Chapitre 2

Taches élémentaire d’administration
2
→ Gestion d’une instance
→ Démarrage et arrêt de base
→ Création de base de données
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prof : Hjouji Amal
Gérer une instance Oracle

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fichiers de paramètres d’initialisation
Instance Oracle
Zone de mémoire Mémoire SGA
partagée
Cache Cache Tampon de
de tampons journali-
"library" de la base sation
Cache de données
du dictionnaire Zone de Zone de mémoire
de données mémoire Java LARGE POOL
PMON SMON DBW0 LGWR CKPT Autres
spfiledb01.ora
CONNECT / AS SYSDBA
STARTUP

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▪ Les entrées sont propres à l'instance en cours de démarrage
▪ Il existe deux types de paramètre :
• Explicite – Le fichier contient une entrée.
• Implicite – Le fichier ne contient aucune entrée, mais prend en compte les valeurs Oracle
par défaut.
▪ Une instance peut présenter plusieurs fichiers de paramètres d'initialisation
▪ Les modifications apportées aux entrées du fichier s'appliquent en fonction du
type de fichier de paramètres d'initialisation utilisé :
• Fichier de paramètres statique, PFILE (initSID.ora)
• Fichier de paramètres persistant, SPFILE (spfileSID.ora)

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Contenu des fichiers de paramètres d’initialisation
▪ Liste de paramètres d’instance
▪ Nom de la base de données à laquelle l’instance est associée
▪ Affectations destinées aux structures mémoire de la mémoire SGA
▪ Utilisation des fichiers de journalisation en ligne remplis
▪ noms et emplacement des fichiers de contrôle
▪ Informations relatives aux segments d’annulation

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Fichier PFILE initSID.ora
▪ Il s’agit d’un fichier texte

▪ Il peut être modifié à l’aide d’un éditeur du système d’exploitation
▪ Toute modification est apportée manuellement
▪ Les modifications sont effectives au démarrage suivant
▪ Il ne peut être ouvert que lors du démarrage de l’instance
▪ Son répertoire par défaut est $ORACLE_HOME/dbs

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Créer un fichier PFILE
▪ Créez ce fichier à partir d’un exemple de fihcier init.ora
▪ Oracle Universal Installer installe un exemple de fichier
($ORACLE_HOME\dbs\init.ora)
▪ Copiez l’exemple à l’aide de la commande appropriée du système d’exploitation
▪ Identifiez-le de façon unique à l’aide d’un SID de base de données
cp init.ora $ORACLE_HOME/dbs/initdba01.ora
▪ Modifier le fichier initSID.ora

▪ Editez les paramètres
▪ Affectez des valeurs qui répondent aux besoins de la base de données.

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Exemple de fichier PFILE
# Initialization Parameter File: initdba01.ora
db_name = dba01
instance_name = dba01
control_files = (
home/dba01/ORADATA/u01/control01dba01.ctl,
home/dba01/ORADATA/u02/control01dba02.ctl)
db_block_size = 4096
db_cache_size = 4M
shared_pool_size = 50000000
java_pool_size = 50000000
max_dump_file_size = 10240
background_dump_dest = /home/dba01/ADMIN/BDUMP
user_dump_dest = /home/dba01/ADMIN/UDUMP
core_dump_dest = /home/dba01/ADMIN/CDUMP
undo_management = AUTO
undo_tablespace = UNDOTBS
. . .

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Fichier SPFILE
▪ Il s’agit d’un fichier binaire. ($ORACLE_HOME/database)

▪ Sa mise à jour est effectuée par le serveur Oracle
▪ Il réside toujours côté serveur
▪ Il permet de rendre les modifications persistantes après l’arrêt et le démarrage.
▪ Il peut régler les valeurs des paramètres
▪ Il peut bénéficier de la prise en charge d’Oracle Recovery Manager pour
effectuer des sauvegardes du fichier de paramètres d’initialisation.

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Créer un fichier SPFILE
▪ Créez ce type de fichier à partir d’un fichier PFILE
CREATE SPFILE = ‘$ORACLE_HOME/dbs/spfileDBA01.ora’
FROM PFILE = ‘$ORACLE_HOME/dbs/initDBA01.ora’;
Ou :
▪ SPFILE-NAME correspond au fichier SPFILE à créer
▪ PFILE-NAME correspond au fichier PFILE qui sert de base à la création du fichier
SPFILE
▪ Il peut être exécuté avant ou après le démarrage de l’instance.
▪ Afficher le chemin de SPFILE:
SQL> show parameter SPFILE

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Exemple de fichier SPFILE
*.background_dump_dest=‘/home/dba01/ADMIN/BDUMP’
*.compatible='9.0.0'
*.control_files='/home/dba01/ORADATA/u01/ctrl01.ctl’
*.core_dump_dest=‘/home/dba01/ADMIN/CDUMP’
*.db_block_size=4096
*.db_name='dba01‘
*.db_domain=‘world’
*.global_names=TRUE
*.instance_name='dba01'
*.remote_login_passwordfile='exclusive‘
*.java_pool_size=50000000’
*.shared_pool_size=50000000
*.undo_management='AUTO'
*.undo_tablespace='UNDOTBS'
. . .

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Démarrage de l’instance
initDEV.ora
init<SID>.ora
SQL> startup Text initailisation parameter file
spfileDEV.ora
Spfile<SID>.ora
Server parameter file (SPFILE
START INSTANCE
EXISTS
START INSTANCE
INSTANCE

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Fonctionnement de la commande STARTUP
▪ Ordre des priorités:
▪ spfileSID.ora
▪ SPFILE par défaut
▪ initSID.ora
▪ PFILE par défaut
▪ Vous pouvez modifier ces priorités su vous indiquez un PFILE:
STARTUP PFILE = $ORACLE_HOME/dbs/initDBA1.ora
▪ Un PFILE peut indiquer qu’un SPFILE doit être utilisé

SPFILE = /database/startup/spfileDBA1.ora

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Modifier des paramètres du fichier SPFILE
▪ Utilisez la commande ALTER SYSTEM pour apporter des modifications aux

valeurs de paramètres:
ALTER SYSTEM SET undo_tablespace = 'UNDO2';
▪ Indiquez su ces modifications sont temporaires ou persistances:

ALTER SYSTEM SET undo_tablespace = 'UNDO2'
SCOPE=BOTH;
▪ Supprimez ou réinitialisez des valeurs:

ALTER SYSTEM RESET undo_suppress_errors
SCOPE=BOTH SID='*';

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Démarrer une base de données en mode
NOMOUNT
OPEN
STARTUP
MOUNT
NOMOUNT
Instance
démarrée
SHUTDOWN
SHUTDOWN

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Démarrez l’instance (NOMOUNT)
▪ Ce démarrage d’une instance en ce mode ne s’effectue qu’a la création d’une

base de données ou à la création de fichiers de contrôle.
▪ Le démarrage d’une instance comprend les taches suivantes:
• La lecture du fichier d’initialisation dans le répertoire $ORACLE_HOME/dbs dans l’ordre
suivant: -fichier spfileSID.ora,
-s’il n’est pas détecté, fichier spfile.ora
-s’il n’est pas détecté, fichier initSID.ora
• La déclaration du paramètre PFILE avec STARTUP remplace les valeurs par défaut.
• L’affectation de la mémoire SGA
• Le démarrage des processus d’arrière-plan
• L’ouverture du fichier alertSID.log et des fichiers trace.
Nommez la base de données à l’aide du paramètre DB_NAME dans le fichier de paramètres
d’initialisation ou dans la commande STARTUP

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MOUNT
OPEN
STARTUP
MOUNT
Fichier de contrôle
ouvert pour cette
NOMOUNT instance
Instance
démarrée
SHUTDOWN
SHUTDOWN

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Exemple de taches de maintenance en mode
MOUNT
▪ Pour effectuer des opérations de maintenance, vous démarrez une instance et
montez une base de données sans l'ouvrir. Exemple de tâches:
• Renommer des fichiers de données
• Activer ou désactiver des options d’archivage de fichiers de journalisation
• Effectue une récupération complète de la base de données
▪ Le montage d’une base de données comprend les tâches suivantes:
• Association d'une base de données à une instance démarrée
• Localisation et ouverture des fichiers de contrôle indiqués dans le fichier de paramètres
• Lecture des fichiers de contrôle pour extraire le nom et le statut des fichiers de données et
des fichiers de journalisation. Toutefois, l'existence des fichiers de données et des fichiers
de journalisation en ligne n'est pas vérifiée à ce stade.

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OPEN
OPEN
Tous les fichiers sont ouverts,
STARTUP comme indiqué par le fichier
MOUNT de contrôle de cette instance
Fichier de contrôle
ouvert pour cette
NOMOUNT instance
Instance
démarrée
SHUTDOWN
SHUTDOWN

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Démarrer un base de données en mode
OPEN
▪ En mode de fonctionnement normal, vous démarrez une instance avant de
monter et d'ouvrir la base de données. Ainsi, les utilisateurs autorisés peuvent
se connecter à la base et effectuer des opérations standard sur les données
▪ L'ouverture de la base de données comprend les tâches suivantes :
• Ouverture des fichiers de données en ligne
• Ouverture des fichiers de journalisation en ligne
▪ Au cours de cette dernière étape, le serveur Oracle vérifie que tous les fichiers
de données et de journalisation en ligne peuvent être ouverts et contrôle la
cohérence de la base de données. Si nécessaire, le processus d'arrière-plan
SMON (System Monitor) déclenche la récupération de l'instance.

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Commande STARTUP
▪ Pour démarrer une instance, exécutez la commande suivante:
STARTUP [FORCE][RESTRICT][PFILE=filename]
[OPEN[RECOVER][database] |MOUNT|NOMOUNT]
• OPEN : permet aux utilisateurs d'accéder à la base de données,
• MOUNT : monte la base de données pour certaines tâches d'administration, mais ne permet
pas aux utilisateurs d'y accéder,
• NOMOUNT : crée la mémoire SGA et lance les processus d'arrière-plan, mais ne permet
pas d'accéder à la base de données,
• PFILE=parfile permet de configurer l'instance à partir d'un fichier contenant des
paramètres qui ne sont pas des paramètres par défaut.
• FORCE interrompt l'instance en cours, puis exécute un démarrage normal
• RESTRICT n'autorise l'accès à la base de données qu'aux utilisateurs disposant du
privilège RESTRICTED SESSION
• RECOVER lance la procédure de restauration physique au démarrage de la base de
données

prof : Hjouji Amal
Commande ALTER DABASE
▪ Remplacez le statut NOMOUNT de la base de données par le statut MOUNT:
ALTER DATABASE db01 MOUNT;
▪ Ouvrir la base de données en lecture seule:
ALTER DATABASE db01 OPEN READ ONLY;
▪ Pour faire passer la base de données du statut NOMOUNT à MOUNT ou du
statut MOUNT à OPEN
ALTER DATABASE {MOUNT | OPEN}
▪ Vous pouvez ouvrir la base de données en mode lecture seule pour éviter que
les transactions utilisateurs ne modifient pas des données.
▪ Pour démarrer une instance, exécutez la commande suivante
ALTER DATABASE OPEN [READ WRITE | READ ONLY]
▪ READ WRITE ouvre la base de données en lecture-écriture pour permettre aux utilisateurs
de générer des fichiers de journalisation.

prof : Hjouji Amal
Ouvrir une base de données en mode d’accès
restreint
▪ Utilisez la commande STARTUP pour restreindre l’accès à une base de
données STARTUP RESTRICT
▪ Utilisez la commande ALTER SYSTEM pour placer une instance en mode

d’accès restreint:
ALTER SYSTEM [{ENABLE|DISABLE} RESTRECTED SESSION]
▪ Où:
▪ ENABLE RESTRECTED SESSION : accepte uniquement les connexions ultérieures des
utilisateurs disposant du privilège RESTRECTED SESSION.
▪ DISABLE RESTRECTED SESSION : désactive le privilège RESTRECTED SESSION
pour que les utilisateurs qui ne le possèdent pas puissent se connecter

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Ouvrir une base de données en mode d’accès
restreint
▪ Pour mettre fin à une session:
ALTER SYSTEM KILL SESSION’int1,int2’
▪ Où:
▪ int1 correspond à la valeur de la colonne SID de la vue V$SESSION
▪ int2 correspond à la valeur de la colonne SERIAL# de la vue V$SESSION
A l’exécution de cette commande, le processus d’arrière-plan PMON effectue
les taches suivantes:
oAnnulation de la transaction en cours de l’utilisateur
oLibération de tous les verrous de table ou de ligne
oLibération de toutes les ressources réservées par l’utilisateur

prof : Hjouji Amal
Ouvrir une base de données en mode
lecture seule
▪ Ouvrir une base de données en mode lecture seule:
STARTUP MOUNT
ALTER DATABASE OPEN READ ONLY;
▪ Une base de données en lecture seule permet:

▪ D’exécuter des interrogations
▪ D’exécuter des tris sur disque à l’aide de tablespace gérés localement.
▪ De mettre des fichiers de données hors ligne et en ligne, mais pas des tablespace
▪ De récupérer des fichiers de données et des tablespaces hors ligne.

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Arrêter la base de données
Mode d’arrêt A I T N
Permet de nouvelles connexions Non Non Non Non
Attend la fin des sessions en cours Non Non Non Oui
Attend la fin des transactions en cours Non Non Oui Oui
Applique un point de reprise et ferme les fichiers Non Oui Oui Oui
Arrêter la BD pour effectuer la sauvegarde hors

Mode d’arrêt : ligne de toutes les structures physiques via l4OS et
A : ABORT pour que les modifications appliquées aux
I : IMMEDIATE paramètres d’initialisation statiques soient
T : TRANSACTIONAL effectives au redémarrage.
N : NORMAL
-Pour arrêter une instance, connectez-vous en tant que SYSOPER ou SYSDBA et
utilisez la commande suivante :
SHUTDOWN [NORMAL | TRANSACTIONAL | IMMEDIATE | ABORT ]

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Option d’arrêt
Arrêt en mode
Normal,
• Phase d'arrêt : Transactional ou
• Phase de redémarrage :
Immediate
– Le cache de – Aucune récupération
tampons de la d'instance
base de données
est écrit dans les
fichiers de données
– Les modifications
non validées sont
annulées
– Les ressources
sont libérées
Base de données cohérente (base "propre")

prof : Hjouji Amal
Effectuer un arrêt
▪ Mode Normal :
C’est le mode par défaut Il s'effectue dans les conditions suivantes :
• Aucune nouvelle connexion ne peut être établie

• Le serveur attend la déconnexion préalable de tous les utilisateurs
• Les tampons de journalisation et de la base de données sont écrits sur disque
• Les processus d’arrière-plan prennent fin et la zone SGA est supprimée de la mémoire
• Le serveur ferme et démonte la base de données avant d’arrêter l’instance.
• La récupération de l’instance n’est pas nécessaire lors du démarrage.

prof : Hjouji Amal
Effectuer un arrêt
▪ Mode Transactionnal :
L'arrêt en mode Transactional évite aux clients de perdre leurs travaux en cours.
Il s'effectue dans les conditions suivantes :
• Aucun client ne peut lancer de nouvelle transaction pour l’instance indiquée

• Le client est déconnecté lorsqu’il termine la transaction en cours.
• La fin de toutes les transactions entraîne immédiat de la base de données
• La récupération de l’instance n’est pas nécessaire lors du redémarrage.

prof : Hjouji Amal
Effectuer un arrêt
▪ Mode Immediate :
L'arrêt en mode Immediat s’effectue dans les conditions suivantes:
• Les instructions SQL en cours de traitement par Oracle ne sont pas terminées
• Le serveur Oracle n’attend pas la déconnexion des utilisateurs de la base de données
• Oracle annule les transactions actives et déconnecte tous les utilisateurs
• Oracle ferme et démonte la base de données avant d’arrêter l’instance
• La récupération de l’instance n’est pas nécessaire lors du démarrage.

prof : Hjouji Amal
Option d’arrêt
Arrêt en
• Phase d'arrêt : mode Abort,
• Phase de redémarrage :
– Les mémoires échec d'instance – Les fichiers de
tampon modifiées ou journalisation
ne sont pas écrites démarrage forcé permettent de
dans les fichiers de réappliquer les
données modifications
– Les modifications – Des segments
non validées ne sont d'annulation sont
pas annulées utilisés pour annuler
les modifications non
validées
– Les ressources sont
libérées
Base de données incohérente (base non "propre")

prof : Hjouji Amal
Effectuer un arrêt
▪ Mode Abort :
Il s’effectue dans les conditions suivantes:
• Les instructions SQL en cours de traitement par le serveur ne sont pas terminées
• Les serveurs n’attend pas la déconnexion des utilisateurs de la base de données
• Les tampons de journalisation et de la base de données ne sont pas écrits sur disque
• Les transactions non valides ne sont pas annulées
• L’instance est interrompue sans fermeture des fichiers
• La base de données n’est pas fermée, ni démontée
• La récupération de l’instance est nécessaire lors du redémarrage, elle s’effectue
automatiquement

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Créer une base de données

prof : Hjouji Amal
Gérer et organiser une base de données
La planification d’une base de connées constitue la première étape de la
procédure de gestion d’un système de base de données
• Définissez la fonction de la base données

• Définissez le type de la base de données
• Définissez la conception de l’architecture de la base de données
• Choisissez le nom de la base de données
Créez la base de données

prof : Hjouji Amal
Condition préalables à la création d’une base
de données
Pour créer une base de données, vous devez disposer des éléments suivants :
Un compte disposant de privilèges, authentifié:
• Par le système d’exploitation
• À l’aide d’un fichier de mots de passe
Une quantité de mémoire suffisante pour démarrer l’instance.
Un espace disque suffisant pour recevoir la base de données prévue.

prof : Hjouji Amal
Méthode d’authentification utilisées par les
administrateurs de base de données
Administration Administration
distante de la locale de la base
base de données de données
Oui Souhaitez- Oui

Disposez-vous vous utiliser Utilisez
d'une connexion l'authentification par l'authentification
sécurisée ? le système par le système
d'exploitation
? d'exploitation
Non Non Utilisez

un fichier
de mots
de passe
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Utiliser l’authentification par le fichier de
mots de passe
❑ Créez le fichier de mots de passe à l’aide de l’utilitaire de gestion des mots de
passe:
$ orapwd file=filename password=password entries=max_users
Où :
– filename :correspond au nom du fichier de mots de passe (obligatoire),
– password :correspond au mot de passe de SYSOPER et SYSDBA
(obligatoire),
– entries :correspond au nombre maximum d'utilisateurs autorisés à se connecter
en tant que SYSDBA ou SYSOPER. Si ce nombre est dépassé, vous devez
créer un nouveau fichier de mots de passe. Il est préférable de définir un
nombre élevé. N'insérez pas d'espaces avant ni après le signe égal (=).

prof : Hjouji Amal
Utiliser l’authentification par le fichier de
mots de passe
Exemple:
❑ Créez le fichier de mots de passe à l’aide de l’utilitaire de gestion des mots de
passe.
$ orapwd file=$ORACLE_HOME/dbs/orapwU15
password=admin entries=5
❑ Définissez
REMOTE_LOGIN_PASSWORDFILE=EXCLUSIVE dans le fichier de
paramètres d’initialisation.
❑ Ajoutez des utilisateurs au fichier de mots de passe
❑ AffectezGRANT
des privileges
SYSDBA appropriés
TO HR; à chaque utilisateur

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Création d’une base de données
Vous pouvez créer une base de données à l’aide :

❑ d’Oracle Universal Installer
❑ d’Oracle Database Configuration Assistant,
❑Interface utilisateur
❑Base Java
❑Lancé par Oracle Universal Installer
❑Peut être utilisé en mode autonome
❑ De la commande CREATE DATABASE

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Environnement du système d’exploitation
Définissez les variables d’environnement suivantes:

❑ ORACLE_BASE
❑ ORACLE_HOME
❑ ORACLE_SID
❑ ORA_NLS33
❑ PATH
❑ LD_LIBRARY_PATH

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▪ ORACLE_BASE : répertoire situé le plus haut dans l'arborescence des
différentes versions des produits Oracle
Exemple : /u01/app/oracle
▪ ORACLE_HOME : répertoire dans lequel une des versions des produits Oracle
est installée.
Exemple : /u01/app/oracle/product/9.1.1
▪ ORACLE_SID : nom de l'instance, qui doit être unique pour les instances
Oracle s'exécutant sur la même machine

prof : Hjouji Amal
▪ ORA_NLS33 : variable obligatoire lors de la création d'une base de données

n'utilisant pas le jeu de caractères US7ASCII
▪ PATH : répertoires dans lesquels le système d'exploitation recherche des
exécutables tels que SQL*Plus.
▪ LD_LIBRARY_PATH : répertoires des fichiers du système d'exploitation et de
la bibliothèque Oracle. Exemple : $ORACLE_HOME/lib

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Créer manuellement une base de données
▪ Choisissez un nom unique pour l’instance et la base de données

▪ Sélectionnez un jeu de caractères de base de données
▪ Définissez les variables du système d’exploitation
▪ Créez le fichier de paramètre d’initialisation.
▪ Démarrez l’instance à l’étape NOMOUNT
▪ Créez et exécutez la commande CREATE DATABASE
▪ ouvrez la base de données
▪ Exécutez des scripts afin d générer le dictionnaire de données et d’effectuer des
étapes de postcréation.
▪ Créez autant de tablespace supplémentaires que nécessaire.

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Structure physique d’une base de données Oracle
❑ Les fichiers de données
❑ Les fichiers Redo log
❑ Les fichiers d’archivages
❑ Les fichiers de contrôle
Structure logique d’une base de données Oracle
❑ Les tablespaces
❑ Les segments et leurs composants
❑ Les segments de données de type table
❑ Les segments temporaires
❑ Les segments rollback
❑…
prof : Hjouji Amal
Création à l’aide de la commande CREATE:
L’ordre SQL CREATE DATABASE permet :
❑ Création des fichiers de contrôle;
❑ Création des fichiers de journalisation
❑ Création des tablespace SYSTEM et de son fichier de données;
❑ Création des comptes SYS et SYSTEM
❑ Création éventuelle d’un tablespace d’annulation, d’un tablespace temporaire
par défaut et d’un tablespace permanent par défaut
❑ Création du dictionnaire de données (dans le tablespace SYSTEM)

prof : Hjouji Amal
CREATE DATABASE user01

LOGFILE
CREATE DATABASE [database]
GROUP 1 ('/$HOME/ORADATA/u01/redo01.log') SIZE 100M,
[CONTROLFILE REUSE] GROUP 2 ('/$HOME/ORADATA/u02/redo02.log') SIZE 100M,
[LOGFILE [GROUP integer] filespec GROUP 3 ('/$HOME/ORADATA/u03/redo03.log') SIZE 100M
[MAXLOGFILES integer] MAXLOGFILES 5
[MAXLOGMEMBERS integer] MAXLOGMEMBERS 5
MAXLOGHISTORY 1
[MAXLOGHISTORY integer]
MAXDATAFILES 100
[MAXDATAFILES integer] MAXINSTANCES 1
[MAXINSTANCES integer] DATAFILE '/$HOME/ORADATA/u01/system01.dbf' SIZE 325M
[ARCHIVELOG|NOARCHIVELOG] UNDO TABLESPACE undotbs
[CHARACTER SET charset] DATAFILE '/$HOME/ORADATA/u02/undotbs01.dbf' SIZE 200M
AUTOEXTEND ON NEXT 5120K MAXSIZE UNLIMITED
[NATIONAL CHARACTER SET charset] DEFAULT TEMPORARY TABLESPACE temp
[DATAFILE filespec [autoextend_clause] CHARACTER SET US7ASCII
NATIONAL CHARACTER SET AL16UTF16
SET TIME_ZONE= 'America/New_York'

prof : Hjouji Amal
Résoudre les problèmes
La création de la base de données échoue:

❑ Si le script SQL contient des erreurs de syntaxe
❑ Si les fichiers à créer existent déjà,
❑ En cas d’erreurs du système d’exploitation liées, par exemple, aux
droits sur les fichiers ou les répertoires ou à un espace insuffisant

prof : Hjouji Amal
Une fois la base de données créée…
Elle contient
❑ Des fichiers de données, de contrôle et de journalisation
❑ L’utilisateur SYS et le mot de passe change_on_install,
❑ L’utilisateur SYSTEM et le mot de passe manager,
❑ Des tables internes(mais pas de vues du dictionnaire de données).

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→ Démarrage et arrêt de base

→ Création de base de données

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PMON SMON DBW0 LGWR CKPT Autres

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▪ Il s’agit d’un fichier texte

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▪ Modifier le fichier initSID.ora

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▪ Il s’agit d’un fichier binaire. ($ORACLE_HOME/database)

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STARTUP PFILE = $ORACLE_HOME/dbs/initDBA1.ora

▪ Un PFILE peut indiquer qu’un SPFILE doit être utilisé

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▪ Utilisez la commande ALTER SYSTEM pour apporter des modifications aux

ALTER SYSTEM SET undo_tablespace = 'UNDO2';

▪ Indiquez su ces modifications sont temporaires ou persistances:

▪ Supprimez ou réinitialisez des valeurs:

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▪ Ce démarrage d’une instance en ce mode ne s’effectue qu’a la création d’une

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▪ Utilisez la commande ALTER SYSTEM pour placer une instance en mode

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▪ Une base de données en lecture seule permet:

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Arrêter la BD pour effectuer la sauvegarde hors

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Base de données cohérente (base "propre")

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• Aucune nouvelle connexion ne peut être établie

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• Aucun client ne peut lancer de nouvelle transaction pour l’instance indiquée

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Base de données incohérente (base non "propre")

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• Définissez la fonction de la base données

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Oui Souhaitez- Oui

Non Non Utilisez

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Vous pouvez créer une base de données à l’aide :

❑ De la commande CREATE DATABASE