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Introduction

La productivité est essentielle dans certains secteurs, notamment en cas de


concurrence sérieuse. Le salarié doit accéder rapidement à son poste de travail,
et son temps de travail doit être mesuré précisément pour ne léser personne, ni le
salarié, ni l'employeur. Selon le secteur d'activité, la pointeuse permet également
de faire gagner du temps à l'équipe de la gestion paie, qui n'aura qu'à vérifier
rapidement les cohérences des informations pour établir à l'aide d'un logiciel de
pointage les documents sociaux du salarié, comme son bulletin de salaire. En
résumé, l’installation d’un tel système fera gagner à vos pôles RH un temps
conséquent en leur facilitant les opérations du décompte des horaires de
présence des collaborateurs.
Sur le papier, les différents systèmes de pointage présentent beaucoup
d'avantages, mais dans les faits, ils doivent répondre à un cadre légal et juridique
très précis.
Les différents systèmes de pointage
Il existe différents systèmes de pointage :
Feuille de pointage : c’est l’enregistrement papier ou numérique des données
fournies par la pointeuse. Elle peut aussi être remplie manuellement et constituer
à part entière un moyen de contrôle du temps de travail. [1]

Figure II.1 : Feuille de pointage [1]


Pointeuse mécanique : ce système simple doté d’une horloge permet de
connaître les heures d’arrivée et de départ du personnel via l’insertion d’une
carte ou la pression d’un bouton. Les pointeuses mécaniques (ou numériques)
permettent aux salariés d'insérer un support (carton ou carte plastique) qui
servira notamment de rappel d'identité, et sur lequel est noté de manière
informatisée les horaires d'arrivée, de pauses et de départ de l'entreprise. [2]

Figure II.2: Pointeuse mécanique [2]

Pointeuse mobile : ce système de pointage permet de contrôler le temps de


travail des salariés non sédentaires et passant une partie importante de leur
temps en dehors des locaux de l’entreprise. Ainsi, le gain de temps et la
simplicité d'utilisation favorise la productivité de certains secteurs. [1]

Figure II.3: Pointeuse mobile [1]


Badgeuse : c’est une évolution de la carte à insérer dans la pointeuse. Il s’agit
désormais d’un badge à insérer dans la pointeuse, les données sont ensuite
enregistrées et traitées automatique. [1]
Figure II.4: Badgeuse [1]
Pointeuse biométrique : il s’agit du système de pointage le plus évolué, car il
permet d’enregistrer des données physiologiques comme les empreintes
digitales, le fond de l’oeil… [1]

Figure II.5: Pointeuse biométrique [1]


La biométrie :

La biométrie est un ensemble des technologies qui utilise les caractéristiques


physiques et comportementales de l’être humain. Les caractéristiques sont
traitées par ensembles de commandes automatiques utilisant plusieurs
dispositifs, tels que les scanners et les appareils-photo. Les caractéristiques
comprennent les empreintes digitales, la signature, l'iris, la voix, le visage et les
gestes pour distinguer les personnes.

Contrairement aux mots de passe ou des PINs (numéros d'identification


personnelle) qui sont facilement oubliés, ou des cartes magnétiques qui doivent
être portées par l'individu et sont faciles à être volées, copiées ou perdues ; les
caractéristiques biométriques sont uniques à l'individu, car elles se distinguent
des autres et il n’ya aucune possibilité de remplacer ces caractéristiques, Les
technologies biométriques sont donc considérées comme les plus puissantes en
termes de sécurité.
Un système biométrique peut fonctionner en deux modes :

-Vérification : Le système vérifie l'identité de la personne à partir de la


comparaison des données biométriques saisies avec la base de données. Dans le
système, la personne qui souhaite s'identifier est requise généralement via un
numéro d'identification personnel (PIN), un nom d'utilisateur ..., et le système
effectue la comparaison un à un pour déterminer si ces données dynamiques
appartiennent-elles à cette personne ou non.

- Identification : Le système détermine l’individu en recherchant les signatures


pour tous les utilisateurs dans la base de données. Le système effectue plusieurs
comparaisons pour établir l'identité de la personne (ou échoue si le sujet n'est
pas enregistré dans la base de données de système). [3]

Architecture d’un système biométrique

Il existe toujours au moins deux modules dans un système biométrique : Le


module d’apprentissage et celui de reconnaissance. Le troisième module
(facultatif ) est le module d’adaptation. Pendant l’apprentissage, le système va
acquérir une ou plusieurs mesures biométriques qui serviront à construire un
modèle de l’individu. [4]

Figure II.6: Architecture d’un système biométrique [4]


La pointeuse biométrique

Parmi les systèmes de pointage les plus récents, la pointeuse biométrique


simplifie davantage le contrôle d'accès des salariés. Durant une période,
l'employeur et son équipe se chargent de récupérer un détail humain de chaque
salarié, comme par exemple une empreinte digitale ou un contour de main. [2]

Ce détail est ensuite enregistré dans le lecteur de la pointeuse, qui sera utilisé
quotidiennement et simplement par l'ensemble des collaborateurs. L'utilisation
de la pointeuse biométrique est cependant bien plus réglementée que les autres
systèmes de pointage. Dans tous les cas, le support (papier ou numérique)
rassemblant les informations de la pointeuse s'appelle la feuille de pointage.

Cette badgeuse plus moderne propose de multiples avantages. D'une part, elle
pallie les pertes éventuelles de badges et autres clés. D'autre part, la pointeuse
biométrique offre une sécurité accrue. De fait, il n'est plus possible de prêter son
badge à quelqu'un, chaque employé doit apposer ses empreintes digitales pour
accéder à l'entreprise. Attention toutefois lors de la mise en place. [5]

Avantages d’une pointeuse biométrique

Système d’identification utilisant la technologie de l'empreinte digitale.

- Ce lecteur identifie et enregistre le pointage d’une personne en moins d’une


seconde.

- Convivial.

- Evite la fraude (pas d’échange de badges possible).

- Sûr (possibilité d'enregistrer plusieurs doigts par personne).

- Simple d’utilisation (l’enrôlement des mains du personnel se fait directement


sur le lecteur à l’aide du clavier ou écran).
Economique (plus de badge à acheter ou à gérer). [5]

Les différents types d’une pointeuse biométrique

La pointeuse biométrique réagit en déclenchant un décompte des horaires de


travail quand un de ses capteurs (caméra, pad, etc.) reconnaît une caractéristique
humaine comme :

➢ Des empreintes digitales.


➢ Le contour d'une main.
➢ Un visage.
➢ Un iris.
➢ Etc. [6]

Empreinte digitale

Historique

Les premières traces d'utilisation d’empreintes digitales ont été découvertes en


Egypte et datent de l’époque des pyramides il y a plus de 4000 ans. Les Chinois
ont aussi utilisé très tôt ce moyen pour signer les documents officiels (le plus
vieux document signé date du troisième siècle avant Jésus Christ) mais ils ne
savaient sûrement pas que les empreintes étaient uniques pour chaque personne
et permettaient ainsi une identification fiable. C’est en 1856 que l’anglais
William Hershel, après avoir utilisé les empreintes en guise de signature sur la
population indienne qu’il dirigeait, commença à comprendre que les empreintes
étaient uniques et constantes dans le temps. En 1888 le britannique Francis
Galton publia une étude sur les empreintes digitales où il établit leurs
caractéristiques (Unicité, Les empreintes furent adoptées officiellement en
Angleterre dans le système judiciaire.

Cette technique fut ensuite largement développée dans les enquêtes criminelles
et permit de résoudre un bon nombre d'affaires. De nos jours les empreintes sont
toujours largement utilisées et reconnues comme méthode d’identification
fiable. [7]

Définition

La reconnaissance d’empreinte digitale est la technique biométrique la plus


utilisée. Elle est utilisée depuis un siècle pour l’identification criminelle. Elle
correspond à l’essentiel du marché actuel et son utilisation sera sans doute
amenée à se développer. Elle possède un taux de fiabilité suffisant pour
permettre d’identifier les individus dans de grandes bases de données. Utilisée
depuis longtemps dans le contexte judiciaire, elle n’est pas toujours très bien
acceptée par les utilisateurs à cause de l’association qui est souvent faites avec la
criminologie. Néanmoins, elle présente un bon compromis entre les contraintes
d’utilisation et la fiabilité recherchée.

Les empreintes digitales sont uniques à chaque individu, en effet on estime à


1/64 milliard la probabilité pour que deux individus aient les mêmes empreintes
digitales. [8]

L’empreinte digitale scientifiquement est composée des crêtes qui contiennent


des pores et des sillons, et les pores permettent de sortir 80% eaux et
20%matières organiques, ces matières laissent des marques sous formes des
lignes. [4]

Figure II.7 : images des différentes classes d’empreintes digitales [8]


Figure II.8: Etude du dessin digital [4]

Principe de fonctionnement

L'authentification par les empreintes digitales repose sur la concordance entre le


fichier d'enregistrement, ou « signature », obtenu lors de l'enrôlement et le
fichier obtenu lors de l'authentification. Ces deux fonctions se décomposent
chacune en plusieurs étapes :

Fonction l : Enregistrement(enrôlement) :

➢ Capture de l'image de l'empreinte. Les données d'un doigt sont en principe


suffisantes à l'enrôlement, mais la plupart des systèmes enregistrent au
moins deux doigts (un par main par exemple) pour parer l'indisponibilité
résultant de petites blessures.
➢ Numérisation de l'image afin d'extraire les minuties, ou éléments
caractéristiques.
➢ Enregistrement sur un support, (carte à puce, disque dur...).
Figure II.9 : phase d’enregistrement d’une empreinte digitale. [8]

Fonction 2 : Authentification :

➢ Capture de l’image de l’empreinte.


➢ Numérisation de l'image afin d'extraire les minuties, ou éléments
caractéristiques.
➢ Comparaison entre l'échantillon et le gabarit « signature ».
➢ Prise de décision.

Figure II.10 : phase d’authentification d’une empreinte digitale. [8]

Etapes de traitement :

Lorsque la capture de l'image est réalisée, elle doit être convertie dans un format
approprié. L'extraction des minuties est réalisée grâce à différents algorithmes. Il
s'agit ensuite par une technique mathématique (segmentation) d'éliminer les
informations non utiles au système : niveau de bruit trop élevé (image sale, doigt
mal placé). L'image est numérisée afin de localiser précisément les terminaisons
et les bifurcations, les crêtes sont affinées de 5 à 8 pixels à 1 pixel (à voir plus en
détail dans le chapitre qui suit). [8]

Les classes de l’empreinte digitale

Français Galton (1822-1916) ont été faites les premières études scientifiques sur
les classifications des empreintes digitales, ces études ont affiné par Edward
Henry (1850-1931), il est classé les empreintes en cinq classes : arc, arc tendu,
boucle à gauche, boucle à droite, et spire.

Classe 1: il contient en maximum un Delta et au moins une crête montre une


courbure élevée, est une classe poubelle.

Classe 2: il contient un Delta à droite et des boucles situé en côté à gauche de

l’empreinte.

Classe 3:il contient un Delta à gauche et des boucles situé en côté à droite de

l’empreinte.

Classe 4:il contient un Delta à gauche et d’autre à droite avec un centre spirale.

Classe 5:il contient trois Delta autour de forme besace.

Classe 6 :il contient des empreintes invisibles. [4]


Figure II.11 : Les formes des crêtes à la zone centrale de l’empreinte [4]

Amélioration de l’empreinte digitale

Pour améliorer la reconnaissance des empreintes digitales il faut d’abord faire


un traitement l’empreinte, cette traitement prendre l’empreinte digitale comme
une image numérique .Dans un côté informatique c’est quoi une image
numérique ?

On peut représenter l’image numérique comme une interface divisé dans


ensembles des cellules appelée pixels de tailles fixes et chaque pixel a une
couleur correspond à l’image réal. Et on générale l’image numérique définie par
un ensemble de pixels situé dans un espace limité par une hauteur et largeur. Le
dynamique de l’image chaque pixels pendre teintes de gris ou des couleurs. [4]

Reconnaissance d'empreintes

a-Caractéristique de l’empreinte digitale

Une empreinte digitale est une marque laissée par les bords des doigts, des
mains et des orteils.
Figure II.12 : Caractéristique de l'empreinte [9]

Les empreintes digitales sont regroupées en trois grandes catégories qui


représentent à elles seules 95 % des doigts humains : arc, spirale et anneau. Au
sein de chacune de ces catégories, il existe un très grand nombre d'empreintes
digitales, qui sont les éléments qui nous distinguent les uns des autres. Aux
cicatrices s'ajoutent des épines, des îlots et des indentations qui donnent un
caractère unique aux empreintes latentes.

Figure II.13 : Les trois grandes categories [9]

Les boucles constituent les motifs les plus vulgaris qui représentent 60% des
doigts hu-mains : dans ce type d'empreinte se replient sur elles même soit vers la
droite, soit vers la gauche.

Les spires qui correspondent à 30% des_doigts_humains : cette empreinte,


comprend des lignes qui viennent s'enrouler autour d'un point, formant un genre
de tourbillon.
Les arches qui inclurent seulement 5% des doigts humains : cette empreinte
contient des lignes disposées les unes au-dessus des autres.

Chaque_empreinte possède un_ensemble de points_singuliers globaux (les


centres et les deltas) et points singuliers Locaux (les minuties). Les centres
correspondent à des lieux de convergences des stries tandis que les deltas
correspondent à des lieux de divergence.

Il existe seize types de minuties différentes mais en général les algorithmes ne


s’intéressent qu’aux bifurcations et terminaisons qui permettent d’obtenir les
autres types par combinaison. [10]

Figure II.14 : Types des minuties [9]

b- Les capteurs d’empreintes digitales

Capteur d’empreinte optique :

La méthode optique est une des méthodes les plus communes. Un appareil-photo
CCD (Dispositif Charge Couplé) est utilisé au coeur du capteur optique. Un
appareil-photo CCD se compose simplement d’une rangée de diodes sensibles
légères appelées photo sites. En général, le doigt est placé sur une surface en
verre et l'appareil-photo CCD prend la photo. Le système CCD contient une
rangée de LED qui illumine les creux et les bosses du doigt. Le prix constitue
l'avantage principal des systèmes optiques ; leur inconvénient est qu’ils sont
faciles à détourner. L’autre problème est celui des empreintes latentes :
l’empreinte digitale du doigt précédente, qui a été placé sur le capteur, peut
rester [8]

Figure II.15: Principe de fonctionnement d'un capteur d'empreintes digitales


optique [11]

Capteurs intégrés capacitif

Les capteurs intégrés capacitifs sont à l'heure actuelle les systèmes les plus
aboutis et les plus économiquement viables car pouvant être facilement réalisés
sur la base de technologies microélectroniques standards. Comme nous allons le
voir dans la suite, il existe plusieurs types de capteurs capacitifs qui utilisent soit
une, soit deux électrodes de mesure par pixel. Ces capteurs procèdent à
l'acquisition de l'empreinte en mesurant soit les perturbations locales du champ
électrique (pixel à double électrode), soit la variation de capacité entre
l'électrode de mesure (électrode unique) et la peau suivant que cette dernière est
en contact ou non avec la surface du système. [11]

Figure II.16: Capteur capacitif utilisant des pixels à double électrode [6]
Capteurs de champ-électrique

Ce capteur fonctionne avec un champ-électrique et le mesure au-delà de la


couche extérieure de la peau où l'empreinte digitale commence. Cette
technologie peut être utilisée dans des conditions extrêmes, c’est-à-dire même si
le doigt est sale ou sec. La technologie de champ-électrique crée un champ entre
le doigt et le semi-conducteur adjacent qui imite la forme des creux et des bosses
de la couche épidermique du doigt. Un amplificateur de sousPixel est utilisé
pour mesurer les signaux. Les capteurs fonctionnent ensemble afin de rendre une
image plus claire correspondant exactement au modèle de l'empreinte digitale.

On parvient ainsi à une image plus claire que ce que peuvent donner les
technologies optiques ou capacitives. L’inconvénient est la basse résolution
d’images et une trop petite zone d’image, ce qui a pour conséquence de générer
un haut taux d’erreur. [8]

Figure II.17 : Capteur de champ électrique. [8]

Capteur d’empreinte ultrasonore

La détection par ultrasons peut être considérée comme une sorte d'échographie.
Il est basé sur l'envoi de signaux acoustiques vers le bout du doigt et la capture
du signal d'écho. Le signal d'écho est utilisé pour calculer l'image de distance de
l'empreinte digitale et, par la suite, la structure de crête elle-même. Le capteur
comporte deux composants principaux : l'émetteur, qui génère de courtes
impulsions acoustiques, et le récepteur, qui détecte les réponses obtenues
lorsque ces impulsions rebondissent sur la surface de l'empreinte digitale
(Schneider et Wobschall (1991) et Bicz et al. (1999)). Cette méthode visualise la
sous-surface de la peau des doigts (même à travers des gants fins); La génération
actuelle de scanners d'empreintes digitales à ultrasons est nettement plus petite
qu'il y a dix ans et est même utilisée sur les smartphones ; cependant, la
technologie est toujours verrouillée par les fabricants et ne doit être utilisée que
par les produits propriétaire. [10]

Figure II-18 : Principe de fonctionnement de l'empreinte ultrasonore [10]

Traitement informatique d’une empreinte digitale

Différents procédés que nous ne développerons pas ici permettent l’acquisition


c’est à dire la capture de l’empreinte.

L’image d’origine est binarisée (noir et blanc) puis squelettisée (les stries ont
toutes la même épaisseur de 1 pixel).

On peut ensuite grâce à différents algorithmes extraire les minuties et éjecter les
« fausses ».

On récupère ainsi en moyenne une centaine de minuties par empreinte.

On obtient alors la signature de l’empreinte.

D’une manière générale on distingue deux catégories d’algorithmes de


reconnaissance d’empreintes digitales :la première catégorie concerne les
algorithmes plutôt « conventionnels» qui s’appuient sur la position relative des
minuties entre elles, alors que la seconde regroupe les algorithmes visant à
extraire d’autres particularités de l’empreinte digitale telles que la direction
locale des sillons, ou encore les composantes fréquentielles locales de la texture
au coeur de l’image. [6]
L’approche retenue, appartenant à la première catégorie, est celle proposée par
A.K Jain qui est vraisemblablement la plus connue. On réalise successivement le
filtrage directionnel et la binarisation de l’image, la squelettisation des sillons
(voir figure ci-dessous), puis on détermine la position des minuties au sein de
l’image pour quantifier les caractéristiques de ressemblance entre deux gabarits
par « point pattern matching ».

Figure II.19: Les principales étapes en images [4]

Le premier algorithme de traitement des images d’empreintes permet de


s’affranchir du bruit lié à la mesure, perturbations désignées sous le terme de
bruit image (provenant essentiellement de l’imperfection de la peau et des
poussières entre le doigt et le capteur), mais aussi de mettre en évidence
l’information relative aux sillons en les synthétisant sous forme filaire par leur
squelette. La méthodologie globale retenue pour ce prétraitement est tout à fait
classique.

Chaque minutie est repérée et répertoriée comme suit :

➢ Le type de minutie : bifurcation ou terminaison.


➢ La position de la minutie dans l’image : coordonnées (x; y).
➢ La direction du bloc local associé à la strie : θ. [6]
Bibliographie

[1] http://www.secu-mag.com.tn/articles/systemes-de-pointage.html.

[2] https://www.horloges-huchez.fr/blog/tout-savoir-sur-le-pointage.

[3] DEBBI Adlene Azzeddine et BENDAOUADJI Yacine, Système d’accès sécurisé


multimodal à base de « géométrie et empreinte palmaire » de la main, mémoire de
master, Université Abdelhamid Ibn Badis Mostaganem, 2019.

[4] Ben Hamed Amina et Medjadji Omar, Reconnaissance des Empreinte digital. Mémoire
de fin d’étude pour l’obtention du diplôme Master en informatique, 17 juillet 2015.

[5] https://www.horloges-huchez.fr/badgeuse.

[6] SAYAH MANEL, Système de pointage par empreinte digitale, MÉMOIRE DE


MASTER, Université Mohamed Khider de Biskra, 2019.

[7] Attallah bilal, Conception d’un système de Reconnaissance des empreintes digitales par
apprentissage, Mémoire de Master, 2012.

[8] OUKIL Kahina et ZERBOUT Ania, Contrôle d’accès à base d’empreinte digitale,
MEMOIRE DE MASTER, UNIVERSITE MOULOUD MAMMERI DETIZI-OUZOU,
2019.

[9] D. M. A. K. J. S. P. Davide Maltoni, , Handbook of Fingerprint Recognition, New York:


Springer, 2003.

[10] REZZAG OMAR et BELABBASSI TAREK, Conception et réalisation un système de


pointage et de contrôle d’accès à base d’empreinte digitale, Mémoire de master,
Université de Ghardaïa, 2022.

[11] F. Parrain. , Capteur intégré tactile d’empreintes digitales à microstructures


piezorésistives. Autre [cs.OH]. Institut National Polytechnique de Grenoble -INPG,
Français. fftel-00002923f., 2002.

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