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ASE DECIMALE (10) e systéme de numération que nous utiliserons quotidiennement. La décimale est constituée des éléments suivants : (0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 2. LA BASE BINAIRE (2) Cest sur ce systéme de numération que s'appuient tous les codes utilisés en informatique, et dans tous les systémes fonctionnant en TOR (Tout Ou Rien). Ce systéme comporte deux éléments : {0, 1}. Tout nombre N peut s’exprimer dans cette base de la maniare suivante : N=a,_,2"'+a,_,2"? +4, 2”? +..a,2' +a avec 054,51 on. . La transformatighi se fait par divisions successive de la partie entiére par 2, et par multiphédtion successive de la partie décimale par 2. Le symbole B peut étre utilisé pour noter un nombre binaire. Exemple : N=35 donne en binaire 100011B = 35.125 donne en binaire 100011.0013 En effet : a) Avec N=35 on fait n 1.125 la partie entiére est 35 et la partie décimale est 125. ge tetion de la partie fractionnaire par des multiplications d'outomatisme & fa FG! HEXADECIMALE (16) eee Tout nombre N peut se mettre dans cette base de Ja fagon suivante : N= ap.1(16)"! + an.2(16)"? + a5.3(16)"? + ... + a(16)! + ap avec 0 » est actionné, le relais R s’enclenche. L’enclenchement de R déclenche > qui coupe le circuit d’alimentation de la Jampe. 0). me = ©. Symbole logique : [= p— ou == 3 TABLEAUX DE KARNAUGH Elle s’éteint (niveau logique On peut compléter les représentations élect Une représentation géométrique qui uti Kamaugh. que, algébrique et arithmétique, par > des surfaces: les rectangles de 3.1 Représentation d’une variable Soit la variable « a», elle peut prendre deux valeurs 0 et 1. Nous représentons cette variable par deux rectangles, Par OFFOLE Florence Enseignante d'automalime & la FGI entation de deux variables deux fois la représentation d’une variable en superposant deux iA /\ 0 4 0 1 00 10 0 Ea piel i Ne, fo 17 | ™ | 0 ‘i ‘Chaque élément de surface représente l’intersection entre une ligne (variable b) et une colonne (variable a). On note dans chaque cas la valeur de « a» ET celle de«b». A chacune de ces cases de surfaces élémentaires, on fait correspondre les 4 relations élémentaires pouvant exister dans le cas de 2 variables. /\ 0 1 ab| ab 0 Be ‘Sv ee 1 tant donné le rectangle de Karnaugh suivant, donner I’équation ia a al -somme logique de ces surfaces et on obtient: Y =ab+a 2: vérifier le 1 théoréme de Morgan en utilisant les rectangles a.b=atb a) On représente la valeur a. a wr wn oO 1 oS Le tableau 1 Be? | 0 contrare est: eo 1 7 OS 01 a 0 o} 900 | 010 | 110 | 100 001 104 e “LOGIGUE CABLEE& AUTOMATISME chaque case on fait correspondre les valeurs obtenues aux intersections des -colonnes et des lignes. 0) abe|abe|abc| abe 1) abe| abe |4b¢| abc Remarque : pour passer d’une colonne & Ja suivante, on ne change que d’une Variable a ou b, a la fois, dans l’ordre : 00 ; 01; 11; 10. Il s’agit d’un code. On pourrait aussi utiliser le systéme binaire pur, on aurait alors : 00; 01; 10; 11 ‘Application: représenter_ expression X¥ =abx+abx+ abxdans un tableau de Kamaugh. - j Cela donne : paren i ~~? abx —— - 1) abx abx On peut simplifier cette expression en observant des regroupements de cases possibles. as = ~S = oMORaem Ont 1 Lociaue citute 8 AuTOMATISME 3.4 Représentation de quatre variables aoe on 1 On doit avoir un tableau comportant 2" cases, soit 2" = 16 cases. D'od Ig isposition ci-dessous : ab ) 01 ild 10 T 2 cases, ibles, on aura 2° = 64 cases, Aurdela, la représentation par tableau de Kamaugh ne pr “ésente plus d’intérét. 4 LA FONCTION MEMOIRE 41 Logique combinatoire, logique séquentielle 4.1.1 Logique combinatoire ; Toutes les fonctions logiques et schémas étudiés Jusqu’a présent font partie de la logique combinatoire, c’est-a-dire que pour une des combinaisons d’entrées correspond un seul état de le sortie qui est toujours le méme. En plus, le nombre de combinaisons est directement lié au nombre de Variables d’entrées. Si le systéme comporte n variables d’entrée, le nombre de combinaisons est égal a 2", 412 Logique séquenticlle: Dans un systeme séquentiel, entre T'ensemble des combinaisons d’entrée et [1 variable. la correspondance fat des sorties peut étre Exemple: Soit & commander la mise en marche et Varret Pun mote perceuse, il faut de ¥, Appuyer sur le bouton poussoir «a» marche, le moteur toume ; ¥ Relacher le bouton poussoir « a », le moteur continue & tourner ; ¥ Sil’on appuie sur le bouton « b » arrét le moteur s’arréte ; ¥ Silon relache le bouton poussoir « b », le moteur reste arrété, LOGIUE CHALE & AUTOMATISME Ordre Action menée b Table de vérité : 1 Au repos 0 0 0 2 Appui sur « a » 0 Al 1 3 Relache « a » 0 0 1 4 Appui sur « b » 1 0 0 5 Relache « b » oO 0 0 Remarque 1: la succession des états n'est pas la méme qu’en logique combinatoire. Remarque 2 : pour deux états identiques des variables « a» et «b» a= 0, une fois on M = 0, une autre fois on aM = 1. Conelusion : dans un systéme séquentiel on tient compte non seulement de la combinaison des variables d’entrée, mais aussi de leur succession (du latin séquente) Dans l’exemple précédent, on a réalisé une fonction mémoire. Pour différencier les états identiques d’entrées correspondants a des sorties différentes, on est conduit a utiliser des relais auxiliaires qui mémorisent les états intermédiaires. On introduit de nouvelles variables appelées variables secondaires. Dans le domaine électrique, un relais électromagnétique, dans lequel X désigne la bobine et x1, x2 désignent les contacts, permet de réaliser la variable secondaire qui, en méme temps, satisfait & la fonction mémorisation. 4.1 Mémoire a relais électromagnétique 4.1.1 Mémoire & arrét prioritaire a) Schéma : on réalise la commande du moteur M par le relais X qui posséde 2 contacts : x1 et x2. Por OFFOLE Florence Enseignante d'avtomatisme & la FGI 20 | iat LOGIaUE Cisiée & AUTOMATISHE 220V | b) Fonetionnement ~ Si l'on appuie sur «a», Pintermédiaire du comtact « b ~ X enclenché ferme les co le moteur M. - Si l'on relache «a», le courant contint « auto alimentation ». la bobine X est alimentée sous 24 V par », le relais s’enclenche. tacts x1 en paralléle avec «a» et x2 qui alimente we passe par x1, on dit qu'il y a ~ Sil’on appuie sur « », on coupe le circuit d’ les deux contacts x1 et x2 s’ouvrent, ce qui ar bobine et arréte le moteur. ‘alimentation de la bobine X E réte l'auto alimentation de la - Sil’on relache le bouton « b », rien n’est changé, la mémoire est au repos, ©) Représentation en fonction du temps : i Finde mémorisation t = Chaque action sur les boutons poussoirs « a» et « 5 » est représentée par une impulsion. “| lek on 3 2 Por OFFOLE Florence Enseignante d'cutomatisme o le FGI ne | LociQue GABLE & AUTOMATISME ~ La bobine X reste enclenchée tant que I’on n’a pas appuyé sur le bouton poussoir « b », 4) Cas oit l'on appuie sur « a » et « b » : dans ce cas, le circuit de X est toujours coupé ; on dit qu'il y a prépondérance de l'arrét sur la marche. e) Equation du circuit: d’aprés le schéma, on peut écrire les équations suivantes : X=(a+x1).b ct M=x2 x1 et x2 sont appellées variables secondaires. Dans le cas considéré, les contacts x1 et x2 sont actionnés par la bobine du relais X, qui constitue un organe de sortie intermédiaire : sa fonction est d’assurer la mémorisation. Le montage est appelé « auto alimentation » , il se souvient du dernier contact sur lequel on a appuyé : en mémoire si l’on a appuyé sur « marche » ; hors mémoire si l'on a appuyé sur « arrét » . 4.1.2 Mémoire A marche prioritaire a) Schéma : le bouton marche « a » est monté en paralléle avec I’ensemble « 5 » et x1 qui sont en série. _— a 220V ») Fonetionnement : il est identique au cas précédent, sauf lorsque on appuie simultanément sur «a» et sur « 6». Dans ce cas, le contact «a» maintient Valimentation de la bobine X. Por OFFOLE Florence Enseignante d'auiomatisme & la FGI ™— I $ € Loo1aue cite « aONATsHe x y 2 ©) Représentation en fonction du temps a 0 se evptson -- NI 1 2) = _ ) fa @®{ fy, La lampe est éteinte Lalampa estabumé Figure 2.4 : Sens de conductivité de la diode 2.13 Logique po ve, logique négative D'état « 1 » dun cireuit est défini en fonction du potentiel en général. On admet, Pour l'état « 1 » des valeurs limites déterminées en fonction des organes mis en ceuvre. Il en est de méme pour I’état « 0 ». a) Convention en logique po: Etatl:7V 3T, les résistances sont montées sur + 12 V en regard des Par OFFOLE Florence Enseignonte d’aviomatiame & la FGI 30 LOGIQUE CAbiEE & AUTOMATISHAE SS ~ Pour les fonctions OU, la résistance est montée sur 0 V en regard des lignes, Remarque Le fonctionnement correcte des circuits logiques 4 diodes Suppose qu’ils soient allimentés par une source de résistance assez faible et que les tensions soient assez. élevées, Remarque 2: Les diodes sont des composants pas: qui les traversent s'affaiblissent, Lorsque pl en cascade, il est nécessaire de regénérer ce: fS, i.e que les impulsions lusieurs circuits 4 diodes sont montés s impulsions. Il est done indispensable de compléter ces ci NON a transistors capable d’effectuer ces inversi its par des fonctions logiques ions. 3. FONCTIONS LOGIQUES A TRANSISTORS i 3.1 Présentation générale des transistors. Le transistor est un composant dont le matériau semi-conducteur utilisé comporte trois zones de conduetivité. IL peut étre de type PNP ou NPN, Comme pour le cas de la diode, le transistor sera constitué dune seule pastille de semi-conducteur dont : + deux zones seront dopées N et une zone dopée P pour les NPN ; > deux zones seront dopées P et une zone dopée N pour les PNP. f Le semi-conducteur employé est le Silicium w]e ]w PTs]? T T Figure 2.5 : Structure d'un transistor 3.2. Prineipe de fonctionnement L’étude du principe de fonctionnement d’un transistor au niveau des porteurs de arge (trous + et électron -) sera présentée uniquement pour un semi- teur de type NPN (le plus courant). Le principe de raisonnement pour le est similaire. — aa ir la diode, chaque zone porte un nom (qui désignera aussi 3 Ea qui relie électriquement cette zone a l’extérieur) LOGIQUE CABLEE & AUTOMATISME ~ Les deux autres zones sont appelées Collecteur (C) et Emetteur (F). Si dans la théorie elles peuvent étre considérées comme similaires, des impératifs technologiques les différencient dans un composant réel. e—jnfJ[ep[unPe (Emetteur) T (Collecteur) B (Base) Figure 2.6 : Dénomination des parties d'un transistor . Afin d’étudier les courants dans le semi-conducteur pouvant mettre en évidence Veffet transistor, nous allons brancher deux sources de tension continues extérieures : on polarise le transistor. E 4 i et Figure 2.7 : Polarisation du transistor Si on emploie les mémes termes qu’avec la diode, on dit que l’on a polarisé en direct la jonction Base-Emetteur et on a polarisé en inverse la jonction Base- Collecteur. Rappel : Lorsqu’un courant J circule dans un conducteur, cela correspond & un déplacement d’électrons dans ce matériau. Or on a donné a I le sens conventionnel du potentiel Je plus haut (+) vers le plus bas (-) alors que les électrons se déplacent en sens inverse (du (-) vers le (+)).. On peut done sur ce principe analyser le montage : - Par la source E:1, des électrons sont injectés dans I’Emetteur. L’Emetteur tant une zone N, les porteurs sont des électrons. Des électrons vont donc étre de I’Emetteur dans la Base. Base est une région P : les porteurs sont des trous (+). Les électrons nis, d’ot le nom Emetteur) par I’Emetteur, vont avoir tendance a se un trou. Or la base étant construite de trés faible épaisseur les LOGtaUe caste & AUTOMATE @ Q fap. Fj collecter la plus grande partie des électrons émis par I'Emetteur. On appelle cette fraction des électrons provena valeur est proche de 1. Ces déplacements d’électrons correspondent a des courants nt de I’Emetteur et passant au Collecteur, $4 IC : courant de collecteur ; ) IB: courant d’Emetteur ; IB : courant de Base. IC correspond a la Proportion a d’électrons venant de l’émetteur. On écrit done a) E2 Figure 2.8 : Les différents courants circulant dans un transistor Ce transistor étant un tripdle, on le considére comme le neeud dun réseau : 1 Source des courants entrant est égale 8 la source des courants sortant. G Ie Is 5—_,__ le E Figure 2.9 : Loi des nceuds pour les Courants circulant dans le transistor la p=1,+al,] le=1-(\-a) | 2S plc, @ Ip=al, _AOGIQUE Cte & AUTOMATISNE | a établi deux relations fondamentales entre les courants circulant dans le istor. Dans la formule (2), le coefficient « est appelé Gain en courant. Il est voisin de 1. 3.3 Représentations 3.3.1 Schéma électrique Nous avons jusqu’a présent représenté le transistor sous la forme d’un barreau de semi-conducteur avec deux fonctions. Désormais, nous utiliserons sa représentation conventionnelle qui est donnée a la figure 2.10 suivante : ic ch 8 B E E ‘Transistor NPN Transistor PNP Figure 2.10 : Représentation dun transistor 3.3.2 Polarisation L’efiet transistor a été mis en évidence sur un semi-conducteur avec deux sources de tension, Le transistor ne fonctionnera donc correctement que s°il est polarisé comme suit : Transistor NPN Transistor PNP Jonction B-E polarisée en direct | Jonction B-E polarisée en inverse Jonetion B-C polarisée en inverse | Jonction B-C polarisée en direct ‘Transistor PNP. LOGIQUE CABLE & AUTOMATISNE 3.3.3 Montages fondamentaux Rappel : Un guadripsle Q comme le montre la f quatre bomes : 2 pour l’entrée et 2 pour Ia sortie tripole puisqu’il ne posséde que trois électrodes : Collecteur. Considérons-le comme un quadripéle : Commune a l’entrée et & la sortie (figure 2.12), igure 8, est un élément 4 . Le transistor lui est un la Base, I’Emetteur et le une électrode sera alors Is j oe I< ; vef a Vs ENTREE SORTIE ENTREE SORTIE eter Le transistor considéré comme un quadripéle Figure 2.12 : Le transistor considéré comme un quadripdle On a représenté un transistor NPN avec sa sortie, base commune a entrée et a la Il existe trois montages fondament aux: Base commune, Emetteyy commun et Collecteur commun, | E c © 8 , Sortie Entrée, 4 Sortie Entrée Montage Base commune Montage Emetteur Montage Collecteur commun commun Figure 2.13 : Les trois montages fondamentaux du transistor _ 3.4 Transistor bipolaire en régime de commutation _ Le transistor bipolaire en régime de commutation est en général utilisé en . xe Emetteur commun (figure 2.14), LOGIQUE CisLEE & AUTOMATISME 3.4.1 Schéma +9Vv T- Transistor 2N2219 ou équivalent 1 - Résistance d'entrée de lordre K de 2,2 KO R2 - Résistance de base de ordre eo 150 Résistance de charge de l'ordre 70.0 K=Int ‘eur permettant en + Position ouverte : 0 V * Position fermée:+9V Figure 2.14 : Transistor bipolaire en montage Emetteur Co 3.4.2 Fonctionnement a) Interrupteur K ouvert : Niveau logique 0 sur l’entrée. Le potentiel de base est sensiblement celui de I’émetteur, i.e 0 V. Le transistor est blo résistance entre Collecteur et Emetteur est trés grande devant Rc. Aucun courant ne circule dans ce circuit, le point S est au potentiel + 9 V, niveau logique 1 b) Interrupteur K fermé: Niveau logique | sur l'entrée uit +9 V - interrupteur K - R1 - R2 - 0 V constitue un pont diviseur qui permet de porter le potentiel de base a environ 0,4 V — 0,5 V, ce qui a pour effet de rendre pratiquement nulle a résistance entre Collecteur et Emetteur ; seule la résistance Re limite le courant dans le circuit. Le point S est alors sensiblement au potentiel 0 V, i.e niveau logique 0 3.4.3 Table de Vérité Lorsque I’interrupteur K est ouvert (niveau logique 0) l’entrée, la sortie $ est au niveau logique 1. Inversement, lorsque K est fermé (niveau logique 1) a Pentrée, la sortie S est au niveau logique 0. Ce qui correspond a la fonction NON. 3.4.4 Equation S =a Por OFFOLE Florence Enseignante d'automatisme & la FGI 6 3 § | > o LOGIQUE CABLEE & AUTOMATISHE A partir de ce schéma de principe du transistor en commutation qui correspond ® la fonction NON, on réalise toutes les autres fonctions logiques statiques. 3.5 Fonction NON-OU a transistor 3.5.1 Schéma_ ~>———_—— = ] ) et i ey 7 af o e2 R2 | ema me | bk T eI Gq Ro | [ JF °3 ave aq R1, R2, R3 — Résistances d'entrées RB — Résistance de polarisation de la Base RC — Résistance de charge du circuit Collecteur T — Transistor NPN 3.5.2 Fonctionnement En l’absence de signal sur toutes les entées, la sortie $ est a Pétat 1, Dés que Mune au moins des entrées regoit un signal, la sortie S passe a 0 3.5.3 Table de vérité aa a oa = T = To fo fo } a oO 0 1 oO oO 1 0 0 0 1 1 0 1 0 oO 0 4 0 1 0 1 1 Chasse) SOS eae ee) 3.5.4 Equation: S =el + e243 1.€2.63 LOGIOUE CABLEE & AUTOMATISME ae La fonction OU & 2, 3, n entrées est obtenue en inversant par une fonction NON, Ja sortie $ d’une fonction NI. 3.6 Fonction OU 4 transistor he et — ater el+e2+e3 pe et 24 = et 3.6 Fonction ET a transistor La fonction ET a 2, 3, n entrées est obtenue en inversant les entrées des fonctions NON qui sont reliées aux entrées d’une fonction NI. 3.7 Fonction Mémoire fonction mémoire, telle que nous la connaissons dans le systéme ctromécanique s’écrit : ce LOGIQUE CABLEE & AUTOMATISME ET a2 entrées m —)

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