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Début
1Historique
3Éditions et licences
5Fonctionnalités
o
5.1Principales
5.2Fonctionnalités annexes
7Connecteurs
8Outils de sauvegarde
9Outils d'administration
10Liste de records
11Certifications
12Notes et références
13Voir aussi
13.1Articles connexes
13.2Liens externes
Oracle Database
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Oracle Database
Informations
Développé par Oracle Corporation
Dernière version 21c (13 janvier 2021)1
Écrit en Java, C et C++
Système d'exploitation Multiplateforme
Environnement Multiplate-forme (voir section dédiée)
Formats lus Oracle Trace Metadata (d)
Formats écrits Oracle Trace Metadata (d)
Type SGBD
Licence Commercial
Site web www.oracle.com/fr/
Oracle Database est un système de gestion de base de données relationnelle (SGBDR) qui
depuis l'introduction du support du modèle objet dans sa version 8 peut être aussi qualifié de
système de gestion de base de données relationnel-objet (SGBDRO). Fourni par Oracle
Corporation, il a été développé par Larry Ellison, accompagné entre autres, de Bob Miner et
Ed Oates.
En 1983, RSI devient Oracle Corporation pour être plus représentative de son produit phare.
La version 3 d'Oracle, entièrement ré-écrite en langage de programmation C, est publiée.
Celle-ci supportait les transactions grâce aux fonctionnalités de commit et rollback. C'est aussi
à partir de cette version que la plate-forme Unix est supportée.
En 1984, la version 4 supporte la cohérence en lecture (read consistency).
En 1992, la version 7 supporte les contraintes d'intégrité, les procédures stockées et les
déclencheurs (triggers).
En 1999, la version 8i d'Oracle est publiée dans le but d'affiner ses applications avec Internet
(le i fait référence à Internet). La base de données comporte nativement une machine virtuelle
Java.
En 2001, la version 9i ajoute 400 nouvelles fonctionnalités et permet de lire et d'écrire des
documents XML. Elle intègre le moteur OLAP : le moteur Oracle Express est dorénavant
référencé au sein de l'option Oracle OLAP. Les données multidimensionnelles sont
accessibles à partir du langage SQL.
En 2003, la version 10g supporte les expressions rationnelles. Le g signifie grid ; un des
atouts marketing de la 10g est en effet qu'elle supporte le grid computing.
En novembre 2005, la version 10g Express Edition, complètement gratuite, est publiée, ainsi
que la version 10g Release 2.
En 2018, la version 18c est publiée, il s'agit de la version 12.2.0.2 mais avec la nouvelle
convention de version.
Le chiffre Z désigne quant à lui le niveau de correctif générique appliqué. Oracle délivre en
général 3 ou 4 mises à jour (« patchset ») pour une version majeure, mais cela reste très
variable.
Depuis la version 7, les versions majeures du SGBD Oracle ont été les suivantes :
À partir de 2018, un rythme annuel de nouvelles versions est prévu : le numéro de version
rappellera l'année, la prochaine version sera donc la 18 (au lieu de la 12.2.0.2 initialement
prévue), la suivante la 19...
On notera qu'en plus de ces licences, Oracle facture en sus certaines options selon les règles
définies plus haut. Ainsi, les fonctionnalités suivantes doivent être spécifiquement achetées 6:
Partitionning Oracle
OLAP
Oracle Advanced Security (ASO)
Oracle Data Masking
Data Mining
Oracle RAC (en) Real Application Cluster (uniquement en Enterprise Edition)
Si un serveur Oracle est installé dans un environnement virtualisé (hors OracleVM) utilisant
plusieurs serveurs physiques, c'est le nombre de processeurs de l'ensemble des machines
physiques constituant le cluster qu'il faut licencier, car Oracle considère que le SGBD peut
utiliser tour à tour l'ensemble des processeurs de l'infrastructure. La plupart des personnes,
dans les entreprises moyennes ou grosses, ont une ferme de serveurs VMWare ou Hyper-V. Si
des produits Oracle soumis à licence sont utilisés, il faut impérativement analyser les besoins
et les coûts de licence. Par exemple, une ferme de 4 serveurs composés chacun de 4
processeurs Intel (CPU), tous composés de 2 cœurs sera « licenciée » pour 4*4*2*0,5 = 16
licences CPU — ce qui peut devenir prohibitif. C'est la raison pour laquelle, la technologie
OracleVM reste conseillée, d'autant plus qu'elle offre des fonctionnalités égales.
Certaines technologies de virtualisation (IBM, SUN et même Microsoft depuis peu7) sont bien
supportées par Oracle, mais il semble qu'il y ait un (gros) désaccord entre Oracle et
VMWare8,9. En effet les règles d'Oracle sur le licensing n'ont jamais changé, contrairement
aux fonctionnalités de VMware.
En octobre 2018, la version XE d'Oracle 12c est rendue disponible. Les limites ont été
étendues à 2 processeurs, 2 Gb de mémoire vive et 12 Gb de données11. Sortie d'abord en
version Linux (x64) uniquement, cette version est également disponible pour Windows (x64)
depuis février 201912.
Oracle SQL Developer est lui aussi gratuit. Cet outil développé en Java permet, via une
interface graphique, de gérer les objets de la base, visualiser les sessions et de faire du SQL.
Oracle SQL Data Modeler est un autre outil gratuit qui permet de concevoir des modèles de
bases de données, des plus simples aux plus complexes. Il est possible d'exporter ensuite ces
structures directement sur Oracle SQL Developer13.
ainsi que les documentations associées14, sont téléchargeables en version intégrale, sans
limitation de durée, sur le site Oracle Technology Network15
SQL
PL/SQL, langages de programmation, utilisé pour créer des procédures, des fonctions
et des déclencheurs.
Java, ce langage de programmation est aussi utilisable pour créer des triggers lors de
l'insertion, la modification ou l'effacement d'éléments
Montage de la base de données sur plusieurs serveurs (grid en 10g, rac en 9i)
Spatial, pour permettre la gestion de données géographiques
Partitionnement physiques des données en sous-ensembles pour optimiser les temps
d'accès
Moteur OLAP intégré, stockant les cubes sous forme de BLOB (Binary Large
Objects)
Gestion de très grands volumes de données, taille maxi de 65 536 fichiers de 128 To
chacun en utilisant les BigFiles de la version 10gR2 ou 10.2
Réplication des données selon différents modes synchrones ou asynchrones de tout ou
partie d'une base de données : voir Oracle Data Guard (en) ou encore la solution
Golden Gate (le couteau suisse d'Oracle tant il permet de faire de choses différentes à
la fois).
Partitionnement
Module Oracle Text
DBLink
HP-UX PA-RISC
HP-UX Itanium
HP Tru64
Linux x86
Linux Itanium
z/Linux (en)
Mac OS X
Windows (32-bit)
Windows (64-bit Itanium)
Sun Solaris x86
Sun Solaris (SPARC) (64-bit)
En mai 2006, les plates-formes suivantes sont prises en charge pour Oracle 10g Release 2 :
HPUX Itanium
HPUX PA-RISC
Linux Itanium
Linux Power5
Linux x86_64 (Opteron / EM64T)
Linux 32bits
Windows Itanium
Windows x86_64 (Opteron / EM64T)
Windows 32bits
Solaris SPARC64
Solaris x86-64
IBM AIX
IBM z/OS (OS/390)
En février 2012, les plates-formes suivantes sont prises en charge pour Oracle 11g Release 2 :
HPUX Itanium
HPUX PA-RISC
Linux x86_64 (Opteron / EM64T)
Linux 32bits
Windows x86_64 (Opteron / EM64T)
Windows 32bits
Solaris SPARC64
Solaris x86-64
IBM AIX
IBM z/OS (OS/390)
En juillet 2013, les plates-formes suivantes sont prises en charge pour Oracle 12c Release 1 :
Linux x86_64
Solaris SPARC64
Solaris x86-64
Windows x86_64
Il est fourni par Oracle depuis la version 8.0, en remplacement de « Enterprise Backup
Utility » (en version 7.3.x d'Oracle).
RMAN sauvegarde les données (datafiles), les journaux de transactions (archives), le fichier
de contrôle (control file) et éventuellement le fichier de configuration d'instance (spfile).
RMAN peut utiliser une base « catalogue » dans laquelle il stocke les informations concernant
les données sauvegardées. Les données sauvegardées peuvent être envoyées sur disque, sur
bande, ou à un logiciel de sauvegarde tiers (ex : Tivoli Storage Manager, EMC Legato
Networker, etc.).
Outils d'administration[modifier | modifier le code]
Oracle Enterprise Manager (OEM) est un logiciel destiné aux administrateurs de
bases de données (DBA). Il permet, via une interface graphique, de gérer des bases de
données Oracle (sauvegardes Rman, supervision, etc.).
En Oracle 9i, la console OEM est un client Java. Depuis Oracle 10g, OEM est orienté web, et
se décline en plusieurs versions : une version simple nommée « Oracle Enterprise Manager
Database Control » et une version permettant d'administrer plusieurs bases nommée « Oracle
Enterprise Manager Grid Control ». Il faut noter que l'utilisation de certaines fonctions
(diagnostic et tuning) proposées dans l'interface implique la facturation d'options
supplémentaires.
Ces listes gagneraient à être rédigées sous la forme de paragraphes synthétiques, plus
agréables à la lecture, les listes pouvant être aussi introduites par une partie rédigée et sourcée,
de façon à bien resituer les différents items.
D'autre part, Wikipédia n'a pas pour rôle de constituer une base de données et privilégie un
contenu encyclopédique plutôt que la recherche de l'exhaustivité.
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