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VRD

PLAN DU COURS
Chapitre1 : Généralités sur les VRD
Chapitre2 : Marché et procédure qualité dans les VRD
Chapitre3 : Réseaux d’assainissement
Chapitre4 : Evaluation des débits EP-EU et dimensionnement
Chapitre5 : TP VRD + Visite chantier

CHAPITRE 1 : GENERALITES SUR LES


VRD
I- Introduction
Jadis l’aménagement a subi de nbreuses évolutions importantes. Tout projet
d’aménagement peut être considère comme étant un plan d’aménagement de
dimensions réduites. Ses études consistent à mettre au point un plan d’urbanisme
respectant les grands choix définis par l’état en matière d’aménagement du
territoire, et font appel à divers domaines d’activités.
Dans tout projet, les travaux de VRD entrent le domaine des infrastructures.
Ils assurent la viabilité des terrains sur lesquels doivent être édifiés des
constructions mais également d’améliorer leur environnement.
Les fosses septiques (collecte des EU), bassins de rétention (drainage des EP),
station d’épuration font partis des réseaux d’assainissement.
II- Définitions et objectives des VRD
« On désigne par VRD l’ens des travaux qui ont pour objet de mettre le terrain
en état de recevoir la construction et de raccorder les bâtiments aux réseaux de
distribution, collectifs de fluides et à la voirie publique. » (BAYON 1998)

L’objectif des études se résume :


- Rechercher la meilleure intégration possible de l’opération dans son
environnement général (paysage naturel, milieu bâti, contexte socio-
économique) ;
- Limiter les couts d’investissement sans pour autant négliger les problèmes
techniques ;
- Créer un cadre de vie satisfaisant pour les usagers ;
- Assurer un développement équilibré et harmonieux des lieux à aménager ;

III- Déroulement d’un projet VRD


Etudes préliminaires
-documentation (l’assiette, plan urbanisme…)
Resp : Maitre d’Ouvrage -levé topo
-Rapports (physique, socio-économique.)
-faisabilité
-architecture
Avant-projet -Levé topo
-Etudes géotechniques
Resp : M’œuvre -Estimation
Etudes d’exécution
-Etablir les dif plans (voiries, réseaux…)
Resp : M’œuvre -Devis

Appel d’offre -DAO


-soumission des entreprises
Resp : M’ouvrage -désigner l’entreprises exécutante
Exécution Réalisation du projet
Resp : entreprise, Maitre Œuvre
Réception : provisoire et définitive
Resp : Maitre d’œuvre et d’ouvrage
Le maitre d’œuvre (il contrôle les travaux et il exécute une partie des travaux, déléguant l’autre partie
à une entreprise sous-traitante) est désigné par le maitre d’ouvrage
Apres réception définitif on déclare la période de garantie
IV- Les données de bases
Elles concernent le site sur lequel doivent être réalisés les ouvrages ainsi que
leur environnement et comprennent les documents ou renseignements suivants.
1- Fond topographique (plan topo)
2- Les études de reconnaissances du sol
Elles précisent sur les coupes, la nature des diff couches composant le sous-sol,
leur profondeur, leur épaisseur, leur qualité, leur agressivité et leur résistance
ainsi que la présence éventuelle d’eau, nappe ou courant d’eau et l’évolution du
niveau dans le temps.
3- Les etds clim. fournies par la ST de météorologie la plus proche du site
4- Les études du trafic
Pour nous permettre de dimensionner la chaussée.
5- Les études hydrauliques
De définir les crues de projets. Les débits de pointes pendant les crues (ce débit
nous permettra de calculer) : le débit la qunt. d’eau ou le vol. d’eau dans le
temps.

V- Les besoins à satisfaire


a- Les circulations, la voirie, étant étudiée de manière à absorber les
différents flux, piétonniers, cyclistes et à privilégier certaines liaisons
b- L’organisation de l’espace en fonction de l’aménagement prévu

c- Les réseaux d’assainissement, en recherchant la solution la mieux adapter


au secteur concerne qu’elle soit type séparatif, semi-séparatif ou unitaire

d- Le réseau d’alimentation en eau potable en le dimensionnant compte tenu


de l’évolution des utilisateurs, des transformations ultérieurs et des
extensions éventuelles
e- Les réseaux de télécommunication
f- La qualité de l’environnement et des aménagements paysagers
Rq : les eaux usées sont collectées et les eaux pluviales sont drainées. Pour
leur évacuation des EU et EP : Step et Fosse septique (EU) et Exécutoire,
Bas-fonds, Mer et Bassins de rétention (EP)
VI- Les études
Ont pour objectifs de progresser dans la mise au pt du projet et de définir l’ens
des ouvrages prévus
a- L’avant-projet a pour objet de déterminer les principales caractéristiques
des ouvrages ainsi que leur implantation sur les plans
b- Le projet précise la solution d’ens et vérifie la cohérence des dispositions
retenues. Les calculs sont effectués afin de fixer les caract., les
dimensionnement et l’implantation des ouvrages
Les docs techniq relatifs aux études VRD :
- plans de concept. des infrastructures -profils en travers des types de voies
-profils en long de la voirie et des canalisations -dessins des ouvrages
-le cahier des charges VRD -une note de présentation du projet

c- Les études d’exécutions permettent d’élaborer les schémas fonctionnels,


les notes de calcul, les docs. et les détails techniq ainsi que le calendrier
prévisionnel des interventions.

Planning des travaux----» installations du chantier----» libération d’emprise


(débroussement, abattage, démolition, décapage) ----» terrassement (ouvrage,
voirie) ----» construction des ouvrages (chaussées, bordures, signalisations, ...,
nettoyage du chantier)
Diagramme Grantt pour matérialiser dans le temps le planning des travaux

VII- Voirie urbaine


1- Définition
A l’origine
2- Fonction
-Permet la circulation des pers et des biens -Facilite la communication
-Assure l’accessibilité aux parcelles et voies adjacentes
-Supportes les panneaux de signalisation -Permet le stationnement
-Contribue à l’économie -Reçoit les panneaux de publicités
3- La classification des voies urbaines
La classification administrative et juridique
La classification technique et fonctionnelle : la circulation, la desserte et la
conception.

La desserte se traduit par la possibilité d’accès direct aux parcelles riveraines,


les stionment, les chgment, et le dechgment des pers et biens, les activités
riveraines, l’habitat, le commerce, les services
Tandis que la circulation exige la régularité du trafic et une vitesse suffisante.
C’est donc l’écoulement des flux motorises.

On distingue 4 grands types de voies urbaines


- Les autoroutes et voies rapides urbaines : qui n’ont qu’une fonction
circulatoire. On parlera
- Les artères urbaines
- La voie de distribution représente la rue classiq : trottoir et chaussée. Vie
locale et circulation sont équilibrés. On parle de mixité de fonction. La
vit. Est gnrlment limitée à 60km/h
- Les voies de desserte dont a fonction circulation disparait devant celle de
la vie locale. Les fonctions sont mélangées. Les voitures sont admises
mais elles ne se sentent pas propriétaires du lieu. Vit. est à 40km/h
VIII-Les travaux de rase campagne

IX- Les travaux de terrassement


Ont pour objet la création des plateformes sur lesquelles sont édifiés les
constructions et les voiries, la préparation des excavations de grandes
dimensions nécss. Pour les niveaux en sous-sol des bats ainsi que les tranchées
dans lesquelles sont posées les diverses canalisations
-terrassement des ouvrages d’assainissement
-terrassement de voiries, après installations des réseaux
X- Alimentation en eau potable
Cette amenée ou adduction peut se faire soit par gravite (suivant une pente), si la
cote du captage est supérieure à la cote de distribution, soit par pompage.
1- L’adduction gravitaire
Ne peut être utilise qu’en de très rares circonstances. Dans ce cas, elle doit, pour
des raisons techq, avoir une pente rigoureusement constante et donc suivre, à
peu près, une ligne de niveau.
2- La conduite en charge
La seule condition étant que la canalisation reste, en tout pt du parcours, située
en dessous de la ligne piézométrique (la ligne là où on a une fuite d’eau la
pression s’annule) (contrainte).
La plupart des cas, les adductions d’eau se font par pompage.

XI- Les réseaux de distribution d’électricité


1- Les réseaux aériens
Sont constitués des lignes électriques placées en façade ou sur des poteaux
2- Les réseaux posés dans les caniveaux techniq de surface
Utilisé principalement dans les dessertes des lotissements d’habitation
3- Les réseaux enterrés
Sont posés à une profondeur de 0.80 à 1m sous trottoir et de 1 à 1.30 m, sous
chaussées, sur un lit de sable de 10cm en trachée individuelle ou commune.

4- Le réseau de télécommunication
Malgré le devpment de la téléphonie mobil, le raccordement au réseau
généralement de la téléphonie fixe reste encore de règle, compte tenu des
nombreux services rendus : téléphone, télécopie, télex, internet,
vidéoconférence….

5- L’éclairage extérieur
Doit présenter un effet d’ambiance et d’esthétique car il doit s’inscrire dans
l’architecture du lieu et animer les zones entourant les hbtions.
Conclusion
Les trvx comme les etds de VRD COMPRENNENT l’intervention de plrs
domaines d’expertises et font appel à une multitudes de connaissances partant
des techniq de levé jusqu’aux techq d’implantation des différents réseaux.
Objectif prioritaire portant sur la sécurité

Un remblai continue pour protéger l’ouvrage appelé aussi remblai technique

CHAPITRE 2 : Réseaux d’assainissement :


Ouvrages et conceptions

I- Généralités
1- Définitions
L’assainissement des agglomérations a pour objet d’assurer l’évacuation de
l’ens des EP et EU ainsi que leur rejet dans les exutoires naturels sous des
modes compatibles avec les exigences de la santé publique et de
l’environnement
2- Natures des eaux d’assainissement
-eaux de ruissèlement - eaux usées, d’origine domestique
-eaux industrielles
3- Problématique de l’assainissement
Un objectif double :
- Assurer l’hygiène publique par collecte et évacuation des eaux usées et
pluviales.

- Protéger l’environnement en épurant les EU avant leur rejet dans la


nature.

II- Aspects conceptuels et techniques


1- Types de systèmes d’assainissement

Assainissement collectif et individuel


Autonome, petites zones éloignées des
Grandes zones habitées, agglomérations, faibles densités
s’insère dans le réseau d’une
grande agglomération

Assainissement collectif
Les systèmes les plus rencontrées :
-séparatif - unitaire -pseudo-unitaire
Pour chq syst c’est l’écoulement gravitaire (on doit tenir compte des pentes,
des levés topographq) en général, en charge sur des petites sections.
- Système séparatif
Deux réseaux : un EU et un EP
Il peut être avantageux si la réalisation peut être effectuées progressivement
Il est adopté dans les petites et moyennes agglomérations et dans les extensions
des grandes villes
- Système unitaire
Les grds mérites de ce syst sont la simplicité, le faible encombrement,
l’économie à la conception et a l’entretien. Ce syst n’est pas favorable à la
STEP.

Parce que. Nous aurons de grdes variations débits entrainement un


disfonctionnement, un traitement difficile les eaux à traiter sont diluées, un
grand débit.
Il est intéressant par sa simplicité, puisqu’il suffit d’une canalisation unique dans
chaque voie publique et d’un seul branchement pour chq hbtions.
- Système pseudo-unitaire ou semi séparatif ou pseudo-séparatif
Les eaux météorologiques y sont divisées en 2 parties :
D’une part, les eaux provenant des surfaces de voiries qui s’écoulent par des
ouvrages conçus à cet effet : les caniveaux, fosses, etc.
D’autre part, les eaux des toitures, les cours, jardins qui déversent dans le réseau
d’assainissement à l’aide des mêmes branchements que ceux des eaux usées
domestiques.
Il constitue alors une alternative au réseau séparatif, en réduisant le nombre de
branchements par habitations à un.
Un réseau pour les eaux de la voirie et un autre qui va grouper toutes les eaux
venant des habitations. Il est recommandé dans les grandes zones avec une
importante surface de voiries

Assainissement mixte

Assainissement individuel ou autonome


Il est syst utilise dans les zones urbaines à faible densité dans lesquelles les eaux
usées d’une habitation sont éliminées au niveau même de cette habitation ou à
l’extérieur dans un terrain limitrophe.

TABLEAU RECAPITULATIF

Encombrement de l’espace pour un autre inconvénients du syst


séparatif
Variation des debits creant un disfonctionnement au niveau de la STEP comme
inconvenients pour le syst
Syst unitaire : réseau unique EP + EU
Syst séparatif : EU et EP collectées séparément
Syst pseudo séparatif ; EU+EP (terrasse, etc..)
Choix d’un syst repose essentiellement sur :
- Données relatives au site (topographie, la nature du sol, le régime des
nappes)
- Données pluviométriques
- Données relatives à la démographie et au développent
- Données urbanistiques
TYPES D’OUVAGES

- regards de visite (à tampon lourd (dans les chaussés convexes), à grille et à


avaloir (pour un réseau convexe) avec branchement particulier lié au collecteur)
- regard de façade ou boite de branchement ou boite individuel (permet de faire
l’entretien)
-regard borgne (il sert d’intermédiaire pour le regard de visite, au collecteur)
-bouche d’égout (place au niveau des accotement, 2 types à tampon à grille et
avaloir)
-collecteur principal
-branchement d’égout (bouche d’égout + buse + regard de visite et de borgne)
-branchement particulier (il comporte les regards de façade, les buses, les
regards de borgne et ceux à grille)
Regard de visite il permet la collecte et le nettoyage avec le tampon à grille
facile à pouvoir nettoyer. Et le tampon lourd, il ne permet pas la collecte juste le
nettoyage.

Les bouches d’égout permettent de récupérer les eaux des trottoirs et des
accotements, ils doivent être possible d’accès de déversement vers le collecteur
principal. Ils ne récupèrent que les eaux au niveau de la voirie.

Les bouches d’égout sont destinées à recueillir les eaux usées de la chaussée. Elles
doivent être sélectives pour permettre l retenue du maximum de déchets. Elles
sont généralement disposées sous le trottoir.

SCHEMA EXPLICATIF
III- CONTRAINTE DE L’ASSAINISSEMENT
1- Les contraintes techniques
Les réseaux d’assainissement collectif sont en général gravitaires. L’écoulement
se fait donc naturellement. Les principales contraintes sont :
- Contrainte de pente (assurer l’écoulement gravitaire)
- II de niveau des réseaux par rapport aux habitations
- II d’accessibilité (pour le suivi et l’entretien)
- II de qualité (pour la pérennité des ouvrages)

2- Les contraintes économiques


Construire un réseau d’assainissement collectif coûte cher
Épurer les eaux usées avant rejet coûte très cher
3- Les contraintes urbanistiques
Les caractéristiques géologiques et topographiques des zones à urbaniser
La répartition des populations, la nature des habitations et la structure du tissu
basin
4- Les contraintes du milieu naturel
Ce sont l’écoulement des eaux superficielles
L’étendu des bassins versants pour prévenir les risques d’inondation, et les
caractéristiques du milieu récepteur qui déterminent le niveau d’épuration à
éteindre
5- Les contraintes des infrastructures existantes
En cas de raccordement dune zone d’urbanisation nouvelle sur des ouvrages
existantes.
Il faut vérifier que les caractéristiques de ces ouvrages permettent de recevoir et
de traiter le flux nouveau d’eaux usées.

Auto curage c’est le fait d’assurer à l’ouvrage son propre curage lui
personnellement.
IV- CHAPITRE 3 : MISE EN ŒUVRE DES
CANALISATIONS

1. Lit de pose
Sur une même coupe transversale on n’a pas les même niveaux : déplacement
différentiel
Les canalisations sont posées sur un lit de pose bien préparé selon les
prescriptions ci-après :
 Pour un sol pulvérulent (sable ou gravier fin)
- Pose directe peut être envisageable
- Condition : la surface de contact avec la conduite soit uniforme sur toute
la longueur.

 Pour un sol cohérent (argile) ou un sol rocheux


- La pose directe est préjudiciable ; l’étalement d’une couche de sable fin
sur une épaisseur de 10 à 15 cm est fortement recommandé. Protéger la
conduite contre les déplacements différents et les écrasements

On va utiliser du béton de propreté pour la pose dans le cas de dalots ou dallettes


mais aussi des regards

2. Pose des conduites


De l’aval vers l’amont : respecter l’alignement dicter par le calage du réseau
C’est une opération cruciale et délicate et il est nécessaire de prendre les
précautions suivantes :
- Nettoiement de l’intérieur des canalisations ;
- Bon alignement des conduites
- Emboitement dirige vers l’amont
- Pose faite avec soin sans brutalité
- Obstruction provisoire des extrémités des tuyaux à chaque arrêt des
travaux
Blindage et étayage (renforcement des parois en fonction de la nature du sol
pour des profondeurs de déblais de plus de 2m)
Les ouvrages linéaires
Le collecteur, les branchements
3. Construction des ouvrages en place
Essentiellement les regards de visite (à tampon lourd : acier—sous les trottoir et
béton armé— sous la chaussée, à grille ou à avaloir : le choix des tampons se
fait suivant la position) qui sont obligatoires à chaque changement de directions
et un espacement en fonction du diamètre du collecteur et les bouches d’égout.
Ces ouvrages sont coulés sur place avec du béton armé
Le fond de la fouille doit être soigneusement prépare avec une épaisseur
4. Remblaiements des tranchées
Qualité du compactage
5. Branchement particulier
Regard de façade et dispositif de raccordement
6. Branchement d’égout

CHAPITRE 3 : EVALUTION DES DEBIT E.P


ET E.U, DIMENSIONNEMENT
- PARTIE DESEAUX PLUVIALES
I- PROCEDURE

- Trace en plan du réseau


- Délimitation du bassin versant drainé par chaque tronçon
- Calcul du débit de pointe généré par les BV
- II et dimensionnement de la canalisation en fonction de la pente
- Trace des profils en long des canalisations
- Vérification du bon fonctionnement du réseau
II- CALCULS DES DEBITS PLUVIAUX
Méthode rationnelle et méthode de CAQUOT
1. Méthode rationnelle

- Coefficient de ruissellement
Il dépend de plrs paramètres à savoir :
Perméabilité du sol
Topographie
Occupation du sol
Taux d’urbanisations…etc.
Il se définit comme le rapport du volume d’eau qui ruissèle au volume d’eau
tombée sur le bassin considéré
C= volume d’eau qui ruisselle/ volume d’eau tombée
Ce Coeff ne tient en compte que des pertes de ruissellement qui se composent de :
- L’évaporation qui varie selon le climat et la saison
- L’infiltration qui varie avec la nature

Tc = te (entrée) + tr (ruissellement)
Au Sénégal K=1/360 ----- superficie inférieures à 400ha
Exemple : à Fatick A=136.57ha , C=0.40 , I= 95mm/h
Qp= K*C*I*A=14.415m3/s

2. Méthode CIEH
Méthode statistique applicable en Afrique de l’ouest
Hypothèse : hauteur annuelle des précipitations entre 150mm et 1600mm
Superficie inférieure à 120km²
Exemple :

3. Méthode superficielle de CAQUOT


Le calcul de débit de pointe à l’exutoire du BV est effectué pour une
période de retour donné

L : plus long chemin hydraulique


- Formule superficielle : Modèle de CAQUOT
La pente équivalente I : chaque bassin est constitué de tronçons
successif « Ik ». La pente moyenne s’exprime par la formule suivante

Q
Coefficients de montana
a et b ils permettent de calculer l’intensité de la pluie intensité de la
pluie

- Limite de validité du modèle CAQUOT


- Procedure
Trace du plan
Delimitation du BV

SHEMAS TYPES OSSATURES

Capture ecran

Apres avoir esquisse , on les sousdivise en basin elementaires


(capture ecran)
Basins versant en série : le point de départ de l’un est un point d’arrive de l’autre
II II II parallèle : les deux (2) ont le même point d’arrivée

Assemblage des basins élémentaires


- En parallèle

Aeq =A1+A2
Ceq = (C1*A1)+(C2*A2) / (A1+A2)
Ieq = (I1*Q1 + I2*Q2) / (Q1+Q2)
Meq = L*(Qmax)/(A1+A2)^(0.5)
Leq= L(Qmax)

- En série

A=idem
C= idem
Ieq= ((L1+L2) / ( (L1/I1^0.5) + L2/I2^0.5) )²
Meq= L1+L2 / (A1+A2)^0.5
Leq=L1+L2
Conditions

- PARTIES DES EAUX USEES


I- GENERALITES

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