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Sommaire
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Début

1Historique

2Conventions sur les numéros de version

3Éditions et licences

Afficher / masquer la sous-section Éditions et licences

3.1À propos de la virtualisation

3.2Logiciels Oracle gratuits

4Téléchargement des produits

5Fonctionnalités

Afficher / masquer la sous-section Fonctionnalités

o
5.1Principales

5.2Fonctionnalités annexes

6Plates-formes prises en charge

7Connecteurs

8Outils de sauvegarde

9Outils d'administration

10Liste de records

11Certifications

12Notes et références

13Voir aussi

Afficher / masquer la sous-section Voir aussi

13.1Articles connexes

13.2Liens externes

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Oracle Database
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Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (avril 2009).


Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de
qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références
utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références »

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Oracle Database

Informations
Développé par Oracle Corporation
Dernière version 21c (13 janvier 2021)1
Écrit en Java, C et C++
Système d'exploitation Multiplateforme
Environnement Multiplate-forme (voir section dédiée)
Formats lus Oracle Trace Metadata (d)
Formats écrits Oracle Trace Metadata (d)
Type SGBD
Licence Commercial
Site web www.oracle.com/fr/

modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide)

Oracle Database est un système de gestion de base de données relationnelle (SGBDR) qui
depuis l'introduction du support du modèle objet dans sa version 8 peut être aussi qualifié de
système de gestion de base de données relationnel-objet (SGBDRO). Fourni par Oracle
Corporation, il a été développé par Larry Ellison, accompagné entre autres, de Bob Miner et
Ed Oates.

Aidez-nous à améliorer Wikipédia en répondant à une courte enquête


Participer à l’enquêteNon merci
Les données du sondage sont traités par un tiers parti. Politique de confidentialité.

Historique[modifier | modifier le code]


Software Development Laboratories a été créé en 1977. En 1979, l'entreprise change de nom
en devenant Relational Software, Inc. (RSI) et commercialise son produit Oracle V2 comme
base de données relationnelle. La version 2 ne supportait pas les transactions mais gérait les
fonctionnalités SQL basiques de requête et jointure. Il n'y a jamais eu de version 1, pour des
raisons de marketing, et la version 2 a été la première version proposée. Celle-ci fonctionnait
uniquement sur les systèmes Digital VAX/VMS.

En 1983, RSI devient Oracle Corporation pour être plus représentative de son produit phare.
La version 3 d'Oracle, entièrement ré-écrite en langage de programmation C, est publiée.
Celle-ci supportait les transactions grâce aux fonctionnalités de commit et rollback. C'est aussi
à partir de cette version que la plate-forme Unix est supportée.
En 1984, la version 4 supporte la cohérence en lecture (read consistency).

En 1985, la version 5 supporte les requêtes distribuées, dans le cadre de l'intégration du


modèle client-serveur avec l'arrivée des réseaux au milieu des années 1980.

En 1988, la version 6 supporte le PL/SQL, le verrouillage de lignes (row-level locking) et les


sauvegardes à chaud (hot backups, lorsque la base de données est ouverte). Oracle met sur le
marché son ERP Oracle Financials basé sur la base de données relationnelle Oracle Database.

En 1992, la version 7 supporte les contraintes d'intégrité, les procédures stockées et les
déclencheurs (triggers).

En 1995, acquisition d'un puissant moteur multidimensionnel, commercialisé sous le nom


d'Oracle Express.

En 1997, la version 8 introduit le développement orienté objet, et les applications multimédia


grâce aux services Oracle interMedia2, renommé Oracle Multimedia (en) depuis la version
11g3.

En 1999, la version 8i d'Oracle est publiée dans le but d'affiner ses applications avec Internet
(le i fait référence à Internet). La base de données comporte nativement une machine virtuelle
Java.

En 2001, la version 9i ajoute 400 nouvelles fonctionnalités et permet de lire et d'écrire des
documents XML. Elle intègre le moteur OLAP : le moteur Oracle Express est dorénavant
référencé au sein de l'option Oracle OLAP. Les données multidimensionnelles sont
accessibles à partir du langage SQL.

En 2003, la version 10g supporte les expressions rationnelles. Le g signifie grid ; un des
atouts marketing de la 10g est en effet qu'elle supporte le grid computing.

En novembre 2005, la version 10g Express Edition, complètement gratuite, est publiée, ainsi
que la version 10g Release 2.

En juillet 2007, la version 11g Linux et Windows.

En septembre 2009, la version 11g Release 2 est publiée4.

En juillet 2013, la version 12c est publiée5

En 2017, la version 12c release 2 (12.2.0.1) est publiée.

En 2018, la version 18c est publiée, il s'agit de la version 12.2.0.2 mais avec la nouvelle
convention de version.

En 2019, la version 19c est publiée.

En 2021, paraît la version 21c.


Conventions sur les numéros de version[modifier |
modifier le code]
Les numéros de version d'Oracle ont introduit une certaine confusion chez de nombreuses
personnes.

La nomenclature de version a changé au cours du temps, mais se base en général sur la


convention suivante : version X.Y.Z.a où X.Y désigne la version majeure du produit : 8.1 pour
8i, 9.2 pour 9i Release 2, etc. Ceci n'est plus vrai en 10, où l'on a une version majeure (10g),
déclinée en deux « releases ». Au sein d'une même version majeure (8i, 9i ou 10g), les
fonctionnalités générales du RDBMS sont censées être les mêmes.

Le chiffre Z désigne quant à lui le niveau de correctif générique appliqué. Oracle délivre en
général 3 ou 4 mises à jour (« patchset ») pour une version majeure, mais cela reste très
variable.

Enfin, le chiffre a désigne un niveau de correctif spécifique à un système d'exploitation, ou


une plateforme.

Depuis la version 7, les versions majeures du SGBD Oracle ont été les suivantes :

 Oracle 7 : 7.1, 7.2, 7.3


 Oracle 8 : 8.0.3, 8.0.4, 8.0.5, 8.0.6
 Oracle 8i : 8.1.5 (Release 1), 8.1.6 (Release 2), 8.1.7 (Release 3)
 Oracle 9i : 9.0.1 (Release 1), 9.2.0 (Release 2)
 Oracle 10g : 10.1 (Release 1), 10.2 (Release 2)
 Oracle 11g : 11.1 (Release 1), 11.2 (Release 2)
 Oracle 12c : 12.1 (Release 1), 12.2 (Release 2)

À partir de 2018, un rythme annuel de nouvelles versions est prévu : le numéro de version
rappellera l'année, la prochaine version sera donc la 18 (au lieu de la 12.2.0.2 initialement
prévue), la suivante la 19...

Éditions et licences[modifier | modifier le code]


L'ensemble des environnements (développement, test, intégration, homologation,
production…) utilisant le moteur de bases de données Oracle doit être sous licence. On
distingue deux modes de licences :

 Utilisateurs nommés : concrètement, nombre de personnes uniques se connectant aux


bases de données. Ceci convient à des applications de gestion typique en mode
client/serveur et aux environnements hors-production où le nombre d'utilisateurs est
connu. On note qu'Oracle applique un nombre minimal d'utilisateurs par "licence
processeur" (généralement 25).
 Licence Processeur : en fonction de la puissance du serveur hébergeant les instances,
un certain nombre de licences doit être acquis. Il faut prendre en compte deux
notions : premièrement, la puissance est définie par un nombre de processeurs (CPU),
et un nombre de cœurs par CPU. Deuxièmement un "core factor" s'applique en
fonction de la puissance que délivre le constructeur des processeurs. Exemple : La
majorité des processeurs Intel possède un facteur de 0,5 (cf : puces « multi-core »
(Intel, AMD, SPARC, Power). Avec ces éléments on fait le calcul suivant : (nombre
de CPU x nombre de cœurs par CPU x core factor). Et on obtient le nombre de
"licences processeur" qu'il faut acquérir. Cette option est directement dédiée aux
architectures trois tiers, où les applications positionnées au-dessus des bases de
données, vont générer des requêtes par un nombre inconnu d'utilisateurs. C'est
typiquement le cas lorsqu'une application est ouverte sur le Web et lorsque des
milliers de personnes peuvent potentiellement accéder à la base (sites web).

En version 10g, Oracle valorise le prix d'une licence selon 3 types :

 édition Entreprise : comprend toutes les fonctionnalités du produit,


 édition Standard : limitations apportées aux fonctionnalités et sur le nombre de
processeurs (4 maximum),
 édition Standard One : limitations apportées aux fonctionnalités et sur le nombre de
processeurs (2 maximum).

On notera qu'en plus de ces licences, Oracle facture en sus certaines options selon les règles
définies plus haut. Ainsi, les fonctionnalités suivantes doivent être spécifiquement achetées 6:

 Partitionning Oracle
 OLAP
 Oracle Advanced Security (ASO)
 Oracle Data Masking
 Data Mining
 Oracle RAC (en) Real Application Cluster (uniquement en Enterprise Edition)

À propos de la virtualisation[modifier | modifier le code]

Si un serveur Oracle est installé dans un environnement virtualisé (hors OracleVM) utilisant
plusieurs serveurs physiques, c'est le nombre de processeurs de l'ensemble des machines
physiques constituant le cluster qu'il faut licencier, car Oracle considère que le SGBD peut
utiliser tour à tour l'ensemble des processeurs de l'infrastructure. La plupart des personnes,
dans les entreprises moyennes ou grosses, ont une ferme de serveurs VMWare ou Hyper-V. Si
des produits Oracle soumis à licence sont utilisés, il faut impérativement analyser les besoins
et les coûts de licence. Par exemple, une ferme de 4 serveurs composés chacun de 4
processeurs Intel (CPU), tous composés de 2 cœurs sera « licenciée » pour 4*4*2*0,5 = 16
licences CPU — ce qui peut devenir prohibitif. C'est la raison pour laquelle, la technologie
OracleVM reste conseillée, d'autant plus qu'elle offre des fonctionnalités égales.

Certaines technologies de virtualisation (IBM, SUN et même Microsoft depuis peu7) sont bien
supportées par Oracle, mais il semble qu'il y ait un (gros) désaccord entre Oracle et
VMWare8,9. En effet les règles d'Oracle sur le licensing n'ont jamais changé, contrairement
aux fonctionnalités de VMware.

Sur les technologies de virtualisation supportées par Oracle, l'utilisation de VM permet


d'optimiser le coût des licences par une meilleure utilisation de la charge CPU.

Logiciels Oracle gratuits[modifier | modifier le code]


Oracle propose depuis fin 2005 une version totalement gratuite de la base, « Oracle Database
Express Edition »10. Il s'agissait d'une version 10g Standard Edition One, fortement limitée :
en 2011, elle limite la taille totale de la base à 4 Go (hors système, temporaire, segments
d'annulation et autres fichiers), la SGA ne peut dépasser 1 Go et un seul processeur sera
utilisé sur les machines qui en disposent de plusieurs. La version 11gR2 d'Oracle Express
Edition présente les mêmes limitations, à part la taille des données utilisateur qui est portée à
11 Go.

En octobre 2018, la version XE d'Oracle 12c est rendue disponible. Les limites ont été
étendues à 2 processeurs, 2 Gb de mémoire vive et 12 Gb de données11. Sortie d'abord en
version Linux (x64) uniquement, cette version est également disponible pour Windows (x64)
depuis février 201912.

Oracle SQL Developer est lui aussi gratuit. Cet outil développé en Java permet, via une
interface graphique, de gérer les objets de la base, visualiser les sessions et de faire du SQL.
Oracle SQL Data Modeler est un autre outil gratuit qui permet de concevoir des modèles de
bases de données, des plus simples aux plus complexes. Il est possible d'exporter ensuite ces
structures directement sur Oracle SQL Developer13.

Téléchargement des produits[modifier | modifier le code]


L'intégralité des produits Oracle, à savoir :

 la base de données (RDBMS) ;


 le serveur d'application (IAS) ;
 la suite collaborative (OCS) ;
 l'environnement de développement (ODS) ;
 la suite applicative (eBusiness suite).

ainsi que les documentations associées14, sont téléchargeables en version intégrale, sans
limitation de durée, sur le site Oracle Technology Network15

Fonctionnalités[modifier | modifier le code]


Principales[modifier | modifier le code]

 SQL
 PL/SQL, langages de programmation, utilisé pour créer des procédures, des fonctions
et des déclencheurs.
 Java, ce langage de programmation est aussi utilisable pour créer des triggers lors de
l'insertion, la modification ou l'effacement d'éléments
 Montage de la base de données sur plusieurs serveurs (grid en 10g, rac en 9i)
 Spatial, pour permettre la gestion de données géographiques
 Partitionnement physiques des données en sous-ensembles pour optimiser les temps
d'accès
 Moteur OLAP intégré, stockant les cubes sous forme de BLOB (Binary Large
Objects)
 Gestion de très grands volumes de données, taille maxi de 65 536 fichiers de 128 To
chacun en utilisant les BigFiles de la version 10gR2 ou 10.2
Réplication des données selon différents modes synchrones ou asynchrones de tout ou
partie d'une base de données : voir Oracle Data Guard (en) ou encore la solution
Golden Gate (le couteau suisse d'Oracle tant il permet de faire de choses différentes à
la fois).

Fonctionnalités annexes[modifier | modifier le code]

 Partitionnement
 Module Oracle Text
 DBLink

Plates-formes prises en charge[modifier | modifier le code]


En octobre 2004, les plates-formes prises en charge pour Oracle 10g Release 1 étaient :

 HP-UX PA-RISC
 HP-UX Itanium
 HP Tru64
 Linux x86
 Linux Itanium
 z/Linux (en)
 Mac OS X
 Windows (32-bit)
 Windows (64-bit Itanium)
 Sun Solaris x86
 Sun Solaris (SPARC) (64-bit)

En mai 2006, les plates-formes suivantes sont prises en charge pour Oracle 10g Release 2 :

 HPUX Itanium
 HPUX PA-RISC
 Linux Itanium
 Linux Power5
 Linux x86_64 (Opteron / EM64T)
 Linux 32bits
 Windows Itanium
 Windows x86_64 (Opteron / EM64T)
 Windows 32bits
 Solaris SPARC64
 Solaris x86-64
 IBM AIX
 IBM z/OS (OS/390)

En février 2012, les plates-formes suivantes sont prises en charge pour Oracle 11g Release 2 :

 HPUX Itanium
 HPUX PA-RISC
 Linux x86_64 (Opteron / EM64T)
 Linux 32bits
 Windows x86_64 (Opteron / EM64T)
 Windows 32bits
 Solaris SPARC64
 Solaris x86-64
 IBM AIX
 IBM z/OS (OS/390)

En juillet 2013, les plates-formes suivantes sont prises en charge pour Oracle 12c Release 1 :

 Linux x86_64
 Solaris SPARC64
 Solaris x86-64
 Windows x86_64

Connecteurs[modifier | modifier le code]


 ODBC
 JDBC
 En Java, Oracle peut être utilisé de façon transparente avec le standard JDO.
 En PHP, Oracle peut être utilisé de façon transparente avec le standard PDO

Outils de sauvegarde[modifier | modifier le code]

Mécanisme d'Archive log Oracle

 RMAN (Recovery MANager) est un logiciel destiné aux sauvegardes et restaurations


des bases de données Oracle.

Il est fourni par Oracle depuis la version 8.0, en remplacement de « Enterprise Backup
Utility » (en version 7.3.x d'Oracle).

RMAN sauvegarde les données (datafiles), les journaux de transactions (archives), le fichier
de contrôle (control file) et éventuellement le fichier de configuration d'instance (spfile).

RMAN peut utiliser une base « catalogue » dans laquelle il stocke les informations concernant
les données sauvegardées. Les données sauvegardées peuvent être envoyées sur disque, sur
bande, ou à un logiciel de sauvegarde tiers (ex : Tivoli Storage Manager, EMC Legato
Networker, etc.).
Outils d'administration[modifier | modifier le code]
 Oracle Enterprise Manager (OEM) est un logiciel destiné aux administrateurs de
bases de données (DBA). Il permet, via une interface graphique, de gérer des bases de
données Oracle (sauvegardes Rman, supervision, etc.).

En Oracle 9i, la console OEM est un client Java. Depuis Oracle 10g, OEM est orienté web, et
se décline en plusieurs versions : une version simple nommée « Oracle Enterprise Manager
Database Control » et une version permettant d'administrer plusieurs bases nommée « Oracle
Enterprise Manager Grid Control ». Il faut noter que l'utilisation de certaines fonctions
(diagnostic et tuning) proposées dans l'interface implique la facturation d'options
supplémentaires.

Liste de records[modifier | modifier le code]


Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article contient une ou plusieurs listes (janvier 2015).

Ces listes gagneraient à être rédigées sous la forme de paragraphes synthétiques, plus
agréables à la lecture, les listes pouvant être aussi introduites par une partie rédigée et sourcée,
de façon à bien resituer les différents items.
D'autre part, Wikipédia n'a pas pour rôle de constituer une base de données et privilégie un
contenu encyclopédique plutôt que la recherche de l'exhaustivité.

 Oracle est la première base de données à intégrer nativement JRE


 Oracle est la première base de données à dépasser le million de transactions par
minute au bench TPC-C, en novembre 2004 [1] [archive]
 En 2012, Oracle est la seule base de données à proposer un test TPC-H avec une taille
de 30 To [2] [archive]
 En 2012, Oracle est la première base de données à atteindre 30 millions de
transactions au test TPC-C [3] [archive]

Certifications[modifier | modifier le code]


Il existe différents niveaux de certification autour des produits Oracle. Au niveau de la base
de données (RDBMS) :

 Oracle Certified Associate (OCA)


 Oracle Certified Professional (OCP)
 Oracle Certified Master (OCM)
 Oracle Certified Expert (OCE)
 Oracle Certified Specialist (OCS)

Notes et références[modifier | modifier le code]


1. ↑ « Introducing Oracle Database 21c January 13, 2021 [archive] », 13 janvier 2021 (consulté le 16
juillet 2023)
2. ↑ « Fichiers images stockés comme colonne de table de type ORDImage », sur isnetne.ch via Wikiwix
(consulté le 12 octobre 2023).
3. ↑ (en) « Oracle Multimedia Documentation for Oracle Database 12c [archive] », sur www.oracle.com,
Oracle Technology Network (consulté le 11 décembre 2013) : « The name Oracle interMedia was
changed to Oracle Multimedia in Oracle Database 11g Release 1. »
4. ↑ « Oracle 11g R2 simplifiera les mises à jour de progiciel.. ou pas [archive] » (consulté le 22 décembre
2011).
5. ↑ (en) « Oracle Announces General Availability of Oracle Database 12c, the First Database Designed
for the Cloud [archive] ».
6. ↑ (en) Database Options&Packs : Dans la documentation Oracle [archive].
7. ↑ (en) Note sur le support Hyper-V : Metalink Doc ID 1563794.1 (contrat de support nécessaire pour y
accéder).
8. ↑ (en) Support de VMWare : Metalink Doc ID 249212.1.
9. ↑ (en) Position officielle de VMware : voir §2 [archive].
10. ↑ https://www.oracle.com/technetwork/database/database-technologies/express-
edition/downloads/index.html [archive] Oracle Database XE Downloads] Logiciel libre de
développement, de déploiement et de distribution.
11. ↑ (en)Oracle Database 18c XE now available! [archive].
12. ↑ (en) Oracle 18c Express Edition (XE) for Windows is available [archive].
13. ↑ « Oracle Database : définition et fonctionnement [archive] », sur IONOS Digital Guide (consulté le 26
octobre 2022)
14. ↑ (en) LA référence de la documentation Oracle [archive].
15. ↑ (en) Oracle Technology Network [archive] – téléchargement des produits, documentations…

Voir aussi[modifier | modifier le code]


Articles connexes[modifier | modifier le code]

 Informix
 Ingres
 Teradata
 Microsoft SQL Server
 DB2
 PostgreSQL
 MySQL
 Adaptive Server Enterprise

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

 Oracle Database, sur Wikimedia Commons


 Oracle Database, sur Wikibooks

 Oracle France [archive]


 (en) Oracle Technology Network [archive] téléchargement des produits,
documentations, …
 (en) Oracle Database 10G Documentation Library [archive]
 (en) Oracle Database 11G Documentation Library [archive]
 Cours, guides et tutoriels, FAQ Oracle [archive]
 (en) Banque de scripts SQL pour les DBA [archive], version 8i à 12c
 Installer Oracle 10g sur Centos 5.5 [archive]

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 MongoDB
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 RethinkDB
 SimpleDB
 Riak
 ArangoDB

 Access
 FileMaker
EDI  HFSQL
intégré  Base
 Paradox
 Neo4j
 SAS
4D

 KairosDB
Séries  InfluxDB
temporelles

 Portail des bases de données


 Portail du logiciel

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Logiciel écrit en C
 Logiciel écrit en C++
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 Logiciel pour Mac OS
Logiciel pour Unix
 Logiciel pour Windows
Système de gestion de base de données
 Logiciel Oracle

[+]
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