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Exclusivité Interview de Claudia Rainville par Daniel Perraud

La Métamédecine :
la guérison à votre portée
Daniel Perraud

rise Claudia Rainville et la rend si en Métamédecine. On reconnaît de


populaire. Elle respire l’authenti- plus en plus aujourd’hui l’impact que
cité. Avec transparence et simplicité, jouent les émotions dans les diffé-
elle nous raconte son expérience de rentes pathologies qui affectent notre
la vie et nous permet de reconnaî- corps physique.
tre en nous les mêmes blessures,
les mêmes crises existentielles, les D.P. — Vous recherchez plutôt
mêmes aspirations que chez elle. la cause ?
Elle a connu la maladie : cancer,
maux de dos chroniques, dépression C.R. — La Métamédecine va au-
nerveuse et multiples interventions delà de l’effacement de la douleur ou
chirurgicales. S’étant totalement de la disparition des symptômes. Elle
autoguérie, elle sait par expérience met l’accent sur la recherche du fac-
que toute maladie a une cause qui teur responsable du mal-être ou de la
est d’abord psychologique. Sa for- maladie. En Métamédecine, la douleur,
mation scientifique lui a permis la le malaise ou l’affection sont considé-
rigueur, la méthode, l’analyse, le rés comme des signes avant-coureurs
discernement que requiert son rôle d’une rupture de l’harmonie dans une
de praticienne expérimentée en rela- partie de l’organisme. Faire disparaître
tion d’aide. Claudia Rainville est la ce signe sans en chercher l’information
fondatrice d’une nouvelle approche correspondante revient à faire taire

C
laudia Rainville, auteur de la médecine, qui va au-delà de la l’alarme du détecteur de fumée qui
à succès, conférencière médecine : la Métamédecine. a décelé la présence d’un foyer d’in-
internationale, psycho- cendie. Faire fi de cette alarme, c’est
thérapeute, connaît bien la souf- D.P. — Nous sommes ravis de risquer de se retrouver au cœur d’un
france humaine. Elle s’intéresse vous rencontrer car votre approche brasier.
depuis longtemps aux maladies qui est très proche de celle de nombreux
frappent l’homme mais surtout elle praticiens en bio-énergie ! D.P. — Marchesseau disait de
en a cherché le sens, donc la cause, même !
pour mieux les guérir. Elle a su, C.R. — J’en suis également ravie,
pour cela, intégrer dans sa vie les je lis régulièrement votre revue que je C.R. — C’est ce que nombre de
enseignements des maîtres. C’est trouve remarquable. personnes font en avalant un médi-
en cherchant en elle-même le sens cament sans chercher à comprendre
de son propre mal-être et de ses D.P. — Comment pouvez-vous l’origine du signal. Cela n’implique
propres maladies qu’elle est parve- définir la Métamédecine ? pas pour autant qu’il faille refuser le
nue à en comprendre le sens et, du médicament qui pourrait nous soula-
même coup, les causes. C’est grâce C.R. — La Métamédecine pourrait ger. Cela suppose de ne pas recher-
à cela qu’elle a pu les transcen- tout aussi bien être définie comme cher uniquement l’effacement de la
der, se guérir et trouver l’équilibre la médecine des émotions puisque douleur ou la disparition des symptô-
que donnent l’harmonie intérieure c’est au niveau des sentiments et des mes, mais également l’élément qui les
et la sagesse. C’est ce qui caracté- émotions qu’intervient l’intervenant a produits.

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La Métamédecine affectives. Puis la remise en question, trouver refuge chez ses parents. C’est
la recherche de réponses à mes inter- là que je suis née, portant déjà un lourd
aide à reconstituer rogations : pourquoi suis-je toujours passé fœtal.
l’histoire d’un malaise malade, pourquoi mes relations affec-
tives sont-elles si difficiles, pourquoi D.P. — Pensez-vous que les pro-
D.P. — Comment la Métamédecine ma vie est-elle une suite de succès et blèmes vécus à votre naissance ont
peut-elle intervenir dans un proces- d’échecs ? Enfin, ce fut la prise en pu générer d’autres pathologies ?
sus de guérison ? charge et un long cheminement vers
l’éveil de ma conscience qui m’a per- C.R. — Hélas oui, je portais un
C.R. — La Métamédecine aide à mis par la suite de guider les autres par profond mal de vivre qui se manifesta
reconstituer l’histoire d’un malaise, les découvertes que je faisais pour me à travers bien d’autres affections telles
d’une maladie ou d’un mal-être pro- libérer de mes souffrances et retrouver que furoncles, orgelets, amygdalites,
fond en remontant autant que possible le bien-être. laryngites, psoriasis, eczéma, mai-
à l’apparition des premiers symptômes greur, entorse, hypotension, anémie,
ressentis. Pour ce faire, on utilise les D.P. — Vous avez eu plusieurs hypoglycémie, allergies, maux de dos,
clés qui orientent le questionnement problèmes de santé ? lithiase biliaire, cancer du col et j’en
pertinent en vue de découvrir la ou les passe. Ce que je ne peux cependant
causes du mal. C.R. — Mes problèmes de santé taire, c’est la souffrance silencieuse
ont surtout débuté à l’âge de six ans. qui m’habitait et qui se traduisait par
D.P. — Quel est le rôle d’un C’est l’âge où je fus envoyée au pen- des dépressions très marquées dont
intervenant en Métamédecine ? sionnat pour entreprendre ma première mon entourage ne se doutait nulle-
année de scolarité. Cette année fut ment, mais dans lesquelles je m’enfon-
C.R. — Il consiste à accompa- marquée par des rhumes, des pneumo- çais d’année en année. Je me sentais
gner la personne dans sa démarche : nies et une première opération pour intérieurement si perturbée que je crai-
en l’aidant à rechercher le facteur m’enlever les adénoïdes. Je passai plus gnais d’être folle.
qui a causé la rupture de l’harmonie de la moitié de cette première année
de son organisme et sa souffrance d’études à l’infirmerie, de sorte que je D.P. — Avez-vous cherché de
morale ou physique. Il faut amener dus la redoubler. l’aide ?
la personne à prendre conscience de
l’attitude mentale responsable, l’aider D.P. — Pensez-vous que ces pro- C.R. — Je collectionnais les cartes
à libérer l’émotion ou le sentiment blèmes avaient des racines plus pro- de visites des hôpitaux aussi bien que
lié à cette attitude, tels que : un cha- fondes ? les flacons d’ordonnance. Je croyais en
grin refoulé, une peur entretenue, un la médecine traditionnelle, m’y étant
secret non révélé, une rancune non C.R. — Je suis née avant terme orientée par mes études et m’y étant
libérée, un sentiment d’injustice, une avec le cordon ombilical noué autour spécialisée. Mais plus je faisais usage
culpabilité, etc. Il faut guider la per- du cou. J’ai mis plus de trois semai- de cette médecine, plus je m’enlisais
sonne dans un processus de transfor- nes à ouvrir les yeux. Ma mère me dans la maladie et dans la souffrance
mation d’une croyance non favorable, croyait aveugle. Je dois préciser que que je portais.
d’une compréhension douloureuse le déroulement de la grossesse de ma
d’un événement passé et enfin l’en- mère se fit dans des conditions pitoya-
courager à prendre une décision favo- bles. Mariée à un homme alcoolique et Mes tentatives
rable ou à faire une action précise qui violent qui la battait, chaque grossesse
entraînera le rétablissement de l’har- s’avérait être pour elle un véritable cau- de suicide furent
monie et, par conséquent, le retour à chemar. À l’annonce de cette nouvelle mes derniers appels
la paix intérieure qui se manifeste par maternité, mon père lui déclara : « Ce
un état de bien-être. veau qui va naître, je vais le tuer sur
au secours
le coin de la maison ». Ma mère était
D.P. — Quel a été votre chemi- si malheureuse qu’elle aurait voulu D.P. — Vous étiez aux portes du
nement pour mettre en place cette en finir en se jetant dans la rivière, suicide ?
thérapie ? mais sa responsabilité de mère l’en
empêchait. Plus approchait le jour de C.R. — Mes tentatives de suicide
C.R. — Ce fut d’abord la souf- ma naissance, plus la violence de mon furent mes derniers appels au secours.
france, que je traînais de mon passé père augmentait. Une nuit, sa fureur C’est au cours d’une mort clinique
et que je revivais dans mes relations fut telle que ma mère dut s’enfuir pour que j’allais renaître. Ce ne sont pas

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Exclusivité

le lavage gastrique ou les injections mère, de mes sœurs, de mes amis. me sciait le muscle de la cuisse. Je
médicamenteuses qui m’ont redonné Pourquoi ? Pour plusieurs raisons, souffrais également de constipation
l’énergie ou le désir de vivre mais plu- dont le désir de combattre un senti- accompagnée de gaz intestinaux et,
tôt la voix douce et accueillante d’une ment d’avoir été méchante. En m’oc- pour couronner le tout, d’une infection
jeune infirmière qui, me voyant inerte, cupant des autres, cela me donnait des gencives avec maux de dents. C’en
branchée à un respirateur, émit dans l’impression d’être bonne. Il y avait était assez, il me fallait prendre une
une grande compassion ces simples également un besoin d’être aimée et décision, faire face à mes peurs. La
mots : « Ah ! Mon Dieu, la pauvre même une raison de vivre. Celle-ci plus grande d’entre elles étant de me
chatte ». C’est après cet événement toutefois je ne la découvrirai que bien tromper et de ne pouvoir faire marche
que j’entrepris une démarche, non pas des années plus tard. arrière.
pour me libérer de ce mal de vivre
(j’en ignorais l’existence), mais pour D.P. — Qu’est-ce que cette prise
comprendre ce qui m’avait conduite à de conscience a eu comme répercus- « Si, moi,
ces dépressions. sion dans votre façon d’agir ?
j’ai pu me sortir
D.P. — Est-ce à ce moment C.R. — Dès cette prise de conscien- de cette souffrance
que vous prenez conscience de la ce, je décidai de laisser aux autres leurs
Métamédecine ? problèmes. Auparavant je leur trouvais
qui m’accablait
des solutions et le plus souvent je deve- depuis si longtemps
C.R. — Non, je n’en étais qu’à nais leur solution. Désormais, j’allais toute personne
mes premiers pas dans ce qui allait me contenter de les aider à s’aider, si
devenir six années plus tard les bases toutefois ils me le demandaient. Je pus le peut également. »
de la Métamédecine avec la sortie constater dans les jours qui suivirent
d’un premier livre « Participer à l’uni- la disparition de mes maux de dos. Je
vers sain de corps et d’esprit » qui est cessai les exercices et les traitements D.P. — Vous avez alors rencontré
aujourd’hui épuisé. de physiothérapie. le docteur Herbert Beierle !

D.P. — Dans votre livre vous évo- D.P. — Par la suite vous avez C.R. — Il offrait un séminaire sur
quez par exemple, le mal de dos. poursuivi vos recherches pour « La maîtrise de sa vie ». Je lui parlai
découvrir les causes de vos autres de mon indécision. Il me dit : « Dans la
C.R. — Ce qui brisa mes résistan- maux ? vie, on ne fait jamais d’erreur, on fait
ces et m’amena à approfondir cette seulement des expériences. Qu’es-tu
approche, c’est un mal de dos pour C.R. — J’entrepris en effet d’élimi- venue faire dans ce monde sinon vivre
lequel je recevais des traitements de ner tous mes malaises par cette appro- des expériences pour ton évolution ? »
physiothérapie depuis deux années. che. Plus j’avançais dans mes décou- Voilà ce que j’avais besoin d’enten-
On avait diagnostiqué, à l’aide d’une vertes, plus j’y gagnais au niveau de dre. Je pris la décision de quitter mon
radiographie de ma colonne vertébrale, ma santé. Toutefois, en même temps, emploi. Ma famille et mes collègues
que j’avais une malformation de la j’y perdais l’intérêt pour mon travail de travail tentèrent tant qu’ils le purent
cinquième lombaire, ce qui, selon la en microbiologie. Je me disais : « Mais de m’en dissuader. Mais ma décision
médecine, causait mes maux de dos. qu’est-ce que je fais ici ? Je ne contri- était ferme : je démissionnai de l’em-
On avait envisagé une intervention bue qu’à éliminer les effets alors qu’il ploi que j’occupais en milieu hospita-
chirurgicale, mais je ne me sentais pas serait tellement plus important de tra- lier. Tous mes malaises disparurent. La
prête à accepter cette solution. vailler à éliminer les causes ». partie n’était pas gagnée pour autant.
Je n’étais qu’au début de mes décou-
D.P. — Vous faites alors votre D.P. — Pouviez-vous vivre de ce vertes. Je me joignis à un centre de
premier rapprochement entre la nouveau travail à cette époque ? croissance afin de poursuivre mes étu-
maladie et la cause ? des de métaphysique. Je continuais à
C.R. — Quitter ce travail qui était faire des liens. Cependant, bien des
C.R. — Je fis, grâce à cette petite ma sécurité financière n’était pas facile. questions restaient sans réponse et bien
brochure de Louise Hay, le rappro- Dans cette nouvelle approche, aucun des malaises que j’expérimentais sans
chement entre le dos et le soutien. salaire ne m’était proposé. J’avais peur vraiment le souhaiter ne se trouvaient
Qu’est-ce que je prenais sur mon de l’inconnu. C’est à ce moment que je pas dans la petite brochure de Louise
dos ? Je prenais les problèmes de tout commençai à ressentir des douleurs au Hay J’ai dû en faire les frais pour
mon entourage, c’est-à-dire de ma niveau du nerf sciatique. Une douleur découvrir la cause.

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D.P. — Votre vie est une suite de leucémie aiguë, cependant, mes con- D.P. — Vous arrivait-il de ne pas
rencontres car vous faites la con- naissances en pathologie aidant, je savoir à quelle cause pouvait être
naissance du médium Alex Tanous savais qu’il s’agissait d’une prolifé- reliée une pathologie ?
qui animait des séminaires de crois- ration de globules blancs immatures.
sance ! De façon générale, les globules blancs C.R. — Parfois, je me deman-
assument un rôle de défense. J’orientais dais ce que le malaise ou la maladie
C.R. — Il m’a permis de com- donc mon questionnement dans cette imposait à la personne. Si, par exem-
prendre le lien qui unit notre présent direction. Antonia avait-elle eu le sen- ple, cela imposait un arrêt de tra-
au passé. Je découvris, grâce à lui, timent d’avoir à se battre ? En avait- vail, une immobilisation ou une pri-
qu’une majorité des vation, n’était-ce pas
difficultés que nous ce qu’elle recherchait
rencontrons à l’âge inconsciemment ? Par
adulte sont en réso- exemple, l’immobi-
nance avec des situa- lisation : la personne
tions émotionnelles n’avait-elle pas besoin
non résolues de notre d’un temps d’arrêt
passé. Le centre de qu’elle ne s’autorisait
croissance personnelle pas ? Celles que cela
dans lequel je m’étais privait de plaisir ne
investie depuis des recherchaient-elles pas
années m’avait beau- à s’autopunir ? C’est
coup apporté. Sa direc- ainsi que je poursuivis
trice m’avait conduite mes recherches.
aussi loin qu’elle le
pouvait. Il me fallait D.P. — Comment
désormais continuer vous est venue l’idée du
mes recherches par nom Métamédecine ?
mes propres moyens.
Je mis l’accent sur la C.R. — Lorsque
thérapie individuel- l’on me demandait le
le et de groupe. Me nom de cette approche,
servant au départ des je n’avais pas de nom
connaissances acqui- précis à donner et cela
ses, j’approfondissais n’avait pas d’importan-
par le questionnement ce. Pour moi, seuls les
la cause probable du résultats comptaient. Il
problème pour lequel en allait autrement pour
un ou une participante ma secrétaire qui, elle,
me consultait. se trouvait bien ennuyée
de ne pouvoir répondre
D.P. — Pouvez- à cette question. Puis
vous nous donner des un jour, je fis une émis-
exemples de patients sion de télévision pour
malades qui ont été un réseau communau-
traités par votre taire. Celle-ci s’intitu-
méthode ? lait Métamédecine. Elle
elle maintenant assez de cette lutte voulait démontrer l’importance d’aller
C.R. — Mes livres en sont remplis où elle se sentait perdante ? C’était au-delà des moyens proposés par la
mais, si vous le souhaitez, prenons exactement cela. En libérant ce sen- médecine. C’était exactement ce que
l’exemple d’Antonia que j’ai eue en timent de découragement, en recher- je faisais. Dès lors, j’ai pu mettre un
consultation. Elle était atteinte de leu- chant des solutions qu’elle n’avait pas mot sur cette approche que je déve-
cémie aiguë. Les médecins lui avaient envisagées mais qui s’avérèrent très loppais. Ce n’est que six années plus
donné trois mois à vivre. J’ignorais favorables, elle guérit sa leucémie et tard, après avoir rencontré plus de
totalement ce qui pouvait causer une recouvra la santé. trois mille personnes en thérapie et

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Exclusivité

m’être autoguérie, que je me décidai d’un médecin le médicament ou l’in-


à écrire. Je pensais : « Si, moi, j’ai tervention qui réglera définitivement
pu me sortir de cette souffrance qui leur problème et qui ne veulent pour
m’accablait depuis si longtemps toute rien au monde remettre en question
personne le peut également ». J’avais leur façon de penser ou de réagir.
tant de merveilleuses découvertes à
partager mais, en même temps, je D.P. — La France vient de recon-
craignais d’en être incapable. Je fis naître les ostéopathes et les chiro-
face à cette peur en plongeant, malgré practeurs. Quelle est la situation des
mon inexpérience de ce domaine, dans praticiens alternatifs au Canada ?
le monde de l’écriture. Je laissai mon Existe-t-il un statut légal de ces pro-
cœur et ma mémoire se raconter par fessions : magnétisme, radiesthé-
l’intermédiaire de ma plume. Et c’est sie etc. ?
ainsi qu’est né le premier livre.
C.R. — Désolée, je ne saurais
D.P. — Avez-vous été l’objet de répondre à cette question.
poursuites pour exercice illégal de la
médecine ? D.P. — Travaillez-vous avec la
phytothérapie ?
C.R. — La Métamédecine ne
pose pas de diagnostics, pas plus C.R. — Nous ne travaillons pas
qu’elle ne propose de traitements. avec une approche spécifique puisque
Elle vise davantage à une introspec- la Métamédecine peut être complé- en font partie et je compte développer
tion personnelle en vue d’éliminer mentaire de toutes les approches thé- un jour cette association au niveau
les facteurs responsables du malaise rapeutiques. mondial.
ou de la maladie, qui bien souvent
sont d’ordre émotionnel. De plus, D.P. — Avez-vous une école de D.P. — Quel est le but de votre
la Métamédecine encourage une formation pour les praticiens ? travail ?
meilleure collaboration entre patient
et médecin ou consultant-interve- C.R. — Si vous parlez d’un lieu C.R. — Apporter ma contribution
nant. En ce sens, elle n’a rien d’il- particulier, non. Mais, si vous pen- à ce monde pour que de plus en plus
légal. C’est sans doute pour cette sez à un regroupement de personnes de personnes connaissent la santé, le
raison que je n’ai jamais été l’objet partageant une même philosophie de bien-être et la joie de vivre.
de poursuites. De plus nombre de pensée basée sur l’écoute en profon-
médecins se servent de cette appro- deur et la compassion, oui. J’ai en Entrevue réalisée
che avec leurs patients qui y sont effet fondé il y a maintenant plusieurs dans le sud de la France
ouverts car il y a encore bien des années l’Association des intervenants par Daniel Perraud
patients qui souhaitent plutôt obtenir en Métamédecine. Plusieurs personnes le 3 novembre 2001

DEVENIR NATUROPATHE avec Clara et Michel Carpenet


Les NATUROPATHES traitent les patients en rétablissant la santé générale plutôt qu’en supprimant quelques symptômes
clés. Les NATUROPATHES sont plus préoccupés à trouver la cause sous-jacente d’une condition et dans l’application
de traitements qui sont compatibles avec les mécanismes naturels de guérison de l’organisme plutôt que contraires. Les
traitements naturopathes ont moins d’effets adverses, et empêchent la chronicité qui résulte invariablement lorsque la
cause de la maladie est négligée. Avec l’application des principes de la naturopathie, le pratiquant peut administrer un
ou plus de traitements spécifiques, mécaniques, nutritionnels, manuels, phytothérapeutiques sous forme d’appareil ou
substances. Le but du pratiquant est d’enlever les obstacles au fonctionnement normal de l’organisme, tout en appliquant
des forces naturelles pour faciliter la rémission. Seules les préparations et doses qui sont en harmonie avec l’économie
de l’organisme sont utilisées, pour modifier les fonctions aberrantes, éliminer de l’organisme les déchets cataboliques, et
stimuler ses processus anaboliques.
Lieux : Bordeaux - La Rochelle - Nice - Paris - Dax - Lyon - Brest
Réservations : 05 49 28 36 69 ou 06 08 86 98 59 e-mail : cam@wanadoo.fr

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