L’incendie

Par une nuit hivernale, il fait très froid. Alors, je regagne mon lit plus tôt que
d’habitude. Soudain, j’entends des cries aigus : « au secours ! au secours ! »
J’accours vers ma fenêtre, effrayé, pour voir ce qui se passe.

Quelle scène horrible ! la maison des voisins a pris feu. Les flammes sortent par
les fenêtres en tourbillons menées d’une épaisse fumée très obscure qui s’élève de plus
en plus haut. Les rideaux, les couvertures, les matelas et les meubles sont
endommagés.

Sans réfléchir, je me précipite vers la chambre de mes parents et je réveille mon père
qui appelle à la hâte les pompiers. Etant solidaires et altruistes, et sans hésiter, les
voisins interviennent hâtivement et essaient de maîtriser le feu et alléger les dégâts.

Sans attendre l’arrivée des secours, on se dirige vers le lieu de l’incendie et on

s’entraide avec d’autres voisins en jetant des seaux d’eau et du sable sur les flammes
qui ont pris de l’ampleur mais en vain.

Heureusement, les pompiers arrivent sans tarder. Les voilà avec des combinaisons et
des chapeaux rouges. Ils déroulent d’un geste prompt leurs tuyaux et dirigent des jets
d’eau et du gaz carbonique vers les flammes.
Quelle bravoure ! quelques autres pompiers franchissent le feu avec leurs
combinaisons pour évacuer ceux qui sont au cœur du danger. Vraiment, ils sacrifient
leurs vies pour sauver celle des autres.

Après beaucoup d’efforts et de longues heures et grâce à la solidarité de tous les

présents, les pompiers arrivent à maîtriser le feu. Quelle chance ! il n’y a aucune
victime mais les dégâts sont considérables. Pauvres voisins ! Ils ont perdu tout leur
bien. Ils n’ont ni nourriture, ni habits ni toit chaud pour les abriter avec leurs enfants.
Quel état pitoyable et stupéfiant !