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Publication assistée par ordinateur

Pour les articles homonymes, voir PAO et DTP. des techniques mécaniques de l'imprimerie[1] . Il peut
La publication assistée par ordinateur, communé- s’agir de livres, de journaux, de brochures, de publicité,
de dépliants, de cartes de vœux ou de cartes postales[1] .
Les documents peuvent contenir des photos, des images
numérisées, des cliparts et des logos. Les documents sont
ensuite imprimés à l'aide d'une imprimante, ou dans une
imprimerie[1] . L'opération se fait à l'aide de logiciels spé-
cialisés, semblables à des traitements de texte ordinaires,
mais où un accent particulier a été mis sur la disposition
des textes et des images sur une page[1] . Des logiciels so-
phistiqués de traitement de texte peuvent également être
utilisés pour de la publication assistée par ordinateur[1] .
Les personnes qui travaillent dans la PAO passent beau-
coup de temps devant leur ordinateur à arranger des textes
et des images créés par autrui ou par eux-mêmes[2] . Leur
Publication assistée par ordinateur avec le logiciel Scribus
travail consiste à préparer des fichiers pour la presse
écrite, la publication sur le web ou sur CD. Ils travaillent
ment abrégée PAO consiste à fabriquer des documents
à la composition du contenu d'ouvrages qui peuvent être
destinés à l'impression à l'aide d'un ordinateur en lieu et
sous la forme de rapports, de brochures ou de livres[2] .
place des procédés historiques de la typographie et de la
Les qualités appréciées pour travailler dans ce domaine
photocomposition. Elle se nomma quelque temps Intégra-
sont le souci du détail, le sens esthétique et artistique, et
tion textes et graphiques.
la patience[2] .
La publication assistée par ordinateur se fait à l'aide
La publication assistée par ordinateur implique la mani-
de logiciels spécialisés, semblables à des logiciels de
pulation des caractéristiques typographiques des textes :
traitement de texte ordinaires, mais où un accent parti-
taille des caractères en pica, les styles (serif ou sans se-
culier a été mis sur la disposition des textes et des images
rif), le crénage et l'espacement entre les lettres[1] . Les
sur une page. L'ouvrage à imprimer est affiché à l'écran de
ouvrages réalisés comportent généralement une mise en
l'ordinateur exactement tel qu'il sera sur le papier, avec la
page - un ensemble de caractéristiques communes à toutes
possibilité de changer la typographie et de voir immédia-
les pages : taille du papier, orientation, dimension des
tement le résultat. De tels logiciels existent depuis 1985.
marges, numérotation, nombre de colonnes de texte, et
caractéristiques des en-têtes et des pieds de page[1] .
1 Introduction
La publication assistée par ordinateur consiste à créer 1.2 Outils
des documents imprimés tels que des livres et des jour-
naux en travaillant la composition et la typographie de Les logiciels utilisés en publication assistée par ordina-
documents qui peuvent avoir été écris par des tiers. Le teur permettent généralement le traitement de texte, la
travail se fait à l'aide d'un ordinateur et de logiciels mise en page, l'illustration, la retouche d'images numé-
qui permettent le traitement de texte, la mise en page, riques et la manipulation des polices de caractères[1] . La
publication assistée par ordinateur a connu un tournant
l'illustration et la retouche d'images. Les documents com-
posés peuvent ensuite être imprimés avec une imprimante avec l'arrivée des ordinateurs Macintosh en 1984. Alors
ou en imprimerie. qu'auparavant la présentation des textes sur le papier était
déterminée par l'ajout à l'aveugle de marques de typo-
graphique destinée aux téléscripteurs, avec l'arrivée des
1.1 Activité interfaces graphiques, l'ouvrage est alors affiché à l'écran
de l'ordinateur exactement tel qu'il sera sur le papier
La publication assistée par ordinateur consiste à créer (WYSIWYG what you see is what you get), avec la pos-
des documents imprimés en utilisant un ordinateur, une sibilité de changer la typographie (style et police de ca-
imprimante et éventuellement un scanner en lieu et place ractère) et de voir immédiatement le résultat[3] .

1
2 2 HISTORIQUE

Il n'existe pas de séparation claire entre le traitement de même si l’ordinateur se chargeait d’une partie du travail.
textes et la publication assistée par ordinateur[4] . Essen-
tiellement le traitement de texte consiste à rédiger et mo-
difier des textes, et est une des activités effectuées en 2.1 Le texte marqué
publication assistée par ordinateur[4] . Les logiciels so-
phistiqués, initialement destinés au traitement de texte Dans le monde des mainframes (gros ordinateurs, pour
peuvent être utilisés pour de la publication assistée par l’époque), la tendance était au texte marqué : Charles
ordinateur[4] . Essentiellement la PAO consiste à créer Goldfarb (en) avait inventé le Generalized Markup Lan-
des documents multipages destinés à être imprimés sous guage (GML) permettant de décrire la nature d’un pas-
forme de livre ou de brochure. la PAO consiste égale- sage (titre, citation, exemple, intitulé de chapitre ou de
ment à créer des catalogues, des cartes de vœux, ou des section, etc.) sans faire d’hypothèse à ce stade sur sa pré-
étiquettes[4] . sentation, la traduction de cette indication en ordres de
composition en fonction du contexte étant du ressort d’un
Les fonctions typiques des logiciels de traitement de texte
fichier annexe, modifiable à volonté, qui se nommait le
sont la possibilité de choisir la police d'écriture, de créer
profile (prologue file).
des titres, de créer des en-têtes et des pieds de page,
de justifier les textes, de numéroter automatiquement Grâce à ce procédé :
les pages, qu'ils permettent de manipuler les marges et
d'ajouter des tabulateurs[4] . Il est également apprécié que • un même arsenal pouvait rédiger une documenta-
le logiciel permette d'ajouter des photos, des clipart, des tion unique pour les armées de terre, de mer et de
formes géométriques ou des symboles, qu'il crée automa- l'air (qui avaient des normes de présentation diffé-
tiquement une table des matières, vérifie l'orthographe et rentes), cette documentation se traduisant par les
la grammaire[4] . Les fonctions typiques des logiciels de bonnes présentations pour chaque arme au moyen
publication sont la possibilité de numéroter automatique- de trois fichiers profile réalisés une fois pour toutes,
ment les pages, générer des en-têtes, des pieds de page,
un sommaire et une table des matières. Il est également • si la norme était modifiée, une simple correction cor-
apprécié que le logiciel traite de manière différente les respondante du fichier profile permettait d’imprimer
pages paires et impaires, ainsi que la première page, qu'il immédiatement un exemplaire de la documentation
facilite la manipulation de grandes quantités de textes et à la nouvelle norme, ce qui se traduisait par des mil-
d'images[4] . lions d’économie,
Les logiciels souvent utilisés dans ce domaine sont
Adobe InDesign, QuarkXPress, Microsoft Publisher, Goldfarb, ayant quitté IBM, formalisa ensuite son GML
Corel Draw, Adobe Illustrator, Adobe Photoshop, Corel en SGML, qui eut deux retombées directes :
Photo-Paint, Microsoft Word, Corel WordPerfect [1] .
PageMaker, lancé en 1985, a été un des premiers logi- • Le HTML utilisé pour le Web (mais qui s’écartait un
ciels de publication assistée par ordinateur[3] . peu du principe des marques purement descriptives)
La publication assistée par ordinateur implique souvent le • Le XML utilisé aujourd’hui dans les communica-
recours à la technologie PostScript. C'est un langage in- tions intermachines, mais aussi pour la rédaction de
formatique qui décrit comment un document se présente documentations internationales
sur le papier[1] . Il est utilisé pour communiquer entre
l'ordinateur et l'imprimante. Le recours à cette technolo-
gie permet d'obtenir un résultat plus fidèle en particulier L’INRIA fut l’un des premiers organismes à mettre sur
lorsque la présentation du document est compliquée. De le marché un éditeur SGML, nommé GRIF et d’ergo-
plus la présentation du document sur le papier sera iden- nomie très similaire à Word 2 pour Windows. La suite
tique quel que soit le modèle d'imprimante utilisée[1] . LibreOffice sauvegarde ses documents préférentiellement
dans un format XML (OpenDocument).
L’éditeur O’Reilly édite aujourd’hui tous ses ouvrages à
partir de sources en texte marqué.
2 Historique

La typographie classique devenant onéreuse, et la 2.2 Le WYSIWYG


photocomposition d'usage complexe, l'avènement de
l'informatique a permis de créer, dès la fin des années Article détaillé : What you see is what you get.
1960, des systèmes dévolus à la composition électronique
des textes[réf. nécessaire] . Ces systèmes étaient encombrants Dans les années 1980, Rank Xerox a été le premier à
et coûteux, ce qui les destinait uniquement à des milieux proposer des machines de traitement de texte qui pré-
professionnels. De plus, l'usage de la codification de la sentent à l'affichage le texte tel qu'il sera édité, puis les
photocomposition continuait à demander une formation, premiers ordinateurs personnels se répandirent, dont le
2.2 Le WYSIWYG 3

Macintosh, et mirent à la portée d'un plus large public core firent leur apparition, mais les ténors du départ sont
la puissance des gros systèmes informatiques jusqu'alors aujourd'hui les logiciels les plus répandus dans la profes-
réservés aux laboratoires et aux programmeurs. Les inter- sion, avec le trio de tête : Quark XPress, Adobe InDesi-
faces graphiques comme Mac OS sur Macintosh, GEM et gn, Adobe PageMaker ; et pour le graphisme, le couple
plus tard Windows sur PC, facilitèrent la prise en main Adobe Photoshop et Adobe Illustrator.
de ces ordinateurs de nouvelle génération qui, en s’af- La communauté des logiciels libres entra à son tour dans
franchissant du mode texte des terminaux, s’ouvrirent à la danse avec Scribus, qui se fait peu à peu sa place, au
la création avec des méthodes de travail plus naturelles : début dans le domaine non professionnel. Il fonctionnait
bureau virtuel, icônes, manipulations des graphismes à la
initialement sous Linux, mais se décline aujourd'hui éga-
souris. Cela permit aux artistes et aux maquettistes de lement en versions pour Windows et Mac OS X. Scri-
passer plus facilement à l'informatique.
bus a une allure de PageMaker et vise pour le moment
Dans un premier temps, les logiciels de traitement de le créneau de Microsoft Publisher. Il n'offre pas encore
texte évoluèrent, comme Microsoft Word qui en 1983 toutes les fonctions avancées des logiciels professionnels,
tournait sous DOS en mode texte puis en 1984 passa en mais est tout à fait viable pour les particuliers et les as-
version graphique sur Macintosh. De même, MacWrite sociations. Son développement permanent et son succès
fut à la sortie du Macintosh en 1984 le premier traite- laissent présager à terme sa place auprès des « grands »
ment de texte grand public à utiliser le principe WY- concurrents libres aux logiciels payants cités plus haut. On
SIWYG (What you see is what you get). Ensuite, se notera principalement :
spécialisant dans la mise en pages[5] . D'autres logiciels,
comme Ventura Publisher lancé en 1986, apportèrent leur • Gimp comme alternative à Adobe Photoshop pour
pierre à l'édifice et transposèrent sur l'ordinateur les tech- le bitmap
niques traditionnelles d'édition, comme : gestion de la
• Inkscape comme alternative à Adobe Illustrator
typographie, arrangement des textes par bloc, détourage
pour le vectoriel
des images.
En 1999, Adobe marqua un grand coup dans le monde • Scribus comme alternative à Adobe InDesign et
de la PAO en sortant InDesign, inspiré à la fois par Page- Xpress pour la mise en page
Maker et XPress. Ce logiciel rencontra un rapide succès • LibreOffice comme alternative à Microsoft Office
chez les graphistes et les maquettistes indépendants, avant
de concurrencer XPress sur le terrain des grosses socié- Pour l'imposition, il existe plusieurs solutions déjà fort ré-
tés de presse[réf. nécessaire] . Cela poussa Quark, qui n'avait pandues : entre autres, le logiciel Preps édité par Kodak,
pas fait évoluer son logiciel de façon significative depuis le plug-in INposition Pro et le logiciel DynaStrip, édité
des années, à se rapprocher de ses clients et relancer de par Dynagram. La société canadienne Ultimate Techno-
nouvelles versions. graphics offre la suite de solutions Impostrip.
En parallèle, les logiciels spécialisés dans le traitement de L’inconvénient de ces logiciels est qu’à l'origine ils mar-
texte et dans la mise en pages furent complétés par ceux quaient en quelque sorte une régression par rapport au
dédiés au graphisme. En 1984, MacPaint pour le dessin principe du « texte marqué ». En particulier, les mises à
bitmap (intervenant sur les pixels) et MacDraw pour le jour automatiques ne se faisaient plus : tout redevenait
dessin vectoriel (courbes mathématiques dites « de Bé- manuel, bien qu’assisté par des commandes puissantes
zier ») ouvrirent la voie grâce à l'interface graphique du comme « Rechercher/Remplacer ». Cet inconvénient est
Macintosh et à la résolution de son écran adaptée aux à relativiser avec l'apparition des feuilles de style, puis des
imprimantes. En 1990, avec son logiciel de retouche et langages de programmation de scripts et enfin des appli-
de manipulation d'images photographiques Adobe Photo- cations dédiées pour la presse. En contrepartie, confort
shop, Adobe devint avec Apple et Quark l'un des noms les considérable, ces logiciels étaient WYSIWYG (« what
plus importants de l'histoire de la PAO. En dessin vecto- you see is what you get », parfois traduit comme « tel
riel, c'est Adobe Illustrator qui s’imposa comme l'outil in- écran, tel écrit »), ce qui permettait d’affecter à leur usage
contournable des graphistes. D’autres logiciels vectoriels, du personnel n’ayant pas besoin de faire un aussi grand
tels FreeHand toujours de la société Adobe, ou Corel- effort d’abstraction (et donc moins coûteux pour l’entre-
Draw, populaire car bon marché mais peu apprécié des prise), et surtout simplifiait la visualisation du travail (le
professionnels, contribuèrent chacun à leur niveau à dé- maquettiste se concentrant sur sa maquette sans se préoc-
velopper la création graphique sur ordinateur. cuper de la technique informatique). Les deux systèmes
Depuis les années 1980, le temps fit son œuvre et cer- coexistèrent tant bien que mal dans les entreprises, la part
tains logiciels disparurent, d’autres furent rachetés par de du texte marqué se rétrécissant de plus en plus aux do-
grosses sociétés. Par exemple : Adobe a racheté PageMa- cumentations lourdes, où un autre logiciel combinant les
ker, Macromedia a récupéré FreeHand avant d'être ache- avantages du WYSIWYG et du texte marqué commença
té par Adobe, Ventura Publisher a été rebaptisé Corel à le grignoter un peu plus : Framemaker. Aujourd'hui, on
Ventura lorsque Corel le racheta à Xerox. D'autres en- peut faire la distinction entre les logiciels de PAO adap-
tés à de très longs textes, comme un roman ou une revue
4 3 LES PRINCIPAUX LOGICIELS DE PAO

technique qui comporte peu d'illustrations mais de nom- • Le logiciel de mise en pages interroge en temps
breux chapitres et notes de bas de pages (Framemaker y réel la base de données à chaque affichage, voire à
excelle) et les logiciels traditionnels qui permettent une terme effectuera des mises à jour en temps réel de
mise en pages plus artistique adaptée aux journaux, aux l'affichage. C'est le concept de document vivant créé
magazines et aux publicités (XPress, InDesign, PageMa- par Interleaf et repris depuis par Adobe Acrobat
ker).

2.3 L'ingénierie éditoriale L'une comme l'autre de ces techniques permet de réaliser
par exemple un catalogue en quelques heures au lieu de
Les récentes problématiques de mutualisation de conte- quelques semaines comme auparavant avec les techniques
nus (par exemple, entre un site web et une publication plus anciennes de PAO. Une gestion rigoureuse de la base
imprimée), et l'ancrage de la culture web ont poussé les de données est nécessaire et l'opérateur PAO peut parfois
éditeurs à proposer des solutions dépassant le cadre strict devoir gérer cette base technique en fonction des supports
de la PAO. de diffusion (notion de profil).
Ces solutions, comme les plates-formes d'édition, ratio- Les industriels de la grande distribution et les voyagistes
nalisent le métier d'édition en incluant les aspects de suivi les utilisent couramment : les mises à jour de descriptifs
de projet et de mutualisation des données dans un outil de ou de visuels sont ainsi rendus bien plus fluides, concur-
production web. rence oblige.
L'émergence du langage XML au sein même de ces La PAO-SGBD se prête bien à une utilisation avec le lan-
plates-formes permet de manipuler le contenu éditorial gage de marquage XML et à la publication multimédia.
en vue d'une publication multicanal et nécessite un in- L'intégration avec des techniques de Web 2.0 comme
tervenant nouveau dans ce domaine : le Publicateur. Cet l'architecture de participation. Le support papier, à me-
expert, rompu au dernières technologies numériques, a sure que les débits des réseaux s’accélèrent, la résolution
pour mission de préparer la diffusion de ces contenus afin comme la taille des écrans et la vitesse des processeurs
de les transmettre aux divers intervenants de la publica- augmente, pourrait devenir à terme une simple option.
tion (imprimeurs, intégrateurs multimédia, développeurs
Web…).
Ainsi, le mot PAO prend tout son sens dans le terme de
"Publication" assistée par ordinateur et ne s’attache plus à 2.5 Domaine liés
un seul média (anciennement l'impression papier) mais à
une multitude de médias tels que le Web, les CD-Rom, les Articles détaillés : Dessin assisté par ordinateur, retouche
organiseurs de poche, les téléphones portables, les “po- d'image et Musique assistée par ordinateur.
cket companion”, les bornes interactives. En résumé, ceci
concerne tous les nouveaux supports de diffusion numé-
rique existants ou à venir. L'exploitation et le traitement des images, de dessins, de
photos ou de partitions dans la publication assisté par or-
dinateur est habituel, mais elle relève de techniques plus
2.4 La mise en pages SGBD spécialisées telles que le dessin assisté par ordinateur, la
retouche d'image, la musique assistée par ordinateur, la
Il arrive que l'information à publier soit intégralement ou création et l'exploitation de police d'écriture.
presque contenue dans des bases de données (annuaires,
spectacles dans une grande ville, petites annonces, ta-
rifs, catalogues, etc.). À partir de logiciels de mise en
pages et de plugs-in appropriés, il est facile de lier la ma-
quette d'une publication au contenu d'une base de don- 3 Les principaux logiciels de PAO
nées. Cette technique évite tout risque d'erreur de ressai-
sie, tout “copier-coller” malencontreux, et permet surtout
l'édition des contenus en temps réel. Il existe deux façons La composition et la mise en pages des textes et images
de procéder : se fait principalement à l'aide des logiciels suivants :

• Le logiciel de mise en pages édite ou imprime direc-


tement un document en utilisant un fichier plat ex-
trait de la base de données. Cette méthode fut bien
maîtrisée depuis le milieu des années 80 avec le logi- 3.1 Langage de balise
ciel DCF, Document Composition Facility (qui avait
introduit le langage de marquage GML, ancêtre di- Les langages de balises sont exploités par des interfaces
rect du SGML). de plus haut niveau.
5

3.2 Généraliste

3.3 Scientifique

4 Normes
• Format de papier
• Pantone (colorimétrie)

5 Articles connexes
• Relecture assistée par ordinateur
• Plate-forme éditoriale

6 Bibliographie
• Cédric Breton-Schreiner - L'Essentiel de la PAO -
(éd. Eyrolles, hors collection, 2009) - 206 p. - (ISBN
9782212125139)

• Gérard Mourier - Guide pratique de la PAO sous


Windows - (éd. Marabout, coll. “Informatique”, 1993)
- 508 p. - (ISBN 2-501-01971-7)
• Virga - L'Indispensable pour la micro-édition - (éd.
Marabout, coll. “Marabout Service”, 1990-1991) - 300
p. - (ISBN 2-501-01076-0)

7 Notes et références
[1] (en) James Stroman, Administrative Assistant’s and Secre-
tary’s Handbook, AMACOM Div American Mgmt Assn
- 2008, (ISBN 9780814409763)

[2] (en) Allison J. Ross, Choosing a Career in Desktop Pu-


blishing, The Rosen Publishing Group, 2000, (ISBN
9780823932955)

[3] (en) Susan E. L. Lake, Digital Desktop Publishing - The


business of technology, Cengage Learning - 2008, (ISBN
9780538975001)

[4] (en) Learn2succeed.com Inc, Desktop Publishing for Be-


ginners : How to Create Great Looking Brochures, Books
and Documents, Productive Publications - 2012, (ISBN
9781552704660)

[5] Dans le milieu professionnel, la « mise en page » est


l'action de créer des documents de plusieurs pages (dans le
cas d'une page unique, il s’agit d'une maquette ou d'un do-
cument mis en forme). Le mot page comporte donc obli-
gatoirement un s.

• Portail du logiciel
6 8 SOURCES, CONTRIBUTEURS ET LICENCES DU TEXTE ET DE L’IMAGE

8 Sources, contributeurs et licences du texte et de l’image


8.1 Texte
• Publication assistée par ordinateur Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Publication_assist%C3%A9e_par_ordinateur?oldid=
134404428 Contributeurs : Olrick, Alvaro, Nataraja, Hemmer, Popolon, Orthogaffe, Céréales Killer, Cdang, Moala, HasharBot, Zubro,
Anto, Koyuki, Robbot, Plic, Phe, Marc Mongenet, MedBot, Sam Hocevar, Delaroyas, Francois Trazzi, Phe-bot, François-Dominique, Ni-
colas Girard, François-Dominique2, Remiprevost, Frederic.Mommeja, Eek, Bob08, Koko90, Sherbrooke, Gédé, YolanC, Landroni~frwiki,
Diderobot, Marchy, Vatekor, DocteurCosmos, Elg, Chobot, ZeMeilleur, PhiX, RobotE, Pinailleur, Romanc19s, Pmau, Probot, A3nm,
Gzen92, Coyau, RobotQuistnix, Zelda, Jerome66, MMBot, 16@r, Loveless, Morgenstern~frwiki, Hexasoft, Silex6, M-Rick, Jfelicien,
DainDwarf, Emericpro, Markus3, PieRRoBoT, Thijs !bot, TaraO, Laurent Nguyen, JAnDbot, Clodion, Walké, EMLM~frwiki, Bogui.net,
IAlex, Nono64, Greteck, Wikig, Salebot, Gutenberg, Xiloynaha, Isaac Sanolnacov, AlnoktaBOT, TXiKiBoT, Manuroc, VolkovBot, Nodu-
lation, Chicobot, Evpok, Orthomaniaque, Gz260, Arkayn, Cardabelle, Golfestro, OKBot, Jyr37, Vlaam, Dhatier, Hercule, ShrallSeb, GLec,
Nonopoly, Philippe.petrinko, Superjuju10, Alexbot, WikiCleanerBot, Bub’s wikibot, Geitost, Igor Barzilai, JackPotte, Aleray, Luckas-
bot, Brendàn, Ctruongngoc, ArthurBot, Xqbot, RibotBOT, Rubinbot, Lomita, Xiglofre, Ronaldino31, Nezdek, MacMarc~frwiki, ISteph,
EmausBot, RubyRubyRuby~frwiki, WikitanvirBot, Jules78120, Hbutaye, Sthoby, Racinaire, OrlodrimBot, AvocatoBot, Shev123, Rome2,
Addbot, Reihar, BerAnth, AKAK20001, R Lagace, Axlczp et Anonyme : 105

8.2 Images
• Fichier:Crystal_kpackage.png Source : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/4/40/Crystal_kpackage.png Licence : LGPL
Contributeurs : All Crystal icons were posted by the author as LGPL on kde-look Artiste d’origine : Everaldo Coelho (YellowIcon) ;
• Fichier:Disambig_colour.svg Source : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/3e/Disambig_colour.svg Licence : Public do-
main Contributeurs : Travail personnel Artiste d’origine : Bub’s
• Fichier:Question_book-4.svg Source : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/64/Question_book-4.svg Licence : CC-BY-
SA-3.0 Contributeurs : Created from scratch in Adobe Illustrator. Originally based on Image:Question book.png created by User:Equazcion.
Artiste d’origine : Tkgd2007
• Fichier:Scribus-1.3-Linux.png Source : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/f/f4/Scribus-1.3-Linux.png Licence : GPL
Contributeurs : Travail personnel de la personne qui a téléchargé le document. Artiste d’origine : Original téléversé par Chiefmanyrabbitguteat
sur Wikipedia anglais

8.3 Licence du contenu


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