMMUNE ou Localité :
OBSTACLE FRANCHI :
-------------------------------------------------------------------------------------
HIERARCHISATION DE L'OUVRAGE
--------------------------------------------------------------------------------------
--------------------------------------------------------------------------------------
DEGRADATIONLIMITE
( valeur de la dégradation limite : 15-N-i , avec N plafonné à 10 )
-------------------------------------------------------------------------------------
--------------------------------------------------------------------------------------
SKitEGISTRE A LA CDOA LE :
détonation du parapet en PL
MOUVEMENTS D'APPUIS 3 stabilisée -) 6
évolutive -> 10
OU
fissures aux reins ou A la clé
stabilisée -> 8
évolutive -> 10
F
"ventre" ( 5ca -) 2
BOMBEMENTS 4 de 5 à 10cs -> 4 0
> lacs -> 6
N
d'origine -> 1
DEMI DI VERTICALITE 5 stabilisé ( 11/20 -) 3 D
> H/20 -> 6
évolutif ( H/20 -> 8 A
> H/20 -> 10
T
10 t de la surface -) 1
DISJOINTOIEMENT 6 20 t de la surface -> 2 I
30 t de la surface -> 3
50 t de la surface -> 5 J
100 t de la surface -> 10
N
S c 50% P c 5c' -) 2
DEGRADATION DE 7 5 ( P ( l O c t -) 4 S
PAREMENT 10 ( P ( 15c' -> 6
P > i5cs -> 8
P ( 10ct
S > 2t 2 -> 10
- largeur (ltt -) 2
FISSURES 10 1 ( largeur ( 2s' -) 4
2 ( largeur ( 4u -> 6
largeur ) 4u -> 8
D ( l c t -) 4
FRACTURES 11 1 c D c 3 c s - > 6
3cDc5cs ->8
D > 5ct -> 10
-
pr ofondeur ( 10cs -> 2
EROSION ou ABRASION 17 de 10 A 20ct -) 5
> 20ct -> 8
si les 2 faces d ' une pile
sont atteintes :
profondeur ( 10cu -) 4
de 10 à 20cs -) 8
> 20ct -> 10
d'origine -> 1
DEFAUT DE VERTICALITE 5 stabilisé ( H/20 -) 3
tyipan > H/20 -> 6
évolutif ( H/20 -) 8
> H/20 -> 10
10 t de la surface -> 1
DISJOINTOIEMENT 6 20 t de la surface -> 2
douelle, tyapan 30 1 de la surface -> 3
50 t de la surface -) 5
100 4 de la surface -> 10
S<50% P(Sci -) 2
DEGRADATION DE 7 5(P(lOca -) 4
PAREMENT 10 (P ( 15cî -) 6
douelle, tyapan P > 15ca -) 8
P(20ci S(1i = -) S
CAVITES ou LACUNES 8 P ) 20ce -) 6
douelle, tyipan 1(S(20 P(20ci -) 6 T
P > 20ci -> 8
S > 20 P < 20ci -> 10 R
largeur ( lis -) 2 U
FISSURES 10 1 ( largeur (2u -) 4
2 douelle,
( tyipan
largeur (4u -) 6 C
largeur ) 4as -> 8
T
D ( Ici -) 4
FRACTURES 11 1 ( D ( 3ci -) 6 U
douelle, tyipan 3(D(5ci -) 8
D ) 5ct -> 10 R
1 pierre -) 2
DECHAUSSEMENT DE 14 2 pierres -> 4
PIERRES DE VOUTE plus de 2 pierres -> 6
revétenent défectueux
TROTTOIRS 10% de longueur -) 4
30% de longueur -> 6
50% de longueur -) 8
> 50% de longueur -> 10
dégradation du revitenent
CHAUSSEES 30% de la surface -) 4
50% de la surface -) 6
> 50% de la surface -> 8
-
f laque sur
- la chaussée
DISPOSITIF S ( la : -) 4
D'EVACUATION DES EAUX 1(S(5a= -) 6
S ) 5a= -> 8
ravivage -> 4
PERRES détérioration aettant en péril
TALUS AUX EXTREMITES la berne engazonnée -> 6
l'accoteaent -> 8
le bord de chaussée -> 10
Matériel à prévoir:
DÉPARTEMENT
SUBDIVISION :
COMMUNE ou Localité :
OBSTACLE FRANCHI :
-------------------------------------------------------------------------------------
HIERARCHISATION DE L'OUVRAGE
-------------------------------------------------------------------------------------
--------------------------------------------------------------------------------------
DEGRADATIONLIMITE
( valeur de la dégradation limite : 15-N-i , avec N plafonné à 10 )
-------------------------------------------------------------------------------------
n ni= 112= n3 =
nbre de désordres >= dégradation limite
ENREGISTRE A LA CDOA LE :
détonation du parapet en PL
MOUVEMENTS D'APPUIS 3 stabilisée -> 6
évolutive -> 10
OU
fissures aux reins ou à la clé
stabilisée -) 8
évolutive -> 10
F
'ventre" ( 5ca -) 2
BOMBEMENTS 4 de 5 à 10ca -> 4 0
> 10ca -> 6
N
d'origine -> 1
DEFAUT DE VERTICALITE 5 stabilisé ( H/20 -) 3 D
> H/20 -> 6
évolutif ( H/20 -) 8 A
> H/20 -> 10
T
- 10 % de la surface -- > 1
DISJOINTOIEKENT 6 20 % de la surface -) 2 I
30 % de la surface -> 3
50 % de la surface -> 5 0
100 1 de la surface -> 10
N
S(501 P(5c' -) 2
DEGRADATION DE 1 5(P(10ca -) 4 S
PAREMENT 10(P(15ci -) 6
P ) 15ca -) 8
1(S(2'= P(20c' -) 6
P ) 10c' -) 8
largeur ( lai -) 2
FISSURES 10 1 ( largeur ( 2aa -> 4
2 ( largeur ( 4a' -> 6
largeur ) 4aa -> 8
- D ( - ici -) 4
FRACTURES 11 1(D(3ca -) 6
3(D(5ci -) 8
D ) 5ca -> 10
blanches -> 6
STALACTITES ocre ou rouille -> 8
S (lm = ou L (li e ( 5u -) 4
DEGRADATION DU BÉTON e ) 511 -> 6
ade écaillage
r
épaufrures S >la i ou L >la e ( 5u -) 6
e>5u ->8
fissures e ( 0,3mm -) 4
FAIENCAGE 0,3(e(lu -) 6
e > 1mm -) 10
revitenent défectueux
TROTTOIRS 10% de longueur -> 4
30% de longueur -) 6
50% de longueur -) 8
> 50% de longueur -) 10
-
bo rdures ou caniveaux dégradés I
10% de longueur -> 2
25% de longueur -> 3 P
50% de longueur -) 4
> 50% de longueur -) 5 E
dégradation du revêtement N
CHAUSSBBS 30% de la surface -> 4
50% de la surface -> 6 B
> 50% de la surface -> 8
N
-d éforiation~dans le sens de
circulation (orniérage) T
ornière ( 2ci -) 4
de lca à 5ca -> 6 S
ornière >5ci -) 8
ravinage -) 4
PRIES détérioration iettaat en péril
TALUS AUX BXTRENITRS la berme engazonnée -> 6
l'accoteient -) 8
le bord de chaussée -> 10
Matériel à prévoir:
DEPARTEMENT :
SUBDIVISION :
COMMUNE ou Localité :
OBSTACLE FRANCHI :
-------------------------------------------------------------------------------------
HIERARCHISATION DE L'OUVRAGE
-------------------------------------------------------------------------------------
--------------------------------------------------------------------------------------
DEGRADATION LIMITE
( valeur de la dégradation limite : 15-N-i , avec N plafonné à 10 )
-------------------------------------------------------------------------------------
n nt= nz = n3=
nbre de désordres >= dégradation limite
ENREGISTRE A LA CDOA L8 :
affaissement
MOUVEMENTS D'APPUIS 3 stabilisé -> 6
évolutif -> 10
d'origine -> 1 F
DEFAUT DB VBRTICALITE 5 stabilisé < H/100 -> 3
> HI100 -> 6 0
évolutif < H/100 -> 8
> H/100 -> 10 N
-
S < lA = o u L < la e< 5 u -> 4 D
DEGRADATION DU BETON e ) Sis -> 6
pelade écaillage A
paufrures S > lA = o u L > l A e < 5u -> 6
e >5u ->8 T
e<lAa ->4
FISSURES 1<e<2u ->6
faire un schéma 2< e< 4 mi -) 8
e > 411 -> 10
E<lu ->4
FRACTURES 1<E<2mA ->6
2< E< 411 -) 8
E > 4AA -> 10
EFFLORESCENCES localisées -) 3
BLANCHES S ) 20% -> 6
blanches -> 6
STALACTITES ocre ou rouille -> 8
1 seul localisé -) 4 U
NIDS DE CAILLOUX plusieurs -) 6
C
fissures e c 0,3u -> 4
FAIENCAGE 0,3 ( e c las -) 6 T
e)1 1 1 - > 10
U
oxydés ou trace de rouille
ACIERS APPARENTS noibre < 20 unités -> 2 R
noibre > 20 unités -) 6
défaut concentré -> 8 E
ou corrodés
noibre c 20 unités -) 5
de 5 A 20 unités -> 6
noibre > 20 unités -> 8
défaut concentré -> 9
ou défaut généralisé S > 30% -> 10
ou aciers roapus -> 10
1V- 11
page
--------------------- --------------------------------- ------------------------------
ancrage défectueux sur 1 rive
GARDE-CORPS 1 unité -) 6
ou 2 unités ou plus -) 8
DISPOSITIF DB SECURITE 2 unités contigies -> 10
-
d4 gradation (oxydation, défor-
aition, . .) sur 1 rive
1 al -> 4
25% de longueur -) 6
50% de longueur -) 8
> 50% de longueur -> 10
- -
re vêteaent déf ectueux
TROTTOIRS 10% de longueur -) 4
30% de longueur -) 6
50% de longueur -) 8
> 50% de longueur -> 10
d- égradation du revêteaent
CBAUSSBBS 30% de la surface -> 4
50% de la surface -) 6
> 50% de la surface -) 8
-d
éformation dans le sens de
circulation (orniérage)
ornière ( 2cm -) 4
de 2ca è 5ca -> 6
ornière >5ca -) 8
-
f laque sur la chaussée
DISPOSITIF S ( 1s : -> 4
D'ÉVACUATION DES BAUX 1(S(5a : -> 6
S > 5a t -) 8
ravivage -) 4
PERRIS détérioration mettant en péril
TALUS AUX BXTREMITES la berme engazonnée -> 6
l'accotement -> 8
le bord de chaussée -> 10
COMMBITAIBESSURLA VISITE
Matériel è prévoir:
IV 12
DEPARTMENT :
SUBDIVISION :
COMMUNE ou Localité :
OBSTACLE FRANCHI :
-------------------------------------------------------------------------------------
HIERARCHISATION DE L'OUVRAGE
-------------------------------------------------------------------------------------
--------------------------------------------------------------------------------------
DEGRADATION LIMITE
( valeur de la dégradation limite : 15-N-i , avec N plafonné à 10 )
-------------------------------------------------------------------------------------
n ni= ns= n3 =
nbre de désordres >= dégradation limite
ENREGISTRE A LA CDOA LE :
détonation du parapet en PL
MOUVEMENTS D'APPUIS 3 stabilisée -) 6
évolutive -) 10
OU
`.issures aux reins ou à la clé
stabilisée -) 8
évolutive -> 10
F
< 5caventre n _ - -) 2
BOMBEMENTS 4 de 5 à 10ca -) 4 0
> 10cu -) 6
N
d'oriççine -) 1
DEFAUT DE VERTICALITE 5 stabilisé ( H/20 -) 3 D
> H/20 -) 6
,tvolutif ( H/20 -) 8 A
> H/20 -> 10
T
10 t de la surface -> 1
DISJOINTOIEMENT 6 20 t de la surface -> 2 I
30 t de la surface -) 3
50 t de la surface -) 5 0
.L00 t de la surface -> 10
N
( 50% P ( 5ca -) 2
DEGRADATION DE 7 5(P(10ca -) 4 S
PAREMENT 10 ( P ( 15ca -) 6
P > 15ca -> 8
S ( la= P ( 20ca -) 4
CAVITES ou LACUNES 8 P ) 10ca -) 6
I ( S( 2a = P ( 2 0 ca -) 6
P ) 20ca -) 8
P ( 20ca
S ) 2a = -) 10
largeur ( lia -) 2
FISSURES 10 I ( largeur ( 2u -) 4
.1 ( largeur ( 4u -> 6
largeur ) 4u -> 8
D ( lca -) 4
FRACTURES 11 i(D(3ca -) 6
(D(5ca -) 8
D ) 5ca -> 10
20%DEPOTde
DE CALCITEla surface -) 4
BLANCHE > 20% de la surface -) 6
blanches -> 6 S
STALACTITES ocre ou rouille -) 8
T
diagonales ou à 45°
e c 0,3sm -> 2
0,3CeClu ->6
e>lu ->8
longitudinales
e ( 0, 3u -) 2
0,3<eclu ->4
1< e< 2 ma -) 6
e ) 2u -) 8
transversales ou verticales
eCO 3 3u ->6
0,3CeClu ->8
e > lia -> 10
C Cl LOCALISATION treq
DEGRADATION Notice VALEURS
page
--------------------- ------------------------- ------------------------------
ancrage défectueux sur 1 rive
GARDE-CORPS 1 unité -> 6
ou 2 unités ou plus -> 8
DISPOSITIF DB SECURITE 2 unités contigûes -) 10
revêtesent défectueux
1TROTTOIRS0% de longueur -> 4
30% de longueur -) 6
50% de longueur -1 8
> 50% de longueur -) 10
dégradation du revitesent M
CNAUSSEES 30% de la surface -> 4
50% de la surface -> 6 E
> 50% de la surface -> 8
N
déforsation dans le sens de
circulation (orniérage) T
ornière ( 2cs -) 4
de ici à 5ci -) 6 S
ornière >5cs -> 8
fissure du revêtement -) 2
JOINT DE CHAUSSEE
"ressaut" ( Ici -) 4
de 1 à 2 c i -) 6
> lcm -> 8
raviaage -> 4
PERRES détérioration mettant en péril
TALUS AUX EXTREMITES la berme engazonnée -) 6
l'accotement -> 8
le bord de chaussée -> 10
Matériel à prévoir:
DEPARTMENT
SUBDIVISION :
COMMUNE ou Localité :
OBSTACLE FRANCHI :
-------------------------------------------------------------------------------------
HIERARCHISATION DE L'OUVRAGE
-------------------------------------------------------------------------------------
--------------------------------------------------------------------------------------
DEGRADATIONLIMITE
( valeur de la dégradation limite : 15-N-i , avec N plafonné à 10 )
-------------------------------------------------------------------------------------
n n3 =
nbre de désordres )= dégradation limite
INDICE D'URGENCE E E3 =
E=IGx(n+l)
--------------------------------------------------------------------------------------
ENREGISTRE A LA CDOA LE :
affaissesent
MOUVEMENTS D ' APPUIS 3 stabilisé
évolutif
d'origine -) 1 F
DEFAUT DE VERTICALITB 5 stabilisé ( H/100 -) 3
> H/100 -> 6 0
évolutif ( H/100 -) 8
> H/100 -) 10 N
__
-
S (1' ouL(la e(5u -) D
DEGRADATION DU BETON e ) 5u -> 6
ade écaillage A
r ufrures S >ls = ou L >1a e ( 5u -) 6
e ) 5u -> 8 T
1 seul localisé -) 4
NIDS DB CAILLOUX plusieurs -) 6
0
-
f issures e ( 0,3u -) 4
FAIBNCAGE 0,3 ( e ( las -) 6 N
e ) lus -> 10
S
oxydés ou trace de rouille
ACIERS APPARENTS nombre ( 20 unités -) 2
nombre > 20 unités -) 6
défaut concentré -> 8
ou corrodés
nombre (20 unités -) 5
de 5 4 20 unités -) 6
nombre > 20 unités -> 8
défaut concentré -> 9
ou défaut généralisé S > 30% -> 10
ou aciers rompus -) 10
E ( l u -) 1
FRACTURES 1 ( B( 2 ai -) 6
2( E ( 4 u -) 8
E ) tas - > 10
SALISSURBS,MOISISSURB S ( 20% -) 2
VBRTE S >20f ->3
-
b lanches -> 6
STALACTITES ocre ou rouille -> 8
S<la i ou L(1a e ( 5u -) 4
DEGRADATION DU BÉTON e> 5u -) 6
pelade écaillage
Epaufrures S )la : ou L > l a e ( 5 u -> 6
e> 5u -> 8
fissures e ( 0,3u -) 4
IAIBICAGB 0,3 ( e ( lu -) 6
e ) las -) 10
-
ox ydés ou trace de rouille
ACIERS APPARENTS noibre ( 20 unités -) 2
noibre > 10 unités -> 6
défaut concentré -> 8
ou corrodés
noubre ( 20 unités -) 5
de 5 à 20 unités -> 6
noibre ) 20 unités -> 8
défaut concentré -> 9
ou défaut généralisé S > 30% -> 10
ou aciers roapus -> 10
diagonales ou é 45°
e ( 0, 3u -> 2
0,3(e(lu -) 6
e ) 111 -> 8
longitudinales
e(0,3u -) 1
0,3(e(lu -) 4
1<e(1aa -) 6
e> 1u -> 8
transversales ou verticales
e(0,3u -) 6
0,3 ( e ( Iii -) 8
e ) 1u -> 10
page
--------------------- -------------------------- ------- ------------------------------
ancrage défectueux sur 1 rive
GARDE-CORPS 1 unité -> 6
ou 2 unités ou plus -> 8
DISPOSITIF DE SECURITE 2 unités contigues -) 10
revitenent défectueux E
TROTTOIRS 10% de longueur -> 4
301 de longueur -> 6 4
50% de longueur -> 8
> 50% de longueur -> 10 U
dégradation du revitenent
CHAUSSEBS 30% de la surface -> 4
50% de la surface -> 6
> 50% de la surface -) 8
N
détonation dans le sens de
circulation (orniérage( T
ornière ( 2cs -) 4
de 2ci à 5cn -) 6 S
ornière >5cn -> 8
ravivage -> 4
PERRES détérioration nettant en péril
TALUS AUX EXTRINITES la berne engazonnée -> 6
l'accoteient -) 8
le bord de chaussée -> 10
Natériel à prévoir:
I V 20
Page laissée blanche intentionnellement
Page laissée blanche intentionnellement
Page laissée blanche intentionnellement
Page laissée blanche intentionnellement
3 - Guide «Voirie à faible trafic» de mars 1989 du SETRA .(Réf SETRA : 13 8902)
5 - «Entretien des ouvrages d'art» édition 1981 OCDE Groupe recherche routière.
7 - «Le savoir faire Français en matière d 'ouvrages d'art» édité en 1987 par 1'IS'l'ED
et rédigé par l'AFPC.
La hiérarchisation des ouvrages d'art en deux groupes est obtenue à l'aide d'une
méthode d'analyse multicritère.
La connaissance du patrimoine passe par l'établissement d'un inventaire exhaustif
des ouvrages et par la réalisation de visites régulières . Celles-ci ont pour support des
procès verbaux, avec une évaluation quantifiée des désordres, qui peuvent être
remplis par des non spécialistes pour les ouvrages courants.
Ce document est dispolible sous la référence F 9047au Bureau de vente des publications du SETRA
BP 100-92223 Bagneux cedex - a (1) 4231 31 53 et (1)4231 31 55