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J’ai du mal à mettre des mots sur ce que je ressens parfois, ou ce que je peux vivre. J’ai du mal à
géré mes émotions aussi, je ressens trop. Je vais sois trop mal ou sois trop bien, ou parfois je
suis trop vide. Mais il n’y a pas de juste milieu avec moi, il n’y a pas de “un peu”. J’aime trop ou
pas du tout, je déteste trop ou pas du tout.

J’ai peur de ce que je ressens parfois, trop de colère, trop de tristesse, trop de vide, ou sinon,
trop de joie, trop d’amour, trop de folie. Parfois j’aime trop vite, trop fort, trop tôt. J’aime trop
passionnément, j’aime trop follement, j’aime trop trop. Et ça me terrifie, parce qu’après ça fait
trop mal.

Je pensais être incapable d’aimer de nouveau parce qu’elle m’a brisé le cœur. Elle m’a brisé
entièrement. Mais il y a eu ces fameuses vacances d’été, là où j’ai ouvert les yeux trop fort sur le
monde et la vie.

Si un jour, j’ai cru aimer alors je me suis bien trompée. Parce que lui, lui je l’ai aimé avec un putain
d’énorme gros A. Je l’ai aimé trop vite, trop fort, trop passionnément, trop de trop. D’ailleurs je
l’aime toujours, et je crois qu’inconsciemment je l’aimerai trop toute ma vie.

Parce que c’est lui, parce qu’il est spécial. Il est beau autant de l’extérieur que de l’intérieur.
Putain oui qu’il est beau. Chacun de ses traits de personnalités m’envoûtent, les défauts comme
les qualités. Il est, il est putain oui il est.

Et pensée à lui, me rend trop mélancolique. Parce qu’inconsciemment, même à plus de 16 000
kilomètres de lui, mon âme lui appartient entièrement.

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