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LE « TALMUD DEMASQUE » DE PRA-

NAITIS N’EST PAS UN FAUX


Table des matières
I - La première condamnation....................................................... 3

II - Les condamnations pontificales du Talmud ............................ 4

A - Martin V ................................................................................ 4

B - Jules III ................................................................................. 4

C - Pie V .................................................................................... 5

D - Grégoire XIII ........................................................................ 5

E - Clément VIII ......................................................................... 6

III - Le véritable contenu antichrétien du Talmud ......................... 9

IV - Les blasphèmes talmudiques de Maïmonide ....................... 11

V - La révélation du Talmud ....................................................... 13

VI Conclusion ............................................................................. 17

VII Citations du Talmud démasqué ............................................ 19

ℹ️ Seront utilisées dans ce pdf des citations de pape non pour, évidemment,
une quelconque qualité théologique mais en tant que témoins historiques.
1
« Le Talmud contient des blasphèmes contre Dieu le
Christ et la Vierge Marie. » Innocent IV, Impia Judaeorum
perfidia, 1244
En Occident les catholiques ont très tôt été avertis par des convertis
des infamies contenues dans le talmud. Les juifs occidentaux, vivant en
terre catholique puis catholique ou protestante ont été à leur corps défen-
dant obligés d'expurger le talmud de ses parties les plus scandaleuses et
infâmes. Et même si les rabbins ont continué à les enseigner oralement
elles ne figuraient plus dans le talmud. Par contre en terre orthodoxe ou
proche, comme la Lituanie de Prainatis, de la zone orthodoxe les juifs n'ont
pas expurgé leur talmud et c'est donc ce talmud non expurgé qui a été
exposé par Prainatis. Ceux qui clament que Prainatis est un faussaire sont
donc eux-mêmes des faussaires et des menteurs.

Très tôt l’Eglise s’est inquiétée du Talmud dont on pouvait constater


l’influence nocive sur le comportement des populations juives, mais il fallut
cependant attendre le XIIIème siècle pour qu’une véritable politique d’exa-
men approfondi du contenu du texte soit entreprise afin de déterminer sa
nature exacte, et surtout qu’en soient fermement condamnées les affirma-
tions principales et les blasphèmes absolument scandaleux que l’on dé-
couvrit dans ses pages, comme ceux-ci concernant Jésus :
« En ces jours-là, il y eut de nombreux combats et de grandes dis-
sensions en Judée entre les Pharisiens et les "brigands" en Israël qui sui-
virent Jeshu’ah ben Pandera le Nasoréen qui fit de grands miracles en
Israël jusqu’à ce que les Pharisiens l’aient vaincu et le pendirent sur un
poteau. » (Sanhedrin 67a, MS Hébr. 1280, fol. 123 v, BNF).
« La veille de Pâques, on a pendu Yéshu (Jésus). Pendant les 40
jours qui précédèrent l’exécution, un héraut allait en criant : "Il sera lapidé
parce qu’il a pratiqué la magie et trompé et égaré Israël. Si quiconque a
quelque chose à dire en sa faveur qu’il s’avance en son nom. » Mais on
ne trouva personne qui témoignât en sa faveur et on le pendit la veille de
Pâques." (Talmud de Babylone, Sanhédrin 43a).1 »

1 Il y a en réalité deux Talmuds : Le Talmud de Jérusalem, achevé vers la fin du


IVe siècle, compilé dans l’académie tibérienne de Yohanan ben Nappaha, la tradition
attribuant la rédaction de ce Talmud à Rav Mouna et Rav Yossi en 350. Et le Talmud
de Babylone (Talmud Bavli), qui comprend la Mishna et la Guemara babylonienne,
dont la compilation est attribuée à deux Sages babyloniens, Rav Achi (président de
l’académie de Soura de 375 à 427), et Ravina. Quoique le Talmud Yerushalmi est
souvent fragmentaire et de lecture aride, même pour le talmudiste chevronné, alors
2
I - La première condamnation : Innocent IV Impia Ju-
daeorum perfidia
C’est à Paris, en 1240, que le premier procès du Talmud se déroula,
lorsque, après avoir été expulsé de l’école juive dans laquelle il se trouvait,
Nicolas Donin (+1287), qui s’était converti en 1235 au christianisme et de-
vint franciscain, dénonça les principaux passages antichrétiens du texte,
ceci dans une confrontation publique avec le rabbin Yehiel de Paris
(+1286) qui était alors le responsable de l’école talmudique (yeshiva), con-
frontation où furent présents Eudes de Châteauroux chancelier de la Sor-
bonne, ainsi que du côté juif, Moïse de Coucy, Juda ben David et Samuel
ben Salomon. Faisant suite à sa démonstration, qui épouvanta les exami-
nateurs et théologiens ecclésiastiques dans laquelle Donin cita des pas-
sages entiers du Talmud, dont il prouva qu’il était devenu pour les juifs
une autre loi (alia lex) quasi supérieure à celle de la Torah, montrant qu’il
contenait d’horribles blasphèmes, encourageait à la haine envers les chré-
tiens et autorisait les juifs à se jouer des « goyim », de les voler voire les
tuer, 24 charrettes remplies de manuscrits talmudiques furent brûlées en
place de Grève le 20 juin 1242.

C’est à cette époque, en écho direct avec cette confrontation où de


nombreux passages épouvantables du Talmud furent révélés aux cons-
ciences chrétiennes qui en étaient ignorantes2, que le pape Innocent IV
(1180-1254), l’un des meilleurs canonistes de son époque – reprenant les
directives de Grégoire IX qui avait demandé le 9 juin 1239, suite à la pro-
mulgation de la bulle Sufficere dibuerat (15 mars 1233), aux évêques de
France de faire confisquer tous les exemplaires du Talmud – écrivit une
lettre pontificale qu’il intitula : Impia Judaeorum perfidia (la perfidie impie
des Juifs), publiée le 9 mai 1244, lettre adressée au roi Louis IX (1226-
1270) afin que le souverain puisse légiférer pour se protéger des idées
talmudiques en France.

que la rédaction du Talmud Bavli est plus précise et travaillée, la loi exposée dans les
deux compilations est globalement identique.
2 Il existe une relation en latin et en hébreu de la disputatio de Nicolas Donin et

Yehiel de Paris qui eut lieu du 25 au 27 juin 1240, formant deux textes: Extractiones
de Talmud, composés sur les ordres d’Eudes de Châteauroux, et la version hébraïque
Wikkuah Rabbenu Yehiel mi Paris. (Cf. Le Brûlement du Talmud à Paris (1242-1244),
Nouvelle Gallia Judaïca, Cerf, 1999).
3
II - Les condamnations pontificales du Talmud
Cet acte pontifical d’Innocent IV va faire autorité pendant plusieurs
siècles, et c’est sur lui que vont s’appuyer tous les patriarches de Rome
ultérieurs qui auront à légiférer contre les Juifs et leurs écrits. On mesure
donc combien cet examen de la doctrine du Talmud, suivi de sa condam-
nation, va s’avérer important au cours des périodes successives de
l’Eglise afin de déterminer et fixer l’attitude officielle et magistérielle de
Rome à l’égard du texte talmudique

.
A - Martin V

« Les Juifs n’ayant pu anéantir le peuple chrétien en tuant le Christ,


ont voulu le bafouer par la rédaction du Talmud, un tissu d’horreurs anti-
chrétiennes. » Martin V, Sedes Apostolica, 1425.

Les confrontations entre docteurs chrétiens et talmudistes se multi-


plièrent évidemment après Innocent IV, et la liste est longue retraçant l’his-
torique des grands débats qui se déroulèrent entre rabbins et théologiens
chrétiens. Ainsi à Tortosa, en 1413, à l’instigation de Geronimo de Santa
Fé (Joshua Lorki), ancien érudit juif devenu chrétien et médecin du pape
Martin V, on démontra que les infâme accusations talmudiques envers les
païens et les apostats en des termes outrés, concernaient bien les chré-
tiens, obligeant Martin V à interdire aux Juifs de lire le Talmud, de par la
perversité, faisant devoir aux autorités civiles et religieuses qu’elles en
saisissent et détruisent toutes les copies existantes : « Les Juifs n’ayant
pu anéantir le peuple chrétien en tuant le Christ ; ils ont voulu le bafouer
par la rédaction du Talmud, un tissu d’horreurs anti-chrétiennes. »

B - Jules III

« Que le Talmud, mentionnant Jésus Christ ignominieusement soit


damné et brûlé » Jules III, Cum sicut nuper (1554).

Ce fut ensuite Jules III qui, dans sa bulle Cum sicut nuper datée du
29 mai 1554, ordonna que le Talmud et d’autres livres mentionnant Jésus
Christ ignominieusement soient damnés et brûlés (damnaverint et igne
comburi fecerint), demandant, de plus, que soit mise en œuvre une
4
nouvelle investigation attentive des écritures talmudistes, stipulant que si
les livres contenaient des passages blasphématoires, ils devaient être dé-
truits et retirés des mains des Juifs, sous peine de châtiments pécuniaires
ou, si leur obstination ou qualité du délit l’exige, corporelles. (« debitis
poenis, tam pecuniariis […] quam si eorum contumacia, aut qualitas delicti
exegerit, corporis »).

C - Pie V

Pie V, Hebraeorum gens (1569) : « Les Juifs, par leurs sortilèges,


incantations, méfaits et superstitions magiques, exposent beaucoup de
gens étourdis et infirmes aux impostures de Satan »

Si dans sa bulle Hebraeorum gens du 4 mars 1569, Pie V ne se


penche pas directement sur la question du Talmuld, expliquant que les
Juifs furent méprisés et dispersés à cause de leur incroyance et parce
qu’ils avaient été perfides et ingrats quand ils ont rejeté leur Sauveur par
la mort indigne (perfida et ingrata suum Redemptorem indigna morte pe-
remptum impie reprobarit), soulignant que les moyens par lesquels ils
combattent la faim sont, exécrables et infâmes (foedas et infames artes,
quibus famem tolerare possit), le pape insistait cependant sur les « sorti-
lèges, les incantations, les méfaits et les superstitions magiques, par les-
quelles ils exposent beaucoup de gens étourdis et infirmes aux impostures
de Satan »(sortilegiis, incantationibus, magicisque superstitionibus et ma-
leficiis dediti, quamplurimos incautos atque infirmos, Sathanae praestigiis
inducunt »), ce qui laissait nettement supposer que les Juifs possédaient
et utilisaient des ouvrages de sorcellerie et de magie, dont le Talmud fai-
sait évidemment partie.

D - Grégoire XIII

Grégoire XIII, Antiqua judaeorum improbitas (1581) : « L’ancienne


méchanceté des juifs reste exécrée, [eux] qui ont repoussé le fils de Dieu
et attenté à sa vie criminellement »

Peu de temps après, c’est Grégoire XIII, par le motu proprio Antiqua
judaeorum improbitas de 1581, désigné de par ses premiers mots « L’an-
cienne méchanceté des juifs reste exécrée dans les fils, d’autant plus

5
qu’ils faillissent gravement pour accumuler la mesure de ses pères qui ont
repoussé le fils de Dieu et attenté à sa vie criminellement » (Antiqua Ju-
daeorum improbitas tanto execratior consistit filiis, quanto ipsi ad cumu-
landam patrum suorum mensuram in Dei filio repudiando, ejusque in mor-
tem nefarie conspirando, gravius deliquerunt), qui réitérait les condamna-
tions pontificales.

Dans son Motu proprio Grégoire XIII expliquait qu’après avoir été
condamnés à la servitude perpétuelle et dispersés dans tous les pays du
monde de par leur crime, les juifs n’ont pas trouvé plus grande clémence
que dans les terres des chrétiens (non maiorem in cuiusquam ditione cle-
mentiam, quam in Christianorum Provinciis maxime vero in Apostolicae
pietatis gremio invenerunt), l’Eglise s’efforçant de les attirer doucement à
la lumière de la vérité. Mais, précisait Grégoire XIII, les juifs ne se sont
pas adoucis, étant hostiles aux membres du Christ et n’ont pas cessé de
commettre des choses effroyables contre la religion chrétienne. En con-
séquence Grégoire XIII autorisait les inquisiteurs à intervenir dans plu-
sieurs cas où pouvaient s’exercer les impiétés judaïques, obligeant les
évêques et tous les prélats à publier son Motu proprio, et à procéder dû-
ment selon son contenu.

E - Clément VIII

« La méchanceté des hébreux répand parmi le peuple des volumes


pernicieux, des livres impies, et complètement détestables, damnés dans
les temps anciens. » Clément VIII, Cum hebraeorum malitia (1593).

Clément VIII va ensuite se distinguer en renouvelant, le 28 février


1593 – après avoir expulsé les Juifs des Etats pontificaux par le bulle
Caeca et Obdurata trois jours plus tôt (25 février 1593)3 – dans la bulle
3 La bulle Caeca et Obdurata (25, II, 1593), commence ainsi : « La perfidie
aveugle et insensible des hébreux est non seulement ingrate envers le Seigneur et le
Rédempteur de l’espèce humaine qui leur fut promis et naquit de la semence de David,
mais encore elle ne reconnaît pas la miséricorde envers eux de l’Église qui attend
patiemment leur conversion. » (Caeca et obdurata hebraeorum perfidia, non solum
ingrata est in Dominum, ac Redemptorem humani generis Iesum Christum Dei Filium
ipsis promissum, et ex semine David secundum carnem natum, sed neque etiam sanc-
tae Matris Ecclesiae, ipsorum conversionem, patienter expectantis, magnam erga eos
misericordiam agnoscit). Le pape rappelle les bulles Cum nimis absurdum de Paul IV
et Hebraeorum gens de Pie V, par laquelle les juifs furent expulsés de tous les do-
maines des États pontificaux sauf Rome et Ancône. Accusant les juifs d’avoir arraché
6
Cum hebraeorum malitia les anciennes interdictions de lire, vendre, impri-
mer ou posséder des exemplaires du Talmud, s’appuyant pour ce faire sur
les actes des patriarches antérieurs, qu’il désignait nommément : Grégoire
IX, Innocent IV, Clément IV, Jean XXII, Jules III, Paul IV (Cum nimis ab-
surdum) et Grégoire XIII, « qui ont souvent appelé ce Talmud impie, puis
damné, interdit et ont souhaité que soit exterminé du monde chrétien
d’autres écritures pareilles et détestées » (qui saepius impium illud Thal-
mud nuncuparunt, et alia similia reprobata et detestanda scripta et volu-
mina damnarunt, et retineri prohibuerunt, seu alias ex Christiani Orbis Pro-
vinciis et Regnis pro zelo exterminarunt). Le pape Clément VIII approuvait
donc et renouvelait toutes les lettres et documents qui avaient été décré-
tés sur ce sujet.

Ainsi dans Cum Hebraeorum Malitia, d’après ses premiers mots : «


Quand la méchanceté des hébreux invente des nouvelles fourberies, par
lesquelles elle répand parmi le peuple des volumes pernicieux, des livres
impies, et complètement détestables, soit damnés dans les temps an-
ciens, soit récemment interdits » (Cum Hebraeorum malitia novas in dies
excogitet fraudes, quibus perniciosa volumina, librosque impios, ac plane
detestabiles, tum antiquitus damnatos, tum recens conscriptos in vulgus
proferat ), Clément VIII ordonnait de livrer tous les exemplaires du Talmud
au feu. Mais il allait plus loin encore, en faisant interdiction à toutes les

de ses prédécesseurs quelques permissions et de les avoir abusées, il explique qu’ils


ont ruiné et assiégé beaucoup de citoyens et habitants des États pontificaux et les ont
dépourvus de leurs biens (plurimos cives et incolas ditionis temporalis ecclesiasticae,
ubi commorantur, misere exhauserint, circumvenerint, bonis spoliaverint) et ont fait
cela contre les lois divines, naturelles et humaines par de hautes et graves usures
qu’ils exigent des pauvres et indigents, par de monopoles illicites, des fraudes et des
ruses dans le rassemblement (des usures). Ainsi ils ont amené surtout des gens
simples et des villages à l’extrême privation et mendicité et presque à l’esclavage (te-
nuis potissimum fortunae homines, praesertim rusticos et simplices, non solum ad ex-
tremam inopiam et mendicitatem, sed propemodum in servitutem redegerint).Motivé
par ces plus graves raisons, le pape décide de faire sortir de ses peuples une telle
nation, pour laquelle l’expérience montre qu’on peut espérer beaucoup plus de détri-
ment que de bien de celle-là (huiusmodi nationem a plerisque ex nostris Populis, apud
quos experientia docuit eam multo plus detrimenti afferre, quam boni ab ipsa sperari
queat, censuimus omnino expellendam). En apprenant quelle pie et bénigne indul-
gence fut donné aux juifs par ses prédécesseurs suivants qui avaient espéré à riposter
ainsi la malice juive contre les fidèles, le pape Clément VIII décide de révoquer, abolir
et annuler les privilèges et permissions données par Sixte V et d’autres prédécesseurs
dans la part où elles contredisent les lettres de Clément VIII, de Paul IV ou de Pie V.
Le pape accorde aux juifs trois mois pour quitter tous les domaines des États pontifi-
caux, et exhorte ceux qui restent à Rome, d’observer les constitutions de Paul IV et
Pie V.
7
communautés juives, dans les Etats pontificaux et dehors, où que ce soit,
de posséder, lire, retenir, vendre et divulguer des livres talmudiques «
damnés, vains, cabalistiques et d’autres œuvres impies, interdits et con-
damnés par ces prédécesseurs » et d’œuvres, commentaires, volumes et
écritures qui contiennent, en secret ou expressivement (tacite vel ex-
presse), des paroles blasphématoires ou dédaigneuses envers le Dieu, la
Trinité, notre Rédempteur le Seigneur Jésus Christ, sa foi chrétienne, sa
mère la Vierge Marie, les patriarches, prophètes et apôtres, les sacre-
ments, les saintes images, l’Église Catholique, le Saint Siège.

Par ailleurs, Clément VIII annulait, révoquait et invalidait toutes les


concessions, licences et permissions de retenir et lire les susdits livres,
accordées par qui que ce soit même par ces prédécesseurs, et souhaitait
qu’elles restent « annulées pour toujours » (Omnes vero et quascumque
facultates, litteras, permissiones, indulta, tolerantias legendi, tenendi […]
prohibita scripta, volumina, libros et alia supradicta […] revocamus, irrita-
mus et annullamus, ac pro revocatis, irritis et penitus infectis in perpetuum
haberi volumus »). En conséquence, le pape accordait 10 jours aux pro-
priétaires du Talmud à Rome et 2 mois à ceux qui habitaient hors la ville
après la publication de la bulle, pour livrer les écritures au clergé ou aux
inquisiteurs, que ces derniers devaient brûler sur-le-champ ( a quibus
postmodum nulla interposita mora comburantur […] »)4

4 Les dispositions de la bulle Cum Hebraeorum Malitia, sont d’une grande sé-
vérité :
« § 6 Les juifs, mais aussi les typographes et les marchands, qui possèdent,
impriment, lisent, décrivent, vendent ces écritures ou les donnent comme exemple,
encourent le risque des punitions corporelles, de l’excommunication et de la confisca-
tion des biens.
§ 7 Ceux qui donnent des conseils ou offrent leur aide aux juifs afin qu’ils trans-
portent, lisent, écrivent ou impriment tels livres, encourent les mêmes risques.
§ 8 Le pape ordonne les inquisiteurs de chercher ces livres (perquisitionner),
personnellement ou par les personnes qu’ils envoient, scrupuleusement dans les en-
droits où habitent les juifs, dans les synagogues et les lieux publics mais aussi dans
les foyers privés et les ateliers ou dans les bibliothèques chrétiennes ; et de procéder
contre ceux qui auront été trouvés coupables par les susdites ou par d’autres (aussi
graves) mesures à leur avis.
§ 11 le pape déclare qu’il sera interdit à tout le monde de heurter ces interdic-
tions, dérogations et annulations ou de procéder contrairement à leur contenu. Si
quelqu’un osait le faire, il encourra l’indignation de l’omnipotent Dieu et des apôtres
Pierre et Paul.»
8
III - Le véritable contenu antichrétien du Talmud
Mais un des points de la controverse contemporaine dont se font
l’écho les articles traitant du sujet, porte sur une prétendue « mauvaise
interprétation » du Talmud par les examinateurs chrétiens, qui se seraient
mépris sur les termes hébreux. Or cet argument est faux pour plusieurs
raisons. Outre que les premiers censeurs du texte furent des érudits juifs
convertis au christianisme comme le franciscain Nicolas Donin, ce qui
laisse supposer chez eux une bonne connaissance de la signification
exacte des textes talmudiques, que le nombre conséquent de condamna-
tions pontificales laisse penser qu’il y avait sérieusement matière à légifé-
rer, il importe également de savoir que le Talmud fit l’objet de plusieurs
éditions, mais aussi de dispositions disciplinaires de l’Eglise qui peuvent
tromper ceux qui ignorent ces éléments historiques, les amenant à accep-
ter la thèse d’une injustice à l’égard du Talmud.

Rien n’est plus fallacieux. Il faut savoir que si le Talmud de Babylone


en 1520 à Venise, suivi du Talmud de Jérusalem, furent édités dans une
version intégrale bénéficiant d’un privilège papal, très vite le Vatican en-
treprit de détruire l’édition du Talmud, qu’elle avait antérieurement autori-
sée, en raison du scandale que provoquait la lecture du livre. En effet, le
9 septembre 1553, date du nouvel an juif, tous les exemplaires du Talmud
furent brûlés à Rome, et la censure pontificale fut appliquée très sévère-
ment à la suite de la bulle Cum sicut nuper de Jules III en 1554, le Talmud
étant mis en 1559 à l’Index Expurgatorius ; le pape Pie IV en 1565 ordon-
nant même, mesure extrême, que le Talmud soit privé de son propre nom,
ce qui entraîna la diffusion de l’appellation « Sha » pour le désigner.
Par ailleurs au XVIe siècle, Sixte de Sienne, un juif converti, a reco-
pié dans un livre les passages du Talmud qui lui paraissaient condam-
nables : Ghémara de Babylone traité 1, chapitre 4 : « Nous ordonnons que
tout juif, trois fois par jour, maudisse tout le peuple chrétien, et prie Dieu
de le confondre et de l’exterminer avec ses rois et ses princes. Et que
surtout les prêtres des juifs fassent trois fois le jour, dans la synagogue,
cette prière en haine de Jésus de Nazareth (…) Dieu a prescrit aux juifs
de s’approprier par n’importe quel moyen, soit par ruse, soit par violence,
soit par usure, soit par vol, les biens des chrétiens. Les Etats chrétiens
sont plus exécrables que les Etats des autres peuples, et c’est un moindre
péché d’être au service d’un prince païen que d’un prince chrétien. Les
églises des chrétiens sont des maisons de perdition et des lieux d’idolâtrie
que les juifs sont tenus de détruire. »
9
C’est donc sur une édition du Talmud « expurgé », sur laquelle se
baseront la plupart des éditions ultérieures, édition publiée à Bâle de 1578
à 1581, dont est entièrement absente le scandaleux traité Avoda Zara
(Idolâtrie) portant sur les non-juifs, ainsi que les passages les plus violem-
ment anti-chrétiens ; certaines phrases ou mots ayant été totalement mo-
difiés pour ne pas susciter la colère de l’Eglise. Ainsi, les mots Min et Mi-
nim (identifiés aux judéo-chrétiens), Akoum (littéralement adorateur des
étoiles mais interprété comme acronyme d’adorateurs du Christ et de Ma-
rie) etc, furent remplacés par celui, plus « neutre » de « Sadducéen ». Par
ailleurs, il est tout à fait clair que le nom de Yeshou (‫ )ישו‬désignant Jésus,
apparaît positivement dans le texte non censuré du Talmud de Babylone,
mais la bulle papale rédigée en 1554 a entraîné le retrait de toutes réfé-
rences à Yeshou.

Toutefois on constate sans peine que les manuscrits du Talmud de


Munich de 1342, de Paris et du Séminaire Théologique Juif, font appa-
raître le terme Ha-Notzri, alors que ce terme fut ajouté à la mention de
Yeshu (Sanhédrin 107b, Sotah 47a, Sanhédrin 43a, Sanhédrin 103a et
Avodah Zarah 16b-17a), Notzri étant utilisé en hébreu pour désigner les
chrétiens Yeshou Ha-Notzri (Jésus le Nazaréen).

Devant ces évidences, les arguties de Yehiel de Paris, dès le XIIIe


siècle (identiques à celles que l’on délivre aujourd’hui de partout), qui sou-
tint pour défendre le Talmud que le Yeshou de la littérature rabbinique
était un disciple de Yehoshoua ben Perahya, antérieur à Jésus de Naza-
reth de plusieurs siècles et ne doit donc pas être confondu avec lui, ne
tient pas un instant, d’autant que l’épithète Ha-Notzri, compris comme «
Nazaréen » dans les occurrences du Talmud, qui incitait à l’apostasie en
faisant des miracles et ayant eu une mort violente, se rapportent incontes-
tablement à Jésus-Christ.

10
IV - Les blasphèmes talmudiques de Maïmonide
Moïse Maïmonide mentionne Jésus à la manière du Talmud, sou-
haitant que « ses os soient réduits en poussière » !

L’exemple le plus démonstratif de ceci nous est donné chez Moïse


Maïmonide (1138-1204), où le terme Yeshou Ha-Notzri (Jésus le Naza-
réen) utilisé dans le Talmud, se trouve dans son commentaire de la Mish-
neh Torah version non censurée (1180), qui se veut la codification défini-
tive de la loi juive, écrivant en se référant à Jésus :

« Jésus le Nazaréen qui imaginait qu’il serait Messie et qui a été tué
par la cour, […] celui-ci a amené les nations à détruire Israël par le glaive
et a dispersé et humilié son peuple, il a changé la Torah, et a fait que la
majorité du monde se trompe en adorant une divinité à côté de Dieu. »
(Mishné Torah, Hilkhot Melakhim 11:4).

Dans un autre texte, Maïmonide mentionne Jésus de nouveau à la


manière du Talmud comme modèle de ceux qui ont tenté de détruire le
judaïsme par les controverses :

« Le premier à avoir adopté ce plan de détruire toute trace de la


nation juive a été Jésus le Nazaréen, que ses os soient réduits en pous-
sière… Il a incité les gens à croire qu’il était le prophète envoyé par Dieu
pour clarifier les ambiguïtés dans la Torah, et qu’il était le Messie qui était
prédit par chacun des prophètes. Il a interprété la Torah et ses préceptes
de telle façon que cela conduisait à leur suppression totale, à l’abolition
de tous les commandements et à la violation de tous les interdits. Les
sages, que leur mémoire soit bénie, ayant été au courant de ses plans
avant que sa réputation ne se répande parmi notre peuple, lui infligèrent
une punition. Daniel avait déjà fait allusion à lui quand il présageait la dé-
chéance d’un méchant et d’un hérétique parmi les Juifs qui tentera de dé-
truire la Loi, se proclamera prophète, prétendra faire des miracles et affir-
mera être le Messie, comme il est écrit, "Et les fils sans loi parmi ton peuple
se révolteront pour accomplir la vision, mais ils succomberont" (Daniel
11:14).» (Iggeret Teiman, Épître au Yémen, 1172)

Maïmonide mentionne de nouveau Jésus dans un autre passage : «


Vous savez que les chrétiens ont imputé faussement des pouvoirs mer-
veilleux à Jésus le Nazaréen, que ses os soient réduits en poussière, tels
11
que la résurrection des morts et d’autres miracles. Même si nous les
avions admis en raison de leurs arguments, nous ne pouvions pas être
convaincus par leurs raisonnements que Jésus est le Messie. Car nous
pouvons apporter un millier de preuves des Écritures, qu’il ne peut pas
l’être même de leur point de vue. En effet, qui désirerait s’attribuer injus-
tement ce rang sans vouloir faire de lui-même un objet de dérision ? »
(Épître au Yémen, 1172)

12
V - La révélation du Talmud
L’abbé August Rohling dans le « Juif talmudique » révéla les pas-
sages censurés du Talmud. Il faudra donc attendre le XIXe siècle, même
si l’étude du Talmud en Pologne conduisit à une impression de l’édition
complète avec restauration du texte original réalisée à Cracovie entre
1602 et 1605 (c’est dans un même esprit que certains demandèrent un
peu plus tard qu’une traduction soit réalisée et à Vienne, demande qui fut
même portée devant les corps législatifs), pour qu’un prêtre, l’abbé Chia-
rini (1789-1832), professeur de langues orientales à l’université de Varso-
vie publie à Paris, en 1830, une volumineuse Théorie du Judaïsme, dans
laquelle il fit figurer une traduction partielle du Talmud dans laquelle il ré-
véla les passages qui avaient été expurgés et censurés, Talmud de Baby-
lone traduit en langue Française et complété par le Talmud de Jérusalem,
qu’il fit d’ailleurs éditer en 1831. Ce fut ensuite un autre ecclésiastique,
l’abbé August Rohling (1839-1931), docteur en théologie, professeur
d’exégèse à l’Université de Münster, chanoine de la collégiale de Prague,
s’appuyant sur les travaux de Johann Andreas Eisenmenger (1654-1704),
professeur d’hébreu à Heidelberg, qui se pencha avec attention sur le su-
jet en utilisant des versions non expurgées du Talmud, et fit paraître en
1871 un ouvrage en Allemagne : Der Talmudjude (Le Juif talmudique),
publié en France en 1888 par les soins de l’abbé Maximilien de Lamarque,
docteur en théologie, dans lequel il citait de très nombreux passages cen-
surés et expurgés du Talmud.

De nombreuses citations de Pranaitis dans le « Talmud démasqué


», sont identiques aux passages du Talmud condamnés par les papes.
C’est à une initiative comparable que se consacra Justin Bonaventure Pra-
naitis (1861-1917), prêtre catholique lituanien, professeur d’hébreu à l’Uni-
versité ecclésiastique impériale de Saint-Pétersbourg, qui édita un livre
qui aura un immense succès « Le Talmud démasqué », publié en latin en
1892 avec l’imprimatur de Mgr Kozlowski, l’archevêque métropolite de Mo-
guilev, sous le titre : Christianus in Talmude Iudaeorum, — sive Ribbinicae
doctrinae de christianis secreta ( « Le chrétien dans le Talmud des Juifs –
ou les doctrines rabbiniques secrètes au sujet du chrétien »), ouvrage qui
fit ensuite l’objet d’une polémique au prétexte que le religieux aurait utilisé
des versions fautives du Talmud pour rédiger son livre. L’ouvrage, qui se
présente comme une enquête approfondie sur les enseignements juifs an-
tichrétiens, cherche à révéler ce que le Talmud contient comme passages
blasphématoires, haineux et violents à l’encontre de la religion chrétienne,
13
offrant en regard de chacune des citations latines la version hébraïque
accompagnée des références contextuelles précises afin, comme le pré-
cise Pranaitis : « d’écarter l’accusation d’avoir utilisé une version falsifiée
du Talmud ou de ne pas l’avoir traduit et interprété correctement, comme
cela est généralement le cas lorsque l’on entreprend de révéler les secrets
des enseignements juifs. » Les rabbins décidèrent officiellement de retran-
cher les passages antichrétiens du Talmud, tout en transmettant cet en-
seignement blasphématoire oralement.

Il y a donc sur ce point, puisqu’une polémique surgira au sujet de


l’authenticité des citations, plusieurs choses à considérer. Tout d’abord
Pranaitis travaillait dans un pays orthodoxe, hors les orthodoxes n’avaient
pas obligé les Juifs à épurer leur Talmud comme l’avaient fait les autorités
catholiques lui donnant d’accéder à des textes inconnus des catholiques.
Par ailleurs il utilisa des extraits de l’Abhodah Zarah Tosepoth, qui ne fait
pas partie du Talmud en effet, mais est cependant un recueil de commen-
taires du Talmud issu de ses enseignements, que l’on peut donc admettre,
non comme étant le Talmud lui-même, mais au titre des ouvrages talmu-
diques. On voit donc que les reproches peuvent apparaître comme des
arguties afin de disculper le Talmud et les ouvrages s’y rattachant, des
blasphèmes antichrétiens qu’ils contiennent, arguant d’une absence de
référence des extraits cités de Pranaitis dans les éditions du Talmud, sans
préciser que lors d’un Synode tenu en Pologne en 1631, les rabbins de
nombreux pays décidèrent officiellement de retrancher les passages anti-
chrétiens afin d’éviter des persécutions, quoique un « O » ou le mot «
haiah » (était) furent inscrits à l’endroit des passages censurés afin de les
marquer (les noms faisant référence aux chrétiens étaient également rem-
placés par des mots se rapportant à des peuples païens disparus depuis
longtemps donnant aux Juifs de prétendre que ces passages ne visaient
pas les chrétiens mais des idolâtres polythéistes), permettant à ce que ces
textes soient enseignés oralement mais échappent aux condamnations,
prudence qui n’était pas celle des rabbins médiévaux et des versions du
Talmud qu’ils firent éditer et auxquelles put accéder Pranaitis.

Voilà pourquoi si d’aucuns n’hésitent pas à soutenir un peu rapide-


ment que le « Talmud démasqué » relèverait de la pure propagande et
serait un faux contenant des citations imaginaires, l’assimilant aux Proto-
coles des sages de Sion, ce qui est pourtant très troublant c’est que les
citations produites par Pranaitis sont d’une nature absolument identique à
celle des passages condamnés par les Papes lorsque les versions non

14
expurgées du Talmud furent examinées par les théologiens catholiques,
ce qui entraîna la promulgation des multiples bulles pontificales qui jalon-
nent l’histoire de l’Eglise du XIIIe siècle à nos jours. On trouve ainsi, pour
prendre un exemple entre cent mais assez significatif, positivement dans
le Talmud l’affirmation que les non juifs (goyim) ne sont pas des hommes
dans Keritot 6b, affirmation réitérée dans Yebamot 61a :

« Vous [juifs] êtes nommés "homme" [adam], et les nations du


monde [goyim] ne sont pas nommées "homme"», ce que Pranaitis repro-
duit avec exactitude : « Vous [les Juifs], vous êtes qualifiés d’hommes,
mais les goyim ne sont pas qualifié de la sorte. » (Cf. Kerithot 6b in Le
Talmud démasqué, Imprimerie Impériale des Sciences, 1892, p. 28).

Il en va de même pour les mentions absolument blasphématoires


concernant la « pendaison » de Jésus : « En ces jours-là, il y eut de nom-
breux combats et de grandes dissensions en Judée entre les Pharisiens
et les « brigands » en Israël qui suivirent Jeshu’ah ben Pandera le Naza-
réen qui fit de grands miracles en Israël jusqu’à ce que les Pharisiens
l’aient vaincu et le pendirent sur un poteau. » (Sanhedrin 67a, MS Hébr.
1280, fol. 123 v, BNF).

« La veille de Pâques, on a pendu5 Yéshu (Jésus). Pendant les 40


jours qui précédèrent l’exécution, un héraut allait en criant : « Il sera lapidé

5
La première mention de la pendaison de Jésus dans le Talmud se
trouve dans Sanhédrin 43a, après la Mishna ‫’והכרוזיוצאלפניווגו‬. Les 2 Ba-
raïtot qui lui font suite sont censurées mais sont dans les ‫חסרונות‬. Il est
aisé de le vérifier dans le seul manuscrit complet du Talmud, d’origine
française, conservé à la Staatsbibliothek de Munich, [BSB Cod .hebr. 95],
daté, d’après le colophon, de 1342. Par ailleurs, les 35 chefs d’accusations
retenus contre le Talmud lors du procès de 1240 ont été mis par écrit dans
l’ouvrage Extractiones de Talmud, ce qui permet de connaitre certains
passages condamnés par Innocent IV :
X. « Parmi eux (les scribes et les docteurs du Talmud) il y en a qui
ont donné pour loi : "Le meilleur des chrétiens, tue-le"! » : (… ) « Rabbi
Siméon dit : "Le meilleur des chrétiens, tue-le; le meilleur des serpents,
écrase-lui la tête"… Le meilleur des chrétiens peut donc être tué comme
un méchant. »
XII. « Un chrétien peut être trompé, par ruse ou artifice, sans pé-
ché. » : « Ceci se lit dans l’Ordre Yeschuot, traité Baba-Kamma (fol. 38,
15
parce qu’il a pratiqué la magie et trompé et égaré Israël. Si quiconque a
quelque chose à dire en sa faveur qu’il s’avance en son nom. » Mais on
ne trouva personne qui témoignât en sa faveur et on le pendit la veille de
Pâques. » (Sanhédrin 43 a).6

a), chapitre Schor, (…) ; dans la Mischna (…). Par là les docteurs prouvent
et disent que Dieu a livré aux juifs tous les biens des autres nations. »
XXX. « Trois fois par jour, dans la prière qu’ils regardent comme la
plus importante, ils maudissent les ministres de l’Eglise, les Rois, et tous
les autres, mêmes juifs, qui sont les ennemis des juifs. » (Cf. Le Brûlement
du Talmud à Paris (1242-1244), Nouvelle Gallia Judaïca, Cerf, 1999).
6
Si de nombreux rabbins et commentateurs modernes soutiennent,
par évidente mauvaise foi, qu’il n’y a pas de relation dans le Talmud entre
Yeshou et Jésus, Juda Halevi et Moïse Nahmanide, érudits hébreux, con-
sidèrent et affirment au contraire que ces références à Yeshou se rappor-
tent positivement et sans aucune contestation possible, à Jésus Christ.
On veut nous convaincre que dans la littérature midrashique classique,
écrite entre 200 et 700 de notre ère, qu’une variante de Yeshoua, pourrait
être un acronyme pour l’expression hébraïque “yemach shemo vezichro”
(‫ « )ימחשמווזכרו‬Que son nom et sa mémoire soient effacés ». Mais les
nombreuses mentions d’Edom,faisant référence à la chrétienté dans le
Talmud, et qui mettent en relation Yeshou (qui n’est pas un terme géné-
rique pour désigner les “séducteurs” qui attirent les Juifs hors du ju-
daïsme), et dont la « mère » aurait été « violée par un général grec » (sic),
et de ben Stada au nom duquel sont rapportées des halakhothérétiques,
sont bien des désignations identifiant clairement Jésus de façon blasphé-
matoire : « Jésus a séduit les Israélites, il les a corrompus et il a détruit
Israël.» (Sanhedrin 107b) ; « Un Nazaréen est quelqu’un qui suit les en-
seignements fallacieux de cet homme [Jésus] qui leur a enseigné à célé-
brer le premier jour du Shabbath. » (Abhodah Zarah 6a).
16
VI Conclusion
On ne peut supposer que l’Eglise par l’autorité des papes, ait jugé
nécessaire de condamner le Talmud et ses blasphèmes, sans avoir de
véritables motifs pour le faire.

C’est pourquoi, sachant la constante attitude de réprobation scan-


dalisée de Rome à l’égard de l’enseignement talmudique, il est évident
que l’on ne peut soupçonner un seul instant que l’Eglise, par la voix des
papes et de leurs déclarations officielles les plus solennelles, se soit trom-
pée pendant plusieurs siècles, et ait jugé nécessaire de délivrer un ensei-
gnement formel de dénonciation de l’impiété judaïque assortie de sa con-
damnation rigoureuse demandant à ce que le Talmud, chose exception-
nelle pour un livre, soit systématiquement détruit par le feu, retiré des Etats
chrétiens, inscrit pour ne jamais plus en sortir à l’Index Expurgatorius.
L’accusation de mensonge n’est également pas crédible puisque la pa-
pauté n’avait rien à en tirer, contrairement à d’autres usages de faux
comme la donation de Constantin par exemple.

Ainsi un patriarche, Pie IV, ira même jusqu’à ordonner que ce livre
soit privé pour toujours de son nom « tant il contenait des horreurs inqua-
lifiables sur Christ et sa Sainte Mère ». Jules III dans Cum sicut nuper
ordonne que le Talmud qui « mentionne Jésus Christ ignominieusement »
soient damnés et brûlés, alors qu’Innocent IV dans Impia Judaeorum per-
fidia, exhortait saint Louis à le brûler publiquement. Ce dernier a organisé
une disputatio en faveur des juifs mais force est de constater que malgré
la volonté du roi de les protéger, il dû se rendre à l’évidence et purger la
surface de la terre de ces livres démoniaques.

En effet, la foi chrétienne peut être mise en danger par les erreurs
judaïques et talmudiques ainsi que le soulignait déjà Nicolas IV dans sa
bulle Turbato corde (5 septembre 1288), ce qu’il est aisé de constater en
une période où, à la faveur d’une coupable désorientation, un philo-ju-
daïsme absolument contraire à la sainte doctrine s’est introduit dans
l’Eglise :

« …De très nombreux chrétiens, reniant la Foi catholique, l’échan-


gent pour le rite judaïque, chose digne de condamnation… Contre tous
ceux qui ont commis pareille chose, comme contre les hérétiques et aussi

17
contre ceux qui les favorisent, les protègent ou les défendent, procédez
avec acharnement. » (Turbato corde, 1288).

Certains des passages que nous avons vu sont en outre confirmé


dans l’enquête du crime rituel juif de Damas 1840 ou certains juifs avouent
que ces passages sont des enseignements talmudiques.7

7
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3412895p.image
18
VII Citations du Talmud démasqué
Talmud, Ereget Rashi Erod.22 30 : Un goy est comme un chien. Les Ecri-
tures nous apprennent qu'un chien mérite plus de respect qu'un goy.

Talmud, Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés "hommes",
pas les goyim.

Talmud, Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs goyim morts,
comme les vaches, ou les ânes perdus. Il ne faut pas montrer de sympa-
thie pour le juif qui les emploie.

Talmud, Jalkut Rubeni Gadol 12b: Les âmes des goyim proviennent d'es-
prits impurs qu'on nomme porcs.

Talmud, Kerithuth 6b p. 78 : Les juifs sont des humains, non les goyim, ce
sont des animaux.

Talmud, Kethuboth 110b : Pour l'interprétation d'un psaume un rabbin dit


: "le psalmiste compare les goyim à des bêtes impures ".

Talmud, Orach Chaiim 225, 10 : Les goyim et les animaux sont utilisés de
manière équivalente dans une comparaison.

Talmud, Schene Luchoth Haberith p. 250b : Bien qu'un goy ait la même
apparence qu'un juif, il se comportent envers les juifs de la même manière
qu'un singe envers un homme.

Talmud, Tosaphot, Jebamoth 94b: Lorsque vous mangez en présence


d'un goy c'est comme ci vous mangiez avec un chien.

Talmud, Yebamoth 98a : Tous les enfants des goyims sont des animaux

Talmud, Zohar II 64b : Les goyim sont idolâtres, ils sont comparés aux
vaches et aux ânes.

Talmud, Orach Chaiim 57, 6a : Il ne faut pas avoir plus de compassion


pour les goyim que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins.

19
Talmud, Babha Bathra 54b : La propriété d'un goy appartient au premier
juif qui la réclame.

Talmud, Babha Kama 113a : Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si


c'est pour tromper ou faire condamner un goy.

Talmud, Babha Kama 113b: Le nom de Dieu n'est pas profané quand le
mensonge a été fait à un goy.

Talmud, Baba Mezia 24a: si un juif trouve un objet appartenant à un goyim,


il n'est pas tenu de le lui rendre

Talmud, Choschen Ham 183, 7: Des juifs qui trompent un goy doivent se
partager le bénéfice équitablement.

Talmud, Abhodah Zarah 54a: L'usure peut être pratiquée sur les goyim,
ou sur les apostats.

Talmud, Choschen Ham 226, 1: Les juifs peuvent garder sans s'en inquié-
ter les affaires perdues par un goy.

Talmud, Iore Dea 157, 2 hagah: Si un juif a la possibilité de tromper un


goy, il peut le faire.

Talmud - Babha Kama 113a: Les incroyants ne bénéficient pas de la loi et


Dieu à mis leur argent à la disposition d'Israël.

Talmud, Schabbouth Hag. 6d: Les juifs peuvent jurer faussement en utili-
sant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.

Talmud, Abhodah Zarah 4b: Vous pouvez tuer un goy avec vos propres
mains.

Talmud, Abhodah Zarah 26b T. : Même le meilleur des goy devrait être
abattu.

Talmud, Choschen Ham 425, 5 : Il est permis de tuer indirectement un


goy, par exemple, si quelqu'un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un
puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l'échelle.

20
Talmud, Bammidber Raba c 21 & Jalkut 772: Tout juif qui verse le sang
de goyim revient à la même chose qu'une offrande à Dieu.

Talmud, Hilkkoth X, 1 : il ne faut pas sauver les goyim en danger de mort.

Talmud, Hilkhoth X, 2 : Les juifs baptisés doivent être mis à mort.

Talmud, Ialkut Simoni 245c : Répandre le sang des impies est un sacrifice
agréable à Dieu.

Talmud, Makkoth 7b : On est innocent du meurtre involontaire d'un Israé-


lite, si l'intention était de tuer un goy ; tout comme on est innocent du
meurtre accidentel d'un homme, quand l'intention était d'abattre un animal.

Talmud, Peaschim 25a : Il faut éviter l'aide médical des goyim.

Talmud, Pesachim 49b : Il est permis de décapiter les goyim le jour de


l'expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat.
Rabbin Eliezer : "Il est permis de trancher la tête d'un idiot, un membre du
peuple de la Terre (Pranaitis), c'est-à-dire un animal charnel, un Chrétien,
le jour de l'expiation des péchés et même si ce jour tombe un jour de sab-
bat ". Ses disciples répondirent : " Rabbi ! Vous devriez plutôt dire "de
sacrifier" un goy. " Mais il répliqua : " En aucune façon ! Car lors d'un
sacrifice, il est nécessaire de faire une prière pour demander à Dieu de
l'agréer, alors qu'il n'est pas nécessaire de prier quand tu décapites quel-
qu'un."

Talmud, Sanhedrin 57a: si un juif tue un goy, il ne sera pas condamné à


mort. Ce qu'un juif vole d'un goy, il peut le garder.

Talmud, Sanhedrin 58b : Si un goy frappe un juif, il faut le tuer, car c'est
comme frapper Dieu.

Talmud, Sanhedrin 59a : Les goyim qui chercheraient à découvrir les se-
crets de la Loi d'Israël commettent un crime qui réclame la peine de mort.

Talmud, Sepher Ou Israël 177b : Si un juif tue un goy, ce n'est pas un


péché.

21
Talmud, Zohar I, 25a : Les goyim doivent être exterminés car ce sont des
idolâtres.

Talmud, Zohar I, 28b, 39a : Les meilleures places dans les Cieux sont
pour ceux qui tuent les idolâtres.

Talmud, Zohar II, 64b : Le taux de naissance des goyim doit être diminué
matériellement.

Talmud, Sepher Ikkarim III c25: Il est permis de prendre le corps et la vie
d'un goy.

Talmud, Zohar II, 43a : L'extermination des goyim est un sacrifice agréable
à Dieu.

Talmud, Abhodah Zarah 22b : Les goyim sont impurs parce qu'ils n'étaient
pas là au Mont Sinaï.

Talmud, Abhodah Zarah 35b : toutes les filles des incroyants sont niddah
(sales, impures) depuis leur naissance.

Talmud - Iore Dea 198, 48 : Les femmes Juives sont contaminées par la
simple rencontre de goyim.

Talmud, Schabbath 145b : Les goyim sont impurs parce qu'ils mangent de
la nourriture impure.

Talmud, Zohar I, 46b, 47a : L'âme des goyim est d'une origine théologique
impure.

Talmud, Zohar I, 131a : Les goyim souillent le monde. Le juif est un être
supérieur

Talmud, Hilkhoth goy X, 1 : Ne passez aucun accord avec un goy, ne ma-


nifestez jamais de pitié envers un goy. Il ne faut pas avoir pitié des goyim
car il est dit: "tu ne jetteras pas sur eux un regard de pitié".

Talmud, Chagigah 15b : Un juif est toujours considéré comme bon, en


dépit des péchés qu'il peut commettre. C'est toujours sa coquille qui se
salit, jamais son fond propre.

22
Talmud, Choschen Ham 26, 1: Un juif ne doit pas être poursuivi devant un
tribunal goy, par un juge goy, ou par des lois non-juives.

Talmud, Chullin 91b: Les juifs possèdent la dignité dont même un ange ne
dispose pas.

Talmud, Kallah 1b, 18: Le juif peut se parjurer la conscience claire.

Talmud, Sanhédrin 52b: L'adultère n'est pas défendu avec la femme d'un
goy, parce que Moïse n'a interdit que l'adultère avec "la femme de ton
prochain", et les goy s ne sont pas des prochains.

Talmud, Choschen Ham 34, 19: Les goyim et les serviteurs ne peuvent
pas témoigner lors d'un procès.

Talmud, Abhodah Zarah 20a: Ne jamais faire la louange d'un goy, de peur
qu'il ne la croit.

Talmud, Abhodah Zarah 22a: Ne pas fréquenter les goyim; ils versent le
sang.

Talmud, Abhodah Zarah 25b: Se méfier des goyim quand on voyage avec
eux à l'étranger.

Talmud, Abhodah Zarah 26a: Ne pas recourir à une sage femme non-
juive, qui une fois seule pourrait tuer le bébé. Même si elle était surveillée,
elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse le voir.

Talmud, Abhodah Zorah 26b: Ceux qui voudraient changer de religion doi-
vent être jetés au fond d'un puits, et oubliés.

Talmud, Abhodah Zarah 35b: Ne pas boire du lait tiré par un goy.

Talmud, Choschen Ham 156, 5: Les clients goyim possédés par un juif,
ne doivent pas être démarchés par un autre juif.

Talmud, Choschen Ham 386, 10: Celui qui voudrait avouer les secrets
d'Israël aux goyim, doit être tué avant même qu'il ne leur dise quoi que ce
soit.

23
Talmud, Choschen Ham 388, 15: Il faut tuer ceux qui donneraient l'argent
des Israélites à des goyim.

Talmud, Eben Haezar 44, 8: Sont nuls, les mariages entre les goyim et les
juifs.

Talmud, Emek Haschanach 17a: L'âme des goyim vient de la mort et de


l'ombre de la mort.

Talmud, Hilkhoth Maakhaloth: Les goyim sont des idolâtres, il ne faut pas
les fréquenter.

Talmud, Hilkhoth X, 6: On peut aider les goyim dans le besoin, si cela nous
évite des ennuis par la suite.

Talmud, Hilkhoth X, 7: Où les juifs sont fortement installés, il ne faut plus


tolérer la présence des idolâtres.

Talmud, Iore Dea 81, 7 Ha: Un enfant ne doit pas être allaité par une nour-
rice non-juive, car son lait lui donnera une nature maléfique.

Talmud, Iore Dea 120, 1: La vaisselle acheté à des goyim doit être jetée.

Talmud, Iore Dea 146, 15: Leurs idoles [c'est à dire les objets du culte]
doivent être détruites, ou appelées par des noms méprisants.

Talmud, Iore Dea 147, 5: Il faut railler les objets du culte goy, il est interdit
de souhaiter du bien à un goy.

Talmud, Iore Dea 148, 12 H: On peut prétendre se réjouir avec les goyim
pendant leurs fêtes, si cela permet de cacher notre haine.

Talmud, Iore Dea 151, 14: Il est interdit de concourir à la gloire d'un goy.

Talmud, Iore Dea 151, 11: Il est interdit de faire un présent à un goy, cela
encourage l'amitié.

Talmud, Iore Dea 153, 1: Les nourrices non-juives conduisent les enfants
à l'hérésie.

24
Talmud, Iore Dea 154, 2: Il est interdit d'enseigner un métier à un goy.

Talmud, Iore Dea 159, 1: Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de


l'argent à un goy avec intérêt. Toutefois, certains des anciens n'ont pas
reconnu ce droit dans des cas de vie ou de mort. Aujourd'hui, ce droit est
accordé dans n'importe quelle circonstance.

Talmud, Orach Chaiim 20, 2 : Les goyim se déguisent pour tuer les juifs.

Talmud, Rosch Haschanach 17a : L'âme d'un goy descend en enfer pour
toutes les générations.

Talmud, Sanhedrin 57a: Un juif n'est pas obligé de payer le salaire rede-
vable à un goy.

Talmud, Sanhedrin 90a: Ceux qui lisent le nouveau testament (chrétiens)


n'auront pas de place dans le monde à venir.

Talmud, Shabbath 116a (p. 569): Les juifs doivent détruire les livres des
goyim (nouveau testament).

Talmud, Zohar I, 25b: Ceux qui font du bien à un goy, ne se relèveront pas
des morts.

Talmud, Zohar I, 28b: Les goyim sont les enfants du serpent de la Genèse.

Talmud, Zohar I, 160a: Les juifs doivent en permanence tenter de tromper


les goyim.

Talmud, Zohar I, 219b: Les princes goyim sont des idolâtres, ils doivent
mourir.

Talmud, Zohar II, 19a: La captivité des juifs prendra fin lorsque les princes
goyim seront morts.

Talmud, Ereget Rashi Erod.22 30 Un Non-juif est comme un chien. Les


écritures nous apprennent qu’un chien mérite plus de respect qu’un non-
juif.

25
Talmud, Iebhammoth 61a : Les juifs ont droit à être appelés « hommes »,
pas les Non-juifs.

Talmud, Iore Dea 377, 1 : Il faut remplacer les serviteurs Non-juif morts,
comme les vaches, ou les ânes perdus et il ne faut pas montrer de sym-
pathie pour le juif qui les emploie.

Talmud, Jalkut Rubeni Gadol 12b: Les âmes des non-juifs proviennent
d’esprits impurs que l’on nomme porcs.

Talmud, Kerithuth 6b p. 78 : Les juifs sont des humains, non les Non-juifs,
ce sont des animaux.

Talmud, Kethuboth 110b : Pour l’interprétation d’un psaume un rabbin dit


: « le psalmiste compare les Non-juifs à des bêtes impures ».

Talmud, Orach Chaiim 225, 10 : Les Non-juifs et les animaux sont utilisés
de manière équivalente dans une comparaison.

Talmud, Schene Luchoth Haberith p. 250b : Même qu’un non-juif à la


même apparence qu’un juif, ils se comportent envers les juifs de la même
manière qu’un singe envers un homme.

Talmud, Tosaphot, Jebamoth 94b: Lorsque vous mangez en présence


d’un non-juif c’est comme ci vous mangiez avec un chien.

Talmud, Yebamoth 98a. Tous les enfants des goyims sont des animaux

Talmud, Zohar II 64b : Les non-juifs sont idolâtres, ils sont comparés aux
vaches et aux ânes.

Talmud, Orach Chaiim 57, 6a : Il ne faut pas avoir plus de compassion


pour les non-juifs que pour les cochons, quand ils sont malades des intes-
tins.

Talmud, Babha Bathra 54b : La propriété d’un Non-juif appartient au pre-


mier juif qui la réclame.

Talmud, Babha Kama 113a : Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si


c’est pour tromper ou faire condamner un Non-juif.

26
Talmud, Babha Kama 113b: Le nom de dieu n’est pas profané quand le
mensonge a été fait à un Non-juif.

Talmud, Baba Mezia 24a: si un juif trouve un objet appartenant à un m


goyim, il n’est pas tenu de le lui rendre

Talmud, Choschen Ham 183, 7: Des juifs qui trompent un Non-juif, doivent
se partager le bénéfice équitablement.

Talmud, Abhodah Zarah 54a: L’usure peut être pratiquée sur les Non-juifs,
ou sur les apostats.

Talmud, Choschen Ham 226, 1: Les juifs peuvent garder sans s’en inquié-
ter les affaires perdues par un Non-juif.

Talmud, Iore Dea 157, 2 hagah: si un juif a la possibilité de tromper un


non-juif, il peut le faire.

Talmud - Babha Kama 113a: les incroyants ne bénéficient pas de la loi et


Dieu à mis leur argent à la disposition d’Israël.

Talmud, Schabbouth Hag. 6d: Les juifs peuvent jurer faussement en utili-
sant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge.

Talmud, Abhodah Zarah 4b: vous pouvez tuer un incroyant avec vos
propres mains.

Talmud, Abhodah Zarah 26b T. : Même le meilleur des Goïm devrait être
abattu.

Talmud, Choschen Ham 425, 5 : Il est permis de tuer indirectement un


Non-juif, par exemple, si quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe
dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l’échelle.

Talmud, Bammidber Raba c 21 & Jalkut 772: tout juif qui verse le sang
d’incroyants (non-juifs) revient à la même chose qu’une offrande à dieu.

Talmud, Hilkkoth X, 1 : il ne faut pas sauver les Non-juifs en danger de


mort.

27
Talmud, Hilkhoth X, 2 : Les juifs baptisés doivent être mis à mort.

Talmud, Ialkut Simoni 245c : Répandre le sang des impies est un sacrifice
agréable à dieu.

Talmud, Iore Dea 158, 1 : En ce qui concerne les Non-juifs qui ne sont pas
des ennemis, un juif ne doit néanmoins pas intervenir pour les prévenir
d’une menace mortelle. « Un Akum qui n’est pas notre ennemi ne doit pas
être tué directement, toutefois, il ne doit pas être protégé d’un danger de
mort. Par exemple, si tu en vois un tomber dans la mer, ne le tire pas de
l’eau, à moins qu’il ne te promette de te donner de l’argent ».

Talmud, Makkoth 7b : On est innocent du meurtre involontaire d’un Israé-


lite, si l’intention était de tuer un koutim (non-juif) ; tout comme on est in-
nocent du meurtre accidentel d’un homme, quand l’intention était d’abattre
un animal.

Talmud, Peaschim 25a : Il faut éviter l’aide médical des idolâtres sous en-
tendu des Non-juifs.

Talmud, Pesachim 49b : Il est permit de décapiter les Goïm (non-juifs) le


jour de l’expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de
sabbat. Rabbin Eliezer : ” Il est permis de trancher la tête d’un idiot, un
membre du peuple de la Terre (Pranaitis), c’est-à-dire un animal charnel,
un Chrétien, le jour de l’expiation des péchés et même si ce jour tombe un
jour de sabbat “. Ses disciples répondirent : ” Rabbi Vous devriez plutôt
dire ‘de sacrifier’ un Goï. ” Mais il répliqua : ” En aucune façon ! Car lors
d’un sacrifice, il est nécessaire de faire une prière pour demander à dieu
de l’agréer, alors qu’il n’il n’est pas nécessaire de prier quand tu décapites
quelqu’un. “

Talmud, Sanhedrin 57a: si un juif tue un non-juif, il ne sera pas condamné


à mort. Ce qu’un juif vole d’un non-juif, il peut le garder.

Talmud, Sanhedrin 58b : Si un goyim (non-juif) frappe un juif, il faut le tuer,


car c’est comme frapper dieu.

Talmud, Sanhedrin 59a : Les Goïm qui chercheraient à découvrir les se-
crets de la Loi d’Israël, commettent un crime qui réclame la peine de mort.

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Talmud, Sepher Ou Israël 177b : Si un juif tue un Non-juif, ce n’est pas un
péché.

Talmud, Zohar I, 25a : Les Non-juifs doivent être exterminés car ce sont
des idolâtres.

Talmud, Zohar I, 28b, 39a : Les meilleures places dans les Cieux sont
pour ceux qui tuent les idolâtres.

Talmud, Zohar II, 64b : Le taux de naissance des Non-juifs doit être dimi-
nué matériellement.

Talmud, Sepher Ikkarim III c25: Il est permis de prendre le corps et la vie
d’un non-juif.

Talmud, Zohar II, 43a : L’extermination des Non-juifs est un sacrifice


agréable à Dieu.

Talmud, Abhodah Zarah 22b : Les Non-juifs sont impurs parce qu’ils
n’étaient pas là au Mont Sinaï.

Talmud, Abhodah Zarah 35b : toutes les filles des incroyants sont niddah
(sales, impures) depuis leur naissance.

Talmud - Iore Dea 198, 48 : Les femmes Juives sont contaminées par la
simple rencontre de Non-juifs.

Talmud, Schabbath 145b : Les Non-juifs sont impurs parce qu’ils mangent
de la nourriture impure.

Talmud, Zohar I, 46b, 47a : L’âme des goyims est d’une origine théolo-
gique impure.

Talmud, Zohar I, 131a : Les idolâtres (non-juifs) souillent le monde. Le juif


est un être supérieur

Talmud, Hilkhoth Non-juif X, 1 : Ne passez aucun accord avec un Non-juif,


l et ne jamais manifester de pitié envers un Non-juif. Il ne faut pas avoir
pitié des non-juifs car il est dit: “tu ne jetteras pas sur eux un regard de
pitié”

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Talmud, Chagigah 15b : Un juif est toujours considéré comme bon, en
dépit des péchés qu’il peut commettre. C’est toujours sa coquille qui se
salit, jamais son fond propre.

Talmud, Choschen Ham 26, 1: Un juif ne doit pas être poursuivi devant un
tribunal Non-juif, par un juge Non-juif, ou par des lois non-juives.

Talmud, Chullin 91b: Les juifs possèdent la dignité dont même un ange ne
dispose pas.

Talmud, Kallah 1b, 18: Le juif peut se parjurer la conscience claire.

Talmud, Sanhédrin 52b: L’adultère n’est pas défendu avec la femme d’un
Goyim (non-juif), parce que Moïse n’a interdit que l’adultère avec “la
femme de ton prochain”, et les goyims (non-juifs) ne sont pas des pro-
chains.

Talmud, Choschen Ham 34, 19: Les Non-juifs et les serviteurs ne peuvent
pas témoigner lors d’un procès.

Talmud, Abhodah Zarah 20a: Ne jamais faire la louange d’un Non-juif, de


peur qu’il ne la croit.

Talmud, Abhodah Zarah 22a: Ne pas fréquenter les goyims, ils versent le
sang.

Talmud, Abhodah Zarah 25b: Se méfier des Non-juifs quand on voyage


avec eux à l’étranger.

Talmud, Abhodah Zarah 26a: Ne pas recourir à une sage-femme non-


juive, qui une fois seule pourrait tuer le bébé, ou même si elle était surveil-
lée, elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse le voir.

Talmud, Abhodah Zorah 26b: Ceux qui voudraient changer de religion doi-
vent être jetés au fond d’un puits, et oubliés.

Talmud, Abhodah Zarah 35b: Ne pas boire du lait tiré par un Non-juif.

Talmud, Choschen Ham 156, 5: Les clients non-juifs possédés par un


juifs, ne doivent pas être démarchés par un autre juif.

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Talmud, Choschen Ham 386, 10: Celui qui voudrait avouer les secrets
d’Israël aux Non-juifs, doit être tué avant même qu’il ne leur dise quoi que
ce soit.

Talmud, Choschen Ham 388, 15: Il faut tuer ceux qui donneraient l’argent
des Israélites à des Non-juifs.

Talmud, Eben Haezar 44, 8: Sont nuls, les mariages entre les Non-juifs et
les juifs.

Talmud, Emek Haschanach 17a: L’âme des non-juifs vient de la mort et


de l’ombre de la mort.

Talmud, Hilkhoth Maakhaloth: Les Non-juifs sont des idolâtres, il ne faut


pas les fréquenter.

Talmud, Hilkhoth X, 6: On peut aider les Non-juifs dans le besoin, si cela


nous évite des ennuis par la suite.

Talmud, Hilkhoth X, 7: Où les juifs sont fortement installés, il ne faut plus


tolérer la présence des idolâtres.

Talmud, Iore Dea 81, 7 Ha: Un enfant ne doit pas être allaité par une nour-
rice non-juive, car son lait lui donnera une nature maléfique.

Talmud, Iore Dea 120, 1: La vaisselle acheté à des Non-juifs doit être je-
tée.

Talmud, Iore Dea 146, 15: « Leurs idoles [c'est à dire les objets du culte]
doivent être détruites, ou appelées par des noms méprisants.»

Talmud, Iore Dea 147, 5: Il faut railler les objets du culte non-juif, il est
interdit de souhaiter du bien à un Non-juif.

Talmud, Iore Dea 148, 12 H: On peut prétendre se réjouir avec les Non-
juifs pendant leurs fêtes, si cela permet de cacher notre haine.

Talmud, Iore Dea 151, 14: Il est interdit de concourir à la gloire d’un Non-
juif.

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Talmud, Iore Dea 151, 11: Il est interdit de faire un présent à un Non-juif,
cela encourage l’amitié.

Talmud, Iore Dea 153, 1: Les nourrices non-juives conduisent les enfants
à l’hérésie.

Talmud, Iore Dea 154, 2: Il est interdit d’enseigner un métier à un Non-juif.

Talmud, Iore Dea 159, 1: Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de


l’argent à un Non-juif avec intérêt. Toutefois, certains des anciens n’ont
pas reconnu ce droit dans des cas de vie ou de mort. Aujourd’hui, ce droit
est accordé dans n’importe quelle circonstance.

Talmud, Moed Kattan 17a: si un juif est tenté par le mal, il doit se rendre
dans une ville ou on ne le connaît pas et la il peut s’adonner au mal.

Talmud, Orach Chaiim 20, 2 : Les Non-juifs se déguisent pour tuer les
juifs.

Talmud, Rosch Haschanach 17a : L’âme des non-juifs descend en enfer


pour toutes les générations.

Talmud, Sanhedrin 57a: un juif n’est pas obligé de payer le salaire rede-
vable à un non-juif.

Talmud, Sanhedrin 90a: ceux qui lisent le nouveau testament (chrétiens)


n’auront pas de place dans le monde à venir

Talmud, Shabbath 116a (p. 569): Les juifs doivent détruire les livres des
non-juifs (nouveau testament)

Talmud, Zohar I, 25b: Ceux qui font du bien à un Non-juif, ne se relèveront


pas des morts.

Talmud, Zohar I, 28b: Les Non-juifs sont les enfants du serpent de la Ge-
nèse.

Talmud, Zohar I, 160a: Les juifs doivent en permanence tenter de tromper


les Non-juifs.

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Talmud, Zohar I, 219b: Les princes Non-juifs sont des idolâtres, ils doivent
mourir.

Talmud, Zohar II, 19a: La captivité des juifs prendra fin lorsque les princes
Non-juifs seront morts.

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