est ce que je perd l’espoir ou juste je baisse les baisse les bras
L’estime de soi fatigue, chacun se baise soi-même
Je suis dans relation avec gêne Je t’aime toujours sans « je t’aime » Mes affaires toujours jeté par terre, Sois forte, moi je me tais, Dans le silence de nos émotions, Nos pleures prennent la relève, Et j’essaye de me voir en face d’un miroir, Tout ce mal qui se réflète m’illumine, Je dis à cette fille que je regrette, Au fond je crois pas, Je te dis de partir vite, En espérant que tu reviennes
Tes messages sans valeur me font plus
de mal, Je crois que je préfère les insultes, Cette drague dans le bus, me dis Les messages avec les autres sont que des discussions de plus De plus sans toi,
J’avance un pas derrière un autre pas,
Un parent qui s’énerve contre moi, Comprend pas le mal qui nous habite, Je vis autre part, tout le monde veut ma part, Je la donne, je la changerais pas, Pars, juste pars, ou parle, Ou pleure pas, les larmes passent et coulent, j’écris Resval dans le couloir, C’est juste un long couloir, Je marche tard, sans tête, je m’entête dans la résoi, Passe le gramme, je le fume, Inquiète toi, Si tu me vois plus triste, c’est qui se passe un truc Si tu me vois plus, c’est que je suis parti la-bas, Peut être au Népal, Face à la souffrance, on est pâle, Mon coeur une épave, Toi, une étape, Face au cadavre de nos sentiments, Viens on s’aide, on tire le drap, Mais je reviens je te tire vers le bas, On vise le haut en sachant qu’on arrivera pas aux étoiles « Et toi comment ça va? » La fumer nous fait plisser les yeux, Dieu, merci pour tous ces démons Qui me font plier en deux Je finirais pas entier, J’attend toujours ma moitié